Bienvenue

Bienvenue dans l'imagination de Koolbriz.
Je souhaiterais partager ici, avec vous, mon tout premier récit, et peut-être d'autres à venir. J'ai commencé sur doctissimo puis à sa fermeture, je me suis dirigé vers Scribay, malheureusement mon histoire ne convient pas aux règles. J'espère donc retrouver ici beaucoup d'entre vous qui m'ont suivis, et je souhaites la bienvenue aux nouveaux lecteurs.

Chapitre 1 image
Je n’arrive pas à dormir, je suis prise d’une insomnie, ça fait plus d’une heure que je regarde mon plafond et bien sûr dans ces moments là comme souvent je suis pensive, mes projets, mon travail, mes amours, tout y passe…

Pour vous faire une idée de la personne que je suis, je m’appelle Julia, j’ai 26 ans et je suis vendeuse dans une boutique de prêt à porter. Je suis plutôt simple physiquement, je mesure 1m58 et de nature mince, des cheveux couleur châtain clair.

Le mieux serait que je commence par mon enfance pour comprendre au mieux la personne que je suis devenue. Tout débute en 1993, année de ma naissance, mes parents à cette époque là sont plutôt jeunes, ma mère Nadège a tout juste 20 ans et mon père lui 23 ans. Autant vous dire que mon arrivée fût le fruit d’un accident plutôt qu’un désir commun de fonder une famille.

Le peu de souvenir de mon enfance à ce moment là sont plutôt joyeux, bien que je me souvienne que mon père travaillait dure pour assurer un bon repas. Je le revois fatiguer et marquer par son travail, je revois aussi des scènes de disputes avec ma mère, des scènes qui se répètent toujours jusqu’à mes 7 ans, où, sans que je puisse vraiment comprendre la raison exacte, mon père disparu de mon enfance.

C’est à partir de ce moment là que je vais me renfermer et ne vais plus parler à qui que ce soit, je me souviens des enfants voulant jouer avec moi, mais je reste là sans bouger, j’ai vécu le départ de mon père comme un traumatisme, et par la suite une série de visite chez une psy pour enfant. Mais mon plus grand réconfort à toujours été et le restera, ma mère. J’avais peur qu’elle parte elle aussi, de me retrouver seule, mais elle faisait tout pour me donner un sourire malgré le fait que je sois devenue très timide.

Je reste encore aujourd’hui soulagée de savoir que ma mère ne m’a pas abandonné. A l’école je me sentais toujours seule et triste, mais vers mes 10 ans je me rappelle d’une petite fille, brune et fine et clair de peau, elle viendra s’assoir à mes côtés dans la cour et me parler.

Je ne répondais pas, mais elle était là, jours après jours, pour venir me raconter ces histoires, ces pensées et beaucoup de choses encore… ce jour là, Estelle est devenue ma meilleure amie et petit à petit elle réussit à créer un déclic chez moi, je ne suis pas devenue aussi bavarde qu’elle, mais je me suis mise à discuter.

Nous avons aussi intégré un peu plus tard dans notre petit groupe, Kévin, toujours seul et souvent l’objet de moquerie des élèves de l’école. Kévin est assez gros, les cheveux bouclés, des taches de rousseurs et porte des lunettes, mais c’est une personne très intelligente bien que maladroite.

Vous aurez donc compris que je suis à cet âge là une fille très timide et réservée, avec une énorme difficulté de communication mais ce que je vais vous raconter par la suite va être pour moi le départ des plus gros changements de ma vie
chapitre 2 image
C’est donc à l’âge de 13 ans que je commence à me découvrir, comme tous les adolescents vous me direz, et même si toutes les histoires se ressemblent, elles sont à la fois toutes uniques.

Je découvre donc mon corps, la naissance de mes petits seins et l’apparition de mes premiers poils, même si tout ça est naturel je suis à la fois prise de curiosité et effrayée. Le soir dans mon lit je découvre une zone sensible entre mes jambes, que je vais au fil du temps, apprendre à mieux connaitre aussi bien avec mes doigts que visuellement.

Car oui, étant curieuse, je me suis longuement observée dans le miroir de la salle de bain, debout, de face, de profil mais aussi à terre les jambes ouvertes.

Nous avons eu le droit aussi aux fameux cours d’éducation sexuelle, et c’est là que je compris peu à peu tout ce qui m’arrivait, et ce que je faisais le soir dans mon lit. Je ne pouvais plus m’en passer de ce plaisir et bien qu’étant timide j’étais tout aussi curieuse, je me suis posée énormément de questions, et si Estelle ? Et si Kévin ? Mais aussi je me demandais si ma mère le faisait aussi.

Car depuis sa rupture d’avec mon père, elle n’a plus eu de contact avec d’autres hommes, alors forcément je me suis dis qu’elle devait elle aussi pratiquer ce plaisir solitaire.

A force de questionnement, j’ai voulu avoir mes réponses, mais difficile pour moi d’amener le sujet que ce soit avec Estelle, Kévin ou autres. Déjà que je suis très timide sur des sujets banales, alors parler de sexe… oula.

Je me suis donc mise sur l’ordinateur que nous avions dans le salon et merci internet, même si à cette époque je ne trouvais pas exactement les réponses que j’attendais, ce fut pour moi une nouvelle source de plaisir que je pratiquais en rentrant de l’école lorsque ma mère était encore à son travail. Des photos, des vidéos, tout ce que je trouvais me procurait du plaisir.

J’en voulais toujours plus, alors je cliquais encore et encore. Je m’isolais complètement à l’aide de mon casque audio pour mieux entendre les gémissements de la fille et du gars que je regardais. Je me mettais complètement nue, les jambes posées sur le rebord du bureau, ma main droite active sur mon intimité et la gauche me caressant le coup, les seins, les cuisses… j’arrivais au moment de ma jouissance tant attendu.

Bien que je jouisse en moyenne 4 à 5 fois durant mes masturbations, j’avais appris de mon corps que je pouvais atteindre un niveau d’orgasme encore plus fort. Ce moment où tout mon être se concentre en un point précis, où toute cette tension s’accumule, je ferme alors mes yeux, je bascule ma tête en arrière, la bouche grande ouverte alors qu’aucun son n’en sort et là, à ce moment là, mon corps se contracte tout entier et je laisse alors sortir un grand gémissement, je me redresse, ré-ouvre les yeux et c’est là que j’aperçois dans mon champ de vision ma mère debout sur mon côté gauche.

Surprise, je bascule de ma chaise et tombe à terre en essayant en même temps de me cacher. Je ne sais plus où me mettre, j’ai honte et mes larmes commencent à couler sur mon visage. Je ne bouge plus mais je voudrais disparaître, ne plus exister, je ne sais plus quoi faire.

Ma mère vient se positionner à mes côtés et me parle tout en douceur tout en déposant sur moi le plaid qu’elle a récupérer du canapé, mais dans mes pleurs je n’arrive pas à comprendre ce qu’elle me dit. Au bout de quelques minutes seulement je commence à comprendre ces mots…
chapitre 3 image
Ma mère d’une voix douce et calme essaye tant bien que mal de me calmer, et je comprends peu à peu ses mots. Elle me dit que tout va bien, que ce n’est pas grave, que c’est normal à mon âge et que je ne dois pas avoir honte, mais je n’y arrive pas, je suis toujours aussi honteuse et mes larmes recommence à couler.

Ma mère me soulève doucement du sol, et m’aide à regagner ma chambre dans laquelle je vais m’isoler pendant des heures en repensant à tout ce qui s’est passé. Que je ne devais pas être normale, que j’ai un problème et quoique décide ma mère j’accepterais tout ce qu’elle me dira, et me donnera comme punition. Je reste ainsi des heures allongée, les mêmes idées en tête.

Il fait sombre dans ma chambre lorsque j’entends toquer, je ne donne aucune réponse et ma porte s’ouvre :

Maman : C’est moi ma puce, je peux entrer
Moi : …
Ma mère entre doucement tout en laissant la lumière éteinte, elle s’assit sur mon lit dans mon dos, et pose légèrement sa main sur mon épaule.
Maman : Ma puce, il faut qu’on parle tu veux bien ?
Moi : …
Maman : Ma puce ?
Moi : je ne sais pas quoi dire…
Maman : alors ne dis rien et écoute moi avant tout tu veux bien ?

Tout en lui disant oui, je renifle et recommence à avoir des larmes qui coulent, en imaginant ce qu’elle pourrait me dire de pire et surtout en étant aussi honteuse qu’avant.

Mais en écoutant ces mots, je me rends compte que ma mère me réconforte, elle me dit d’une voix douce que ces choses là sont naturelles mais surtout qu’elle ce sent coupable de m’avoir mise dans cet état, sachant surtout que dès que quelque chose me blesse, je me renferme sur moi-même et qu’il faudra un bon moment pour que je sorte de ma carapace.

Elle ne souhaite vraiment pas que j’en arrive là, et tout en déposant un bisou sur ma joue, elle me dit qu’elle est à mon écoute et qu’elle sera toujours fière de sa fille…

Je me retrouve seule dans ma chambre et les mots de ma mère raisonnent à nouveau dans ma tête, je reste toujours honteuse d’avoir été surprise ainsi, j’y pense encore et encore, les heures passent et je finis par m’endormir.

J’ai vraiment passé une mauvaise nuit, dans mes rêves je me suis sentie mal, de la peur, du jugement, j’ai l’impression que ma tête est lourde, et que tout le poids du monde est sur moi. Je regarde mon réveil, il est pratiquement midi, je ne sais pas quoi faire, mais je me dis qu’il faut que je change, que j’arrête de me renfermer ainsi et surtout que je dois en parler. Dans ma tête, je repense aussi aux mots de ma mère lorsqu’elle m’a embrassé avant de me laisser.

En vous parlant de ma mère, je dois vous la présenter, elle s’appelle Nadège, elle mesure 1,60 m, mince clair de peau et les cheveux châtains. On peut dire que je tiens parfaitement d’elle, et à ce moment là de ma vie elle à 33 ans. Aussi loin que je me souvienne ma mère a toujours été là pour moi, c’est une femme patiente, avec beaucoup d’amour, elle prend toujours soin de moi, même dans mes moments de crise où je me renferme.

Alors en repensant à ces mots, je me rends compte que oui, ma mère a toujours été à mon écoute quel que soit le sujet. Je réagis sans doute avec beaucoup de retard mais je le sais à présent. Je décide de me lever et ayant faim aussi, je me dirige vers la cuisine où je me retrouve face à ma mère…
chapitre 4 image
Dans cette cuisine, je me retrouve face à ma mère et je ne bouge plus, je ne sais pas quoi faire, j’attends et je commence de nouveau à avoir honte, mais heureusement pour moi ma mère rompt le silence.

Maman : Bonjour ma puce, je suis contente de te voir, tu as bien dormie ?
Moi : ….Bonjour… Non pas très bien

Ma mère est assez surprise que je lui réponde, car d’habitude je serais là debout sans parler, enfermé dans ma bulle. Elle semble émue que je puisse reprendre la parole aussi vite et je la vois aussi se poser mille questions, et tout en m’avançant vers elle j’ai de nouveau les larmes aux yeux mais je trouve très vite refuge dans ses bras.

Moi : je suis désolée maman pour ce que j’ai fait
Maman : mais ma puce, tu n’as rien fait de mal, c’est même normal à ton âge et je me doutais bien que tu le faisais

Là j’ai eu un mouvement de recul et à mon tour je me suis posée des questions, mais ma mère toujours rassurante me demande de m’assoir. J’apprends alors qu’elle le savait depuis un moment que je me faisais plaisir ayant trouvé mes draps parfois mouillés, ou même mes sous-vêtements souillés puisque c’est elle qui s’occupe de la lessive.

Mais pour ce qui est des vidéos sur internet, elle ne le savait pas, et en tant que maman protectrice elle me met en garde sur ce que je peux trouver sur internet et surtout les dangers que je peux rencontrer.

La tête baissée comme si je me faisais gronder, elle me demande si je veux rester tranquille pour le moment, peut être a t’elle peur que je me renferme, mais je dois moi aussi faire des efforts de mon côté. Alors elle me laisse un moment, le temps pour moi d’avaler quelque chose et de mettre de l’ordre dans ma tête. J’essaie de dire quelque chose mais j’ai encore du mal à me lancer alors, comme à mon habitude, je me dirige vers ma chambre.

Je n’en sors finalement que le soir à l’heure du dîner, ma mère essaie à nouveau de lancer la conversation mais nous commençons à manger dans le silence, il me faudra au moins dix bonnes minutes avant que je ne puisse parler.
Moi : maman est ce que je dois tout arrêter ?

Maman : Ma puce, je suis heureuse que tu m’en parles. Et je vais te dire, tu es libre de faire ce que tu veux, tant que tu es en accords avec toi-même. C’est très important pour toi à ton âge de te découvrir, de savoir ce que tu aimes ou non.
Moi : ….ok….

Elle sait que dans ces moments là, il ne faut pas me brusquer, depuis toute petite, depuis le départ de mon père, je me braque très vite en cas de conflit, de panique.

Maman : écoute moi, tu as encore besoin de temps, je suis là pour toi tu le sais ma puce. Demain tu n’iras pas encore en cours, je sais que ce sera difficile pour toi.
Moi : merci maman

Le dîner terminé je débarrasse mon assiette, je prend une douche dans laquelle d’habitude j’observe mon corps, mais ce soir non, et me dirige dans ma chambre pour m’isoler à nouveau. Je suis contente de moi, d’avoir osé le dialogue, mais je dois encore faire des efforts et parler, et surtout faire confiance à ma mère.

Dans mon lit, je me pose encore mille et une questions, mais je sais que je n’arriverais pas à toutes les poser, en tout cas la réponse de ma mère me rassure, car même si j’ai eu honte d’être surprise, la masturbation est quelque chose que j’aime beaucoup et je ne sais pas comment j’aurais pu faire sans. Bien sûr pour l’instant je n’avais pas la tête à ça mais je sais qu’à un moment ou un autre mon envie serait de nouveau présente, et sur ces pensées je m’endors doucement.

J’ouvre les yeux, mon réveil affiche 8h45, et je me sens un peu mieux. La tête moins lourde mais encore un peu endormie, j’aimerais vraiment pouvoir changer là maintenant, mais c’est impossible pour moi, mais peut être en y allant doucement, petit à petit… Je me dis que je me dois de faire ces efforts à partir d’aujourd’hui, pour moi, pour ma mère qui m’a toujours soutenue et pour mon avenir également, car je ne veux plus être cette petite fille perturbée.

Je respire calmement en regardant mon plafond …1…2…3 Je me lève, me dirige vers la salle de bain pour me laver le visage, et dans le canapé je retrouve ma mère. Je me dirige vers elle pour lui faire un énorme câlin, c’est ma façon depuis toute petite de la remercier d’être là pour moi. Je me prépare mon petit déjeuner et la rejoins sur le canapé, à cet instant là, ma mère regarde la télé, calme, détendue, j’inspire profondément pour me donner cet élan, ce courage de parler…

Moi : quand tu m’as surprise, tu as été déçu ? (d’une voix timide, hésitante)

Elle saisi la télécommande pour éteindre la télé, et en se tournant vers moi, elle me saisie la main pour me parler.

Maman : Ma chérie, je ne suis pas déçu, non. J’ai simplement été surprise de te trouver là entièrement nue. Je ne sais pas ce que j’ai pu te laisser penser, mais, non, je n’ai pas été déçu. Mais j’ai été surprise, car quand je suis arrivée tu étais vraiment dans une jouissance folle.

A ce moment là je suis devenue toute rouge je pense, j’étais contente d’entendre ces mots, mais à la fois honteuse.

Maman : Je vais te dire, je suis très fière de toi, que tu me parles, avant tu aurais mis des jours avant de pouvoir prononcer un mot. Je suis fière que tu oses me poser tes questions, et jamais je ne te jugerais sur ce que tu fais, ou ce dont tu as envie de faire. Tu es ma fille et je t’aime…

A ces mots, j’ai laissé tomber une larme et ma mère également, moi qui d’habitude après un tel choc émotionnel serais enfermée dans ma chambre, sans parler pendant des jours, je trouve enfin la force d’essayer de changer …
chapitre 5 image
Cet épisode de ma vie marque un net changement pour moi, je fais des efforts chaque jours en essayant de parler avec elle de tout.

Et petit à petit, Je lui parlais de mes cours, de mes amis, de mes films préférés etc… j’apprenais enfin à communiquer avec ma mère, elle en était fière, et toujours à mon écoute. Elle ne manquait pas non plus de sujet de conversation, elle voulait m’aider, elle voulait me sortir de cette bulle dans laquelle je vivais.

Mes efforts en communication ce sont ressentis également avec mes amis, j’arrivais à parler calmement, et faire de longues phrases pour donner mon avis dans une discussion, ou encore essayer avec encore un peu de mal je l’avoue, de répondre à une question en classe. Mes notes étaient de mieux en mieux, ainsi que les appréciations de mes professeurs.

Au sujet de mes plaisirs intimes, je mis plus de temps que je ne le pensais. Peut être que j’avais vraiment été traumatisée, mais ce que je peux vous dire, c’est que le moment ou j’ai recommencé c’était jouissif. Aussi je faisais très attention maintenant, en veillant à ce que ma porte soit fermée à clef lors de mes séances. Pour ce qui est de l’ordinateur, je n’y touchais plus, je ne voulais peut être pas revivre ça. De peur que je sois de nouveau prise dans cette bulle, et voir tous mes efforts s’envoler.

Le temps passe, aucun accident à déclarer, ma personnalité change et arrive l’âge de mes 14 ans. Je prends conscience dans le miroir de la salle de bain que je deviens une jeune fille, mes seins sont bien formés, une belle poitrine en poire et de petits tétons assez marquant tout de même.

Je décide aussi pour aider ma mère dans les tâches de tous les jours d’en réaliser certaines, comme le ménage, la vaisselle mais aussi et surtout la lessive. Ayant repris mes plaisirs solitaire de manière fréquentes, et me rappelant ce que m’a dit maman au sujet de mes draps et sous vêtements, je ne voulais pas de nouveau être dans l’embarrât à ce sujet.

Je suis donc un peu plus rassurée sur ce dernier point, un peu car même si j’aide à la tâche, il arrive aussi que ma mère s’en occupe. Pour ce qui est de mes draps, il est vrai que je n’avais jamais fait attention, mais le soir étant nue dans mon lit pendant mes masturbations, je peux vous dire que je laisse beaucoup de traces. Et ma mère le remarque très bien, puisqu’elle me lance un petit sourire plein d’attention lorsqu’elle sort de ma chambre avec mes draps. Mais un point important, malgré mon changement et mes efforts pour le dialogue, je n’ai jamais pu aborder à nouveau un sujet sexuel avec elle. Pourtant elle reste ouverte à tous sujets, et ce qui va m’amener à changer arrive un soir…

Un soir, où, me réveillant au milieu de la nuit pour aller boire, je perçois une lumière dans le couloir. Cette lumière est celle de la télé, mais il est déjà très tard, maman est sûrement endormie sur le canapé comme ça lui arrive souvent. Il n’est pas rare que je vienne dans la nuit pour lui dire de regagner son lit, pour mieux dormir.

Je m’avance dans le couloir, notre appartement n’étant pas très grand je peux pratiquement voir la télévision de ma porte. Mais les yeux à moitié fermés, j’avance à petit pas et ce n’est qu’arriver dans le salon que je découvre la scène.

A l’écran je peux voir un film x passer, le son est relativement faible mais je perçois, étant plus près l’actrice en train de gémir, l’acteur n’est pas du tout le genre de mec que j’aime et d’ailleurs ils ne sont pas souvent à mon goût dans ce style de film. Mais son sexe est énorme, je suis comme hypnotisée par ce que je vois là, et au beau milieu de cette scène, j’entends quelques gémissements tout aussi faibles qui viennent se mêler au film et je découvre dans ce canapé, ma mère…

Le canapé étant placé de dos au couloir elle ne m’a ni vue, ni entendu. Je reste là dans la pénombre et peu à peu parmi les gémissements entremêlés des acteurs et de ma mère, je perçois ce son qui m’est devenu familier, je peux entendre, de façon faible, ces doigts s’activer sur son intimité que je devine au son, bien humide.

Je suis surprise de découvrir ma mère ainsi, surprise de la voir dans son moment le plus intime, surprise de l’entendre mais en même temps je suis surprise de ressentir cette chaleur dans mon ventre. Cette chaleur que je connais tout aussi bien, car c’est elle qui bien souvent m’appelle, m’invite à me caresser, me masturber jusqu’à la jouissance.

Instinctivement, ma main droite glisse et trouve son chemin jusqu’à mon intimité, mon entre jambe que je caresse au travers de mon pyjama, je ressens cette chaleur, ce bonheur, ce plaisir que je redécouvre à chacune de mes masturbations.

Un son, un claquement me sort de ma bulle, l’homme à la télé donne des gifles à cette fille prise comme un objet, je reprends mes esprits et découvre ce que je suis en train de faire là, dans ma tête tout se mélange, pourquoi est ce que je fais ça ? N’ayant pas ma réponse je me décide à repartir dans ma chambre pour laisser ma mère tranquille, mais elle est belle, je ne la vois pas de là où je suis.

Je peux simplement voir le côté droit de son visage et son regard captivé par la scène devant elle, je vois également qu’elle a relevé ses jambes sur le canapé, elle porte toujours son T-shirt, mais pour ce qui est du bas, je ne vois que ses genoux nue. Elle a sûrement enlevé le bas de pyjama pour être plus à l’aise, je la regarde, je suis captivée, elle arrête ses mouvements de la main et je la vois rapprocher ces doits humides vers son visage, et là devant moi, ma mère introduit ses doigts entres ses lèvres, elle les suce, les retire et les lèche avant de glisser à nouveau sa main entres ces jambes.

Ce spectacle est incroyable, je me rends compte que je n’ai pas arrêté de me caresser pendant tout ce temps, je voudrais en voir plus, je veux continuer de la regarder. Mais une voix me dit de regagner ma chambre, ce que je fais doucement tout en regardant derrière moi, ma mère dans ce canapé.

Une fois la porte fermée, je suis comme possédée, je retire tout ce que j’ai sur moi et me positionne à genoux sur mon lit, ma main droite reprend son activité à une force et une vitesse incroyable, je ne me retiens plus. Ma main gauche agrippe ma tête de lit, et tout en me caressant je simule de mon bassin un déhanché, des vas et viens de plus en plus rapide. Je veux jouir, je veux mon plaisir et dans ma tête, les images de ma mère, se donnant du plaisir, cette queue énorme à l’écran…

Je ne tiens plus du tout, j’arrive au bout, tout mon plaisir ce concentre entre mes jambes et à ce moment là, tout explose…. Je jouie d’une force, mes jambes faiblissent, je ne tiens plus et ma tête vient se poser sans retenue sur mon oreiller. Me voila dans mon lit, nue, la tête baissée et les fesses relevées, ma main droite mouillée, je ne bouge plus, mon cœur bat très fort, je suis dans un état que je ne connaissais pas, mais très vite mes yeux se ferment, je suis fatiguée, achevée, et je perds peu à peu conscience des choses qui m’entourent.
chapitre 6 image
Les jours suivants, j’avais l’impression de faire machine arrière, malgré mes efforts, j’évitais de parler et de regarder ma mère en face. Je sais qu’elle a dû se poser des questions quant à mon changement soudain, je voulais lui en parler, lui dire ce que j’avais sur la conscience car oui j’avais honte de l’avoir regardé ainsi, mais surtout de mettre caressé en ayant l’image de ma mère comme source d’excitation.

Je la revois encore le soir dans mes pensées, se caresser devant ce film, je ressens encore cette chaleur dans mon ventre, mais je me bloque, j’ai honte, je ne peux pas faire ça. La journée en cours se passe presque normalement, j’arrive à penser à autre chose, à me concentrer en classe, mais le soir de retour chez moi, je m’efforce de parler avec ma mère mais le dialogue ne passe pas comme avant.

Vendredi, pendant toute la journée j’essaie de me convaincre, de franchir le pas, de lui parler et tout lui dire. Je me décide alors et me dis qu’en rentrant ce soir il faut le faire, sinon cette situation ne va pas s’arranger, et je ne veux pas redevenir cette fille isolée que j’étais.

J’arrive à l’appartement, mais ma mère n’est pas là, j’oubliais que le vendredi après son travail, elle se dirige directement vers sa salle de sport, où elle pratique bien souvent de la zumba et autres activités pour garder la forme. Ma mère est du genre active depuis le départ de mon père, ça l’aide à se défouler comme elle me le dit. J’attends son retour assise dans le salon, je sais qu’elle ne va pas tarder à rentrer, mais plus le temps passe, plus je redoute l’instant, je ne veux pas faiblir et m’embrouiller au moment de lui parler, alors je répète en boucle ce que je voudrais lui dire.

Les yeux fixés au sol, j’entends la clef déverrouiller la porte d’entrée, voila le moment que je redoutais le plus. Ma mère me voyant assise là, alors que la télé est éteinte, me demande si tout va bien, si j’ai passée une bonne journée…

Des questions qu’elle m’a posé chaque soir de la semaine, mais auxquelles elle n’eu que des réponses brèves et sans réel sincérité. Pour cela je m’en veux, et alors que je me disais de me lancer, encore une fois c’est un échec, ma mère me sourit en me caressant la joue, et me dit que ce n’est pas grave, et que je lui parlerais quand je serais prête.

Elle me laisse seule dans le salon pour déposer ses affaires dans sa chambre et se diriger vers la salle de bain. Je suis déçu, je n’arrive pas à lui parler car sa concerne un sujet sexuel, alors que j’ai fait jusque là d’énormes progrès. Des progrès que je vois tout à coup disparaitre, juste parce que je n’arrive pas à parler. Mon poing se sert, les yeux fermés, je suis en colère contre moi-même, alors je prends une profonde inspiration et …

Moi : maman, j’ai besoin de te parler…
Ma mère est debout dans le couloir, elle ne bouge plus, surprise peut être, elle me sourit tendrement et d’une voix douce me dit que je peux lui parler, et qu’elle est toujours à mon écoute.
Moi : c’est très important, et je ne sais pas par où commencer, et … et …
Maman : ma chérie, respire, prends ton temps, n’ai pas peur, tu peux tout me dire

Mais à ce moment là, je bloque, je ne sais plus comment faire pour m’en sortir, je cherche encore et encore un moyen pour parler, mais rien…

Je sens alors la main de mère saisir la mienne, je relève la tête …

Maman : Chérie, je sais que ce n’est pas facile pour toi, et je ne peux pas te laisser comme ça, mais là je suis désolée, mais j’ai vraiment besoin de me laver…

Je commence alors à baisser la tête, j’ai le sentiment de l’embêter avec mon problème, et qu’elle m’abandonne …
Maman : est ce que tu veux venir avec moi ? Je ne vais pas te laisser comme ça, et je pense que ça te fera aussi du bien de prendre un bon bain.

Dans ma tête tout se bouscule, mon sentiment d’abondons disparaît et laisse place à un plaisir, peut être une forme d’excitation, car l’autre soir je voulais en voir plus d’elle, et à ce moment, dans ma poitrine mon cœur tape fort…

Maman : je sais que ça fait très longtemps que tu n’as plus pris de bain avec ta maman, mais ça me ferait plaisir, et je ne veux pas te laisser seule là maintenant, est ce que tu veux venir avec moi ?

Sans donner de réponse audible, je hoche simplement la tête pour lui dire oui. Ma mère m’entraine alors avec elle en m’attrapant toujours la main jusqu’à la salle de bain. Elle fait couler l’eau pour remplir la baignoire, et commence à se dévêtir devant moi. Dans ma tête les scènes se mélange, tout en redécouvrant le corps de ma mère, je la revois se faire plaisir sur le canapé. Elle est belle, je découvre sa poitrine toujours ferme, et je suis surprise de voir son intimité avec peu de poils.

Elle s’installe dans l’eau et me regarde tout en m’attendant, j’ai sans doute l’air d’avoir honte, oui en effet mais je suis aussi et surtout toute excitée, je partage pour la première fois un moment intime avec une personne. C’est ma mère mais pour moi, ce moment là reste gravé comme le jour où je me suis mise nue devant quelqu’un.

Me voila entièrement nue devant elle, je cache encore mes seins et mon pubis par reflexe je pense, mais je suis au fond de moi, heureuse et fière de moi d’avoir été jusque là. Je me dirige vers la baignoire et rentre progressivement dans l’eau, heureusement que nous sommes assez petite toutes les deux car il n’y à pas vraiment beaucoup de place. Ma mère me sourit, et commence doucement à se nettoyer, je commence à faire de même et ma mère me demande alors ce que je voulais lui dire tout à l’heure.

A ce moment là, je me sens bizarre, je cherche à savoir pourquoi, qu’elle est cette sensation nouvelle pour moi et je comprends peu à peu. Je suis dans un endroit isolé, entièrement nue face à ma mère avec qui j’ai eu le plus de facilité à parler jusque là. Je n’ai nulle part où aller, et être nue c’est comme n’avoir aucunes défenses, je suis là face à ma mère et sa question. Je prends une profonde inspiration …

Moi : l’autre soir pendant le week-end, je t’ai vue te faire plaisir devant la télé…

Maman me regarde avec de grands yeux pleins de questions, il se passe un moment de silence avant qu’elle ne réponde.

Maman : ….Ah… je suis désolée chérie, c’est pour ça que tu ne me parlais plus, je t’ai choquée ?
Moi : en fait, j’ai été surprise de te voir, mais … j’ai surtout eu honte…
Maman : je suis désolée de t’avoir perturbée, mais il ne faut pas avoir honte de moi, je suis ta mère et la masturbation est quelque chose de naturel, même pour moi tu sais…
Moi : je n’ai pas eu honte de toi, mais plutôt de moi…
Maman : pourquoi ma chérie ? C’est ma faute, je n’aurais pas dû faire ça dans le salon mais plutôt dans ma chambre
Moi : en fait j’ai honte, car j’aurais dû te laisser tranquille, mais je suis resté là à te regarder
Maman : d’accord… je vois… et tu es restée pendant combien de temps ?
Moi : je ne sais plus exactement
Maman : et c’est ça qui te fait honte ?
Moi : non ce qui me fait honte… c’est que… j’ai aimé te regarder … et ça m’a excité…
Maman : d’accord je comprends mieux… ma chérie, je pense que tu ne dois pas avoir honte pour ça
Moi : ah bon tu le penses vraiment ?
Maman : oui, c’est une réaction normale, quand tu regardais des films, ce qui t’excitée le plus c’est le fait de voir l’acte intime, quel qui soit.
Moi : d’accord, mais suite à ça….je suis allée dans ma chambre pour me masturber… en pensant à toi
Maman : ….ma chérie… tu étais excitée, dans ces moments là parfois il est très difficile de se contrôler et bien souvent on se laisse aller à la première pensée qui nous vient. Et le fait de m’avoir vue juste avant…. Je ne t’en veux pas tu sais, tu as le droit de te faire plaisir, que ce soit en pensant à un garçon ou une fille, c’est ton plaisir qui compte avant tout, et jamais je ne te jugerais pour ça.
Moi : merci maman…

Cette discussion mère fille, me fit le plus grand bien, et tout le poids que j’avais accumulé durant cette semaine a soudainement disparu. Je retrouvais le sourire et ma mère aussi, nous avons continués de parler en étant plus à l’aise sur d’autres sujets et avons beaucoup ri. Doucement, le calme est revenue dans la salle de bain, ma mère me regarde et me pose alors cette question :

Maman : tout à l’heure en me déshabillant, tu me regardais à la fois attentive et ailleurs en même temps, tu peux me dire pourquoi ?
Moi : euh … en fait …. J’étais en admiration devant toi, et je repensais au moment où je t’avais surprise sur le canapé, je voulais en voir plus ce soir là. Et maintenant que tu es nue devant moi je te trouve très belle
Maman : Merci ma chérie

L’eau commence à devenir froide et ma mère décide de sortir de l’eau. Je suivis le pas, et cette fois ci je ne cachais plus du tout mon corps face à ma mère.

Maman : ma petite fille à bien grandie, tu es très belle, n’en doute jamais
Moi : merci maman (toute fière de ses paroles)
Maman : je voudrais te poser une dernière question, qu’est ce qui c’est passé pour que tu réussisses à me parler de tout ça ? Alors que jusque là tu as toujours évité les sujets intimes
Moi : je ne sais pas, le fait d’être nue et ici, je me suis retrouvée sans défenses, mais à la fois en totale confiance, et j’ai pu me livrer tout simplement
Maman : je comprends….si tu veux alors … si tu as besoin un jour d’en parler à nouveau, nous pourrons recommencer, et j’ai beaucoup aimé ce moment entres nous (me dit elle en me faisant un clin d’œil)
Moi : merci maman, moi aussi j’ai beaucoup aimé

Elle m’enveloppe alors dans une grande serviette pour me sécher tout en me faisant le plus gros des câlins, nous venions de créer là un moment de complicité mère fille, qui à partir de ce jour, va énormément m’aider à devenir celle que je suis aujourd’hui…
chapitre 7 image
Le soir dans mon lit, je repense à notre soirée, nos échanges, je suis entièrement rassurée. Je me dis que j’ai beaucoup de chance d’avoir une mère comme la mienne, douce, patiente et attentive. Elle est pour moi un model de femme à qui je voudrais ressembler, car elle sait être forte dans toutes situations, elle trouve toujours une façon d’arranger les choses, de résoudre un problème, telle que je la vois, c’est mon héroïne. Doucement je ferme les yeux et trouve un sommeil paisible que je n’ai pas eu depuis toute la semaine.

Le week-end se passe à merveille, grasse matinée pour moi, l’après-midi pâtisseries maison entre mère et fille, et le soir un bon film. La semaine se passe normalement, je fais de plus en plus de progrès pour parler en classe, et avec mes amis je commence à devenir une pipelette. Avec Kévin les sujets tournent autour des jeux vidéo, des Bandes dessinées et films, avec Estelle, c’est plutôt les acteurs qu’elle retient dans les films.

Vendredi soir, je suis dans ma chambre, j’écoute de la musique en feuilletant un magazine allongée dans mon lit. Ma mère revient de sa séance zumba et vient toquer à ma porte entre ouverte. Je la vois toute vive et heureuse, cette danse lui fait vraiment du bien apparemment, je me dis que je devrais au moins essayer un jour pour voir.

Maman : coucou ma puce, tu as passé une bonne journée ?
Moi : coucou maman, oui, une journée normale je dirais et toi ?
Maman : une bonne journée oui, et une bonne séance de zumba… fiou.. je vais me prendre un bon bain pour me décontracter, est ce que tu voudrais venir avec moi ?

A croire que je n’attendais que ça, puisque je ne me fais pas attendre pour me lever de mon lit et me diriger vers la porte, sourire aux lèvres. Ma mère est contente elle aussi, elle aime me voir comme ça, elle passe dans sa chambre vite fait pour poser ses affaires, pendant ce temps je commence à faire couler l’eau et me dévêtir.

Elle entre, je suis déjà nue devant le grand miroir à gauche, elle me regarde au travers mon reflet et me dit que je suis belle, tout comme elle à son âge. En me retournant pour aller vers la baignoire, je lui fais un bisou tout en lui disant qu’elle est toujours très belle.

Elle se déshabille aussi, et c’est toujours un plaisir pour moi de la regarder faire. Installées dans l’eau, nous commençons à parler de la journée, et au bout de 3 à 4 minutes ma mère me demande si je veux lui parler de sujets plus intimes …

Moi : hummm… je crois que je me questionne beaucoup sur toi en ce moment
Maman : ah bon ?...(tout en rigolant) et quelles questions peut il y avoir dans ta petite tête ?
Moi : eh bien… tu es très belle, gentille, et tout… et je me demande pourquoi tu n’as pas eu quelqu’un d’autre ?
Maman : ahaha … merci… eh bien en fait je crois que je n’ai pas eu le temps, ou alors c’est ce que je veux me faire croire, parce que je ne suis pas prête ou alors je ne veux pas. Je ne sais pas moi-même ahaha

La voir rire comme ça c’est magique, depuis petite, surtout après le départ de mon père, je ne l’ai plus vu rigoler ainsi.

Moi : ahaha ok mais tu n’es pas prête ou tu ne veux pas à cause de moi ?
Maman : hummm non, il ne faut pas que tu penses ça, il est parfois difficile de vouloir se remettre avec quelqu’un d’autre après une rupture tu sais
Moi : mais ça ne te manque pas un homme ? Je veux dire … de manière sexuelle
Maman : ahahaha… hummm je te dirais que oui, d’un côté ça me manque, mais comme tu as pu le voir l’autre soir, je sais y faire sans hihi (en me faisant un clin d’œil)
Moi : d’accord, oui je vois très bien

Nous rions à cet instant, j’aime comment elle me parle, elle m’a l’air libre, elle rigole sur ce sujet et je me dis que je devrais moi aussi me libérer un peu plus…

Moi : maman je peux te demander une chose ?
Maman : oui ma puce, vas y, tu sais on va faire de cette baignoire notre endroit à nous, tu pourras me parler de tout ici
Moi : c’est compris ……… est ce que tu te masturbes souvent ? Comme tu m’as dis, que pour toi c’était normal…
Maman : hummm ça dépend je dirais du moment, de mes envies… je dirais en moyenne 1 fois voir 2 fois dans la semaine.
Moi : ah ok, moi je le fais pratiquement tous les jours
Maman : mais ma fille c’est normal, à ton âge, moi aussi je le faisais beaucoup tu sais. Ecoute ton corps, tes envies, fais toi plaisir, c’est très bien de se faire plaisir…

Je me sentais bien en entendant ses mots, ma mère sait comment me parler, comment m’encourager quand il le faut, je baisse la tête tout en souriant, et me perds dans mes pensées un instant…
 
Maman : tu me regardes et tu me trouves très belle alors ? Dis m’en plus, j’aime ça (elle me sourit en me fixant dans les yeux attendant que je lui réponde)
Moi : oui tu es très belle, j’aimerais beaucoup te ressembler quand j’aurais ton âge, tes seins sont plus gros que les miens et très beaux, et je suis surprise …. Tu te rases ?

Ma mère me regardes fixement, elle rougit un peu et elle rit un instant avant de me répondre..

Maman : tu me regardes bien en effet … je suis flattée, merci. Oui je me rase un peu, en fait, je me rase juste sur les côtés et pour ce qui est des poils restants, je les taille
Moi : d’accord, oui je te regarde désolée
Maman : tu ne fais rien de mal ma chérie, les yeux c’est fait pour ça ahaha je suis très flattée merci. Tu veux bien faire une chose pour moi ?
Moi : oui laquelle ?
Maman : tu veux bien te lever pour que je te regarde à mon tour ?

Je suis à ce moment là très surprise par sa demande, je deviens rouge je pense, mais un sentiment de chaleur également dans mon ventre. Doucement je place mes mains sur le rebord de la baignoire et me lève pour faire face à ma mère, mes mains à cet instant viennent un peu contre mon corps pour me cacher, mais ce qu’elle veut c’est me voir, alors, timidement je viens placer mes bras dans mon dos pour m’exposer entièrement.

Maman : en effet, je ne t’avais pas si bien détaillée la dernière fois, tu es très belle chérie. Merci de t’être montrée à moi, tu prends énormément confiance en toi, continue ainsi

Je suis heureuse qu’elle me trouve belle, je me sens aussi heureuse qu’elle m’ait regardé en détail comme elle l’a fait, en effet je prends confiance en moi et j’aime ça…

Tout en me remettant dans l’eau ma mère se rapproche, pose ses mains chaque côté de mon visage et dépose un baisé sur mon front, et vient me caresser le bout du nez avec le sien. Je m’installe en arrière toute souriante, ma mère a ses mains posés alors sur mes genoux hors de l’eau et me dis …

Maman : pour ce qui est du rasage ma chérie, si tu veux, tu peux prendre un rasoir dans la petite commode
Moi : pour mes jambes je n’ai pas vraiment besoin pour le moment, car j’ai très peu de poils là, donc je m’épile.
Maman : je voulais dire pour ton intimité (en me faisant un clin d’œil)
Moi : tu trouves qu’avec mes poils ce n’est pas très beau ? J’avoue que je n’aime pas trop aussi, mais j’ai peur de me couper, de mal faire
Maman : d’accord je vois, tu n’as pas à avoir peur tu sais, il faut y aller doucement…. Je pourrais te montrer comment faire si tu veux
Moi : oui je veux bien s’il te plaît …

Ma mère me sourit tendrement et en se levant dépose un bisou sur ma joue. Elle me demande de sortir de l’eau et de me placer en haut de la baignoire sur le rebord contre le mur. Elle cherche dans la petite commode et revient avec 2 rasoirs dont 1 qu’elle me tend. Elle s’installe elle aussi sur le côté de la baignoire et me fait face. Elle dépose dans ma main un peu de mousse et me dis de bien la regarder et faire comme elle.

Pour tout vous dire, je la regarde attentivement, je suis légèrement troublée, ma mère est là face à moi, nue à étaler sa mousse sur son intimité tout en ayant une jambe dans l’eau et l’autre en dehors. Et de mon côté je fais comme elle, je suis exposée, je passe la mousse sur mon sexe qui je sens commence à être excité, et je suis là une jambe relevé face à elle.

Elle me parle, je suis à la lettre ce qu’elle me dit mais ses paroles semble loin derrière. Je vois son regard sur mon sexe pour surveiller que je fasse les bons gestes, et elle commence doucement à passer le rasoir sur les côtés. Je fais de même, mon sexe me lance, mon petit bouton réclame de l’attention, mais je suis chacun des gestes de ma mère, elle me parle toujours, me dit que je me débrouille très bien.

Je peine à tenir en place, je gigote sans arrêts tellement j’ai envie de me caresser à cet instant, je regarde toujours ma mère et je détails parfaitement son sexe, pour la première fois je la vois ses jambes ouvertes face à moi, elle me donne ce spectacle, et je ne veux manquer aucunes secondes.

J’aperçois ses lèvres entres ses poils, d’une couleur rose, je ne perçois pas encore tout à fait l’entrée de son vagin mais la scène est divine. Elle pose son rasoir sur le côté, c’est déjà la fin ? Non, j’en veux encore, je veux en voir plus.

Elle prend dans sa main gauche la pomme de la douche, l’eau coule et devant moi elle lave son entre jambe en faisant de la main droite de petit cercle sur son sexe. Je la vois passer ses doigts, et ses lèvres suivent parfaitement la danse, la scène semble au ralenti, je suis dans un autre monde, je sens mon excitation monter, mon plaisir s’intensifie … mais comment ?

Je n’avais pas remarqué mais machinalement ma main droite me masturbait doucement en voulant imiter ma mère qui, elle, se rince l’entre jambe. Elle finit par me passer la pomme de douche pour que je fasse de même, et lorsque mon petit bouton se mit en contact avec l’eau, j’eu un léger sursaut et laissa paraître un petit gémissement. Dans ma tête tout est allé si vite d’un coup, je repris un peu mes esprits et en relevant les yeux, ma mère elle, regardait tendrement ma main entre mes jambes.

Elle releva les yeux et nos regards croisés, elle se leva…

Maman : c’est bien ma puce, tu vois ce n’était rien, tu le fais très bien…

Tout en me disant cela, elle se lève, elle semble perdue, cherche sa serviette, la trouve et me tend la mienne par la même occasion. Je suis toute troublée, je saisi ma serviette, elle se retourne vers moi, me regarde dans les yeux et… sans aucunes raisons, nous nous mettons à rire, puis un souffle de soulagement pour elle. Sa main me caresse la joue…

Maman : tu grandis vite ma fille…
Moi : merci maman, de m’avoir appris, tu es la meilleure …

Tout en disant cela je viens me placer contre elle, je savoure cet instant, le temps semble ralentir pour nous

Maman : je vais aller dans ma chambre pour m’habiller…
Moi : oui … moi aussi

Je la vois partir de son côté dans le couloir et moi en direction de ma chambre, une fois la porte fermée, je tombe la serviette, je n’ai pas le temps de rejoindre mon lit que ma main se dirige vers mon sexe, je suis trempée, excitée, je me cale contre la porte et me laisse tomber doucement vers le sol tout en me caressant, je n’en peux plus, je repense à nouveau à tout, à tout ce que j’ai pu voir. Sa main, son sexe, ses lèvres et ses yeux fixés sur mon intimité en feu. Il ne m’en faut pas plus de deux minutes pour que je jouisse pleinement…

Je suis nue, assise contre ma porte, je reprends mes esprits et je me dis qu’il faut que je me lève, elle doit m’attendre pour passer à table, ou mettre la table ou… je suis un peu perdue dans mes gestes et mes pensées, je trouve mon pyjama, et le met en grande vitesse. Je sors de ma chambre arrange mes cheveux et là j’entends un cri sourd, et la porte de la chambre claquer….. J’écoute un instant mais rien…

Moi : maman ?!

Elle ouvre la porte de sa chambre précipitamment et elle est toujours entourée de sa serviette…

Maman : oui ma chérie ?
Moi : tu n’es pas encore habillée ?
Maman : Non euh … je ne retrouve pas mon pyjama…. Je vais en prendre un autre et j’arrive… commence à mettre la table ma puce, j’arrive

Elle referme sa porte, et je me dirige vers la cuisine un petit sourire aux lèvres, je me sens très bien et je pense que ma mère aussi. Le fait de partager ce bain, nous partageons bien plus, j’arrive à me libérer, à pendre confiance en moi, on apprend à mieux se connaître, à créer un lien encore plus fort, et ce lien se renforcera d’avantage au fil du temps…
chapitre 8 image
Dans la cuisine je suis là à dresser la table en attendant que ma mère me rejoigne, j’ai le sourire aux lèvres en imaginant ce qu’elle a bien pu faire dans sa chambre. Et je me réjouis de penser que je suis surement la source de son plaisir. Ma mère apparaît souriante et un peu gêné, mais on ne fait aucune allusion, ni pendant le repas, car ce moment  n’appartient qu’à nous.

Pour nous changer un peu les idées ma mère me parle de Noël qui arrive, et d’un appel qu’elle a reçu de ma grand-mère. Cela fait des années que je n’ai pas revu ma famille, du à ma timidité maladive. En fait pour tout vous dire, je m’étais tellement renfermée que je ne voulais plus sortir pour quoique ce soit, le seul moment où je mets les pieds en dehors de cet appartement, c’est pour me rendre à l’école, et j’en prends conscience maintenant.

Ma mère est toujours en contact avec sa famille, et leur a partagé le fait que je faisais de gros efforts pour communiquer, et que j’avais beaucoup changé depuis, et j’ai toujours eu leur soutien moral. La famille se réunissant comme chaque année pour fêter Noël chez mes grands parents, ma mère me demande si je voudrais qu’on y aille.

Si je ne me sens pas prête encore, nous pouvons rester toutes les deux cette année ici, et voir pour l’an prochain. La décision m’appartient donc, je réfléchie, et toutes ces années ma mère a toujours fait les choses en fonction de moi, de mes peurs, de mon blocage, mais je voudrais aussi que l’on fasse les choses à sa manière. Je me trouve limite égoïste…

Pour moi, beaucoup de choses ont changés depuis quelques temps. J’aime la personne que je deviens et je me dis que le meilleur moyen d’arriver à plus, et de faire toujours plus. Le fait aussi de revoir toute ma famille pour Noël, ce serait passer un coup de balai sur toutes ces années où je me suis mise à part du monde, et enfin m’en sortir, ne plus penser à mon blocage.

Alors avec un grand sourire, je dis oui à ma mère, et que c’est une très bonne idée, que j’aimerais beaucoup les revoir. Je vais peut être rencontré des difficultés, qui sait ? Mais je ne veux plus faire machine arrière. Ma mère appellera donc ma grand-mère pour leur annoncer que nous serons parmi eux pour cette fête. Dans mon lit ce soir là, je me projette, je suis toute excitée à l’idée de revoir toute ma famille, mais j’ai tout de même mes doutes, mes peurs qui restent toujours en moi.

Nous sommes à mi Novembre, les jours passent et ma mère, pour me mettre à jour, me raconte un peu chaque soir les nouvelles qu’elle a pu avoir sur ma famille. Ma mère a un frère ainé de 5 ans, marié, et deux enfants. Un frère cadet de 1 ans, veuf et un enfant, ainsi qu’une petite sœur, avec qui elle à douze ans de différence. Quand on apprend ça, on est toujours un peu étonné, et pour le coup quand j’étais plus jeune, je la prenais souvent pour une cousine comme nous n’avions pas beaucoup d’écart au niveau de l’âge. Mais je vous les présenterais mieux, quand je serais présente pour le jour J.

Les jours passent, vendredi arrive, je me sens déjà toute émoustillée en pensant à ce qui pourrait se passer ce soir en prenant mon bain avec ma mère. Je l’entends rentrer dans l’appartement, elle passe comme d’habitude à ma chambre pour me dire qu’elle est là, me demande si tout va bien et après lui avoir dis bonsoir, elle me dit simplement qu’elle va prendre son bain, mais sans me demander si je veux la rejoindre ou pas.

Bizarre, peut être a-t-elle passé une mauvaise journée ? Ou peut être qu’elle veut être tranquille ? Je me pose la question, elle dans son bain, la porte fermée, je suis curieuse mais je respecte son moment, son espace. Au repas tout est normal, nous parlons comme d’habitude de beaucoup de choses, et notamment de ma grand-mère qu’elle a eu, pour les prévenir de notre arrivée. Elle semblait très joyeuse au téléphone à l’idée de nous avoir avec eux pour fêter ce jour. Elles doivent encore se rappeler dans les jours qui suivent pour d’autres détails.

Le week-end, elle me propose de venir avec elle pour l’aider à choisir les cadeaux, je lui demande s’il y aura du monde, ce à quoi elle me répond oui surtout en cette période où tout le monde cherche des cadeaux et à préparer Noël. Je ne vous cache pas qu’au fond de moi j’ai peur, rien qu’à l’idée de voir du monde, je suis à la limite d’un blocage. D’habitude je lui aurais simplement dis non, mais là je lui en parle, je lui fais part de mes peurs, et elle me rassure aussitôt qu’elle ne me lâchera pas et qu’elle serait heureuse que je l’accompagne pour une fois. Alors oui, pour elle, pour son bonheur, je veux faire des efforts, et me voilà tout sourire en route pour cette journée.

Le bilan, ….. L’horreur….

Inutile de vous passer les détails, mais pour vous donner une idée, j’étais sans cesse coller à ma mère, fuyant le regard des gens. Nous avons tout de même trouvé tout ce qui nous fallait, mais pour elle aussi je pense que la journée a été dure. Devoir gérer une ado peureuse, agissant comme une enfant constamment dans les jupes de sa mère, je trouve qu’elle a fait preuve d’un grand calme pour ne pas m’abandonner dans la première boutique. Entres nous, je pense que c’est ce que j’aurais fais si j’étais ma mère …

Le soir au calme dans notre petit appartement, je lui présente mes excuses pour cette journée et mon attitude. Ma mère me dit tout sourire que je n’avais pas à m’excuser et qu’elle a passé une bonne journée, car même si je n’étais pas du tout à l’aise, j’étais avec elle pour la première fois. Je suis alors contente au fond de moi, les paroles de ma mère m’encourage à avancer, à changer car malgré ma peur, j’ai fait un effort, j’ai fais un pas en dehors de ma zone de confort.

La semaine se passe normalement, nous sommes vendredi et encore une fois, ma mère rentre, me salut, mais ne m’invite pas à la rejoindre dans la salle de bain. Est-ce que j’ai fais quelque chose de mal ? Je ne pense pas, sinon elle me l’aurait dis, ou alors elle aurait été distante avec moi. Mais elle est toujours souriante avec moi, alors je me dis que tout va bien.

Le week-end passe, lundi soir un appel de ma grand-mère, surement pour nous donner les autres détails. J’entends ma mère parler dans le salon, pendant que je suis occupée à faire mes devoirs dans ma chambre. A l’heure du repas, bilan de l’appel entre mamie et maman, en temps normal la famille se réunit seulement pour la fête de Noël, ils y passent quelques jours et repartent ensuite pour le nouvel an chacun de leurs côtés, entres amis ou autres.

Mais cette fois ci, et parce que je serais présente, ma grand-mère voulait s’organiser avec tout le monde pour pouvoir fêter Noël et le nouvel an ensemble, en famille. De notre côté on ne fait jamais le nouvel an avec des amis, bien sûr à cause de moi, donc le faire avec ma famille, me permettrait de renouer les liens, et de mieux en profiter. J’espère en tout cas ne pas trop faire ma timide et décevoir tout le monde. Ma mère va donc s’organiser pour avoir ses jours de congés et profiter de tous comme il se doit.

Après le repas dans mon lit, écoutant de la musique, je suis heureuse. A l’approche des fêtes et à l’idée de revoir tout le monde, ma mère est rayonnante, et ça me fait plaisir de la voir ainsi. Je m’endors doucement, le sourire aux lèvres et la tête légère… je me réveille dans la nuit, mon réveil affiche minuit et mon corps réclame de l’eau, dans le couloir sombre je m’avance, il y a une lumière dans le salon mais ce n’est pas celle de la télé. L’ordinateur est t-il resté allumé ?

Peu à peu j’entends du bruit, mon esprit commence à comprendre et mon cœur se met à cogner fort. Doucement je m’approche du salon et regarde de façon discrète au coin du mur vers l’ordinateur situé à ma droite. Ma mère est là devant l’écran, et, comme je l’ai imaginé, elle se donne du plaisir devant une vidéo. Je ne vois pas ce qui se passe à l’écran, mais je vois parfaitement ce qui se passe du côté de ma mère. Elle ne m’entend pas puisqu’elle a le casque audio sur ses oreilles, peut être ne voulant pas que j’entende le son depuis ma chambre. Elle ne me voit pas non plus, si je reste exactement là où je suis.

Elle est légèrement de profil, mais j’ai une vue parfaite d’où je suis, elle est là, assise confortablement dans la chaise de bureau, toujours vêtu de son haut noir, mais il est remonté et laisse apparaître sa poitrine, son bas de pyjama est également toujours sur elle, mais elle la légèrement descendu juste en dessous de ses fesses. La scène est tout simplement magnifique, elle a les jambes relevées et posés sur le bureau, le fait que le pyjama soit positionné juste en bas de ses fesses, je vois son intimité à peine éclairé par la luminosité de l’écran. Je vois également le bout de ses doits faire de petit cercle sur son clitoris, je suis en train de rêver ? Non je ne crois pas

Doucement je glisse ma main dans mon pyjama et je commence aussi à me caresser, j’imite ses mouvements, je vais au même rythme qu’elle. Je me cache par moment en fermant les yeux pour savourer mon plaisir, mais je reviens très vite au coin du mur pour la regarder à nouveau. Elle est belle dans son plaisir, et cette fois ci je ne vais pas me sentir honteuse de me caresser en la regardant. Non je suis toute mouillée et je compte bien me faire plaisir jusqu’au bout.

A un moment j’ai une envie folle, et comme ma conseillé ma mère, j’écoute mon corps et mon désir. Je me recule un peu pour ne pas être vue, je retire mon T-shirt, ainsi que mon bas de jogging et ma culotte pour me retrouver complètement nue. Je glisse de nouveau vers le coin pour voir ma mère et reprendre mes caresses, mon plaisir monte très vite et je jouis déjà à peine ayant commencé. Le fait de la regarder peut être, je respire un moment, mon bouton est sensible, mais la voir ainsi se faire plaisir je reprends assez vite ma masturbation.

Elle se caresse toujours, et par moment elle introduit deux doigts dans son sexe, avec lesquels elle fait des vas et viens, parfois lent, mais parfois très rapide aussi. Elle aime aussi quand elle les retire, les porter à sa bouche pour les lécher et les sucer. Je ne connais pas cette pratique, mais peu importe, pour le moment ma main s’occupe très bien de mon clitoris en feu, je sens que je vais jouir à nouveau et me voila encore prise de spasmes.

Que c’est bon de jouir ainsi, mes jambes ne tiennent pas très bien, je manque de m’effondrer tellement je n’ai plus le contrôle. Je respire, et je reviens à la charge de mon bouton gonflé et très sensible, elle gémit tout doucement et moi de mon côté je me caresse au son de son plaisir. Bientôt je la vois ouvrir la bouche, elle ne gémit plus et sa main accélère ces mouvements sur son clitoris, de l’autre main elle saisi son sein gauche, limite elle le maltraite, et là sous mes yeux, ma mère se cambre en arrière, et je la vois jouir magnifiquement en ne laissant paraître qu’un léger gémissement. Son souffle est court, saccadé…

Je la regarde et ne bouge plus aussi de mon côté, ma main immobile entre mes jambes. Ma mère relève la tête, saisi la souris et éteins l’ordinateur. J’ai à peine le temps de comprendre, je fais machine arrière, j’oublie mes vêtements au sol, que je reviens chercher en manquant presque de trébucher. J’essaie de faire le moindre bruit possible, car elle n’a plus le casque sur les oreilles et risque de m’entendre. J’entre dans ma chambre, je laisse à peine entre ouvert ma porte de peur que son claquement me dénonce, et je saute dans mon lit toujours nue en saisissant ma couverture et me couvrir toute entière.

J’entends des pas léger, la lumière du couloir qui s’allume, j’ai tourné le dos à ma porte, mais mes yeux eux sont toujours ouverts. Là j’entends ma porte s’ouvrir légèrement et la lumière qui s’introduit un peu plus. J’entends le souffle de ma mère, mon cœur bat fort et mes yeux sont fermés, elle fait un pas en arrière et je sens la porte se refermer derrière elle.
Ouf, j’ai bien crus qu’elle viendrait me voir dans mon lit, j’espère vraiment qu’elle ne se doute de rien, car je ne voudrais pas lui cacher des choses. La revoir secrètement m’a terriblement excitée et fait plaisir, mais si elle vient à me poser la question, alors j’aimerais ne pas lui mentir, ne pas gâcher la confiance qu’elle a en moi…

La tension retombe et la fatigue me gagne assez vite, surtout après m’être masturbé plusieurs fois. Je m’enfonce doucement dans un sommeil profond…
chapitre 9 image
Mardi matin mon réveil sonne, je suis fatiguée, je voudrais dormir encore. J’aime vraiment trop mon lit pour devoir le laisser, mais il faut se lever, je n’ai pas le choix. Je peine vraiment à ouvrir les yeux, j’émerge peu à peu, et … je suis nue…

Dans ma tête tout me revient, woao ….c’était comme un rêve, mais un rêve bien réel. Je m’habille en vitesse en récupérant mes vêtements un peu partout dans ma chambre. Dans la cuisine je retrouve ma mère assise dans avec sa tasse à la main.

Je lui dépose mon bisou du matin sur sa joue, et me prépare mon chocolat au lait. Nous prenons toujours le petit déjeuner ensemble la semaine, mais aucune de nous ne parles. C’est bien le seul moment de la journée où on peut être ensemble et avoir besoin de calme, car oui, je me suis aperçue que je ne suis pas du genre à parler dès le matin au réveil, et elle non plus d’ailleurs.

En cours tout se passe bien, le soir en rentrant je retrouve ma mère pour parler de notre journée et d’autres sujets peu intéressant. Le reste de la semaine se déroule de la même manière et enfin arrive vendredi soir….
Aaaah que c’est bon de rentrer, et de se dire que je vais enfin pouvoir profiter de mon lit le week-end, pour une bonne grasse mat. Je suis comme d’habitude dans ma chambre, écoutant ma musique, et ma mère toque à la porte pour me saluer…

Maman : Coucou ma chérie, je suis rentrée, tu as passé une bonne journée ?
Moi : oui super, enfin le week-end, je n’en pouvais plus (en prenant une voix grave d’ado ennuyé)
Maman : oui, c’est vrai que je n’attendais que ça aussi. Je vais poser mes affaires, tu veux prendre un bain avec moi ?

Je suis surprise, il s’est passé deux vendredi ou elle ne m’a pas proposé de la rejoindre. Surprise mais j’accepte avec joie. Elle passe par sa chambre pour poser ses affaires, pendant que je fais couler le bain. Très vite nous voilà toutes les deux nues et installées dans une eau bien chaude. On se lave en douceur tout en parlant un peu, je prends la bouteille de shampoing et ma mère me propose de me le faire. En prime elle me propose un massage capillaire doux et plein d’amour.

J’aime beaucoup sa proposition alors je change de place dans la baignoire, et me place de dos à elle, entre ses jambes. Elle dépose du shampoing sur mes cheveux et commence un massage tout en douceur. Je savoure le moment, ma mère sait comment s’occuper de moi…

Maman : ça te fait plaisir ?
Moi : hummm oui ça fait vraiment du bien merci
Maman : tu as de beaux cheveux ma puce, tout comme moi d’ailleurs ahaha

C’est qu’elle se lance des fleurs ma maman ! Je rigole, c’est très bien qu’elle le fasse puisque c’est vrai. Je lui dis d’ailleurs de ne pas en abusé, ou sinon ses chevilles gonfleront. Ce à quoi nous rions en cœur…

Maman : ahaha ….alala…. dis moi ma puce, j’aimerais savoir une chose…
Moi : oui dis moi
Maman : est ce que tu t’es levé dans la nuit de lundi à mardi ?
Moi : euh je ne sais plus… pourquoi ?
Maman : humm pour savoir, car en allant me coucher, j’ai retrouvé dans le couloir une de tes petites culottes par terre. Et j’ai remarqué que ta porte était entre ouverte, alors je l’ai ouverte mais tu semblais dormir.

Tout ce que je pouvais dire à ce moment là c’était « euuuuuh » qui semblait interminable, en cherchant quoi répondre…

Maman : tu peux me le dire ma puce, vas y
Moi : d’accord …. Oui je me suis levé dans la nuit, et…. Je t’ai vu devant l’ordinateur
Maman : merci chérie
Moi : pourquoi tu me dis merci maman ?
Maman : parce que tu me dis la vérité, même si je t’ai un peu tiré les vers du nez (tout me pinçant le nez d’une main pleine de mousse)
Moi : aahhh maman !
Maman : ahahaha

Tout en rigolant elle saisi la pomme de douche pour me rincer les cheveux. Après ça je me suis retourné pour m’installer dans ma position initiale et faire face à ma mère…

Moi : maman, les autres fois où tu es rentrée, tu ne m’as pas proposé de te rejoindre, et maintenant si. Pourquoi ?
Maman : humm je savais que tu allais me poser cette question. En fait, la dernière fois que nous avons pris notre bain ensemble,… j’ai été troublé. Ça n’aurait pas du arriver, et j’ai compris le sentiment de honte que tu as vécu, lorsque tu m’as vu la première fois.
Moi : oui je comprends
Maman : et quand j’ai trouvé ta petite culotte toute mouillé dans le couloir l’autre soir, j’ai compris que toi, tu n’étais plus gêné de me voir. Vrai ou faux ?
Moi : c’est vrai oui… parce que… la dernière fois tu m’as dis que j’avais le droit de me faire plaisir, peu importe la personne à qui je pense…
Maman : d’accord … oui c’est vrai… j’ai dis ça. Mais on va se promettre une chose toutes les deux ce soir. Tu veux bien ?
Moi : oui laquelle ?
Maman : je pense que ça va arriver encore, de surprendre l’une ou l’autre se faire plaisir. Peu importe la manière, mais il faut se promettre de laisser l’autre dans son moment d’intimité et ne pas la déranger. Tu es d’accord ?
Moi : je ne dois pas te déranger ?, comme lundi soir par exemple où je t’ai laissé faire ?
Maman : oui tout à fait, c’est pour se respecter.
Moi : d’accord c’est promis
Ma mère se redresse alors pour venir déposer sur ma joue, un bisou appuyé. Puis recul pour se remettre à sa place.
Maman : et tu m’as regardé pendant combien de temps ? Je suis curieuse de le savoir (me dit-elle en me souriant)
Moi : je ne sais plus, en tout cas jusqu’à que tu finisses de jouir…
Maman : d’accord … et pourquoi ta culotte était par terre ?
Moi : en fait, j’ai eu envie de me mettre nue pour me faire plaisir, j’ai du l’oublier en partant comme une furie.
Maman : ahahah ma pauvre chérie, ce n’est plus la peine de te cacher maintenant si tu te fais plaisir, je le respecterais
Moi : je pensais que tu serais fâché ou autre de me voir là
Maman : non, si tu me respecte, et que tu me laisse finir de mon côté ça ira
Moi : ok (en rigolant doucement) par contre j’aimerais savoir une chose…
Maman : dis-moi chérie
Moi : pendant que tu te fais plaisir, parfois tu amène tes doigts à ta bouche pour les sucer
Maman : ah oui … en fait… comment t’expliquer ça sans te choquer …
Moi : on peut parler librement, vas y, et en même temps, j’apprends (lui faisant un clin d’œil)
Nous rigolons un instant, ce qui la détend pour me répondre…
Maman : et bien, j’aime avoir le goût de mon intimité dans la bouche, ça m’excite
Moi : ah dégueu…. (En faisant un air dégouté)

Nous rions en cœur, et ma mère tout en se levant pour sortir du bain me dit, qu’un jour peut être, je le ferais aussi, et ce jour là on en reparlera. Je sors à mon tour pour m’essuyer, ma mère me serre dans ses bras et nous regagnons nos chambres pour nous habiller. Ma complicité avec ma mère ne cesse de s’agrandir et de se renforcer, il faut dire aussi qu’elle est superbe. Je me dis que j’ai beaucoup de chance de l’avoir…

Les jours défilent et se ressemblent, nous n’avons pas repris de bain ensemble les vendredis suivants. Mais maintenant, je sais que ce moment doit se passer pour un échange vraiment intime avec elle.

Le samedi 22 décembre, nous prenons la route en direction de Blaye, où vivent mes grands parents. Après trois heures de route, nous voila arrivés à bon port. Je regarde la route, le paysage et tout me semble très différent que dans mes souvenirs. Mais ma mère, elle, me dit que ça n’a pas changé.

Nous arrivons sur la petite route qui mène à la maison, et dans la cours, il y à la voiture de mon oncle. Eux aussi viennent tout juste d’arriver, et sont en train de descendre leurs affaires. Ma mère est toute heureuse de les retrouver en s’empressent de les sérer très fort dans ses bras un par un, tandis que de mon côté c’est différent, j’ai l’impression d’être étrangère à tout ça, je m’avance donc d’un pas peu rassuré en ayant les bras croisés tout contre moi. Ma grand-mère vient me voir la première, elle m’accueille avec ses bras grands ouverts pour m’embrasser, tout en me disant à quel point j’ai pu grandir et que je suis devenue une belle jeune fille.

Tout doucement je viens saluer chaque membre de ma famille présent pour le moment. Il y a donc ma grand-mère Odette, qui m’accompagne tout en me tenant dans ses bras. Mon oncle Philippe l’aîné de ma mère, sa femme Sabine, ainsi que ma cousine Karine qui a 1 an de plus que moi, et mon cousin Jordan plus jeune de 2 ans. Ils ont bien grandis eux aussi, ma cousine est brune, les yeux noisettes, un poil plus grande que moi et pleine d’énergie à ce que je vois. Jordan lui, est blond et pratiquement à ma taille, alors qu’il est plus jeune, les yeux bleus et assez mince. Par contre il est plus calme que sa sœur et doux aussi je trouve.

Nous déchargeons nos affaires de la voiture et mamie me fait la visite guidé, puisqu’il y a eu pas mal de changements depuis. Ils ont rénovés la grande partie de la maison, elle compte quatre petites chambres au rez de chaussé, et celle de mes grands parents, plus grande, à l’étage. Ils ont également fait aménager des chambres et une salle de bain, dans ce qui était au départ l’atelier de papi. Ainsi les enfants d’un côté et les parents de l’autre.

Nous déposons nos valises dans la chambre située à côté des escaliers, je dormirais avec ma mère. Elle s’est arrangée avec mamie car ne sachant pas encore comment je me sens, elle préfère jouer la carte de la prudence. Mon oncle et ma tante prennent la chambre d’à côté. L’heure passe et la famille présente prennent un petit apéro tout en discutant, tandis que de mon côté, j’essai de me détacher de ma mère pour parler avec ma cousine. Doucement je commence à me détendre, à parler, à faire connaissance avec elle…

Une voiture arrive, celle de papi, il descend et vient nous embrasser un par un, et arriver à moi il me fait ce genre de bisou piquant avec sa barbe, c’est officiel je n’aime pas ça. Arrive ensuite ma tante Claire, celle qui à 12 ans de différence avec maman, elle ressemble tout juste à une ado avec son chewing-gum à la bouche en nous faisant la bise. Ma tante, elle, occupera la chambre en face de la notre et la dernière située au fond également, reviendra à mon oncle Vincent, qui arrivera demain avec son fils

Le reste de la soirée se passe à table, il y a du monde, je suis un peu timide mais je suis contente de voir cette ambiance joyeuse. Une fois le repas terminé nous allons tous nous couchés, la plupart fatigué après ces heures de route. Je suis dans le même lit que maman, ça me fait tout bizarre, mais dans cette chambre qui n’est pas la mienne, je me sens en toute sécurité.

Je m’endors doucement, en pensant à ce qui m’attend pendant ces vacances en famille…
chapitre 10 image
Dimanche matin, je me réveil doucement, le soleil est déjà bien levé et maman n’est plus dans le lit. Je frotte mes yeux et j’entends les autres parler, peut être dans le salon ou autres je ne sais pas. Je me lève et sort de la chambre en pyjama, pour voir un peu qui se trouve dans la maison, mais mon but premier est de rejoindre la salle de bain qui se trouve au fond du couloir.

Une fois que j’ai fait pipi, je me regarde dans le miroir et mes cheveux sont en pagaille. J’arrange ce que je peux, en retournant vers la chambre pour m’habiller. La porte s’ouvre et je vois ma mère entrer, et se diriger vers moi pour me faire un bisou.

Maman : ah tu es réveillé, bien dormie ma chérie ?
Moi : pas trop non le matelas est bizarre, ou alors c’est parce que ce n’est pas ma chambre
Maman : je pense que c’est plutôt ça oui… tu viens ta cousine est réveillée, elle aussi…

Il est 9h10 et les adultes sont encore à table sur la terrasse terminant de prendre le petit déjeuner, Karine vient de les rejoindre et je m’installe à ses côtés en préparant un bol de chocolat chaud.

Karine : coucou, bien dormi ?
Moi : non pas trop et toi ?
Karine : oui comme un bébé ahaha mais bon, je préfère tout de même ma chambre hein
Moi : moi aussi oui, … au fait… qu’est ce qu’il y a comme activité ici pour s’occuper ?
Karine : hummm traire les vaches, ramasser la bouse et nettoyer le parc à cochon…

A ce moment je la regarde d’un air totalement affaibli…

Karine : je rigole ahahah, … non sérieusement on peut aller se promener si tu veux pour voir un peu le coin. Mais ne t’inquiète pas je sais que tu as des petits soucis, je ne te lâcherais pas, si tu le veux bien sur…
Moi : …..euh ….ok

Des petits soucis…. Ma cousine me fait rire, si elle savait comment je peux me bloquer elle ne dirait pas ça, mais bon. Le petit déjeuner pris je vais dans la chambre prendre une veste et mes baskets que j’avais prévu au cas où.

Nous voilà toutes les deux sur la route en direction de……… de nulle part à vrai dire, je ne sais même vers où on se dirige, mais je me dis qu’elle doit le savoir elle. Nous marchons près de deux heures avant de revenir à la maison pour manger.

Elle a beaucoup parlé pendant notre promenade, mais rien de vraiment intéressant, mise à part le nom d’un garçon qu’elle a mentionné rapidement.

En rentrant les parents de Karine lui demandent d’aller réveiller Jordan, pour ma part je rejoins ma mère lui faisant un câlin en lui disant que je suis rentrée. Nous déjeunons en famille avant de rejoindre ma chambre pour me reposer un peu.

A mon réveil j’entends une voiture klaxonner, alors je me lève et vais dehors la tête un peu dans les nuages, voir ce qui se passe. Il s’agit de mon oncle Vincent qui arrive, et une tête brune à côté qui doit être celle de mon cousin Anthony. Tout le monde est là pour les accueillir et limite mon cher cousin me snobe…

Nous avons le même âge, il est plus vieux que moi d’un mois. Il est plus grand en taille, mince, les cheveux courts, et il semble me prendre un peu de haut. Maman me dit à voix basse de ne pas trop le déranger, il a perdu sa mère dans un accident de voiture il y a un an, et depuis il est un peu perturbé. Décidément lui et moi, on pourrait monter notre club de cas sociaux.

La soirée se passe, j’essaie de faire connaissance avec Jordan aussi qui me semble toujours aussi doux. Karine et lui s’entendent très bien, moi qui penser que les frères et sœurs étaient de vrais chat et chien étant ado, j’ai devant moi la preuve que non. Je regarde de temps en temps Anthony, il semble dans sa bulle, isolé, et complètement perdu. Difficile de se remettre de la mort d’un parent, surtout à cet âge là, mais peut être qu’il lui faut de l’aide, du réconfort.

Ce soir là dans le lit avec ma mère, on parle un peu d’Anthony, que lorsque je le regarde je me vois moi il y a quelque temps. Ma mère me dit que son père aussi est très affecté par la perte de sa femme, et pour le coup n’arrive pas à s’occuper de son fils comme il faut. Voilà pourquoi il semble aussi perdu, je tourne ça en boucle dans ma tête et le sommeil m’emportant, je me dis que je pourrais lui venir en aide à ma manière.

Le 24 décembre, toute la journée, la famille s’occupe de préparer le réveillon comme il se doit. Les adultes s’occupent de faire les courses, préparer le repas, tandis que notre tante Claire et nous, avons la tâche de décorer le mieux possible la grande terrasse. Le soir nous sommes tous réunis autour de cette table, les plats sont nombreux, je fais ma gourmande et mon ventre rempli, pourrait presque exploser. Mon oncle Philippe s’est improvisé artificier, pour nous offrir un spectacle tout en lumière.

A la distribution des cadeaux, on peut entendre des Oh…AH… Merci… De mon côté j’ai eu de beaux cadeaux, des bijoux, un parfum, des babioles et un téléphone, mon tout premier, mais mon plus beau cadeau, est de voir ma mère heureuse d’être à nouveau ici, de chanter, de rire, elle est magnifique.

Plus tard dans la nuit, tout le monde part se coucher, une fois changé je m’installe dans le lit avec ma mère, et dans notre chambre, seule une lampe de chevet nous éclaire pendant que nous parlons …

Moi : j’ai passé un très bon réveillon, et ce soir tout le monde était heureux.
Maman : Oui, et moi je suis très heureuse que tu ais dis oui pour venir (tout en me souriant)
Moi : tu es très belle, j’adore ton sourire
Maman : merci ma chérie, mais toi aussi tu es belle (en me chatouillant sous la couverture)
Moi : ahahaha arrête … et merci maman pour mon téléphone, il est très beau, tu as bien choisis
Maman : ce n’est pas moi mais le père noël qu’il faut remercier (imitant une voix grave)
Moi : Merci père noël (en me collant à elle, pour poser ma tête sur son épaule)

Ce moment là laisse place à un silence, dans lequel seul notre souffle ce fait entendre, elle dépose un baisé sur mon front, et un bruit vient perturber cette douceur. De nouveau le calme, je regarde ma mère me demandant ce que c’est, et ce bruit revient encore. Je comprends peu à peu que c’est un grincement et qu’il vient de …

Moi : c’est papi et mamie ? (toute étonné)
Maman : …………… ahaha je crois bien que oui
Moi : sérieux ? On les entend bien …
Maman : oui, leur chambre se trouve juste au dessus. Mais c’est la première fois que je les entends ahaha

Quelques secondes après c’est un gémissement que l’on peut entendre, mais il ne vient pas du tout de la chambre en haut. Ce gémissement qui se répète à nouveau vient de ma tante Sabine, dans la chambre voisine, et c’est avec de gros yeux que l’on se regarde, tout en essayant d’étouffer nos rires.

Ma mère toute gênée me dit d’essayer de ne pas faire attention et de dormir, tout en éteignant la lumière. J’essaie de faire ce que maman m’a dit, mais le bruit de grincement est toujours présent, ainsi que les gémissements de ma tante à travers le mur. J’essaie de rester sage mais je commence à être troublée, et mon bas ventre devient chaud, je le sens fourmiller et je commence vraiment à avoir chaud dans tout mon corps. La chambre n’est pas totalement sombre, les volets restés ouverts laissent entrer le clair de lune. Ma mère ne bouge pas, je me demande si elle arrive à vraiment s’endormir.

Lentement en essayant de me faire discrète je glisse ma main droite dans mon pyjama. Elle continue sa course en s’insinuant dans ma culotte toute trempée, et là, une décharge électrique me prend d’un coup. Hummm que c’est bon de se toucher, de faire glisser mes doigts sur mon bouton gonflé de désir. J’essaie de le faire doucement pour n’éveiller aucun soupçon chez ma mère, mais c’est difficile de se contrôler, j’aimerais tant pouvoir …

Maman : est ce que tu te touche ?

Je ne bouge plus, surprise d’entendre la voix de ma mère dans cette chambre obscure …..Et timidement je réponds

Moi : …. Oui
Maman : ne t’en fais pas, moi aussi ça me trouble
Moi : oui mais tu ne te touche pas toi, comment tu fais ?
Maman : Oh si ma chérie, je le fais aussi
Moi : je n’arrive pas à rester aussi discrète
Maman : alors fais le, car moi non plus je n’arrive pas à me retenir…. Huumm

Le gémissement de ma mère à mes côtés me trouble au plus haut point, et mes doigts reprennent leurs mouvements, mais cette fois à un rythme plus rapide. Dans la chambre d’à côté on entend maintenant les râles de mon oncle Philippe, ainsi que le lit bouger. Au dessus de nous, les grincements ont changés, au départ lent et maintenant plus prononcé.

Dans la pénombre, je perçois légèrement ma mère relever ses jambes, on ne parle plus, je la laisse se faire plaisir de son côté, tout comme moi du mien. Dans un sens nous respectons notre promesse de ne pas déranger l’autre dans son intimité. Je suis terriblement excitée, ma main droite est toujours aussi active, tandis que ma main gauche elle, caresse mon ventre, mes seins, mon cou. J’ouvre parfois les yeux à la recherche de ma mère dans cette obscurité, j’ai l’impression, que sa tête est tournée vers moi, est ce qu’elle cherche elle aussi à me voir ?

Dans la chambre d’à côté, on peut entendre ma tante dire ces mots « oh oui je la sens bien… »
Ces mots raisonnent dans ma tête, tandis que je sens à mes côtés ma mère qui se redresse. Elle semble se mettre à l’aise, je la devine assise dans le lit, le bras gauche tendu à l’arrière pour se maintenir, et j’entends le son rapide de ses doigts sur ses lèvres humide, tourner encore et encore. Puis un silence et le son de sa bouche savourant le goût de ses doigts.

A ses côtés je me caresse comme une folle, le souffle rapide, le cœur palpitant. Au dessus de nous des grincements de plus en plus rapide, jusqu’au coup final, signifiant le plaisir atteint pour mes grands parents, tandis que de l’autre côté du mur, mon oncle cogne toujours et va lui aussi de plus en plus vite. Mon plaisir monte, il atteint un sommet, c’est le point de non retour que je m’apprête à franchir, je n’en peux plus et c’est dans une série de spasmes incroyable que je jouis la bouche grande ouverte, mais me faisant violence pour ne pas crier de plaisir.

A mes côtés ma mère se relâche et tombe dans le lit, pratiquement au même moment où je reprends mes esprits, et c’est dans un long gémissement de la part du couple voisin que tout se termine, avant de laisser place à nouveau à un silence parfait.

Maman : Chérie ? …. Je peux allumer la lampe de chevet ? (le souffle long)
Moi : oui

La lumière illumine le corps de ma mère nue à mes côtés, c’est un tableau magnifique que j’ai devant moi. Je me redresse et sors du lit…

Maman : que fais-tu ?
Moi : j’ai besoin de changer ma culotte, elle toute trempée
Maman : d’accord … (en me souriant)

Je retire mon jogging et ma culotte mouillée, ma mère, elle, se lève aussi pour remettre ses vêtements tombés au sol, et pendant que je cherche une culotte propre, ma mère saisi celle toute trempée et constate l’étendu de ma jouissance. Nous rions toutes les deux en silence, avant de se remettre au lit.

Maman : désolée pour ce qui est arrivé chérie
Moi : ce n’est pas ta faute, les murs ne sont pas épais on dirait, et j’ai bien aimé moi
Maman : c’est vrai que j’ai pris beaucoup de plaisir aussi. Mais pas un mot, gardons ça pour nous ok ? (en déposant un baisé sur mon front)

C’est toutes les deux en accord que nous finissons par nous coucher, et nous endormir en espérant ne pas avoir été entendu. Le reste des vacances me réserve t-il encore des surprises ?....
chapitre 11 image
Me coucher aussi tard ne me réussi pas, je me réveille difficilement dans cette chambre, où une odeur moite, humide plane. Je ne sais pas quelle heure il est, je me tourne dans le lit et remarque que la place de maman est vide.

Je reste dans le lit en regardant tout autour de moi, il y a des affaires un peu partout, mais surtout d'une autre époque. J'exagère bien sûr mais tout ceci date de l'enfance de ma mère, alors bien entendu, je découvre un peu son passé.

Je m'étends de tout mon être dans ce lit telle une étoile de mer, et je sens à ma main droite, du bout des doigts que le drap est légèrement différent. Curieuse, je me redresse pour voir ce que c'est vraiment et je remarque là une tâche humide assez étendue. C’est l'endroit même où hier soir ma mère s'est masturbée.

Dans mon esprit les souvenirs me reviennent et doucement je commence à me toucher, me caresser en soulevant mon t-shirt et tout en baissant mon jogging. A ce moment là, la porte s'ouvre doucement et ma mère apparaît, je suis surprise et remet un peu d'ordre dans ma tenue. Elle se dirige vers moi en me souriant...

Maman : désolée je t'ai interrompu ?
Moi : non ce n’est pas grave, je devais me lever de toute façon
Maman : tu peux encore rester si tu veux, je dirais que tu dors encore (me faisant un clin d'œil)

Je ne voudrais pas faire ma grosse marmotte devant toute la famille, surtout qu'il était pratiquement midi, alors je me lève et me change pour être présentable. Je pense que tout le monde a dû faire la grâce matinée, vu l'heure à laquelle on s'est couché. A table ma cousine vient tout juste d'arriver aussi à en juger sa tête qui est encore dans les nuages.

L'après midi je le passe principalement avec ma cousine, Jordan ayant eu en cadeau ses jeux Pokémon, impossible de l’en sortir et Anthony, lui était dans son coin. Karine voulait sortir un peu profiter de l'air frais malgré le temps gris que nous avions, alors nous sommes parties marcher, visitant des endroits très sympas.

De retour à la maison vers 14h, elle me demande de lui montrer mon téléphone que j’ai en cadeau, alors je vais le chercher dans ma chambre, et en arrivant dans le couloir, une porte s'ouvre et je vois mon oncle Philippe apparaître en caleçon. Il était encore en train de le réajuster tout en rigolant avec ma tante sabine, qui apparaît juste derrière lui enroulée dans une serviette un peu trop courte, me laissant deviner sa nudité.

Nous sommes restés deux secondes immobile à se regarder tous les trois. Deux secondes qui m'ont paru plus longue, durant lesquelles mon regard s'est dirigé vers mon oncle, et plus précisément sur la déformation de son caleçon.

Je reviens à moi et je les vois entrer dans la salle de bain tout en rigolant. Je rigole seule par réflex mais en moi même je suis surprise de les avoir vu ainsi. J'ouvre la porte discrètement et je trouve ma mère allongée sur le côté de dos à moi et complètement nue. Elle se tourne vers moi surprise sur le moment, mais rassuré en me voyant...

Maman : oh c'est toi ? Tu m'as fait peur...
Moi : ils ont encore fait du bruit ?
Maman : oui, de vrai petit lapin ces deux là

Nous rigolons en silence un petit moment, puis je me dirige vers mon téléphone pour le prendre avant de repartir dans la foulée rejoindre Karine. Je la retrouve allongée sur le lit dans lequel je m'installe aussi, j’aime ces petits moments que je partage avec elle. Je commence à mieux la connaître, mais j’en découvre encore pas mal sur sa personnalité, et jusque là, elle me met en confiance, j’aime qui elle est. Nous sommes là, allongées avec nos téléphones, et nous voilà à nous prendre en photo comme des stars. Nous prenons des poses sexy, voulant jouer les femmes fatales, quand à un moment Karine se rend compte qu'Anthony nous observe devant la porte.

Karine : tu veux rentrer ?
Anthony : non merci, j'observe juste mes cousines faire les folles
Karine : faire les stars tu veux dire
Anthony : non, j'ai bien dis folles
Karine : dommage, tu vas rater le show privé (d'un air coquin en commençant à fermer la porte)
Anthony : hein, quel show privé ?
Karine : le spectacle est fini (tout en fermant la porte)

Nous rigolons comme des folles justes après avoir fermé la porte, alors que mon cousin derrière baragouine des mots que nous ne comprenons pas. Karine se jette sur moi et nous tombons dans le lit, entremêlées dans les bras de chacune comme deux amantes. Après un instant et ne sachant plus quelle était la cause de ces éclats de rire, ma cousine me demande

Karine : est-ce que tu as un copain ? Ou un mec sur qui tu craques ?
Moi : euh non, pas de garçon
Karine : sérieux ? T'es lesbienne ?
Moi : hein non ! Je veux dire que je n’ai personne sur qui je craque
Karine : ah ok, mais si tu es lesbienne ce n’est pas un drame tu sais
Moi : non, non, je te rassure, et toi alors ?
Karine : moi, je kiff un garçon de ma classe, il s’appelle Quentin, attend je te le montre (me montrant une photo sur son téléphone)
Moi : ouais il est pas mal, tu as bon goût ma chère cousine
Karine : oh arrête je suis sur que tu lui sautes dessus dès le premier regard
Moi : je ne crois pas non, ahaha… je sais me contrôler moi…
Karine : ah oui ? Et genre ….

Elle jette un regard à gauche puis à droite, comme pour se rassurer que personne ne peut nous entendre et d’une voix basse … elle me demande si je me masturbe.

Je suis complètement surprise par sa question, je le sens qu’à ce moment je suis aussi rouge qu’une tomate, mais je n’ai jamais parlé à qui que ce soit de ces choses là, à part ma mère, et dans un endroit plutôt intime. Dans ma tête je retourne la situation de mille et une façons, et je me dis, pourquoi ne pas lui faire confiance et me lancer.

Moi : euh…. Oui (timidement)
Karine : ahaha, je te vois réfléchir depuis quelques secondes, et enfin tu me réponds. Mais ne t’inquiète pas … moi aussi je le fais
Moi : je m’inquiète pas… c’est juste normal
Karine : bien sur, et je te paris qu’Anthony le fait aussi, et même mon frère tiens…
Moi : sûrement oui
Karine : et genre, tu penses à qui quand tu le fais ?
Moi : euh … personne
Karine : personne ? Sérieux ? Moi je pense souvent à Quentin et aussi à Orlando Bloom ahaha

Nous voilà prise d’un fou rire, si Orlando Bloom savait qu’une jeune française de 15 ans se masturbait en pensant à lui, mais je pense qu’elle ne doit pas être la seule, après tout, une star est souvent le fantasme de jeunes ados. Parmi nos rires, nous entendons toquer à la porte, tante Claire apparaît dans l’ouverture et nous invites pour jouer à des jeux de sociétés avec les adultes, ceux à quoi nous répondons oui en cœur. La soirée se passe dans une ambiance chaleureuse et cette nuit là dans notre chambre nous nous endormons dans le plus grand calme.

Les 4 jours suivants, nous allons nous balader en famille et découvrir des promenades, la citadelle et des forts. Je ne suis pas très fan de ce genre de visite guidée, toutefois la citadelle en elle-même est très belle avec ces boutiques et ces restaurants. Pendant les visites je remarque que mon cousin Anthony me regarde assez souvent. Je me fais peut être des idées, vue qu’il est toujours avec ses lunettes de soleil, et quand je viens lui parler, il fait toujours le mec blasé.

Karine me dit qu’il veut simplement se donner un genre et qu’il ne faut pas faire attention, mais d’un côté je veux en savoir plus sur lui, après tout il est de ma famille. Jordan est le parfait opposé, souriant, doux, attendrissant, et ce petit blondinet est tout à fait mignon. Sa sœur l’embête toujours en lui disant qu’il va faire un carnage auprès des filles, et par solidarité féminine je confirme ses dires, tout en déposant un bisou sur la joue de Jordan, qui devient très vite rouge.

Le 30 décembre, la journée se passe normalement, et depuis ces derniers jours je me rapproche plus de Jordan aussi. Il faut dire qu’il est très rigolo et adorable quand il n’a pas le nez sur sa console portable, il passe un peu plus de temps avec Karine et moi, et je me rends compte que ces deux là sont très complices. Le soir, on s’organise une soirée DVD dans l’annexe entres cousins cousines, on aura un peu de tout en film, en passant par comédie, horreur, fantastique… des chips, des boissons et nous voilà prêts.

Nous sommes tous les quatre installés dans la chambre de Karine, les heures défilent, Anthony lui regagne sa chambre après le deuxième film, quant à nous trois, nous continuons de plus belle avec le film d’horreur. Je n’aime vraiment pas ce genre de film mais il faut que tout le monde y trouve son compte.

Je ne sais plus à quel moment je me suis endormie, mais je sais que j’ai passé une bonne nuit même sans ma mère, et franchement je ne pensais pas réussir ça de si tôt. Je me réveille doucement, devant moi, Karine dort encore, son souffle est lent, je sens un bras autour de ma taille, c’est celui de Jordan qui apparemment s’est endormi également dans la chambre de sa sœur.

Je me sens en sécurité dans ses bras, il est tellement mignon, je me cale un peu plus contre lui en voulant m’endormir à nouveau et profiter d’une bonne grâce mat. Mais c’est à ce moment là que je ressens quelque chose de dur derrière moi, la question à peine formulé dans ma tête que je compris la situation… mon cousin bande

Je ne bouge plus, je découvre cette sensation, et à ce moment là, ma fatigue disparaît complètement pour laisser place à mon imagination. Dans ma tête, je devine et imagine le sexe de Jordan tout contre moi, je me demande quelle taille doit faire son sexe, aussi je revois en tête tous les sexes d’homme que j’ai pu voir en vidéo et je me fais mon analyse. Sa couleur de peau, sa grosseur, la forme de son gland, toutes ses pensées ne font que m’exciter, et doucement je m’appuis un peu plus contre lui. Jordan est sûrement dans un joli rêve puisqu’il se colle à moi et positionne sa tête dans mon cou.

Le contact avec son sexe est parfait, doucement je me frotte à lui, je ressens cette colonne de chair tout contre moi, mon cousin m’a l’air très bien membré. J’aimerais passer ma main dans mon dos et la toucher pour mieux constater, mais je l’entends gémir. Son rêve doit être très beau, il bouge à peine contre mes fesses, mais cette sensation est agréable, je me sens très bien et je prends un malin plaisir à venir tout contre lui pour accentuer le contact. Et dans un souffle sourd, je sens son sexe palpiter tout contre moi, jusqu’à qu’il ne bouge plus.

A-t-il jouit ? Je me pose la question et me frotte contre son sexe pour voir une réaction mais rien. Rien, à part une sensation humide sur mon vêtement fin, une sensation que je devine être son fluide de jeune ados. Je suis toute émue de cette découverte, je suis dans tous mes états lorsque Jordan se réveil soudainement constate qu’il s’est lâché dans son sous-vêtement et qu’il est collé à moi.

J’ai fermé les yeux à ce moment là, faisant semblant de toujours dormir et de n’avoir rien senti. Jordan se lève sans trop vouloir nous déranger et s’en va vers sa chambre dans un pas léger. Les yeux fermés, je souris intérieurement, j’ai beaucoup aimé cette découverte, ce sexe dur et doux à la fois.

Et je sens qu’au fond de moi, ma timidité se dissipe peu à peu, pour laisser place à ma curiosité …
chapitre 12 image
Je me lève à mon tour quelques minutes plus tard, et en regardant mon téléphone, je vois que l’on a largement dépassé midi. Je sors de la chambre discrètement laissant encore dormir Karine, pour me diriger vers la cuisine de la maison en quête d’un petit déjeuner. A ce moment, la porte de la douche s’ouvre, et je vois Jordan en sortir vêtu d’un T-shirt et d’un short léger, et dans ma tête je repense à notre petit câlin au réveil.

Au fond de moi une envie, en découvrir plus sur le corps d’un homme, le voir, le toucher, et le sentir. Je me perds un petit moment dans mes pensées et Jordan debout devant moi, me semble gêné de me voir là et cherche sans doute une échappatoire. Mes cheveux en pagaille, je fais celle qui vient tout juste de se réveiller, et je m’avance vers Jordan pour déposer un bisou sur sa joue que je commence vraiment à aimer, tout en le serrant dans mes bras…

Moi : coucou mon cousin
Jordan : hey… coucou….. Bien dormi ?
Moi : humm oui, je me suis endormie je ne sais plus à quel moment du film
Jordan : ah oui hihi… tu as même un petit peu ronfler je crois
Moi : espèce de petit …. (Tout en le chatouillant) je ne ronfle pas d’abord

Mon cousin est assez sensible, et commence à vouloir échapper à mes attaques, mais je ne le lâche pas et le poursuit même jusque dans sa chambre où je tombe dans le lit avec lui. Puis c’est un retournement de situation qui se passe là, il est assez mince mais je ne pensais pas qu’il puisse être aussi fort pour me soulever et me plaquer dans le lit.

Cette fois c’est lui qui a l’avantage, je sens ses mains un peu partout sur mon ventre me chatouiller, à une ou deux reprises j’ai sentis également ses doigts effleurer ma poitrine. Il ne le fait sans doute pas exprès, mais dans l’action, tout ceci commence à m’exciter. Je cherche à me sortir de là, je me positionne sur le ventre mais ses mains n’abandonnent pas, il essaie de me chatouiller sur les côtés et en voulant sûrement réussir son coup, il me fait légèrement mal au niveau de mes côtes.

Jordan s’excuse une dizaine de fois, mais je lui dis que ce n’est pas grave, que ce n’est pas de sa faute puisque c’est moi qui ai commencé. Il me demande où j’ai mal exactement, et je vois là une occasion de jouer un peu plus avec lui. Je relève mon T-shirt du côté droit, là où j’ai mal, je le vois surpris par mon geste et à la fois intéressé par ce qu’il voit. En effet, ayant relevé mon T-shirt de cette façon je dévoile sous ses yeux une partie de mon soutien gorge, certes pas très sexy mais je le vois se rapprocher près de mon côté pour regarder de plus près.

Moi : c’est grave docteur ?
Jordan : il me semble que la zone soit légèrement rouge (se prêtant au jeu)
Moi : est ce que je vais mourir ?
Jordan : est ce que ça vous fait mal lorsque je mets mon doigt ici ? (en passant le bout des doigts à proximité de mon sein)
Moi : non ça va docteur, mais s’il vous plaît soignez-moi avec un bisou magique

A ces mots, Jordan dirigea son regard dans le mien, et d’un petit sourire, il dépose ses lèvres sur mes côtes tandis que je tirais soigneusement le bord de mon soutien pour ne pas qu’il soit gêné, et bien sur pour jouer un peu plus de cette situation. Une fois le bisou déposé, Jordan se recule en douceur et je profite de l’occasion pour le pousser sur le dos et me positionner au dessus de lui. Il est complètement perdu, je suis penchée vers lui, mon visage à quelques centimètres du siens et il ne sait plus quoi dire.

Je le sens embarrassé, alors pour ne pas le torturer plus longtemps je dépose à mon tour un baisé au bord de ses lèvres, et dans la seconde qui suit, je me lève et arrivée à la porte, je me retourne. Il me suit du regard toujours allongé sur le lit et je lui dis avant de disparaître …

Moi : merci docteur…

En direction de la maison, je suis toute excitée et fière de moi, je découvre une partie de moi, joueuse, coquine, une partie de moi qui n’existait pas il y à quelque temps. Je suis en train de changer, je ne pense pas que s’en est fini de la fille timide, mais je sais que jours après jours, je prends confiance en moi, et ose de plus en plus…

L’après midi se passe, je retrouve Karine et Jordan avec qui on s’amuse, j’essaie toujours de faire un pas vers Anthony mais il ne semble pas vouloir de moi. Peut être qu’avec le temps ça lui passera, mais pour l’heure, nous voilà tous en voitures, pour passer ce 31 dans une salle des fêtes aux alentours de bordeaux. Pour la soirée j’ai opté pour une petite robe légère malgré la fraicheur, voulant accompagner ma cousine dans son style vestimentaire.

Arrivés sur place, il y a pas mal de monde, bien sur là je me sens un peu mal, mais je sais que je peux surmonter tout ça maintenant. Je prends mon temps, je respire calmement et surtout je ne lâche pas trop ma mère. La famille s’installe sur plusieurs tables, et nous prenons l’apéro en attendant que la piste de danse se chauffe. La musique est bien lancée et les gens commencent à affluer, Karine se lève et m’invite à la rejoindre pour nous amuser, elle voit sur moi que je ne suis pas très à l’aise encore en voyant tout ce monde. Elle saisi ma main et me dit à l’oreille qu’elle me promet de ne pas me lâcher, je regarde en direction de ma mère et elle me fait signe d’y aller, sûrement qu’elle a confiance en Karine.

Avec beaucoup d’hésitation me voila sur la piste, nous ne sommes pas au centre mais l’endroit me convient très bien, la musique sonne et je me rends tout simplement compte que je ne sais pas du tout danser. Nous rigolons Karine, Jordan et moi, mais fort heureusement, il y a apparemment pire. Nous sommes rejoins par ma mère et mon oncle Vincent, qui nous montrent quelques mouvements de danse, et mon oncle fait le pitre en imitant des mouvements de HIP HOP, pour faire comme les jeunes.

J’oublie totalement mes angoisses et je profite de l’instant, de la musique tout en dansant avec ma mère qui, je remarque, a un superbe déhanché sûrement dû à sa Zumba. Jordan m’invite également à danser, on ne voit là aucun mal, mais je suis très sensible à ses mains sur mes hanches, et parfois son corps entier contre le mien. Nous invitons également les grands parents à se joindre à nous, et je dois avouer que mamie sait y faire.

L’ambiance est superbe d’autres jeunes à peu près du même âge sont de la soirée, et après une bonne heure de danse, ils nous proposent de sortir prendre l’air. Dehors il fait frais, mais je vois mon petit Jordan qui m’apporte une veste tout en me serrant dans ses bras, il est très attentionné et doux, ses mains me réchauffent mais Karine vient s’y mettre aussi, et nous voilà tous les trois à se câliner.

Un moment plus tard, Jordan nous laisse pour aller danser, tandis que Karine et moi sommes toujours dehors en compagnie de deux garçons avec qui nous discutons. Théo et François ont tous les deux 15 ans, ils sont de la même famille, et en regardant bien, Théo semble plus vieux que son cousin du même âge. Il nous demande de les suivre un peu à l’écart, il aimerait s’en griller une, dit-il en voulant jouer les grands, je ne suis pas tout à fait tranquille mais Karine semble vouloir essayer aussi. Quelques mètre plus loin, nous voilà dans un coin peu éclairé de la salle de fête, et Théo allume sa cigarette, la passe à Karine qui s’en tire pas mal je dois avouer, elle me demande si je veux essayer aussi, ce que je refuse poliment.

François m’encourage pour essayer mais rien n’y fait, je ne supporte pas la fumée et je ne veux pas laisser Karine ici toute seule. Théo tente un rapprochement envers Karine, il lui parle gentiment, tout en lui disant qu’il a craqué pour elle, François de son côté veut en faire de même, mais c’est peine perdu, je ne le trouve pas du tout à mon goût, ni son cousin d’ailleurs.

A un moment je vois Théo poser sa main sur la joue de Karine et tenter de l’embrasser, elle détourne la tête en lui disant que ce n’est pas possible, qu’elle est déjà en couple, mais je devine très bien qu’il ne lui plaît pas tout simplement. Théo semble vexé, qu’il est sûr qu’elle lui ment et me regarde en me demandant si je vais aussi lui sortir la même excuse, ce à quoi je n’ai pas le temps de répondre quoi que ce soit, puisque Karine lui répond du tac au tac « oui, avec moi… »
Je regarde Karine surprise par sa réponse, les garçons se moque d’elle en lui disant ….

Théo : eh mais faut pas me mentir comme ça, tu as peut être peur mais je vais être doux je te jure, allez laisse moi t’embrasser …
Karine : mais t’es sourd, je te dis que je suis avec elle, donc non, tu me touches pas…
Théo : ça se voit que vous êtes cousines, allez vas y, un baisé quoi …
Karine : il te faut une preuve ? Ok …

Je n’ai pas tout suivi, ca c’est passé si vite… mais je sais seulement qu’à cet instant Karine est face à moi et elle m’embrasse tout en me serrant dans ses bras, sa main droite posée sur ma nuque. Je dois être mauvaise actrice à ce moment là, puisque je reste tout simplement debout les bras ne sachant pas quoi faire. Théo et sa fierté, tourne les talons en s’en va, agacé en nous traitons de pauvre gouine, tandis que François un peu perdu lui aussi, nous regardes un instant avant de suivre son cousin. Il n’y a plus personne avec nous et je fais signe à Karine qu’elle peut arrêter de m’embrasser.

Elle me regarde dans les yeux et on se met à rire en essayant de ne pas se faire remarquer par ces deux là …
Karine : ahaha désolée Julia de t’avoir embrassé, je n’ai trouvé que ça sur le moment pour qu’ils arrêtent de nous faire chier

Moi : ahaha je n’ai rien compris à la situation, je suis resté, genre euuuhh
Karine : désolée encore ma Juju, c’est ma faute je voulais juste essayer de fumer et voila
Moi : j’avoue j’ai eu peur un moment, mais ça va tu as bien géré. Mais on devrait rejoindre les autres
Karine : oui je suis d’accord, désolée encore et promis je ne te lâche pas

Nous repassons main dans la main et tout sourire devant les garçons restés à l’entré, pour la famille nous voyant rentrer ainsi, nous ne sommes que deux cousines affectives. Il n’est pas loin de minuit et nous sommes tous sur la piste, excepté papi qui a un peu mal à son genou. Mais on ne l’oublie pas pour autant puisqu’on le couvre de bisous d’amour et en dansant parfois devant lui, pendant qu’il tape des mains.

Le volume de la musique baisse et nous entendons au micro le DJ faire le décompte, et tous ensemble dans cette salle nous l’accompagnons 3….2…..1…..Bonne Année !!!!!

On s’embrasse les uns les autres se souhaitant les meilleurs vœux, tandis que dehors nous pouvons assister à des feux d’artifices, et que c’est beau au milieu des gens qu’on aime. Un peu plus loin Théo et François nous regardes, je glisse ma main dans celle de Karine et pose ma tête sur son épaule, elle est surprise mais capte très vite le regard des deux garçons. La fête reprend, je danse et m’amuse comme une folle, et je saute dans les bras de chacun, ma mère, Jordan, Karine tous y passe pour une danse avec moi. Jordan balade par moment ses mains sur moi, et je me laisse faire, je suis toute en confiance avec lui et il semble coquin mon cousin, mais je le comprends tout à fait, puisque je le suis tout autant avec lui.

Les heures passent et nous arrivons à la fin de cette soirée, sur le parking on se répartit dans les voitures, je monte à l’arrière de la voiture de maman avec Karine, et mamie se propose comme copilote. Sur la route on se remémore pendant quelques minutes la soirée, mais avec toute cette énergie dépensée, l’ambiance dans la voiture devient très vite plus calme, la fraicheur se fait sentir, mais heureusement que nous avions prévu une couverture pour toutes les deux à l’arrière. Maman et mamie discutent un peu plus sérieusement, tandis que Karine et moi parlons à voix basse pour ne pas les déranger…

Moi : j’ai vraiment passé une bonne soirée, merci de ne pas m’avoir lâché
Karine : moi aussi je suis très heureuse de cette soirée, mais je m’en veux pour tout à l’heure avec les garçons…
Moi : tu veux rire, tu as assuré, tandis que moi je me suis laissé faire. Heureusement que tu étais là, et tu embrasse très bien hihi (rire discret)
Karine : hihihi merci, en plus c’est la première fois que j’embrasse quelqu’un
Moi : d’accord, tu es douée alors, et moi j’étais comment ?
Karine : très bien, et avec plus de pratiques tu seras parfaites hihi
Moi : hihihi merci
Karine : …….tu veux que l’on recommence ? (d’une voix très basse)
Moi : maintenant ? (dis-je surprise)
Karine : il fait bien sombre et t’inquiètes pas, elles sont concentrées sur la route…

Je réfléchie à la situation, et tout doucement Karine s’approche de moi puis dépose ses lèvres sur les miennes, le contact est doux, sensuel et fruités avec son gloss. Elle recule et regarde vers ma mère et mamie…

Karine : tu vois y rien à craindre… c’était comment ?
Moi : super, tu es vraiment douée
Karine : tu veux le refaire avec la langue ?

Cette fois je ne réfléchie pas, à peine ai-je donné mon approbation que Karine vient à nouveau. Le contact de ses lèvres est toujours un délice et doucement, j’ouvre mes lèvres pour laisser passer sa langue. Elle s’arrête un moment pour me demander si j’aime, une question à laquelle je réponds oui et nous revoilà à nous embrasser dans l’obscurité à l’arrière de la voiture. Nos langues s’entremêlent, je savoure le moment, elle est si douce, je suis captivée par ses lèvres, son goût, et l’audace qu’elle a.

Karine : j’adore vraiment
Moi : je n’ai pas de mots…
Karine : tu te sens comment ?
Moi : vraiment bien
Karine : moi toute excitée de faire ça là
Moi : c’est vrai que c’est osé hihihi
Karine : tu veux oser encore plus ?
Moi : …… ?
Karine : tu veux que l’on se masturbe ?
Moi : euh je ne sais pas…
Karine : t’inquiète pas, on a la couverture sur nous. Tu te masturbe de ton côté, je le fais aussi et on s’embrasse en même temps…

Dans ma tête la scène m’a terriblement excité, Karine se colle à moi, je la sens qui relève sa robe, et abaisse sa culotte, je fais de même avec ma robe et mon sous vêtement, tandis que je suis nerveusement excitée. Karine s’approche et me dit de me détendre tout en venant m’embrasser, c’est fou à quel point la situation est incroyable, ma mère et mamie sont juste devant nous en train de parler, pendant que Karine et moi nous nous embrassons en se masturbant chacune de son côté.

Mes doigts de la main droite tourne sur mon bouton, alors que ma gauche caresse la joue de Karine, et aussi comme pour la maintenir et l’empêcher de partir. Je sens que Karine se fait beaucoup de bien aussi à son souffle pendant qu’elle m’embrasse. Pour la première fois je partage mon plaisir avec quelqu’un, et je ressens le sien, je suis toute excitée et mon sexe est complètement trempé.

J’imagine celui de ma cousine également à quelques centimètres de moi, ses doigts qui s’activent sur son clitoris, la chaleur qu’elle peut ressentir entre ses jambes, le plaisir qu’elle se procure et tout ça devant et avec moi. Je sens mon plaisir se contracter dans mon ventre, entre mes jambes, je sens que mon petit bouton n’en peut plus, je sens aussi la respiration de ma cousine s’accélérer, sa langue s’introduit dans ma bouche et à ce moment là je jouis en essayant au mieux de contenir mon gémissement. Hummmm je me relâche doucement, et tout ce plaisir que je ressens ….

Karine : woao c’était extra
Moi : oui pareil pour moi, j’ai vraiment aimé ce moment
Karine : merci ma Juju…… je peux te demander quelque chose ?
Moi : oui vas y
Karine : je voudrais te toucher…
Moi : me toucher ? Comment ça ?
Karine : oui je voudrais glisser ma main entre tes cuisses et te caresser pour voir ce que ça fait..
Moi : mais on arrive bientôt à la maison…
Karine : je sais, mais juste un instant, et si tu veux je te laisse me toucher aussi …

Je regarde autour de moi, et tout en regardant Karine dans les yeux je glisse doucement ma main entre ses cuisses, elle saisi alors ma réponse et commence à faire de même. On ne se quitte pas des yeux comme pour voir la découverte de l’autre, ma main arrive à mi cuisse et je sens qu’elle les ouvre pour me faciliter le passage. Je fais de même et pour la première fois je sens une autre main que la mienne me toucher le sexe, c’est incroyable comme sensation, ne pas avoir le contrôle des mouvements et ressentir ce contact.

De mon côté ma main découvre aussi le sexe de ma cousine entièrement dépourvu de poils, le contact est humide, chaud, et totalement excitant. Mon doigt caresse son clitoris pendant qu’elle fait de même avec moi, nos regards sont complètement connectés et je lis en elle le plaisir que je lui procure, nos lèvres se rapprochent et de nouveau on s’embrasse tendrement….

La voiture empreinte la route qui nous ramène à la maison, nous savourons encore quelques secondes le contact de nos mains sur nos intimités, puis je retire ma main tout en lui caressant la cuisse avant de remettre de l’ordre dans nos vêtements. La voiture s’arrête, nous faisons semblant de nous réveiller lorsque mamie nous appelle, les portes s’ouvrent et nous sortons chacune de notre côté en direction de nos chambres tout en échangeant un dernier regard de complicité entre cousines…
chapitre 13 image
Perdue dans mes pensées, j’arrive dans ma chambre, toute retournée de ce que je viens de vivre dans la voiture, je suis excitée et je sens encore mon intimité humide. Je regarde ma main droite, qui me semble encore légèrement moite, curieuse je la porte à mon visage pour en sentir l’odeur intime de ma cousine.

Je suis comme transportée, son odeur est douce et n’est pas très différente de la mienne, et je me demande ce qui serait arrivé, si on avait eu plus de temps…

Ma mère entre dans la chambre, et je fais mine de chercher mon pyjama afin de me diriger vers la salle de bain. Au passage maman pose ses mains sur mon visage et vient déposer un bisou sur ma joue, un geste qui me replonge à l’arrière de cette voiture avec Karine, je frémis doucement et ma mère, remarque que mes lèvres brillent un peu. Je lui dis que Karine m’a prêté son gloss dans la soirée, et me dirige vers la salle de bain, dans l’espoir de reprendre mes esprits. Je fais couler l’eau et me retrouve vite nue pour me laver, je commence à frotter, me caresser la poitrine, le ventre et …

Toc toc toc

Maman : ma chérie, lave toi vite les autres aussi veulent se nettoyer avant de se coucher…

Je suis frustrée de ne pas pouvoir me faire plaisir sous une bonne douche chaude, mais c’est vrai, je ne suis pas toute seule à vouloir me nettoyer avant d’aller au lit. Je m’essuie, et m’habille en vitesse avant de laisser place à ma mère. Dans le couloir je croise mes oncles et mes tantes, ils discutent encore un peu attendant sûrement que la douche se libère, tandis que je regagne mon lit, regardant le plafond et essayant de chasser toutes mes pensées afin de pouvoir dormir paisiblement.

Dans le couloir je les entends parler, puis ma porte s’ouvre et ma mère y pénètre seulement vêtu d’une serviette, avant de la faire tomber au sol pour se retrouver nue, en ayant bien sûr pris soin de refermer derrière elle.

Moi : maman mais c’est quoi ça ?
Maman : quoi ? Qu’est ce qu’il y a ? J’ai quelque chose sur moi ?
Moi : ba non justement tu es toute nue …
Maman : …. Ça te dérange ? Pourtant je croyais que tu aimais
Moi : ce n’est pas ça, mais tu es passée devant tout le monde comme ça ?
Maman : ahaha j’étais en serviette, ce n’est pas la mort

Je suis surprise mais elle m’explique qu’il n’y a pas de mal, que ce sont ses frères et sœur et qu’elle ne ferait pas ça devant n’importe qui. Elle s’habille tout en me parlant de la soirée, qu’elle a bien aimé la musique, que l’ambiance était superbe et vient s’installer dans le lit avec moi. Elle m’attrape dans ses bras et bercée par sa voix et ses caresses, je m’endors très vite …

Dans la nuit j’ai eu un peu chaud, alors je me suis débarrassée du mieux que j’ai pu de mon jogging. Le soleil pointe le bout de son nez à travers la fenêtre, tout est calme, pas un bruit si ce n’est quelques ronflements à travers le mur. Les chambres ne sont pas vraiment isolées et ce n’est pas étonnant qu’on ait entendu mon oncle et ma tante faire l’amour l’autre nuit. Je tourne un peu dans le lit, j’ai une envie d’aller aux toilettes, mais je suis prise dans ce fameux dilemme, continué de dormir ? Ou me lever pour aller faire pipi ?

J’opte pour la deuxième finalement, ne tenant plus vraiment, je me lève, ouvre la porte et passe la tête pour voir si personne n’est debout, ne voulant pas remettre mon jogging. Une fois mon affaire terminée, je me regarde un peu dans le miroir en jouant la belle, je soulève mes seins avec mes mains et prenant une position et un regard aguicheur. Dans ma tête je pense à Jordan, à comment il réagirait en me voyant ainsi, et je rigole toute seule en imaginant sa petite tête toute étonnée.

Et étonnée … c’est moi qui le suis quand j’ouvre la porte et que je tombe sur mon oncle Vincent. Il semble tout juste réveillé aussi et souhaite aller aux toilettes également, bien sûr il est tout aussi surpris de me voir là, en T-shirt et petite culotte plantée là devant lui. Je ne sais plus où me mettre, je pense que je rougis très fort à ce moment là et baisse la tête, mais ma surprise et ma gêne sont encore plus grande lorsque je constate qu’il est en caleçon, le sexe debout déformant le tissu fin…

Est-ce que je l’excite ? Ou est ce qu’il a vraiment une énorme envie de faire pipi ? Je reste debout, la bouche ouverte d’un air étonné, et c’est lui qui réagit le premier en s’excusant, avant de me passer à côté pour entrer dans la salle de bain. Je m’en vais doucement rejoindre ma chambre et mon lit en gardant cette image dans ma tête, et en me posant des questions avant de me rendormir, son sexe semble très gros non ? Il me regardait bien aussi ? Est ce que mes seins se voyaient à travers mon T-shirt ? …

Tout le monde se lève vers midi, le sommeil a été court, les visages sont encore fatigués mais heureux de cette soirée. Je vois Jordan et lui fait un bisou en lui demandant s’il a bien dormi et s’il a fait de jolies rêves, en espérant peut être, qu’il ait rêvé de moi. Mon cousin est vraiment trop mignon avec ses cheveux blonds mal coiffé, il me propose de m’assoir avec lui pour prendre notre petit déjeuner, ce que j’accepte avec plaisir.

Karine arrive peu après, nos regards se croisent et ne se lâchent plus, nous sommes dans un moment de complicité, et nous échangeons un sourire plein de tendresse. Jordan est assis sur ma droite et sort sa console pour me montrer où il en est dans son jeu. J’avoue que sur le moment je n’ai pas trop la tête à ça, je voudrais être avec Karine et lui parler, mais peut être qu’il est plus sage d’attendre.

Je me rapproche de mon cousin, et d’une façon innocente je pose ma main sur sa cuisse tout en regardant son jeu. Je sais que ma main lui fait de l’effet puisqu’il s’est arrêté un court instant de me parler, en détournant les yeux vers sa cuisse. Ce court instant je l’ai aimé, et doucement je pousse le vice un peu plus loin, en remontant ma main peu à peu vers le haut de sa cuisse.

Je le vois se redresser sur sa chaise, je regarde toujours son écran mais je dois dire aussi que parfois mes yeux s’abaissent pour surveiller l’effet que je peux provoquer chez lui. Il ne bouge plus, je suis à ce moment là très joueuse et je me dis que je pourrais encore aller plus loin, je commence de nouveau mon mouvement vers le haut, mais je suis coupée dans mon élan lorsque ma tante sabine nous appelle.

Le reste de l’après midi je n’ai pas pu être un moment seule, que ce soit avec Karine ou Jordan. Je regardais souvent ma cousine dans l’espoir de s’éclipser juste un instant afin de se parler en toute intimité, mais pas la moindre chance. Pour Jordan ce fut un peu différent, j’étais bien avec lui, rigolant et discutant de pas mal de choses mais la famille était toujours autour de nous.

Il m’aura fallu attendre 18H, pour que je puisse être tranquille dans l’annexe avec Jordan, puisque Karine était occupée de son côté avec tante Claire. Mais ce n’est pas grave, j’avais au moins mon cousin avec moi, et je voulais en profiter un peu. Nous sommes dans sa chambre, je fais lentement le tour en regardant ses affaires disposées un peu partout, tandis qu’il est assis sur son lit toujours sur son jeu. Il ne m’est pas très attentif, pour le coup je décide d’attirer toute son attention sur moi en me plaignant d’avoir mal dormi, et d’avoir une douleur dans la nuque et le dos.

Mon cousin ne sait pas quoi faire mais je lui soumets l’idée qu’un massage me ferait vraiment du bien. Il me dit ok ne voyant sans doute pas là quelque chose de coquin, puisqu’il a déjà fait cela avec sa sœur, et donc toute souriante je m’avance vers le lit pour m’installer…

Moi : tu pourrais fermer les yeux un instant s’il te plaît ?
Jordan : ah bon ? Pourquoi ?
Moi : parce que je vais retirer mon haut pour que ce soit plus à l’aise (lui tirant la langue)

Il ne sait plus quoi répondre, il est un peu gêné et ferme les yeux comme je lui ai demandé. Je retire lentement mon haut, en passant mes mains de chaque côtés, Jordan a toujours les yeux fermés et je passe tout près de lui pour venir m’allonger sur son lit afin de recevoir son massage. Je lui dis qu’il peut ouvrir les yeux, et je vois son regard me balayer de haut en bas avant de me rejoindre. Il pose ses mains sur moi, le contact me donne des frissons et chaud en même temps. Il commence son massage par mes épaules en faisant des mouvements lents et doux, en allant parfois sur ma nuque, puis entre mes omoplates et c’est fou ce qu’il me fait du bien. Il a effectivement une bonne expérience et je me demande jusqu’où peuvent aller ces séances de massage avec Karine.

Moi : ça te dérange si j’enlève mon soutif ?
Jordan : euh …. Si tu veux, non…. Ça ne me dérange pas
Moi : Merci, ce sera mieux pour le massage…

Je lui demande juste de se reculer un peu, je reste toujours allongée mais je me soulève un peu afin de défaire mon soutien gorge. Jordan tourne à peine la tête mais je remarque très bien que ses yeux eux sont restés fixés vers ma poitrine. Une fois libéré de mon sous vêtement, ses mains se positionnent à nouveau sur moi, et c’est toujours un délice…

Moi : est ce que tu as vu ?
Jordan : de quoi ? Non j’ai rien vu …
Moi : allé dis le moi petit filou
Jordan : euh ok … juste un petit bout…. mais c’est tout promis
Moi : d’accord je te crois
Jordan : tu n’es pas colère ?
Moi : non, non, ça va t’inquiète, et ça ta plu ? De voir ce petit bout ?
Jordan : euh…. Oui….
Moi : et tu voudrais en voir plus ?
Jordan : de quoi ?!

Je me redresse sans le prévenir et en plaçant mes mains sur ma poitrine je me retourne vers lui.

Moi : est ce que tu voudrais les voir ?
Jordan : euh …. Je ne sais pas, je …..
Moi : j’ai une idée, je te les montres si toi aussi te me montre quelque chose (d’un sourire coquin)
Jordan : ah non, ce n’est pas juste si je te montre mon sexe alors que tu me montres que tes seins
Moi : d’accord tu as raison, alors on va faire autrement…je te montre mes seins en entier, et toi tu me montre un petit bout de ton hum hum (en désignant son sexe avec mes yeux)

Je le vois réfléchir un instant puis c’est « oui » qui sort de sa bouche, il est nerveux, je le suis aussi et doucement, je commence à dévoiler mes seins pendant que de son côté il abaisse lentement son short et son sous vêtement. Mes mains commencent à libérer en totalité mes seins, et sous mes yeux je vois apparaître de petits poils frisés clair et la naissance de sa colonne de chair. Mon cœur bat fort, je lui demande de baisser un peu plus son short, il attend bien sûr d’en voir plus de moi, alors pour lui faire plaisir, je dévoile entièrement ma poitrine.

Je ne bouge plus et Jordan est devant moi la bouche ouverte en fixant mes seins. Je suis contente de sa réaction et lui demande de continuer, ainsi sous mes yeux je le vois faire, et je commence nettement à voir la base de son sexe. Sa couleur de peau est très clair, ses poils commencent tout juste à pousser, et ce que je vois là me donne des fourmis dans le ventre, me donne envie d’aller plus loin et … c’est à ce moment que la porte s’ouvre….

J’ai juste eu le temps de me cacher les seins et Jordan de remonter ses vêtements, mais nous voilà surpris. J’ai à ce moment très peur, je ne bouge plus, mon cœur bat très fort dans ma poitrine, et quand j’entends cette voix nous demander ce que nous faisions, je reconnais ma mère.

Maman : je vous ai posé une question à tous les deux. Qu’est ce que vous faisiez là ? (d’un ton sérieux)
Jordan : …….
Moi : … c’est ma faute maman…. J’ai demandé à Jordan de …..
Maman : Stop ! Pour commencer ma fille tu vas remettre tes vêtements et vous allez sortir de cette chambre… je vous attends.

Je me rhabille en vitesse, Jordan lui, met de l’ordre dans sa tenue et nous voilà en direction de la porte où ma mère nous attend toujours.

Maman : Je ne suis pas en colère contre vous, mais vous avez de la chance que c’est moi qui vous ai surpris. Mais croyez-moi, si c’était votre grand-mère ou autres, ça aurait mal tourné pour vous. Jordan, je ne veux pas entendre un mot sur ce qui c’est passé, et toi Julia, on en reparlera à la maison…. C’est compris ?

Jordan : oui tantine
Moi : oui maman

C’est la première fois que je vois ma mère aussi sérieuse, car jusque là, elle a toujours été assez souple pour tout ce qui concerne le sexe je trouve. Est-ce que j’ai poussé le bouchon un peu trop loin ? Je ne peux pas vous répondre à ce moment là, mais la seule chose dont je suis sûre, c’est qu’en se dirigeant vers la grande table où tout le monde se trouve, ma mère passe son bras dans mon dos, me saisit l’épaule et me tire vers elle pour m’embrasser sur la joue.

Je suis rassurée, elle n’est pas en colère contre moi, mais je pense que nous aurons une discussion intime sur ce sujet très bientôt. A table, tout se passa normalement, je ne suis ni avec Karine ni avec Jordan et je pense que c’est normal, ma mère veux éviter les mauvaises surprises. Mais la plus grosse surprise de la soirée, c’est quand mon oncle Philippe annonce qu’il doit écourter les vacances et partir plus tôt que prévu suite à un appel de son boulot. La petite famille partirait donc demain dans la matinée afin que mon oncle puisse au plus vite retourner à son travail et régler ce problème.

Nous sommes tous un peu déçu de la nouvelle, mais en parlant de départ et de boulot, mon oncle Vincent et ma tante Claire prenne la même décision. Je suis sur le coup très déçu, mais mamie pour consoler ses petits enfants nous disent qu’elle serait très heureuse de nous avoir ici pour les vacances d’été.

Le repas finit, tout le monde se dirige vers sa chambre afin de préparer les affaires pour le départ de demain. Tout est calme, maman et moi sommes dans notre chambre, je vérifie que toutes mes affaires soient bien dans mon sac puis nous préparons notre lit pour nous coucher, car demain la route nous attend.

La nuit a été très calme, le réveil sonne, pas de grasse matinée pour tout le monde aujourd’hui. Au petit déjeuner nous sommes pour la plupart très calme, les grands parlent de boulots, de paperasses et des choses à faire une fois à la maison.

Nous chargeons les affaires dans les voitures, les embrassades ne sont pas les mêmes qu’à l’arrivée car tout le monde est un peu triste de repartir au final. J’ai l’impression que tout est passé si vite, de ne pas avoir assez profité de chacun et chacune. On se promet entre cousins et cousines de revenir pour les vacances. Anthony me fait simplement la bise, mais je le serre dans mes bras, car au fond de moi j’aimerais le revoir et apprendre à le connaître.

Jordan lui, m’enlace tendrement pendant que je l’embrasse en lui disant qu’il va me manquer. Avec Karine, ce sont des larmes qui ont coulées avant de s’enlacer et de se serrer très fort, aucune de nous deux ne veux lâcher l’autre et pourtant ….

Dans la voiture, je fais des gestes de la main en signe d’au revoir, la maison des grands parents s’éloigne petit à petit, et je suis triste, car revoir ma famille m’a vraiment fait du bien, et maintenant je me sens plus libre, plus en confiance et déterminée à devenir plus forte et ne plus être timide…
chapitre 14 image
C’est la fin de mes vacances en famille, nous mettons de la musique pour nous détendre, mais je suis pensive et la route me paraît longue. Je pense aussi à ce que je vais bien pouvoir faire pour m’occuper pendant les jours qui me restent. J’aimerais essayer de sortir, d’aller dans des endroits publics, peu importe le lieu du moment que je sorte et que je me lance dans cette nouvelle vie que je veux.

Les heures passent et nous arrivons en bas de notre immeuble, ce n’est pas très chic mais nous y sommes tranquilles, au point que l’on se demande si nous avons des voisins. Nous montons nos affaires et une fois la porte franchie je m’empresse de regagner ma chambre et de me coucher dans mon lit. Pour le moment, je suis fatiguée, j’ai besoin de dormir et je crois que pour ma mère c’est la même chose. En passant devant ma porte elle me dit de bien me reposer et que l’on se verra plus tard. En total accord je retire mes vêtements pour ne dormir qu’en culotte, et à peine ai-je posé ma tête sur mon oreiller que mes yeux se ferment…

Quelques heures plus tard, je me réveille et j’entends le son de la télé, alors la tête encore dans les nuages je me lève, j’enfile un T-shirt et me dirige vers le salon pour y retrouver ma mère. Je m’allonge en posant ma tête sur sa cuisse, elle aussi s’est mise à l’aise, T-shirt et sous vêtements comme moi. Nous regardons la télé sans trop parler, le film n’est pas vraiment terrible, mais il me permet au moins de me réveiller tout en douceur. Je repense parfois à Karine, aux moments qu’on a passés, entre les promenades, les jeux, les rires, mais aussi les moments plus intimes et je me sens troublée. Je pense également à Jordan, le fait d’avoir senti son sexe dur contre moi, et même de l’avoir en partie vue, j’aimerais revenir en arrière et recommencer tout ça.

Je suis encore dans mes pensées lorsque ma mère me dit qu’elle va prendre son bain, et qu’elle voudrait bien que je vienne. Je sens que nous allons avoir cette petite discussion dont elle m’a parlé, je ne sais pas encore ce qu’elle va me dire, ou me demander, mais je sais que je ne dois rien lui cacher. Elle fait couler l’eau, je retire mon T-shirt et je la vois me regarder d’un air attendrissant, je sais qu’elle m’a déjà vue nue, mais lorsqu’elle me regarde comme ça je me sens légèrement excitée. Elle se déshabille aussi et j’aime la regarder, à chaque fois je me pose beaucoup de question, mais peut être sont elles trop intimes pour qu’elle me réponde.

La baignoire remplie nous nous installons chacune de notre côté en se faisant face, elle saisit le savon et se frotte lentement. Ce petit bain mère fille m’avait manqué durant les vacances, je me sens bien et j’attends simplement qu’elle commence à me parler …

Maman : alors ma chérie, tu as passé de bonne vacances ?
Moi : oui c’était vraiment trop bien, et j’aimerais recommencer si tu veux bien
Maman : je veux bien oui, fêter Noël en famille c’est important. Et tu t’es amusée ?
Moi : oui beaucoup, je pensais au début que j’allais m’ennuyer
Maman : à croire que non, vu ce que tu faisais avec Jordan….
Moi : …euh….oui…. mais c’est ma faute, et je suis désolée
Maman : ma puce, vous êtes jeunes, pratiquement du même âge, et en pleine découvertes de votre corps. C’est normal de tenter des expériences de ce genre…
Moi : mais ça ne te fait rien ?
Maman : j’ai été surprise sur le coup c’est vrai. Mais beaucoup de jeunes se découvrent parfois entre cousin et cousine, ou même entre frère et sœur, ça fait parti des expériences de la vie…. Et qu’est ce que vous avez fait Jordan et toi ?

Je me décide de tout lui dire, de lui raconter comment ça c’est passé, en lui donnant les détails de mon ressenti, et mes envies. Je vois ma mère me sourire tout en écoutant mon histoire, puis me dire …

Maman : c’est rigolo et coquin, mais attention ma fille de ne pas tomber amoureuse de Jordan
Moi : ahahahah, ah non mais je ne suis pas amoureuse moi
Maman : d’accord, dans ce cas fais attention que lui ne tombe pas amoureux de toi, il est gentil et très doux, ça pourrait lui faire du mal
Moi : je n’y avais pas pensé
Maman : je sais ma fille, tu découvre tout ça, et c’est à moi de te conseiller et te guider… tu n’as rien d’autres à me dire ?

Je prends un instant pour souffler, et me lance dans le récit de mon expérience avec Karine, là ma mère est vraiment surprise, et ça se voit à son regard….

Maman : vous avez fait ça juste derrière ta grand-mère et moi ?
Moi : oui ….tu es déçue ? Est ce que je suis lesbienne ?
Maman : ahaha …. Oh lala ma chérie, alors déjà une expérience ne fait pas de toi une lesbienne. Et non tu ne me déçois pas, chérie, je n’ai peut être pas été assez clair, alors je vais te le dire à nouveau. Tu vis ta sexualité comme tu le souhaites, si un jour tu aimes un garçon ou alors une fille, c’est toi que ça regarde, pour moi tu seras toujours ma fille, et je t’aimerais toujours de la même façon.

Ma mère trouve toujours les mots pour me faire du bien, je me sens rassurée, et ça me conforte dans la confiance que j’ai envers elle…

Moi : Maman, pourquoi tu as dis que ce que j’ai fait avec Jordan était rigolo ?
Maman : …hummm tu as été honnête avec moi en racontant ce qui s’est passé, alors je vais faire pareil. Je ne peux pas t’en vouloir pour tout ça car j’ai moi aussi fait des expériences de ce genre…
Moi : quoi ?!! Avec qui ? (l’air étonné)
Maman : hummm avec un de mes cousins, et aussi une cousine comme toi hihihi (en riant timidement)
Moi : woao, mais vous avez fait quoi exactement ?
Maman : une question avant de te répondre…
Moi : ok
Maman : est ce que tu voudrais le refaire avec Karine et Jordan ?
Moi : je crois bien que j’en ai envie oui
Maman : d’accord alors ….

Ma mère me raconta que lorsqu’elle était une jeune ado pratiquement du même âge que moi, elle ne connaissait rien de tout ce qui était masturbation et sexe en général. C’est sa grande cousine de 2 ans de plus, qui lui avait parlé de masturbation, et pour le même coup initié un jour dans une cabane. Sa cousine avait relevé sa robe, et lui montrait quel endroit toucher pour se faire plaisir, et ma mère faisait de même.

Et cette cabane est devenue leur cachette pour s’adonner à la masturbation, elles essayaient tout ce qui pouvait leur passer par la tête comme par exemple, se mettre nue à quatre pattes et se masturber pendant que l’autre regardait. Ou alors se mettre en ciseaux et se toucher à quelques centimètres l’une de l’autre, et sa position préférée, que ma mère soit allongée, et que sa cousine se place au dessus d’elle devant son visage pour se caresser. Elle aimait voir l’intimité de sa cousine s’ouvrir devant ses yeux, et l’odeur qu’elle avait également.

Moi : woao, vous faisiez tout ça ? Et avec ton cousin ?
Maman : avec mon cousin, c’était différent….

Il était toujours le nez dans ses livres, à vouloir jouer à celui qui sait tout sur tout, et un jour de pluie où ils étaient seuls à la maison, elle lui demanda de laisser ses livres de côté et parler avec elle. Bien sûr il n’accordait pas d’attention à ma mère alors, elle lui demanda de fermer les yeux, et lorsqu’il les ferma, elle s’était mise nue et s’installa sur le bureau devant lui en ouvrant ses jambes. Et quand il ouvrit les yeux, elle était entièrement nue devant lui, se caressant lentement. Elle lui avait demandé s’il s’était déjà masturbé, et sa réponse fut positive, alors elle l’invitait à faire de même devant elle. Depuis ce jour, les après midi lecture de son cousin ce sont transformés en après midi masturbation avec ma mère…

Moi : et est ce que aujourd’hui tu voudrais le refaire ?
Maman : oula non chérie, ils ont leur petite famille et tout ça est loin maintenant, alors je ne crois pas que ce serait possible
Moi : et si c’était possible ?
Maman : je ne sais pas, ça ferait bizarre ahaha
Moi : ahaha je crois aussi oui …

Ces moments avec ma mère me font toujours frissonner, le fait d’être nue l’une en face de l’autre et de se livrer complètement, mais je lui demandais aussi tout autre chose. Je voulais sortir, aller dans des endroits publics, et pourquoi ne pas profiter des prochains jours puisqu’elle est encore en congé.

Elle est très heureuse de mon idée, et me propose donc pour demain une journée shopping et un cinéma. Ceux à quoi je dis oui de suite, je veux vivre comme une ado normale, sortir, ne plus être timide alors ce soir je m’endors dans mon lit en pensant à ce que sera demain…

La nuit passée, je me lève en douceur, pas de réveil horrible qui sonne, seulement la lumière du jour qui pénètre dans ma chambre. Dans la cuisine je retrouve ma mère en sous vêtements et chemise de nuit, apparemment elle a dû avoir chaud durant la nuit. Le petit déjeuner avalé, on se prépare et nous voilà en voiture pour aller faire les magasins. Nous faisons plusieurs boutiques, quelques hauts achetés, des jeans et autres, mais également des sous vêtements, bien sûr pour moi, ce qui a de plus classique, mais du côté de ma mère, elle choisit quelques lingeries parfois simples et belles, mais aussi des lingeries transparentes.

En sortant d’une boutique, elle me propose de manger quelque chose dans un petit snack. Nous sommes tranquillement en train d’attendre notre commande, et un homme vient nous voir, il semble un peu perdu dans sa façon de faire, mais il essai tant bien que mal de parler avec ma mère dans l’espoir d’avoir son numéro ou autre…

Elle ne lui a pas donné de chance en lui disant qu’elle n’est pas intéressé, au fond de moi je suis un peu triste pour cet homme, mais il n’est pas très séduisant non plus alors je peux comprendre ma mère …

Moi : maman, s’il était plus séduisant, tu lui aurais dis oui ?
Maman : euh… je ne crois pas,  et il était aussi un peu lourd
Moi : pourquoi tu ne veux pas sortir avec quelqu’un ?
Maman : parce que je suis bien comme je suis… et peut être que ça pourrait te gêner de me voir avec un homme
Moi : Maman, arrête de penser en fonction de moi, et fais ce que tu veux aussi, moi ça me plairait de te voir sortir avec un homme
Maman : ahaha, ça fait tellement longtemps que je ne sais plus comment faire
Moi : tu pourrais essayer un site de rencontre, et comme ça je valide aussi ton choix (en lui faisant un clin d’œil)

Après une heure de discussion sur ce sujet, j’arrive à convaincre ma mère d’essayer au moins une fois de sortir avec un homme, et si l’expérience ne lui plaît pas alors je ne l’embêterais plus avec ça. Après avoir bien manger et discuter, nous voila au cinéma pour une bonne séance, le film est sympa, mais le plus important pour moi c’est ce moment entre ma mère et moi, et aussi le fait que je me sente beaucoup mieux en public, moins stressée, moins timide. Et pour tout vous dire, j’ai vraiment passé une bonne journée, et je me sens prête à remettre ça, et pourquoi ne pas sortir avec mes amis aussi.

Le soir chez nous je me mets sur notre ordi, à la recherche d’un site de rencontre convenable pour y inscrire ma mère, elle de son côté, rigole car l’idée lui semble un peu folle, mais elle garde un œil attentif. Au fond de moi je sais qu’elle est curieuse de voir ce que ça pourrait donner, je trouve un bon site, je lui choisis un pseudo et rajoute une description ainsi que deux ou trois photos.

Nous passons à table en discutant du site, elle a tout de même peur de tomber sur des fous cachant bien leur jeu, et c’est pour cela que je lui dis de bien dialoguer avec, avant de tenter une véritable rencontre. A la fin du repas je décide de voir un peu plus en détail le site, et je suis surprise de voir qu’elle a déjà eu quelques intéressés. Certains vivent assez loin, d’autres ne sont pas au goût de ma mère, mais au moins un retient son attention, et il répond au pseudo de « sucré-salé ». Nous éclatons de rire en se demandant bien ce qui pourrait être sucré salé chez lui, ma mère me dit qu’elle a sa petite idée, mais que pour moi c’est un peu trop tôt pour le savoir.

Je lui laisse l’ordinateur pour qu’elle lui réponde, et de mon côté je vais dans ma chambre. Une heure plus tard je retourne dans le salon pour voir ce que ma mère fait, et elle parle avec cet homme qui s’appel Bruno. D’autres sont venu lui laisser des messages, il y en a bien deux autres intéressants, mais pour le moment elle préfère se concentrer sur Bruno et voir ce que ça pourrait donner. C’est qu’elle y prend vite goût ma maman à ce site et ce Bruno, mais il n’est pas prévu qu’elle le rencontre très vite. Elle préfère prendre un peu de temps, de voir si il sera toujours là à discuter avec elle après quelques jours, et après elle prendra la décision de le voir si ça colle entre eux niveau dialogue.

Je peux vous dire que les jours suivants, je voyais ma mère comme une ado toute excitée de recevoir des messages, ils ce sont échangés quelques photos également, lui au ski, en vacance à l’étranger etc. Et finalement après deux semaines de dialogue, ma mère décide de le rencontrer pour prendre un café quelque part en ville, samedi après midi. Elle c’est faite toute belle, sans trop de maquillage, car je lui dis toujours qu’elle est belle au naturel.

Moi : tu es très belle, je suis sûr qu’il va adorer
Maman : je l’espère, mais ce n’est pas un peu trop là, ce petit haut ? Mes seins ressortent un peu trop non ?
Moi : tu es parfaite et pour tes seins je pense qu’il va être sous le charme hihihi
Maman : ok, ok, souhaite-moi bonne chance alors chérie
Moi : tout va bien se passer ne t’inquiète pas, et tu me raconteras tout ça ce soir hein

Elle est un peu nerveuse, mais c’est normal, après tout c’est son premier rendez vous avec un homme depuis des années, et c’est tout sourire que je la vois passer la porte. Je suis impatiente qu’elle revienne pour me raconter comment ça c’est passé
chapitre 15 image
Pour passer le temps, je range un peu l’appartement tout en écoutant ma musique, ma mère est partie depuis 30 minutes que je suis déjà impatiente de la voir pour qu’elle me raconte comment ça c’est passer. Je fais le tour de l’appartement, la cuisine, le salon, la salle de bain, tout y passe bien que je ne sois pas une maniaque de la propreté, je dois avouer que notre chez nous avait besoin d’un bon coup de nettoyage. Ma chambre quand je la regarde c’est vraiment une zone dangereuse, ma mère me demande souvent d’y faire un bon coup de ménage, ce que je fais d’ailleurs, mais en regardant de plus près, je suis bordélique.

Je ne m’annonce pas vaincue, mais je décide plutôt de passer par celle de ma mère avant de m’attaquer au plus gros chantier. En rentrant dans sa chambre, tout me paraît en ordre, elle ne m’interdit pas d’y entrer et de toucher à ses affaires mais je suis ici pour faire un peu de rangement, elle ne va donc pas m’en vouloir si je bouge quelques affaires.

Je soulève quelques affaires par ci, par là, et je tombe sur une culotte un peu à part, je la saisi et regarde du plus près et je constate que ma mère a du être excitée dernièrement, peut être à cause de ce fameux Bruno. Je rigole toute seule dans cette chambre, en imaginant ma mère se masturber ici en pensant à son rendez vous. Je tourne les yeux et mon regard se fixe vers son lit, je me pose la question, et soulève sa couverture pour trouver sur le drap une trace d’humidité.

Je commence a être excitée par l’idée que ma mère pourrait bien se donner du plaisir en pensant à cet homme, mais aussi avec cet homme.

Je les imagine, et doucement ma main trouve son chemin, dans ma culotte, il fait chaud, et humide. Je suis debout dans la chambre de ma mère, commençant à me toucher, et très vite je me mets à l’aise en enlevant tous mes vêtements. Je vois un miroir sur la commode, je le prends et le pose au sol devant moi, en m’installant assise jambes ouvertes. J’aime me regarder me faire plaisir, mes doigts, mon sexe, mes petits poils, et mon bouton que je caresse tendrement. Je suis totalement ailleurs, perdue dans mes pensées, déconnectée de tout ce qui m’entoure, je suis face à mon reflet, et je me donne du plaisir. Je sens monter mon plaisir, je le sens grandir, se concentrer en un point précis et au moment le plus intense, je sens mon corps qui se crispe, qui saccade, au point où je n’ai plus de force pour me retenir et m’allonge sur le sol entièrement nue…

J’aime me faire plaisir, j’aime ce moment où tout me paraît en suspend, je flotte dans un monde vide, et après quelques secondes je reviens à la vie. Ma respiration est courte. Je regarde autour de moi, me redresse et me décide d’aller prendre une douche pour reprendre mes esprits. Je reviens ensuite dans la chambre de ma mère pour remettre son lit comme il était et me dirige vers le salon pour regarder la télé en attendant ma mère. Pour ma chambre, je crois que j’ai perdu la bataille, mais je le ferais c’est promis.

Je zappe sur toutes les chaînes, je ne sais pas quoi regarder en fait, je fais passer le temps comme je peux et j’entends alors les clés dans la serrure. Je saute du canapé en direction de la porte et ma mère apparaît. Elle est surprise de me voir juste devant, elle pose ses affaires et de suite je lui demande de me raconter son rendez vous, en nous dirigeant vers le canapé.

Bruno sur les photos est assez beau, toujours souriant, et a l’air sûr de lui. Mais en vrai ma mère me dit qu’il est vraiment bel homme, plein de charme, et plus grand que ce qu’elle pensait. Pour vous le décrire, il à 42 ans, il fait 1,75 m, les cheveux brun court et légèrement gris sur le côté, et assez costaud.

Moi : et à part son physique il est comment ?
Maman : hummm, très posé, à l’écoute…
Moi : rien d’autre ?
Maman : ahaha chérie, je t’avoue que moi, j’étais tout intimidée de le rencontrer en vrai, j’ai perdu la main je pense ahaha… mais il a était très gentil, et ma mise à l’aise. On a parlé un peu de tout, de nos loisirs, nos préférences etc
Moi : et il te plaît ?
Maman : humm c’est peut être un peu trop tôt pour le savoir, en tout cas il est bien parti…
Moi : vous allez vous revoir ?
Maman : oui je pense, on doit se contacter

Je lui fais un énorme câlin, je suis heureuse de savoir que tout c’est bien passé. Son téléphone sonne sur la table basse, un message de Bruno qui dit avoir été agréablement surpris de ce rendez vous et qu’il aimerait prochainement remettre ça. A ce moment là ma mère a dû mal à me cacher son sourire timide, mais maintenant je sais que cette rencontre lui à fait le plus grand bien…

Après une bonne douche, elle me rejoint sur le canapé, je me blottis dans ses bras en regardant la télé. Elle a remarqué que j’avais fait le ménage et un gros rangement, je lui dis que j’étais impatiente et nettoyer avait été le moyen pour moi de mieux me contrôler, et elle rigole en me disant qu’elle ira plus souvent à des rendez vous....

Dimanche nous sommes restées toutes les deux à l’appartement, moi sur mon téléphone, et elle sur l’ordinateur. Elle avait reçu pas mal de nouveaux messages, elle répondait à certains pour faire connaissance, et je lui demandais si Bruno ne l’intéressait plus

Maman : si, il m’intéresse toujours, mais je sais qu’il va à d’autres rendez vous, et je me dis que je pourrais faire la même chose, pour sortir et voir ce que ça pourrait donner.
Moi : tu as prévu de voir quelqu’un d’autre ?
Maman : non pas pour le moment, certains ne semblent pas très intéressant, et d’autres ne veulent qu’une chose et ça se voit

Mais pour le moment elle est très bien comme elle est, et ne veut pas se précipiter dans une histoire amoureuse. Le début de semaine se passe bien. A l’école je suis beaucoup plus libre, je parle avec tout le monde, professeurs et élèves, mais mes préférés restent toujours Kévin et Estelle. D’ailleurs leurs vacances ce sont bien passés, je leur ai partagé mes expériences bien sûr en évitant les sujets intimes, et je leur ai proposé de sortir quelque part un samedi, afin de profiter d’eux en dehors de l’école. Ils sont heureux que je puisse enfin affronter les lieux publics sans pour autant faire une crise de panique, et c’est avec joie que l’on essai de s’organiser cette sortie.

Ce mardi soir en rentrant chez moi, je reçois un message de ma mère qui me dit « chérie, Bruno m’invite à boire un verre après le travail, donc ne m’attends pas. Bisous je t’aime ». Je suis toute heureuse dans la rue en voyant ce message, je rentre dans l’appartement et décide des faire mes tonnes de devoirs en attendant qu’elle rentre. 19H30 ma mère rentre de ce petit rendez vous improvisé, apparemment Bruno semble très intéressé par maman, puisqu’il lui a proposé de dîner ensemble ce vendredi dans un petit restaurant. Elle cache bien sa joie, mais je la vois excitée de cette nouvelle rencontre avec lui. Elle me raconte qu’à la fin, il lui a saisi la main en déposant un baisé sur sa joue à proximité de ses lèvres.

D’ailleurs, elle en est encore toute retournée, et ça me plaît de voir ma mère ainsi. Bien sûr arrivé à vendredi soir, elle passe près d’une heure dans la douche pour se préparer. Je l’ai aidé aussi à choisir une robe, pendant l’essayage de plusieurs modèles, j’ai remarqué qu’elle avait mis la petite lingerie récemment acheté. Ce n’est pas celle transparente mais ça reste très excitant de la voir ainsi, et quand on a fini par trouver la robe parfaite, je peux vous dire qu’elle est tout simplement sublime….

Il est pratiquement 19H30, son taxi l’attend en bas de l’immeuble, je la serre très fort dans mes bras avant qu’elle ne parte. Ma soirée fut assez triste, je ne suis pas encore habitué à être seule comme ça aussi longtemps, mais je trouve un peu de quoi m’occuper, vu que ma chambre est toujours en bordel. Alors je me lance en espérant ne pas voir le temps passer, je tri, je jette, je fais la poussière et range, on dirait une folle à 20H30 avec son balai, ses lingettes et tout l’attirail possible. Je finis ma mission aux alentours de 23H, pour vous dire le chantier, mais ce qui est bien, c’est que je n’ai pas vu le temps passer. Je vais à la douche après tout ce que j’ai fait là, j’en ai bien besoin, et devant le miroir, je me regarde, et repense à ma cousine, Karine.

Lorsque j’ai passé ma main entre ses cuisses j’ai pu remarquer au touché, qu’elle n’avait pas de poils, sa peau était totalement lisse, alors je me dis pourquoi ne pas faire un peu de ménage ici aussi. Je prépare ce qu’il faut et je m’installe au sol devant le grand miroir de la salle de bain, afin de mieux voir ce que je fais, me voilà nue, j’étale la mousse sur mon intimité, et je passe tout doucement le rasoir.

Je m’applique, tout en me regardant dans le miroir pour voir ce que ça donne, et au final, je fais petite fille. Mais la sensation de douceur me va très bien, je redécouvre mon sexe, je me touche, je me regarde en écartant mes lèvres, puis je vais sous la douche pour me laver, tout en me caressant. L’eau chaude me fait du bien, et ma main aussi, je jouis assez vite, je n’ai pas pris le temps comme d’habitude, mais le plaisir y est.

Je m’habille et mange quelque chose de léger, minuit et maman n’est toujours pas là, je m’inquiète un peu, c’est normal, et je m’endors tranquillement dans le canapé pour être sûr de l’entendre lorsqu’elle rentrera ….
chapitre 16 image
Dans mon sommeil, j’entends du bruit, mais c’est si loin, j’ai vraiment du mal à ouvrir les yeux, une main se pose sur mon épaule, et j’entends la voix de ma mère me dire qu’elle est rentrée.

Maman : Chérie, lève-toi, chérie …
Moi : hummm il est quelle heure ?
Maman : il est 00H45, je suis désolée d’être rentré aussi tard ma puce
Moi : mais non c’est rien ….. humm c’était bien … ta soirée ?
Maman : tu ne veux pas aller dormir, et on parlera de ça demain ?
Moi : tu ne veux pas me raconter ?
Maman : si mais tu es fatiguée et moi aussi, je vais me prendre une douche et je vais aller dormir…
Moi : d’accord mais demain tu me racontes tout…
Maman : oui c’est promis

C’est la tête encore endormie que je me dirige vers ma chambre, et je me pose à peine sur mon lit que je m’endors aussitôt.

J’avais vraiment besoin de dormir, je me réveil doucement, et me demande quelle heure il est. Je regarde mon téléphone 9H10, et ma mère où est-elle ? Je me lève en sursaut et me dirige vers le salon, personne.

Je vais vers sa chambre, j’ouvre la porte, et elle est là encore endormie. Je me sens rassurée, mais mon intrusion la réveillé elle aussi…

Moi : pardon maman je t’ai réveillé…
Maman : hummm il est quelle heure ?
Moi : 9H10, je te laisse te reposer, j’ai juste paniqué à mon réveil, je pensais que tu n’étais pas rentré
Maman : oh ma chérie, viens là avec moi …

Je me dirige vers son lit, ma mère ouvre sa couverture et me fait une place, me voilà tout contre elle et je suis rassurée. Elle me demande de fermer encore un peu les yeux, et de dormir, car elle est encore fatiguée. Il ne me faut pas longtemps pour replonger dans un sommeil, malgré le fait que je suis curieuse à propos de sa soirée.

Je sens ma mère bouger, et je sors petit à petit de mon sommeil, j’ouvre les yeux et la voit me sourire tendrement …

Maman : Bonjour ma chérie, tu as bien dormie ?
Moi : oui et toi ?
Maman : oui très bien aussi merci
Moi : alors raconte-moi, comment c’est passé la soirée ?!!

Elle me raconte alors d’une voix douce, que la soirée c’est très bien passé, qu’il a était très galant, et qu’il était très beau lui aussi. Ils ont beaucoup discuté encore, malgré le fait qu’il ait déjà pas mal échangé sur beaucoup de sujets, ils ont encore des choses à se dire, à découvrir. Ils ont parlé de moi, et aussi de ses enfants, une fille de mon âge et un garçon de dix ans.

Il n’est plus avec sa femme depuis 1 an maintenant mais la procédure de divorce traîne un peu à cause de son ex. ils ont en longuement parlé pour mettre les choses à plat, et surtout pour être sincère avec ma mère sur sa situation. Il aime être sincère avec les femmes qu’il a pu rencontrer, sa fille, elle, est assez dur envers lui, du fait peut être qu’il rencontre d’autres femmes.

Au fil de la soirée, ils se sont un peu rapprochés, il lui a saisi la main sur la table, en la caressant doucement. Ma mère était aux anges, elle ne pensait pas trouver quelqu’un comme ça au premier rendez vous, et elle s’estime chanceuse. Le dîner fut très bon tout comme le dessert, puis ne voulant pas se quitter trop vite, ils ont marchés un peu dans les rues, en se parlant encore et encore.

Puis ma mère commençait à être fatiguée, avec sa journée de boulot également, et le froid commençant à s’intensifier. C’est Bruno qui s’est proposé de la raccompagner dans sa voiture, ils ont donc roulés doucement, en prenant le temps de faire quelques détours. Je souris quand elle me raconte tout ça car ils sont trop mignons à ne pas vouloir se lâcher l’un l’autre, puis elle est rentrée…

Moi : quoi …. C’est tout ? Ça ne peut pas finir comme ça ?
Maman : et bien si ….. Voilà tout …
Moi : tu me caches quelque chose, dis moi tout…. Aller maman (en la chatouillant)
Maman : ahahaha ok….ok….. il s’est passé quelque chose oui …
Moi : vas y dis moi … je veux savoir … sinon ….

Je pointe alors mon doigt vers elle, menaçant de la chatouiller de nouveau jusqu’à ce qu’elle me dise tout…

Maman : ok, ok, …. On s’est embrassé….
Moi : vas y développe … (en la chatouillant de nouveau)
Mama : ahaha c’est bon je te dis tout …. Quand on est arrivé en bas de l’immeuble, il m’a raccompagné jusqu’à la porte du hall. J’ai vu qu’il ne voulait pas me lâcher et moi non plus d’ailleurs, alors je l’ai fait rentrer dans le hall pour que l’on soit au chaud. Pendant qu’il me parlait il s’est rapproché, a passé sa main dans mon dos et il a posé ses lèvres sur les miennes.
Moi : woao c’est super et ?
Maman : et j’ai tout de suite répondue en s’embrassant comme des fous …. Et voilà…
Moi : tu ne veux pas tout me dire tu as honte ?
Maman : ça ne te gêne pas que je te raconte tout ça ?
Moi : maman on s’est raconté des choses très intimes, et je suis très heureuse que tu vois un homme, donc non ça ne me gêne pas, et oui je veux tout savoir hihihi (rire coquin)
Maman : d’accord, tu as raison, pas besoin de se cacher ces choses là. …. Il m’a embrassé et m’a plaqué contre le mur du hall, on a commencé à bien se chauffer. Il embrasse très bien, et sa main s’est posé sur ma poitrine, j’ai vraiment aimé redécouvrir cette sensation, d’être désiré, et il a posé ses deux mains sur ma poitrine en me plaquant complètement au mur. Et j’ai moi aussi posé ma main sur lui et plus précisément sur son entre jambe, où, j’ai très bien senti qu’il était tendu.
Moi : et vous l’avez fait dans le hall ?
Maman : non pas du tout, je me suis arrêtée à un moment lui disant que c’était trop tôt pour ça, et que je ne voulais pas ramener d’homme chez moi, car toi et moi on en a pas parlé.
Moi : tu veux parler de quoi ?
Maman : est ce que ça te gênerait si je ramène un homme à la maison ?
Moi : euh … non je ne crois pas, tu peux faire ce que tu veux maman, tu avais envie de lui ?
Maman : oui très….
Moi : tu aurais dû t’écouter alors, je n’aurais rien dis
Maman : mais on aurait fait du bruit dans ce petit appartement
Moi : ahaha…. On s’est surprise toute les deux à se masturber, ne t’inquiète pas pour le bruit la prochaine fois.

Je vois alors que ma mère est très satisfaite de notre accord, et je lui dis qu’après tout je ne peux rien lui dire, elle est ici chez elle, et si elle veut ramener un ou plusieurs hommes c’est elle que ça regarder, et que j’en serais très heureuse pour elle.

Après ces confidences au lit, nous nous sommes levées, et avons pris le petit déjeuner. Elle avait reçu un message de Bruno, disant qu’il était très de heureux de sa soirée et qu’il espère de nouveau être avec elle et plus. C’est ce petit « plus » qui a mis ma mère dans tout ses états au point de lui répondre « pourquoi pas ici, et maintenant ? »

Elle eu à peine le temps de poser son téléphone, qu’un nouveau message sonnait, celui de Bruno « J’arrive »

Je me suis dis ok, il va y en avoir deux qui vont s’amuser comme des fous, alors aussitôt je sautais sur mon téléphone pou savoir ce que mes amis faisaient. Histoire de leur laisser de l’intimité et de toute façon je devais organiser quelque chose avec Kévin et Estelle. Mes amis m’ont répondu assez rapidement me proposant une sortie au bowling, ce à quoi je répondis oui avec grand plaisir.

Je vais à la douche pour me préparer, pendant que ma mère, fait un peu de rangement. Je me change tranquillement j’ai encore 30 minutes avant qu’Estelle et sa mère viennent me chercher. Je suis dans le salon, mettant mes chaussures au moment où, j’entends sonner à l’interphone. Ma mère s’empresse de répondre et j’entends la voix de Bruno lui dire qu’il est en bas, elle lui ouvre la porte, on l’entends monter dans les escaliers et le voila dans notre appartement.

Il est un peu gêné en me voyant, pensant que si ma mère l’invitait à la rejoindre, c’est que je serais absente, et non. On se présente, et malgré sa gêne il engage la conversation avec moi, c’est vrai qu’il a l’air gentil, et au bout de quelques minutes mon téléphone sonne. C’est Estelle qui me dit qu’elles m’attendent en bas, je décide donc de saluer Bruno, et de dire avant de disparaître par la porte …

Moi : euh….. et pas de bêtises … (d’un sourire coquin)

J’entends ma mère rire en refermant la porte et me voilà partie pour ma première sortie avec mes amis. Estelle est toute heureuse de me voir, on s’embrasse comme des folles et direction le bowling où Kévin doit nous rejoindre. C’est la première fois que je vais en faire, mais c’est aussi ma première sortie sans ma mère, alors Estelle me mitraille de photos pour garder des souvenirs de cette journée.

Au bowling il y a pas mal de monde, certains viennent entre amis comme nous, et d’autres en famille, mais tous dans le même objectif, s’amuser et passer un bon moment. Je découvre le lieu, les principes du jeu, et surtout les sensations que l’on peut avoir en faisant tomber toutes quilles ou en allant directement dans les gouttières, comme ce fut bien souvent mon cas. Je dois avouer, je n’ai pas été superbe sur la piste, mais alors qu’est ce que je me suis amusée, les photos, sourires, grimaces, et même des vidéos où je réussi parfois des Strike.

Le temps passe rapidement lorsqu’on est bien entouré, et que l’on s’amuse, mais après avoir passé l’après midi au bowling, la mère d’Estelle me raccompagne à mon immeuble, avant d’aller déposer Kévin. Je leur fait de gros bisous, avant de les voir partir, et rentrer dans le hall direction mon appartement. Après tout ce temps j’espère que ma mère et Bruno ont en bien profités, mais j’arrive tout de même sans trop faire de bruit. J’ouvre la porte et la referme doucement, je ne vois personnes mais je devine des bruits venant de la chambre de ma mère.

Je me dirige vers le couloir et me colle à la porte de ma mère pour entendre ce qui s’y passe, toute l’après midi j’ai essayé de ne pas y penser, et maintenant que je sais qu’ils sont encore dans cette chambre, je suis curieuse. Je les entends parler assez fort, sans retenue, pensant sûrement que je suis encore avec mes amis…

Bruno : tu es vraiment une très belle femme…
Maman : ahaha…tu dis ça mais je suis toute en sueur
Bruno : et bien tu es très belle dans l’effort ahaha
Maman : tu as envie de remettre ça ?
Bruno : et ta fille elle rentre à quelle heure ?
Maman : elle m’envoie un message pour me dire quand elle rentre, ne t’inquiète pas
Bruno : d’accord alors je veux te satisfaire encore et encore
Maman : hummm alors occupe toi de moi avant, vient me lécher mon beau brun…

J’ai complètement oublié d’envoyer un message, pour lui dire que je quittais le bowling, mais je n’en crois pas mes oreilles, entendre ma mère parler sans retenue et imaginer ce qu’ils peuvent bien faire dedans cette chambre m’a terriblement excitée, je rentre dans ma chambre en fermant bien la porte derrière moi. Je me déshabille complètement et me voilà dans mon lit à me masturber pendant que ma mère se fait lécher. Je m’imagine aussi avoir les douceurs d’une langue, à travers le mur je n’entends pas très bien, mais bientôt j’entends ma mère gémir très fort. Je me caresse, jambes grandes ouvertes, les gémissements de ma mère ne font que provoquer en moi une chaleur intense…

Maman : AH ! Ah ! Stop ! Stop ! …….
Bruno : tu as un goût délicieux
Maman : oui mais arrête, c’est sensible…. Allonge-toi et laisse-moi m’occuper de toi maintenant
Bruno : oui Madame

Je n’ai jamais arrêté mes caresses et maintenant je me demande, j’imagine le sexe tendu de cet homme avec ma mère. Le seul sexe que j’ai entre vue est celui de Jordan, alors naturellement je pense à lui, à ce qu’il aurait pu me montrer de plus, je m’imagine le sucer, je m’imagine faire comme dans les vidéos que j’ai pu voir. Le sucer tout en le regardant dans les yeux, avec ma main gauche je mets 2 doigts dans ma bouche pour simuler une fellation pendant que je me touche.

Bruno : hummmm viens là ma belle
Maman : hummm oui vas y je suis bien chaude là
Mon dieu, si je ne devais pas être aussi discrète, ça fait longtemps que j’aurais également gémi très fort. Et en parlant de gémissement, ce sont ceux de ma mère que j’entends très nettement, même à travers le mur, Bruno lui fait plutôt des bruits plus sourd, plus grave, et la tête de lit donnant contre le mur de ma chambre, je peux vous dire que j’ai ressentis les vas et viens assez brute de Bruno…
Maman : oh oui ! Oh ouiiii

A l’écouter, j’ai l’impression que ma mère souffre, mais qu’en même temps elle aime ça, je ne sais pas quelle sensation on a encore en faisant l’amour avec quelqu’un, mais en tout cas, tout ceci me donne très envie de découvrir, de gémir, de jouir. Et très vite mon plaisir monte en flèche, j’accélère mes mouvements de la main, tout comme Bruno accélère ses coups de reins envers ma mère. La tête de lit tape vraiment très fort maintenant et j’entends ma mère crier de plaisir. Je ne tiens plus j’accélère mes doigts sur mon bouton, je n’en peux vraiment plus de toute cette tension entre mes cuisses, que je jouis comme une folle en étouffant mes cris avec mon oreiller, en écoutant les amoureux taper encore…

Maman : ouiii ouiii Ouiii OUIIIII aaAAAAAHHHH !!!
Bruno : AAAAAAAAAhhh…..AAAAAhhhh

C’est le calme plat….

Je respire à peine, faire l’amour ça doit être tellement bon, j’envie ma mère, et le plaisir qu’elle a pu ressentir. Je les entends parler et rire, mais j’essaie de me ressaisir, je ne dois pas être là normalement, alors je me rhabille en vitesse en ne faisant pas de bruit, puis une fois prête j’envoie un message à ma mère.

Maman : ah c’est ma fille, elle quitte le bowling, on devrait aller à la douche avant qu’elle n’arrive
Bruno : oui, c’est vrai, on y va ensemble ?
Maman : bien sûr que je t’accompagne hihihi
J’entends sa porte s’ouvrir et les deux amoureux se faufiler dans la salle de bain, l’eau coule, je peux sortir de ma chambre discrètement. Je sors de mon immeuble en attendant environ 20 minutes en bas, puis je remonte de façon normale, jusqu’à ouvrir la porte….
chapitre 17 image
Quand j’ouvre la porte, je peux les entendre parler normalement dans le salon, je les salut tous les deux, ma mère se lève et me serre très fort dans ses bras me demandant comment ma sortie s’est passé. Je leur raconte mon après midi en survolant un peu les grandes lignes, j’ai aussi quelques photos que je montre toute fière de ma sortie et je leur demande comment ça c’est passé pour eux…

Ils se regardent dans un moment de silence, ne sachant pas quoi répondre à ma question, puis je les soulage en leur disant que je rigole. Bruno dit à ma mère qu’il nous laisse tranquille, et qu’il rentre chez lui en attendant avec impatience les prochains messages de ma mère, mais elle l’invite à rester avec nous, pour quelques crêpes maison afin que je fasse mieux connaissance avec lui.

Il semble un peu gêné mais pourquoi pas, après tout il ne voudrait pas venir voir ma mère en cachette, alors nous voilà tous les trois dans la cuisine. Bruno me pose pas mal de questions, sur l’école, mes amis, il me parle aussi de sa fille Mégane, du même âge que moi, et en me regardant il trouve que je lui ressemble vraiment physiquement. Mais niveau caractère elle est devenue bien plus difficile depuis l’annonce de la séparation, il aime vraiment ses enfants, mais la situation avec sa femme, puisque légalement ils sont toujours mariés, n’arrange pas les choses.

Il a également un fils de 10 ans qui s’appelle Matéo, lui est toujours aussi gentil, bien qu’il soit tout de même affecté par cette séparation. Bruno semble être le père de famille aimant et juste mais je me demande ce qui l’a amené à vouloir rompre avec sa femme. Ma mère me dit que la situation est compliquée, et qu’il ne faudrait pas déranger Bruno avec mes questions sur son mariage.

Je comprends tout à fait, en je m’excuse si parfois mes questions peuvent être indiscrète. Pour changer de sujet, et penser à autres choses, Bruno nous demandes si une sortie au cinéma nous tente. Je suis toujours partante pour un bon film, c’est oui pour moi et pour ma mère également. Nous prenons la voiture de Bruno, sur le trajet je les laisse parler tranquillement et arriver au cinéma, nous choisissons un film à l’affiche. Dans la salle, je regarde ma mère et Bruno, ils forment vraiment un beau couple, je me demande si un jour je rencontrerais ses enfants et comment je m’entendrais avec eux si nous devions former une famille recomposée.

Mais pour le moment, le film se lance, et je suis plongée dans l’histoire. Une histoire bien triste, qui me laisse verser quelques larmes au bout d’un moment. A la fin de la séance je remarque les yeux rouges de ma mère, elle est très émotive aussi concernant les films, je tiens bien ça de ma mère. Pour finir la soirée, direction un fast food, je commence à bien l’aimer ce Bruno, en dehors du fait qu’il fait très bien crier ma mère, reste à voir si il restera toujours ainsi, ou si c’est juste une façade pour gagner des points auprès de ma mère.

Après cette soirée, Bruno nous dépose devant notre immeuble, je le vois embrasser tendrement ma mère pendant que je suis devant la porte du hall à attendre qu’elle sorte de la voiture. Une fois dehors de la voiture il nous salut toutes les deux et le voilà parti, nous rentrons chez nous et ma mère va directement dans sa chambre pour changer ses draps. Je viens lui demander si elle a besoin d’aide, puisque d’habitude nous faisons cela à deux. Mais en entrant je peux vous dire que ça sent bizarre et d’ailleurs ma mère rigole en me voyant faire une grimace quant à l’odeur…

Moi : c’est quoi cette odeur ? (l’air dégouté)
Maman : ahahaha… euh c’est l’odeur du sexe ma chérie
Moi : sérieux vous avez passés toute l’après midi à ça ?
Ma mère rigole, les draps changés et la chambre un peu aérée, elle me dit qu’elle me répondra une prochaine fois, vu qu’elle est fatiguée, et qu’elle aimerait passer une bonne nuit. Je suis également du même avis concernant un bon dodo.

Je me dirige avant tout vers la douche, et en retirant ma culotte je sens effectivement le sexe moi aussi, ayant remis aussitôt mes vêtements après m’être masturbée. Une fois propre je rejoins mon lit dans lequel je trouve un sommeil profond…

Dimanche matin, c’est une maman en superbe forme que je retrouve dans la cuisine, un bisou, et un câlin, je me prépare mon chocolat pendant qu’elle me sort les crêpes restantes. Nous ne parlons pas trop le matin habituellement, mais là j’étais curieuse, alors …

Moi : ça a l’air bien sérieux avec Bruno…
Maman : Pourquoi ? Tu ne voulais pas que je trouve quelque chose de sérieux ? (l’air étonné)
Moi : non ce n’est pas ça, je pensais juste que tu profiterais de rencontrer des hommes avant de trouver le bon …
Maman : ce n’est peut être pas le bon …
Moi : hein ? Mais tu es amoureuse non ?
Maman : hummm non… J’ai des sentiments, il en a aussi, mais pour le moment on ne se considère pas en couple… c’est trop tôt
Moi : et vous vous voyez comment ?
Maman : comme des personnes qui s’entendent bien et qui passent du bon temps. Tu sais sa situation avec sa femme n’est pas encore très clair, il est toujours marié à elle, donc je ne veux pas m’engager pour le moment et lui non plus.
Moi : d’accord, c’est pour ça que tu discutes avec d’autres hommes encore ?
Maman : voila, et lui aussi, donc pour le moment je suis libre de voir qui je veux, mais je te rassure, je ne vais pas ramener tous les hommes avec qui je discute ahaha
Moi : c’est vrai que ça ferait bizarre mais après tu es libre de te faire plaisir
Maman : oh ne t’inquiète pas pour ça chérie, maman sait très bien se faire plaisir toute seule aussi ahaha (en me faisant un clin d’œil)

Nous rigolons toutes les deux en cœur dans la cuisine, puis je lui demande quand est ce qu’elle compte revoir Bruno. Elle me dit pas avant 3 semaines en gros puisqu’il va souvent être en déplacement pour son travail, et qu’il n’aura pas forcément de temps pour lui quand il rentrera pour un voir deux jours. Un peu de distance ne fait pas de mal selon elle, ça permet à deux personnes de mieux se retrouver quand l’occasion se présente. Et par la même occasion prendre du temps pour soit, se poser, et voir si les sentiments sont toujours sincères envers l’autre.

Pendant 2 semaines, je l’ai vu échanger des messages avec Bruno, mais aussi avec d’autres hommes sur le site, mais aucun autre n’a pu retenir son attention. Moi de mon côté, je commence à ressentir une attirance pour un garçon de l’école. Il s’appelle Guillaume, il à mon âge, il est un peu plus grand que moi en taille, assez mince, brun, aux yeux bleus. Il est très simple comme garçon, ne fait pas de sport, et n’est pas non plus très populaire, mais il est très gentil. Mais pour le moment je ne suis pas totalement attirée, je ne suis pas arrivée au point de me caresser en pensant à lui, et en parlant de caresse….

Dans la nuit de samedi à dimanche, ne dormant toujours pas, j’étais sur l’ordinateur, regardant des bêtises. Je regardais aussi l’historique voulant retrouver une vidéo dont je n’avais plus le nom en tête, et je vois que récemment des pages de sites x ont été ouvertes. Je pense que ma mère s’est donné du plaisir dans la semaine en regardant ces vidéos, alors curieuse comme je suis, je décide de cliquer sur un des liens et voir ce qui a bien pu l’exciter.

Je commence à visionner la première vidéo, un homme plutôt pas mal et bien monté, avec une femme dans une maison luxueuse, je sens déjà cette chaleur monter en moi, mais la vidéo ne me plaît pas pour autant. Alors je clique sur le deuxième lien, là encore, un couple faisant l’amour, je commence à mettre ma main entre mes jambes pour me caresser lentement, mais je suis curieuse et je veux voir toutes les sortes de vidéos qui peuvent exciter ma mère.

J’avance dans l’historique et découvre au fur et à mesure les vidéos, il commence à faire très chaud pour moi, alors je me mets à l’aise. J’aime être complètement nue lorsque je me caresse, regarder mes seins, mon sexe, et me savoir nue m’excite beaucoup. Mes doigts dansent avec mon bouton, pendant que je regarde la vidéo de deux hommes s’occupant d’une femme. J’ai déjà regardé ce genre de vidéos en ayant parcouru des sites, mais c’était toujours une suggestion pour une vidéo suivante et non une véritable recherche.

Je me demande si c’est le cas pour ma mère, si elle fantasme vraiment sur ce genre de rapport. Je clique sur le lien suivant dans l’historique, et je vois apparaître sur l’écran deux femmes, je lance la vidéo et ce sont bien deux lesbiennes que je regarde là. Je n’avais jamais regardé ce genre de vidéos, et pourtant j’en ai vu des sites, et savoir que ma mère a pu se faire plaisir en regardant ces deux femmes, je me sens excitée au plus haut point. Je décide alors de laisser tourner la vidéo, de me caresser devant cette scène, et c’est très doux, sensuelle, je me sens troublée, et je trouve que c’est beau à voir.

Je me caresse de plus en plus vite, dans mon casque, je peux entendre ces deux femmes gémir, elles sont belles, le sexe entièrement lisse comme le mien. Mes doigts tournent sur mon bouton, pendant que de ma main gauche je me caresse la poitrine, mon cou, mes cuisses, j’aime effleurer mon corps tout entier pendant mes plaisirs solitaires.

Je ne lâche plus l’écran des yeux, la vidéo dure très longtemps, et je fais en sorte de faire durer mon plaisir. Lorsque je me sens venir, j’arrête de me toucher pour me concentrer que sur mes seins, laissant le temps de faire redescendre la pression. Je suis dans tous mes états, je voudrais me faire jouir là tout de suite, mais je veux aller jusqu’au bout de cette vidéo. Je ne sais pas combien de temps a pu tenir ma mère, mais je veux le faire, je suis limite en train de me torturer tellement je voudrais venir.

Mais j’attends encore, mes doigts sont complètement trempés, l’odeur de mon sexe humide me fait pratiquement chaviré, je n’en peux vraiment plus. Aussi lorsque je vois ces deux femmes dans une position où elles se mettent face à face en prenant soin de coller leur sexe l’une à l’autre, et lorsque je les entends gémir de plaisir en se frottant l’une contre l’autre, je ne tiens plus du tout.

Je me caresse aussi vite que je peux, elles sont belles, et elles accélèrent elles aussi. Le rythme de leurs bassins va très vite, je me perds complètement, je me masturbe aussi vite et aussi fort que je peux. Et dans une synchronisation parfaite, les deux actrices et moi-même jouissant au même moment….

Je suis là sur ma chaise, la tête en arrière, je reprends mon souffle avec beaucoup de mal, mais quel plaisir j’ai eu là. Je n’en reviens pas que cette scène a pu me faire autant d’effet, je reprends mes esprits tout doucement, mon souffle encore court, mes doigts complètement trempés. Je saisi la souris et je clique pour fermer la page, et je vois la lumière du couloir s’allumer…

Mince, ma mère se réveil, et si elle me voit là entièrement nue … puis je me dis que la situation n’est pas grave, puisque nous avons convenus que c’est une chose normal que de se masturber et que nous respectons l’intimité de l’autre quant à se faire plaisir.

Et là je suis surprise de voir apparaître ma mère entièrement nue, je retire mon casque tout en la regardant d’un air étonné…

Maman : tu t’es bien fait plaisir ma chérie ?
Moi : maman ? Mais tu fais quoi toute nue dans le couloir ?
Maman : je me suis levée pour boire un verre, et je t’ai surprise dans le noir
Moi : …. Et … et

Elle s’approche de moi tout en douceur et me pose un baisé sur mon front…

Maman : tu veux venir prendre un bain avec moi ? Tu en as besoin aussi, et on pourra parler plus facilement je le sais…

Elle me prend la main et m’entraîne avec elle jusqu’à la salle de bain, l’eau coule, il est tard, mais ni elle ni moi sommes fatiguées, alors pourquoi ne pas profiter d’un moment intime mère fille, que nous n’avons pas eu depuis un moment déjà.

Maman : tu te sens mieux ma chérie ?
Moi : oui maman, j’ai eu un peu de mal à parler tout à coup
Maman : je sais… peut être que je t’ai un peu trop surprise, excuse moi
Moi : ce n’est pas grave, je dois apprendre à me contrôler et faire face à tout ce qui pourrait me surprendre ou me choquer…… Mais tu t’es masturbée ?
Maman : oui
Moi : en me regardant ?
Maman : oui
Moi : euh…
Maman : au départ je voulais te laisser seule à ton plaisir, puis je n’ai pas pu me retirer. J’étais troublée, curieuse, et j’ai repensé à la fois où tu m’as vu. Que tu t’es masturbée dans le noir en me regardant faire de même, et naturellement j’ai finis par faire comme toi.
Moi : et tu t’es mise nue comme moi la dernière fois… je vois. Et ça t’a plu ?
Maman : au début ça m’a fait bizarre, et maintenant je comprends un peu l’excitation que tu as ressentie en me regardant. Et toi comment tu te sens là ?
Moi : c’est vrai que ça fait un peu bizarre également de savoir que j’ai pu être observée… mais si ça t’a plu, alors je suis satisfaite.
Maman : nous sommes de vrais coquines ahaha
Moi : ahaha
Maman : et dis moi… depuis quand es tu entièrement rasée ?
Moi : depuis quelques semaines, j’ai voulu faire comme Karine
Maman : je vois, en tout cas ça te va très bien
Moi : merci. Maman les vidéos que j’ai regardées ce soir, sont celles que tu as visionnées dans la semaine
Maman : d’accord et ?
Moi : tu as regardé des vidéos de lesbiennes, c’est un fantasme que tu veux réaliser ?
Maman : hummm en fait oui et non. Ce sont avant tout des vidéos sur lesquelles je me fais plaisir, et regarder deux femmes faire l’amour ne signifie en rien que l’on souhaite réaliser ce fantasme.
Moi : et pourquoi oui ?
Maman : je me dis que si un jour ça arrive, je ne serais pas contre l’expérience avec une femme. Mais ça doit arriver de manière spontanée, et non organisée parce que je le souhaite. Vivre le moment tel qu’il est, pour moi, c’est là que je vais ressentir le plus de plaisir. Tu comprends ?
Moi : oui je comprends

Ma mère se lève devant moi, et me demande mon avis, elle voudrait faire plaisir à Bruno pour leur prochaine rencontre, et elle se demande si elle doit entièrement se raser ou non. Je lui dis que pour moi, moins de poils serait parfait, mais pas non plus lisse, alors pourquoi pas un ticket de métro. Je la vois sortir de la baignoire, alors je fais de même. Elle me dit qu’elle essaiera cette idée, et qu’elle me demandera à nouveau mon avis quand ce sera fait. Je lui dis avoir hâte de voir le résultat et elle rigole en me pinçant la joue, et en rajoutant que je suis coquine.

Je pense qu’elle est impatiente de sa prochaine rencontre avec Bruno, j’ai aussi hâte de voir si elle va le ramener à nouveau chez nous, et si c’est le cas, je risque de ne pas pouvoir me retenir…
chapitre 18 image
Au cours de cette troisième et dernière semaine à attendre le retour de Bruno, ma mère semblait à l’extérieur très calme, mais au fond d’elle je sais qu’elle était impatiente de son retour. Le jeudi soir je suis installée paisiblement devant la télé lorsque ma mère sort de la salle de bain et vient se poser devant moi en serviette, puis l’ouvre et la retire complètement pour se retrouver nue devant moi….

Maman : alors tu me trouves comment ? (en me parlant de son sexe rasé en ticket de métro)
Moi : woao, c’est vraiment pas mal ça change
Maman : c’est vrai ? J’ai bien réussi alors ?
Moi : pour moi oui, c’est Bruno qui va être content ahaha
Maman : ahaha je l’espère en tout cas (en partant vers sa chambre)

J’adore voir ma mère dans cet état, le fait d’avoir rencontré Bruno, et qu’il la désire la change complètement. Elle est toute joyeuse, et j’espère vraiment vivre la même chose un jour. Vendredi soir, je la vois rentrer du travail, elle me salut comme à son habitude, nous parlons un peu de nos journées respectives, avant de la voir disparaître en direction de sa chambre et la salle de bain.

Comme la dernière fois elle met près d’une heure à se faire toute belle pour son rencard, puis elle m’appelle pour choisir sa tenue. Je la trouve dans la chambre dans sa petite lingerie transparente cette fois, je peux vous dire que la voir ainsi vous fait de l’effet. Après avoir essayé plusieurs robes, elle opte pour une de couleur blanche, près du corps, un petit bijou de poignet, et un rouge à lèvre discret.

J’entends sonner à l’interphone, ça doit être Bruno, alors je vais lui ouvrir en attendant que ma mère termine de se préparer. Bruno entre dans l’appartement et lui aussi est plutôt chic, il me fait la bise, et nous parlons un peu en attendant ma mère. Je le regarde attentivement, et je trouve franchement que ma mère à bon goût, est ce que je pourrais le voir comme mon beau père ? Je ne le sais pas encore, mais comme on dit, l’avenir nous le dira.

Ma mère a finis de se préparer, et Bruno la découvre, je rigole en voyant sa tête. Il pourrait presque baver devant elle. Il s’avance lentement puis dépose un baisé sur sa joue tout en douceur, comme si elle était une fleur fragile. J’immortalise ce moment avec une photo, et ils sont trop beaux…

Maman : ma chérie, on va te laisser, en cas de problème tu m’appelle…
Moi : maman…
Maman : pour manger ce soir, tu as des pattes et …..
Moi : maman …. C’est bon, je gère, je vais me débrouiller
Bruno : Tu as une grande fille Nadège, ne t’inquiète pas…
Maman : oui je sais, mais je m’inquiéterais toujours, c’est mon bébé…

C’est qu’elle est pratiquement sur le point de verser une larme, je ne veux pas qu’elle ruine son maquillage, alors je me lève et les pousses tous les deux dehors. Ma mère se met à rire, et comprend que je grandis, que je sais m’occuper un minimum de moi, et qu’elle peut aller avec Bruno sans problème.

Je referme la porte, et je les entends descendre les escaliers, ah… je pensais vraiment qu’elle allait pleurer, et honnêtement me connaissant j’aurais également pleuré en la voyant en larmes. Alors non j’ai préféré les mettre dehors pour éviter cette scène.

Me voilà seule, mais pas d’inquiétude, car cette fois ci je me suis prévue un bon petit programme afin de m’occuper. Je commence donc ma soirée par allumer l’ordinateur, et de me lancer dans une séance danse karaoké. Je suis loin d’être une très bonne chanteuse mais ce n’est pas grave, ce soir c’est moi la star. Après avoir enchainé des dizaines de musique, je regarde l’heure, il est 21H, je suis légèrement en sueur à cause de mes chorégraphies endiablées, et je m’offre une bonne séance de détente dans un bain chaud et parfumé. Après m’être détendue dans mon bain, je m’offre un plateau repas devant la télé, en regardant un de mes films préférés.

Mon film touche pratiquement à sa fin que j’entends la porte s’ouvrir et vois ma mère en compagnie de Bruno. Est-ce qu’il va rester pour dormir ici ? Si c’est le cas, je vais avoir le droit à une séance de gymnastique, dans la chambre de ma mère…

Moi : coucou vous deux, comment c’est passé la soirée ?
Maman : très bien ma chérie, le restaurant était super, les plats très bon, et toi ?
Moi : rien de particulier à part une soirée karaoké
Bruno : ah, mais c’est pour ça que tes voisins ont appelés Nadège…
Moi : ils t’ont appelés maman ? Mais pourquoi ?
Bruno : ils ont dit qu’un chat miauler à la mort…
Moi : ahaha très drôle
Bruno : je t’embête ahahaha
Maman : ahaha tu es bête Bruno (en rigolant à sa blague pourri) il t’embête ma chérie
Moi : je m’en fou, ils ont eu le droit à un concert gratuit en tout cas mmm (en jouant la fille vexée)

Je me retourne et repars vers le canapé, un chat qui miaule à la mort, je ne chante pas si faux que ça tout de même ? Ma mère prend Bruno par la main et lui dit de venir avec elle dans la chambre, en passant près de moi elle me dit qu’ils vont se coucher, étant fatigués de leur journée. Mais à d’autres, je sais très bien ce que vous allez faire tous les deux. Ils referment la porte tout en rigolant, j’ai envie de regagner ma chambre aussi, mais je compte rester ici pour ne pas trop les entendre, au risque de ne pas pouvoir me contrôler.

Alors pour ne pas perdre le contrôle, je reste là devant la télé, et je zap, je zap. Mais je vais vous dire, malgré l’effort que j’ai voulu faire là, ma curiosité est bien trop grande, alors j’hésite, je regarde vers le couloir puis me retourne vers la télé. Je le fais plusieurs fois avant de me décider à me lever et me diriger sur la pointe des pieds vers la chambre de ma mère. Arriver devant la porte, je tends l’oreille, mais je n’entends rien, je me dis impossible, ils ne sont pas vraiment en train de dormir là ?

Ils étaient réellement fatigués ? Je suis surprise, alors qu’ils attendaient de se revoir avec impatiente, ils sont là à dormir paisiblement, et moi qui croyais que je les entendrais faire l’amour comme des sauvages après trois semaines….
Je me dis que ce n’est que partie remise, je me tourne vers ma chambre et commence à y rentrer, quand j’entends la porte s’ouvrir et vois ma mère apparaître en T-shirt long. Elle est surprise de me voir là. Pour paraître innocente je lui dis que je vais dormir et lui souhaite bonne nuit. Ma mère me sourit et me répond, et c’est là que je remarque au coin de ses lèvres un liquide de couleur crème.

Je referme ma porte et je comprends alors pourquoi ce silence dans cette chambre, Bruno était réellement fatigué, mais il a tout de même eu le droit apparemment à une gâterie de la part de ma mère….
Je souris toute seule dans ma chambre, planter derrière ma porte, et je m’installe dans mon lit pour m’endormir doucement sachant que ce soir je n’entendrais rien de l’autre côté du mur.

A mon réveil, c’est différent, j’ouvre les yeux, et je peux entendre tout doucement le lit de ma mère bouger. Je me dis qu’elle a beaucoup de chance d’avoir un réveil pareil, et je les entends gémir. Même s’ils essaient de faire ça le plus discrètement possible, je peux vous dire que je les entends assez bien, par contre je ne pourrais pas vous dire s’ils se parlent ou non.

Aussitôt, je sens que je deviens toute excitée, je me mets complètement nue, et je commence à me caresser le corps, les seins, mon ventre, mes cuisses, puis l’intérieur de mes cuisses jusqu’à arriver à mon sexe. Je pose mes doigts sur mon bouton, et je commence à les faire tourner en écoutant Bruno et ma mère faire l’amour. Parfois le lit cogne un peu plus fort sur le mur, et les gémissements de ma mère s’accentuent au même moment, puis tout redevient un peu plus calme et là encore, le lit tape contre le mur.

Ils ont sûrement du mal à se retenir, et pourtant ça me ferait tant plaisir de les entendre faire l’amour comme des bêtes. A un moment le lit ne cogne plus, mais je l’entends bouger, ma mère et Bruno gémissent en même temps, elle doit probablement se trouver sur lui pour le chevaucher, aussi pour imiter ma mère, je me mets dans la même position tout en continuant de me toucher.

C’est si bon de se faire plaisir le matin au réveil, je les imagine tous les deux, de l’autre côté du mur, mon corps s’enflamme, je ne peux plus tenir, je me caresse de manière rapide. J’entends leurs gémissements qui s’accélèrent, qui deviennent plus fort. J’essaie tant bien que mal de me retenir pour ne pas gémir, je me caresse encore et encore. Je les entends venir, c’est insupportable et lorsque que je les entends jouir, je ne peux m’empêcher de laisser s’échapper un cri de plaisir si intense…

Le temps pour moi de comprendre ce qui vient de se passer, je mets ma main sur ma bouche, j’espère qu’ils n’ont rien entendu de l’autre côté. Tout est calme, mon corps n’en peut plus, ma respiration est courte, et j’essaie d’écouter ce qu’ils font dans leur chambre, mais rien, il me semble entendre des voix, mais je n’arrive pas à comprendre ce qu’ils peuvent bien se dire.

Je suis immobile, nue sur mon lit, j’attends de comprendre ce qui se passent de leurs côtés, peut être que dans leurs gémissements, ils n’ont pas entendu les miens. J’entends finalement bouger et une porte s’ouvrir, des pas dans le couloir puis la porte de la salle de bain se fermer. Je me dis que le mieux pour moi serait de me recoucher et de faire comme si de rien n’était, de sortir de ma chambre plus tard prétextant une grâce matinée.

Et c’est ce que je fais, je m’allonge en attendant que le temps passe, et franchement il a l’air de passer très lentement quand on est dans ce genre de situation. Ils sont dans l’appartement, ils se parlent, rigolent, et moi je ne sais pas du tout ce qu’ils peuvent bien se dire. Je psychose peut être pour rien, après tout je ne suis pas le centre du monde, mais j’ai l’impression que tout se rapporte à moi.

J’ai bien attendu, une heure dans ma chambre, et je me décide de sortir. Je pensais que Bruno serait parti assez vite, mais il a l’air de vouloir rester, et partager plus de temps avec ma mère. Ceci dit, je suis contente pour ma mère, au moins, il ne part pas dès qu’il a finit son affaire. J’arrive dans la cuisine, ils discutent tranquillement devant leurs cafés, en me voyant Bruno me semble un peu gêné, et moi aussi, mais je fais celle qui vient de se réveiller.

Maman : Bonjour ma puce, bien dormie ?
Moi : oui très bien…
Maman : Bruno nous propose une petite balade, ça te dirait ?
Moi : où ça ?
Bruno : un peu partout, il y a aussi le marché, qui est très bien.
Moi : hummm ouais pourquoi pas
Maman : il voudrait que l’on passe un peu de temps ensemble
Bruno : c’est juste une idée comme ça, et la prochaine fois on pourrait prévoir une sortie un peu plus extra…

Je ne suis pas difficile, pour être honnête je ne connais pratiquement rien de ma ville, alors pourquoi pas la découvrir en bonne compagnie. Et si la prochaine fois la sortie s’annonce plus extra, je ne dirais pas non. Je file sous la douche, me prépare simplement, et nous voila en direction du marché. Arriver sur place, je vois pas mal de monde, des stands de toutes les couleurs et aux variétés auxquels je ne pensais même pas. Et moi qui pensait que le public concerné serait plutôt, des petits vieux, et bien je suis surprise de voir autant de diversité niveau âge.

Nous faisons le tour, bien sûr des fruits et des légumes pour ma mère, mais aussi quelques livres. Pour moi je n’ai pas vraiment trouvé de choses intéressantes, mais j’apprécie tout de même la balade. Ma mère croise aussi quelques amies avec qui elle pratique la zumba, alors elles se parlent et pendant un bon moment. Pendant ce temps là, je suis avec Bruno, on ne sait pas trop quoi se dire mais je me lance…

Moi : est ce que tu fais beaucoup d’activités avec tes enfants ?
Bruno : j’essai au maximum, mais avec le divorce, ils ne sont plus trop emballés.
Moi : et qu’est ce que tu aimes faire avec ta fille ?
Bruno : aller au cinéma, dans des parcs, mais aussi beaucoup de randonnée
Moi : ah bon ?
Bruno : oui j’aime beaucoup la nature, mais ma passion, c’est la photographie
Moi : ah et quoi comme photo ?
Bruno : des photos de tout genre, nature, monuments, tout ce que je trouve beau
Moi : et tu en fais quoi ? Tu les vends, ou les exposes ?
Bruno : non pas du tout, je ne suis pas un professionnel, je les gardes tout simplement pour moi.
Moi : ok
Bruno : et toi quelles sont tes passions ? A part chanter ahaha
Moi : très drôle…. Je ne sais pas, j’aime bien les maquettes, mais je n’en ai jamais fait
Bruno : tu pourrais essayer et voir si ça te plaît. Tu sais il faut être curieuse, et essayer dans la vie, sinon tu pourrais passer à côté de quelque chose
Moi : d’accord, un jour si je peux je vais essayer (en lui souriant)

En discutant avec lui, j’ai pu sentir notre gêne se dissiper, ma mère fini par nous rejoindre, j’espère qu’elle ne va pas croiser toutes ses amies comme ça sinon on ne rentrera jamais. Je sais que j’exagère, mais ça m’a permis de parler avec Bruno, et pour une fois j’ai eu l’impression d’avoir un père. Il me parlait calmement, et s’intéressait à moi, je me dis que c’est ce que ferait sûrement un père, et d’ailleurs je me suis posée la question sur le mien, le vrai…

Après le départ de mon père, nous n’avons plus eu de nouvelles, je ne sais même pas où il vit à présent, s’il s’est retrouvé quelqu’un, ou même s’il vit encore. Et la question que je me suis posée aussi, est ce qu’il pense à moi par moment ?
Notre balade au marché se termine, nous continuons notre chemin jusqu’à arriver à une crêperie, où nous nous installons sur la terrasse, et passons commande.

Après être resté un bon moment à déguster nos plats nous décidons de rentrer, Bruno a encore ses affaires à préparer pour repartir de nouveau en déplacement. Pour le coup il ne restera pas avec nous ce soir, je les vois s’embrasser tendrement avant qu’il nous laisse devant notre immeuble. En arrivant dans l’appartement, ma mère me dit qu’elle a besoin d’un bon bain, et que ce serait bien que je vienne avec elle.

Je ne refuse jamais ces petits moments entre nous, et ça me permet toujours de discuter plus intimement. Nous sommes bien toutes les deux, dans cette eau bien chaude, elle me propose de me faire un shampoing comme la dernière fois, je m’installe donc entre ses jambes….

Maman : ça te fait du bien ma chérie ?
Moi : hummm… j’adore
Maman : tu sais ma chérie, ce matin pendant que je faisais l’amour avec Bruno, nous t’avons entendu
Moi : euh ….
Maman : ne sois pas gêner, il était tout autant que toi et je lui ai dis que c’était normal à ton âge
Moi : oui j’ai sentie un peu ce malaise qu’il avait
Maman : oui il ne pensait pas que tu pouvais nous entendre, et le fait aussi que tu puisses te masturber en nous écoutant.
Moi : et il a rien dit ?
Maman : il était choqué, mais je lui ai fait comprendre que je préférais ça, plutôt que tu sois dégoutée que je puisse avoir des relations sexuelles
Moi : et c’est passé comme ça ?
Maman : non bien sûr, il a dit que l’on essaiera de faire ça discrètement la prochaine fois pour ne pas te perturber.
Moi : ça ne me perturbe pas, au contraire, j’aime ça
Maman : c’est ce que j’ai compris ahaha
Moi : et toi ça te gêne peut être ?
Maman : je me suis posé la question, puis…je me suis dis, d’un côté c’est excitant ahaha
Nous rigolons toutes les deux, elle saisit la pomme de douche pour me rincer les cheveux…
Maman : et d’un côté ça me permet de ne pas me retenir
Moi : c’est vrai hihihi

J’aime ce moment intime mère fille, on se libère totalement, et maintenant je sais qu’elle ne sera pas gênée pendant qu’elle prendra du bon temps avec Bruno, mais il reste à voir s’il sera du même avis….
chapitre 19 image
Dans la semaine qui suit, j’ai reçu un soir un message de Karine pour avoir de mes nouvelles. Alors je peux vous dire que j’ai passé le reste de ma soirée à lui envoyer des textos. J’ai appris que le fameux garçon qu’elle kiffe est sorti avec une fille de son école, je lui demandais si elle n’était pas trop triste, mais apparemment non, elle pète le feu.

Je lui demandais aussi évidement si elle avait tenté d’embrasser à nouveau, sa réponse a été qu’elle attendait les prochaines vacances pour s’exercer à nouveau avec moi. Je rigolais toute seule dans ma chambre, ma mère, elle, discutait aussi de son côté avec Bruno, elle n’a pas laissé de côté le site de rencontre, mais jusque là, personne de vraiment intéressant à part un homme qui lui a donné rendez vous vendredi soir pour prendre un verre.

Ce vendredi soir justement, je ne sens pas ma mère très emballée pour aller prendre ce verre. Je lui demande si elle en a parlé avec Bruno, et apparemment tout est clair entre eux deux. Aucun n’a d’obligations envers l’autre, et rien n’interdit à l’un ou à l’autre de rencontrer quelqu’un. C’est donc toute tranquille que je la vois partir à son rendez vous, moi de mon côté je vais sur l’ordinateur me créer mon profil Facebook, suite à ce que m’a dit Karine à propos du site.

Je ne connaissais pas, donc je découvre. Bien sûr, je rajoute ma cousine directement avec qui je dialogue de suite. Je recherche aussi mes amis pour voir s’ils ont un profil dessus et oui pour Estelle, non pour Kévin. Pour le coup aussitôt ma demande d’ami envoyé, que Estelle me rajoute, nous discutons également et elle me demande si je veux faire quelque chose demain. Je lui dis pourquoi pas, n’ayant vraiment rien de prévu à part rester chez moi, elle me propose un après-midi au centre commercial.

Après quelques heures sur l’ordinateur à parler avec Karine et Estelle, je décide de me faire à manger, il est à peu près 22H, je suis dans la cuisine et j’entends quelqu’un dans l’escalier, puis la porte s’ouvrir. Je suis surprise de voir ma mère rentrer de si tôt, et je lui demande si tout va bien…

Maman : oui ça va ma chérie, tu fais à manger ? Ça tombe bien, je mange avec toi
Moi : je fais juste de la purée maman
Maman : ça me va très bien, t’inquiète pas
Moi : et ta soirée ?
Maman : honnêtement, je ne veux pas le revoir
Moi : pourquoi ?
Maman : c’était le genre de mec affamé
Moi : affamé ? Il voulait manger ?
Maman : ahaha non ce n’est pas du tout ça. Tu connaîtras tout ça avec le temps. En fait j’étais devant lui, mais il regardait toutes les filles autour, et vraiment d’une façon perverse

A quoi bon donner un rendez vous à une personne si c’est pour l’ignorer, ma mère est vraiment sur les nerfs. Ma purée finit, nous avons mangées en regardant un bon film pour qu’elle se détende, mais rien y fait, elle est toujours en train de parler de cet homme. Et pourtant il n’est pas mal du tout en photo, et en vrai, elle se demande alors si ce n’est pas elle le problème. Peut être n’est elle pas aussi belle que les autres femmes qu’il y avait à cette soirée ? Je lui dis qu’elle ne doit pas penser ainsi qu’elle est très belle et que Bruno la d’ailleurs plusieurs fois complimenté sur son physique.

J’essaie de lui changer les idées et je lui parle de Facebook, je lui dis que j’ai crée pour moi un profil, et que j’ai parlé avec Karine et Estelle, ma mère ne connaissait pas non plus la plate forme, et pour le coup je lui montre. Je lui dis aussi bien entendu qu’Estelle et moi allons au centre commercial demain après midi, voir si elle est d’accord.

Elle est contente que je puisse sortir maintenant avec mes amis, alors bien entendu, elle ne va pas m’interdire de les voir. Nous sommes toutes les deux fatiguées, alors, elle me fait un gros bisou en me souhaitant de passer une bonne nuit, avant de regagner nos chambres.

Après une bonne nuit, et surtout en me levant vers 10H du matin, je suis en pleine forme. Je dépose un gros bisou sur la joue de ma mère, elle a l’air d’aller beaucoup mieux. Je prends mon petit déjeuner dans le calme, ma mère de son côté discute avec quelques hommes sur le site, espérant ne pas tomber à nouveau sur le même cas qu’hier soir. Mon petit déjeuner fini, je repars dans ma chambre en attendant que l’heure passe, j’avance tout de même quelques devoirs que j’ai. Après un bon moment de travail, il est temps de me préparer pour aller au centre commercial.

J’embrasse ma maman et je retrouve en bas de l’immeuble Estelle et sa mère, je monte dans la voiture et direction le centre commercial. Sur place nous faisons les boutiques, nous n’achetons pas grand-chose étant donné que nous n’avons pas énormément d’argent. Mais pour moi le plus important c’est que je sois là avec Estelle, nous passons un bon après midi, à rire, mais aussi à regarder certains garçons.

Et jusque là nous n’avions jamais eu ce genre de conversation toutes les deux, alors bien sûr, étant curieuses, nous nous sommes posées, et avons commencées à discuter. Mais l’heure à laquelle sa mère vient nous chercher approche, alors Estelle me propose quelque chose de nouveau pour moi, venir dormir chez elle. Mais avant tout il faut avoir l’accord de nos parents, alors je téléphone à ma mère, pour lui demander son accord, pendant qu’Estelle fait de même avec la sienne. D’ailleurs pendant son appel, sa mère lui dit qu’elle est déjà sur le parking pour nous récupérer.

Ayant eu l’accord pour passer ma première soirée avec Estelle, on se dirige vers chez moi pour que je prenne mes affaires. Je fais un énorme bisou à mère, je me sens un peu coupable de la laisser seule, mais elle de son côté, elle est super heureuse pour moi. De retour dans la voiture, nous voila parties, et honnêtement je découvre pour la première fois où Estelle habite.

Elle vit également dans un appartement avec ses parents, il est pratiquement de la même taille que le notre et j’arrive dans sa chambre que je ne trouve pas si différente de la mienne. Des photos de nous au mur, un peu de linge en bordel, des magasines et surtout pas mal de poster de mecs plutôt mignons. Sur ce dernier point je pense qu’elle est plus en avance que moi, mais pour le moment elle me montre des photos de nous à l’école, et surtout de notre sortie au bowling avec Kévin.

Au bout d’une heure, sa mère nous appelle dans la cuisine pour qu’on l’aide à préparer le repas. Estelle est apparemment très douée, moi pour le moment je ne sais faire que de la purée et des pattes. Mais j’apprends, elles m’expliquent comment faire, et me voilà dans un atelier cuisine avec ma meilleure amie et sa mère. Le père d’Estelle nous rejoints également pour discuter, et là je vais avoir le droit à des anecdotes de quand elle était petite.

Estelle va sans arrêt leurs demander d’arrêter de la dévoiler ainsi, mais moi j’aime, je découvre encore plus de chose sur elle. Nous passons à table, bien sûr on me pose aussi quelques questions, mais j’avoue que ma vie jusque là n’a pas été tellement passionnante, toutefois je leurs racontes les retrouvailles avec ma famille, les progrès que j’ai pu faire quant à ma timidité et leurs encouragements me vont droit au cœur.

Après le repas, on nous laisse libre, alors naturellement on retourne dans la chambre d’Estelle, où l’on vient à parler de garçons. Je lui avoue alors avoir une petite attirance pour Guillaume, elle me dit qu’il est mignon, mais son coup de cœur à elle c’est Benjamin. Elle a très bon goût, mais la plupart des filles aime Benjamin, je ne dois pas être tout à fait normal pour ne pas avoir d’attirance pour lui. Sa mère vient un moment à la porte pour nous dire de passer à la douche, et ainsi être plus tranquille pour le reste de la soirée.

J’y vais la première à la douche, puis Estelle, et nous voila toutes les deux fraiches. Une fois dans la chambre elle me propose de regarder un film sur son ordinateur portable, en restant bien au chaud dans le lit. Bien sûr j’avais pour moi un matelas posé au sol, mais en regardant le film et en discutant toute la nuit, nous nous sommes endormis toutes les deux dans son lit.

A mon réveil, je suis sur le dos, et Estelle est contre moi, son bras m’enlace et sa jambe est par-dessus moi. Elle se réveil pratiquement en même temps que moi, et me fait une attaque de bisous tout en rigolant ….

Moi : hey je ne suis pas Benjamin….
Estelle : ah si c’était Benjamin dans mon lit, je ne lui ferais pas ce genre de bisous
Moi : ahaha le genre de bisou sur la bouche ?
Estelle : oui et même plus encore hihihi (en rigolant doucement)
Moi : ah bon tu te sens prête pour ta première fois
Estelle : je pense oui, en tout cas, j’ai envie de le faire, pas toi ?
Moi : hummm je ne sais pas encore, j’ai un peu peur
Estelle : ce n’est pas grave, prends ton temps, moi en tout cas je veux le faire avec quelqu’un que j’aime. Pas comme certaines qui le font juste pour dire « moi je l’ai fait » (en prenant une petite voix)

Nous rigolons toutes les deux, et je suis entièrement d’accord avec elle, je voudrais aussi faire ma première fois avec un garçon dont je serais amoureuse. Il est pratiquement 10H30 lorsque nous nous levons, et sa mère me dit qu’elle me déposera en même temps qu’ils partiront pour déjeuner avec les grands parents d’Estelle. Ça me va très bien, je ne voudrais pas abuser, et je pense que l’on pourra se refaire des soirées filles comme celle là prochainement.

Je me change et prépare mes affaires, dans la voiture, les parents d’Estelle me disent que je peux revenir quand je veux et qu’ils seraient ravis. En bas de chez moi je les remercie à nouveau, avant de les voir repartir. Je retrouve ma mère en lui faisant le plus gros des bisous, je lui raconte un peu mon après midi shopping, ma soirée avec les parents d’Estelle.
J’ai vraiment aimé ces moments avec Estelle et ses parents, j’espère le refaire assez vite, et partager encore plus avec ma meilleure amie…
chapitre 20 image
Après trois semaines d’absence, j’apprends que Bruno et ma mère ont de nouveau un rendez vous programmé pour vendredi comme à leur habitude. Cette fois ci ma mère est bien plus enthousiaste et met le paquet niveau préparation et robe de soirée. Pour ma part, je me prévois une soirée laser game avec Estelle, ses parents, Kévin et son petit frère Benoît.

Je quitte ma mère avant l’arrivé de Bruno, en lui souhaitant une bonne soirée, et de s’éclater en lui faisant un clin d’œil. Arrivés sur place, nous payons et attendons notre tour, on se répartit en équipe de trois. Estelle et ses parents contre Kévin, Benoît et moi, je peux vous dire que nous avons beaucoup rigolés dedans, je vise vraiment mal et dans le noir en se croisant avec Estelle, on se faisait plus des frayeurs qu’autre chose. Heureusement pour moi Kévin et son petit frère sont très bon, et nous offre la victoire avec un score tout de même serré.

Après une partie de 30 minutes, nous sommes tous essoufflés et en sueur, nous nous rafraichissons pendant que nous regardons les autres joueurs s’affronter. Une famille venue également nous propose de se joindre à eux pour une partie. Nous acceptons volontiers, j’essaie de faire du mieux que je peux, je me débrouille tout de même pas mal pour cette partie, Kévin et Benoît assures comme d’habitudes mais l’adversaire est mieux organisé et remporte la victoire.

Le plus important c’est que nous nous amusons beaucoup, Kévin à peu de mal par moment, il n’a pas vraiment la condition pour, et de plus il a un souffle au cœur. Nous faisons encore des parties avec cette famille, avant de nous décider à rentrer vers 23H. Estelle et moi sommes très fières de Kévin, il est notre gros nounours, en effet depuis que nous le connaissons il n’a jamais changé. Toujours très gentil, il ne ferait pas de mal à une mouche, et nous prenons soin de lui surtout avec son cœur. Il est dispensé de sport, puisqu’il est très vite essoufflé, mais il aime ce genre de jeu comme le laser game, alors nous faisons attention à lui lorsque nous voulons faire des activités de ce genre.

En arrivant chez moi il est assez tard, je monte les escaliers, ouvre la porte et depuis le salon je peux entendre ma mère gémir dans sa chambre. Ils ont du vouloir rentrer un peu plus tôt pour profiter de mon absence. Je m’avance un peu dans le couloir, mais je reste sage, d’après les gémissements de ma mère, elle est proche de l’orgasme, et j’ai la confirmation en l’entendant dire …

Maman : Oh oui, oh oui encore…. Continue, oui continue je … AAAHHH Ahhhh …. Ahhhh

L’entendre crier ainsi m’excite beaucoup, mais je ne peux pas me permettre de me caresser maintenant, puisqu’ils vont sûrement sortir de la chambre d’un moment à l’autre. Je les entends respirer puis parler, alors je me rapproche un peu plus et tends l’oreille…

Bruno : Tout va bien ma belle ?
Maman : oh oui tu es parfait…. Mais tu n’as pas joui, laisse moi m’occuper de toi…
Bruno : comme tu veux, je te laisse faire…

J’entends alors ma mère qui s’occupe de Bruno, et elle doit savoir y faire vu comment il réagit…

Bruno : huummm oui, Oh oui. Oh Nadège, tu es excellente, oh pu… Oh Nadège je ne tiens plus…
Maman : ne te retiens pas, vas y lâche toi…
Bruno : Oh que c’est bon, Oh oui continue, je vais… je vais …..je …. OOOOhhh ohhhhh….. ohhhhhh

Rien que de l’entendre jouir, j’ai pratiquement eu un courant me traverser, j’en suis toute retournée, mais je me dis que je serais mieux dans le salon à les attendre. J’allume la télé, mais ne met pas le volume trop fort, mais assez juste, pour qu’ils sachent en sortant de la chambre que je suis là.

Après 10 minutes d’attente la porte s’ouvre, puis j’entends ma mère chuchoter quelque chose à Bruno. Elle doit sûrement lui dire que je suis là, j’entends la porte de la salle de bain se fermer, et ma mère qui vient me voir dans le salon en Tshirt long.

Maman : ma chérie, ça fait longtemps que tu es rentrée ?
Moi : oui assez
Maman : ah tu nous à donc entendu ?
Moi : oui juste sur la fin
Maman : je suis surprise que tu ne te sois pas masturbée
Moi : j’ai eu très envie, mais je me disais que vous alliez sortir
Maman : tu as eu raison, je ne t’embrasse pas j’ai ….. enfin…
Moi : oui je sais maman ahahaha

Nous rigolons toutes les deux quand on entend la porte de la douche s’ouvrir, ma mère me dit qu’elle en a pas pour longtemps. Bruno vient me voir dans le salon et semble gêné, il ne sait pas s’il doit me faire la bise ou non, alors je me lève et le fais moi-même. Avec ma mère j’ai beaucoup de complicité, mais Bruno, je ne le connais pas encore assez pour lui parler de tout ça. Peut être qu’avec le temps, nous pourrons créer un certain lien, mais pour le moment c’est plutôt le malaise…

Bruno : euh …. Comment c’est passé ta soirée ?
Moi : très bien merci, on c’est bien amusé
Bruno : super, et ……
Moi : tu restes avec nous ce weekend ?
Bruno : euh oui tout à fait, si ça te dérange pas
Moi : non bien sûr que non, tu sais tu fais du bien à ma mère… enfin je veux dire que tu la rends heureuse
Bruno : oui j’ai compris ahah (rire gêné), je voudrais savoir, est ce que tu serais intéressée par une randonnée demain ?
Moi : oui j’aimerais bien
Bruno : super, tu vas sûrement aimer

Ma mère finit de prendre sa douche et nous rejoins dans le salon, où Bruno parle de son idée de randonnée, qu’elle approuve de suite. Pour profiter au maximum de cette randonnée, le mieux serait de partir dans la matinée. Il est déjà assez tard, alors je profite que la salle de bain soit libre pour y aller à mon tour, pendant qu’ils retournent tous deux à leur chambre. Sous la douche, je repense un peu à tout ce qui c’est passé ce soir, mais je reste calme, et je termine en vitesse avant de rejoindre mon lit pour une bonne nuit de sommeil.

Mon réveil sonne il est 8H15, je voudrais dormir un peu plus, je commence à regretter cette idée de randonnée. A travers le mur j’entends ma mère et Bruno parler, je ne comprends pas du tout ce qu’ils peuvent se dire, mais au moins je ne suis pas la seule à être encore au lit.

Je décide de me lever à peu près au même moment que les deux tourtereaux, j’embrasse ma mère et fais la bise à Bruno. Nous prenons un bon petit déjeuner, après quoi ma mère et moi nous nous préparons, pendant que Bruno regarde la météo pour savoir si les conditions sont bonnes. Je n’ai pas de chaussures de randonnée, et j’espère que celles que j’ai pour le sport suffiront. Après avoir pris nos affaires, nous allons en voiture chez Bruno, pour qu’il puisse récupérer les siennes.
 
Son appartement est petit, et convient à quelqu’un de célibataire, il a pas mal d’affaires, mais il reste quelqu’un de très organisé. Une fois son sac prêt, et ses chaussures en main, nous voila partis direction Saint-Benoît. Sur la route nous prenons de quoi boire et nous restaurer avant d’arriver sur un parking qui sera notre point de départ. Il y a quelques voitures, Bruno nous dit que pas mal de personnes viennent ici en famille, ou entre amis.

Je n’ai même pas commencé que je me sens déjà fatiguée, mais Bruno me dit qu’on ira doucement, le but n’est pas de faire une course, mais plutôt de profiter de la nature. Nous commençons doucement le parcours, l’air est frais et pure, je trouve que ça fait du bien en fait. Tout en marchant à une allure plutôt tranquille, j’observe la nature, les arbres, Bruno s’arrête souvent pour tirer quelques photos. Je ne m’y connais pas en appareil photo, mais le sien est déjà pas mal, il me dit qu’il me montrera le résultat une fois rentré. En tout cas nous marchons pendant très longtemps, et surtout en pente aussi, je peux vous dire que je ne suis pas du tout habituée, ma mère à l’air de pouvoir suivre le rythme.

Après 2H30 de marche, nous nous arrêtons pour nous reposer et pique niquer, Bruno en profite également pour tirer quelques photos de nous. La vue est franchement pas mal, je ne suis pas une grande amoureuse de la nature mais je dois reconnaitre que c’est beau à voir. Après avoir repris des forces, nous continuons le chemin et on me dit que le reste du parcours est assez facile, ce qui me rassure. Bien entendu sur le chemin nous faisons plusieurs arrêts pour des photos, de nous, de la nature mais nous arrivons tout de même très vite à la fin.

Retour case départ, étant donné que le parcours forme une boucle, je peux vous dire que j’ai bien aimé cette découverte, mais je suis aussi très contente de retrouver la voiture surtout après avoir marché pendant près de 5H. Au retour, nous nous arrêtons dans un petit restaurant, et commandons des jus de fruits. Je me commande également une gaufre, histoire de me récompenser pour cet exploit, car oui pour moi s’en est un.

Il est pratiquement 17H30 lorsque nous rentrons, on dépose nos affaires, je retire mes chaussures, et je file à la douche. C’est vrai qu’une randonnée nous fait beaucoup de bien, mais une bonne douche aussi, je me lave assez vite pour laisser la place. Je m’habille avec un T-shirt long et un mini short pour être à l’aise, après tout, Bruno commence s’habitue tout doucement à nous, pourquoi pas me mettre à l’aise. Je reviens au salon, et Bruno est sur son ordinateur portable, sur lequel il transfert toutes les photos de la journée. Pour le coup il me montre le résultat, et j’avoue qu’il fait vraiment de belles photos pour quelqu’un qui ne se considère pas professionnel.

Après le passage de ma mère et Bruno à la salle de bain, nous parlons, nous passons à table mais mangeons assez léger, et finissons devant la télé devant une émission que nous suivons à moitié. La fatigue nous gagne assez vite, et nous décidons d’aller nous coucher surtout après cette bonne journée de marche.

Dans mon lit je ne m’endors pas aussi vite, je reste sur mon téléphone, je regarde quelques vidéos, pendant que de l’autre côté du mur ma mère parle avec Bruno. Puis un silence qui laisse place à un léger bruit qui se répète, celui du lit de ma mère qui bouge en rythme lent. Je me laisse moi aussi aller vers une douce caresse au travers de mes vêtements pour commencer, puis en entendant tout doucement l’arrivé des gémissements, je retire tout ce que j’ai sur moi.

Je me masturbe en faisant tourner mes doigts sur mon petit bouton, la douceur de mon sexe lisse est très agréable, mais les gémissements que j’entends le sont tout autant. Je ferme les yeux et je savoure ce moment, bien sûr je laisse par moment échapper quelques sons de ma bouche, qui je l’espère ne sont pas trop fort. Je mouille très bien, j’adore le bruit de mes doigts en action, tout en me caressant les seins de l’autre main. Le bruit du lit change, il est devenu plus fort, et tape à présent contre le mur, je peux imaginer les coups de reins que Bruno peut donner à ma mère. Mais surtout le plaisir qu’elle ressent en gémissant et en lui disant de continuer.

Je perds un moment le contrôle en gémissant moi aussi assez fort, je me stop un court instant avant d’entendre le lit taper plus fort. Ouf, il semble que les bruits du lit couvre les miens, et je reprends mon rythme, mon plaisir grandi, je sais que je vais bientôt jouir. Mais je souhaite faire durer le plaisir, pour au moins jouir en même temps qu’eux. J’entends Bruno gémir aussi de façon plus grave, un souffle lent et fort, il arrive pratiquement à bout, alors j’accélère de mon côté. Je laisse paraître quelques gémissements, mais il y a tellement de bruit de leurs côtés, qu’ils n’entendront rien de moi. Alors je gémis, et le lit cogne, ma mère encourage Bruno dans une série de …

Maman : Oui continue, continue, c’est trop bon…… t’arrêtes pas, je …..

C’est à ce moment là que j’entends Bruno jouir, se vider complètement, il est à bout, et ma mère aussi jouie dans un long gémissement, comme si elle ne pouvait plus lutter. Moi de mon côté, je dois vous dire que mon corps est complètement dépourvu de force, je sens en moi, ce plaisir me parcourir en des sortes de spasmes. Je respire de façon courte, mes doigts sont complètement trempés, je me sens fatiguée, je ne tiens plus et doucement je ferme les yeux jusqu’à trouver un sommeil bien mérité.

Dimanche matin, je me réveille en douceur, je regarde l’heure et il est pratiquement 11H. J’ai beaucoup dormie, et je suis encore nue dans mon lit. J’ai du m’endormir comme une masse juste après m’être masturbée, et quel plaisir j’ai pu ressentir là. Je m’habille et sors de ma chambre pour aller dans la cuisine, personnes. Peut être sont ils encore au lit eux aussi ?

Je vais dans le couloir, et la porte de la chambre est ouverte, mais où sont-ils ?
Je reviens dans la cuisine et trouve un mot, ils sont partis tous les deux au marché, ils ont préférés me laisser dormir surtout après la journée d’hier. Je me prépare un petit déjeuner au calme, et m’occupe jusqu’au retour de ma mère, seule…

Je lui demande naturellement où est Bruno, elle me dit qu’il a préféré rentrer chez lui, car étant très fatigué aussi, il voulait se reposer, et être en forme pour son travail. Bien sûr on ne va pas le revoir avant quelques semaines, son travail comprend beaucoup de déplacements, mais elle reste toujours impatiente de le revoir …
chapitre 21 image
Les jours passent, et se ressemblent, je vois souvent ma mère sur l’ordinateur, elle aime le fait de parler avec d’autres hommes, même si rien ne se passe avec eux. De mon côté tout se passe bien, à l’école j’ai toujours de bons résultats, et avec mes amis tout se passe à merveille. Kévin nous a finalement rejoins sur Facebook, et nous passons beaucoup de temps à nous envoyer des vidéos et autres bêtises que nous pouvons trouver.

2 semaines passent depuis la dernière visite de Bruno, nous sommes vendredi soir, il n’y a rien de particulier à raconter sur les jours passés. Mais ce soir là, je suis dans mon lit, je ne suis pas dans un sommeil profond, et un petit bruit m’interpelle. Je me lève doucement, et ce bruit vient du salon, vous le devinez sûrement, et curieuse comme je suis, je sors de ma chambre sur la pointe des pieds.

Je n’ai pas besoin d’arriver au bout du couloir, pour savoir que ma mère se fait plaisir devant l’ordinateur. Il fait sombre, je glisse le long du mur, et je la vois entièrement nue sur le siège, elle se caresse depuis quelques minutes déjà en regardant encore des vidéos. Qu’est ce qu’elle est belle, dans le plus simple appareil, à se donner du plaisir, et je peux vous dire qu’elle en veut vraiment. Je vois sa main s’agiter sur son sexe, sur son clitoris, pendant qu’elle se caresse les seins de l’autre main.

Je commence à avoir très chaud alors je me mets moi aussi toute nue dans le couloir, je glisse ma main entre mes cuisses et je constate que je suis déjà toute mouillé. C’est si excitant de la voir ainsi, je me caresse, mes doigts trouve très vite un rythme sur lequel je sens mon plaisir. Et quel plaisir j’ai là, que de voir ma mère se caresser, se faire du bien, de l’entendre gémir. Elle est moins discrète que d’habitude, peut être n’arrive t’elle pas à se contenir, tellement elle se fait du bien. Elle semble très en manque de sexe, elle s’introduit des doigts d’une façon assez rapide et brusque, comme pour imiter Bruno lorsqu’il tape fort en elle. Je le sais car je le ressens quand le lit vient taper le mur de ma chambre, il doit beaucoup lui manquer.

Ma mère aime aussi se lécher les doigts après les avoirs introduits, elle savoure son goût tout en gémissant, puis elle plonge à nouveau ses doigts en elle. Son rythme est rapide, et j’essaie de faire comme elle, de la suivre, et je sens très vite que je perds tout contrôle. J’ai du mal à tenir debout, je gémi aussi par moment ne pouvant pas retenir mon plaisir, je la regarde toujours, elle est si belle.

Je vois aussi que ma mère ne tient plus sur le siège, elle ressert les jambes par moment, puis les ouvrent à nouveau et accélère ses doigts en elle. Elle gémit encore et encore, tout en essayant de ne pas le faire trop fort, je n’en peux plus, je veux jouir, mais j’essaie de me retenir, je fais tourner mes doigts au même rythme que ma mère. Elle commence à ouvrir grand la bouche, plus aucun son n’en sort, je sais alors qu’elle arrive au bout, elle pose sa main gauche sur son sein qu’elle sert très fort, et ses doigts sur son clitoris n’en finissent plus. Et là devant moi, elle se cambre sur la chaise tout en jouissant, pendant que moi aussi, de mon côté je me libère totalement en jouissant aussi.

Je suis tellement déstabilisée que je tombe pratiquement à genoux, je reprends mon souffle, ma mère, elle, a toujours la tête en arrière, elle respire aussi très fort. Je reprends mes appuis, me lève, et décide d’allumer la lumière du couloir comme elle la dernière fois. Je me montre en m’appuyant toujours sur le mur, elle est belle, la tête toujours basculée en arrière, mais sur le côté cette fois pour me regarder. Elle me sourit tendrement, heureuse, et je lui rends également un sourire de complicité…

Moi : tout va bien maman ?
Maman : oui chérie, je me sens très bien…. Et toi ?
Moi : je suis encore toute retournée hihihi (rire coquin)

Ma mère pivote légèrement le siège vers moi tout en gardant une jambe ouverte sur le rebord. J’ai une vue direct sur son sexe, humide, et ouvert pendant que son index titille légèrement son clitoris…

Maman : je savais que tu me regardais hihihi
Moi : tu m’as vu ?
Maman : non mais je t’ai entendu à un moment….. Viens avec moi, j’ai besoin d’un bain

Elle se lève, et me prend la main au passage, elle saisit sans faire attention celle avec laquelle je me suis caressée, et bien évidement encore un peu humide. Elle rigole bien sûr, il n’y a plus aucune gêne de son côté, moi j’ai juste encore du mal à parler ouvertement de sexe en dehors de la salle de bain.

Nous sommes toutes les deux installées, mais cette fois ci elle m’a tiré vers elle, non pas pour me passer du shampoing, mais pour que je m’allonge tout contre elle, entre ses jambes. Je ressens beaucoup de choses à ce moment, déjà sa peau nue contre la mienne également, puis sa poitrine, ses tétons encore excités. Elle me caresse les cheveux, le visage, c’est un moment très doux que nous passons….

Maman : tu te sens bien ?
Moi : oui maman
Maman : je t’aime ma chérie
Moi : je t’aime aussi maman

Nous n’avons plus dis un mot pendant tout le temps que nous sommes restés dans le bain. Elle a continué de me caresser le visage, pendant que moi je lui caressais le bras qui m’enlaçait. Nous sommes sorties du bain, toujours en silence, nous nous sommes séchées et c’est totalement nu que nous avons regagnées nos chambres, pour nous endormir paisiblement.

Le samedi, nous nous sommes levées tranquillement, puis avons passées la journée à nous balader, dans des rues, des boutiques de tout genre, des petits bars café également. Elle était toute souriante, mais semblait ailleurs également, peut être pensait elle à Bruno et la relation qu’elle a avec lui.

Il me faudra attendre le weekend prochain pour savoir qu’il se passe quelque chose entre Bruno et ma mère. Je la voyais depuis un moment tourner en rond, pensive, et parfois aussi un peu perdu. Je lui demandais ce qui pouvait bien se passer, mais elle-même ne savait pas trop. Il ne répondait pas beaucoup à ses messages, je lui disais qu’il était sûrement très occupé par son travail, mais la seule chose de sûre, c’est qu’il y avait un peu de distance entre eux.

Bien entendu, ça ne pouvait pas continuer ainsi, il fallait en discuter, mettre les choses au clair, et justement, ils se sont convenu un rendez vous en tête à tête. Il s’est passé un mois depuis que Bruno était reparti pour son travail, nous sommes en début du mois d’Avril, et ma mère se prépare pour sa soirée. Elle est à la fois heureuse de le revoir mais aussi inquiète, ce soir elle voudrait savoir ce qui se passe, pourquoi il est devenu distant au niveau des messages.

J’embrasse ma mère avant de la voir partir dans un taxi rejoindre Bruno au restaurant, moi, je suis inquiète pour elle, je n’aime pas la voir comme ça. Ça me rappelle un peu le moment où mon père nous a quittés, ma mère était très souvent triste, elle pleurait le soir dans son lit, et devant moi elle voulait rester forte, mais je savais qu’elle avait de la peine.

Je ne voudrais pas la revoir comme ça, j’essaie de me changer les idées, et de penser à autre chose. Aussi je m’installe dans ma chambre, en essayant de faire mes devoirs espérant que cela m’occupe l’esprit. Ça ne marche pas trop, mais au moins j’avance dans mon travail, et le temps passe également. Je me fais à manger, je regarde un film mais il n’est vraiment pas intéressant. Je regarde l’heure, il commence à se faire très tard, c’est peut être une bonne chose, ça voudrait dire qu’ils parlent bien, mais je reste tout de même inquiète.

Je me dirige dans ma chambre, pour écouter de la musique dans mon lit, je ne sais pas si je dois attendre le retour de ma mère ou la laisser tranquille et voir seulement demain comment ça c’est passé. La musique me berce tout doucement et je finis par m’endormir….

Je suis paisiblement en train de dormir lorsque j’entends cogner contre le mur de ma chambre, je suis encore dans un sommeil profond mais je perçois les coups. Je me réveille petit à petit et j’entends ma mère gémir assez fort, je suis surprise, apparemment tout va bien, mais je reste surprise. C’est bien Bruno qui se trouve avec ma mère, je reconnais sa voix et sa façon de gémir, je les écoutes et je n’ai pas besoin de tendre l’oreille comme les autres fois pour entendre ce qu’ils disent.

Maman : oui, vas-y …. Comme ça ….hummm
Bruno : oh tu m’as manqué, tu sais…. Tu la sens bien ?
Maman : oh, oui, je la sens bien….. Continue….

Et moi je sens très bien l’excitation qui me gagne, ils sont chauds, et je le deviens aussi. Je retire mes vêtements, et me caresse aussitôt, en les écoutant faire l’amour. Je crois qu’ils se sont manqué tous les deux pour être aussi bruyant ce soir. Je me caresse le bouton à une vitesse, pendant que ma main gauche parcours mon corps, mon cou, ma poitrine, mon ventre, mes cuisses. Ça fait longtemps que je ne les ai pas entendus faire l’amour, et franchement j’aime ça. J’aime me caresser en écoutant leurs ébats, les bruits du lit contre le mur, mais aussi une chose nouvelle, le bruit de la main de Bruno qui vient claquer contre les fesses de ma mère.

Elle est sûrement à quatre pattes, et aussitôt l’idée m’excite, et je mets dans la même position pour me toucher. Je l’entends gémir, et des claques encore, s’en est vraiment trop, à les imaginer faire, je ne contrôle pas mes gémissements. Mais ce n’est pas grave, ils n’entendent sûrement pas mes gémissements avec tout les bruits qu’ils font, mais j’essaie tout de même de mon contrôler.

Bruno : Nadège … je vais bientôt jouir…
Maman : hummm…. Vas y … fais toi plaisir….

A ce moment là je suis totalement surprise, le lit s’est mis à bouger plus vite et plus fort, tandis que ma mère s’est mise à faire de longs gémissements, où se mêle à la fois une pointe de douleur et de plaisir intense. Je pouvais aussi entendre le bassin de Bruno, venir claquer contre les fesses de ma mère. Imaginer et entendre tout ça m’a complètement retournée, je ne me contrôle plus du tout, mes doigts sur mon clitoris sont en feu, et je jouis dans un gémissement si intense que je ne retiens même plus mon cri….

Bruno : je viens, je viens ….oOOOOOOOOh OOOOOOh
Maman : aaAAAAAAAAhhh ……… Oh mon dieu… Oooooo…..

Quelle nuit, quel plaisir…..

Je ne sais plus du tout où je suis, je suis perdue, nue, les fesses encore relevées. Je me tourne sur le côté, mon cœur tape, j’ai jouie si fort qu’ils ont du m’entendre. De leur côté je n’entends plus grand-chose, ils se parlent, mais je ne comprends rien et je suis trop épuisée. J’entends seulement des portes s’ouvrir et se fermer, des rires dans la salle de bain, et c’est là que je m’endors à nouveau.

Le matin, je me réveil totalement détendue, je suis bien toute nue, mais quelle heure il est ?

09H00, je pensais qu’il était plus tard, je cherche mes vêtements, et je m’habille avant de sortir pour rejoindre Bruno et ma mère dans la cuisine. Ils ce sont réveiller il n’y a pas longtemps eux aussi, j’embrasse très fort ma mère, et j’enlace aussi Bruno en lui faisant la bise. Ça fait du bien de le voir, et ça fait surtout du bien de voir ma mère aussi rayonnante. Je me prépare mon chocolat chaud, et je me demande ce que l’on pourrait faire aujourd’hui tous les trois.

Mais apparemment Bruno doit s’absenter pour s’occuper de ses enfants, je comprends tout à fait, mais il me dit qu’il sera là ce soir, et pourquoi pas se faire un cinéma tous les trois. L’idée me plaît beaucoup, aussi la journée, ma mère et moi, sommes parties faire des courses pour la maison. Et une fois rentrées, nous nous sommes permis de faire une petite sieste.

Bruno est revenu vers 17H30, il a passait une bonne journée avec ses enfants qu’il voit aussi très rarement, sa fille est toujours un peu difficile avec lui, tandis que son fils profite au maximum de le voir. Nous discutons tous les trois dans la cuisine, Bruno semble plus à l’aise, il me regarde plus facilement, il n’est plus gêné comme avant et son attitude me fait sentir plus en confiance.

L’heure passe, nous nous préparons pour la séance cinéma, arrivés sur place nous passons un très bon moment. Le film était très bien, et comme un petit rituel, après le cinéma, direction le fast food. Tout semble passer si vite lorsque tout va bien, nous ressemblons à une petite famille normale, et je vois en Bruno, l’image d’un père qui commence à prendre forme.

Il est 23H30 lorsque nous rentrons, une bonne douche et me voila dans ma chambre pour laisser les tourtereaux tranquille. Mais j’ai sans doute parlé trop vite, puisque j’entends progressivement des mouvements de l’autre côté. Ils se sont vraiment manqués, ou alors très amoureux, ou alors j’ai du louper quelque chose. Mais inutile de réfléchir plus longtemps, surtout que ma main a déjà commencée son petit chemin entre mes jambes.

Je me mets à l’aise, je suis allongée sur le dos, nue, les jambes ouvertes et ma main droite qui me caresse. Je les entends gémir, se parler, puis gémir encore, tout en devinant le lit bougé de plus en plus.

Maman : prends-moi comme ça ….

J’ai clairement entendu ma mère, et elle en demande, je suis surprise mais terriblement excitée. J’aimerais savoir dans quelle position elle se trouve, mais je ne sais pas, je sais seulement que Bruno y prend du plaisir en la pénétrant, étant donné comment il gémit.

Maman : aAAh oui comme ça…. Plus fort…

Le lit tape un coup, puis tout se calme, et encore un coup, et plus rien et de nouveau un coup. A chaque coup que Bruno porte à ma mère, elle l’accompagne d’un gémissement clair et court. Je m’imagine à sa place, recevant ces fameux coups de reins, puissants, nets et précis. Je me caresse fort, mes doigts sur mon clitoris ne s’arrête pas, je suis très excitée par la situation.

J’entends Bruno parler, je ne comprends pas ses mots, mais tout de suite après, c’est une série de coup de bassin que j’entends, rapide et très fort, au point que le mur résonne et que ma mère gémit à n’en plus finir. J’ai l’impression que le mur pourrait tomber, tellement la série de coup est puissante. J’entends ma mère gémir d’une force, j’imagine son vagin se faire pénétrer, pilonner, j’imagine le sexe de Bruno fort. Je me touche si intensément que je finis par gémir, j’exprime mon plaisir tout en imaginant ce qui se passe.

Et je peux vous dire que les coups n’ont jamais cessés, je suis sur le point de jouir tellement tout ça en est trop. Et là le calme, ma mère à du mal à se contenir, elle respire fort, son souffle est rempli de plaisir. J’entends Bruno dire à ma mère de se positionner en levrette, je connais cette position, et je me mets aussi en place attendant que le coup final soit donné.

Bruno : tu vas bien la sentir là
Maman : oui vas y, je veux la sentir au fond de m..AAAAAAAAAHHH….

Ma mère n’a pas le temps de finir sa phrase que Bruno donne tout, dans des coups de reins puissants, et sans fin. Son bassin claque très fort contre les fesses de ma mère, j’en veux aussi, je me caresse à quatre pattes, la tête sur l’oreiller et moi aussi, je gémis, je cris mon plaisir.

Mes doigts sont lancés, je ne m’arrête plus, je vais jouir, je vais venir dans un plaisir si fort, et Bruno qui continue ses coups acharnés sur ma mère ….

Bruno : Nadège ….. OHHHHH…OOOOOOOOOH
Maman : oui oui …OUIIIIII…AAAAAHHHHHH …AHHHHH…

Je ressens le lit tapé une dernière fois sur le mur, c’était si fort, si bon que je jouis également dans un long gémissement. De l’autre côté j’entends encore ma mère dire à quel point c’était bon et si intense. Ils sont tous les deux épuisés, et ça s’entend, ils respirent fort et petit à petit le ton de leurs voix diminue, jusqu’à ce que je n’entende pratiquement plus rien.
  
Je n’arrive pas à le croire, quel plaisir encore une fois, quelle jouissance j’ai pu ressentir là, j’en suis toute retournée une nouvelle fois, mais qu’est ce qui a bien pu se passer entre eux ?
chapitre 22 image
Je me souviens de la nuit passée, les gémissements raisonnent encore dans ma tête et le plaisir que j’ai pu ressentir fut incroyable. J’ouvre les yeux, les rayons du soleil illumine ma chambre, je me sens bien, et je souris seule dans mon lit en m’étirant de tout mon être.

Il est près de 10H, je me lève et m’habille avant de rejoindre la cuisine, où je trouve Bruno seul. On se dit bonjour, ma mère dors encore d’après Bruno, et je la comprends, il faut dire qu’elle a eu une nuit plutôt mouvementée…

Nous discutons tranquillement, Bruno ne se sent plus du tout gêné de me voir le matin au réveil surtout après une nuit comme celle passée. Il me regarde et je lui souris par politesse ne sachant pas quoi faire d’autres. Il est rare que nous soyons seuls, et lorsque nous parlons, les sujets tournent autour de l’école, de ses enfants mais j’aimerais mieux le connaître, alors je lui demande de me parler de lui et ce qui l’entoure.

Il me dit qu’il est quelqu’un d’assez simple, qui aime la nature, la photographie et les belles choses. Grâce à son travail, il voit du pays, il voyage, mais c’est aussi sûrement ce qui a causé tous ses problèmes avec sa femme. N’étant jamais vraiment présent, sa femme le lui a beaucoup reproché, pourtant il faisait tout cela pour sa famille, pour qu’ils ne manquent de rien. Mais il n’avait pas vraiment compris que le travail ne fait pas tout, il pensait être présent pour sa femme et ses enfants, mais il se trompait.

Je lui demande si ce ne serait pas mieux pour lui de quitter son travail, afin d’être plus présent pour sa famille, mais il a peur de ne pas savoir quoi faire d’autre. Il travail pour une compagnie d’assurance, plus précisément pour les avions, son travail lui prend donc énormément de temps, et c’est pour cela qu’il s’absente aussi longtemps. Il a commencé avec ce travail et n’a jamais fait autre chose que ça.

Il a été très affecté par la demande de divorce de sa femme, il était vraiment perdu à un moment puis il s’est concentré sur ses dossiers, sur son travail. En quelque sorte ça lui a permis de sortir la tête de l’eau, mais d’un autre côté c’est ce qui a causé son naufrage avec sa famille. Mais il s’est dit que le temps ne s’arrête pas, et qu’il devait continuer, il a rencontré quelques femmes, avec qui il pensait pouvoir créer une histoire. Et depuis qu’il a rencontré ma mère, il se sent bien mieux…

Maman : bonjour vous deux…

Ma mère arrive encore à moitié endormie, et nous embrasse tous les deux, avant de s’installer. Bruno lui sert le café, je le trouve attentionné et le fait d’avoir entendu son histoire, je vois en lui un homme sensible, et dévoué à ce qu’il fait et ceux qu’il aime. Ça me fait plaisir de lui avoir parlé seul à seul, et qu’il se soit ouvert un peu à moi.

Après le petit déjeuner, pour sortir un peu, Bruno et ma mère veulent aller faire un tour au marché et se balader. Je vais me préparer pendant qu’ils font de même, et quelques minutes après nous sommes en voiture. Sur place, il y a pas mal de monde, et comme l’autre jour, ma mère rencontre encore des copines avec qui elle va discuter pendant un bon moment…

Bruno : ah les femmes, elles parlent beaucoup..
Moi : non c’est pas vrai (en lui donnant une tape sur le bras)
Bruno : ahaha je t’embête, en tout cas tu réagis vite
Moi : oui alors fais attention à toi hihi (en prenant un air menaçant)
Bruno : ok, ok, je ferais attention…. Dis moi je voulais te poser une question
Moi : oui vas y
Bruno : ce matin quand on parlait, tu m’as demandé si je ne serais pas mieux en quittant mon travail pour que je sois plus présent avec ma famille…
Moi : euh oui … et ?
Bruno : est ce qu’au fond tu aimerais que je sois plus avec ma famille, qu’avec vous ?
Moi : non c’est pas ça, je voulais juste savoir si tu ne regrettais pas la situation c’est tout
Bruno : d’accord, je pensais que tu n’aimais pas trop le fait que je vois ta mère
Moi : non au contraire tu lui fais beaucoup de bien…. Euh mais pourquoi tu étais distant un moment ?
Bruno : ah euh… j’étais simplement perdu … et, mais ça va on en a beaucoup parlé, et tout va bien
Moi : humm ok…
Maman : alors tous les deux, qu’est ce que vous complotez ?
Bruno : rien, on disait seulement que les femmes parlent beaucoup

Et c’est une tape sur chaque bras qu’il a reçu de notre part à toutes les deux tout en rigolant. Notre balade au milieu des stands continue, nous n’achetons pas grand-chose, à part des fruits et des légumes et quelques confitures. Nous passons un bon moment tous les trois, mais les heures passent, et Bruno nous ramène chez nous. Il embrasse ma mère, puis il vient vers moi me souris et me fait un bisou avant de nous laisser.

C’est bizarre à dire mais quand Bruno nous quittes, il laisse derrière lui un gros vide, comme s’il avait toujours vécu avec nous ici. Je le découvre petit à petit, et m’habitue à lui, je suis moi-même impatiente de le revoir, et cette fois ci il part pour à peu près 2 semaines.

Les jours passent, je ne vois plus trop ma mère sur le site de rencontre, elle y va bien sûr pour répondre parfois à des messages, mais elle n’y est plus comme avant. Je lui demande comment sa relation avec Bruno évolue, surtout après cet épisode où il avait été distant. Elle me dit qu’au restaurant, elle s’attendait à l’entendre dire qu’il voulait arrêter sans aucunes raisons valables. Elle ne se considère toujours pas en couple avec lui, mais elle veut tout de même un minimum de franchise venant de lui. Alors bien sûr elle lui a demandé si cette distance venait du fait qu’il voit une autre femme, auquel cas elle comprendrait, elle voulait des explications, pour savoir quoi faire de son côté.

Bruno a été très sincère avec elle, il a effectivement vu d’autres femmes, vu que rien ne l’en empêcher, il a également eu des relations sexuelles avec elles, mais le problème entre ma mère et lui n’était pas là. Alors ils ont longuement parlés, ça avait été très dur pour lui de se livrer apparemment, et une fois que c’est sortie, ils ont en parlés encore durant toute la soirée, et ils se sont entendus et compris tous les deux.

Je lui ai dis que de mon coté j’avais peur pour elle, qu’elle soit triste après cette soirée, parce qu’au fond de moi j’apprécie vraiment Bruno, et qu’il rajoute quelque chose entre elle et moi que je n’arrive pas à décrire. Elle est ravi d’entendre ça de moi, que j’accepte Bruno, mais elle me rappelle qu’il ne faut pas trop se précipiter, qu’elle prend son temps malgré le fait qu’elle s’attache à lui.

Nous arrivons pratiquement au terme de la 2ème semaine, nous sommes mercredi et ils se sont prévus un petit restaurant vendredi soir comme à leur habitude. De mon côté ne voulant pas être seule ce soir là, j’ai demandé à Estelle et Kévin s’ils étaient d’accord pour une sortie vendredi soir. Après s’être mis d’accord, nous avons convenus pour commencer la soirée, d’aller dans un magasin de jeux vidéo pour Kévin, puis des boutiques pour Estelle et moi et finir la soirée par un cinéma.

Jeudi, on se concerte pour savoir si nos parents sont d’accord pour notre soirée, aucun refus nous sommes donc fin prêt. Mais vendredi à l’école, nous ne voyons pas Estelle, je suis inquiète alors je lui envoi un message pour savoir comment elle va. Elle me dit simplement être malade et qu’elle ne viendra pas aujourd’hui, ni ce soir. On lui souhaite un bon rétablissement, Kévin me regarde et je lui dis que je suis toujours partante pour notre programme de ce soir. Il est très content de m’entendre dire ça, il pensait sans doute que je voudrais annuler mais pas question. La journée se passe, et c’est la maman de Kévin qui vient nous chercher pour nous déposer au centre commercial.

De là, bien sûr comme promis, nous sommes allés dans un magasin de jeux vidéos, le vendeur est franchement pas mal, il est jeune, et je n’arrête pas de le regarder, d’ailleurs je dois sûrement paraître pour une folle. Pour le coup on y reste aussi longtemps que Kévin le souhaite, il regarde ses jeux, fais le tour du magasin, et quand le vendeur vient s’adresser à nous, je ne cesse de sourire, de me cacher, de sourire encore. Bref la petite idiote ne sachant pas quoi faire…

Heureusement pour moi, Kévin finit par choisir ses jeux, les payer pour que nous partions. Kévin me demande dans quelles boutiques de vêtements je voudrais aller, alors je lui avoue qu’avec Estelle on avait prévu d’aller à UNDIZ, et on ne savait pas comment il pourrait réagir. Bien sur il est un peu gêné mais je le prends par le bras et je lui dis qu’il m’accompagne pour me donner son avis. Dans la boutique, il y a pas mal de monde, beaucoup de filles surtout, et je vois Kévin un peu gêné, et il l’est encore plus lorsque je lui montre une toute petite culotte couleur rose…

Moi : tu trouve que ça m’irait bien ? (en lui faisant des petits yeux)
Kévin : euh …. Je ne sais pas…
Moi : pourquoi tu ne sais pas ?
Kévin : et bien… je…. Je ne tai jamais vu en sous vêtements
Moi : ahahah espèce de banane, tu n’as pas besoin de me voir, juste imagine…
Kévin : ah euh… pourquoi tu m’appelle banane ?
Moi : désolée, c’est sorti tout seul, et c’est plutôt affectif… tu n’aime pas ?
Kévin : si, si, j’aime bien, et tu veux que je t’…. que je t’imagine en sous vêtements ?
Moi : ahaha juste pour me conseiller voyons
Kévin : ok

A ce moment là, nous étions tous les deux joueurs, je lui montré des sous vêtements, il les regardé, me regardé, et me donné son avis. Il jouait vraiment son rôle à fond, et on arrêté pas de rire, surtout à cause des têtes qu’il pouvait prendre. Kévin et moi sommes plutôt timides en temps normal, et le voir se lâcher comme ça me fait énormément plaisir, ce n’est pas une mauvaise idée après tout d’être venu dans cette boutique.

Après ça nous nous sommes installés à une petite table et avons pris des boissons, on avait tellement ri, qu’il nous fallait quelque chose à boire. Bien sûr Kévin était toujours très discret, alors pour une fois qu’il se lâche, je me suis dis que je pouvais continuer sur la lancé…

Moi : alors, tu as aimé la boutique de sous vêtements ?
Kévin : j’ai bien aimé oui haha
Moi : il y avait pleins de jolies filles aussi
Kévin : euh oui c’est vrai
Moi : Kévin, on est tes amis, tu peux nous parler librement tu sais
Kévin : oui je sais…
Moi : dis-moi, il y a une fille sur qui tu craques ?
Kévin : euh … non personne
Moi : oh … ça veut dire que tu nous trouves pas jolies Estelle et moi ? (d’un air triste)
Kévin : euhhh… si, si vous êtes jolies, mais c’était pas ça la question…
Moi : Kévin, je t’embête, ahahaha…. Respire
Kévin : ah ok, mais je veux pas te blesser…
Moi : tu ne me blesse pas banane ahaha
Kévin : ahaha
Moi : et dis moi, dans ton imagination, je suis mignonne avec mes petites culottes ?
Kévin : ah, … oui très hihi
Moi : ahaha faudra se refaire ça avec Estelle alors …

Nous rions tous les deux, c’est dommage qu’Estelle n’ai pas pu venir avec nous, nous aurions passés un bon moment à trois, mais on le refera c’est sûr. Nous continuons de nous balader dans les boutiques, l’heure passe et nous partons en direction du cinéma. Je prends des choses à boire et à manger, Kévin lui attend sagement, et il regarde en direction de trois filles assez jolies je dois dire. Il a du goût, il cache bien son jeu ce petit, il fait un petit signe pour les saluer, mais quand je regarde mieux, je me rends compte que les filles rigolent de lui. Je reviens vers Kévin, et en passant près des filles je peux les entendre parler sur lui. Genre « il regarde quoi le gros ? », « même pas en rêve », « aucune chance avec une fille ».

Je me suis sentie très mal à ce moment là pour Kévin, heureusement qu’il n’a rien entendu de là où il est. Mais pourquoi le juger sans le connaître ? Ces filles sont vraiment des pestes…

J’arrive près de Kévin, et sans vraiment réfléchir, je lui fais un bisou sur la joue, je lui attrape la main tout en lui disant que je suis là et qu’on peut y aller. Bien sûr j’ai aussi jeté un regard noir vers les filles, espérant qu’elles comprennent de ne pas s’en prendre à lui. Kévin est un peu perdu, il me demande pourquoi j’ai fait ça devant les filles, et j’ai préféré lui dire qu’elles ne sont pas assez bien pour lui et que ce soir il est à moi.

Dans la salle de cinéma, nous passons un très bon moment, le film n’est pas vraiment super, mais le moment que je partage avec mon ami l’est. Nous sortons de la salle, et on croise de nouveau les filles qui me regardent comme si je sors d’une autre planète. Je m’en fiche, ce qui compte pour moi c’est que Kévin ai passé une bonne soirée, et qu’il n’a pas entendu ces filles parler sur lui.

Il est 22H30 quand la mère de Kévin me pose en bas de chez moi, je les remercie encore de m’avoir ramené, et je ne vois pas la voiture de Bruno. Peut être ne sont ils pas encore rentrés, je monte, j’ouvre la porte et je trouve ma mère dans le canapé en train de regarder la télé…

Moi : qu’est ce que tu fais ici ? Où est Bruno ?
Maman : il m’a appelé pour annuler notre rendez vous, il avait un problème avec sa fille
Moi : ah, pas trop grave j’espère
Maman : je ne sais pas, je ne pourrais pas te dire
Moi : je suis désolée, si j’avais su je serais rentrée
Maman : ça va chérie, et toi ta soirée ? Dis-moi

Je lui racontais ma soirée, le moment de la boutique UNDIZ nous a fait rire toutes les deux. Je lui expliquais aussi ce qui s’est passé au cinéma avec les filles, ma mère me félicite pour ce que j’ai fait, mais je repense toujours à Kévin. Depuis tout petit il est le sujet de moquerie des autres élèves, tout ça parce qu’il est un peu gros. Je n’aime pas du tout la façon dont Kévin est traité, mais je sais qu’un jour il aura quelqu’un pour l’aimer, quelqu’un qui le méritera vraiment.

Après avoir parlé, je m’installe sur le canapé avec ma mère, et nous regardons la télé, jusqu’à que je sois fatigué et que j’aille me coucher…
chapitre 23 image
Le weekend est finalement passé sans que l’on ait vu Bruno, je dois avouer qu’il a créé sa place dans nos vies. Le fait de l’avoir avec nous, de sortir faire une balade au marché, au cinéma et autre, tout cela commence à prendre une place importante, et je dois avouer aussi que j’adore l’entendre faire l’amour avec ma mère.

Bruno et ma mère se parle toujours par message, inutile de vous dire qu’il aura fallu attendre encore pas mal de temps avant qu’ils ne puissent s’organiser leur petit rendez vous du vendredi. Nous sommes le 09 Mai, je suis seule chez moi, l’heure passe et je me dis qu’ils vont bientôt rentrer, et je vais avoir le droit à des gémissements à n’en plus finir ce soir.

Il est 23H j’entends les clés dans la porte, elle s’ouvre et je vois ma mère seule. Quelque chose ne va pas, elle vient vers moi, s’installe dans le canapé, mais elle ne dit pas un mot. Je lui laisse le temps de se poser, de respirer et je lui demande ce qui s’est passé.

Elle me raconte alors que la dernière fois qu’elle devait voir Bruno, sa fille avait eu un souci. En fait elle avait fugué ne supportant plus la situation entre ses parents, et tout ça les a fait réfléchir. Bruno a pris du temps avant d’en arriver à une décision, et pour le bien de ses enfants avant tout, il va prendre un peu de recul par rapport à son travail, mais aussi essayer de renouer les liens avec sa femme. Pour ma mère cette annonce a été un choc, elle ne voulait justement pas s’attacher à Bruno de peur que cela arrive, ou même alors qu’il choisisse une autre femme.

Mais elle me dit, que Bruno aussi se sentait mal par rapport à ma mère, qu’il aurait voulu continuer, mais avec ce que sa fille à fait, il ne pouvait pas faire comme si de rien n’était. Ma mère l’a très bien compris, elle s’est dit la même chose, si elle devait choisir entre un homme et moi, elle m’aurait choisi sans hésiter. C’est pourquoi elle accepte sa décision, et ne lui en veut pas, elle est simplement triste de savoir qu’elle ne le reverra plus, car elle avait créé un lien particulier avec Bruno.

Je me demandais ce qu’elle voulait dire par là, mais ce soir elle ne veut pas plus en parler, elle veut se reposer, et rester un moment seule. Tout le weekend ma mère resta enfermée dans sa chambre, je crois qu’elle s’était bien plus attachée que ce qu’elle disait. La semaine qui suivit elle a pris de la maladie, ne pouvant sans doute pas assurer son travail elle préférait rester à la maison.

La situation évolue petit à petit, elle a repris son travail, elle sort, fait de la zumba pour se dépenser et le soir elle me reparle. Je la serre dans mes bras le plus souvent possible tout en lui disant que je suis toujours là pour elle. Bien sûr quand on parle, il y a toujours un mot sur Bruno, mais toujours en bien.

Nous sommes dans la dernière semaine de Mai, elle a repris ses activités sur le site de rencontre, elle répond aux messages comme à son habitude. Je me dis que c’est bien elle tourner la page, mais en même temps j’ai peur que ça recommence et qu’elle soit de nouveau triste. Mercredi soir, il est 20H30 quand elle me dit qu’elle sort prendre un verre avec un gars, je suis surprise, je lui demande si elle en est sûre et elle me dit qu’elle a besoin de sortir. En tant normal elle serait sorti plus bonheur que ça, surtout pour rencontrer un homme, j’espère seulement qu’elle sait ce qu’elle fait.

Il est pratiquement 22H, je me décide d’aller me coucher pour être en forme demain. J’écoute de la musique pour m’endormir, et très vite je trouve le sommeil. Un sommeil qui aura été de courte durée, puisque je suis réveillée vers 23H10 par la porte qui d’entrée qui claque. Ma mère est rentrée, mais je ne me lève pas, elle doit être fatiguée, et je ne crois pas que ce soit le moment de parler.

Toutefois, je suis surprise d’entendre à un moment un gémissement puissant de ma mère, peut être qu’elle se fait du bien, après tout ce n’est pas la première fois qu’elle se fait plaisir dans le salon devant l’ordinateur. Et de mon côté ça fait très longtemps que ça ne s’est pas reproduit, alors je me lève de mon lit, j’avance vers ma porte que j’ouvre tout doucement. Le couloir est éteint mais le salon lui est éclairé par une lampe près du canapé.

Et en passant ma tête par ma porte pour regarder dans le couloir, j’ai une vue direct sur l’arrière du canapé, ou je peux voir dépasser au dessus ma mère et un homme. Je suis totalement surprise, elle a ramené cet homme, alors qu’elle vient de le rencontrer, je ne vois que l’arrière de sa tête, tandis que je vois parfaitement le visage de ma mère. Elle ferme les yeux, ses bras enlacent cet homme et elle gémit tout en le chevauchant.

C’est la première fois que je la vois faire l’amour, et très vite je suis toute excitée, alors ma main trouve très vite son chemin, et je commence à me toucher. Je reste là où je suis, si je sors je n’ai aucun endroit pour me rapprocher et me cacher, alors je me masturbe tout en regardant la scène qui se déroule devant moi. L’homme se débarrasse des derniers vêtements qu’il restait à ma mère, la voila nue sur le canapé faisant l’amour sans retenue. A croire qu’elle a oublié que j’étais là, mais peu importe, elle gémit de tout son plaisir, et moi je me caresse en la regardant.

A un moment je la vois ouvrir les yeux et regarder directement dans ma direction, je ne sais pas comment réagir, je veux me cacher un peu. Elle m’a vu, et elle continue de plus belle, tout en gémissant …

Maman : oh oui vas y continue, t’arrête pas…

Ces mots sont pour moi un message, alors je retire entièrement mes vêtements et je sors à moitié dans le couloir tout en me caressant. Ma mère se redresse et caresse ses seins tout en me fixant, tandis que je vois cet homme poser également ses mains sur sa poitrine. Elle fait divinement bien l’amour, elle prend du plaisir, et je vois son regard sur moi, sur mon corps, je me caresse à un rythme accéléré au point que je sens ma jouissance venir.

Je ne vais pas tenir très longtemps, je me caresse le clitoris en faisant tourner mes doigts dessus comme une furie, tout en écoutant ma mère venir également…

Maman : oh oui je viens, t’arrête pas, je viens, je viens, ah aaahh AAAAAAAAH
Inconnu : oh OOOOOOOOHHHHH

Je suis moi-même en train de jouir en silence tout en regardant ma mère s’affaler sur cet homme, mais son regard lui est fixé sur moi. Je reprends mes esprit, ma respiration est courte, ma mère me souris et je fais de même, tout en me glissant dans ma chambre en refermant la porte tout doucement. J’attends deux minutes dans ma chambre et j’entends l’homme dire …

Inconnu : ah merci pour tout, on remet ça quand tu veux
Maman : ok (d’un ton épuisé)
Inconnu : allez bye

Et j’entends dans le même élan la porte d’entrée claquer, je pensais qu’il allait prendre un peu plus de temps, rester avec ma mère et se parler comme le faisait Bruno mais non rien. Juste après j’entends ma mère toquer à ma porte, je lui dis de rentrer, elle allume la lumière et je la vois nue, en sueur. Je suis moi aussi resté toute nue, elle me regarde, elle me sourit de nouveau puis elle me demande de venir avec elle prendre un bain.

Ça fait très longtemps que nous n’avons pas pris de bain ensemble, il est tard mais peu importe, je crois que nous avons besoin de nous parler. Elle se rince en vitesse avant de laisser couler l’eau et remplir la baignoire, une fois remplie, nous nous installons tout en nous regardant et …

Moi : c’était qui ce mec ?
Maman : mon rendez vous de ce soir
Moi : mais il s’appelle comment ? Et tu vas le revoir ?
Maman : à vrai dire, je ne sais même plus comment il s’appelle ahaha, et non il ne me plait pas
Moi : pourquoi tu as couché avec lui alors ?
Maman : parce que j’en avais envie chérie, tout simplement
Moi : d’accord … et… désolée de t’avoir regardé
Maman : ne t’excuse pas, au contraire, je n’arrivais pas à avoir de plaisir jusqu’à que je te vois dans le couloir.
Moi : ah bon ?
Maman : oui, au moment où je t’ai vu ça m’a complètement excitée
Moi : woao d’accord… j’étais très excitée aussi, et tu es très belle quand tu fais l’amour maman
Maman : merci chérie, mais j’avoue qu’avec Bruno c’était autre chose
Moi : Ah… jusque là, tu ne m’as jamais parlé de toi et Bruno dans vos relations intimes, pourquoi ?
Maman : hummm…. parce que j’estimais que ça ne regardait que nous, et si un jour il venait à savoir que je te raconte nos ébats, je ne sais pas comment il aurait réagit
Moi : oh ne t’inquiète pas maman, je ne veux pas connaître tous les détails, mais juste une chose qui me travail depuis longtemps
Maman : ah bon ? Vas y dis moi laquelle
Moi : la première fois que vous avez fait l’amour, et que vous m’avez entendu jouir, il a été très gêné par la situation. Ensuite il a été distant, et quand il est revenu, vous n’avez plus été gêné de faire l’amour et que je vous entende, pourquoi ?
Maman : humm… on a mis les choses au clair c’est tout
Moi : c'est-à-dire ?
Maman : je ne voulais pas te le dire, de peur que tu sois gêné, mais…
Moi : dis moi maman, vas y …
Maman : d’accord, …vu qu’il ne sera plus avec nous,…. il m’a avoué qu’il avait été très gêné car, juste au moment de jouir, nous t’avons entendu gémir et à cet instant il a pensé à toi
Moi : quoi ?!!
Maman : il s’en est voulu, il s’est mis à croire qu’il était horrible envers toi, et envers moi. On en a parlé toute la soirée, je lui ai dis que ce n’était ni de sa faute, ni de la tienne. Qu’il n’a pas pu se contrôler quand il t’a entendu jouir
Moi : oui c’est vrai,… je comprends
Maman : et il avait peur que ça se reproduise, et qu’il se mette encore à penser à toi en t’entendant gémir, pendant que l’on fait l’amour.
Moi : et qu’est ce que tu lui as dis ?
Maman : la vérité, que j’avais moi aussi été troublée en t’entendant, mais que j’avais trouvé ça excitant d’un autre côté. Il n’arrivait pas à comprendre puis peu à peu il s’est laissé convaincre, et quand nous sommes rentrés, nous avons fait l’amour.
Moi : et il à réagit comment ?
Maman : au départ il ne voulait pas faire de bruit, mais après on a entendu tes gémissements, il était encore gêné, et je l’ai encouragé à t’écouter gémir. Il s’est excité de plus en plus jusqu’à devenir bestial et jouir.
Moi : je ne pensais pas que vous m’entendiez avec tout le bruit que vous faisiez
Maman : au contraire, et après l’amour, je lui ai dis à l’oreille que je trouvais tout ça très excitant et j’avais hâte de recommencer. Il m’a avoué alors que je le surprenais beaucoup, et qu’il trouve ça très excitant aussi.

Je suis sur le moment surprise par ses aveux, mais en même temps, je suis flattée, excitée du fait que Bruno ai pu m’entendre pendant qu’il faisait l’amour à ma mère. J’ai enfin mes réponses à mes questions, et j’en suis toute retournée au point d’avoir de nouveau envie de me masturber. Et ce soir avoir vu ma mère faire l’amour à cet homme sur le canapé, c’était tout simplement incroyable, et aussi surprenant cette complicité que j’ai avec elle au point d’en prendre du plaisir…
chapitre 24 image
Après cette soirée de confidences et aussi après ce que j’ai vu, le soir dans ma chambre, beaucoup de choses me venaient en tête. Les images de ma mère faisant l’amour sur le canapé, mais aussi ce que Bruno pouvait bien imaginer dans sa tête en m’entendant. Je ne vous cache pas que ces soirées là ont été mouvementées en masturbation…

Je me demandais si elle aller revoir cet homme, et surtout si elle ferait de nouveau l’amour dans le salon comme l’autre soir. Mais les jours sont passés et elle ne m’a pas reparlé de cet homme, il n’y avait ni nouveau message, ni appel ou autre. Elle m’a fait comprendre qu’il n’était là que pour un soir et que cela lui suffisait amplement.

Il ne restait plus que quelques jours avant le début des vacances, sur ce sujet, j’ai discuté avec Karine via Facebook, et nous sommes toutes les deux impatientes de nous retrouver, mais elle me dit qu’elle sera chez grand-mère qu’à partir de la deuxième semaine. Nous avons discutés de tout aussi, mais elle en garde en réserve pour pouvoir tout me raconter lorsque nous serons en vacances.

A l’école tout se passe bien, les dernières semaines les cours sont plutôt léger en contenu, voir quasi nul. Estelle et Kévin ont eux aussi prévu de partir en vacances voir de la famille, aussi pour ne pas se quitter tout simplement lorsque l’école sera fini, nous avons programmés une sortie tous les trois. Ce serait pratiquement le même programme que la dernière fois où Estelle n’a pas pu venir, mais une chose en plus, ses parents partent en weekend chez des amis, et ne voulant pas les accompagner, elle leur demanda si nous pouvions passer la nuit avec elle.

Les parents d’Estelle sont très gentils, et ont tout de suite acceptés, aussi pour ne pas la laisser toute seule. Ma mère a également accepté, juste à une condition, de faire attention à moi, et aussi de lui raconter à mon retour mon weekend avec mes amis, ok ça fait deux conditions.

Le jour J arrive, la fin des cours résonne, une année scolaire qui s’achève, et le début des vacances pour nous. Le samedi je me lève en douceur, je prends mon petit déjeuner avant de préparer mes affaires pour la nuit chez Estelle. Nous nous retrouvons vers midi au centre commercial, nous embarquons déjà nos affaires dans la voiture de maman, et nous voilà tous les trois réunis pour notre petit weekend.

Nous commençons la visite des boutiques mais aussi le magasin de jeux vidéo pour Kévin, et bien sur je retombe à nouveau sur le jeune vendeur. D’après Estelle j’ai très bon goût puisque elle aussi a flashé dessus, et nous voilà toutes les deux dans notre coin à l’observer pendant que Kévin prend tout son temps. A un moment il vient s’adresser à nous…

Vendeur : Bonjour, je peux vous renseigner ?

Là, vraiment, on ne savait pas quoi dire, j’étais totalement perdu, seule Estelle a pu lui répondre …

Estelle : euh… on regarde les boîtes…
Vendeur : hum, les figurines dans les boîtes
Estelle : oui aussi …
Vendeur : ok, je vous laisse alors, mais n’hésitez pas si vous avez besoin

On s’est regardé toutes les deux en se faisant de gros yeux et en essayant de se cacher pour rire, mais qu’est ce qu’on a pu se trouver un peu conne à ce moment. Kévin finit par acheter quelque chose et en partant le vendeur nous salut, nous étions toutes les deux en train de fondre sur place. Après ça les boutiques, et Estelle avait très envie de se faire plaisir, alors des essayages il y en a eu, et nous sommes sorties avec à peu près de tout. Kévin semble un peu plus à l’aise que la première fois lorsqu’on lui montrait des sous vêtements ou des maillots, et il arrive même à nous donner son avis.

Estelle est toute étonnée de le voir ainsi, lui qui est assez timide en temps normal, mais je lui dis qu’il doit surement appliquer une technique que je lui ai donné la dernière fois. Elle me dit qu’il faudra lui expliquer tout ça quand on sera rentré, mais pour le moment elle profite, et s’amuse de découvrir Kévin ainsi. Elle lui montre toute sorte de sous vêtements, en passant des culottes les plus simples au petit string et à cet instant Kévin eu un peu de mal, puisqu’il détourna les yeux. Je fais signe à Estelle de ne pas trop le brusquer encore, elle comprit bien sur et elle prit tous les articles qu’elle avait trouvé à son goût, mais elle reste curieuse vis-à-vis de Kévin.

Nous avons continué un peu à visiter les boutiques et après des heures à nous balader, j’envoie un message à ma mère pour qu’elle vienne nous récupérer. Une fois arrivés chez Estelle, nous débarquons les affaires de Kévin et les miennes, j’embrasse fortement ma mère en lui demandant si elle ne va pas trop s’ennuyer sans moi et sa réponse m’a beaucoup plu…

Maman : ne t’inquiète pas chérie, je me suis prévu un petit rendez vous pour ce soir hihi (en me faisant un clin d’œil)
Moi : ok, super, tu me raconteras alors

Je l’embrasse une dernière fois et nous montons nos affaires dans l’appartement, nous avions pas mal d’affaires vu tout ce que nous avions achetés. Nous laissons tout ça dans la chambre, et nous nous installons dans le salon pour nous rafraichir et parler un peu de tout. Bien sur assez vite Estelle enchaina sur le sujet « amour » à savoir sur qui on craque tous les trois.

Pour moi ça n’avait pas changé, mais étant donné que Kévin n’est pas au courant alors je lui dis que Guillaume me plaît beaucoup, pour Estelle, elle craque toujours sur Benjamin, et d’après Kévin ça ne l’étonne pas, vu qu’il est pratiquement le beau gosse de l’école. Nous attendons la réponse de Kévin, et je suis étonnée d’apprendre qu’il craque sur une fille. Il me dit qu’il avait réfléchit depuis que je lui ai posé la question, et qu’il s’est rendu compte que Mathilde lui plaisait beaucoup. Elle est timide également, porte des lunettes, un appareil dentaire, brune et un peu potelet.

Nous sommes toutes les deux très contente, et on vient lui faire de gros bisous pour lui rappelait qu’il est avant tout notre Kévin à nous. Les questions s’enchaînent sur d’autres sujets et bien sur Estelle, avait encore une chose en tête…

Estelle : alors racontez-moi ce qui s’est passé la dernière fois que vous êtes sorties, comment ça se fait que Kévin soit à l’aise pour nous donner son avis sur des sous vêtements ?
Moi : en fait la dernière fois, il est venu avec moi pour choisir des sous vêtements, il était timide et je lui ai dit de m’imaginer avec, et pour le coup on s’est amusé ahaha
Estelle : ba ça alors, et tu as imaginé Julia en sous vêtements ? Et moi aussi alors ?
Kévin : Euh, oui, désolé si ça te gêne
Estelle : Non, t’inquiète je suis juste surprise, et tu m’as imaginé en string aussi quand je te l’ai montré ?
Kévin : oui, pardon, d’ailleurs j’ai eu honte
Estelle : faut pas, tu n’as rien fait de mal, je voulais te taquiner en te demandant ton avis. Et nous sommes amis, on devrait pouvoir tout se dire sans gêne, vous êtes d’accords ?
Moi : oui je suis d’accord
Kévin : pareil
Moi : ok alors question pour toi Kévin, tu as déjà imaginé Mathilde en sous vêtement ?
Kévin : euh, oui j’avoue
Nous rions tous ensemble à ce moment là pour le détendre un peu et lui rappeler que l’on peut tout se dire, et que nous ne le jugerons jamais…
Estelle : et aussi toute nue non ?
Kévin : euh oui (dit il en étant encore un peu gêné)
Estelle : ahaha vas y lâche toi Kévin, et nous, tu nous a déjà imaginé nue ?
Kévin : euh non pas du tout, mais ….
Estelle et moi : Mais ? Vas y dis nous
Kévin : mais maintenant que tu poses la question, j’ai imaginé désolé

Je suis surprise, mais la tête de Kévin est trop drôle à ce moment là, et il faut le dire, nous l’avons cherché un peu tout de même. On lui demande si nous sommes belles dans son imagination, ce à quoi il répond oui et ça nous fait très plaisir. Et pour continuer sur les confidences ….

Estelle : dites, vous vous masturbez ?
Moi : euh….
Estelle : allez, on se dit tout, il n’y a personnes pour nous écouter. Pour moi c’est oui je me masturbe et vous ?
Moi : ok oui je me masturbe aussi
Kévin : oui, aussi
Estelle : voila, ce n’est pas la mort ahaha. Et vous le faites comment ? Moi dans ma chambre en pensant à Benjamin hihi
Estelle est très libre quand elle en parle, elle me surprend totalement. Car jusque là nous n’avions jamais parlé de sujet aussi intime, mais je me dis que ce sont mes amis et que je leur fait confiance. Alors je me décide de répondre pour jouer le jeu et pour encourager aussi Kévin.
Moi : oui je me masturbe aussi, dans ma chambre et parfois dans la douche
Kévin : dans la douche et la chambre aussi

Après ces confidences Estelle se lève, dit à Kévin de ne pas bouger, elle me prend par la main pour aller vers la chambre.

Elle a comme idée d’essayer tous nos achats et de faire un défiler devant Kévin pour nous donner son avis. Je me prête au jeu et nous voilà en train de nous changer, et c’est la première fois que je me retrouve en sous vêtements avec Estelle. Nous sortons de la chambre et nous défilons, Estelle donne les consignes à Kévin de rester assis et de profiter du spectacle. Nous retournons dans la chambre, on se change à nouveau, on utilise aussi des lunettes, et tout autres accessoires pour se mettre en beauté. Kévin toujours assis nous donne son avis, et une note également à chaque passage, nous sommes tous les trois joueurs, et nous rigolons aussi à tout bout de champs.

A chaque passage devant Kévin, je me sens de plus en plus excitée, et aussi du fait de voir Estelle en sous vêtements dans la chambre que nous ne fermons même plus d’ailleurs, vu que Kévin reste sagement dans le salon. Lors d’un passage en mini jupe Estelle s’est amusé à la soulever pour laisser voir ses fesses, Kévin a d’ailleurs fait d’énormes yeux en la voyant faire et dans la chambre elle m’a conseillé de me laisser aller et la suivre.

J’ai été étonné lorsqu’elle m’a dit de défiler avec elle en mini short et soutien gorge, d’après elle ce serait comme se montrer en maillot. J’ai eu un moment de doute, et en la regardant dans les yeux j’ai vu son regard à la fois joueur et excitée, alors je me suis dis pourquoi pas. Et nous sommes apparues devant Kévin en mini short et soutien gorge, il a d’ailleurs eu un gros instants de gêne, mais Estelle lui dit que ça va, on rigole tous les trois et lui demande même s’il nous avait imaginé comme ça. Il nous dit alors que c’était encore mieux que dans son imagination, sa réponse sincère et timide me plait beaucoup, et d’ailleurs c’est ce qui m’a excitée encore plus.

Et apparemment Estelle aussi fut très excitée, elle changea son mini short pour une mini jupe très légère, je fis de même et devant Kévin elle dévoila ce qu’il y avait en dessous. Bien sur en la voyant faire je fis de même, Kévin très surpris nous donnés pratiquement que des 10/10 et un avis timide mais mignon, en nous disant que c’est le meilleur spectacle de sa vie. Nous sommes retournés à la chambre, et là Estelle se mit nue devant moi pour enfiler d’autres sous vêtements, mon regard se bloqua sur son corps, elle a de beaux seins, très bien formés et fermes, et un petit duvet de poils qu’elle rase en triangle. Elle me regarde pour dire que je n’avais pas à avoir honte, et sous son regard je fis de même, je dévoilais mon corps à Estelle, qui d’ailleurs me complimenta.

Nous étions toutes les deux nues dans la chambre dont la porte est restée ouverte. Cela m’excite de savoir qu’à quelques pas de nous, Kévin se trouve dans le salon et qu’il pourrait très bien nous surprendre.
Je me suis très vite prise au jeu, à la fois excitée et curieuse de voir jusqu’où je peux aller. Nous avons continué de défiler en montrant nos sous vêtements à Kévin qui est tout aussi heureux à chaque passage. Nous avons finis par mettre une simple chemise du père d’Estelle, assez large que nous ouvrons une fois devant Kévin. Nous lui montrons nos sous vêtements, tout d’abord assez simple, puis de plus en plus coquins, puisque nous défilons avec des culottes en dentelle, qui cache tout de même l’intimité, mais pratiquement transparente tout autour.

Pour ma part, je n’ai plus rien à montrer de mes vêtements achetés alors je me suis installés à côtés de Kévin en chemise et sous vêtements pendants qu’Estelle continue de son côté ayant acheté plus de choses. Pendant l’absence d’Estelle, Kévin me demanda si on se changeait l’une devant l’autre dans la chambre…

Moi : oui, on s’est mise toute nue pour pouvoir échanger de sous vêtements et venir te les montrer…
Kévin : ah, euh ok … (en prenant une grande inspiration)
Moi : respire doucement banane, je ne voudrais pas que tu fasses une crise
Kévin : t’inquiète pas, ça va aller, c’est juste que je vous ai imaginé d’un coup
Moi : ahaha, ok, tu sais la porte était ouverte hihi
Kévin : oh pu…. (Ne trouvant plus ses mots)

Estelle continua son défilé avec des culottes toute aussi coquines, d’ailleurs je me demandais si Kévin n’avait pas envie de se masturber car pour moi oui j’en avais très envie à ce moment là. Estelle revient dans le salon avec sa chemise fermée, je devine qu’elle cache alors quelque chose d’assez osé, elle est toujours joueuse, mais semble juste un poil nerveuse.

Elle nous regarde avant de commencer à ouvrir sa chemise pour apparaître vêtu du petit string qu’elle a acheté. Je suis complètement surprise tout autant que Kévin qui en a la bouche ouverte, Estelle tourne sur elle-même et nous dévoile ses petites fesses. Elle nous dit alors que c’est la fin du spectacle et qu’elle nous remercie pour nos applaudissements, et pour la taquiner je dis alors vouloir en voir encore plus.

Nous rions tous les trois, elle me regarde droit dans les yeux comme pour me passer un message, elle se retourne en direction du couloir. De là où nous sommes Kévin et moi, Estelle nous est caché par le mur, et nous voyons la chemise voler, son soutien gorge aussi, et pour finir le petit string qu’elle portait. Je regarde Kévin, nous sommes tous les deux aussi surpris, je lui lance un « youhou » comme pour lui dire qu’elle a vraiment fait fort avant de voir sa petite tête apparaître tout sourire.

Je m’empresse de me lever et de la rejoindre en prenant soin de récupérer ses affaires au sol. Elle me prend par la main et nous allons en directions de la chambre. Nous fermons bien sur la porte, elle est toute excitée de ce qu’elle a fait, elle est toujours nue devant moi et me demande si ce n’était pas de trop pour Kévin. Je lui dis qu’il a beaucoup aimé le spectacle, et surement qu’il aurait voulu en voir plus. Nous nous sommes rhabillées et avons rejoins Kévin dans le salon avant de lui lancer pour rire que c’est à son tour de nous faire un défiler.

Il ne savait plus quoi dire, mais nous l’avons rassuré bien sur, et que c’était pour rire. Nous avons continué à parler et à rire, nous avions peut être passé là un cap dans notre amitié où la confiance prend encore plus de place et la gêne disparaît peu à peu, et ce n’est pas fini.
chapitre 25 image
Après ce moment assez chaud, je me sentais très excitée, mais je pense que c’est le cas également pour Estelle et Kévin. Nous parlons de ce petit défilé, et Kévin nous dit qu’il a été très surpris par tout ce que l’on a pu faire devant lui et surtout le final d’Estelle. J’avoue qu’elle a fait très fort, et jamais je n’aurais imaginé qu’elle soit aussi libre autant dans ses paroles que dans ses gestes.

Je pense qu’elle doit avoir encore pas mal de choses en réserve à nous dévoiler, pour ma part même si ce sont mes amis je ne voudrais pas partager avec eux la complicité que j’ai avec ma mère. J’ai peur qu’ils puissent trouver ça bizarre, limite écœurant et que ça puisse nous créer des problèmes.

Après tout ça, nous sortons de l’appartement en direction d’une pizzeria juste au coin de la rue. Nous passons commande et attendons tous les trois en parlant de divers sujets. La pizza en main nous revoilà partis en direction de l’appartement, on s’installe devant la télé et nous lançons un film plutôt comique. Pendant le film je ne peux m’empêcher de penser à ma mère, à son rendez vous et aux choses qu’elle pourrait faire dans l’appartement. Je me sens excitée rien qu’à l’imaginer, mais je suis très vite sortie de mes pensées par les rires de mes amis et le volume du film.
Après le film on nettoie un peu le salon, et Estelle nous pose alors une question assez drôle….

Estelle : vous avez déjà ouvert une capote ?
Moi : non
Kévin : pas du tout

Nous la voyons se lever et partir en direction de sa chambre pour revenir avec une capote, je lui demande où est ce qu’elle a eu ça, et elle me dit qu’elle a trouvait ça dans les affaires de ses parents. Je suis surprise, je pensais qu’une fois en couple on ne s’en sert plus de ce genre de protection mais apparemment je me trompais.

Estelle nous dit alors que l’on pourrait l’ouvrir pour voir comment c’est, et nous voilà tous les trois à découvrir le déballage d’un préservatif. En voyant la chose on s’est mis à rire, et Estelle à même demandé à Kévin s’il ne voulait pas l’essayer devant nous pour voir comment ça fait. Bien sûr Kévin à refuser directement en étant tout rouge de honte, mais on aime le taquiner et il le sait.

Estelle à enfiler le préservatif sur sa main et s’est mise à m’embêter avec, genre l’attaque de la capote. Je me suis levée et j’ai commencé à courir autour de la table mais elle m’a très vite rattrapé pour me coucher. Et me voila au sol subissant ses attaques qui à un moment ce sont dirigées vers mon entre jambes.

J’ai regardé Estelle dans les yeux et elle s’est rendu compte de son geste, aussi elle s’est relevée et est partie vers Kévin pour l’attaquer aussi. Après 5 minutes de lutte avec Kévin, elle finit par abandonner, épuisée et aussi parce que le préservatif c’est déchiré. Etant curieuse je demande à Estelle si elle a trouvait autre chose que des capotes dans les affaires de ses parents. Elle nous dit ne pas avoir cherché plus que ça, que les capotes étaient dans le tiroir de la table de chevet, et qu’elle c’est arrêté là.

Elle ne voudrait pas rentrer dans l’intimité de ses parents même si elle est un peu curieuse. Je me suis dis que c’est drôle comme situation, car moi qui suis plus timide qu’elle, j’ai été plus loin dans ma curiosité envers l’intimité de ma mère qu’Estelle, mais je comprends ce qu’elle veut dire.

Kévin, lui, n’a pas cherché du tout à savoir quoi que ce soit au niveau de l’intimité de ses parents. Estelle se lève de nouveau et part encore une fois en direction de sa chambre d’où elle revient avec son ordinateur portable. Elle voudrait nous montrer quelque chose, elle s’amuse parfois à faire ça, et elle voulait le faire avec nous ce soir pour s’amuser. Je me demande bien ce que ça peut être, jusqu’au moment où je la vois se connecter à un site de Tchat.

Moi : tu vas souvent sur ce genre de site ?
Estelle : non seulement pour m’amuser de temps en temps
Kévin : tu t’amuse comment dessus ?
Estelle : en fait je me fais passer pour une fille de 16 voir 17 ans, et là tu as beaucoup de mecs jeunes et même des vieux qui viennent me parler
Moi : et ?
Estelle : vous allez voir…

Elle rentre ses informations, et je dois dire qu’à peine elle est en ligne, qu’elle ne reçoit déjà pas moins d’une dizaine de « slt ». Elle nous dit que certains sont plutôt sympa avec qui elle parle, mais ils sont tout de même rare, et pour d’autres ils sont pratiquement tous pervers. Alors elle s’amuse à les chauffer, et c’est ce que je vois en direct.

Estelle répond à quelques uns, et la voilà parti, elle leurs dit être seule, et qu’elle est sur le site pour passer le temps et dialoguer. Il y en a de tout âge, la vingtaine, mais aussi des trentenaires qui lui parlent, et tous semble vouloir arriver au même but, le sexe. Et certains sont plutôt direct là où d’autres vont d’abord essayer de parler.

Kévin : et tu fais quoi avec ces gens ?
Estelle : j’avoue que parfois je me suis masturbée en parlant avec des mecs, ils sont parfois très excitant dans leurs manières de parler
Moi : tu n’as pas peur ?
Estelle : au début si, mais après j’ai pris confiance, et je ne partage pas d’informations personnelles ou autres
Kévin : d’accord mais fais attention tout de même
Estelle : oui c’est promis je fais très attention

Estelle continue de parler normalement avec ces hommes, certains lui posent des questions intimes auxquelles elle répond. En la voyant faire je me rends compte à quel point il est facile de parler sur internet sans dévoiler son identité ou autre, Estelle ment sur son âge, mais elle donne certains détails qui sont vrais. Comme par exemple sa couleur de cheveux, la taille de ses seins et sa pilosité au niveau de l’entre jambes.

Bien sûr Kévin étant à côté les yeux sur l’écran, ce détail ne lui aura pas échappé, mais pour Estelle ce n’est pas grave. Certains voulant aller trop vite ont été mis de côté par Estelle, très vite elle ne continua de parler qu’avec un seul homme de 26 ans. Il était plus posé, il parler vraiment pour faire connaissance et c’est ce qu’Estelle aime quand elle est sur le site. Elle aime parfois juste prendre du plaisir, et parfois parler tout simplement même si parfois il y a quelques sujets intimes.

Il est 22h30, et Estelle n’a pas pour habitude de se doucher aussi tard, alors elle dit tout simplement au garçon du Tchat qu’elle va prendre sa douche, et qu’elle revient au plus vite. C’est un moyen pour elle aussi de voir si l’homme est plutôt patient, elle nous laisse tous les deux dans le salon pendant qu’elle va prendre sa douche.

Kévin et moi parlons un peu de tout ça, je découvre tout comme lui ce site de Tchat et lui demande si il est intéressé pour faire connaissance avec une fille en ligne. Il me dit qu’il parle parfois avec des filles en ligne dans ses jeux vidéos mais qu’il n’a jamais vraiment pensé à quelque chose de sérieux. Estelle sort de la douche et revient vers nous vêtu d’un haut léger et d’une petite culotte, elle a pour habitude de dormir ainsi.

Kévin passe à son tour à la douche, je me demande si je dois faire comme Estelle vu la chaleur. Elle m’encourage à faire de même et pour Kévin il aura de nouveau le droit à deux jolies filles en sous vêtements rien que pour lui. Kévin sort de la douche, mais il n’est pas du genre à se mettre torse nu, il est complexé par son corps, on le comprend tout à fait même si jamais on le jugera sur ça.

Je passe à la douche en vitesse pour en ressortir en petite tenue légère aussi, pour être à l’aise cette nuit. Je reviens au salon et Estelle reprend la conversation avec ce garçon dont le pseudo est « Vins31 », il lui demande bien sûr si la douche a été bonne et fais la petite remarque qu’elle a mis du temps. Elle lui dit qu’elle s’est rasée un peu et que c’est pour ça qu’elle a pris autant de temps.

On voit qu’elle a l’habitude de parler sur ce genre de site, elle sait quel mot employer pour commencer à exciter les personnes avec qui elle parle. Au fur et à mesure des échanges la conversation devient plus intime, il lui dans quelle tenue elle est, et elle lui détail tout. Il est bien sûr excité et le fait savoir, et demande à Estelle si elle est également. Ce à quoi elle répond tout naturellement oui …

Kévin : ah bon tu es excitée ?
Estelle : mais non, c’est juste pour jouer le jeu ahaha
Moi : moi je crois que tu l’es un peu ahaha
Estelle : peut être attend voir…
Et devant nous elle pousse légèrement son ordi sur elle, pour glisser sa main droite dans sa culotte et vérifier son état…
Estelle : ah oui je suis légèrement excitée ahaha
Moi : ahaha je crois que tu viens de choquer Kévin
Estelle : ah bon ?
Kévin : euh je suis surpris en fait, parce que dans ton geste j’ai un petit peu vu
Estelle : vu quoi ?

En disant cela elle prend l’élastique de sa culotte pour la baisser un peu ne montrant rien si ce n’est que le début de son duvet. Je peux vous dire que les yeux de Kévin sont restés fixés sur la culotte d’Estelle tandis que nous rions toutes les deux. La conversation avec ce garçon est de plus en plus chaude, il nous explique comment sa main englobe son sexe tout en faisant des va et vient, et de notre côté Estelle devient de plus en plus excitée. Du moins je l’espère car moi oui et je ne voudrais pas être la seule dans ce cas là.

Elle lui décrit comment elle se masturbe de son côté les jambes ouvertes bien que ce soit totalement faux. Mais de mon côté j’imagine la scène, j’imagine ce qu’Estelle aurait réellement fait si nous n’étions pas avec elle et je pense que c’est pareil pour Kévin. Le garçon avec qui elle parle finit par jouir à croire ce qu’il nous dit, et Estelle simule aussi un orgasme virtuel pour le satisfaire. Après ça, la discussion est plus rapide, en moins de 5 minutes ils se disent au revoir et Estelle quitte le site.

Moi : ça finit toujours comme ça ?
Estelle : oui à peu près, parfois il y en a qui veulent échanger un mail ou autre pour rester en contact
Moi : et tu ne l’as jamais fait ?
Estelle : non du tout, … Kévin ça va tu as l’air tout bizarre ?
Kévin : oui c’est juste que tout ce que tu as décris avec ce mec, ça ma … enfin c’est ce que tu fais vraiment ?
Estelle : ahaha oui en gros c’est ce que je fais quand je me masturbe ahahah
Moi : je crois que Kévin va en faire de jolies rêves hihi

En parlant de rêves, nous n’avons même pas préparés la chambre, on doit installer le matelas pour Kévin et toutes les deux nous allons dormir dans le même lit. Il est très tard, et je dois avouer que nous avons bazardé la chose en vitesse pour pouvoir nous coucher. Il ne m’a pas fallu beaucoup de temps pour trouver le sommeil tellement je suis fatiguée, je n’ai même pas pu penser à tout ce qui c’est passé ce soir.

En tout cas je sais que j’ai des amis en or, et que le meilleur entre nous reste à venir…
chapitre 26 image
Je me réveille, la chambre est assez sombre, mais j’arrive tout de même à y voir clair, les autres dorment encore apparemment. Je suis au bord du lit du côté de Kévin, et j’ai assez chaud alors je me découvre un peu histoire d’être plus à l’aise. Je ne voudrais pas me lever trop vite, alors je reste allongée dans le lit et je somnole.

Environ 15 minutes après je vois Kévin tourner, il a l’air de se réveiller mais je le laisse émerger doucement, j’ouvre à peine les yeux et l’observe discrètement. Il se frotte les yeux, puis se redresse et regarde autour de lui, peut être qu’il est un peu perdu, puis je le vois regarder vers nous, il cherche ses lunettes puis les met.

Je me demande ce qu’il regarde comme ça, puis petit à petit je me rends compte de la situation. En effet je ne porte qu’une culotte pour le bas, et je suis allongée sur le ventre, légèrement de côté une jambe tendue tandis que l’autre et replié et légèrement écartée.

Je le vois me regarder, il cherche à savoir si je dors toujours, alors je ne bouge pas, mes yeux pratiquement fermés, il me croit sûrement endormie. Je le vois hésiter, mais je ne sais pas pourquoi et je me rappelle alors que bien souvent à mon réveil ma culotte est légèrement décalée, j’imagine alors qu’il a peut être une vision sur mon intimité. Mais je n’arrive pas à savoir si c’est vraiment le cas, je sais seulement que je commence à être excitée, mais pourquoi ?

Mon meilleur ami est là à me regarder, tandis que mon sexe doit sûrement lui être dévoilé par ce petit bout de tissu mis de côté. Et je crois que c’est ça qui m’excite, je le regarde faire, il observe tout en ayant un peu peur que je me réveille sûrement, et que je le juge sur ce qu’il est en train de faire. Peut être que c’est ce que je devrais faire, mais au fond de moi je suis dans un tout autre état, et je le laisse tranquille.

Kévin s’avance légèrement, il est à genoux et au plus près du lit maintenant, je ne sais pas quoi faire alors je reste là, immobile, les yeux toujours pratiquement fermés je l’observe. Il lève une main, je me demande ce qu’il va faire, il s’approche de plus en plus, peut être va-t-il essayé d’écarter ma culotte un peu plus histoire d’avoir une vue totale sur mon intimité.

Tout s’enchaîne dans ma tête, mon cœur bat de plus en plus fort, je ne bouge pas, et je suis prête à sentir ses doigts qui s’approchent encore plus près de moi, ses doigts qui vont sûrement frôler mes lèvres intimes quand il tentera d’écarter ma culotte. Je frissonne, je me mets à prendre une profonde inspiration, je peux ressentir la chaleur de sa main au plus près de mon sexe, et là tout en fermant les yeux je ressens sa main saisir la couverture pour la replacer sur moi et me couvrir.

Je ne comprends plus rien, est ce qu’il voyait quelque chose ou pas ? Est ce qu’il est excité je ne sais pas. Tout ce que je sais, c’est qu’en ouvrant à peine les yeux pour le regarder, je vois un garçon attentionné qui me recouvre et qui se lève sans un bruit pour sortir de la chambre. Kévin est vraiment adorable et j’ai de la chance qu’il soit mon ami, et je me dis que même s’il avait essayé d’en voir plus, je l’aurais laissé faire.

Toutes ses pensées défilent dans ma tête et quelques minutes après j’entends Estelle bouger et se réveiller doucement. Je me redresse et me tourne vers elle, je la regarde, elle me sourit tendrement et vient me faire un bisou, et me demander doucement si Kévin dort toujours. Je lui dis que non, et qu’il doit sûrement être dans le salon, alors nous nous levons toutes les deux et le rejoignons pour prendre un bon petit déjeuner.

Je regarde l’heure, il est 11H, on a vraiment fait nos marmottes surtout vu l’heure à laquelle nous nous sommes couchés. Les parents d’Estelle doivent revenir dans l’après midi, aussi nous nettoyons un peu tout notre désordre afin qu’elle n’est pas de problème à leur retour. J’envoie un message à ma mère pour lui dire que je suis prête, je suis triste de quitter mes amis, nous n’avons pas passés un vrai weekend en entier mais les moments partagés avec eux ont été super.

30 minutes après ma mère est en bas, j’embrasse très fort Estelle en lui souhaitant de passer de bonnes vacances et qu’on ne manquera pas de tout se raconter quand on se reverra. Je descends mes affaires avec Kévin que nous ramenons aussi, une fois arriver je l’embrasse aussi, on se promet de s’envoyer quelques messages et de se revoir très vite dès que possible.

Nous voilà en direction de notre appartement avec ma mère, sur le chemin je repense à nos moments, mais aussi aux vacances qui m’attendent chez mes grands parents où je retrouverais mes cousins et ma cousine. Une fois arrivées, je monte dans ma chambre poser mes affaires et je reviens dans le salon pour parler avec ma mère. Elle m’a manqué, alors bien sur je l’enlace très fort, et je reste allongée dans ses bras sur le canapé tout en regardant la télé et en se parlant.

Bien sûr je veux tout savoir de son fameux rendez vous avec ce nouvel homme alors je lui pose la question, je la regarde et je ne vois qu’un sourire coquin se dessiner sur son visage. Elle me propose alors de prendre un bain et de tout se raconter comme nous avons l’habitude de faire maintenant.

Je suis dans la salle de bain, l’eau se remplie pendant que nous retirons nos vêtements. C’est toujours un plaisir de voir ma mère nue, de la détailler, et il n’y a plus aucunes gênes de ce côté. On se regarde l’une l’autre et parlons même de nos corps, un petit bouton par ci, ses seins que je trouve toujours très beau et je ne me cache pas de lui dire.
Nous nous installons dans l’eau, et elle me demande avant tout de lui raconter mon petit weekend avec mes amis. Je ne lui cache rien, et lui raconte nos moments au centre commercial, le jeune vendeur, le défilé avec Estelle devant Kévin, le site de Tchat et aussi ce petit moment au réveil. Ma mère me sourit à chaque révélation, elle aime le fait que je devienne aussi coquine et que je partage tout cela avec elle.

Elle me dit bien sûr de faire très attention si un jour, il me prend l’envie de parler avec des inconnus sur ce genre de site. Mais je la rassure en lui disant que je ne suis pas vraiment intéressée, mais que si un jour je le fait je lui en parlerais.
Je lui demande alors comment s’est passé sa soirée ? Qui est ce nouvel homme ? Et est ce que c’est quelque chose de sérieux ?

Maman : à vrai dire je ne sais pas, nous avons discuté sur le site de rencontre, et après quelques échanges il m’a dit qu’il voulait prendre du bon temps
Moi : et toi aussi on dirait hihi
Maman : oui j’avais envie, et je me suis dis pourquoi pas. On a bu un verre, discuté, puis on est allé chez lui
Moi : tu as passé toute la nui chez lui ?
Maman : oui, on l’a fait plusieurs fois dans la nuit, c’était super
Moi : et tu vas le revoir ? Ou c’était comme avec le dernier ?
Maman : je ne sais pas, c’est à voir en tout cas j’en garde un bon souvenir hihi
Moi : ah bon ?
Maman : oui, il y a été très fort, et il aime donner des claques sur les fesses, d’ailleurs elles sont encore bien sensibles hihi
Moi : montre-moi …
Ma mère se lève dans la baignoire et se tourne afin de me montrer ses fesses, et oui effectivement je comprends pourquoi elle les trouve sensibles, puisqu’elles sont encore un peu rouge.
Moi : mais il t’a donné des claques toute la nuit ?
Maman : pratiquement oui, et bien fort, mais je dois dire que j’ai bien aimé, malgré qu’a un moment ça me fasse mal
Moi : et quand tu t’assois, ça te fait quoi ?
Maman : c’est très sensible, je vais d’ailleurs me mettre un peu de crème en espérant que ça va passer
Moi : tu veux que je t’aide à mettre de la crème ?
Maman : si tu veux oui …

Elle sort de la baignoire et me tend la main, je sors également, nous passons une serviette autour de nous et allons dans sa chambre où elle me donne un tube de crème. Elle espère que ça passera avec, elle retire sa serviette et s’allonge sur le ventre entièrement nue. Je me positionne à côté et dépose de la crème sur ses belles fesses rouge, que je commence à masser doucement. Effectivement elle est sensible, à peine ai-je posé mes mains qu’elle me dit avoir mal, alors j’y vais doucement, je prends soin de ses fesses.

Et je dois dire alors que j’ai une vision de ma mère, à 4 pattes en train de se faire prendre et cet homme qui lui claque les fesses tout en même temps. Ça a pour effet de me titiller un peu, mais c’est surtout le fait de lui toucher les fesses qui commence à m’exciter, et surtout de voir apparaître son petit trou, à chaque fois que je dirige mes mains vers l’extérieur, pour étaler la crème.

Ma mère est très belle étendue entièrement nue sur son lit, ma serviette glisse peu à peu et finit par libérer mes seins. Ma mère me demande si je suis bien positionnée, et je lui dis que de côté ce n’est pas très pratique, alors elle me dit de me mettre entre ses jambes qu’elle ouvre. Je m’installe toujours avec ma serviette qui reste à ma taille, et j’ai alors une vue parfaite sur l’intimité de ma mère. Je reprends mon massage, dépose à nouveau de la crème et elle semble apprécier ce que je lui fais. Mes mains glisses, et parfois mes pouces passent entre ses fesses, je ne touche pas à son petit trou mais j’avoue que je suis tentée.

Je me sens de plus en plus excitée, c’est la première fois que je touche aussi longtemps le corps nue d’une personne et c’est celui de ma mère. Je repense également à Karine lorsque j’ai glissé ma main entre ses jambes dans l’obscurité de la voiture, mais cet instant n’a duré que quelques secondes. Tandis que là, j’ai tout mon temps pour toucher le corps de ma mère et elle semble bien aimer ce que je lui fais.

Je lui étale la crème comme il faut pour apaiser ses douleurs, je regarde à la fois son sexe et son petit trou qui me sont offerts. Je suis si près de pouvoir les toucher, je ne sais pas quoi faire mais je suis fortement excitée et tentée, dans ma tête tout se bouscule. En entendant ma mère gémir un instant je me dis que c’est le moment, alors je passe mon pouce entre ses fesses et je viens le déposer sur son petit trou…

Maman : humm oula, ma chérie qu’est ce que tu fais ?

Elle se redresse sur ses coudes et tourne la tête vers moi, je suis un peu perdue, je ne m’attendais pas à cette réaction de sa part…

Moi : euh… désolée je ne sais pas ce qui m’a pris …

Ma mère se retourne alors, elle est face à moi, appuyé sur ses coudes et les jambes ouvertes, je détail tout son corps tout en restant perdu…

Maman : tu te sens excitée ?
Moi : oui
Maman : c’est le fait de me voir toute nue et dans cette position ?
Moi : oui, j’avoue que te regarder m’excite
Maman : ok, ça fait longtemps que tu ne t’es pas masturbée ?
Moi : pas depuis jeudi soir pourquoi ?
Maman : je comprends, tout le weekend tu as vécu des situations excitantes sans jamais pouvoir te faire du bien. Et là en me touchant et en regardant de si près, tu ne tiens plus, c’est ça ?
Moi : oui, c’est tout à fait ça
Maman : d’accord ma chérie, désolée d’avoir réagi comme ça
Moi : je ne t’ai pas fais du bien ?
Maman : si au contraire, ton massage a été plus que parfait, d’ailleurs je t’avoue que ça me trouble un peu aussi. J’ai apprécié sentir tes mains sur mes fesses pour me soulager, mais sentir ton doigt se poser sur …mon petit trou…. Je ne sais pas…
Moi : désolée maman
Maman : ce n’est pas grave chérie, tu devrais aller dans ta chambre pour te masturber, ça te fera le plus grand bien

Je me lève doucement en laissant tomber totalement la serviette sur le lit de ma mère, elle me regarde nue, je sens que l’excitation est présente chez elle aussi. Je me dirige vers la porte, je regagne ma chambre et mon lit dans lequel je m’allonge sur le dos. Je suis très chaude, mon entre jambes est déjà tout humide et je commence à me caresser en repensant à tout.

Aux moments coquins avec mes amis, à Estelle que j’ai vue nue, à Karine à qui j’ai touché son intimité et ma mère avec qui je vis une complicité particulière. Je repense à ses fesses que j’ai pu toucher, à la vue de son sexe si près de moi, et le contact de son petit trou avec mon pouce. Je me masturbe en laissant s’échapper librement mes gémissements, ma porte est ouverte, celle de ma mère aussi, et je l’entends elle aussi se donner du plaisir. Je voudrais la regarder faire, mais je suis trop bien là où je suis, ma main accélère en entendant les gémissements de ma mère, je deviens de plus en plus sensible. Je sens à quel point mon sexe devient chaud, cette accumulation de plaisir en un point précis, je sens que je ne tiens plus. J’ai été si excitée ces derniers jours, enfin que je me fais du bien, et le faire aussi librement avec ma mère non loin, je me sens partir, je sens que ça vient, mes doigts s’activent encore plus vite sur mon petit bouton, je gémis de plus en plus fort. Ma mère aussi n’en peut plus, et elle le dit clairement…

Maman : je vais jouir, oh oui je vais jouir, oh oui oui OUIIIIIi

Et tout en l’écoutant jouir je viens moi aussi de mon côté dans un long et fort gémissement libérateur. Je reprends mon souffle, mes esprits, je suis ailleurs, j’aime jouir, j’aime me donner du plaisir, je tourne ma tête vers la porte ouverte, et je vois ma mère nue qui me sourit. Je me redresse et me dirige vers elle, elle m’ouvre ses bras et m’enlace tendrement. Le contact de sa peau nue contre la mienne est très agréable, pour elle aussi d’ailleurs …

Maman : je t’aime ma chérie, et j’espère que ça t’a fait du bien
Moi : oh oui maman, et à toi aussi on dirait 
Maman : oui c’est vrai, mais ma puce je dois te dire quelque chose de très important
Moi : je t’écoute
Maman : j’aime tout le plaisir et la complicité que nous partageons toutes les deux, mais il y a une limite à ne pas dépasser
Moi : laquelle ?
Maman : celle de donner du plaisir à l’autre, tu comprends ?
Moi : pas tout à fait
Maman : quand tu m’as touché le petit trou ça m’a troublée, j’avoue. Mais il ne faut pas en arriver là
Moi : tu ne veux pas que je te touche pour te donner du plaisir ?
Maman : c’est ça, sinon j’ai peur de ce qui pourrait arriver après ça
Moi : j’ai compris maman

Ma mère est si douce, elle sait comment me parler et elle a raison, nous avons une grande complicité mère fille, au niveau confidences, conseils et aussi pour ce qui est du plaisir, nous tenons donc toutes les deux à conserver cela. Et je sais que notre complicité ne fera qu’évoluer pour notre plus grand plaisir, sans dépasser cette limite et garder intact ce lien mère fille…
chapitre 27 image
C’est le début des vacances pour moi, les deux premières semaines je vais rester tranquillement chez moi, avant de rejoindre mes cousins et ma cousine chez mes grands parents. Depuis le début de mon histoire j’ai complètement évolué, bien que par moment je reste timide sur certaines choses, je suis plus ouverte à tenter des expériences de la vie.

Je n’ai plus peur pour aller où que ce soit, au contraire, et je remarque aussi que je suis plus ouverte à tout sujet de discutions bien sûr avec ma mère, mais aussi avec mes amis maintenant.

J’appends à faire confiance, et à écouter mes envies, mon corps, et ma mère m’accompagne très bien dans cette évolution. En parlant d’elle, pendant ces deux semaines où je suis restée chez nous, je l’ai vu échanger avec pas mal d’hommes, quelques lignes et parfois aussi des heures de discutions.

Je crois que l’histoire qu’elle a eu avec Bruno lui a fait comprendre qu’elle a besoin d’un homme dans sa vie, mais elle sait très bien me rappeler aussi qu’elle est capable de se débrouiller seule et surtout niveau plaisir. Je lui ai demandé bien sûr si un jour elle voudrait se poser et se mettre en couple avec un homme, ce à quoi elle m’a répondu que la relation qu’elle avait avec Bruno lui convenait parfaitement. Le fait de se voir pour un weekend, et d’avoir sa liberté le reste du temps lui allait très bien, car après toutes ces années à avoir vécu sans un homme, elle y a pris goût.

Je n’arrive pas encore à vraiment la comprendre à ce sujet car je n’ai pas eu son vécu, mais elle reste pour moi un modèle, une femme douce et forte à la fois, à qui je voudrais ressembler plus tard. Le temps passe et bientôt arrive le moment pour moi de partir chez mes grands parents. Bien sûr, je suis très heureuse de les revoir, de partir en vacances et d’avoir des occupations, mais j’ai tout de même une boule au ventre de laisser ma mère seule ici.

Je prépare mes affaires, je ne vide pas totalement mon armoire, mais j’ai tout de même une énorme valise rempli à ras bord. Des tenues légères pour l’été, mais aussi des tenues un peu plus habillées au cas où il y aurait une journée, ou une soirée un peu spéciale. J’ai discuté avec Karine sur Facebook, on est toutes les deux impatientes de se revoir, nous avons convenus d’arriver le même jour pour en profiter au maximum.

Nous sommes le samedi 14 Juin, et j’embarque mes affaires dans la voiture, sur la route tout se passe bien, et après trois heures de route environ nous arrivons chez mes grands parents. Nous sommes les premiers à arriver, et ma grand-mère vient m’enlacer très fort tout en me couvrant de bisous. Je vais également embrasser mon grand père qui est assis sur une chaise sous la terrasse, puisqu’il a eu la riche idée selon mamie, de s’être foulé la cheville. Il s’est mal réceptionné quand il est descendu de la camionnette de son ami, et pour le coup le médecin lui a ordonné de laisser reposer sa cheville, mais mon papy est plutôt quelqu’un de têtu lorsqu’il s’agit de sa santé.

Mamie nous sert une boisson pour nous rafraichir étant donné la chaleur, mais on est tout de même bien. Je descends mes affaires pour aller en direction de l’annexe, mais ma mère me demande juste de passer une nuit avec elle, avant de me laisser pour les vacances ici. Je ne peux pas lui refuser ça, puisqu’elle va me manquer aussi alors je veux profiter d’elle une dernière soirée avant son départ.

Je suis dans la chambre pour déposer ma valise quand j’entends une voiture klaxonner, je sors en vitesse et c’est la voiture de Karine que je reconnais. A peine est elle descendue qu’elle vient vers moi pour m’enlacer aussi fort que possible, nous sommes toutes les deux heureuses de se retrouver et bien sûr je n’oublie pas d’embrasser Jordan, mon oncle et ma tante. Nous nous installons sous la terrasse, on se parle de tout en vrac, chacun à des petites choses à raconter, je rigole beaucoup avec Karine et Jordan, il est pratiquement 12H et nous allons passer à table quand une voiture arrive.

C’est mon oncle Vincent et Anthony qui arrivent, on les accueille comme il se doit, et c’est toute la famille réuni qui passe à table pour un bon repas préparé par mamie. Nous avons très bien mangés, et comme d’habitude mamie en a fait en grande quantité, il fait chaud, et après avoir mangé je me sens fatiguée, assommée par la chaleur. Et sûrement aussi fatiguée par la route, j’ai envie de me reposer un peu, mais les autres n’ont pas l’air de vouloir se reposer, alors je bouge pour me réveiller et je propose de décharger les affaires des voitures.

Pour le coup nous voilà tous les enfants à s’entraider pour emmener les valises dans les chambres de chacun, mais le reste de l’après midi se passa très calmement, nous sommes restés tous ensemble à parler, sans trop se bouger. Le repas du soir, fut calme également, on commençait à sentir la fatigue de chacun, et c’est vers 22H30 que nous avons quitté la table, pour rejoindre nos chambres et passer chacun notre tour à la douche.

Dans notre chambre je suis allongée avec ma mère, même s’il fait chaud, je me colle à elle en posant ma tête sur son épaule, pendant qu’elle passe ses doigts dans mes cheveux, et nous discutons, sagement sur notre journée et des vacances que je vais passer, sachant ce qui pourrait arriver. Elle me dit de faire très attention, surtout à ne pas nous faire surprendre, elle ne sait pas comment pourrait réagir mamie à ce sujet.

Nous nous endormons l’une contre l’autre, la nuit se passe dans le plus grand des calmes, jusqu’au lever du soleil. Je me réveille au même moment que ma mère, je la vois se lever et s’habiller puis je fais la même chose pour aller prendre le petit déjeuner avec elle. Nous retrouvons mes grands parents, mes oncles et ma tante, je suis la seule des ados à être réveillée pour le moment.

30 minutes plus tard c’est Karine que je vois arriver pour se joindre à nous, les garçons dorment encore, mais au moins je ne suis plus toute seule. Nous parlons tranquillement, la matinée se passe sans avoir trop bougé de la table à vrai dire. Les garçons ont finit par se lever, nous voilà tous réunis mais pour une courte durée, puisqu’il est 14H et c’est l’heure à laquelle les grands ont décidés de pendre la route.

On les embrasses très fort, j’accompagne ma mère jusqu’à sa voiture, elle me couvre de bisous tout en m’enlaçant très fort. Il est très dur de se quitter, après tout, nous n’avons jamais été très loin l’une de l’autre, et surtout pour une longue période. Mais elle sait que je suis entre de bonnes mains, et je sais aussi qu’elle saura profiter de mon absence pour faire de nouvelles rencontres.

Je verse tout de même quelques larmes en la voyant partir, mais Karine me console très vite en me faisant un énorme câlin. Je vais dans la chambre récupérer mes affaires pour les déplacer dans l’annexe, j’ai une chambre pour moi toute seule, et un lit plutôt confortable. Je défais ma valise, et m’installe doucement, Karine m’a rejoint dans la chambre et nous discutons un peu de tout, Jordan se joint également à nous, tandis qu’Anthony reste dans sa chambre. Il met toujours une distance entre nous, mais j’espère pouvoir mieux le connaître pendant les vacances, ce serait dommage de ne pas avoir de liens avec mon cousin.

Le soir nous dînons avec mes grands parents, mamie nous explique que le matin nous aurons quelques tâches ménagères à faire, et comme papy ne peut pas vraiment bouger, si nous pouvons l’aider également avec quelques travaux. Pour ce qui est de l’après midi, nous sommes libres de faire ce que nous voulons. Après le repas, je regagne ma chambre, Karine est avec moi, et honnêtement le fait de me retrouver avec elle, me donne envie, l’envie de me coller à elle, de la toucher, mais elle reste sage, elle se contente de me parler.

Moi : Karine, tu te souviens dans la voiture…
Karine : stop, parles doucement, on entend très bien à travers les murs
Moi : d’accord, je ne savais pas
Karine : désolée je préfère te le dire maintenant avant d’aller plus loin
Moi : je comprends, tu as bien fait
Karine : on parlera de toutes ces choses demain si tu veux, quand on sera plus tranquille
Moi : ok

Nous avons continués de parler un peu, puis elle est partie dans sa chambre pour dormir. De mon côté, je suis allongée, et je pense à ma mère, elle me manque. Tout est calme, je peux entendre Jordan qui est sur son jeu, et je me rends compte qu’effectivement les murs ne sont pas épais. Très vite je m’endors, dans la nuit je tourne un peu, je n’ai pas l’habitude du lit, mais malgré tout j’arrive à passer une bonne nuit.

8H00, je me réveille doucement, la lumière du soleil pénètre dans ma chambre, je me demande si les autres sont debout. Je me lève, m’habille correctement et je passe à la douche me rincer le visage avant d’aller prendre mon petit déjeuner. Sous la terrasse je retrouve mes cousins et ma cousine, ils ce sont levés pas longtemps avant moi, et nous prenons notre petit déjeuner ensemble.

Après le petit déjeuner, on débarrasse la table, je lave la vaisselle, pendant que les autres nettoient la maison. Mamie passe pour l’inspection, elle aime que tout soit propre et bien fait, mais ce n’est pas gagner avec nous. Effectivement, nous ne sommes pas très doués en ce qui concerne le ménage, surtout pour les garçons, mais mamie a bien l’intention de changer tout ça.

La suite du programme ce passe avec papy, il n’aime vraiment pas ne rien faire, et avec sa cheville, il ne peut pas vraiment bouger. C’est donc les garçons qui vont essayer de l’aider dans la réalisation de petits travaux, avec notre aide à Karine et moi bien sûr. La matinée se passe ainsi jusqu’au déjeuner, et je dois avouer que tout ça nous a donnés faim. Après avoir mangé, mamie nous dit que nous sommes libre, de faire attention tout de même si nous allons nous promener.

Je retourne à ma chambre ne sachant pas vraiment quoi faire, mais je ne reste pas longtemps seule, Karine me rejoint et nous parlons un peu jusqu’à que Jordan apparaisse aussi. Ils veulent me faire visiter un peu les alentours, il y a de très beaux endroits à voir en été, alors je prends mes chaussures et une bouteille d’eau, et nous voila partis. Anthony, lui, reste dans sa chambre, Karine me dit qu’il faut le laisser tranquille, qu’il viendra vers nous un jour.

Elle a sûrement raison, je ne le connais pas aussi bien, et je ne voudrais pas faire quelque chose de mal, mais je pense savoir ce qu’il vit, ce n’est pas facile, la perte d’un parent. Pendant notre promenade nous passons par de tout petit chemin, nous arrivons dans une sorte de décharge, où on peut trouver de vieilles voitures, des bus, des engins. Ce terrain appartient à quelqu’un, c’est assez grand, et pratiquement personne ne vient ici, Jordan aime beaucoup regarder à l’intérieur des voitures, il dit qu’il trouve parfois des bijoux de pacotille, et aussi des francs.

Nous continuons notre chemin, il fait chaud mais Karine me dit que je vais aimer l’endroit où elle m’emmène. Et c’est vrai, nous arrivons sur une colline, et je vois tout en bas des arbres et une rivière tout simplement magnifique. Pour Karine et Jordan qui connaissent très bien l’endroit ce n’est pas forcément exceptionnel, mais pour moi qui découvre cette rivière, je suis sous le charme.

Nous descendons et arrivons à la rivière, je n’ai pas du tout prévu de maillot de bain sur moi, mais Karine me dit qu’elle voulait simplement me montrer l’endroit, et que nous aurons tout le temps pour profiter de l’eau un autre jour. Je retire mes chaussures et y trempent mes pieds, l’eau est à bonne température, et je savoure ce moment en me posant sur un caillou tout en laissant mes pieds dans l’eau.

Karine fait de même, pendant que Jordan visite les alentours, ce qui me laisse un petit moment avec ma cousine…

Moi : c’est très beau, j’adore
Karine : j’étais sûr que ça te plairait, et vu la chaleur, on va bien en profiter cet été
Moi : j’y compte bien, d’ailleurs c’est bien dommage que je n’ai pas mon maillot sur moi maintenant
Karine : tu pourrais te baigner sans ahaha
Moi : oula, non, imagine que quelqu’un arrive
Karine : il n’y a jamais personne  qui passe ici, ne t’inquiète pas pour ça
Moi : tu t’es déjà baignée toute nue ici ?
Karine : non, j’ai juste retiré le haut, pour voir ce que ça fait
Moi : et ?
Karine : j’adore la sensation, alors je me demande l’effet que ça fait nue
Moi : d’accord, et la présence de ton frère ça ne te gêne pas ?
Karine : euh je ne sais pas, j’ai bronzé seins nue, mais j’étais seule, après est ce que ça me gênerait qu’il soit là ? Je ne sais pas
Moi : vous êtes très proches tous les deux, et pour moi j’ai l’impression que ça ne te gênerait pas, qu’il te voit seins nus, ou entièrement nue
Karine : c’est vrai, c’est mon petit frère et je l’aime très fort, et il m’a déjà vu nue
Moi : oh, raconte-moi
Karine : ok, ça c’est passé un mercredi après-midi, j’étais dans la douche, et j’ai oublié de fermer la porte à clé. Du coup il est entré, et j’étais nue
Moi : et ça t’a rien fait ?
Karine : sur le coup je n’ai pas réagie, je suis restée debout devant lui, il ne bougeait plus et me regardait. J’ai pris ma serviette pour la mettre sur moi, et je lui ai demandé de sortir
Moi : il t’a bien observé ?
Karine : réaction normale je dirais, c’est peut être la première fois qu’il voyait une fille nue, et il n’a pas fait exprès.

Je parle librement avec ma cousine, et ça me plait beaucoup, mais nous passons à un autre sujet en voyant Jordan revenir vers nous. Nous restons encore un moment ici, avant de remettre nos chaussures pour se balader de nouveau, nous continuons notre chemin jusqu’à revenir sur la route qui mènent à la maison. De retour, mamie nous propose de prendre le thé avec elle et papy, on leur raconte un peu notre balade, puis nous discutons un peu sur d’autres sujets jusqu’au diner.

Après le repas, je me prends une bonne douche, ça me fait vraiment du bien, je pourrais me laisser aller, mais j’ai peur que l’on m’entende. Je sors de la douche pour m’essuyer, et je repense à ce que m’a dit Karine, comment Jordan l’a surprise nue. J’imagine qu’il m’arrive la même chose, et si c’est le cas, je pense que je le laisserais regarder.
Je regagne ma chambre, la journée a été superbe, je pense que l’on est tous un peu fatigués, tout est calme, chacun semble occupé. Je m’allonge tout en imaginant ce qui pourrait m’arriver pendants ces vacances, et c’est le sourire aux lèvres que je m’endors …
chapitre 28 image
Le jour se lève, et je me réveille pratiquement à la même heure, m’habille, me rince le visage et vais déjeuner avec mes cousins et cousine. Ensuite le ménage dans la maison sous les ordres de mamie, et petit travaux encore avec papy. Je pense que nous aurons cette routine le matin, jusqu’à l’heure du déjeuner, et l’après midi nous sommes libres de tout.

Cette fois je prends de quoi me baigner dans cette rivière, je mets mes affaires dans un petit sac et je n’attends que Karine et Jordan. Je les vois à ma porte, alors ni une ni deux nous voila en direction de la rivière pour passer un bon moment. Anthony comme d’habitude reste dans son coin, bien que Jordan lui ai proposé de venir avec nous.

Sur le chemin nous parlons un peu de tout, il nous faut au moins 20 à 25 minutes de marche pour arriver à la décharge, et encore 10 minutes pour atteindre la rivière, et sous le soleil, je n’ai qu’une hâte, d’arriver et de me mettre à l’eau.

Nous voila arriver sur la colline, et j’aperçois la rivière, je suis déjà toute souriante et une fois arriver, nous installons nos affaires et je vois Karine qui commencent à se dévêtir. Je regarde le corps de ma cousine se dévoiler sous mes yeux, et franchement elle est très belle, elle porte un petit maillot de couleur rouge, ce qui lui va très bien. Je commence également à retirer mon haut quand je croise le regard de Jordan, peut être se rappel t-il le soir où je dévoilais mes seins devant lui ?

Son regard me plait beaucoup, je me retourne toute souriante, mais je ne veux pas qu’il remarque mon plaisir. Une fois mon haut enlevé, je retire le bas tout en douceur, je pense qu’il doit apprécier le spectacle et une fois en maillot, je me retourne, Jordan est tout souriant, et me regarde toujours. Il pense peut être qu’il est discret mais pas du tout.

Sa sœur finit par le ramener à nous, il était vraiment perdu dans ses pensées, et lui aussi finit par retirer son T-shirt pour être le premier à se jeter à l’eau. Karine et moi entrons doucement dans l’eau, je suis de nature plutôt frileuse, mais là, l’eau est vraiment très bonne, et j’apprécie énormément.

Jordan ne manque pas, bien sûr, de nous envoyer de l’eau pour jouer, en regardant Karine je comprends qu’elle veut riposter, alors toutes les deux, nous nous attaquons à Jordan pour avoir plus de chance. On s’amuse tous les trois pendant quelques minutes, puis un peu essoufflée, je regagne nos serviettes pour m’allonger et profiter un peu du soleil qui passe à travers les arbres.

Karine me rejoint et me donne de la crème qu’elle a apportée dans son sac, je n’y avais pas du tout pensée, je la remercie tout en me mettant de la crème. Jordan finit par nous rejoindre, et naturellement Karine prend le tube de crème pour lui en mettre dans le dos. Ma cousine est très douce avec son frère, ça se voit dans ses gestes, dans la façon de lui parler et de jouer avec lui.

Je me demande comment j’aurais été si j’avais eu un petit frère, ou une petite sœur en voyant leur complicité. Mais je sais que ça ne doit pas être rose tous les jours, et que parfois les relations ne sont pas aussi complices que celle de Karine et Jordan.

Je m’allonge sur ma serviette, nous parlons tous les trois calmement, et je finis par m’endormir. Il fait si bon, une petite brise vient me caresser, l’air est doux et entendre l’eau coulée m’apaise complètement. Quelques minutes plus tard je me réveille, cette petite sieste m’a fait le plus grand bien, et en ouvrant les yeux je remarque que Jordan m’observe avec une douceur dans ses yeux. Ça me plaît beaucoup, je me redresse, je vois Karine dans l’eau, et je décide de la rejoindre. Le reste de l’après midi se passa très bien, on est si bien ici que je ne voudrais plus en partir, mais les heures passent, et nous finissons par ramasser nos affaires pour rentrer.

Arriver à la maison, je passe à la douche et je constate dans le miroir que j’ai pris quelques couleurs, mais Karine bronze mieux que moi, tandis que Jordan lui rougit un peu comme une écrevisse. Le soir nous passons à table et après le repas, Karine me propose de venir regarder un film avec elle. Nous nous installons sur son lit, l’ordinateur à nos pieds, et lançons le film, mais j’avoue que le film m’importe peu, ce qui compte pour moi c’est de passer ce moment avec Karine.
Nous sommes toutes les deux sous le drap, et elle aussi n’est pas vraiment intéressée par le film, puisque nous parlons tout en même temps…

Moi : vous êtes très beau Jordan et toi, j’adore votre complicité, il a de la chance d’avoir une sœur comme toi
Karine : c’est vrai ?
Moi : oui, je me demande comment je serais si j’avais eu un frère ou une sœur
Karine : je pense que tu serais très douce aussi, ça se voit déjà sur toi
Moi : imagine, on aurait été sœur toute les deux
Karine : ahaha non ce serait bizarre
Moi : ah bon pourquoi ?
Karine : (en chuchotant) et bien je peux embrasser ma cousine, mais pas ma sœur hihi
Moi : ah oui en effet

A ce moment là, je sens sous le drap la main de Karine venir vers la mienne, elle me caresse le bout des doigts, puis attrape ma main. Elle me regarde avec beaucoup de tendresse et elle s’approche tout doucement de moi, je commence à fermer les yeux, et quelqu’un qui frapper à notre porte.

Nous sommes toutes les deux surprises, et nous remettons un peu en ordre avant que Karine réponde pour laisser entrer la personne. C’est Jordan qui voulait simplement passer un peu de temps avec nous, alors bien sûr on lui fait de la place et il s’installe juste à côté de moi. Nous regardons le film tous les trois en silence jusqu’à la fin, puis nous rejoignons nos chambres pour Jordan et moi.

Dans mon lit je pense à Karine, à la douceur de sa main, au moment que ça aurait pu être si Jordan ne nous avait pas interrompues. Mais je me dis que j’aurais d’autre moment comme celui là, et que je le savourerais avec plaisir, avant de m’endormir tranquillement.

A mon réveil, je reprends machinalement les mêmes gestes, m’habiller, me rincer le visage et rejoindre les autres pour le petit déjeuner. La suite aussi devient comme une routine, le ménage et les travaux jusqu’à midi, et après le repas vient le moment que j’attends le plus. Je prépare mon sac, je suis vêtu d’une légère petite robe sous laquelle j’ai déjà passé mon maillot, et je n’attends que les autres pour prendre la route. Karine me rejoint dans la chambre et me dit que nous pouvons y aller, que Jordan nous rejoindra après apparemment. Je demande pour Anthony au cas où, mais il est déjà parti dans son coin.

Sur le chemin nous discutons comme d’habitude, mais je ne peux m’empêcher de regarder Karine devant moi, son corps, sa façon de marcher. C’est la première fois que l’on se retrouve seule, et j’aimerais saisir cette occasion, lui tenir la main comme hier soir, l’embrasser. Mais rien ne se passe sur ce chemin jusqu’à atteindre la rivière, où nous posons nos affaires.

J’enlève rapidement ma robe pour me retrouver en maillot, Karine ne tarde pas non plus à faire de même, et nous voilà toutes les deux à l’eau. On se taquine un peu en se chatouillant, en essayant de se couler, ou en envoyant tout simplement de l’eau sur l’autre. Au bout de quelques minutes nous sortons de l’eau, Karine se passe de la crème sur les bras les jambes, puis en regardant autour d’elle me demande si je veux bien lui en passer dans le dos.
Je me positionne derrière elle, je mets de la crème dans mes mains et au moment de l’étaler, Karine enlève son haut de maillot…

Moi : tu n’as pas peur ?
Karine : de quoi ?
Moi : que quelqu’un vienne, ou même que Jordan arrive et te vois seins nue ?
Karine : j’ai réfléchie l’autre soir, j’aimerais bronzer seins nue, et si Jordan arrive, ce n’est pas grave, c’est mon frère et il a déjà vu plus que ça. Mais si c’est un inconnu, là je me couvrirais
Moi : d’accords, mais ton frère sera peut être un peu gêné
Karine : je lui demanderais t’inquiète pas et si c’est le cas, alors je me couvre. Toi ça te gêne que je sois seins nue ?
Moi : non pas du tout, au contraire j’aimerais beaucoup les voir mais tu me tourne le dos ahaha

Karine sans perdre de temps se tourne face à moi, et je peux voir ses seins, ils sont beaux, et légèrement plus clair que le reste de son corps. Je comprends alors pourquoi elle veut bronzer seins nue

Karine : tu les trouves comment ?
Moi : ils sont magnifiques, et ça me donne envie de les toucher
Karine : d’accords, mais j’aimerais voir les tiens aussi

Je commence à être excitée de cette situation, Karine est à genoux devant moi seins nue, et je regarde tout autour de moi. J’ai envie de franchir le pas, d’être seins nue, alors je prends mon courage à deux mains, et j’enlève doucement le haut de mon maillot.

Karine : tu es très belle, et tes seins sont magnifiques aussi
Moi : merci, mais je vais remettre mon haut avant que Jordan n’arrive
Karine : d’accords, mais avant tout, laisse moi en profiter

A ses mots, Karine s’avance vers moi, je bascule en arrière et me retrouve allongée sur sa serviette, elle se positionne au dessus de moi et dépose ses lèvres sur les miennes. L’instant est magique, tout en douceur, je sens ses lèvres danser avec les miennes, puis je sens sa langue s’introduire dans ma bouche. Nous nous embrassons passionnément, je redécouvre cette sensation et autre chose encore, puisque la main de Karine vient se poser sur ma poitrine nue, elle me caresse les seins, les tétons, et ça ne fait que m’exciter encore plus.

Je passe moi aussi mes mains sur sa poitrine, sa peau est douce, chaude, et ses seins tiennent parfaitement dans mes mains, ses tétons commencent eux aussi à devenir dure. L’instant est tout simplement magique, son corps contre le mien, nos bouches qui ne se lâchent plus, le vent dans les arbres, l’eau qui s’écoule. J’aimerais que ce moment ne s’arrête jamais, qu’il dure pour l’éternité, je voudrais en savourer encore plus, la voir complètement nue devant moi, alors je lui dis.

Karine me sourit tendrement, son regard est coquin, elle aime ce que je viens de lui demander, elle se redresse et s’assoit en face de moi, les jambes légèrement écartées. Je vois ses mains venir sur le bord de son maillot, elle commence doucement à le retirer devant moi, je vois la trace de bronzage se démarquer avec sa peau clair sous le maillot. Mes yeux sont fixés sur elle, sur son geste que je savoure, elle arrive pratiquement au point de me dévoiler son intimité…

Karine : merde Jordan arrive…

Je suis paniquée quand elle me dit ça, je me retourne et je vois mon cousin encore sur la colline qui commence à descendre. Il est encore loin, je remets mon haut de mon maillot, Karine, de son côté a remis en place le bas, se met de dos à moi, toujours seins nue comme si je lui passais de la crème. Je repris d’ailleurs le tube pour lui en mettre dans le dos, faisant comme si tout était normal, et Jordan arrive à côté de nous.

De là où il était sur la colline il ne pouvait pas bien nous voir, mais maintenant qu’il est à côté de nous, il remarque que sa sœur est seins nue, et il détourne le regard limite gêné. Karine lui demande s’il ne veut pas s’assoir avec nous, il finit par s’installer, mais il n’est pas tranquille, Jordan retire son T-shirt pour aller se baigner.

Karine : j’ai eu trop peur quand je l’ai vu arriver
Moi : moi aussi, j’étais en panique totale hahaha
Karine : c’est dommage, il nous a interrompus au moment où ça devenait plus intéressant
Moi : c’est vrai, mais tu devrais remettre ton haut, il a l’air très gêné
Karine : ok, je vais le remettre, mais je vais lui en parler

Karine finit par remettre le haut de son maillot pour ne pas gêner son frère, le reste de l’après midi se passa normalement. Nous sommes rentrés comme d’habitude, avons dîné tous ensemble après quoi nous avons regagnés nos chambres. Anthony ne partage pratiquement aucun moment avec nous, aussi je décide d’aller le voir dans sa chambre pour essayer de lui parler. Il est sur son ordi lorsque j’arrive, il me regarde et abaisse l’écran…

Moi : Anthony, je peux te parler ?
Anthony : si tu veux oui
Moi : merci, je ne te dérange pas ?
Anthony : non
Moi : tu ne t’ennui pas trop tout seul, l’après midi ?
Anthony : non, et je préfère être seul en fait
Moi : tu sais si tu veux parler, je suis là, et je peux très bien te comprendre
Anthony : merci, j’ai remarqué que tu n’es plus très timide pour parler, mais pour le moment je n’ai pas envie
Moi : d’accords je te laisse tranquille alors

J’ai l’impression de m’être fait jeter, je voulais lui parler, je fais un effort mais lui non. Après je me mets à sa place, et j’imagine combien ça a pu être dur pour ma mère, toutes ces années où elle voulait me parler et que je me contentais de réponses courtes. Il ne veut pas parler alors je dois respecter son choix, et peut être qu’un jour il viendra de lui-même pour me parler mais ce soir, je regagne ma chambre pour m’endormir assez vite je dois dire.
chapitre 29 image
Ce matin mon réveil sonne, et comme chaque jour depuis que je suis ici, il se passe la même routine, petit déjeuner, ménage et petits travaux, mais papy commence à aller mieux, enfin c’est ce qu’il nous dit, mais le docteur lui a conseillé de laisser reposer sa cheville encore quelques jours. Les garçons ne sont pas très bricoleur, nous aussi, mais nous faisons de notre mieux et nous apprenons en même temps.

Après le déjeuner, je vais dans ma chambre pour préparer mes affaires, Karine est déjà prête, et me dit que nous pouvons y aller toutes les deux. Sur le chemin je lui demande ce que fait Jordan et elle me dit qu’il ne viendra pas aujourd’hui, qu’elle a eu une petite discussion avec lui. Je me demande bien ce qu’ils ont pu se dire, et arriver à la rivière, je me mets en maillot tandis que Karine se met seins nue…

Moi : et de quoi avez-vous parlé hier ?
Karine : je lui ai parlé hier, à propos de moi et mon envie de bronzer seins nue
Moi : et qu’est ce qu’il a dit ?
Karine : qu’il est un peu gêné de me voir comme ça, puisque je suis sa sœur
Moi : mais il t’a déjà vu nue
Karine : oui, et il s’en est voulu, il m’a demandé pardon pour ça d’ailleurs
Moi : d’accords, vous n’en aviez pas parlé avant ?
Karine : non, pas du tout
Moi : il s’est senti mal juste parce qu’il t’a surprise nue ?
Karine : pour ça et parce qu’il n’arrivait plus à chasser cette image de sa tête depuis
Moi : ah et te voir seins nue ça n’arrange pas les choses, tu penses qu’il s’est masturbé en pensant à toi ?
Karine : je ne sais pas, possible oui
Moi : et ça ne te fait rien ?
Karine : non pas vraiment, il est libre de penser à qui il veut
Moi : tu me surprends beaucoup
Karine : ah oui ? Et toi alors, tu t’es masturbée en pensant à moi ?
Moi : j’avoue oui, en repensant à cette nuit dans la voiture, et toi ?
Karine : oui aussi

Ma cousine me regarde alors dans les yeux, et doucement elle s’approche de moi et vient m’embrasser. Je ne bouge plus, je savoure ses lèvres, plus rien n’existe autour de nous, alors qu’en temps normal, j’aurais peur de me faire surprendre. Je ne regarde pas ailleurs, mes yeux sont fermés et Karine introduit sa langue, la fait tourner avec une telle douceur, je n’arrive plus à penser, je suis totalement égarée sur une autre planète, puis elle recule…

Karine : hier tu voulais me voir nue ?
Moi : … oui, je le veux toujours

Elle me sourit alors, place ses mains sur les côtés de son maillot, puis le baisse tout en douceur, je vois alors ce petit bout de tissu glisser le long de ses cuisses, et me dévoiler son sexe lisse. Son maillot finit par être totalement enlevé, elle est là totalement nue, au milieu de la nature, ma cousine est vraiment coquine. Elle me demande de me montrer aussi mon corps, j’ai un peu peur sur le moment, alors elle saisi sa serviette, me prends par la main et m’emmène un peu plus loin, où les herbes sont plus hautes.

Elle étale sa serviette, et on s’abaisse toutes les deux, elle me dit que nous sommes un peu plus cachées, et que je ne crains rien. Alors doucement, j’enlève mon haut pour lui dévoiler mes seins, puis avec un peu plus de crainte et beaucoup d’excitation, j’enlève le bas et me retrouve dans la même tenue que Karine.

Nous sommes assises toutes les deux, face à l’autre et je vois Karine qui commence à glisser sa main entre ses cuisses. Tout en la regardant je fais de même, comme pour l’imiter, je la vois faire tourner ses doigts sur son clitoris et je fais comme elle…

Karine : oui vas y, je veux te voir te masturber

Ses mots sont pour moi net, et en même temps comme un lointain écho, je suis hypnotisée, par la beauté du spectacle qui se déroule devant moi. Ma cousine nue, au milieu des hautes herbes, avec le soleil qui nous caresse à travers le feuillage des arbres. Et je ne pourrais pas vous dire ce que je ressens vraiment, mais en tout cas l’excitation est présente et vraiment forte, car pour la première fois je me masturbe avec une personne qui en fait de même devant moi, avec le même désir.

Je me suis déjà masturbée en regardant ma mère le faire, ou l’inverse, mais sans jamais en prendre du plaisir à se regarder l’une l’autre. Là ma cousine est devant moi, jambes écartées, et elle se caresse, la sensation dans mon bas ventre est extraordinaire, je ressens un plaisir immense.

Karine : j’adore te regarder
Moi : moi aussi, c’est tellement bon
Karine : oui, continue, regarde-moi

Puis elle accélère ses mouvements, ses doigts tournent sur son clitoris, mes doigts font de même, on se masturbe l’une devant l’autre le plus vite possible, je sens mon plaisir monter, devenir de plus en plus intense. Je détails tout le corps de ma cousine, son visage, ses yeux fixés sur mon entre jambes, sa bouche si délicieuse, ses seins dont le soleil glisse sur la peau, et son intimité humide sur lesquelles ses doigts viennent danser.

Karine : oh oui je vais jouir, je vais jouir, je v…..humm hummmmmmmmm

En la voyant jouir j’ai ralenti mes caresses, je la trouve si belle, Karine à les yeux fermés, sa poitrine monte et descend très vite, elle reprend son souffle comme elle peut, puis ré-ouvre les yeux. Elle me regarde, elle veut que je jouisse à mon tour, que je jouisse devant elle, pour elle. Alors bien sûr je reprends mes caresses, j’accélère, et à ses mots mon plaisirs monte de plus en plus vite…

Karine : Oui continue, caresse toi, tu es belle, j’adore voir ton sexe, tes doigts qui te donnent du plaisir… continue… comme ça… c’est bien… va plus vite encore…

Je n’en peux plus, je sens que je ne tiens plus, je regarde Karine qui me parle, elle, elle a les yeux fixés sur mon sexe, je l’écoute me parler, et ça vient, je vais jouir…

Karine : vas y, c’est bien, continue… allez jouie, jouie pour moi, je veux te voir jouir… oui continue

Et sans en attendre plus, tout mon corps se cambre, je ferme les yeux, et je jouis devant ma cousine d’une telle intensité, que je finis par m’allonger n’ayant plus aucune force. Je reprends mon souffle, Karine me parle, mais je ne comprends rien à ce qu’elle me dit, je sais seulement qu’elle se rapproche et vient se placer juste au dessus de moi. Là elle dépose ses lèvres à nouveau sur les miennes puis me dit …

Karine : c’était tellement bon, j’ai adoré, et toi ?
Moi : pareil, c’était fort, j’ai vraiment jouis très fort
Karine : oui moi aussi, c’est la première fois que je fais ça, j’ai adoré, et je voudrais recommencer
Moi : Je suis d’accord pour recommencer

Nous sommes toutes les deux nues, allongées l’une à côtés de l’autre, et je suis toute émue, tant de plaisir vienne de parcourir mon corps, je n’en reviens pas, Karine me caresse doucement la poitrine, le vent est doux, il me caresse et c’est agréable en étant nue. Il fait si bon, tout est calme, les caresses de Karine me font le plus grand bien, que je commence à m’endormir. Je vois que Karine aussi commence à fermer les yeux, alors nous voilà toutes les deux, nues, allongées dans ces hautes herbes, et nos yeux se ferment peu à peu.

C’est tellement agréable de dormir ainsi, libre, nue, au milieu de la nature, le vent qui me caresse la peau. Je n’ai plus aucune notion du temps, dans mon sommeil, je me dis que ce que je viens de vivre restera à jamais dans ma mémoire, et que je suis heureuse d’avoir vécu cela avec ma cousine.

Après je ne sais combien de temps, je suis tiré de mon sommeil par un bruit dans l’herbe, j’ai vraiment de la peine à ouvrir les yeux, je lutte, mais rien n’y fait, mes yeux sont lourds. Je me rendors, et finit par me réveiller quelques minutes, ou une heure plus tard, je ne sais vraiment pas. Karine est toujours endormie tout contre moi, elle est si belle toute nue, je ne vois rien autour de moi à part de l’herbe, mais je réveille ma cousine doucement. Jusque là nous avons eu de la chance, mais je ne voudrais pas en abuser, au risque de nous faire surprendre, alors je tente encore de réveiller Karine, je me redresse, je reprends mon maillot de bain, et le remet doucement. Ma cousine se lève, je prends sa serviette, elle avance devant moi, toujours nue, elle reprend son maillot pour ne mettre que le bas, je regarde l’heure, ça va, nous avons encore le temps.

Karine me dit de venir avec elle pour se baigner, elle me dit également de retirer mon haut afin d’en profiter. Après tout Jordan n’est pas là, et il n’y a personnes autour de nous, alors j’accompagne ma cousine, enlève mon haut et je vais me baigner avec elle.

Nous discutons toutes les deux de ce qui vient de se passer entre nous, c’était si bon, c’était une expérience incroyable, que sans doute, nous retenterons bientôt. En tout cas je sais maintenant le plaisir que ma mère a pu avoir avec sa cousine quand elle était jeune, et je me dis que jamais, je ne voudrais arrêter. Peut être que ma mère le désir encore, et est ce que sa cousine aussi voudrait le refaire à nouveau aujourd’hui ?

J’aimerais beaucoup le savoir, je suis curieuse après tout, et j’aime les réponses, surtout si elles sont tout aussi excitante.
chapitre 30 image
Après cet excellent moment avec ma cousine, nous décidons de nous rhabiller et de rentrer, sur le chemin nous discutons normalement jusqu'à notre arrivée chez nos grand parents. A notre retour, Jordan nous ayant entendu arriver sort de sa chambre pour discuter avec nous, nous lui avons manqués et le pauvre s’est apparemment ennuyé pendant notre absence, même s’il a passé son après midi sur sa console.

Après une longue discussion dans la chambre de Karine, je su la véritable raison pour laquelle Jordan n’est pas venu avec nous cet après midi. Ma cousine lui a dis que je voulais également bronzer seins nue, mais que sa présence me gênée du fait qu’il soit un garçon et mon cousin. Mais si elle savait que je lui avais déjà montré ma poitrine, peu importe, son absence nous a permis de passer un très bon moment entre filles.

L’heure passe, et nous nous mettons à table avec nos grands parents, le repas est toujours bon, puis à la fin je regagne ma chambre. J’écoute ma musique en attendant que le sommeil m’emporte, ce qui ne tarde pas d’ailleurs. Pendant la nuit j’ai pas mal tourné dans mon lit, et le plus souvent, je revivais dans mes pensées, ou dans mes rêves ce moment intime avec Karine. Et ce matin à mon réveil, je fus surprise de sentir ma culotte complètement trempée. Je ne sais pas si je me suis touchée ou non pendant mon sommeil, mais je sais une chose, c’est que je dois changer de sous vêtement maintenant.

Je me change, et me dirige vers la terrasse pour le même rituel, petit déjeuner, ménage et petit travaux, mais aujourd’hui petit changement de plan concernant les activités avec papy. Il doit aller voir un de ses amis pour l’aider à débarrasser un vieux garage. Pour le coup nous voila tous en route pour aider. L’ami de papy n’habite vraiment pas loin, juste à dix minutes de route. Sur place nous faisons la connaissance de José, l’ami en question et Thierry son fils pour qui nous sommes venu.

La mission du jour, faire sortir pratiquement tous les meubles du vieux garage, pour inspection et nettoyage, et après validation, les embarquer dans le fourgon de Thierry. José, Thierry et les garçons ce sont chargés de sortir les meubles et autres, tandis que Karine et moi passons les chiffons et produits pour nettoyer le tout. Papy lui, avec sa cheville ne bougeait pas trop, mais il voulait tout de même se rendre utile, nous avons bien sur travaillé dans la bonne humeur et même Anthony, qui, malgré son air blasé, riait parfois à quelques situations.
 
A midi nous avons fait une pause déjeunée, quelques sandwichs nous ont fait le plus grand bien, et avec la chaleur, je dois dire que la rivière va me manquer pour cet après-midi. A la reprise, nous avions vidé la moitié du garage, et les meubles désirés se trouvaient au fond. Heureusement pour Karine et moi, nous avions optées pour des vêtements légers, T-shirt attaché en sorte de petit haut, et mini short. Mais nos vêtements ont sans doute aussi attiré quelques regards, notamment celui d’Anthony, Jordan, mais aussi Thierry.

Je l’ai d’ailleurs dis à Karine, pour voir si je ne me faisais pas des idées, et elle m’a confirmé que oui, il nous observe par moment. Thierry nous souris, raconte des blagues, il n’est pas du tout lourd, et sa présence ne nous met pas mal à l’aise, au contraire.

Les heures passent et nous atteignons finalement les meubles désirés, Karine et moi s’occupons de les nettoyer tandis que les garçons remettent en ordre le vieux garage. Une fois le fourgon chargé, notre travail est terminé, Anthony, Jordan, Karine et moi sommes près de la voiture de papy à attendre qu’il finit de parler avec son ami. Thierry vient nous remercier une dernière fois avant de s’en aller dans son fourgon, et enfin notre papy boiteux arrive.

Il est près de 17H lorsque nous arrivons à la maison, et je dois dire que nous sommes tous épuisés. Karine est la première à la douche, et elle prend son temps, j’attends patiemment mon tour dans ma chambre, tout comme les garçons. Ma porte est ouverte, j’entends celle de la salle de bain s’ouvrir, je saisis alors mes affaires pour aller à la douche à mon tour mais Anthony a été plus rapide, le voyant déjà refermer la porte derrière lui.

Ce n’est pas grave je peux attendre encore un peu, mais à ce moment là j’ai une agréable surprise, puisque Karine a rejoint sa chambre qui est en face de la mienne, vêtu simplement d’une serviette.

Je la regarde tendrement, et elle semble s’amuser de la situation car elle ne referme pas sa porte, je me lève avec l’envie de la rejoindre, mais elle me fait signe de rester sagement dans ma chambre et de garder le silence. La situation commence à m’exciter, alors je reste debout dans ma chambre à un pas de ma porte, et c’est là que je vois la porte de Jordan s’ouvrir, il a le regard fixé sur sa console et ses écouteurs dans les oreilles, lorsqu’il lève la tête et m’aperçoit dans l’encadrement de la porte.

La chambre de Karine et Jordan sont face à la mienne, et leurs portes l’une à côté de l’autre. La situation est particulière, à gauche je vois Karine vêtu d’une simple serviette, et à droite il y a Jordan torse nu. Je suis déjà excitée par Karine, mais maintenant avoir Jordan en face de moi je ne sais plus quoi faire. Ma cousine n’a apparemment pas entendu la porte de son frère s’ouvrir, et elle me fait signe d’enlever mon haut, Jordan, lui reste debout se demandant peut être ce que je fais planté là.

Je ne sais pas ce qui se passe à ce moment là, je sens tout simplement mes mains saisir mon T-shirt et le passer par-dessus ma tête et je me retrouve en soutien gorge devant mon cousin et ma cousine. Karine est joueuse et s’en mord les lèvres, alors que Jordan est totalement surpris, je le vois, son regard fixé sur ma poitrine, je pose mon doigt sur mes lèvres pour lui signifier de ne pas faire de bruit et de rester calme.

Mais la situation est très excitante et drôle en même temps surtout quand je vois Karine et Jordan qui hochent de la tête. Doucement mes mains glissent dans mon dos pour enlever mon soutien gorge, et je suis là seins nue devant ma cousine et mon cousin, je me caresse les seins tendrement, le regard de Karine est tout ce qu’il y a de plus coquin, tandis que celui de Jordan reste surpris, émerveillé par ce qu’il voit.

Je suis totalement excitée, alors doucement j’ouvre mon mini short, et j’y glisse ma main afin de me toucher, je regarde ma main qui me fait plaisir, j’ouvre légèrement ma bouche, puis je regarde à nouveaux dans les chambres face à moi. Karine a également glissé sa main sous sa serviette pour se caresser, et Jordan commence doucement à empoigner son sexe que je devine dure. Les vas et viens de mon cousin me transporte à un autre niveau d’excitation, tout comme les caresses de ma cousine.

Ma main gauche saisie alors le côté de mon mini short, et commence à tirer dessus pour le baisser petit à petit. En face de moi, les gestes sont similaires, ma cousine écarte doucement sa serviette pour me laisser entrevoir sa main sur son sexe lisse, et mon cousin ouvre légèrement son short afin de le descendre un peu. De là où je suis, je ne peux pas bien voir, mais une chose est sure, mon cousin à un peu plus de poils que la dernière fois, tout ça m’excite toujours plus alors je baisse encore plus mon mini short et au passage ma culotte.

Je dévoile ainsi devant Karine et Jordan, une partie de mon sexe lisse, les réactions d’en faces sont différentes, ma cousine laisse complètement tomber sa serviette pour se dévoiler nue à moi, tandis que Jordan lui est totalement perdu. Je fais alors un léger signe de la tête, afin d’en voir plus, Karine le prenant pour elle, positionne un pied sur son lit, afin de m’en montrer un peu plus, et Jordan lui abaisse son short, je découvre alors comme la dernière fois la base de son sexe, puis j’en vois un peu plus de son membre, sa main toujours présente en cache un peu et je salive en voyant le gland déformer son caleçon.

Je veux en voir plus, je veux voir son sexe entièrement, alors je prends les devants, et j’abaisse un peu plus mon mini short, lorsque j’entends la porte de la salle de bain s’ouvrir. Je suis totalement surprise, alors je m’empresse de refermer ma porte et au même moment je vois Jordan et Karine en faire de même.

Derrière ma porte à moitié nue, je rigole seule, j’étais tellement excitée et lancée dans mon plaisir que j’en avais pratiquement oublié qu’Anthony était à la douche. Mais là où la situation m’a beaucoup plu, c’est que Karine et Jordan ce sont exhibés face à moi en même temps sans le savoir.

Je suis toujours excitée, malgré le fait d’avoir été interrompue, alors je prends mes affaires, je jette un œil dans le couloir et toutes les portes sont fermées, ni une ni deux je me précipite vers la douche sans pour autant avoir remis de l’ordre dans ma tenue. Au fond de moi je me suis sentie toute folle, excitée, par ce que je venais de vivre à l’instant avec Karine et Jordan, alors une fois sous la douche, sentant l’eau couler sur mon corps, je me suis laissée aller à un plaisir immense.

Après ce moment de plaisir, je regagnais ma chambre tout en me disant que je vivais là des instants tout à fait particulier, des instants de découverte, et que ces instants resteront à jamais en moi. Je m’allonge sur mon lit en attendant de passer à table, et je pense à tout ce que je pourrais découvrir encore ….
chapitre 31 image
La soirée c’est passée de la façon la plus normale, et après une bonne nuit de repos, surtout après cette grosse journée de travail, je me réveille en douceur dans mon lit. Je regarde mon téléphone pour savoir quelle heure il est, et je suis surprise de m’être réveillé assez tôt.

Toujours allongée dans mon lit, je suis pensive, je me fais un petit bilan de ma vie, de ce que j’ai pu faire, affronter comme difficulté bien que je sois encore très jeune. Mais je suis contente de moi, de m’ouvrir ainsi à la vie et à ce qu’elle peut m’offrir, et quand j’y repense, je me dis que j’ai beaucoup de chance.

J’ai une mère aimante, avec qui j’ai un lien intime plutôt particulier, des amis en or et une famille que je découvre de plus en plus. Mais tout ce bien que je ressens est surtout lié au sexe, au plaisir que je découvre seule, et avec mon entourage. Le plaisir, le sexe m’a permis de m’ouvrir et de ne plus être cette fille renfermée sur elle-même, et je souhaite en découvrir plus encore.

Après ce moment avec moi-même, je me lève de mon lit, il est l’heure d’aller prendre un bon petit déjeuner, mes cousins et ma cousine sortent à peu près tous au même moment de leur chambre. Nous sommes sur la terrasse pour notre petit déjeuner, jusque là rien de particulier si ce n’est que mamie nous annonces que nous avons toute la journée de libre.
Pas de ménage, ni de travaux, elle nous dit que nous avons bien mérités d’avoir du temps libre. Nous aidons tout de même pour débarrasser la table et tout nettoyer avant de profiter de notre journée. De retour à nos chambres je demande à Karine et Jordan s’ils ont une idée de ce que l’ont pourrait faire aujourd’hui.

Après avoir longuement réfléchie Karine nous propose de nous balader vers la ville et voir ce que l’on pourrait trouver comme activités là bas. Nous nous préparons donc et cette fois ci Anthony ce décide à venir avec nous. Nous prévenons bien sûr nos grands parents, en leur promettant de revenir vers 17H30. Nous voilà donc tous les quatre en marche vers le village, sur la route nous parlons de tout et après environ 1 Heure de marche nous sommes arrivés.

Et il y a pas mal de monde dans les rues, des personnes de la ville et des touristes aussi, mais nous sommes attirés par quelque chose en particulier. Il y a sur la place de la musique, et beaucoup de monde, et en regardant un peu tout autour je comprends en voyant une affiche que c’est la fête de la musique. Bien sûr la fête ne sera qu’à partir de 18H mais il y a déjà pas mal d’ambiance, nous profitons pour nous balader et visiter la ville, les boutiques.

Nous faisons le tour, et avec Karine nous entrons dans une boutique de prêt à porter, les garçons jettent un œil sans y être vraiment intéressés. Je trouve de jolies petites robes, et Karine me propose d’en essayer quelques unes, nous entrons toutes les deux dans une cabine, et en regardant ma cousine dans les yeux je devine son intention.

Karine me plaque contre la cabine une fois le rideau fermé, et vient m’embrasser, elle semble très excitée, pour ma part je suis prise entre deux sentiments, l’excitation et la peur d’être surprise dans cette cabine. Je me laisse faire, son baiser est doux, chaud et délicieux, cet instant dure et je ne voudrais pas qu’il s’arrête, mais je nous ramène à la réalité. Karine s’écarte, elle me sourit et me dit qu’elle a beaucoup aimé ce moment.

Elle ressort de la cabine en prétextant aller chercher une autre robe à essayer, elle m’en ramène de nouvelles que j’essaie pour de vrai cette fois, mais aussi quelques sous vêtements, qu’elle me donne au travers le rideau en jetant par moment un coup d’œil en se mordant les lèvres.

Tout ceci m’excite terriblement, mais il y a d’autres personnes dans la boutique, alors après quelques essayages, je finis par sortir de la cabine. Avec Karine nous échangeons un sourire complice, ma cousine est très coquine, je me demande jusqu’où elle pourrait aller et surtout m’emmener.

Nous sortons de la boutique sans un seul achat, et à vrai dire je n’ai pas beaucoup d’argent sur moi, donc je vais me retenir de dépenser le peu que j’ai dès la première boutique. Sur la place il fait beau, la chaleur n’est pas étouffante, et la musique rythme nos pas. On parle, on rit, et je suis agréablement surprise de voir Anthony rire par moment à nos blagues idiotes.

La journée passe, et l’heure des festivités approche, mais n’ayant pas convenu avec nos grands parents de passer la soirée ici, nous sommes obligés de rentrer. On aimerait bien téléphoner à mamie pour savoir si nous pouvons rester un peu plus tard, mais nous avons promis de revenir. Sur le chemin du retour, nous parlons comme à notre habitude, mais mes pensées sont ailleurs, je pense à cette soirée que je manque, à ce que je vis aussi ici, mes découvertes avec ma cousine mais aussi ma mère.

Lorsque nous arrivons enfin chez nos grands parents, nous voyons une voiture dans la cours, et en entrant dans la maison pour annoncer notre retour, on reconnaît alors Thierry. Il est venu rendre visite mais surtout apporter quelques produits en guise de remerciements pour le coup de main que nous lui avons donné.

Mamie nous demande comment c’est passé notre journée et en survolant les grandes lignes, nous lui disons que nous aurions bien voulu rester pour la soirée. Elle n’y voit aucune objection, bien qu’elle soit contente que nous soyons rentrés au lieu qu’elle s’inquiète de la soirée.

A ce moment là Thierry propose de nous y emmener, vu qu’il doit s’y rendre, et ainsi veiller à ce que tout ce passe bien, et bien sûr nous ramener à la fin de la soirée. Nous sommes alors tous les quatre, les yeux grands ouverts, et fixe en attendant la réponse de mamie. Bien entendu, ayant au moins un adulte et un moyen de transport, et surtout en voyant nos têtes, elle nous y autorise.

Tous les quatre joyeux, et en remerciant grandement mamie, nous allons de ce pas vers nos chambres pour nous changer. J’enfile une petite robe légère, et je vois Karine qui a opté pour le même style vestimentaire. Une fois les garçons prêts, nous embarquons avec Thierry en direction de la ville.

Dans la voiture nous sommes tous excités, le trajet est beaucoup plus rapide qu’à pied, et une fois arrivés, Thierry trouve une place pour se garer. Il y a beaucoup de monde, un groupe est déjà sur scène en train de jouer. Thierry enlève de son coffre un carton qu’il doit déposer dans un stand de la place. Il nous fait confiance pour nous laisser tranquille, et nous demande seulement de revenir à la voiture à la fin de la soirée.

Ayant le champ libre, nous redécouvrons la place avec quelques stands qui ce sont installés, il y a beaucoup de monde, mais on ne se sent pas submergés par la foule. Je me sens bien malgré le fait d’être au milieu de tous, j’ai appris avec le temps à garder le contrôle, et je n’ai apparemment plus de crise de panique.

Enfin je commence à profiter de la vie comme une ado normale, avec Karine on prend beaucoup de photos, Jordan et Anthony y passe aussi. La musique est entrainante, si bien qu’au fil de la soirée des personnes s’invitent à danser, et tous les styles y passent. Bien sur pour profiter au maximum de la soirée, nous faisons de même, mais je reste admirative devant les couples dansant, ils sont très beaux à voir et la musique les accompagne à la perfection.

Durant la soirée j’ai pu voir Karine discuter avec d’autres jeunes, des garçons plutôt mignons je dois dire. J’invite Jordan mais aussi Anthony à danser, pour faire comme certains couples présents mais je ne pense pas que nous soyons aussi beaux à voir. En tout cas Anthony semble avoir apprécié de danser avec moi, c’est la première fois que je le voyais me coller autant, et je crois bien avoir sentie son entre jambe se frotter à moi.

Petit à petit la place commence à se vider, la soirée touchant pratiquement à sa fin, nous restons assis, calme, tout en écoutant les derniers groupes passer. Puis l’organisateur monte sur la scène pour un dernier mot, avant de voir tout ce monde quitter ce lieu. Nous arrivons à la voiture. Près de nous passent les deux garçons avec qui Karine avait sympathisés, elle parle tranquillement avec eux, quand Thierry arrive.

Il charge la voiture de quelques affaires, et me regarde un moment, étant vêtu d’une robe légère, je n’avais pas prévu qu’il puisse faire un peu frisquet pour cette fin de soirée. Aussi Thierry très gentiment me passa une veste pour me couvrir. Une fois la voiture chargée, nous voilà en route pour regagner la maison, nous parlons avec Thierry de la soirée qui était tout simplement superbe, et une fois arrivé, nous le remercions encore pour tout.

J’arrive dans ma chambre et je me rends compte que j’ai gardé la veste de Thierry. Je me sens un peu bête d’avoir oublié de la lui rendre, mais en tout cas il a été très gentil. Je passe vite fait à la douche avant de rejoindre mon lit, j’ai passée une très bonne soirée et c’est avec le sourire aux lèvres et la tête remplie de très bon moment que je m’endors doucement.
chapitre 32 image
Je me réveille doucement, la lumière du soleil passe légèrement dans ma chambre, et je me demande quelle heure est-il. Je regarde mon téléphone, il y est affiché 10H15, je me demande si je suis la seule à dormir encore ou si les autres sont toujours dans leurs chambres. Je me lève, et m’habille comme je peux, j’ouvre ma porte et je pense que les autres dorment encore.

Je rejoins la maison des grands parents, et mamie en me voyant me demande comment c’est passé la soirée. Tout en prenant un petit déjeuner nous discutons toutes les deux, et c’est seulement vers 11H que je commence à voir apparaître Karine, suivie d’Anthony puis de Jordan.

Papy est parti chez un ami, et à voir nos têtes mamie nous dis de nous reposer pour aujourd’hui. Je crois personnellement que je n’aurais pas eu la force de faire quoi que ce soit, et surtout pour un dimanche. Une seule chose me vient à l’esprit, prendre une bonne douche, alors je redescends vers les chambres la première, saisie ma serviette, et direction la salle de bain.

L’eau est très bonne, sous le pommeau de douche je ferme les yeux et apprécie l’eau qui s’écoule le long de mon corps. Mes mains parcourent également chaque partie de mon être, et bien sur une délicieuse sensation pointe à l’horizon. Doucement mes mains s’attardent sur ma poitrine ou encore mon sexe, dont mes doigts connaissent par cœur le toucher. Les yeux toujours fermés, je me laisse aller à mon plaisir, il n’y a rien qui me vient vraiment en tête à part quelques flashs, entre ma cousine, ma mère, ou encore des vidéos que j’ai pu voir.

Mes caresses sont plus précises, je ressens parfaitement l’eau couler sur moi, mais je ressens aussi mon plaisir grandir, encore et encore jusqu’à que, de mon bas ventre, se propage un orgasme dans tout mon corps, à m’en faire perdre l’équilibre.

Je souffle, j’ouvre les yeux, l’eau continue de couler et je reprends petit à petit mes esprits. Je sors de la douche et me sèche, il n’y a pas un bruit, je suis toujours seule apparemment. Les autres sont encore à table peut être, alors je m’enroule dans ma serviette et je quitte la salle de bain ainsi.

En arrivant pratiquement devant ma chambre je vois Jordan qui apparaît dans le couloir. Ma tenue le surprend, vue son regard, et je me sens amusée de la situation, j’entre dans ma chambre, et il arrive devant la sienne. Il me fixe, dans ses yeux il y a de l’excitation, l’envie d’en voir plus, mais aussi une gêne on dirait. J’ai envie de jouer, de voir dans son regard du plaisir, j’ai une idée en tête, lui offrir un spectacle dont il se souviendra, je dirige ma main gauche vers le nœud de ma serviette.

Mais des bruits de pas nous ramène à la réalité, quelqu’un arrive dans le couloir, Jordan est lui aussi surpris, il ne sait pas quoi faire, sa tête pivote de droite à gauche. Je décide alors de fermer ma porte doucement en voyant une dernière fois dans son regard le désir se mélanger à la déception.

Une fois ma porte fermée, je rigole en moi-même, suis-je folle de faire cela ? Ou est ce que je suis tout à fait normale ? Et est ce que ceci est déjà arrivé à de nombreuse fille ?

Je me dis certainement que oui, au vu des expériences que ma mère a pu avoir dans son enfance, entre sa cousine et son cousin. Je me demande ce que peut bien faire Jordan maintenant, est ce que je l’ai excitée au point d’en avoir une érection ? Se masturbe t-il en ce moment même dans sa chambre ?

J’aimerais tant le savoir, mais je ne pourrais jamais, à part si je lui demande directement. Je quitte ma serviette pour me vêtir d’un simple T-shirt et d’un mini short. Nous resterons sans doute à la maison pour aujourd’hui, autant me mettre à l’aise.

L’après midi se passe tranquillement, un film en compagnie de Karine et des cousins, puis une sieste pour moi dans ma chambre. Apparemment la journée d’hier m’a bien fatiguée, puisque je me suis réveillé de ma sieste vers 17H.
J’évite de faire encore plus ma marmotte et je remonte voir mamie dans la maison, elle est occupée à lire mais elle affiche un grand sourire en me voyant. Nous discutons de tout et de rien, puis elle me raconta comment elle avait rencontrée papi, sa façon de la courtiser mais aussi les soucis vis-à-vis de son père quant à leur relation.

Ma grand-mère étant très jeune à l’époque son père y était opposé, mais malgré tout elle aimé papi et arriva très vite un bébé, ce qui provoqua un scandale dans la famille.

J’étais captivée par son histoire, ses hauts et ses bas, mais mamie avait la certitude d’avoir choisie le bon, et c’est toujours le cas. Papi arrive de chez son ami, puis Karine et les cousins nous ont rejoint pour passer le reste de la soirée ensemble jusqu’au diner.

De retour dans ma chambre j’envoyais un message à ma mère pour savoir comment elle allait. Elle me manque beaucoup n’ayant eu qu’elle depuis le début, je ressens un énorme vide en son absence. Mais heureusement que j’arrive à m’occuper ici, et elle aussi, s’occupe beaucoup d’après ce qu’elle me dit dans ses messages.

Elle est sortie avec des collègues de travail, et a aussi un homme avec qui elle a dialogué, je suis curieuse mais elle ne s’étend pas trop à ce sujet, je lui raconte mes journées et bien entendu, elle se doute qu’il ce soit passé quelques aventures. Mais tout cela je le garde aussi à mon retour, pour pouvoir le partager avec elle.

Il est assez tard et ma mère me souhaite de passer une bonne nuit, ce que je fais sans soucis. Les trois jours suivants il ne s’est rien passé d’extraordinaire, à part le fait que nous ne faisons plus de travaux avec Papi, pour le coup nous avons nos journées de libre. Nous sommes repartis en ville, et je me rapproche un peu plus d’Anthony, ce qui me fait beaucoup plaisir. Bien que par moment il préfère rester dans son coin. Il ne parle pas énormément mais le simple fait de pouvoir passer un peu de temps avec lui et le voir rire temps en temps, me console dans le fait qu’il va de mieux en mieux.

Nous avons recroisés en ville un des garçons avec qui Karine discutait le soir de la fête de la musique, il est ici en vacance également. Il s’appelle Lucas et je vois clairement que Karine avait un coup de cœur pour lui. Aussi elle l’invite à nous rejoindre pour passer les journées ensemble.

Karine et Lucas ce sont de plus en plus rapprochés, mais ils sont encore assez timides pour vouloir s’embrasser devant nous, ou même se tenir la main, alors que je sais qu’elle en meurt d’envie. Un soir dans la chambre de ma cousine, nous étions toutes les deux allongées dans son lit devant un film, à parler :

Moi : ça fait quel effet d’être amoureuse ?
Karine : ahaha je ne pense pas être amoureuse
Moi : ah bon ? Ce n’est pas ce que je vois
Karine : en fait, je me dis que c’est plus un flirt
Moi : pour quelle raison ?
Karine : il est mignon c’est vrai, mais c’est plus comme un amour de vacance que je ne rêverais plus à la fin
Moi : aïe, c’est vrai, c’est donc pour ça que pour toi c’est un simple flirt ? Et lui, il en pense quoi ?
Karine : je crois que l’on s’est mis d’accord sur ça sans trop même en parler, d’ailleurs j’ai un service à te demander…
Moi : oui vas y dis moi tout
Karine : j’aimerais beaucoup passer du temps avec lui demain, mais mamie ne me laissera jamais partir seule de la maison
Moi : et qu’est ce que je peux faire ?
Karine : et bien, on part tous ensemble pour la rivière demain, et une fois assez loin je voudrais que t’occupes des garçons
Moi : d’accord, tu veux donc aller à la rivière qu’avec Lucas ?
Karine : oui s’il te plaît, dis oui …
Moi : ok, je pense pouvoir m’occuper d’eux, mais je pense aussi qu’ils comprendront que tu veuille être seule avec Lucas
Karine : J’ai un doute pour Jordan, c’est mon petit frère et il est tout de même protecteur
Moi : c’est vrai, mais moi aussi je suis un peu jalouse …
Karine : ah bon ?
Moi : oui depuis que tu flirt avec Lucas, on ne passe plus de temps toute les deux
Karine : oh ma cousine, excuse moi
En me faisant un câlin et un énorme bisou sur la joue
Karine : dis-moi qu’est ce que je peux faire pour que tu me pardonne ?
Moi : euh là je ne sais pas
Karine : demande moi ce que tu veux, vas y
Moi : ce que je veux ?
Karine : oui n’importe quoi
Moi : et bien… ça fait un moment… que je ne t’ai pas vue nue
Karine : ….. C’est ce que tu veux vraiment ?
Moi : (timidement) …. Oui

Karine me sourit alors tendrement, elle regarde une dernière fois la porte de la chambre qui est fermée, puis elle se redresse face à moi, elle me dit qu’elle ne peut pas se mettre entièrement nue de peur que quelqu’un entre sans prévenir. Mais elle veut tout de même me faire plaisir…

A ces mots je la vois passer ses mains sur les côtés de son mini short, et doucement elle fait glisser le tissu le long de ses jambes. Elle est là devant moi dans le lit, le sexe à l’air et parfaitement lisse, je la fixe pendant qu’elle ouvre les jambes et qu’elle passe doucement ses doigts sur son petit bouton.

Moi : tu es très belle, je veux te voir de plus près
Karine : hihi coquine, ne bouge pas alors

Je suis toujours allongée dans le lit, Karine me pousse légèrement pour que je me mette complètement sur le dos, et la voilà qui passe une jambe de chaque côté de mon corps, elle remonte vers moi jusqu’à positionner ses fesses au dessus de ma poitrine, et son entre jambe juste sous mes yeux.

Karine : tu vois mieux comme ça ?
Moi : c’est parfait

Devant moi, Karine reprend ses caresses, ses doigts tournent et dansent avec ses lèvres, elle remonte aussi par moment sur son clitoris, qu’elle aime toucher. Je suis captivée, je ne bouge plus devant ce spectacle qui m’est offert, du moins c’est ce que je pensais, mais mes mains elles aussi caressent mon corps et surtout mon sexe humide.

La position de Karine me fait penser à ce que m’a raconté maman, et ce qu’elle faisait avec sa cousine étant plus jeune. Je comprends alors le plaisir qu’elle a pu ressentir en regardant le sexe de sa cousine d’aussi près. Tellement près que j’en respire l’odeur, une odeur nouvelle, un peu étrange mais pas désagréable. Je me touche en la regardant faire de même, et en snifant son odeur délicieuse, à telle point que je me sens attirer.

Ma cousine se rapproche de plus en plus tout en me disant

Karine : Regarde moi… oui regarde moi

… « Toc toc toc »…

Tout à coup le bruit de la porte, je suis prise de panique, Karine dans le même état se jette sur le côté, en essayant tant bien que mal de passer le drap par-dessus elle. La porte s’ouvre et Jordan apparaît dans l’ouverture ...

Jordan : je ne vous dérange pas ? Je peux regarder le film avec vous ?
Karine : euh …
Moi : oui vas y viens

Je sens au même moment une petite tape sur mon bras, j’ai répondue machinalement, mais j’oubliais que Karine n’avait pas remis son mini short, ni de sous vêtement d’ailleurs. Jordan est venu s’allongé à côté de sa sœur, et nous étions toutes les deux je pense, avec le cœur tapant très fort de peur qu’il ne la découvre à demi nue sous le drap.

Heureusement pour nous Jordan ne soulève pas le drap et semble déjà captivé par le film. Karine et moi échangeons des regards discrets, j’ai peur, mais je suis en même temps excitée de savoir ma cousine à demi nue à côté de son frère.

Je passe ma main sous le drap en direction de Karine, comme pour avoir la confirmation qu’elle est toujours sans vêtement sous la ceinture. Le contact de ma main sur sa peau à un effet électrisant pour elle, Karine sursaute légèrement en se demandant ce que je peux bien vouloir faire.

Si nous étions dans le noir, peut être que j’aurais pu aller plus loin dans mon geste, mais la lumière étant allumée, j’ai préférée ne rien faire et continuer de regarder le film. Une fois celui-ci terminé, Jordan et moi sommes repartis dans nos chambres, où le sommeil ne tarda pas à me gagner.
chapitre 33 image
A mon réveil, je repense à ce que j’ai fait avec Karine la veille, l’image de son sexe si près de moi était vraiment délicieux et excitant. Aujourd’hui elle veut passer du temps seule avec Lucas, je me demande ce qui pourrait bien se passer entres eux. Rien que de les imaginer, me fait sourire et je commence à me sentir chaude.

Je me lève pour aller prendre mon petit déjeuner avec tout le monde. Karine et moi échangeons un petit sourire complice, ma cousine est très coquine, je ne sais pas si c’est de famille, mais en tout cas j’apprécie le fait de découvrir ce plaisir avec elle.

Nous avons prévu de partir après le déjeuner rejoindre Lucas non loin de là, pour le coup je vois Karine toute excitée et impatiente. Elle attend l’heure du rendez vous, et je rigole de la voir ainsi.

De mon côté je me demande comment je vais pouvoir distraire les garçons, mais je me dis aussi qu’ils pourront très bien comprendre que Karine souhaite passer un peu de temps avec Lucas. La matinée se passe tranquillement et après avoir déjeuné, nous préparons nos affaires pour la rivière.

Je fais le tour des chambres, Karine est prête, Jordan attrape son sac et Anthony me dit qu’il va rester là. C’est comme ça, parfois il aime passer du temps avec nous, et parfois il aime être seul. Nous voilà prêt, et prenons la route direction la rivière. Lucas doit déjà nous attendre sur le chemin, il n’habite pas du tout à côté, mais heureusement pour lui qu’il se déplace en vélo.

Nous arrivons près de la décharge, et on aperçoit Lucas, posé sur le capot d’une vieille voiture. Tout de suite le visage de Karine s’illumine, je me demande si c’est vraiment qu’un flirt. On marque une petite pause, le temps de boire un coup. Il fait assez chaud et je me dis que la rivière aurait été plus qu’appréciable, mais, j’ai promis à Karine de la laisser y aller avec Lucas.

Karine : bon on y va ?

Je vois Karine me lancer un regard, je lui souris et demande à Jordan si on peut attendre un peu ici prétextant une petite douleur à mon pied. Bien entendu, gentil comme tout, Jordan accepta ma demande.

Karine : ça va ? Vous nous rejoignez après ?
Jordan : ok, ça marche

Pour le moment, tout se déroule comme prévu, maintenant, reste qu’à occuper Jordan. Avec la chaleur, j’avais comme idée de trouver un autre coin d’eau pour nous deux, mais…

Jordan : tu as mal où ?
Moi : euh … à mon pied droit
Jordan : montre-moi

Mon cousin se met à genoux, et je lui passe mon pied, bien que je n’ai pas mal du tout, mais je le trouve trop mignon à vouloir prendre soin de moi. Il commence doucement un massage très doux, et franchement, même si je n’ai pas mal, ça me fait un bien fou.

Mon cousin ne le sait pas encore, mais il a des mains magiques. Son massage me fait le plus grand bien, il remonte par moment sur ma cheville, et ça me fait beaucoup d’effet. Je joue la comédie pour qu’il continue, en en le voyant à genoux si attentif et mignon, je commence à ressentir du plaisir, une petite décharge me parcourir la jambe jusqu’à mon intimité.

Moi : tu es vraiment très doux
Jordan : tu trouves ?
Moi : oui et tes mains me font vraiment du bien
Jordan : tant mieux, ça te fait encore mal ?
Moi : plus vraiment, mais je veux bien que tu continue encore stp
Jordan : d’accord, mais les autres vont s’inquiéter de ne pas nous voir arriver
Moi : on pourrait les laisser seuls non ? On est bien là aussi tous les deux
Jordan : je ne sais pas vraiment…
Moi : écoute, ta sœur est assez grande, laissons la passer un peu de temps avec Lucas, et puis on a jamais eu l’occasion de se retrouver seuls tous les deux depuis…
Jordan : Depuis ?
Moi : je repense à l’autre jour où tu m’as vu en serviette dans le couloir
Jordan : ah oui, j’ai …..
Moi : si tu as aimé, tu peux me le dire
Jordan : oui j’ai beaucoup aimé
Moi : moi aussi et dis moi, tu te sentais comment ?
Jordan : comment ? Je …. Je ne comprends pas ?
Moi : par exemple, moi je me sentais excitée par la situation, pas toi ?
Jordan : euh si… pareil pour moi
Moi : et dis moi, tu aurais voulu en voir plus ? Si personnes ne nous avez dérangé ?
Jordan : j’avoue que oui
Moi : petit coquin hihi

Nous rigolons tous deux les de nos aveux, je sens que Jordan est assez timide, et pour une fois, c’est moi qui suis dans une position où je n’ai pas peur, où je souhaite allez plus loin. Je me redresse alors, lui saisi la main et lui demande de me suivre.

Jordan est un peu perdu, tout en le tenant par la main, je vais en direction de l’épave de bus. J’entre, je regarde à l’intérieur, tout est vieux, mais à l’intérieur nous sommes un peu à l’abri de tout regard indiscret. Jordan est debout devant moi et je lui demande de ne plus bouger, doucement, je commence à me dévêtir en commençant par le haut. J’enlève mon T-shirt et le haut de maillot, laissant apparaître devant lui ma poitrine qu’il a déjà pu voir.

Je vois dans ses yeux, l’excitation, le désir, mais je veux en être sure…

Moi : ça te plaît ?
Jordan : oui beaucoup

Encouragée par ses mots et son regard, je passe mes mains de chaque côté de mon short pour le tirer vers le bas. Il ne reste que le bas de mon maillot, il y a tant de fois où j’ai failli me mettre entièrement nue devant lui, et à chaque fois, quelqu’un nous a interrompu. Je me sens excitée au plus haut point, et j’en tremble légèrement, comme si j’ai froid. Mes doigts passent sous l’élastique de mon maillot, et doucement, le plus sensuellement possible, j’abaisse le dernier tissu pour offrir à mon cousin ma nudité.

Jordan ne bouge plus, la bouche ouverte, les yeux parcourant mon corps, je suis debout face à lui entièrement nue, mais je reste encore un peu timide malgré tout dans ma façon de me tenir.

Moi : tu me trouves comment ?
Jordan : je….tu…..tu es be… non tu es magnifique…. Oui magnifique…

Ses mots et sa façon de me le dire me font rougir comme jamais, je me trouve pour la première fois nue devant un garçon, et le fait est que ce soit mon cousin décuple en moi un plaisir immense. Et je remarque une bosse dans son short, une bosse que je souhaite découvrir depuis longtemps…

Moi : tu veux bien me montrer ton corps aussi ?

Mon cousin relève les yeux vers moi, et sans même me répondre, il commence à enlever son T-shirt. Il est un peu maladroit, peut être trop excité, il me fait rire dans sa façon de faire. Il défait le nœud de son short, puis le baisse rapidement pour se retrouver en caleçon devant moi.

Sa bosse déforme complètement le tissu, qu’il cache un peu par reflexe avec ses mains. Je m’avance alors vers lui en posant ma main sur son torse, lui signifiant de se calmer, de respirer et de me laisser faire. Je me mets à genoux devant lui, en saisissant ses mains pour me dégager le passage.

Je place mes mains sur les côtés de son caleçon et relève les yeux pour le regarder, attendant sans doute son approbation. Il se calme un peu, puis il hoche doucement la tête, alors mes mains entrainent dans leurs descente ce tissu. Devant moi, juste sous mes yeux apparaît tout d’abord son gland légèrement rosé, puis son prépuce replié à moitié, sa colonne de chair que je découvre centimètre par centimètre, et pour finir ses bourses.

Son caleçon est arrivé à ses chevilles, je ne bouge plus, émerveillée de voir un sexe masculin pour la première fois, dressé devant moi juste à quelques centimètres. Je regarde mon cousin sous toutes les coutures puis me relève, je dispose ma serviette sur un des sièges du bus.

Je prends la main de Jordan pour le rapprocher de moi, je m’installe sur ma serviette et devant lui j’écarte mes jambes pour lui dévoiler mon intimité dans les moindres détails. Mes mains parcourent mon corps, nue, chaud, à la recherche du moindre plaisir.

Mes doigts trouvent très vite mon intimité, tandis que devant moi, Jordan saisi de sa main droite son sexe bandé et commence à établir un vas et viens. Le voir faire, me procure une telle sensation de plaisir que j’ai très vite un premier orgasme. J’en suis toute surprise, mais je ne m’arrête pas pour autant, je veux encore plus de plaisir, alors mes doigts tournent sur mes lèvres, puis sur mon clitoris.

Mon entre jambe est très humide, et je peux entendre le son familier que font mes doigts complètement trempés, mais je découvre également le son que fait la main de Jordan sur sa colonne de chair. Tout en écoutant le son de ses vas et viens, je peux entendre aussi ses gémissements, ses râles de plaisir. Je ne me cache pas non plus de gémir, je partage avec mon cousin un plaisir immense, un plaisir nouveau, un tel plaisir que je ne voudrais plus qu’il s’arrête.

Jordan accélère ses mouvements de la main, tout comme moi avec la mienne, j’écarte mes jambes au maximum, mon cousin se rapproche un peu plus, je vois son visage se crisper, il n’en peut plus tellement le plaisir est intense. Je sens que je suis sur le point de jouir, tout mon corps commence à frissonner, je sens dans mon ventre un point se former, se concentrer, mes doigts accélère le rythme.

Jordan de son côté ressert les dents, il me dit qu’il va bientôt jouir, alors …

Moi : ne t’arrête pas, joui sur moi, joui sur moi…. AAAAAaaaaaahh

Dans mes derniers mots, j’ai ressentie ce courant me traverser tout le corps, parcourir le moindre de mes nerfs, et en voyant Jordan se déverser sur moi, j’ai alors ressentie une deuxième vague encore plus intense, au point de ressentir mon corps se contracter, puis saccader à plusieurs reprises, jusqu’à que tout mon être devienne très lourd.

Je n’arrive plus à retenir mes jambes, j’ai l’impression de ne plus avoir de force du tout, Jordan, de sa main, extrait les dernières goutes qui se forment. Il est essoufflé, en sueur tout comme moi, son regard perdu dans le mien.
Je nous regarde entièrement nue, sa jeune semence est répondue sur mon ventre. C’est chaud, très différent de ce que je pouvais imaginer en voyant les vidéos sur internet. Du bout de mes doigts je découvre la texture, je joue avec un instant pendant que je reprends mon souffle, puis je me redresse, et saisie ma serviette pour m’essuyer…

Jordan : désolé, d’avoir joui sur toi
Moi : mais non, ne t’en fais pas, c’est moi que te l’ai demandé
Jordan : tu as aimé ?
Moi : bien sûr que j’ai aimé, ça m’a complètement retourné même
Jordan : moi aussi j’ai beaucoup aimé, tu es vraiment magnifique
Moi : merci mon cousin, tu l’es tout autant tu sais

Nous sommes toujours nues tous les deux, son sexe commence à retrouver sa taille normale, et je le trouve très beau. Je savoure ce moment à deux, un moment que j’aimerais beaucoup revivre s’il est d’accord.

Une fois habillés, nous sortons du bus, personnes aux alentours heureusement. Nous marchons un peu en direction de la rivière, je ne sais pas où en est Karine, je ne voudrais pas qu’on la dérange. Peut être a t’elle vécu un moment similaire au mien, en tout cas, si elle me redemande le même service, je veux bien m’occuper de Jordan à nouveau pour lui laisser du temps avec Lucas.
chapitre 34 image
Après avoir marché quelques minutes, je décide de me poser sous un arbre avec Jordan. Je ne voudrais pas déranger Karine et Lucas, alors je gagne du temps en espérant que Jordan ne veuille pas trop insister pour les rejoindre.

Heureusement pour moi ce n’est pas le cas, on discute tous les deux pendant près d’1H, avant de voir apparaître Karine et Lucas. Pour le coup je sors une excuse bidon, genre que j’ai eu plus mal au pied que je ne le pensais, que nous avons décidé de rester là, et que maintenant tout va mieux.

Nous faisons un bout de chemin ensemble vers la maison avant que Lucas ne parte de son côté. Je voulais à tout prix savoir comment ça c’est passé pour ma cousine, mais j’ai dû attendre jusqu’au soir, après le diner, pour que l’on soit tranquille dans sa chambre et en discuter…

Moi : alors dis-moi tout (impatiente)
Karine : chuuuut, moins fort, et puis de toute façon il c’est rien passé…

Un léger sourire de sa part la trahi, alors je me jette sur elle pour la faire parler …

Karine : ahaha ok, ok…..
Moi : allé dis-moi …
Karine : ok, une fois à la rivière je lui ai dis que nous serions seul, que ton mal de pied était une excuse
Moi : ah, et moi qui lui ressort la même excuse quand vous êtes revenus
Karine : c’est rien, c’était parfait, merci en tout cas
Moi : quand tu veux, je recommence, aller, raconte moi
Karine : ok, on s’est enlacé pendant très longtemps, puis on s’est embrassé, il était un peu timide au début
Moi : c’était la première fois qu’il embrassait ?
Karine : oui hihi, puis doucement on a commencé à se caresser, la joue, le cou, les épaules …

Tout en me racontant son histoire Karine mimé les gestes sur mon corps, rien que de m’imaginer à sa place et sentir sa main me toucher, je commençais déjà à être excitée.

Karine : je le trouvais trop timide dans ses caresses, alors j’ai saisi sa main pour la poser, sur ma poitrine…

A ses mots sa main se pose sur mes seins, par-dessus le T-shirt, j’ai eu un instant le souffle court. Elle me décrit tout dans les moindres détails, comment il essayait d’être doux, mais qu’il était en fait, maladroit. Elle le trouve trop mignon …
Karine : j’ai finis par tirer mon haut de maillot sur le côté, pour qu’il puisse mettre sa main directement en contact avec mes seins …

Ma cousine, toujours pour me mettre dans l’ambiance, glisse sa main sous mon T-shirt, le contact de celle-ci avec mes seins, me fit échapper un petit gémissement. Je suis allongée, je joue le rôle, dont elle avait été actrice cet après-midi.

Karine : il était un peu maladroit, mais c’était tellement bon que j’en voulais plus…
Moi : c’est ce qui s’est passé ? Tu lui as demandé plus ? (souffle court)
Karine : oui…. Je lui ai demandé de m’embrasser les seins …

Tout en me disant cela, Karine relève mon T-shirt jusqu’à faire apparaître ma poitrine, le fait que mes seins soient dévoilés, de sentir l’air sur ma peau, me donne un frisson indescriptible. Mais quand ma cousine se penche sur moi, et que je sens sa bouche se poser sur mon sein gauche, je me sens propulser dans un autre monde.

Karine embrasse mon sein avec beaucoup de tendresse, puis passe sur l’autre, tout en continuant de me caresser la poitrine avec sa main. Je ferme les yeux, espérant que ce ne soit pas un rêve, que ce plaisir ne s’arrête pas. En ouvrant les yeux, je vois ma cousine à l’œuvre, elle fait tourner sa langue sur mes tétons, elle n’a plus besoin de mots pour me décrire ce qui s’est passé, Je le vis…

Je me sens trop bien, sa bouche, sa langue qui n’arrête pas de glisser sur mes seins, mon entre jambe devient complètement trompé. Je commence à glisser une main vers mon intimité et l’autre vers ma cousine. Je pose ma main gauche près de la poitrine de Karine, quand elle se relève…

Karine : désolée ma Ju, mais il vaut mieux arrêter là, j’ai peur que Jordan ou Anthony arrive brusquement comme hier.
Je suis déçue, je ne voulais pas du tout que ça s’arrête, je voulais même aller plus loin, je voulais …
Karine : j’espère que tu comprends, et que tu ne m’en veux pas
Moi : non ça va aller, tu as sans doute raison, il vaut mieux être prudentes
Karine : merci, je ne veux pas te blesser ou autre tu sais
Moi : ne t’inquiète pas, ça va aller, je veux juste une chose
Karine : laquelle ?
Moi : savoir ce qui c’est passé ensuite avec Lucas
Karine : ahaha en fait, rien de plus, il m’a embrassé les seins, m’a caressé sans aller plus loin

Nous rigolons toutes les deux, de ses confidences entres cousines. Et je ne peux pas lui en vouloir, elle a tout à fait raison, vu que la plupart des soirs, on est dans sa chambre pour regarder un film. Je remets mon t-shirt en place, tout en discutant avec Karine et seulement quelques minutes après quelqu’un frappe à la porte, et entre.

Heureusement pour nous, Karine avait décidée d’arrêter. Jordan est à la porte et nous demande si nous allons regarder un film, au même moment c’est la porte d’Anthony qui s’ouvre et qui pose la même question. Nous voilà tous les quatre dans le lit, à regarder un film téléchargé sur l’ordinateur. Jordan est de mon côté et Anthony avec Karine, nous sommes assez serrés dans ce lit, mais il ne se passe rien, à part quelques rires concernant le film.

Quelques jours se passent, nous avons aidé papi pour quelques travaux, et avons continué de voir aussi Lucas les après-midi. Jordan paraissait un peu perdu, pensif, il semblait éviter mon regard par moment. Peut être que je me fais des films, mais je ne suis pas tranquille, je voudrais éclaircir la situation avec lui mais seulement quand nous pourrons être seuls. Et l’occasion pourrait sans doute se présenter, vu que Karine me demande un soir le même service concernant les garçons.

Le jour se lève, je suis en pleine forme après cette bonne nuit de sommeil. Nous prenons notre petit déjeuner comme d’habitude, papi et mamie, eux vont rendre visite à de vieux amis de la région, tandis que nous, nous avons prévu de rejoindre Lucas vers 10H, à la décharge.

J’espérais secrètement qu’Anthony ne veuille nous accompagner pour que je puisse être seule aussi avec Jordan, mais ce n’est pas le cas. Nous sommes donc tous les quatre en direction de la décharge, jusqu’à retrouver Lucas, puis j’exprimais mon envie de me rendre en ville ou autre, plutôt que d’aller à la rivière.

Bien sur je ne laissais pas trop le choix à mes cousins que de m’accompagner. Ils n’ont pas fait de remarque quant à laisser Karine et Lucas de leurs côtés, et tant mieux, je pense que je n’aurais plus besoin de chercher des excuses bidon pour les laisser seuls.

Arrivés en ville, nous nous baladons jusqu’à tomber sur un petit marché, où pas mal de monde y est présent. Nous nous promenons parmi les stands, nous regardons simplement même si quelques personnes essayent de nous vendre leurs produits. Malheureusement nous n’avons pas d’argent, n’ayant pas prévu cela.

Au détour d’un stand nous rencontrons Thierry, qui est venu ici pour aider un ami de longue date comme il dit. Tout en se parlant je me rappel que j’ai toujours sa veste qu’il m’avait prêté l’autre soir, et je lui dis être désolée d’avoir oubliée de la lui rendre. Il me dit que ce n’est pas si grave, mais qu’en ce moment il est pas mal occupé entre le boulot, et les coups de mains par ci par là. Il pourrait passer un soir chez mes grands parents pour la récupérer, mais il a peur que ce soit trop tard.

En général mes grands parents ne sont pas au lit avant 22H, mais c’est vrai que je n’ai vu personnes leur rendre visite après le diner. Je lui donne mon numéro de téléphone, s’il veut passait un soir, ainsi il m’envoi un message, et je sortirais pour la lui rendre, comme ça je pense que l’on ne dérangera personne.

Les garçons s’impatiente de m’attendre, je laisse donc Thierry à ses occupations et je file rejoindre mes cousins. Nous avons finis par déjeuner tous les trois un peu à l’écart, des sandwichs que nous avions préparé à la maison. Puis l’après midi passa doucement jusqu’à notre retour vers la décharge, où l’on retrouvait Karine et Lucas.

De retour à la maison, aucun signe des grands parents, ils rentreront sans doute un peu plus tard. Nous sommes restés sages jusqu’à leur retour malgré ma terrible envie de rejoindre Karine, et lui demander les détails de sa journée. Mais même après le dîner, nous n’avons pas pu nous retrouver seule et ce, jusqu’au moment d’aller nous coucher. J’aurais bien voulu savoir ce qui c’est passé, mais je vais devoir prendre mon mal en patience, et pour le coup j’ai pas mal tournée dans mon lit avant de trouver le sommeil.

Je suis encore en train de dormir, quand j’entends ma porte s’ouvrir, mais étant fatiguée je n’ai même pas réagie pour voir qui ça pouvait bien être. J’ai seulement sentie quelqu’un monter dans mon lit et une voix me dire …

Karine : juju, tu dors encore ?
Moi : …..hmmmm
Karine : aller lève-toi grosse limace
Moi : mmmm… il est… quelle heure ?
Karine : 06H10
Moi : hein…. Mais c’est encore la nuit pour moi, laisse moi dormir…
Karine : je n’arrive plus à dormir, je pense trop à Lucas
Moi : super… pas moi…
Karine : ok… je peux rester avec toi ?
Moi : mmmm…oui

J’aime très fort ma cousine, mais il était trop tôt pour moi, et je me suis rendormie très vite. Karine est restée allongée à mes côtés jusqu’à mon réveil…

Karine : coucou toi…
Moi : mmmm bonjour
Karine : tu as assez dormie ?
Moi : oui je suis mieux là, tu tes levé très tôt
Karine : oui, c’est vrai, mais je pensais trop à Lucas, c’est fou
Moi : tu es amoureuse alors
Karine : hummm je ne pense pas
Moi : pourquoi tu penses à lui alors ?
Karine : à cause de ce qu’on a fait hier
Moi : oh… il s’est passé quoi alors ?
Karine : on a recommencé ce que je t’ai dis l’autre soir, puis je l’ai laissé me toucher entres les jambes hihi
Moi : woaaa et c’était comment ?
Karine : il était maladroit au début, puis je l’ai guidé, il est très à l’écoute, et au bout de quelques minutes, j’ai jouie comme une folle
Moi : woao c’est vrai ?
Karine : oui je te jure, incroyable
Moi : et ensuite ? Vas y tu as commencé tu termine
Karine : ensuite je l’ai branlé hihi
Moi : ohhhh jusqu’à la fin ?
Karine : oui oui hihihi ça n’a pas durée longtemps, mais j’étais trop fier de moi
Moi : j’imagine oui, et elle est comment ? Si ce n’est pas indiscret
Karine : hmmm de bonne taille je dirais, je ne peux pas vraiment comparer
Moi : je comprends oui, je ne veux pas que ma question te gêne
Karine : non ne t’inquiète pas, je partage tout avec toi (en me faisant un clin d’oeil)
Moi : tiens je crois que les garçons sont réveillés

En effet, on entend la porte de la salle de bain se fermer, je me lève aussi pour m’habiller et avec Karine on se dirige vers la terrasse pour prendre le petit déjeuner et nous sommes vite rejoins par les garçons. Mamie est assise avec nous, elle aime parfois nous rejoindre à table pour parler, écouter nos histoires. Mais ce que me racontait Karine dans la chambre commençait limite à m’exciter, j’ai toutes ces images en tête qui tourne, et honnêtement je n’arrive pas à me calmer au milieu de tout le monde.

Je ne sais pas ce que me réserve cette journée encore, mais j’espère vraiment pouvoir calmer ce désir qui grandit entres mes jambes …
chapitre 35 image
Mon petit déjeuner terminé, je reste à table tout en écoutant les autres parlés. Ils ne disent rien de vraiment intéressant, ou alors c’est plutôt moi qui à la tête ailleurs. C’est bien ça, dans ma tête j’imagine Karine, son corps nu aux côtés de Lucas à se faire du bien. Je repense aussi à Jordan, à son sexe, le tout premier sexe masculin que j’ai pu voir pour de vrai. Il y a aussi les images de ma mère, qui me manque beaucoup et avec qui j’aimerais tout partager.

Tout ça n’arrange pas du tout ma situation, je suis assise sur ma chaise, mais je sens nettement la chaleur au niveau de mon entre jambe. Je pourrais aller me prendre une douche, et me satisfaire, oui, je pense que c’est la meilleure chose à faire. Je me lève et commence à débarrasser un peu la table, Anthony m’aide aussi, puis nous descendons tous les deux.

Anthony : ça va ? Tu as l’air pressée ?
Moi : oui j’ai besoin d’une douche, j’ai chaud, et je ne suis pas bien réveillée
Anthony : ok, laisse moi juste aller pisser avant, je ne peux plus me retenir
Moi : ahaha ok vas y

Je passe par ma chambre récupérer mes affaires en attendant qu’Anthony ait finit. Puis à mon tour j’entre dans la salle de bain. Je me retrouve très vite nue, l’eau coule déjà, et très vite dans ce petit espace, je commence à me caresser. Je n’en pouvais vraiment plus, ça fait deux jours que je ne me suis pas faite plaisir, et avoir toutes ces images en tête n’ont rien arrangé du tout.

Sous mes caresses je me retiens de ne pas gémir trop fort, de peur qu’Anthony puisse m’entendre. Mes mains parcourent mon être tout entier, mon cou, mes seins, mon ventre pour aboutir à mon sexe. Sous l’effet du plaisir, mes jambes deviennent lourdes, et je me retrouve doucement assise sur le carrelage de la douche. L’eau coule sur mon visage, je ferme les yeux, et tous mes souvenirs font surfaces. Karine, Jordan, ma mère, tous sont là devant moi, entièrement nus, tandis que mes doigts tournent sur mon petit bouton.

Mon plaisir monte en moi, je n’arrive pratiquement plus à tenir, je me caresse encore et encore, en essayant de me retenir le plus possible. Puis ce moment tant attendu arrive enfin, tout mon corps se crispe, puis libère un tel courant que je suis obligée de mettre ma main sur ma bouche, pour m’empêcher de gémir trop fort. J’aime jouir, j’aime quand mon corps est là sans la moindre force, comme s’il disparaissait, et que plus rien autour n’existe non plus.

J’ouvre les yeux, l’eau coule sur mon visage, je reste quelques instant comme ça, sans vie sur le sol. Mais il faut me lever, je ne peux pas rester éternellement dans la salle de bain. L’eau cesse de couler, dans le miroir je me regarde, toute mouillée, pendant que je prends ma serviette. Mes seins ont bien changés depuis, je deviens doucement une jeune femme. Ils ne sont pas très gros, mais ils me vont bien, et mes tétons sont sensibles après avoir jouie.

Je me sèche doucement, puis m’habille avant de sortir et de regagner ma chambre. La douche m’a fait le plus grand bien, mais je me sens aussi très fatiguée après mon petit plaisir solitaire. Je m’allonge donc un moment, perdue dans mes pensées, jusqu’à que j’entende Karine et Jordan revenir.

Il est presque 10H quand Karine vient me voir dans ma chambre…

Karine : ça va Ju ?
Moi : hmmm je suis fatiguée en fait
Karine : tu es malade ?
Moi : non, non, ça va, mais je crois que je vais rester là aujourd’hui
Karine : ah mais Anthony et Jordan ne veulent pas venir non plus
Moi : ah mince…. Mais …..
Karine : s’il te plait viens, sinon Mamie ne me laissera pas partir seule
Moi : d’accord je viens, mais demande à Jordan de venir au moins
Karine : ok, merci ma cousine, je t’adore
Moi : oui, moi aussi (en retombant dans mon lit)

Je me prépare, Karine a réussi à convaincre Jordan de venir également, puis nous passons par la cuisine, pour nous préparer des boissons et quelque chose à manger. Sur la route je parle avec Karine mais Jordan semble à part, il m’a l’air pensif, et il est comme ça depuis quelques jours. Nous arrivons à la décharge, où Lucas à l’air d’un être mystérieux toujours posé sur le capot de cette voiture. Je le salue, mais je pense plutôt à Jordan, alors au moment de continuer notre chemin je dis à Karine et Lucas d’avancer seuls, que j’aimerais me poser un peu.

Karine demande alors à Jordan, s’il peut rester avec moi, ne voulant pas me laisser toute seule. Jordan accepte, puis les deux tourtereaux vont vers la rivière.

Jordan : ça va Ju ?
Moi : je ne sais pas trop, je m’inquiète pour toi en fait
Jordan : pour moi ? Comment ça ?
Moi : et bien, depuis quelques jours tu as l’air distant avec moi
Jordan : ah, euh…
Moi : Jordan, tu peux me parler, tu peux me dire si quelque chose ne va pas
Jordan : en fait c’est que ….
Moi : c’est à propos de ce qu’on a fait l’autre jour ?
Jordan : euh … oui
Moi : ça te gêne ?
Jordan : en fait je ne sais pas. J’ai aimé, mais quand tu m’as appelé « mon cousin » à la fin, je me suis senti bizarre
Moi : ah … ok… explique-moi tout
Jordan : en fait je me demande si c’est bien ce qu’on a fait. On est cousin, et j’ai peur que quelqu’un le découvre, comme ta mère par exemple
Moi : tu as peur de ma mère ?
Jordan : oui, elle nous a déjà surpris, et là, on a était plus loin, et j’ai peur qu’elle l’apprenne

En écoutant Jordan parler, j’ai pu ressentir ses angoisses. Je ne pensais pas qu’il puisse se poser autant de questions, alors je me suis levée, je l’ai enlacé en lui demandant de se calmer. Après un moment quand il ne bougeait plus, je me suis mise à genoux devant lui pour lui parler…

Moi : ça va un peu mieux ?
Jordan : oui
Moi : d’accord, écoute-moi maintenant. Tu sais ma mère n’est pas du tout en colère contre toi, ni contre moi. Ça te rassure déjà ?
Jordan : oui
Moi : ok, elle m’a aussi dit, qu’à notre âge c’est normal de se découvrir, et que parfois les premières découvertes ce font entre cousins et cousines.
Jordan : oui mais c’est pas interdit ?
Moi : je pense que ce n’est pas très important. L’important c’est de savoir si nous avons aimé ou pas. En tout cas moi j’ai franchement aimé, pas toi ?
Jordan : si beaucoup…
Moi : quelque chose te gêne encore ?
Jordan : je ne sais pas, j’ai l’impression que dans notre famille, on est les seuls à avoir fait ça, et du coup je me sens coupable d’avoir aimé
Moi : ahaha, t’es trop mignon, alors je vais te dire un secret mais tu le gardes pour toi ok ?
Jordan : euh..Ok
Moi : tu me le jure ?
Jordan : oui juré
Moi : si ma mère, m’a dit que pour elle, c’est tout à fait normal, c’est qu’elle aussi, l’a fait quand elle était plus jeune
Jordan : j…….
Moi : ahaha tu devrais voir ta tête ahaha, mais Jordan, tu me le jure que tu gardes ça pour toi
Jordan : oui, oui …. Donc on n’est pas les seuls…
Moi : oui et qui sait, peut être tes parents aussi plus jeunes, mais il ne faut pas te sentir coupable. En tout cas si tu veux recommencer un jour, je suis partante
Jordan : pour refaire les mêmes choses que la dernière fois ?
Moi : je ne sais pas, tu voudrais faire plus toi ? (avec un jolie sourire)
Jordan : euh … je ne sais pas
Moi : écoute, ce n’est pas grave, déjà je suis contente de t’avoir parlé et que tu te sentes mieux
Jordan : oui je me sens plus légé maintenant, merci

Je me suis redressée pour lui déposer un bisou sur le front, Jordan est mon petit cousin et je ne veux pas le savoir mal à cause de moi. Mais d’un côté je suis très fière, moi qui d’habitude me renferme sur mes problèmes, et fuis tout conflit, aujourd’hui j’ai su faire face et en parler de moi-même. J’espère seulement que maman ne m’en voudra pas d’avoir partagé ce secret avec Jordan, je voulais seulement le rassurer, et lui faire comprendre que nous ne sommes pas les premiers, et sans doutes pas les derniers dans cette découverte du plaisir.

Nous sommes restés Jordan et moi près de la décharge, allongés dans l’herbe à nous parler, le regard tourné vers le ciel. Je me sens bien ici, ne plus faire attention au temps, ni au monde qui nous entoure, me plonge dans un sommeil profond. Le vent sur ma peau est doux, il n’y a aucun bruit, si ce n’est que les oiseaux et les insectes environnent.
Je ne sais pas combien de temps j’ai dormis, j’ouvre les yeux, Jordan est assis à côté de moi. Je le regarde pendant un moment, puis me redresse pour finir par poser ma tête sur son épaule.

Nous sommes restés ainsi, à se questionner sur le monde et à imaginer ce que le futur sera. Le temps passe et nous apercevons Karine et Lucas revenir de la rivière…

Moi : Jordan, je veux te laisser du temps pour te sentir mieux, et si un jour tu souhaites recommencer, dis le moi d’accord ?
Jordan : d’accord, mais je me sens déjà mieux Ju
Moi : alors je suis contente

Lucas est repartis de son côté, et nous sommes rentrés tous les trois à la maison. La soirée se passe normalement et après le dîner comme à mon habitude, je vais dans la chambre de Karine. Ma cousine allongée dans son lit me sourit déjà, sachant d’avance que je viens pour savoir ce qui s’est passé entre Lucas et elle.

Nous sommes restées sages, ne sachant pas à quel moment un des garçons pourrait rentrer. Je l’écoutais parler, assises toutes les deux, face à face, elle me raconta comment Lucas avait pris de l’assurance dans ses gestes, qu’il s’était amélioré dans sa façon de l’embrasser, de la caresser et de la toucher. Elle me raconta aussi comment elle avait jouie plusieurs fois, que Lucas devenait un peu plus endurant également. Mais bien qu’elle aime ces moments de plaisir avec lui, elle ne se sent pas prête à aller plus loin. Elle voudrait perdre sa virginité avec un garçon dont elle sera réellement amoureuse, et pas un flirt rencontré pendant les vacances.

Je la trouve un peu dur avec Lucas, mais en même temps je la comprends parfaitement. Moi aussi j’aimerais connaître l’amour et me donner à un garçon dont je serais vraiment amoureuse, je pense que c’est le rêve de toutes filles pour leur première fois.

Pour le film, seul Jordan nous à rejoint dans la chambre, et je suis contente de le voir souriant. Il va nettement mieux depuis notre conversation, et je dois avouer que j’attends avec impatience le moment où il sera prêt à recommencer cette découverte entres nous…
chapitre 36 image
Les jours passent et se ressemble presque ici, nous ne sommes pas si loin de la ville, et  heureusement. Papi et mamie aiment leur tranquillité, mais ici je commence à trouver le temps long, j’aime nos sorties en ville ou à la rivière, mais à part ça on ne fait pas grand-chose.

Il y a sans doute pire comme endroit et je me plains sans doute pour pas grand-chose, vu que chez moi je reste souvent enfermés à l’appartement. Mais dans cette appart, je suis chez moi, j’ai toutes mes affaires, je sais que j’ai mes amis non loin.

D’ailleurs en parlant de mes amis, ils vont bien, nous avons échangés quelques textos, puisqu’ici nous n’avons pas internet. Estelle est aussi en vacances chez sa famille, elle est super contente du moment qu’elle passe là-bas, et elle attend le moment de se revoir pour se raconter un peu nos histoires de vacances. J’ai également eu Kévin, son petit frère me salut également, pour les deux tout va bien, ils vont rentrer chez eux le premier week-end de Août.

Avec maman, nous nous envoyons des messages presque tous les jours, parfois des « bonjour, et bonne journée », d’autres fois des « bonne nuit, fais de beaux rêves, bisous », et souvent des « tu me manques ». J’ai aussi très hâte de la revoir, et de se raconter ce qui s’est passé durant ce temps loin l’un de l’autre.

Un soir vers 22H30, je reçois un message, je venais juste de finir un film avec Karine et Jordan. Ce message vient de Thierry qui me demande s’il me dérange. Je lui réponds que non, et il me dit qu’il pourrait passer, pour récupérer sa veste d’ici quelques minutes, si c’est bon pour moi.

Après lui avoir répondu oui, je suis dans ma chambre, attendant son message pour me signifier qu’il est devant la maison. Tout le monde est dans sa chambre, et il n’y pratiquement pas de bruit, 15 minutes après, un nouveau message.
Je prends donc la veste, puis me dirige vers la route. Dehors il fait bon, la maison est toute éteinte, mes grands parents sont surement déjà en train de dormir. Sur la route en terre il fait très sombre, et je distingue à peine la voiture de Thierry, qui est là, tous feux éteins.

Thierry : salut
Moi : salut, pourquoi tu es dans le noir ?
Thierry : j’ai tout coupé pour ne pas déranger tes grands parents, et je ne voudrais pas qu’ils le prennent mal de venir ici aussi tard
Moi : oh je vois…
Thierry : je ne t’ai pas dérangé j’espère ?
Moi : non ça va, on venait de terminer un film et je ne dors pas encore à cette heure ci
Thierry : ok, moi aussi je me couche assez tard
Moi : je vois ça oui
Thierry : oui, comme je te le disais entre le boulot, et les amis chez qui je passe souvent
Moi : mais tu fais quoi comme boulot ?
Thierry : à vrai dire, je suis à mon compte, je suis entrepreneur et j’ai pas mal de chantier à gérer en ce moment
Moi : d’accord, et tu travail seul ? Ou tu as des personnes avec toi ?
Thierry : non j’ai des ouvriers avec moi pour m’aider …. Mais ça va ? Tu ne veux pas rentrer ? Je ne veux pas te causer de problèmes
Moi : non ça va aller, mais peut être que tu veux partir ?
Thierry : non du tout, je ne suis pas pressé…

Le temps passe, et il est pratiquement minuit quand nous avons terminés de parler. Ce n’est pas un problème pour moi, je suis en vacances et je peux dormir comme je veux, par contre pour lui c’est plus compliqué. Ce moment nous a permis de faire plus connaissance, j’ai donc appris qu’il a 30 ans, qu’il travail à son compte et qu’il passe souvent du temps chez des amis pour rendre service.

Et en parlant d’activités dans la zone, il nous a proposé de nous emmener ce week-end au lac du Moulin Blanc. Je ne connais pas encore, mais de ce qu’il m’a d’écrit c’est un endroit super pour s’amuser et passer une bonne journée. En attendant ce week-end, je vais me coucher, tout le monde doit surement dormir, alors je rentre sans trop faire de bruit et je me glisse dans mon lit pour une bonne nuit.

Lorsque je me réveille il est 09H, ça va, je n’ai pas trop fait ma marmotte, juste le temps de m’habiller et je monte rejoindre les autres toujours à table. Je ne dis rien à propos de ce week-end et la proposition de Thierry, car c’est lui qui doit appeler nos grands parents, et voir avec eux s’ils sont d’accord.

Aujourd’hui nous sommes tous partis en direction de la rivière, Karine ne m’a pas fait signe pour que nous la laissions tranquille. Mais elle m’a rassurée en me disant que tout va bien entre Lucas et elle, c’est juste qu’ils voulaient tous les deux passés du temps avec nous.

Il fait très beau et très chaud, et l’eau nous fait le plus grand bien, d’ailleurs je ne suis plus ressortis depuis que j’y suis, tandis que Karine, Lucas et Anthony sont remontés sur la berge. Anthony s’isole beaucoup moins, mais on sait aussi respecter son espace lorsqu’il ne veut pas venir avec nous, ou autre. Jordan lui, me regarde tout souriant, nous sommes assez loin des autres, tous les deux assis sur un caillou, l’eau nous arrivant au dessus de la taille.

Jordan : tu es très belle ma cousine
Moi : merci, mais toi aussi tu es très beau, n’en doute jamais
Jordan : merci, je ne l’oublierais pas
Moi : dis-moi, je peux te poser une question ?
Jordan : oui vas y
Moi : c’est la première fois que tu voyais une fille nue ?

Je savais très bien quelle était la réponse, étant donné que Karine m’avait raconté ce petit incident…

Jordan : euh …
Moi : tu peux me le dire, je ne vais pas en faire une histoire. Et puis on peut tout de même se confier quelques petits secrets hihi
Jordan : d’accord, alors non ce n’est pas la première fois
Moi : oh, mon cousin, tu as une petite copine en secret ? Raconte-moi
Jordan : en fait non, j’ai sans faire exprès, surpris Karine dans la douche
Moi : ahaha ah bon ?
Jordan : oui d’ailleurs je m’en suis voulu
Moi : mais non, il ne faut pas, c’est des choses qui arrivent. Et ça ne t’a rien fait de la voir nue ?
Jordan : euh... si justement
Moi : oh, dis-moi ton secret, tu …. t’es masturbé en pensant à elle ?
Jordan : ….j’ai honte de le dire,…. mais oui
Moi : mon cousin je vais te dire une chose, quand tu te masturbe, tu es libre de penser à qui tu veux, c’est ton monde, ton jardin secret. Fais-toi plaisir sans crainte d’accord ?
Jordan : tu ne me trouves pas horrible ?
Moi : honnêtement, non pas du tout. Et tu l’as fait en pensant à d’autres filles ?
Jordan : oui, des filles de mon école que je trouve très jolie
Moi : avec moi tu peux parler de tout, et si tu as des questions aussi, n’hésite pas
Jordan : d’accord, merci. Parler de sexe avec toi, ça m’excite, d’ailleurs là, j’ai envie de me toucher
Moi : ahahaha tu es très coquin mon cousin, malheureusement on n’est pas tout seul, sinon je t’aurais aidé
Jordan : aider ?!!
Moi : oui, en me mettant nue par exemple, pour que tu te masturbe en ayant une belle vue
Jordan : euh…. Tu ne m’aide pas du tout là…
Moi : ahahah ok, ok, j’arrête…

Cette situation avec Jordan m’a beaucoup amusé je dois dire. Je savais que de mon côté je m’excitais assez facilement, mais de constater que c’est la même chose pour un garçon, ça m’a beaucoup fait rire. Nous avons attendus un moment que Jordan puisse se calmer, et nous sommes remontés rejoindre les autres. Le reste de l’après-midi se passa normalement, Lucas nous a accompagné jusqu’à la décharge, puis nous avons continué notre chemin sans lui.

Arrivés à la maison nous avons salués mamie pour lui dire que nous sommes rentrés, papi appela Anthony pour lui demander un coup de main, tandis que tous les trois, sommes partis vers nos chambres.

Karine : je passe la première à la douche, j’ai trop besoin de me laver les cheveux…
Jordan et moi : ok

Karine entre dans la douche puis commence à faire couler l’eau, je suis dans ma chambre et je regarde Jordan déposer ses affaires. Dans ma tête une idée folle me traverse, puis sans plus y réfléchir, je traverse le couloir, entre dans la chambre de Jordan …

Moi : dis moi tu as toujours envie de te toucher ?
Jordan : maintenant que tu m’en parles, oui. Pourquoi ?
Moi : parce que je veux t’aider…

Sans trop attendre, je me suis débarrassée de tout mes vêtements, pour me retrouver entièrement nue devant Jordan. Sa réaction n’a pas tardé, puisqu’il sorti de son short, son sexe bandé, qu’il caresse frénétiquement.

Moi : humm elle est belle
Jordan : tu aimes la voir ?
Moi : oui, j’adore, tu veux que je fasse quoi ?
Jordan : allonge toi, et touche toi …

A ses mots mon cœur bat très fort, je suis terriblement excitée, je m’allonge, écarte les jambes devant Jordan et je me touche comme si le feu me brule les doigts. Voir les vas et viens de mon cousin sur son sexe me donne chaud, j’ai l’impression de bruler de l’intérieur.

Moi : humm continue, j’adore te voir faire
Jordan : on a oublié de fermer la porte
Moi : c’est pas grave, t’arrête pas

La porte est le dernier de mes soucis tellement je suis excitée par la situation, Jordan gémit doucement, ses yeux sont rivés sur moi, il regarde attentivement chaque partie de mon corps. Ses vas et viens sont puissants, rapides, il veut en finir au plus vite pour ne pas nous faire surprendre.

Je le vois à son visage qu’il est pratiquement sur le point de jouir, alors moi aussi j’accélère je voudrais moi aussi atteindre l’orgasme au même moment. Je m’avance plus près de Jordan, mes fesses au bord du lit, je relève les jambes vers moi, tout en laissant une belle vue à mon cousin sur mon sexe et mes doigts qui me touchent.

Il arrive bientôt, il commence à ouvrir la bouche, mais aucun son n’en sort, il est tellement au bord de l’extase qu’il perd un peu l’équilibre et pour se rattraper, il pose sa main gauche sur l’intérieur de ma cuisse. Ce touché, cette pression à un effet électrisant sur mon corps. J’ai chaud, j’ai froid, je ne sais plus, tous mes sens semblent bouleversés.

Puis là, devant moi, sous mes yeux, des jets de spermes jaillissent, jusqu’à venir sur mon ventre, sur mes seins, ma main et mon pubis. Ce sont là, six jets puissants, qui viennent me couvrir le corps, au même moment où, un orgasme puissant me traverse.

J’ai eu beaucoup de mal à me retenir de gémir, Jordan lui manque de s’écrouler sur moi, cette vision de lui, penché au dessus de moi, son sexe encore dur au dessus du mien, me retourne complètement le cœur. Son sperme sur moi est chaud et collant, j’aime cette sensation, mais Karine a pratiquement finit de prendre sa douche et Anthony peut arriver d’un moment à l’autre.

Jordan : excuse-moi, encore pour avoir joui sur toi
Moi : ne t’excuse pas, c’était trop bon
Jordan : pour moi aussi, merci Ju..
Moi : de rien, merci à toi aussi. Je dois filer
Jordan : ok

Je ne peux pas rester plus longtemps, je me relève, attrape mes vêtements, puis dépose un baisé sur la joue de Jordan, avant de repartir dans ma chambre toute nue. Heureusement il n’y a personne dans le couloir à ce moment là, je referme ma porte derrière moi, puis je prends ma serviette pour m’essuyer.

Une minute après, Karine sort de la salle de bain, le timing était parfait. Il faut que j’apprenne à contrôler mes pulsions, sinon un jour, on pourrait nous surprendre, et je ne sais pas du tout comment cela pourrait se passer.

Le reste de la soirée se déroula normalement, au diner mamie nous dit qu’elle a reçu l’appel de Thierry pour nous proposer une sortie au lac ce week-end. Elle nous demande juste de bien nous tenir, de ne pas causer de problèmes à Thierry.

Le soir dans mon lit je repense à ma journée, je me rends compte que je parle librement de mes envies et de choses intimes avec les personnes en qui j’ai confiance. Je suis de plus en plus ouverte, et j’aime la personne que je deviens petit à petit, et qui sait, ce qui m’attend encore…
chapitre 37 image
Une mélodie résonne dans ma tête, j’ouvre les yeux, et cherche avec ma main mon téléphone qui sonne. J’ai activé mon réveil ce matin, puisque Thierry vient nous chercher, pour passer la journée au lac du Moulin Blanc. Je ne connais pas du tout l’endroit, mais on me dit que je vais m’y plaire donc, pourquoi pas.

Je me lève, enfile mes habilles et vais prendre mon petit déjeuner avec les autres. Puis je prépare mes affaires, mais ne sais pas vraiment quoi emmener. Je rejoins Karine dans sa chambre qui termine de se préparer, je lui demande si Lucas nous rejoint au lac pour la journée, mais non, car il a un repas de famille de prévu.

Nous discutons toutes les deux, quand on entend une voiture dans la cour. Je prends mon sac et commence à monter vers la maison pour saluer Thierry en attendant que les autres arrivent. Une fois les affaires chargées, nous voilà en route pour le lac, je regarde la route un peu perdue dans mes pensées pendant que les autres parlent. Le trajet dure environ 35 minutes, c’est à peu près le même temps pour aller en ville avec la voiture.

Une fois sur place, je découvre, ou plutôt nous découvrons tous les quatre ce lieu. Il y a déjà un peu de monde, surtout des familles de sorties pour profiter de la baignade et des loisirs. Il fait chaud et le soleil est au rendez-vous, tout semble réuni pour passer une bonne journée.

J’observe les lieux, tout en nous dirigeons vers la plage, puis nous nous installons. Il y a du monde, mais il y a suffisamment d’espace pour être tranquille. Les garçons ce sont déjà mis en short et se dirigent vers le bord de l’eau. Karine enlève aussi à son tour ses vêtements, pour se retrouver en maillot.

Depuis le temps je me suis habituée à la foule, pour ça, pas de soucis, mais je me rends compte que j’ai un peu de mal à l’idée de me mettre en maillot ici, devant tout le monde. Pourtant je pensais avoir fait d’énormes progrès concernant ma timidité, je me mets en maillot devant mes cousins sans soucis, mais là je suis bloquée.

Thierry : ça va Julia ? Tu ne veux pas profiter de l’eau ?
Moi : euh non, pas pour le moment
Thierry : tu as froid ? Pourquoi tu te tiens comme ça ?

Je ne me suis pas rendu compte, mais je me tenais debout les bras croisés, tremblant légèrement, je ne sais plus trop quoi faire, je semble perdue. Heureusement que Karine est là, elle comprit de suite et vient expliquer à Thierry ce qui se passe. Ma cousine me rassure en me serrant dans ses bras et en me parlant doucement. Cela fait un bon moment que je n’ai pas eu ce genre de crise, mais je me rends compte que ça peut me revenir de temps à autre selon les situations.

Karine : tu vas mieux ? Qu’est ce qui c’est passé ?
Moi : je ne sais pas trop,…. l’idée de me mettre en maillot…. devant tout le monde… m’a provoqué une crise
Thierry : tu veux marcher un peu, pour te changer les idées ?
Karine : c’est une bonne idée
Moi : oui je veux bien
Thierry : Karine tu restes avec les garçons et les affaires
Karine : d’accord, Ju, prends ton temps, respire tranquillement, ça va aller ok ?
Moi : ok…

Sans dire un mot, je suis Thierry qui me parle du lac, des activités possibles en été comme en hiver. Il m’emmène sur le sentier de randonnée, pour que je puisse voir autre chose et souffler. Quelques minutes après je me sens un peu mieux, au moins mes crises ne durent plus très longtemps.

Thierry : tu vas mieux ?
Moi : oui, merci
Thierry : tu fais souvent ce genre de crise ?
Moi : depuis petite, suite au départ de mon père
Thierry : d’accord
Moi : désolée, je ne voulais pas gâcher ta journée avec mes soucis
Thierry : hey, tu ne gâche rien du tout, ça me fait plaisir de marcher ici, et ça me donne l’occasion de mieux te connaître
Moi : oui c’est vrai que ça fait du bien

Le cadre est vraiment beau, le sentier nous emmène vers des coins de forêt, en revenant toujours près du lac. Tout au long de notre marche, nous parlons, je lui confie à peu près tout sur ma timidité et comment j’ai appris petit à petit à faire des progrès. Thierry est quelqu’un qui semble très à l'écoute, il me pose parfois des questions, tout en me donnant des conseils. Au bout d’une heure de marche, nous revenons vers la plage, où Karine est allongée en train de bronzer, tandis que les garçons s’amusent avec d’autres de leur âge.

Nous nous installons aux côtés de ma cousine, pour nous rafraichir un peu en prenant les bouteilles apportées. Je rassure Karine en lui disant que ma crise est bien passée, et la remercie encore pour tout à l’heure.

Karine : tu veux rester comme ça ? Ou te mettre en maillot pour bronzer avec moi ?
Moi : je ne sais pas
Thierry : tu sais, tu peux y aller progressivement si tu veux. Tu peux par exemple juste enlever ton T-shirt, et on verra après pour le reste

Après un long moment à réfléchir, sur ce conseil et les encouragements de Karine, je finis par retirer mon T-shirt et laisser apparaître mon haut de maillot. Je ne ressens rien pour le moment, à part les rayons du soleil et le vent me caresser la peau. Au bout de 15 minutes, me sentant toujours bien, et sans que Thierry ou Karine ne s’y attendent, je retire mon short, pour me retrouver uniquement en maillot de bain.

Je regarde autour de moi, tout va bien, Je me sens un peu bête en y repensant, faire une crise pour si peu. Karine toute souriante me dit que je suis très belle, et Thierry lui, me félicite d’avancer comme je le fais.

Nous sommes bien ici, Karine me passe un peu de crème sur les épaules et dans le dos. Après être resté ici à profiter du soleil Karine se lève et me demande si je veux l’accompagner pour me baigner un peu. Sans trop attendre de réponse de ma part, elle me prend par la main, nous passons toutes les deux devant des personnes, des familles, des couples, et arriver devant les garçons, certains regards ce sont tournés vers nous.

Je me sens toute drôle, je suis à la fois timide et contente d’inciter le regard de quelques garçons ou même des hommes, d’après ce que me dit Karine en entrant dans l’eau. Elle me dit aussi, que nous sommes toutes les deux d’assez jolies filles, et qu’il est normal que certains nous regarde, surtout ici, où nous sommes en maillot.

Je ne pensais pas que mon corps pouvait plaire, sauf bien sur à Karine et Jordan avec qui j’ai vécu un plaisir intime. Après un moment à se baigner, en voyant Jordan et Anthony revenir vers nos affaires, nous sommes toutes les deux sortis de l’eau. En repartant vers notre place, je remarque certains regards sur nous, je suis toujours timide, mais je ressens aussi au même moment, un certain plaisir au fond de moi.

En regardant l’heure, il était déjà 13H, alors nous déjeunons tous ensemble sur la plage, en riant après Jordan et ses blagues. Une fois le fini, les garçons sont partis rejoindre leurs amis du jour, tandis que je m’allongeais sur ma serviette, en fermant doucement les yeux.

Je me suis assoupie quelques minutes, en ouvrant les yeux, je remarque que Karine dors paisiblement. Je me redresse en cherchant où sont passés les autres, mais je ne vois pas du tout les cousins, et en regardant vers le lac, j’aperçois Thierry, alors je me lève et vais le rejoindre.

Thierry : tu as pris de jolies couleurs
Moi : tu trouves ?
Thierry : oui et ça te vas très bien
Moi : merci, et merci aussi de nous avoir emmenés ici
Thierry : ça me fait plaisir

Au même moment j’entends des rires et l’eau remuer derrière moi, et juste après me voila sous l’eau. A peine la tête à la surface je remarque que c’est Jordan qui m’a emmené dans son élan, et sans attendre nous voilà dans une bataille à savoir qui coulera l’autre.

Je ne m’en suis pas mal sortie, hormis le fait qu’il a plus de force que moi, et Anthony s’y met aussi, mais je ne me laisse pas faire. Je suis entre les deux, essayant de faire de mon mieux pour garder la tête en dehors de l’eau, mais je crois que c’est peine perdu. Je n’en peux plus, je m’avoue vaincu et ces deux salopiot ressortent de l’eau aussi vite qu’ils y sont rentrés, tout en rigolant haut et fort.

Derrière moi j’entends également rire, je me retourne et c’est Thierry qui n’a pas bougé d’un pouce, pendant que je me faisais couler.

Moi : tu aurais pu m’aider (d’un faux air en colère)
Thierry : ah non je suis neutre
Moi : et si je m’attaque à toi ?
Thierry : c’est à tes risques haha
Moi : non c’est bon, j’en peux plus, ils m’ont épuisés

Je me retourne et commence à sortir de l’eau quand Thierry m’appel, et me fais signe tout en me parlant tout bas. Je ne comprends pas tout à fait, puis en regardant bien ses gestes je devine alors qu’il parle de mon maillot. Je regarde mon haut, tout est en ordre heureusement, alors le bas, et oui, effectivement, pendant ma bataille avec les garçons, le bas de mon maillot s’est décalé laissant apparaître ma fesse droite.

Tout à coup je me sentis rougir, heureusement que je ne suis pas passée sur la plage comme ça. Je regarde Thierry toute rouge, et lui aussi semble un peu gêné, mais ne dit rien. Je remets de l’ordre dans ma tenue et je file tout droit en direction de nos affaires. Je ne sais plus trop où me mettre, mais ça va, pas de crise en vue, si ce n’est que la honte, et un soupçon d’excitation.

Karine est réveillée, et tente de savoir pour quelle raison je suis toute rouge, je lui dis que c’est surement dû au soleil. Le reste de l’après-midi est passé rapidement, je ne suis pas retournée à l’eau, et la honte entre Thierry et moi avait complètement disparu.

De retour chez nos grands parents, nous déchargeons nos affaires pendant que papi invite Thierry à prendre un verre. Je dépose mes affaires puis je remonte vers la terrasse me joindre à eux. Un verre entrainant un autre, Thierry finit par passer la soirée, et à dîner avec nous, avant de nous quitter vers 21H30.

Le soir dans mon lit, je repense à ma journée, à cette crise que j’ai eue, et au progrès qui s’en est suivi. Je me rends compte aussi, malgré le fait que je sois encore timide, que je trouve un certain plaisir à me dévoiler, et que mon corps plaît à certains.
 
chapitre 38 image
Dimanche matin, je me réveil doucement et la chambre est assez claire. Je me tourne à la recherche de mon téléphone sur lequel je vois qu’il est près de 10H. Je reste allongée dans mon lit en essayant de capter le moindre bruit qui pourrait me dire que les autres sont encore dans leurs chambres, mais rien. Si ce n’est que le rire de Jordan que j’entends provenant de la terrasse.

Je me lève, m’habille, et je monte les rejoindre, la tête encore un peu endormie. Les garçons ne manquent pas l’occasion de se moquer de moi, mais je commence à avoir l’habitude, et je sais que c’est affectif. Après le déjeuner, chacun va à ses occupations, Jordan dans sa chambre avec ses jeux, Karine écoute de la musique en feuilletant un de ses magasines et Anthony je ne sais pas ce qu’il fait vraiment.

Je toque à sa porte pour voir ce qu’il fait, et passer du temps avec lui s’il veut bien. J’ouvre la porte, il est sur son ordi, il n’a sans doute pas entendu lorsque j’ai frappé avec ses écouteurs sur les oreilles. Quand il se rend compte de ma présence, il sursaute, et ferme l’écran de son ordi. En moi-même je rigole de sa réaction, et je me dis que si mon cousin regardait un film x, c’est son droit, mais je m’excuse tout de même de l’avoir dérangé, et lui demande si je peux rester.

Anthony à bien progressé aussi depuis quelques temps, bien qu’il ait besoin par moment d’être dans sa bulle, coupé du monde. Nous parlons un peu, et je me rends compte qu’il a pas mal d’affaire, son père lui achète beaucoup de choses depuis la mort de sa mère, na sachant sans doute pas comment y faire avec lui. Mais il sait que son père fait du mieux qu’il peut et que lui aussi en souffre encore.

Mou cousin se livre un peu à moi, sans rentrer dans des détails blessants, mais je suis contente qu’il me parle comme il le fait. On se ressemble beaucoup lui et moi, malgré que nous n’avons pas vécu les mêmes choses, et il sait que je le comprends parfaitement.

Je tente d’en apprendre plus sur lui, ce qu’il aime ou pas, et mon cousin s’est découvert depuis quelques temps une passion, il aime photographier et filmer tout ce qu’il voit. Mais son téléphone ne lui permet pas de faire de belles images, il va donc demander à son père de lui acheter un bon appareil dès la fin des vacances.

Après avoir longuement discuté avec Anthony, je le laisse tranquille à ses occupations dans sa chambre, et à vrai dire je suis encore un peu fatiguée, alors je me glisse dans mon lit pour fermer les yeux un moment.
C’est une petite sieste qui me fait le plus grand bien, à mon réveil il n’y a pas de bruit, je sors de ma chambre et toutes les portes sont fermées. Ils doivent surement se reposer un peu, alors je monte vers la maison, où je retrouve mamie sur sa terrasse. Papi est sans doute parti chez des amis, il est rare qu’il tienne en place.

Nous sommes toutes les deux sur la terrasse, à boire et à manger quelques gâteaux fait maison. En me parlant de ma mère, mamie est de suite partie chercher ses albums photos pour me montrer comment maman était bébé et à mon âge. J’ai eu le droit à toutes sortes d’histoires depuis son enfance jusqu’à l’adolescence, et en regardant l’album, une photo attira mon attention. Mamie me dit alors qu’il s’agit de ma mère et de sa cousine Solène, avec qui elle était inséparable. Je souris à l’idée de mettre un visage et un nom sur cette fameuse cousine, avec qui ma mère a découvert le plaisir de la masturbation.

Par la suite j’écoutais les histoires de mamie, mais je n’arrêtais pas de repenser à cette photo et à Solène. J’imaginais ce qu’elles pouvaient bien faire ensemble. Puis Jordan nous à rejoins sur la terrasse en découvrant aussi les photos, et en se moquant de la tête de son père plus jeune. De mon côté, je ne pensais plus à rien d’autre à part maman et Solène, et par curiosité je demande …

Moi : mamie, maman m’a beaucoup parlé d’une cabane quand elle était ado, tu sais où elle est ?
Mamie : non ma chérie, je sais seulement qu’elle y allait souvent avec Solène, mais c’est tout, désolée  
Jordan : Une cabane, je crois en avoir déjà vu une pas loin de la décharge
Moi : c’est vrai ?
Jordan : oui si c’est bien celle dont tu parles, je peux te montrer si tu veux
Moi : oui je veux bien
Mamie : allez-y les enfants, moi j’ai mon linge qui m’attend

Sans plus tarder, et sans repasser par nos chambres prendre des affaires, nous sommes allés en direction de la décharge, puis de là, j’ai suivi Jordan jusqu’à l’endroit, où, effectivement il y avait bien une cabane dans un arbre. Elle est vieille et un peu abîmé, mais je suis contente de la découvrir. Jordan tente de grimper, elle n’est pas très haute, mais j’ai peur qu’elle soit trop pourrie et qu’il se blesse.

Il entre dans la cabane, et me dit que tout va bien. Etrangement sous son air abandonné et abîmé, elle reste tout de même solide. Mon cousin me tend la main pour m’aider à grimper, et une fois dedans je vois quelques feuilles mortes, un livre oublié et des gravures sur une planche ou je peux lire les prénoms « Nadège et Solène ».

Voilà quelque chose qui me prouve qu’il s’agit bien de la cabane dont m’a parlé ma mère. Lire leurs prénoms sur ce bout de bois provoque en moi une sensation de chaleur, je sais ce qu’il c’est passé ici entres elles, et je les imagine là, devant moi, nues se donnant du plaisir l’une devant l’autre.

Doucement cette chaleur grandit en moi, au point d’en ressentir mon entre jambe qui devient humide. Je me retourne et m’avance vers Jordan qui me regarde sans trop comprendre, puis je me colle pratiquement à lui pour murmurer à son oreille…

Moi : déshabille moi…

Je sens la chaleur monter entres nous, puis doucement les mains de mon cousin viennent vers ma poitrine, et commence à défaire un à un, chaque bouton de ma robe courte. Le tissu est léger, chacun de ses gestes me frôle de très près, et me coupe le souffle. Ma robe tombe au sol, Jordan me regarde avec des yeux doux, puis je lui demande de m’enlever mon soutien gorge.

Je lève les bras pour lui faciliter le passage, ses mains encore novices cherchent comment retirer ce tissu, il est tellement près que j’ai l’impression qu’il m’enlace. Et après quelques secondes, voila ma poitrine qui se libère sous ses yeux ébahis, comme s’il découvre mes seins pour la première fois.

Pour ma petite culotte, je lui demande de se mettre à genoux, je le regarde toujours tandis que de son côté il fixe le dernier bout de tissu présent sur mon corps. Doucement il place ses mains sur les côtés de mon sous vêtement, puis dans un geste délicat et sans fin, il abaisse ma culotte dévoilant mon intimité.

Moi : tu aimes ce que tu vois ?
Jordan : oh oui j’aime beaucoup, j’ai vraiment de la chance
Moi : relève-toi, je veux te déshabiller à mon tour

Jordan se redresse, il est un peu plus grand que moi, je saisie la base de son T-shirt, et le relève pour le passer par-dessus sa tête et ses bras. Je suis si près de lui que je sens son odeur, je respire longuement pour l’apprécier, et tout en restant debout je défais le nœud qui retient son short. Sans le moindre effort son short tombe au sol, et dans son caleçon se dessine déjà une belle bosse qui me fait sourire.

Je me positionne à genoux devant mon cousin, mes mains caresses doucement l’extérieur de ses cuisses jusqu’à atteindre les rebords de son caleçon. Ce contact donne quelques frissons à Jordan, et pendant qu’il me regarde, je descends son sous vêtement pour que, sous mon nez se présente son sexe bandé.

Je suis en admiration, son sexe et si beau, de la même couleur que le reste de son corps, le gland rosé, et ses bourses humm. Jordan se met à genoux devant moi, tandis que je m’allonge au sol tout en ouvrant les jambes. On pourrait nous prendre pour deux amoureux qui s’apprêtent à faire l’amour avec une grande passion, mais il en est rien. Devant moi Jordan saisi son sexe de la main droite pour commencer ses vas et viens, je suis en admiration pendant que ma main vient, elle, se positionner entres mes jambes pour commencer à me toucher sans retenue devant mon cousin.

Jordan : j’ai envie de ….
Moi : de quoi ? Dis-moi
Jordan : d’être encore plus près de toi

Mon cousin me fait sourire, je lui dis de se rapprocher tandis que je me redresse un peu. Nos corps sont si proches, que je sens la chaleur qui émane de chaque partie de son corps, et plus précisément de son sexe et de sa main s’activant sur celui-ci.

Moi : pose ta main sur ma cuisse
Jordan : hein ?.... où ça ?
Moi : ici… (En lui indiquant avec ma main l’endroit exact où je veux qu’il la pose)

Jordan pose sa main sur l’intérieur de ma cuisse à quelques centimètres de mon intimité. Ce touché fait monter en moi un plaisir intense, je sens mon cœur taper si fort dans ma poitrine que je laisse échapper un gémissement tout en me mordant les lèvres. Mes doigts tournent toujours sur mon petit bouton et je sens déjà venir ma jouissance. Je n’arrive plus à me contrôler et sous les yeux de Jordan, je me libère complètement dans une série de gémissements saccadés.

Ma main est immobile, mon corps allongé sur le sol, le souffle court, pendant que mon cœur, lui, tape très fort. Jordan à ralenti un peu ses vas et viens, il me regarde en attendant que je retrouve complètement mes esprits.

Jordan : tout va bien ?
Moi : oui j’ai jouie, désolée
Jordan : tu veux que je m’arrête ?
Moi : non pas du tout, je veux que tu te fasses plaisir au contraire
Jordan : d’accord, je ne vais pas tarder
Moi : tu veux que je reste comme ça ?
Jordan : oui, c’est bien comme ça. Je peux jouir sur toi ?
Moi : humm… je n’ai rien pour m’essuyer après…. Oui vas y, tu peux jouir sur moi
Jordan : ok

Mon cousin repris alors ses mouvements de vas et viens, sa main toujours posé sur ma cuisse. Devant lui, je me caresse les seins pour l’exciter encore plus, et il ne tarde pas. Dans un long gémissement, il se lâche sur moi en déposant cinq jets de sperme sur mon bas ventre, puis il s’allonge à mes côtés, essoufflé.

On se regarde tous les deux puis on se met à rire de ce que nous faisons en cachette. Il me demande avec quoi je vais pouvoir m’essuyer alors je saisie ma culotte non loin, et la pose sur mon bas ventre pour effacer toutes traces de semence.

Jordan : mais …
Moi : ne t’inquiète pas, je peux rentrer à la maison sans hihi

Nous sommes restés un moment tous les deux allongés complètement nus, ma tête posée sur son torse. J’aime beaucoup cet instant, la chaleur de son être contre le mien, sentir sa respiration pendant que ma main caresse sa peau si douce.

Puis nous nous rhabillons, je prends ma culotte que je roule en boule et nous sortons de cette cabane. Je regarde autour de moi comme pour chercher toute présence humaine, mais personne. Nous repartons vers la maison en marchant doucement, et je dois dire que je me sens comme si j’étais entièrement nue, sans culotte sous ma robe.

Quand nous sommes arrivés à la maison, tout le monde est présent sur la terrasse, je suis passée directement par ma chambre pour me débarrasser de ma culotte poisseuse, et en remettre une autre propre avant que quelqu’un ne remarque ma nudité sous ma robe.

Puis nous sommes restés tous ensemble sur la terrasse jusqu’à l’heure du dîner, avant de revenir à nos chambres respectives. Karine est venue me voir un peu plus tard, l’air un peut triste, car Lucas est repartit aujourd’hui avec ses parents, après le repas de famille. Il voulait encore rester et nous voir, mais ses parents ne voulaient pas faire le trajet encore une fois pour le récupérer. Karine est triste de ne pas avoir pu lui dire au revoir, mais elle sait que ce n’était pas du tout sérieux tous les deux, et qu’elle en a bien profité tout de même.
chapitre 39 image
Les trois jours suivants nous reprenons nos habitudes sans Lucas, sorties rivière ou en ville, et en regardant Karine je remarque qu’elle va parfaitement bien.

Nous avons eu l’occasion de parler plusieurs fois d’elle et Lucas, et elle m’a raconté pas mal de choses. Par exemple la sensation que c’est, d’avoir un sexe bandé dans la main et de le masturber, ou encore, le moment où elle a goutté le sperme de Lucas en le portant à sa bouche une fois qu’il avait joui sur sa main. A ce sujet, elle m’a simplement dit que le goût n’était pas désagréable.

De mon côté je n’ai pas eu d’occasion de recommencer quoi que ce soit, ni avec Karine, ni avec Jordan, mais j’espère avoir le temps d’ici la fin des vacances. Nous sommes déjà en début Août, et je repars dans deux semaines.
Le soir dans ma chambre vers 22H je reçois un message de Thierry. Je lui demande vu l’heure s’il est toujours chez ses amis, ou s’il est déjà rentré chez lui. J’aime parler avec lui, et on apprend encore à se connaître, alors je lui demande s’il veut passer comme l’autre soir pour discuter. Il est tenté de venir mais rester garer comme ça dans l’aller de chez mes grands parents, ça fait vraiment bizarre.

Je lui dis alors qu’il peut me récupérer et s’il connaît un coin tranquille je suis partante.

Thierry : « Ok j’arrive »

Je me suis habillée en prenant une veste au cas où, et je me suis dirigée vers la route pour l’attendre. Dix minutes après je le vois arriver, je monte dans sa voiture et nous allons un peu plus loin sur une route un peu isolée. Une fois la voiture garée, il allume la lumière du plafonnier…

Thierry : désolé, là aussi ça fait un peu bizarre non ?
Moi : non, ça va, moi aussi je ne suis pas tranquille de discuter juste devant la maison
Thierry : c’est surtout que je ne voudrais pas m’attirer des problèmes avec tes grands parents
Moi : je comprends, mais ça va aller, j’aime bien parler avec toi, donc, pas de problème de ce côté là hihi
Thierry : ahaha c’est déjà ça oui
Moi : en tout cas merci encore pour nous avoir emmenés au Lac samedi, j’ai adoré
Thierry : ce n’est rien, on pourra se refaire ça si tu veux, enfin si tu n’es pas trop gêné en public
Moi : non au contraire, ça m’a permit de surmonter encore ma timidité
Thierry : en tout cas, tu n’es pas timide pour venir parler avec moi, dans une voiture sur un chemin isolé ahah
Moi : non c’est vrai, au contraire j’aime bien ce petit côté secret ahaha
Thierry : je vois, donc tu penses que tu ne seras plus timide, de te mettre en maillot devant tout le monde ?
Moi : à tester je dirais, car on dirait que j’aime être …..
Thierry : être ? Continue
Moi : non c’est rien, c’est bête
Thierry : non vas y, dis-moi
Moi : euh… ok, que j’aime être observé (en rougissant)
Thierry : d’accord je vois
Moi : je t’avais dis que c’était bête (fausse colère)
Thierry : non c’est normal je trouve, tout le monde aime en quelque sorte attirer le regard sur sois. On ce sent exister, beau, belle, désirable et tu l’es
Moi : ahaha tu me trouves désirable ?
Thierry : non je veux surtout dire que si on attire les regards, on se sent disons « beau »
Moi : donc je ne suis pas désirable
Thierry : non, enfin si, mais ce que je veux dire, c’est que le regard de l’autre envers nous, nous fait penser que…. Ah tu m’as perdu là ahahah
Moi : ahaha

Nous avons continué de rire comme ça durant tout le temps où nous sommes restés ici, et lorsque l’on passe un bon moment, on ne voit pas le temps passer. Il est 00H30 quand il me ramène à la maison, et avant de sortir de sa voiture je le taquine encore un peu.

Moi : alors, tu ne m’as pas répondu
Thierry : à quel sujet ?
Moi : tu me trouves désirable ?
Thierry : hey bien, à vrai dire tu es mignonne, et quand je te regarde là…..
Moi : continue
Thierry : je ne sais pas vraiment je dirais, il faudrait te voir dans une autre tenue ahaha
Moi : ahaha ok, je prends note, peut-être un autre soir
Thierry : ça me va, bonne nuit
Moi : bonne nuit

J’ai beaucoup aimé ce moment passé avec Thierry, il me fait rire. En rentrant dans l’annexe, je suis tombé sur Karine qui sortait de la salle de bain. Je ne pensais pas croiser quelqu’un, et je lui souhaitais tout simplement bonne nuit en fermant la porte de ma chambre. Bien entendu le lendemain, je n’ai pas pu échapper aux questions de ma cousine, à savoir ce que je faisais dehors si tard.

Je ne peux pas lui mentir, et de toute façon je n’ai rien fait de mal, alors je lui ai tout simplement raconté ma soirée avec Thierry. Ma cousine dans la confidence me demande pour le coup si je vais encore le revoir, mais tout dépend de lui, s’il est libre et s’il veut venir me voir. Je fais confiance à ma cousine, et ce qui me rassure c’est qu’elle n’a pas portée de jugement sur mon rendez-vous nocturne avec Thierry.

Deux jours après, à 22H, je reçois à nouveau un message de Thierry, je souris toute seule dans ma chambre, il est encore chez des amis et je lui demande s’il veut passer me prendre. Il me dit qu’il sera là d’ici 20 minutes, alors je me lève et regarde dans mes affaires ce que je pourrais mettre ce soir car je le prends au mot, à savoir si je suis désirable dans une autre tenue.

Je cherche dans mes affaires et je finis par opter pour un mini short et un débardeur fin, avec un col en V. Je passe tout de même ma veste par-dessus, et je sors pour attendre sur la route. La voiture arrive, je monte, et nous repartons au même endroit que l’autre soir. Une fois stationné, il allume la lumière et ne manque pas de me regarder, en me disant qu’il ne sait toujours pas s’il me trouve désirable dans cette tenue. Alors en lui souriant, je me débarrasse de ma veste pour lui montrer la véritable tenue que j’ai choisi.

Thierry : woao, en effet ça te change complètement
Moi : alors ton verdict ?
Thierry : hummm, tu es passée de mignonne à très belle
Moi : oh le salaud, c’est tout ? (en lui donnant une tape sur le bras)
Thierry : ahaha ok, ok, doucement, non franchement tu es très belle
Moi : merci c’est gentil, mais je ne suis pas encore désirable (en faisant la moue)
Thierry : tu souhaites vraiment être désirable à mes yeux ?
Moi : je ne sais pas, je crois que j’aime ce petit jeu entre nous (souriante)
Thierry : j’avoue qu’il me plaît aussi

A partir de ce moment là, son regard sur moi commença à changer, lui qui au départ semblait venir me voir pour simplement me parler, entra dans un jeu peu à peu coquin. Je commençais à ressentir le même effet que sur la plage du lac, lorsque les personnes autour de moi me regardaient. Ce sentiment de plaire, de satisfaire quelque chose en lui. Je me sentais vraiment bien, mais le temps passe, et il me raccompagna vers minuit à la maison, tout en me lançant comme invitation…

Thierry : j’ai hâte de voir ta prochaine tenue (sourire coquin)

Je suis rentrée sans faire de bruit, puis je me suis couchée très vite en pensant à cette soirée. J’ai aussi très hâte d’être au prochain rendez-vous, de sentir son regard sur moi, de susciter un désir même minime.
chapitre 40 image
Nous approchons doucement de la fin de nos vacances ici chez mes grands parents, les journées se ressemblent parfois, mais elles peuvent aussi avoir leurs lots de nouveauté, au vu de ce que j’ai pu expérimenter depuis mon arrivée ici.

Cela fait 2 jours depuis la dernière soirée avec Thierry, je sais qu’il est pas mal occupé, mais je me demande quand est-ce qu’il m’enverra un nouveau message. Aujourd’hui les garçons sont partis avec papi, pour travailler chez un ami, pendant que Karine et moi, nous nous occupons de faire un peu de ménage dans la maison et dans l’annexe.

Lorsque nous sommes passées par la chambre de ma tante Claire, la petite sœur de ma mère, j’ai rigolée en trouvant un de ses sous vêtements qui était tombé sous la commode. Il s’agit là d’un string bleu roi, que je montre à ma cousine comme si je viens de trouver un trésor. Mamie entre aussi dans la chambre en nous entendant rire, et découvre le tissu que je tiens, je pensais tout comme Karine, qu’elle serait choquée de voir ça, mais au contraire, elle en rigole aussi.

Karine : Mamie ça te gêne pas de voir un string ?
Mamie : pourquoi je serais gênée ? Je suis votre grand-mère, d’accord, mais je vis avec mon temps aussi
Karine : tu veux dire que tu portes des strings aussi ?
Mamie : ahaha non, j’ai déjà essayée, mais je ne suis pas à l’aise, par contre Claire en a pas mal, et de très jolie d’ailleurs
Karine : woao Mamie, je ne pensais pas que tu étais à l’aise avec ce genre de choses
Mamie : ahaha, mes chéries, vous avez l’air de penser que je suis une grand-mère stricte et bloquée dans son temps, mais non. Je suis tout à fait au courant de ce qui se fait aujourd’hui, et je suis d’accord avec tous ses changements et ses nouveautés. Que Claire porte des strings, ou qu’elle fréquente pas mal de garçons, c’est bien, c’et sa vie, son temps, qu’elle en profite.
Moi : Mamie tu me surprends beaucoup
Karine : moi aussi j’avoue
Mamie : vous n’êtes pas contente d’avoir une grand-mère comme moi ?
Moi : oh si
Karine : si, si, c’est juste que, je pensais te connaître, et en fait, je découvre une autre mamie ahaha
Mamie : ahaha, mes chéries, vous me faites trop rire

Toutes les trois dans la chambre, nous avons parlées longuement à en oublier que nous faisions le ménage à la base. A toujours écouter nos parents dire qu’il faut ménager papi et mamie, ne pas les choquer avec nos expressions ou nos histoires, nous avions fini par les croire arriérés, mais en fait non. Nous découvrons Karine et moi, une mamie cool, plutôt jeune dans sa tête. Elle n’oublie pas l’éducation qu’elle a eu, ni même ses valeurs, mais elle sait évoluer avec son temps, et accepter les changements de la société actuelle.

Après avoir déjeunés toutes les trois, nous reprenons nos activités là où nous nous sommes arrêtés. Hormis le string retrouvé sous la commode, nous n’avons pas eu de nouvelles surprises. En passant par les autres chambres, nous n’avons rien trouvé d’extraordinaire non plus jusqu’à que dans la chambre d’enfance de ma mère, je trouve un carton rangé au fond de l’armoire.

Je me demande ce qu’il peut contenir, alors je le sors, et l’ouvre. Je suis assise par terre, en regardant le contenu de ce carton, des papiers, mais aussi des photos, et bien que mes souvenirs soient flous, je reconnais mon père. A ce moment là, je reste sans bouger, à regarder une photo et un visage que je n’ai plus revu depuis mes 7 ans. Maman après la rupture, avait mis tout ça dans une boîte, surement pour l’oublier et pouvoir avancer, ce fut un moment très dur à passer pour elle comme pour moi.

Aujourd’hui je ne sais pas où il peut être, s’il est même encore en vie, vue qu’il n’a jamais essayé de reprendre contact ou d’avoir même de mes nouvelles. Je suis toujours assise par terre quand mamie entre dans la chambre, elle s’installe à mes côtés puis me parle doucement de cette photo, que c’est elle qui l’a prise.

Dans le carton il y a d’autres photos de mon père, Mamie me raconte alors quelques histoires du passé, mais au bout du compte, même elle, ne sait pas ce qui à poussé mon père à partir du jour au lendemain. Je finis par ranger toutes ces photos dans le carton, et le remis là où je l’ai trouvé, mais j’en garde au moins une pour moi, la première que j’ai trouvé.
je finis de faire le ménage dans la chambre, c’était la dernière et je me retrouve avec Mamie et Karine pour boire un bon verre de jus après tout cet effort. Au même moment Papi et les garçons arrivent, eux aussi ont beaucoup travaillés à voir la tête que font Anthony et Jordan.

Après ce verre nous sommes tous les quatre partis vers l’annexe en souhaitant pouvoir prendre une bonne douche, je commence à dire que je souhaite y aller la première quand …

Karine : j’y vais la première ! (en levant le doigt vers le ciel)
Anthony : ce n’est pas juste, je suis sûr que nous avons plus travaillé que vous
Moi : pas sûr, vous n’avez pas vu tout le ménage à faire, et j’allais le dire aussi pour la première
Karine : j’ai été plus rapide, donc vous allez attendre
Anthony : vous n’avez qu’à la prendre toutes les deux (en rigolant)
Karine : moi ça ne me dérange pas
Moi : moi non plus
Anthony : vous n’êtes pas cap (l’air malin)
Karine : ok, on prend notre douche ensemble, mais je pari que Jordan et toi n’êtes pas cap (en fixant Anthony)
Anthony et Jordan : euh….
Karine : ah !!! On se dégonfle ?
Anthony : euh … non mais, on gagne quoi alors
Karine : rien, le seul pari c’est que vous n’êtes pas capable de prendre une douche ensemble
Anthony : ce n’est pas juste, il n’y a pas de réel enjeux
Moi : pas faux
Karine : ok, ok, et tu voudrais parier quoi alors ?
Anthony : pourquoi pas vous voir toutes les deux sous la douche ?

A ce moment là, je suis un peu perdue, tout s’enchaine très vite et Karine comme Anthony ne veut pas perdre la face. Ce jeu commence à aller plutôt loin, et je me sens légèrement excitée, prendre une douche avec Karine, et peut-être après devant les garçons. Je ne sais pas encore comment ça va finir, mais une part de moi, souhaite que Karine dise oui…

Karine : ok, ça marche, mais à ma façon
Anthony : c’est-à-dire ?
Karine : tu verras
                          
Je ne sais pas du tout ce qu’elle mijote, mais Karine me prends la main et m’attire avec elle directement dans la douche après avoir pris seulement nos serviettes. Sous les yeux des garçons debout dans le couloir, Karine ferme la porte de la salle de bain et commence à se déshabiller. Je la regarde faire, j’adore voir son corps nue, puis je fais de même.

L’eau coule déjà puis, on se glisse toutes les deux dans la cabine. Je commence à me savonner doucement et je vois Karine prendre son téléphone. Je lui demande alors ce qu’elle fait, et elle me dit qu’elle compte respecter son engagement, mais pas directement devant eux, alors elle a comme idée de prendre quelques photos de nous sous la douche.

Elle commence à en prendre une, puis deux, trois, les photos restent soft dans l’ensemble, on y voit un peu nos seins sans les dévoiler complètement, nos corps de profil. Elle finit par poser son téléphone, tout ça reste excitant pour moi, et doucement je me rapproche d’elle, et tente de l’embrasser. Sans attendre je sens ses lèvres se poser sur les miennes, ça fait longtemps que je ne les aie pas senties, et sous la douche elle me plaque contre le carrelage froid. Sa main vient se poser sur ma poitrine, je ressens un frisson me parcourir le corps pendant que nos langues se mêlent.

Karine recule, me regarde dans les yeux, je vois en elle le même plaisir que je ressens, elle reprend son téléphone en me disant vouloir en faire une dernière. Sur le moment, et vue mon état, je ne peux pas lui dire non, alors elle va poser son téléphone sur le meuble face à la douche, enclenche le minuteur, et me rejoint. Elle me demande de faire comme elle, nous nous mettons de dos à l’objectif, en cambrant légèrement les fesses jusqu’à ce que la photo soit prise.

Au fond de moi je me sens si excitée que je ne voudrais pas que ça s’arrête, mais Karine coupe l’eau, et sort pour se sécher. Je fais la même chose qu’elle, nous n’avons pas pris nos vêtements alors, on s’enroule dans nos serviettes pour sortir de là. Derrière la porte les garçons attendent…

Karine : à votre tour (en rigolant)
Anthony : pas de soucis, on ne va pas se dégonfler
Karine : très bien, vous aurez votre récompense après

La porte se ferme, et on se met à rire toutes les deux en se collant à la porte pour écouter ce qui se passe. On les entend parler, se dire « aller vas y » mais nos rires doivent surement les gêner encore plus. Alors en attendant qu’ils finissent, nous allons nous habiller, puis nous revenons dans le couloir. Quelques minutes après Anthony et Jordan sortent enfin, ils sont un peu gênés de la situation et surtout de nous voir rire comme deux folles.

Anthony en nous voyant habillées, nous demande si nous allons respecter le pari, et Karine lui répond que le pari était de nous voir sous la douche mais qu’il n’avait pas précisé de quelle façon. Alors elle lui tend son téléphone, en lui disant que la récompense se trouve dessus.

Anthony attrape Jordan et tous les deux s’en vont dans une chambre tandis que je suis Karine dans la sienne…

Moi : ahaha tu es complètement folle
Karine : un pari est un pari ahaha
Moi : je me demande comment ça s’est passé sous la douche ahaha
Karine : humm, je pense qu’ils ont dû avoir honte, et qu’ils ont dû se regarder aussi un bon moment ahaha
Moi : ahaha je pense oui, et comparer aussi ahaha. Et là en regardant les photos tu penses qu’ils font quoi ?
Karine : ils doivent surement bander ahaha
Moi : tu es folle, tu dois faire bander ton frère
Karine : …. Ah merde ! Oh purée ! Merde je n’y avais pas pensée, sur le coup à vouloir trop jouer j’ai …. Merde
Moi : c’est vrai qu’on était excitée aussi, et sur le coup on pensait plus à rien

Nous nous sommes regardées dans les yeux, puis nous avons ris tout en étant un peu gênée, surtout pour Karine. De mon côté j’ai trouvé ce jeu amusant, excitant, Jordan m’a déjà vue nue, donc pour lui pas de soucis, mais pour Anthony c’est tout nouveau, et j’aime l’idée qu’il me regarde lui aussi, et qu’il doit bander en voyant nos photos.

Karine récupère son téléphone avant le dîner et efface les photos, puis nous rejoignons nos grands parents pour manger. Pendant le repas, il y a eu des échanges de regards joueurs entres nous quatre, mais pas un mot sur ce qui s’est passé. J’aimerais beaucoup savoir ce qui se passe dans la tête d’Anthony mais aussi de Jordan par rapport à sa sœur…
chapitre 41 image
La soirée se passe normalement, c’est bientôt la fin des vacances ici chez mes grands parents. Maman viendra me récupérer le week-end prochain, je suis d’un côté heureuse de la revoir et de retourner chez nous, mais aussi un peu triste à l’idée de partir.

De retour à l’annexe, je reste avec Karine dans sa chambre comme à peu près chaque soir, nous parlons un peu en attendant de regarder un film tous ensemble, mais aucun des garçons ne vient nous rejoindre. Tout en parlant avec ma cousine je reçois un message de Thierry, je ne l’ai pas encore ouvert mais, je souris déjà rien qu’à l’idée de se voir.

On se donne rendez-vous sur la route d’ici 20 minutes, et je me demande comment m’habiller pour l’occasion. Je demande conseil à Karine, qui regarde dans ses affaires s’il on peut trouver quelque chose qui pourrait plaire, et après 10 minutes au moins à chercher, nous avons finis par nous mettre d’accord.

Karine me fait rire, c’est moi qui a un rendez-vous secret avec Thierry, et c’est elle qui se donne à fond pour savoir comment m’habiller, elle me met aussi un peu de gloss pour la touche finale. Je mets par-dessus ma tenue ma veste comme les autres soirs, en espérant lui faire une belle surprise.

Karine me regarde depuis la porte de l’annexe jusqu’à que je disparaisse dans le noir vers la route. Je vois la voiture arriver, je monte avec Thierry puis nous allons au même endroit que les autres soirs.

Thierry allume la lumière pour me voir tout en me disant « bonsoir », son regard en dit long, il est impatient de voir ce que je lui réserve. Doucement j’ouvre ma veste et la retire, dans mes gestes je finis par dévoiler une petite robe blanche avec quelques motifs fleur, boutonné sur le devant et arrivant à la moitié de mes cuisses.

Thierry : tu es magnifique, vraiment
Moi : merci (timide)
Thierry : c’est une belle surprise que tu me fais là, merci
Moi : je suis contente que ça te plaise, mais ce n’est pas tout
Thierry : oh, tu as prévu autre chose ? Je veux voir
Moi : ahaha tu es impatient, avant tout je vais te poser des questions, et en fonction de tes réponses, je vais voir quoi faire, ok ?
Thierry : d’accord je suis joueur
Moi : ok, donc… je veux savoir, est ce que tu penses à moi après nos rendez-vous ?
Thierry : oui, beaucoup
Moi : développe…
Thierry : hey bien, je repense à nos conversations, les histoires que tu m’as raconté sur toi, ta façon de rire, et …
Moi : et ?
Thierry : ta façon d’être avec moi, nos rendez-vous secrets, qui me donne l’occasion de mieux te connaître et d’en découvrir plus, ce petit jeu auquel on joue…

Tout ce qu’il me dit là me plaît beaucoup, ce petit jeu éveille en moi un plaisir, j’aime son regard, et je veux voir ses yeux se poser sur moi. Alors doucement pendant qu’il me parle, ma main droite vient en douceur au niveau de ma poitrine, je capte son regard sur mon geste, et lentement je viens déboutonner la robe. Je retire juste un bouton, et son regard me fixe, ses mots sont plus espacés, lent…

Moi : alors ce petit jeu te plaît ?
Thierry : oui, beaucoup, je sais que tu es timide d’après ce que tu m’as dis, mais là avec moi tu sembles être une autre fille
Moi : et tu préfères la fille timide, ou celle que tu as devant toi ?

Tout en disant cela de manière timide puis sensuel, j’accompagne mes mots par un geste de ma main qui vient se débarrasser d’un second bouton.

Thierry : je dois dire que j’aime les deux en fait
Moi : humm, ah bon ? Explique moi pourquoi
Thierry : je ne sais pas… j’aime ton côté timide, douce, fragile, mais aussi ce côté de toi qui franchi les obstacles et qui dépasse tes limites et tes craintes…

Il a appris à me connaître effectivement, et ses mots me font beaucoup d’effet en ce moment. Je me sens excitée, mon cœur bat fort et je ressens aussi un frisson dans le corps. Ses yeux fixent les miens en me parlant, et ma main continue son chemin, son action, en retirant à nouveau un bouton.

Ma robe est légèrement ouverte au niveau de ma poitrine, Thierry observe attentivement et remarque que mes seins sont nus sous le tissu blanc, ne cachant presque rien. J’adore voir ses yeux se perdre sur moi, il bouge sur place, ne sachant pratiquement plus comment se tenir.

Moi : tu te sens bien ?
Thierry : oui, j’adore ce que je découvre là, et toi tu te sens comment ?
Moi : très bien, tu veux continuer à jouer avec moi ?
Thierry : avec plaisir, et vu qu’il fait chaud dans la voiture, tu devrais continuer en retirant le bouton suivant (d’un air coquin)
Moi : c’est vrai qu’il fait chaud, tu marques un point donc je te l’accorde plus vite celui là

Je retire le 4ème bouton laissant apparaître mon ventre, mais je lui dis que plus aucun bonus ne lui sera accordé, et qu’il devra me convaincre par ses mots de continuer jusqu’à la fin.

Thierry : ok ahaha, j’adore ce petit jeu, comment tu l’appel ?
Moi : humm saute bouton hihihi
Thierry : ahaha pas mal trouvé
Moi : merci hihi, est ce que tu aimes ce que tu vois là ?
Thierry : j’adore tu veux dire, tu représentes parfaitement l’innocence, la découverte
Moi : l’innocence ?
Thierry : oui ton visage, pure, innocent, et ton corps que je découvre doucement. Tu as une manière d’être en même temps timide et coquine, tu sembles savoir jouer parfaitement de ton charme et pourtant tu ne fais que découvrir ce pouvoir que tu as sur les autres. Tu as tout pour faire chavirer un homme là…

Sa voix résonne en moi, ses mots sonnent comme des échos sans fin, et je me sens si bien, si excitée. Ma main retire le 5ème bouton qui se trouve juste au dessus de mon pubis, ses yeux sur moi sont comme à la recherche de tous les moindres détails. Il ne reste qu’un bouton à enlever, et il aura gagné la partie.

Thierry : humm je me demande ce qui se cache plus bas ?
Moi : ahaha, tu es impatient de le découvrir, mais attention si je ne suis pas satisfaite de ce que tu vas me dire par la suite, je remets un bouton
Thierry : vraiment ?
Moi : oui ahaha c’est le jeu
Thierry : ok, je suis prêt alors pour ta prochaine question, je suis si près de gagner que je m’en mordrais les doigts si j’échoue si près du but
Moi : ahaha tu te mets trop de pressions, mais je compte sur toi et sur ta réponse (d’un air coquin)
Thierry : fiouu … je respire, je suis calme, vas y
Moi : hummm, est ce que… tu me trouves… désirables ?
Thierry : ahaha, sans te mentir, la dernière fois quand on a parlé de ça je te taquinais. Je te trouve désirables depuis le début et là plus encore. Simplement je ne voulais pas paraître bizarre en te le disant de peur que tu me prennes pour un pervers ou autre, mais oui, tu es tout ce qui représente le désir à mes yeux…

Il me parle en baissant les yeux, c’est un aveu sincère qu’il me fait là, il se livre complètement à moi. Il avait peur que je le juge depuis le début, mais au contraire je trouve ça très mignon, et d’un côté, savoir qu’il me désir depuis le début me fait frissonner.

Je savais qu’il avait une façon bizarre de me regarder dès le premier jour, mais je ne l’ai pas pris pour un pervers vu comment il était avec moi, avec nous même.

Moi : je te remercie avant tout pour te confier à moi comme tu le fais, et jamais je ne t’ai pris pour un pervers. Je suis plutôt jeune, oui, mais ta façon de faire et de me parler m’ont mis en confiance, et de là, je ne sais pas comment, j’ai eu envie de découvrir plus, sur toi, et sur moi également

En lui disant cela, il m’a souris timidement, et comme il avait gagné la partie, ma main est descendue en direction du dernier bouton pour lui offrir son trophée. Je retire le dernier bouton et dévoile sous ses yeux une petite culotte en dentelle que j’avais achetée au début de mes vacances. Ma culotte est de couleur bleue, très petite et la dentelle laisse transparaître ma peau au travers, mais la lumière du plafonnier est trop faible pour que Thierry puisse voir ces petits détails.

Moi : tu n’es pas trop déçu ?
Thierry : non pas du tout, au contraire, mais pourquoi déçu d’abord ?
Moi : tu pensais peut-être que je serais nue sous ma robe
Thierry : je ne cache pas que j’y ai pensé, mais ce spectacle que tu m’offres me va tout à fait
Moi : ahaha tu as gagné oui, et j’ai perdu
Thierry : oh désolé, c’est le jeu ahaha, mais tu peux avoir un prix de consolation si tu veux
Moi : ah bon ?
Thierry : oui, ce que tu veux
Moi : ok…. je voudrais…que tu m’embrasse

Sans plus attendre Thierry se penche vers moi et dépose ses lèvres sur les miennes, c’est très différent de ce que j’ai pu expérimenter avec Karine. Quand il m’embrasse je me sens comme attirer, sans défense, sa présence sur moi est impressionnante, son goût, son odeur, vraiment tout est différent.

Thierry s’arrête et recule, il me demande si j’ai aimé ce prix de consolation. Je reste un moment sans voix, dans ma tête, j’ai beaucoup d’informations nouvelles à gérer, et je lui réponds que j’aime beaucoup mon prix, et que je souhaite être consolée à nouveau.

Il vient de nouveau vers moi, passe sa main sur le côté du siège qui s’abaisse, je m’allonge doucement, pendant que Thierry m’accompagne dans la descente tout en m’embrassant. J’adore ses lèvres, je sens une force dans sa façon de faire, il faut dire que j’embrasse pour la première fois un homme, et qu’il a sans doutes pas mal d’expérience.

Mon cœur bat fort, je me sens vulnérable face à lui, et pourtant en toute sécurité. Ma robe est plus ouverte, et ne cache plus rien de mes seins. Thierry se redresse, me regarde en détaillant le contour de mes seins, mes tétons, sa main vient se poser sur le côté de mon ventre en me caressant doucement.

Thierry : je peux te toucher ?

Je le regarde, il est là au dessus de moi pleins de désir, et je lui réponds « oui », tout en lui prenant la main pour la poser sur mes seins. Sa main est ferme, puissante, et mon corps si fragile à ce moment là, tandis que mes lèvres sont de nouveaux en contact avec les siennes. Je m’agrippe à lui en glissant mes mains dans son dos, pour ne plus qu’il ne s’échappe.

Mon corps est parcouru par une vague de plaisir, et mon entre jambe souhaite aussi avoir le droit aux mêmes caresses que mes seins. Je repousse légèrement Thierry, voulant lui dire que je souhaite sa main autre part sur mon corps, quand j’ouvre les yeux et que je vois une lumière plutôt forte.

Ce sont les phares d’une voiture, qui en faisant un demi tour sur le même chemin isolé, nous éclaire un bref instant avec de stopper toute manœuvre. Thierry se redressa, éteint la lumière du plafonnier et démarre la voiture, pour commencer à rouler dans le noir total, avant d’allumer ses feux plus loin.

Pendant qu’il roule, je remets de l’ordre dans ma tenue, mon cœur bat très fort, et je tremble légèrement à en rigoler. Thierry se mets à rire aussi pour décompresser de ce moment, le conducteur allait surement venir vers nous pour voir ce qui se passait, et je ne veux pas imaginer ce qui serait arrivé s’il nous avait surpris dans la voiture.

Nous arrivons chez mes grands parents, tout est calme et aucune lumière allumée. Je rigole doucement encore de notre mésaventure…

Thierry : dommage qu’il y ait eu cette voiture
Moi : oui dommage, j’allais te demander quelque chose
Thierry : ah bon ? Quoi ?
Moi : je voulais sentir ta main me toucher autre part, tellement j’étais excitée hihi
Thierry : ah oui, en effet, dommage. Mais je peux le faire là si tu veux
Moi : ahaha non pas ici, désolée, surtout qu’on a évité de justesse de se faire surprendre, je ne voudrais pas que ça arrive ici, et maintenant
Thierry : c’est vrai tu as raison, je suis impatient
Moi : une prochaine fois peut-être
Thierry : j’ai le droit de te voir une dernière fois ?
Moi : non n’allume pas la lumière
Thierry : d’accord, je vais prendre mon mal en patience

J’écourte très vite notre conversation, sachant que l’on peut rester là encore des heures à parler, et je sors de la voiture en lui souhaitant bonne nuit. Je ne voudrais pas qu’on nous surprenne, surtout après ce qui s’est passé, mais je suis triste d’un côté de ne pas le satisfaire. Alors je lui dis d’attendre une seconde en revenant vers sa portière, debout devant lui dans le noir, je glisse mes mains sous ma robe, de chaque côtés de ma culotte et la retire pour la lui offrir. Puis je l’embrasse une dernière fois en lui souhaitant de beaux rêves avec ce petit cadeau.

Il ne sait plus quoi dire, je me retourne et commence à marcher en direction de la maison. Ses phares éclairent ma route, je sais qu’il me regarde toujours, alors avec mes mains je relève à peine le bas de ma robe pour lui laisser une petite vision sur mes fesses.

Je regagne l’annexe en pensant que tout le monde dort, il est pratiquement minuit, mais je découvre que Karine est dans ma chambre et qu’elle m’attend. En me voyant rentrer dans ma chambre elle me demande directement ce qui c’est passé, je ne suis pas encore fatiguée, ni elle, alors je lui raconte tout.

Nous sommes toutes les deux dans mon lit pendant que je lui dis tout, et arrivé à la fin de mon histoire, nous commençons à être très fatiguées. Elle vient se coller tout contre moi, me dit que je la surprends complètement, surtout me connaissant et finissons par nous endormir ainsi…
 
chapitre 42 image
Trois jours se passent, je profite au maximum du peu de temps qu’il me reste ici. Notre programme n’a pas vraiment changé, parfois quelques travaux, la rivière ou un tour à la ville. J’aimerais passer parfois du temps avec Karine seule, ou alors Jordan avant la fin de la semaine, mais j’aimerais aussi revoir Thierry.

Je n’ai pas encore expérimenté beaucoup de choses, mais j’apprends doucement de mes désirs et du plaisir que je ressens. Mais il est difficile de se retrouver seule, avec l’un d’entres eux pour m’amuser et me laisser aller.

Après le dîner, peu avant de nous mettre un film, Jordan vient me voir dans ma chambre, me donne un mot et repart aussitôt. Je regarde le bout de papier, il veut me voir seule, mais ne sait pas quand, et comment faire. Je souris dans ma chambre en lisant ce bout de papier, il est trop mignon, alors j’écris aussi un message que je lui passe avant de rejoindre Karine.

Vu le peu de temps qu’il nous reste ici, et que la journée nous sommes pas mal occupés, je lui propose de se voir cette nuit, en espérant de mon côté que Thierry ne m’envoi pas de message non plus.

Tout le long du film je jette un œil vers Jordan, son sourire en dit long sur son désir, et je dois dire que j’attends la fin avec impatience. A la fin du film, Jordan regagne très vite sa chambre en fermant la porte, Anthony fait de même et moi je mets mon plan à exécution.

Je n’ai pas vraiment eu le temps d’organiser tout ça, mais comme je reste souvent à parler avec Karine une fois le film terminé, il me fallait une bonne excuse pour pouvoir m’éclipser d’ici sans qu’elle me pose trop de question.

Alors c’est très simple, Jordan est normalement déjà sorti de sa chambre par la fenêtre pour m’attendre dehors, et moi je fais semblant de recevoir un texto de Thierry pour que je puisse partir.

Je me prépare comme si j’ai réellement rendez-vous avec Thierry, je m’habille d’une petite robe légère comme celle de l’autre soir, et Karine voulant que ma soirée soit la plus coquine possible me conseil de ne pas mettre de sous vêtements. L’idée m’excite plus que je ne le suis déjà, et sans plus attendre je quitte Karine, qui me souhaite une belle soirée, et me dirige vers la route.

Normalement elle ne devrait pas se rendre compte que son frère est absent, puisque Jordan passe ses fins de soirées dans sa chambre à jouer au jeu. J’arrive sur la route, et Jordan y est déjà, il a prit avec lui un sac et une torche, puis nous nous dirigeons tous les deux vers la cabane de maman. Elle est bien isolée, et n’est qu’a quelques minutes de marche.

Nous marchons tous les deux dans le noir, sur le chemin menant à la cabane, et il me demande ce que j’ai pu raconter à Karine pour qu’elle me laisse partir seule au beau milieu de la nuit. Je ne sais pas vraiment quoi lui dire, alors je dis tout simplement que ça m’est arrivée plusieurs fois de sortir la nuit pour marcher, et me retrouver seule.

Bien sûr j’ai eu le droit à pas mal d’inquiétude de la part de Jordan sur mes fausses sorties nocturne. Mais je le rassure en lui disant que je ne vais jamais très loin de la maison et que je fais très attention.

Nous arrivons à la cabane, Jordan grimpe le premier et me demande d’attendre un instant. Je ne sais pas ce qu’il fait en haut, je l’entends seulement bouger, et après quelques minutes à attendre dans l’obscurité, je vois la lumière et sa main qu’il me tend pour m’aider à monter.

Quand j’entre dans la cabane, je découvre qu’elle est illuminée par quelques bougies posées au sol, et qu’il a installé au milieu une couverture. C’est très romantique, je suis très touchée par ce que Jordan à préparé pour nous.

Moi : c’est trop beau Jordan, j’adore
Jordan : c’est vrai ? Désolé d’avoir demandé à te voir comme ça, mais la fin des vacances approche et je voulais te voir seule au moins une dernière fois
Moi : ne sois pas désolé, moi aussi je voulais te voir seul une dernière fois, et oui j’adore ce que tu as préparé là. D’où viennent les bougies ?
Jordan : oh, mamie laisse des bougies et des allumettes dans les chambres en cas de coupure de courant, j’ai pensé que ce serait bien pour nous
Moi : tu as très bien fait

Jordan m’attrape par la main et me guide jusqu’à la couverture, nous sommes assis tous les deux et il semble un peu nerveux, comme s’il cherchait quelque chose

Moi : tu cherches quelque chose ?
Jordan : en fait, je voudrais savoir… si je peux t’embrasser ?

Il est si doux, et si mignon dans sa façon de faire avec moi, et au fond de moi je le voulais aussi, alors j’approche doucement mes lèvres des siennes et l’embrasse tendrement. Il s’écarte un moment, il me regarde dans les yeux, et vient m’embrasser à nouveau en m’enlaçant dans ses bras.

Jordan est un peu maladroit, c’est la première fois qu’il embrasse une fille, et je me sens honorée de lui faire découvrir tout ça. Je lui dis de se calmer un peu et de se laisser faire, puis ce baisé devient très vite plus doux. Je lui demande de retirer ses vêtements, j’adore le voir se déshabiller et voir son sexe apparaître devant moi. Je retire également ma robe, et il est surpris de voir que je ne porte pas de sous vêtements.

Nous nous allongeons et reprenons notre baisé, nus l’un contre l’autre en nous caressant tendrement, nos langues tournent ensemble parfois de façon maladroite, mais ce moment reste tout de même très doux. Je suis allongée sur le dos, Jordan se trouve au dessus de moi et comme avec Thierry, je me sens à la fois vulnérable, fragile, et en même temps en toute sécurité.

Jordan aime me regarder par moment, je suis totalement nue, allongée, comme offerte. Je lui prends la main et la place sur mes seins, Jordan inspire longuement, et je lui dis que tout va bien, qu’il peut me caresser la poitrine. Ces gestes sont un peu brusque, mais je le guide, le conseil, puis il se calme et commence à me caresser comme il faut. Sa main sur ma poitrine me procure beaucoup de plaisir, tout comme ses lèvres qui viennent m’embrasser mais aussi s’occuper de mes seins.

Sa langue tourne sur mes tétons, il les embrasse, les aspire par moment ce qui me laisse échapper un gémissement. Tout comme sa sœur, il est très coquin quand il s’agit de s’occuper de mes seins. Je lui caresse les cheveux pendant qu’il fait tourner sa langue sur ma poitrine, je ferme les yeux tout en me laissant bercer par ce plaisir.

Puis doucement je sens sa main se poser sur mon ventre, descendre doucement sur ma cuisse, puis vers l’intérieur. J’ouvre les yeux, Jordan me regarde comme pour attendre mon autorisation…

Moi : tu peux me toucher là aussi, si tu veux…

Je referme les yeux pour savourer ce moment, sa bouche devient presque experte sur ma poitrine tandis que sa main remonte à l’intérieur de ma cuisse. Il y est presque, j’écarte légèrement ma jambe pour lui faciliter le passage, puis je sens ses doigt venir au contact de mon sexe humide.

C’est comme un électrochoc pour moi, un courant me parcoure le corps depuis mon entre jambe, et me fait frissonner de plaisir. Ses doigts me caressent les lèvres, mon sexe est déjà bien humide et je le vois découvrir cette sensation. Il me regarde, surpris de ce qu’il découvre et je me redresse pour lui prendre la main et le guider où je veux qu’il me caresse.

Moi : pose tes doigts ici, et fait les tourner doucement
Jordan : comme ça ?
Moi : oui, continue….hummm c’est trop bon

Je guide Jordan dans chaque moment, il y va doucement, parfois de manière maladroite, mais je le reprends, et il apprend vite. Ses gestes sont plus sûr, plus précis, mon cousin devient très bon dans la manière de me toucher.

Moi : humm… oui continue, vas plus vite… voilà… comme ça, t’arrête pas…

Je relève mes jambes tout en les écartant, la main de Jordan me donne tant de plaisir que ma respiration s’accélère, je sens de plus en plus monter en moi le plaisir. Je lui dis d’accélérer encore, c’est la première fois pour moi que je ressens du plaisir de la main d’une autre personne, et je dois dire que j’adore ça, le fait de ne pas pouvoir contrôler ses gestes, de ressentir le plaisir grandir en moi sans que je me caresse.

Je ne tiens plus, Jordan me caresse de plus en plus vite tout en me regardant, ma respiration est intense, je gémis de plus en plus fort à chaque mouvements de ses doigts sur mon clitoris.

Moi : oui, oui, oui, OUI, OUIIII……… hummm HUmmmmm

Je viens de jouir si fort, heureusement que nous sommes à l’écart dans cette cabane, car je pense que je n’aurais pas pu me retenir de gémir comme je l’ai fait là. Mon corps frissonne, tant le plaisir est grand, je regarde Jordan, il est à la fois inquiet et content de m’avoir fait jouir ainsi.

Jordan : tu vas bien ?
Moi : oui… c’était incroyable… merci

Je suis restée un moment ainsi, à le regarder, à lui dire à quel point il a été doux et très bon. Jordan est fier de lui, fier de m’avoir fait jouir, et il est là devant moi, encore surpris de ce qu’il découvre. Je me redresse, puis ma main se pose sur son torse pour le pousser lentement jusqu’à qu’il soit allongé.

Je me rapproche de lui, je le regarde dans les yeux et lui dis que c’est à mon tour de lui faire plaisir. Je l’embrasse un instant, puis je pose ma tête sur son torse en dirigeant ma main vers son sexe bandé. Depuis quelques temps je cherche à connaître cette sensation, surtout depuis que j’ai vu le sexe de Jordan.

Doucement ma main se pose sur son sexe, mes doigts viennent se positionner autour de cette colonne de chair, et je découvre ce que ça fait de tenir un sexe dans ma main. C’est chaud, doux, la peau est lisse, et ma main semble glisser toute seule sur son sexe. Ma tête sur le torse de Jordan, j’entends son cœur battre, sa respiration se bloquer lorsque j’ai saisie son sexe, et son souffle devenir rapide lorsque j’ai commencé à appliquer un vas et viens de la main.

Son sexe est dur et doux en même temps, je me demande encore comment cela est possible, ma main glisse toujours avec autant de facilité, et parfois je passe par-dessus son gland. Je découvre un liquide transparent, qui une fois étalé sur ma main, m’aide à mieux glisser. J’entends les gémissements de Jordan, jusque là, il ne m’a rien dit, je pense que je me débrouille pas mal.

Mes vas et viens sont lents, je prends le temps de ressentir chaque centimètres de son sexe glisser entres mes doigts, puis j’accélère un peu. Jordan gémit un peu plus, et je vois par moment ses jambes bouger, se tendre, puis se plier.
J’accélère encore mes vas et viens, et sans que je m’y attende, je sens son sexe se gonfler et saccader en éjectant plusieurs jet de spermes se déposant sur son ventre et aussi très près de mon visage. Jordan jouie dans un long râle, avant de sentir son souffle devenir lent et son cœur battre fort.

Je suis surprise, mais contente de lui avoir donné ce plaisir, d’avoir découvert toutes ces nouvelles sensations. Je me relève et le regarde reprendre son souffle…

Moi : j’étais comment ?
Jordan : parfaite….rien à dire… je suis…
Moi : hihihi, calme toi, respire

Je m’allonge tout contre Jordan, et je savoure le moment que nous venons de passer. Après avoir repris ses esprits, il prend une petite serviette pour s’essuyer, et sort une bouteille d’eau de son sac. Il fait chaud, et ça fait énormément de bien de boire, il a vraiment pensé à tout.

Nous parlons de tout ce que nous venons de faire, de découvrir, les sensations de chacun, et le plaisir ressenti. Nous sommes toujours nus, allongés, et nous ne sommes pas du tout pressés de rentrer, au contraire, l’un comme l’autre, nous voulons que ce moment dure à jamais.

Je me redresse pour boire à nouveau, et Jordan vient se placer derrière moi. Il me dit à l’oreille de ne pas bouger et de me laisser faire, alors doucement je sens ses lèvres se poser sur mon cou. Il m’embrasse avec beaucoup de douceur, ses lèvres glissent de mon cou jusqu’à mon épaule, ce qu’il me fait là est électrisant.

Ses mains passent de chaque côté de mon corps, pour venir se poser sur mes seins et les caresser. Je ferme les yeux, ce moment est magique, son corps derrière moi, je ressens son sexe dans mon dos tandis que ses mains descendent lentement jusqu’à arriver à mon entre jambe.

Ses doigts savent où se positionner, et voilà mon clitoris pris d’assaut par des mouvements devenu plus sûr, et plus expert que la première fois. Jordan est toujours débutant, mais il apprend vite, et il fait de son mieux pour me donner du plaisir, et quel plaisir. Je suis assise entres ses jambes, une main qui s’occupe de mes seins, tandis que l’autre s’affaire à caresser mon sexe humide.

Je sens le plaisir devenir plus intense, je gémis depuis le début de ses caresses, et ça ne fait que s’intensifier. Je bascule ma tête en arrière tout contre lui, ses doigts entres mes jambes ne s’arrêtent pas, il les insère par moment dans ma fente, puis revient sur mon bouton. Je n’en peux vraiment plus, je me retiens depuis un bon moment, mais je sens que je vais céder, je sens mon plaisir monter de plus en plus fort.

Et dans un long gémissement, je me libère totalement entres les mains de mon cousin, jusqu’à ne plus pouvoir me contrôler, et laisser mon corps retomber sur Jordan.

Mon souffle est court, mon cœur va bientôt finir par me lâcher s’il continue ainsi. Jordan continue de déposer ses lèvres dans mon cou, pendant que je reprends mes esprits, puis je tourne la tête pour que nos lèvres viennent se trouver.

Je me retourne vers lui, tout en continuant de l’embrasser, il bascule légèrement en arrière et se tient sur ses coudes, pendant que je m’installe au dessus de lui. Je saisie son sexe de nouveau tendu devant moi, et commence à le masturber comme la première fois. Le voir ainsi à ma merci, m’excite beaucoup, je l’embrasse toujours, tout en appliquant un vas et viens lent et ferme sur son sexe.

Doucement mes lèvres quittent les siennes, je l’embrasse dans le cou, puis le torse. Je continue ma descente sur son ventre, puis plus bas avant que Jordan pose sa main sur ma joue en me regardant.

Moi : laisse-moi faire…

Et là sous ses yeux me fixant, je dépose mes lèvres sur son sexe, lui procurant un sursaut. Je dépose à plusieurs reprises mes lèvres un peu autour de son sexe, puis son gland que je finis par introduire, lentement dans ma bouche. Jordan frissonne de sentir son sexe être aspiré, et moi je découvre un nouveau plaisir.

Je débute dans ce domaine, mais la découverte est particulière, l’odeur, le goût de son sexe, tout est nouveau pour moi. Je remonte mes lèvres vers son gland, puis introduis son sexe de nouveau dans ma bouche. Les gémissements de Jordan m’encourage, je commence mes vas et viens le long de son sexe, qui glisse parfaitement dans ma bouche. A chaque introduction de son pénis, ma langue se plaque, son sexe frotte à l’intérieur de mes joues, et son goût qui au début me paraissait bizarre, devient petit à petit délicieux. Je me sens toute excitée par cette nouvelle pratique, aussi je me caresse pendant que je suce lentement Jordan.

J’accélère un peu ma fellation, mais je ne suis pas encore tout à fait à l’aise, mais je fais du mieux que je peux pour faire plaisir à mon cousin qui n’en finit plus de gémir. Jordan finit par m’arrêter car il ne peut plus tenir, je suis fière de l’avoir emmené jusque là, mais je ne suis pas encore tout à fait prête à recevoir sa semence dans ma bouche.

Je suis si excitée par toute cette situation, que je veux jouir à nouveau. Je remonte vers Jordan en le plaquant au sol, puis me positionne sur lui, afin de faire glisser mon sexe tout contre le sien. Je commence alors un mouvement de bassin tout contre son sexe tendu, mes mains posés sur son torse le plaque, le dominant complètement.

Cette fois ci, je me sens forte, dominante envers mon cousin. Son sexe est tendu, il glisse parfaitement contre le mien. Je me fais plaisir à ma manière, et je compte bien aussi faire jouir Jordan en me frottant ainsi. Nos gémissements ce font de plus en plus fort, ma respiration s’accélère tout comme mes mouvements de bassin.

Jordan : je ne tiens plus, je vais lâcher
Moi : moi aussi, moi aussi, hummm

Au moment même où je sentie mon orgasme me parcourir le corps, je sentie le sexe de Jordan saccader entres mes lèvres, en déversant plusieurs jets de sperme sur son ventre. Nous avons jouie en même temps, et le plaisir en est plus grand.

Dans ma tête tout se bouscule, je ne sais plus où je suis, je sais seulement que je veux m’allonger à côté de Jordan pour reprendre mes esprits. Cette cabane à quelque chose de particulier quand j’y pense, elle a abrité ma mère et sa cousine pendant leurs premières expériences, et aujourd’hui elle fait de même pour moi. Après quelques minutes, Jordan se redresse, prend la serviette pour se nettoyer. Je me redresse aussi pour boire et l’embrasser à nouveau, mais il se fait tard, et après tout ce plaisir partagé, je sens que la fatigue me gagne.

Jordan s’habille et range les affaires dans son sac pendant que je remets ma robe, puis nous sortons de la cabane. Le chemin du retour se fait pratiquement en silence, sans doute perdus dans nos pensées. Avant de nous séparer Jordan m’embrasse une dernière fois, il me remercie pour ce moment magique, et je lui dis qu’il en est de même pour moi.

Nous nous quittons en nous souhaitant bonne nuit, Jordan regagne sa chambre par la fenêtre, et moi je rentre dans l’annexe par la porte. Il est pratiquement 1H du matin, heureusement pour moi Karine est dans sa chambre et semble déjà dormir. De mon côté, je n’ai plus de force, j’entre dans ma chambre et m’écroule dans mon lit en pensant bien sûr à cette magnifique soirée…
chapitre 43 image
En me réveillant ce matin je repense à ma nuit passée avec Jordan, au plaisir que j’ai pu ressentir et que j’ai pu lui offrir aussi. Il est pratiquement 10H lorsque je sors de mon lit, pour aller prendre mon petit déjeuner sur la terrasse.

Je retrouve Karine et les garçons à table, ils ont terminés de manger, et ont l’air en pleine forme à part moi. Même Jordan est très bien réveillé, moi je ne dois pas ressembler à grand-chose avec ma tête ce matin.

A 13H les garçons sont partis aider papi, pendant que dans ma chambre Karine me demande tous les détails de ma soirée. Je lui raconte tout, sans rien lui caché, hormis le fait que la personne avec qui j’étais hier soir n’était pas Thierry, mais son frère. Karine est toute souriante en écoutant mon histoire et elle me dit également que ça la titille un peu en imaginant la scène.

Au retour des garçons nous partons vers la rivière profiter du reste de la journée. Avec Jordan, j’échange quelques regards coquins, comme une envie commune de recommencer, mais je garde quelques distances de peur d’éveiller des soupçons.

Sur le chemin du retour vers la maison, Anthony tente de nous taquiner en nous demandant si Karine et moi allons prendre une douche ensemble.

Karine : arrête de fantasmer mon cousin, il n’y aura pas d’autres photos. Je sais maintenant, que vous êtes capable de prendre une douche tous les deux
Anthony : on peut parier autre chose
Karine : dis toujours
Anthony : une course jusqu’à la maison, et la récompense une photo
Karine : humm ok, mais vous nous laissez de l’avance
Anthony : 10 secondes
Karine : 20
Anthony : 15 pas plus
Karine : ok, vas pour 15

Je ne me sens pas du tout prête, je ne suis pas douée pour le sport, et pour moi courir, ce serait plus pour survivre, fuir quelque chose plutôt que pour un pari. Mais le départ est lancé, Karine et moi courons comme deux folles en essayant de prendre le plus d’avance possible. Je ne sais pas si nous avons dépassées nos 15 secondes d’avances, mais j’entends derrière nous les garçons courir pour essayer de nous rattraper.

Nous sommes à quelques minutes de la maison, mais la fatigue commence à avoir raison de moi. Karine m’encourage du mieux qu’elle peut, mais j’entends bien dans sa voix qu’elle est fatiguée aussi. Nous sommes rattrapés par les garçons, et sans pouvoir y faire quoi que ce soit, ils ont gagnés cette course haut la main.

Inutile de continuer à courir, je suis complètement essoufflée, Karine également, et les garçons font une danse de victoire pour nous narguer. Je tente de reprendre mon souffle pendant que Karine demande quelles photos nous devons faire toutes les deux.

Anthony lui chuchote à l’oreille les photos que nous devons prendre, et à la tête de Karine ça semble assez coquin. Après avoir repris mon souffle, Karine m’attrape par la main pour nous rendre dans la salle de bain.

L’eau coule sur mon corps, et ça me fait vraiment trop du bien surtout après avoir couru comme ça. Karine prend son téléphone en faisant attention de ne pas le mouiller, et elle me demande de l’embrasser pour la première. Je suis surprise qu’Anthony lui ai demandé ça, mais je me sens excitée à l’idée d’embrasser ma cousine encore une fois. Nos lèvres se retrouvent, s’enlacent dans un baisé passionné pendant qu’elle prend la photo. Pour la seconde photo, Karine se baisse légèrement et vient déposer ses lèvres sur mon sein, et je ressens un frisson que je commence à bien connaître maintenant.

La photo est vite prise mais Karine continue ce qu’elle me fait pendant un instant, et elle est très douée je dois dire, tout comme son frère. Pour la 3ème photo, elle se positionne à genoux devant moi, je crois comprendre quel genre de photo est la suivante. Karine approche son visage de mon intimité, elle me demande de relever légèrement la cuisse pour dissimuler mon sexe sur la photo, et en même temps un peu son visage.

J’ai le souffle qui s’accélère en la voyant s’approcher un peu plus, et tout en me regardant dans les yeux, elle tend sa langue vers moi. Elle est si proche, mon cœur raisonne dans ma poitrine, la photo est prise et Karine se relève.

Nous éclatons de rire toutes les deux sous la douche, mais dans ma tête je suis un peu perdue, elle était si proche de mon sexe, dans son regard je sentais un réel désir. Je me fais peut-être des idées, mais en tout cas cette douche m’a donné très chaud. Dommage que cette douche ne se termine comme ça, mais en même temps, les garçons sont juste derrière la porte, et si Karine avait continuée, je n’aurais sans doute pas pu me retenir de gémir.

Nous sortons de la douche, les garçons attendent, je suis à la fois timide et excitée devant eux. Des deux, c’est Anthony qui semble le plus impatient de découvrir les photos. Karine passe son téléphone, et les garçons s’en vont directement les regarder dans une chambre.

Je préfère aller dans ma chambre, j’ai besoin de me calmer et d’être seule, car si je reste avec Karine, je pense que je vais surement perdre le contrôle. Une heure après, juste avant de rejoindre la terrasse pour dîner, je vois Anthony sortir de sa chambre, pour rendre le téléphone de Karine.

Le dîner se passe normalement, plus tard, pendant le film avec Karine et les garçons, je reçois un message de Thierry. J’attendais son message avec impatiente, je voulais le revoir encore une fois au moins. Je lui donne rendez-vous sur la route vers 22H30 une fois que le film sera fini, et que les garçons seront dans leurs chambres.

Je suis déjà toute excitée à l’idée de le voir, je ne suis plus du tout le film, dans ma tête je me demande quelle tenue je pourrais bien mettre. Après le film, les garçons regagnent leurs chambres, et je demande à Karine de me prêter quelque chose pour ce soir.

J’enfile comme toujours ma veste sur moi pour lui faire la surprise, même si je sais maintenant qu’il me trouve désirable, j’adore ce petit jeu entre nous. Je vois sa voiture arriver, je ne perds pas de temps pour monter, mais j’ai un doute sur le petit chemin où nous allons d’habitude.

Il me dit connaître un autre endroit, et il roule jusqu’à prendre une petite route barré par un portail. Il sort de la voiture et ouvre la grille avec une clé, et au bout de ce chemin se trouve une vieille grange. Il se gare derrière la grange, la voiture est très bien cachée, et il allume la lumière.

Thierry : J’adore voir ton visage, tu es trop belle
Moi : tu vas me faire rougir (toute souriante)
Thierry : personnes ne vient par ici, tu peux être tranquille
Moi : comment tu le sais ?
Thierry : c’est le terrain privé d’un ami, j’ai la clé car je viens ici pour entretenir le terrain de temps en temps
Moi : mais il y a que cette vieille grange ?
Thierry : non il y a une maison plus loin, mais il ne vit pas ici
Moi : je peux me mettre à l’aise alors ? (sourire coquin)
Thierry : oui vas y

J’enlève ma veste, comme d’habitude Thierry me regarde en souriant, sans en louper une miette, pour découvrir ma tenue de ce soir. J’ai demandée à Karine de me prêter son maillot de bain, celui avec les nœuds.

Thierry : humm tu es à tomber
Moi : merci
Thierry : tu portes de moins en moins de tissu sur toi
Moi : parce que je sais que ça te plaît hihi
Thierry : c’est vrai ahaha, mais on ne pourra pas jouer à saute bouton avec ce maillot
Moi : non c’est vrai, mais j’ai un autre jeu en tête (en me mordant la lèvre)
Thierry : humm ah bon ? Explique-moi
Moi : c’est très simple, répond d’abord à ma question. Tu as aimé m’embrasser l’autre soir ?
Thierry : j’ai adoré tu veux dire, tes lèvres sont si douce et pure
Moi : humm ahah coquin, tu commence fort
Thierry : je ne dis que la vérité, et je veux gagner aussi ahaha
Moi : alors tu as le droit de venir tirer sur la ficelle de mon haut

Je me positionne de dos pour lui faciliter la tâche, sa main en contact avec ma peau me donne déjà des frissons. Je sens le nœud du maillot se défaire, le haut se relâche complètement. Je me replace devant lui, le haut ne tient que par la ficelle autour de mon cou, mais commence à dévoiler un peu plus mes seins.

Thierry : j’adore ce jeu
Moi : hihihi moi aussi… la dernière fois en voyant mon corps, tu te sentais comment ?
Thierry : j’étais je l’avoue, très excité, et là encore ce soir j’ai du mal à me retenir
Moi : hummm, hihi retire mon haut

Je me retourne encore une fois, sa main défait le dernier nœud qui retenait mon haut de maillot et le voici qui tombe dans mes mains. Je me retourne en cachant de mes mains mes seins, alors que Thierry garde le haut du maillot avec lui comme trophée.

Thierry : pourquoi tu ne retire pas tes mains ? (d’un air coquin)
Moi : je suis joueuse hihi
Thierry : d’accord ahah, je suis impatient de découvrir la suite
Moi : ok, hihi… as-tu aimé mon petit cadeau quand je t’ai quitté ?
Thierry : j’ai été très surpris quand tu m’as donné ta petite culotte, et pour sûr, j’ai aimé ton cadeau, d’ailleurs je l’aime toujours
Moi : hihihi, on dirait que tu sais exactement ce que je veux entendre, hihi… Tu peux défaire le nœud sur le côté

Il approche sa main sur le côté de mon maillot, et défait doucement le nœud. Je frissonne encore plus, je sais que je suis déjà bien excitée et lui aussi, alors je continue

Moi : ça te plaît jusque là ?
Thierry : terriblement oui
Moi : la prochaine question, as-tu remarqué ce j’ai fait quand je suis partis ?
Thierry : oui, j’ai adoré ta manière de marcher, et de me dévoiler à peine tes petites fesses, j’en garde un très bon souvenir d’ailleurs
Moi : hihi, tu m’observes très bien, tu as le droit de décaler un peu mon bas de maillot

Il m’a regardé dans les yeux comme pour être sur de ce qu’il a entendu, en me voyant sourire, sa main s’est avancé vers le bas de maillot. Il a pris une ficelle de deux doigts, la poser sur mon ventre, puis à fait glisser le bout de tissu pour en dévoiler un peu plus, jusqu’à que je lui dise stop.

Mon cœur bat très fort, je fais durer le jeu au maximum, je suis tellement excitée déjà.

Thierry : tu me torture là ahaha
Moi : je sais, mais pour moi aussi c’est dur hihihi
Thierry : ah je ne suis pas le seul alors, ahaha
Moi : une dernière question… qu’as-tu fais avec ma culotte ?
Thierry : euh…
Moi : tu peux me le dire, vas y (sourire coquin)
Thierry : en te voyant partir vers la maison, je n’ai pas pu m’empêcher de la porter à mon visage pour la sentir…
Moi : mon odeur te plaît ?
Thierry : complètement
Moi : et c’est tout ?
Thierry : non… une fois chez moi, je me suis branlé en la reniflant encore, et en la regardant
Moi : hummmm… décale doucement le maillot (en me mordant la lèvre)

Sa main se rapproche lentement, ma respiration est plus prononcé, il attrape doucement le tissu comme s’il était fragile et le décale. Il commence à apercevoir mon pubis complètement lisse, puis une lèvre se dévoile à peine, quand je lui dis stop.

Thierry : oooh, snif, tu avais dis la dernière question non ?
Moi : c’est vrai oui, mais je veux savoir, est-ce que tu veux m’embrasser ?
Thierry : oui, bien sur, j’en ai envie depuis que tu es monté dans la voiture

J’éteins la lumière dans la voiture, on se retrouve tous les deux dans le noir, puis je défais le dernier nœud du maillot pour me retrouver complètement nue. Cette sensation de me retrouver ainsi sans le moindre vêtement juste à côté de lui dans le noir m’excite terriblement.

Moi : je suis toute nue
Thierry : hummm c’est vrai ?
Moi : oui… recule un peu ton siège

Thierry ne comprend sans doute pas mon intention, mais une fois son siège reculé, je passe de son côté en le chevauchant. Je place mes mains sur chaque côté de son visage et dépose mes lèvres sur les siennes. Pendant ce temps, ses mains viennent se poser dans mon dos, il me caresse doucement, et sa façon d’embrasser est viril.

Très vite j’attrape ses mains pour les placer sur mes seins, je suis parcouru d’un tel plaisir. Nous nous embrassons pendant un long moment, ses mains parcourent mon corps jusqu’à se poser sur mes hanches. A présent mon entre jambe est complètement humide, et je me fais plaisir en me frottant contre Thierry.

Moi : je sens très bien ta bosse
Thierry : tu veux me toucher
Moi : oui sors là

Sans plus attendre Thierry ouvre son pantalon, et l’abaisse comme il peut jusqu’à être à l’aise pour sortir son sexe bandé. Dans le noir je glisse ma main vers le bas, je trouve son sexe très dur, il semble plus gros que celui de Jordan, et je commence à le masturber doucement. Je l’encourage à me toucher également, une main se pose sur ma fesse droite, tandis que l’autre passe par-dessous pour me caresser les lèvres.

Ses doigts trouvent l’entré de mon vagin, et y glissent doucement me procurant un tel plaisir. Je suis si excitée que je ressens déjà mon orgasme venir, et dans un long gémissement je m’écroule sur Thierry. Je respire fortement, c’est tellement bon que j’ai du mal à retrouver mes esprits, je ne bouge plus, lui aussi, et je ressens contre mon ventre son sexe dur et chaud.

Moi : c’était incroyable, j’en veux encore
Thierry : avec plaisir, mais j’aimerais tellement te voir
Moi : tu es sur qu’il n’y a personnes ici ?
Thierry : oui sûr
Moi : humm… ok, attend

J’ouvre sa portière et sort timidement de la voiture, dehors la température est un peu fraiche, ou peut-être que c’est l’excitation qui me fait cet effet. Je m’avance doucement dans le noir vers la grange, la lune éclair tellement peu, que j’ai du mal à me repérer, mais j’arrive au mur face à la voiture, et je lui dis de m’éclairer.

Les feux allumés, je suis totalement nue contre le mur, je me retourne doucement en m’adossant et je relève une jambe en me caressant doucement. Thierry sors de la voiture, il s’avance vers moi et m’embrasse avec une telle passion, une telle force. Sa main glisse sur mon corps jusqu’à mon sexe encore trompé, il me caresse, me doigte doucement puis très vite, je suis en extase. Thierry m’attrape par le bras pour m’emmener vers l’avant de la voiture.

Moi : attends, je suis toujours vierge, et je ne me sens pas prête pour le faire encore
Thierry : ne t’inquiète pas, on ne va pas aller jusque là, laisse moi faire

A ses mots, je me livre totalement, il m’allonge sur le capot de la voiture, la tôle est froide, il m’embrasse les seins, le ventre, le pubis, et je sens à ce moment là, sa langue sur mes lèvres humide. Mais quel plaisir, quelle sensation je découvre là, c’est tellement bon que je n’arrive plus à penser, sa langue me fait tellement du bien. Il doit être un expert dans ce domaine, ou alors c’est moi qui suis tellement novice, qu’un rien me fait du bien, je ne sais pas, je ne sais plus quoi penser.

Moi : hummmm, continue, oui….encore…..oui…..c’est tellement bon…oo…OOOOOO

Je viens de jouir une nouvelle fois sous la langue experte de Thierry. Mon corps entier saccade, mon plaisir me parcoure, et je ressens comme des milliers de fourmis sur moi.

Moi : oh mon dieu… c’est trop bon…woa…je…
Thierry : respire, prends ton temps

Je respire comme je peux, toujours allongée sur le capot de la voiture, entièrement nue, mon regard vers le ciel. Je reprends peu à peu mes esprits, je me redresse, Thierry me sourit, mais c’est à mon tour. Je me lève comme une furie, je me mets à genoux devant lui en baissant son pantalon et voit son sexe légèrement gonflé devant moi.

Je le saisie de ma main, je commence à le branler et je dépose mes lèvres sur son gland. Doucement j’introduis son sexe dans ma bouche, et oui il est plus gros que Jordan et plus long également. Ma bouche s’habitue peu à peu, je commence alors des vas et viens, je ne me reconnais plus du tout, je suis tellement excitée que j’accélère comme une folle.

De son côté Thierry gémit, il apprécie vraiment ce que je lui fais malgré le manque d’expérience encore dans ce domaine. Il dépose ses mains sur l’arrière de ma tête en suivant le rythme de mes vas et viens. On ne peut plus m’arrêter, je le suce, j’aspire, son goût n’est pas le même que celui de Jordan, c’est encore une fois bizarre mais tellement bon.

Thierry : hummm, oh oui continue, tu te débrouille comme une reine

Ces paroles m’encourage fortement, aussi je m’applique du mieux que je peux, j’alterne à présent en le suçant, en aspirant le gland, je me retire parfois pour le lécher de tout côté. Mes vas et viens sont parfois lent, puis rapide, c’est la deuxième fois que je suce, mais je découvre que j’aime ça, cette sensation de contrôler le plaisir de l’autre.

Thierry : humm, Julia, je vais venir… Julia, stop, je vais venir…Julia

Je ne me contrôle plus du tout, j’entends ce que me dit Thierry, mais je sais que je lui fais tellement de bien que je ne m’arrête plus. Ses mains tentent de me stopper, mais je m’agrippe à lui, et le tire vers moi pour que ma bouche glisse encore plus loin. A ce moment là je ne sais pas ce qui m’arrive, je sais seulement que je veux le faire, que je veux découvrir ce que ça fait, de faire jouir un homme avec ma bouche.

Dans un long gémissement, Thierry ne bouge plus et déverse dans ma bouche plusieurs jets de sperme. Je tente de rester jusqu’au bout, mais il y a une telle quantité que je ne peux plus tenir, et me décale pour tout recracher. Thierry n’avait pas finit de jouir et deux jets sont venus se poser sur ma joue et mon cou. Je suis totalement surprise, le goût est tout nouveau pour moi, la consistance également.

Thierry : oh, …oh c’était trop bon
Moi : c’est vrai ? Je me suis bien débrouillée ?
Thierry : oui tu étais parfaite
Moi : désolée pour la fin
Thierry : ne t’excuse pas, j’ai adoré au contraire

Je ne sais pas si je peux l’embrasser ou pas, ayant eu son sperme dans ma bouche, alors je me relève simplement en me serrant tout contre lui. Il prend dans sa voiture un de ses T-shirt qui traine et me le passe pour que je m’essuie, ainsi qu’une bouteille d’eau pour me rincer la bouche. Nous sommes restés encore un moment ici à se parler, à nous embrasser en étant toujours toute nue.

Le temps ne dure jamais lorsque nous sommes dans de telle situation. Je suis si bien ici, il a toujours ce même regard sur moi, et j’adore ça, je me sens belle, attirante et désirable comme il le dit.

Il commence à se faire tard, j’aimerais tellement recommencer, mais on ne peut pas, je me rhabille, puis nous partons. Nous sommes devant la maison quand il me tend la petite culotte que je lui ais offert l’autre soir. Je lui dis qu’il peut la garder en souvenir, je l’embrasse une dernière fois avant de sortir de sa voiture et me diriger vers l’annexe.

Dans mon lit, je repense encore à ce que je viens de vivre, à toutes les découvertes que je fais au fil du temps. Tout est encore nouveau pour moi, mais quel plaisir je ressens déjà.

La vie me réserve sans doute encore beaucoup de surprise, et je suis curieuse de les découvrir…
chapitre 44 image
Les jours suivants sont passés tellement vite, j’ai profité du mieux que j’ai pu de chaque moment avec mes cousins et ma cousine. Je suis d’un côté triste de partir d’ici, mais je suis aussi très heureuse de savoir que je vais revoir ma mère.

Nous sommes au petit déjeuner, ma mère doit arriver aujourd’hui pour profiter un peu du week-end. Les parents de Jordan et Karine arrivent aussi dans la matinée, et le père d’Anthony un peu plus tard.

Le petit déjeuner terminé, nous aidons mamie dans quelques tâches ménagère quand j’entends une voiture arriver. Je regarde par la fenêtre et je vois ma mère, aussitôt je sors de la maison pour la retrouver. Elle sort de sa voiture et m’enlace fortement, une étreinte qui dure pour moi une éternité.

Elle m’a terriblement manqué, et je sais que c’est réciproque, elle me couvre de milliers de bisous puis se recule et me regarde.

Maman : oh ma chérie, tu as pris des couleurs tu es très belle, tu m’as manqué
Moi : à moi aussi maman, je suis trop contente que tu sois là

Nous finissons par rejoindre les autres, il est difficile pour moi de la lâcher, mais il faut que je finisse d’aider les autres pour le ménage et au moment où l’on finit, une autre voiture arrive.

Les parents de Jordan et Karine sont arrivés, une séance retrouvailles entres les quatre qui fait plaisir à voir également. Il ne reste plus que mon oncle Vincent qui, lui, arrive dans l’après midi, mais pour l’heure nous passons à table.

Pendant que nous mangeons les histoires défilent, nos vacances, des souvenirs d’enfance de chacun, que des bons moments. Après le repas, j’aide ma mère à descendre sa valise, dans la chambre elle m’attrape pour m’enlacer à nouveau, j’adore son parfum, la douceur de ses bras.

Pendant que nous parlons toutes les deux Jordan apparaît à la porte, il me propose d’aller une dernière fois à la rivière. Je regarde ma mère et lui demande si elle veut se joindre à nous. Elle n’a pas emmené de maillot de bain malheureusement, mais elle se demande s’il n’y en a pas un dans la chambre de sa petite sœur.

Elle cherche un peu et finit par en trouver un, heureusement elles ont la même corpulence. Alors sans plus attendre on se dirige tous les cinq à la rivière, mon oncle et ma tante sont restés tranquillement à la maison.

Arrivés à la rivière, nous nous installons, je me mets en maillot, Karine et ma mère font de même. C’est la première fois que je vois ma mère en maillot, je n’ai pas de souvenirs de l’avoir vu étant enfant. Je la trouve très belle, et d’ailleurs je remarque quelques regards de la part des garçons. Nous profitons tous du soleil, de l’eau et de la tranquillité que nous offre cet endroit.

Le temps passe doucement, je profite de me poser sur ma serviette pour fermer les yeux un instant, je somnole sous les douces caresses du vent. Lorsque j’ouvre les yeux je vois ma mère allongée, qui s’est assoupi aussi. Je rejoins les autres dans l’eau, qui discutent sagement. Le temps passe lentement, ma mère nous rejoint après s’être reposé un moment, et je remarque très bien les petits regards d’Anthony envers elle. Il faut avouer que ma mère est très belle, elle s’entretient en faisant du sport et de la danse et le résultat est là.

Après cet après-midi à la rivière, nous rentrons tous ensemble, et arrivés à la maison on aperçoit la voiture de mon oncle Vincent, il n’y a pas d’embrassade entre mon cousin et son père, leur relation n’est pas encore très fusionnelle, mais je pense qu’elle évoluera sûrement au fil du temps.

Le reste de la soirée se passe dans la bonne humeur, un bon repas, les adultes discutent parfois boulot et autres, tandis que nous, nous rigolons à des histoires simples et idiotes. Après le repas, nous laissons les adultes parler entres eux et nous regagnons nos chambres comme d’habitude, avant de nous retrouver pour un dernier film.

C’est la dernière soirée que nous passons ensemble, mais nous restons sages, nous apprécions tout simplement ce dernier moment à quatre, avant de nous séparer pour aller dormir. Il n’est pas très tard, je tourne un peu dans mon lit en repensant à beaucoup de choses dans le noir, et j’entends ma porte s’ouvrir, je vois une faible lumière y entrer et je reconnais Karine.

Elle se faufile dans mon lit et viens se coller tout contre moi, elle me demande si elle peut dormir ici cette nuit, bien sûr je lui réponds que oui. A ce moment là je ne pense plus à rien, il pourrait se passer beaucoup de choses entres nous, mais ce soir, nous serons là toutes les deux, simplement endormies l’une contre l’autre.

Après cette douce nuit en compagnie de Karine, je me réveille tranquillement, et je l’enlace pour profiter encore un peu d’elle. Ma cousine se réveille doucement, et nous restons allongées toutes les deux, discutant un peu avant de nous lever pour rejoindre tout le monde à table.

La matinée est relativement vite passé jusqu’au repas de midi, et là encore le temps à filé. Nous sommes en train de charger nos affaires dans les voitures, bien que la motivation ne soit pas du tout présente. Je commence peu à peu à me sentir malheureuse, de quitter la maison de mes grands parents, et surtout de quitter ici mes cousins et ma cousine.

C’est le même sentiment que j’ai eu lors du départ à Noël, mais en pire, car j’ai appris à plus les connaître, et j’ai vécu pas mal de chose ici en si peu de temps. Anthony est devenu en quelques temps plus sociable que lorsque je l’ai vu à Noël. J’apprends peu à peu à le connaître et je le découvre gentil et en même temps plutôt coquin, quand je repense à nos paris.

J’ai découvert beaucoup de choses aussi grâce à Karine et Jordan, et je ne sais pas ce que me réserve les prochaines vacances ensemble, mais j’ai tout aussi hâte d’y être.

Tout cela me fait monter les larmes aux yeux, lorsque nous nous serrons dans les bras pour nous dire au revoir. C’est avec beaucoup de difficultés que nous nous quittons, et que je vois peu à peu cette maison s’éloigner, j’ai aimé tout ce que j’ai vécu ici et je suis triste de devoir partir, mais en même temps heureuse de retrouver ma mère, et de rentrer chez nous.

C’est un sentiment bizarre, être à la fois triste et heureuse. Mais je me sens grandir, je me sens devenir une autre personne qui à plus confiance en elle, et je sais que je vais pouvoir avancer dans ce sens et découvrir encore ce que la vie me réserve…
chapitre 45 image
De retour chez moi après de bonnes vacances chez mes grands parents, j’étais heureuse de retrouver ma chambre, mon petit nid à moi. Je dépose mes affaires, quelques vêtements au sale, et un peu de rangement, et je me retrouve avec ma mère dans le salon pour discuter.

Nous passons en revu toutes mes vacances, je lui raconte tout et elle semble attendre une chose, savoir ce qui a pu se passer de coquin. Alors je commence à lui raconter doucement ce qui s’est passé avec Karine, puis Jordan. Je suis devenue moins timide pour ce qui est de parler de sexe, et elle est ma confidente depuis le début, alors je me livre facilement à elle, mais elle reste surprise que je n’ai plus besoin de notre rituel dans la salle de bain pour que je lui en parle.

Toutefois je la vois devant moi, curieuse, attentive à tout ce que je lui dis alors elle me propose tout de même d’aller prendre un bain toutes les deux. Nous voilà en direction de la salle de bain, ce petit moment mère fille m’a beaucoup manqué, et je suis heureuse qu’elle me le propose à nouveau.

Nous sommes installées toutes les deux dans un bon bain et je reprends mes histoires. Elle est surprise par tout ce que je lui dis et me sourit tout en même temps. Bien sûr j’ai beaucoup réfléchie avant de tout lui raconter, et je ne lui ai rien dis en ce qui concerne Thierry.

Je me suis sentie un peu mal de le lui cacher, mais la différence d’âge avec lui et surtout le fait de sortir en douce le soir, je ne voulais pas qu’elle s’inquiète et me fasse la morale. Alors j’ai changé un peu cette histoire, en lui disant que ça s’est passé avec Jordan.

Maman : je suis surprise par tout ce que tu as vécu pendant tes vacances
Moi : je ne te déçois pas j’espère ?
Maman : non ma chérie, pas du tout, tu ne me décevras jamais, tu es ma fille et je serais toujours fière de toi
Moi : merci maman
Maman : par contre je me sens un peu excitée par tout ce que tu m’as dis là ahaha
Moi : ahaha désolée
Maman : ce n’est pas grave, mais je suis surprise surtout par le fait que tu ais été aussi loin avec Jordan
Moi : j’étais tellement excitée, et tentée aussi que je n’ai pas pu résister
Maman : en tout cas il a du apprécier
Moi : oui ahaha

Nous rigolons toutes les deux, j’aime l’entendre rire, ça me fait toujours du bien. Elle me demande bien sûr pour Anthony, puisqu’elle a remarqué qu’il discute plus avec nous et qu’il semble aller mieux. Alors je lui dis que je suis heureuse qu’il ait pu lui aussi évoluer dans sa situation et je lui raconte les petits jeux que nous avons eus avec les paris.

Maman : vous avez fait des photos ?
Moi : oui c’était le pari
Maman : mais qu’elle genre de relation Karine a, avec son frère ?
Moi : ils sont très fusionnels mais elle avait complètement oublié sur le moment que son frère allait voir les photos aussi
Maman : d’accord
Moi : pour la deuxième fois, elle s’en fichait apparemment que son frère puisse regarder
Maman : Karine semble très coquine et libre pour son âge. Mais qu’est ce que vous avez fait des photos après ?
Moi : Karine les a effacer de son téléphone, ne t’inquiète pas

Ma mère semble plus rassuré, et me sourit, et à mon tour maintenant de savoir ce qui c’est passé de son côté pendant mon absence. D’après les messages qu’elle m’envoyait, elle s’amusait beaucoup, alors j’ai attendu tout ce temps pour enfin savoir ce qui est arrivé.

Ma mère commence à me raconter ses soirées avec ses copines de la zumba, mais aussi quelques rencontres. Elle n’avait eu au total que trois rencontres pendant mon absence, je suis surprise, elle me disait s’amuser mais c’était plus avec ses amies qu’avec des hommes apparemment.

Le premier homme n’était pas si mal que ça, elle a couché avec lui deux fois avant qu’il lui dise qu’il est en fait en couple, et qu’il cherchait un plan cul par occasion, étant donné ces besoins en sexe que sa femme ne satisfait pas. Ce qui à coupé toute envie de le revoir par la suite, ce que je peux tout à fait comprendre.

Le second homme était assez beau, et après avoir parlé longuement sur le site avec lui, ils se sont vu pour un dîner, mais ma mère n’a pas été plus loin que cette soirée. Il était apparemment très égocentrique et semblait tout savoir sur tout. Elle avait quelques soupçons dans les messages avant le dîner, et après avoir eu la confirmation, cet homme est repartit seul.

Le troisième homme assez doux, pas un physique de rêve, pas sportif mais pas moche non plus. Il a selon ma mère un certain charme dans sa façon d’être, de parler, mais là ou ça coince, c’est au lit. Ma mère ne fait pas de manière sur la taille de l’engin, mais sa façon de lui faire l’amour cette nuit a été si catastrophique, qu’elle n’a pas jouie, et s’est ennuyé. Bien sûr elle s’est dit, qu’une seule nuit ne lui permet pas d’avoir un parfait jugement sur ces compétences sexuelles, alors elle lui a donné une seconde chance après lui en avoir parler, mais le résultat fût le même.

Moi : je suis désolée pour toi maman, je pensais que tu t’amusais plus que ça
Maman : je me suis bien amusé avec les filles de la Zumba, mais en ce qui concerne les hommes je pense que je vais lever un peu le pied
Moi : du coup tu arrêtes le site ?
Maman : je ne crois pas, j’aime discuter, mais je pense que je vais plus attendre, et mieux choisir avant d’en rencontrer un maintenant
Moi : oui ce serait mieux, surtout si tu tombe sur des cas comme ça
Maman : oh oui, à éviter maintenant ahaha

Nous sortons du bain toutes les deux en rigolant, et je regarde ma mère nue devant moi, elle est toujours aussi belle. Elle voit mon regard sur elle, elle sait que ça fait longtemps que nous n’avons pas eu ce petit moment entre nous. Elle me regarde aussi et me complimente sur mon bronzage, je tourne sur moi-même toujours toute nue. Elle me dit que je suis belle et que je grandis vite, et elle vient m’enlacer tendrement. J’apprécie le moment, sentir le corps de ma mère nue contre moi me retourne complètement le cerveau, et je revois les moments passés avec Karine, Jordan et Thierry.

Mais nous restons sages toutes les deux, on se rhabille et nous passons le reste de la soirée devant un repas simple et un petit film. Je m’allonge et pose ma tête sur la cuisse de ma mère, tout en regardant le film, elle me caresse les cheveux et me parle de temps en temps. Il est l’heure de nous mettre au lit, et une fois couchée, je me demande ce que mes cousins font en ce moment, peut être déjà dans de beaux rêves ou alors comme moi, allongée à penser longuement jusqu’à que le sommeil me gagne.

Le lendemain après avoir bien dormi dans mon lit douillé à moi, je me rends compte qu’il ne reste que quelques jours avant la rentrée, et je voudrais bien en profiter pour voir Estelle et Kévin, histoire de nous raconter un peu nos vacances sans trop aller dans les détails bien sûr, surtout concernant mes petites découvertes sexuelles entre cousin, cousine.
Nous parlons tous les trois sur FB pour essayer de nous organiser une journée tous ensembles, et vu que c’est bientôt la rentrée, alors nous allons essayer de tout faire d’un coup. Nous nous donnons rendez-vous au centre commercial, et le jour J ce sont deux folles qui se retrouvent dans le hall, à crier, s’enlacer et pleurer.

Kévin lui est plus discret mais nous lui sautons dessus également pour l’embrasser. Après ce moment chaleureux, nous avons de suite commencé à nous raconter nos vacances pendant que l’on faisait également les boutiques à la recherche de quelques vêtements, de fournitures scolaires et autres.

Nous sommes également passés par une boutique de sous vêtements et nous nous sommes rappelés ces derniers moments passés ensemble. Ce sera sûrement à refaire dès que l’occasion se présentera.

Après avoir longuement écouté ce que mes amis m’ont racontés, je peux vous dire que leurs vacances en général ce sont bien passés.

Estelle est allée rendre visite à sa famille et a passé ses vacances avec son cousin et sa cousine du même âge à peu près. Elle a passé la plupart du temps à bronzer, à vadrouiller pour essayer de trouver des activités. Ses grands parents habitent un petit village, mais à part de vieilles personnes elle a tout de même rencontré un garçon. Elle n’en dit pas plus à son sujet, mais je compte bien avoir une sérieuse discussion avec elle un jour pour en savoir plus.

Kévin était lui aussi chez ses grands parents, et il a passé de bons moments avec son petit frère, deux petits cousins et une grande cousine. Il n’a pas fait de rencontre particulière, ils sont beaucoup sortis pour faire des randonnées et autres, et son petit frère s’est foulé le poignet dans les derniers jours, mais rien de grave apparemment.

Après avoir passé une bonne journée avec Estelle et Kévin, je suis rentrée chez moi, je raconte tout bien entendu à ma mère, en n’oubliant pas de lui montrer mes quelques achats niveau vêtements.

Après un bon repas et une bonne douche, je suis vite dans ma chambre. Le soir dans mon lit, je repense à tout comme à chaque fois. Nous allons entamer tous les trois notre dernière année au collège, je redoute un peu le moment du brevet, mais je vais faire de mon mieux tout comme mes amis, et je sais que je peux également compter sur ma mère comme toujours…
chapitre 46 image
Les jours suivants sont vite passés, et nous voilà déjà de retour au collège pour la rentrée. Je n’aime pas trop ce moment où nous sommes tous réunis dans la cours pour essayer de voir comment nous sommes répartis dans les classes.

Il y a beaucoup d’élève, les années précédentes il m’était impossible d’être ici au milieu de tous sachant que je faisais directement une crise. Mais aujourd’hui je vais mieux, même si je n’aime pas trop être bousculée. J’accède difficilement au tableau pour voir dans quelle classe je me trouve et surtout voir si je suis avec Estelle et Kévin, ou au moins un des deux.

Nous recherchons tous les trois nos noms, Estelle trouve le sien et Kévin est avec elle, malheureusement pour moi je me retrouve seule dans une autre classe. Mais ce n’est pas grave, ce n’est pas la première fois, mais au moins pour cette dernière année j’aurais voulu être avec l’un d’entres eux.

Les jours passent et je découvre un peu plus ma classe, il y a les comiques, les travailleurs, ceux qui ne font pas grand-chose, et toujours au moins un ou deux timide. Je découvre également mes professeurs, je retrouve certains que j’ai déjà eu et de nouveaux.

La rentrée se déroule donc très bien dans l’ensemble et arrive un jour particulier puisque c’est mon anniversaire. J’ai aujourd’hui 15 ans, ma mère me dit toujours que je grandis trop vite et le soir j’ai le droit à un bon repas à la maison, en compagnie d’Estelle et Kévin. J’ai de jolis cadeaux de la part de tous, et ça me fait très plaisir de partager ce moment avec eux. J’ai aussi le droit à un beau gâteau et en soufflant mes bougies, je me dis que j’aimerais me lancer auprès d’un garçon que j’observe depuis quelques temps. Je fais le vœu d’avoir le courage de faire un pas vers lui et que tout ce passe bien.

Lorsque j’ai revu Guillaume à la rentrée, je dois avouer que je me suis sentis toute bizarre, je ne l’ai dis à personnes encore mais j’aimerais faire en sorte qu’il me remarque, que l’on puisse se parler, et apprendre à se connaître. Bien sûr, je ne me suis pas lancée dès le lendemain, mais les jours suivants je le regardais, il n’a pas changé, il a toujours les mêmes amis avec qui il traine tout le temps. Il n’est pas le garçon le plus populaire, je dirais même qu’il me ressemble assez, il est discret, gentil.

Pour vous le décrire, Guillaume est plutôt mince physiquement, un peu plus grand que moi, brun, les cheveux souvent en pagaille, les yeux noisette, la peau clair. Je ne sais pas grand-chose de lui, n’ayant pas pu parler avec une personne le connaissant, mais je sais que j’aimerais apprendre à le connaître en lui parlant directement si j’ai un jour une chance.

Mais en toute honnêteté je n’arrive pas à saisir ma chance, ou du moins la provoquer, je reste toujours assise de l’autre côté de la cours à le regarder furtivement pendant que je parle avec mes amis. Un soir à la maison, je suis assise dans le canapé, devant la télé mais pensive. Je pense bien entendu à Guillaume, et je suis en colère contre moi-même de ne pas réussir à faire un pas vers lui. Je n’ai parlé à personne de tout ça, même si je sais que ma mère pourrait me donner des conseils ou autres.

Je regarde alors ma mère, elle est sur l’ordinateur en train de parler sur le site de rencontre et je lui demande si elle fait de nouvelles connaissances.

Maman : non pas vraiment, en fait je parle avec un des hommes que j’ai rencontré pendant ton absence
Moi : ah bon ? Lequel ?
Maman : Laurent
Moi : celui qui était nul au lit, je pensais que tu ne voulais plus le revoir
Maman : c’est vrai, il est nul, il n’a pas non plus beaucoup de qualités, mais ce que j’aime c’est que malgré tout ça, il est venu me parler

En entendant ses mots je me suis mise à penser à ma situation actuelle, mon manque de confiance en moi pour essayer de parler avec Guillaume. Je ne suis sans doute pas la plus belle des filles, mais j’ai quelques qualités qui pourraient plaire, et si je ne tente pas ma chance, je ne saurais jamais si j’en ai au moins une.

Nous sommes début Octobre, et je n’ai pas encore trouvé le courage d’aller lui parler. Je suis assise aux côtés de mes amis dans cette cours, et je continue de regarder Guillaume à l’autre bout. Je me lève et me dirige doucement en sa direction, j’entends derrière Estelle qui m’appelle pour me demander où je vais, mais je ne réponds pas, comme si je ne pouvais pas car dans ma tête je n’ai qu’une idée.

Je traverse la cours, personne ne fait vraiment attention à moi, j’arrive à quelques mètres de Guillaume et il tourne la tête vers moi. Je suis intimidée par son regard, je suis presque devant lui et je me sens bizarre, ou plutôt comme mouillée, pourtant je ne pense pas que je sois excitée.

J’ai un moment de doute, je vois le regard de Guillaume comme surpris mais il regarde plus bas, alors machinalement je baisse les yeux, et je remarque alors une petite tâche sur mon jean à l’intérieur de ma cuisse droite.

Dans ma tête tout se bouscule, ce sont mes premières règles qui apparaissent et il a fallu que ça arrive maintenant, au milieu de tout le monde, juste devant Guillaume alors que je venais de trouver le courage de venir lui parler. Je ne sais plus du tout quoi faire, je reste bloquée, et je sens monter en moi une crise de panique. Je détourne le regard, je cherche quelqu’un, quelque chose qui pourrait m’aider à me sortir de cette situation mais rien.

C’est au moment où je suis le plus perdu, que je sens une présence, une main qui m’agrippe, je relève la tête et c’est Guillaume qui est là devant moi. Il a retiré sa chemise qu’il portait par-dessus son T-shirt et me la mise autour de ma taille, il m’a demandé ensuite si je vais bien, mais devant mon manque de réponse, il m’a demandé de le suivre.

Je ne comprends pas tout ce qu’il me dit, c’est comme si sa voix résonnait sans être compréhensible. Je suis vite rejoins par Estelle et Kévin qui ne m’avait pas lâché du regard de l’autre côté de la cours, et nous voici à l’infirmerie.
L’infirmière du collège me connaît bien, elle sait surtout que je peux avoir des crises de panique, et dans ces cas là, elle appelle aussitôt ma mère. Je suis toute seule dans l’infirmerie, les autres attendent dehors, bien que l’heure de reprendre les cours a sonné.

Je retrouve très vite mon calme maintenant, et l’infirmière est contente de constater les progrès que je fais chaque jour. Je suis avec un verre d’eau pendant que je reprends mes esprits et j’ai toujours la chemise de Guillaume à ma taille. Plus j’y repense et plus je me dis que je n’ai vraiment pas eu de chance sur ce coup là, et maintenant je ne sais pas ce que peut penser Guillaume de moi.

Quelques minutes après c’est ma mère que j’entends dans le couloir parler avec l’infirmière. Elle lui dit que ma crise est passée, mais qu’elle préfère que je rentre chez moi pour être plus tranquille et surtout pouvoir me nettoyer suite à ma perte de sang.

En sortant de l’infirmerie je croise mes amis et Guillaume, ma mère leur dit que je serais de retour demain. J’ai honte de croiser le regard de Guillaume, alors je n’en fait rien et je sors du collège avec ma mère pour rentrer chez nous.

Une fois à l’appartement je vais directement dans la salle de bain me nettoyer, après quoi je vais dans ma chambre pour m’isoler un peu. Ce n’est qu’une heure plus tard que ma mère entre dans ma chambre pour voir comment je vais. Elle s’assoit dans mon lit pour me parler, me dire que je deviens peu à peu une jeune fille, qu’il faudra que l’on surveille de près mes prochaines règles, mais que je n’ai pas d’inquiétude à me faire.

Je suis rassurée d’entendre tout ça de ma mère, ma crise de panique est sans doute exagérée, mais je ne savais vraiment plus comment réagir face à tout ça, et je me demande encore si tout le monde a vu la tâche de sang que j’avais. Ma mère me rassure encore une fois et peu à peu mes questions disparaissent.

Maman : tu te sens mieux ma chérie ?
Moi : oui mieux, merci
Maman : c’est normal, et dis moi, une question. Qui est ce garçon qui t’a passait sa chemise ?
Moi : euh…
Maman : tu peux me le dire, n’ai pas peur
Moi : en fait,… j’ai un faible pour lui depuis un moment, et aujourd’hui je voulais tenter ma chance pour lui parler
Maman : oh ma chérie, je suis fière de toi
Moi : oui mais je n’ai pas eu l’occasion de lui parler avec ce qui c’est passé, et je ne sais pas si je peux avoir une seconde chance
Maman : chérie écoute moi, quand je l’ai vu tout à l’heure il était inquiet pour toi, et de plus tu as sa chemise, donc tu as une chance de lui parler quand tu lui rendras
Moi : oui c’est vrai, au fait sa chemise, elle n’est pas tâché ?
Maman : non ça va, mais je l’ai nettoyé tout de même, tu pourras lui rendre sans problèmes

Après cette discussion avec ma mère je me sens déjà mieux même si quelques questions sont toujours présentes. Mais le reste de la soirée c’est très bien passée. Je n’ai pas trouvé le sommeil très vite, mais j’ai tout de même bien dormi.
De retour au collège je repense à ce que m’a dit ma mère, et à la nouvelle chance que j’ai aujourd’hui de parler avec Guillaume. J’attends après le déjeuner pour pouvoir lui rendre sa chemise et lui parler, je me lève et me dirige vers lui, il me voit au milieu de la cours avec son vêtement et se lève aussi pour venir à ma rencontre.

Guillaume : salut
Moi : euh salut
Guillaume : tu vas mieux ?
Moi : euh oui, mais je ne veux pas parler de ça stp, c’est gênant
Guillaume : oh désolé, je ne veux pas te mettre mal à l’aise
Moi : non désolée c’est moi, j’ai l’impression que tout le monde m’observe suite à ça
Guillaume : pas du tout, si ça peut te rassurer, personnes n’a rien vu, même mes potes m’ont demandés ce qui c’est passé
Moi : et tu leur a dis quoi ?
Guillaume : qu’il faisait chaud et qu’il me semblait que tu faisais un malaise, pour le coup je t’ai conduis à l’infirmerie
Moi : d’accord (petit sourire), en tout cas, merci d’avoir réagi comme tu l’as fais
Guillaume : c’est normal, ma cousine a vécu la même situation pendant les vacances et du coup je sais à quel point ça peut être gênant
Moi : c’est vrai, je ne savais plus où me mettre (sourire timide)
Guillaume : et d’ailleurs tu venais pour me voir ?
Moi : euh oui pour te rendre ta chemise
Guillaume : euh ça c’est aujourd’hui oui merci, ahaha mais pour hier je veux dire
Moi : ah oui, euh… je voulais te parler en fait
Guillaume : oh pour me demander quelque chose ?
Moi : euh en fait, …. Je voulais parler avec toi, pour apprendre à te connaître
Guillaume : oh, mais … je ne sais pas quoi te dire là…
Moi : ahaha tu n’es pas obligé de tout me dire là maintenant, mais si tu veux par exemple, on peut  se voir plus tard pour se parler
Guillaume : ah euh oui ok,… un genre de rendez-vous ?
Moi : oui tout à fait (petit sourire)
Guillaume : cool, euh donc ça te dit de se voir après le déjeuner ?
Moi : ça me va tout à fait hihi
Guillaume : ok c’est cool, donc à lundi après le déjeuner (sourire timide)
Moi : a lundi oui (tout sourire)
 
Je me retourne et repars en direction de mes amis, et en moi-même c’est un véritable feu d’artifice, je suis tellement contente d’avoir pu lui parler. A peine assise qu’Estelle débuta ses séries de questions, j’étais tellement heureuse que je n’ai pas pu tenir ma langue et je lui dis tout. Il me tarde déjà de passer ce week-end pour être lundi et lui parler à nouveau.

Bien sûr le soir chez moi je raconte tout à ma mère dans les moindres détails, ainsi que tout ce que j’ai pu ressentir, et elle est très heureuse que je l’ai fait, et surtout elle attend la suite avec impatience, tout comme moi…
chapitre 47 image
Durant tout le week-end je n’ai pas arrêté de penser à Guillaume, mais bizarrement je ne me suis pas touchée en pensant à lui, je suis restée sage sur ce côté-là. Je ressentais plutôt autre chose, c’était plus profond mais je ne sais pas encore ce que c’est.

J’ai beaucoup discuté avec ma mère aussi concernant l’apparition de mes règles, je vais devoir prendre un rendez-vous chez le gynécologue et voir par la même occasion si je suis à jour dans mes vaccins.

Je crois que je commence très bien cette dernière année de collège, entre l’apparition de mes règles, des rendez-vous chez le gynéco, mon premier pas vers Guillaume et le brevet à préparer, je me sens tout à coup chargé. Mais je souffle, une chose à la fois comme me dit ma mère, et nous verrons comment ça va se passer.

Le lundi de retour au collège, j’attends que les heures passent, et heureusement pour moi la matinée file assez vite. Je déjeune avec mes amis comme d’habitude, et Estelle rigole après moi me voyant un peu nerveuse. Mes amis m’encouragent en me disant que j’ai déjà fait le plus dur, et que je dois tout simplement vivre le moment présent et apprécier.

Je crois que c’est plus facile à dire qu’à faire, nous avons finis de manger, et dehors de l’autre côté de la cours je vois Guillaume qui m’observe. Estelle me dit qu’il doit être tout aussi nerveux que moi, ce qui me rassure un peu je dois dire, même si j’ignore si c’est une bonne chose ou pas.

Je m’avance vers Guillaume, il se lève aussi et se dirige vers moi…

Moi : euh salut
Guillaume : hey, euh tu vas bien ?
Moi : oui merci et toi ?
Guillaume : oui, impec
Moi : tu m’attendais depuis longtemps ? Désolée
Guillaume : non y a pas de soucis, je ne savais pas où t’attendre alors je suis resté avec mes potes
Moi : ils ont l’air de se foutre de nous ahaha
Guillaume : oui un peu, mais ce n’est pas méchant t’inquiète pas
Moi : je sais, j’ai eu un peu la même chose avec mon amie
Guillaume : ah ok, ahaha, euh tu veux qu’on se pose là-bas pour discuter tranquillement ?
Moi : oui je veux bien

Nous sommes tous les deux nerveux, nous parlons des cours, de nos amis et nous commençons à nous sentir un peu mieux. Bien sûr la reprise des cours sonna et nous nous sommes donné rendez-vous encore demain à la même heure.

J’ai juste eu le temps de récupérer mes affaires avec amis en affichant un grand sourire pour leurs dire que tout s’est bien passé. En moi-même je suis très heureuse de me lancer ainsi, je suis tellement contente que j’ai un peu de mal à suivre les cours, repensant surtout à Guillaume.

Les jours suivants, nous nous sommes revu comme convenu, nous sommes à chaque rencontres un peu nerveux puis le temps nous calme, nous parlons, rions ensemble. La première semaine est passée plutôt vite, j’apprends doucement à le connaître, il me parle de ses amis, Charles et Jonathan avec qui il est inséparable depuis le primaire. Je lui parle également des miens, sans qui je ne suis rien, car c’est en partie grâce à eux aussi que j’ai pu doucement me sortir de ma timidité. Et en parlant de timidité, je découvre que Guillaume l’est tout autant, qu’il n’a jamais pu aborder une fille et qu’il est heureux que j’aie tenté de venir lui parler.

Tous les soirs ma mère me demande comment s’est passé ma journée et surtout mes rendez-vous avec Guillaume. J’en parle également avec mes amis mais aussi avec Karine par message, je crois que je suis tellement contente, que même un inconnu dans la rue, pourrait deviner que je suis amoureuse.

La semaine suivante nous nous voyons comme d’habitude après le déjeuner, on se rapproche de plus en plus et on parle un peu de nos familles, de ce qu’on aime faire et autres. Ses parents sont séparés depuis deux ans maintenant, il vit avec son père qui est banquier et sa mère est partie vivre dans le sud. Il est enfant unique et se débrouille souvent seul car son père n’est jamais vraiment là pour lui. S’il est resté ici c’est surtout par rapport à ses amis qu’il ne voulait pas perdre. Il aime les jeux vidéo, le cinéma, et l’escalade, qu’il découvre avec ses potes.

D’ailleurs ce week-end il aimerait me faire découvrir aussi cette activité, et se faire une séance ciné par la suite. Je demande bien sûr à ma mère si elle est d’accord, elle est toute souriante lorsque je lui demande si je peux voir Guillaume, elle accepte sans problèmes et c’est toute excitée que j’attends cette journée.

Du côté de ma mère elle a levé le pied sur les rencontres comme elle me l’a dit. Elle ne veut plus tomber sur les types d’hommes qu’elle a pu rencontrer dernièrement. Elle parle toujours avec Laurent, qui est devenu pour elle comme un confident. D’autres hommes semblent intéressants en surface, mais elle préfère dialoguer encore et creuser un peu pour en savoir plus avant une éventuelle rencontre.

Le soir je m’endors comme une masse en pensant à la journée qui m’attend avec Guillaume et ses amis. Le samedi matin je me prépare, il m’a dit de me mettre à l’aise question vestimentaire mais je ne voudrais pas non plus ne ressembler à rien quand je vais le voir. Alors je tente tout de même d’être assez jolie et ma mère se moque de moi en me voyant faire tant d’essayage entre ma chambre et la salle de bain.

Une fois prête je suis en route avec ma mère, elle me dépose en vitesse à ma demande, mais elle me dit qu’elle voudrait faire la connaissance de Guillaume, voir un peu comment il est. Je lui promets une rencontre plus tard, pour le moment je m’en vais le retrouver et profiter de cette journée.

J’arrive devant lui, et je dépose un léger bisou sur sa joue pour le moment, j’aimerais déjà l’embrasser mais c’est peut être encore trop tôt pour lui. En tout cas il me trouve très belle, ce qui me fait littéralement fondre sur place. Je salut également Charles et Jonathan que je vais avoir l’occasion de mieux connaître.

Je découvre un lieu encore inconnu pour moi, il y a pas mal de monde, des jeunes et aussi des adultes. Je ne sais pas où me mettre, j’ai l’impression de gêner tout le monde, je peux voir des personnes très douées qui ont l’air de grimper depuis très longtemps et d’autres qui débutent. Une personne est là pour nous guider, et heureusement car je suis une catastrophe. Ce qui d’ailleurs me vaut des fous rires de la part de Charles et Jonathan, Guillaume aussi en rigole mais il me console à chaque fois que je tombe.

Il m’a fallu près d’une heure pour que je commence à m’en sortir un peu et atteindre une certaine hauteur, mais là encore, catastrophe je regarde en bas et je tombe. Heureusement que je suis assurée mais je crois que je ne suis pas faite pour ça. Ce n’est pas l’avis de Guillaume qui me relève à chaque fois et qui m’encourage à continuer et persévérer, je le trouve vraiment mignon quand il me parle ainsi, sérieux, à la fois calme, souriant et pleins de tendresse.

Je craque complètement je pense, et j’espère que je lui fais le même effet malgré le fait que je tombe comme un sac à patates. Après avoir déjeuné nous sommes allés au cinéma tous ensembles, on s’installe dans la salle avec nos boissons et pop-corn. Charles et Jonathan ce sont installés sur la rangée de devant pour nous laisser tranquille, et au bout de quelques minutes je sens Guillaume me saisir la main. Sur le moment je suis totalement surprise, mais tellement heureuse, il ne me lâche plus et je me penche vers lui pour poser ma tête sur son épaule.

Sa main caresse la mienne et je ne peux m’empêcher de sourire, je ne regarde plus vraiment le film, je ne sais même plus ce que l’on regarde en fait. Je relève ma tête et le regarde, il s’approche de moi et dépose ses lèvres sur les miennes. Je me suis sentie tout de suite comme transportée dans un autre monde, mon cœur raisonne dans ma poitrine tandis que je savoure son baisé.

Il se recule légèrement et me parle tout bas…

Guillaume : désolé, je ne sais pas si…
Moi : pourquoi tu t’excuses, tu n’as rien fait de mal au contraire
Guillaume : c’est la première fois que j’embrasse, je ne sais pas si je le fais bien
Moi : hey bien, je trouve que tu te débrouille très bien, et si tu veux recommencer tu peux

Sans plus attendre il se penche de nouveau vers moi, et m’embrasse. Il est un peu maladroit par moment, mais nous prenons notre temps, nous avons complètement oubliés le film. Nous essayons parfois de regarder l’écran mais nous revenons très vite l’un vers l’autre. Ses lèvres sont douces, j’adore son goût, son odeur, ses mains posées sur mon visage qu’il caresse.

A la fin du film nous sortons de la salle, les garçons sont en train de discuter des scènes qu’ils ont trouvées trop bien, mais nous étions complètement perdus à ce sujet. Ils se sont bien foutu de nous en sachant très bien que nous nous sommes embrassés durant tout le film, puisqu’ils ce sont retournés à un moment et nous ont vu faire.

Je deviens toute rouge, Guillaume également et nous rigolons tous ensemble, ses amis aiment se foutre de nous mais au fond ils sont très gentil. Nous nous posons à une table pour discuter et boire, pendant que Guillaume m’attrape toujours la main sous la table en me la caressant.

Ma mère arrive dans le parking, je suis un peu triste de devoir quitter Guillaume, mais je lui demande de m’accompagner pour lui présenter ma mère. Je suis un peu nerveuse alors que je sais très bien que ma mère va l’adorer mais je pense que je le suis car Guillaume l’est tout autant.

Je fais les présentations, et ma mère est toute souriante, elle lui pose quelques questions et elle fait en sorte que Guillaume se sente à l’aise. Après quelques minutes à parler je lui dis au revoir, je voudrais tellement l’embrasser à ce moment mais je n’ose pas, de peur de le gêner devant ma mère, et je ne sais pas non plus comment elle pourrait le prendre.

Dans la voiture elle rigole en me demandant si je l’ai déjà embrassé …

Moi : oui il m’a embrassé dans la salle de cinéma, c’était tellement woao
Maman : tellement woao ? ahaha ma chérie
Moi : oui désolée, je n’ai pas de mot pour le décrire
Maman : je comprends, et il est très gentil et très mignon aussi
Moi : merci, je lui dirais
Maman : et c’était bien ta journée ? L’escalade ?
Moi : j’ai adoré ma journée, et franchement l’escalade je suis nulle, mais je ne dirais pas non pour en refaire
Maman : ne dis jamais que tu es nulle chérie, garde confiance en toi quoi que tu fasses, et vu que j’ai rencontré Guillaume, je te laisserais le voir quand tu veux
Moi : c’est vrai ? Merci maman t’es la meilleure
Maman : je sais ce que c’est, je veux juste que tu me dises si tu sors, et où tu vas
Moi : d’accord

Le soir dans ma lit je repense à ma journée, je regarde également les photos sur mon téléphone, je le trouve vraiment trop mignon, pas que physiquement, mais aussi dans sa façon d’être et ce soir je m’endors paisiblement en pensant à lui…
chapitre 48 image
Au collège, après avoir déjeuné je vois Guillaume comme d’habitude, j’adore ce moment où je le vois rien que pour moi et je dois dire que j’aimerais tellement l’embrasser que je me mords les lèvres pour me retenir. Aujourd’hui il n’y a pas beaucoup d’élèves, je ne me pose pas trop la question de pourquoi, je savoure seulement ce moment avec lui.

A ma grande surprise Guillaume s’approche de moi et m’embrasse tendrement, il n’est plus si timide apparemment et j’aime ça. Il m’embrasse comme dans cette salle de cinéma, et je ressens toute sa tendresse. Est-ce que ce baisé officialise notre situation face à tous les élèves du collège ?

Guillaume continue de m’embrasser en déposant sa main sur ma joue, puis mon cou, et la dépose sur ma poitrine. Je suis totalement surprise, j’ai un peu honte, et apparemment il est nerveux mais à très envie de me toucher. Nous sommes un peu à l’écart, peu d’élèves regardent dans cette direction alors je le laisse faire, et l’encourage en l’embrassant de nouveau.

Sa main sur ma poitrine me donne chaud, je frissonne tellement ce que je ressens me fait plaisir. Sa main continue de me caresser la poitrine, il se recule me regarde dans les yeux, et je vois en lui le même désir que le mien. Je regarde de nouveau autour de moi, je plonge mon regard dans le sien et doucement je déboutonne mon jean, et l’ouvre pour lui donner l’accès.

Guillaume me regarde, nerveux, timide, alors je saisie sa main pour la diriger entres mes jambes. Sa main glisse doucement dans ma culotte et sentir sa main en contact avec mon intimité me procure un tel plaisir que je gémi. Doucement il commence à faire de petit mouvement sur mon clito, je mouille beaucoup, il est très surpris vu que c’est la première fois qu’il touche l’intimité d’une fille, alors je le guide du mieux que je peux.

Je suis tellement bien là, que je ne voudrais pas que ça s’arrête, j’en oublie même que je suis au collège et que tout le monde pourrait nous surprendre. Il continue de me caresser, je sens monter mon plaisir, ça devient intense, je gémi de plus en plus, je sens un point s’intensifier entres mes jambes, et un courant se libère dans tout mon corps. Je jouie sous les caresses de Guillaume, sans pouvoir retenir un cri de plaisir qui s’échappe…

Moi : oh, OOOOOhh …..hummm….hummmm… mais,…. Je suis….

Je suis dans le noir de ma chambre et je comprends alors que tout ceci n’était qu’un rêve. Mais un rêve tellement bon, que j’ai vraiment jouie, et pour preuve, ma culotte est entièrement humide. Je n’en reviens pas, rêver ainsi de Guillaume, je ne me suis pas touchée depuis un moment, et je crois que j’avais vraiment besoin de me satisfaire.

J’ai terriblement soif, il me faut absolument un verre, alors je me lève et me dirige vers la cuisine. Je sens que ma culotte est trompée, et ça me gêne, je dois la changer. Je suis dans la cuisine quand je vois apparaître ma mère en T-shirt long.

Moi : tu ne dors pas ?
Maman : j’ai entendu quelqu’un se faire plaisir dans sa chambre ahaha
Moi : oh tu m’as entendu ?
Maman : il faut dire que tu n’étais pas très discrète ahaha
Moi : en fait j’ai fait un rêve, et je ne me suis pas rendu compte que je gémissais pour de vrai
Maman : oh, un rêve de Guillaume ? hihi
Moi : oui ahahaha, désolée de t’avoir réveillée
Maman : ce n’est pas grave, ça ma fait plaisir
Moi : ah, tu t’es touchée aussi ?

A ce moment là, elle soulève à peine son T-shirt pour me répondre, elle ne porte pas de culotte et me dévoile son intimité. Nous rions toutes les deux de la situation, nous terminons de boire puis nous repartons terminer notre nuit. Je ne fais pas souvent ce genre de rêve, et maintenant je sais que je ne suis pas discrète quant au plaisir que j’éprouve dans ces moments.

Le lundi de retour au collège pour de vrai cette fois, je retrouve avec plaisir Guillaume. Je ne peux m’empêcher de repenser à ce rêve de nous deux mais je garde tout ça pour moi. Nous discutons comme toujours de beaucoup de choses, et je découvre toujours un peu plus de lui.

Il m’attrape la main pour la caresser, ce que je trouve trop mignon sachant à quel point il est timide. J’aimerais l’embrasser de nouveau, mais devant tout le monde je ne pense pas qu’il soit prêt pour ça, ni même moi d’ailleurs. A chaque fois que je le quitte pour retourner en cours, je ressens comme un vide en moi, je voudrais tellement que ces moments durent plus longtemps.

Je me concentre du mieux que je peux en cours malgré le fait que je pense tout le temps à lui. Le soir de retour chez moi je me plonge comme d’habitude dans mes devoirs, je reçois également quelques messages de Guillaume me disant qu’il pense à moi et que je lui manque. Je suis toujours aussi joyeuse de recevoir ce genre de message et je cherche un moyen pour que l’on passe plus de temps ensemble. Peut être que je vais trop vite, je ne me projette pas dans le futur avec une vision de moi en robe de marié ou autres, mais je sais que je voudrais passer plus de temps avec lui.

Plus tard dans la soirée j’entends mon téléphone de nouveau sonner. Un nouveau message, je l’ouvre et c’est Thierry qui demande de mes nouvelles. Je discute longuement avec lui, des moments que nous avons passés, je lui dis également que je fréquente un garçon de mon âge et il est très content pour moi. Il me dit qu’il est très content d’avoir eu l’occasion de me connaître, et qu’il aimerait rester en contact avec moi malgré la distance.

Je sais qu’il est très gentil et qu’il est toujours de bon conseil, et j’aime aussi parler avec lui. Alors je lui dis oui pour rester en contact et se parler de temps en temps. Je ne sais pas sur le moment si ce que je fais là est bien ou mal, mais je sais que je ne veux pas faire de mal à Guillaume. En tout cas je suis très clair avec Thierry sur le fait que tout ce qu’on a fait doit rester notre secret.

Les jours suivants je revois Guillaume comme d’habitude, il me parle tendrement et m’attrape toujours la main d’une façon si douce, je lui manque beaucoup lorsque l’on se quitte pour aller en cours, et le soir il n’arrête pas de penser à moi. J’aimerais beaucoup lui demander de quelles façons il pense à moi le soir, mais je ne veux pas brusquer les choses, et je sais combien il est timide également, mais je pense que ce moment viendra.

Pour ce week-end nous avons prévu de passer du temps avec nos amis pour qu’ils apprennent à se connaître également. Au programme il n’y a pas d’escalade, mais une sortie au laser game, et surement un cinéma par la suite. Nous nous sommes retrouvés directement là-bas, nous avons fait équipe contre d’autres ados rencontrés sur place, et nous avons gagnés haut la main toutes les parties grâce aux garçons. Nous sommes ensuite allés au cinéma comme prévu et comme l’autre fois Charles et Jonathan ce sont placés dans les rangées plus basses, Estelle a alors saisi Kévin pour nous laissé tranquille.

Avec Guillaume nous rigolons de la façon de faire de nos amis, puis dans l’obscurité de la salle, nos mains se rejoignent et nos lèvres ne tardent pas à se retrouver également. Il m’embrasse avec tellement de douceur, mais je le sens aussi un peu nerveux. Peut-être qu’il a encore peur de mal s’y prendre ou autres, mais je le rassure…

Moi : j’adore tes lèvres, tu m’embrasse tellement bien
Guillaume : c’est vrai ? Je ne suis pas encore à l’aise
Moi : ne t’inquiètes pas, tu es très bon, et très doux aussi

Mes paroles ont pour effet de le réconforter et je le ressens lorsqu’il m’embrasse à nouveau, ses lèvres dansent avec les miennes et je sens sa langue s’inviter. Notre baiser devient plus chaud, je me sens si bien avec lui, mon cœur bat très fort et en posant ma main sur son torse, je me rends compte que le sien aussi cogne très fort.

Nous avons une nouvelle fois complètement oublié le film, mais peu importe, je vis ce moment avec Guillaume et c’est tout ce qui compte pour moi. Le film fini, nous restons un moment avec nos amis, à discuter de tout et de rien, mais je reste là à regarder ce garçon pour qui mon cœur bat, voulant retarder au plus le moment de nous quitter.

C’est la mère d’Estelle qui vient pour nous récupérer avec Kévin, je ne sais pas ce qui me prend, mais je me lance vers Guillaume et l’embrasse une dernière fois avant de le quitter. Il est surpris tout autant que nos amis, c’est la première que nous nous embrassons devant eux. Je n’ai pas pu me retenir, je voulais encore sentir ses lèvres sur les miennes avant de partir.

La voiture arrive, je le regarde une dernière fois au travers de la vitre avant de nous mettre en route. Sur le chemin, Estelle raconte à sa mère notre journée, mais je l’entends à peine, perdu dans mes pensées. Arrivée en bas de mon immeuble je dis au revoir à mes amis et les remercies encore pour cette journée. Je rentre dans le hall, et monte les escaliers toujours en pensant à Guillaume, j’ouvre la porte et je découvre ma mère à genoux devant le canapé, s’occupant d’un homme qui lui, est assis.

La scène devant moi n’a duré qu’un bref instant, mais l’image, elle, est resté bloqué dans ma mémoire. Ma mère se redresse aussi vite que possible pour remettre de l’ordre dans sa tenue, elle était encore habillée, mais avait juste dévoilé ses seins. Quant à l’homme, il se redresse aussi tentant de remettre son pantalon avec difficulté, ce qui me laisse le temps d’observer son sexe tendu.

Maman : euh.. ma chérie… tu es déjà rentré ?
Moi : oui je t’ai envoyé un message pour te prévenir
Maman : ah euh… je ne l’ai pas vue, excuse moi
Inconnu : euh je viens de me rappeler, j’ai un truc à faire, je dois filer
Maman : euh oui ok
Inconnu : bonjour, euh, au revoir je veux dire, et désolé pour….enfin… au revoir

Je vois cet homme passer la porte à une vitesse que je me demande s’il était bien présent il y a quelques secondes. Je regarde ma mère d’un air très surprise et nous nous mettons à rire toutes les deux de la situation.

Moi : je pensais me prendre un bon bain à mon retour, tu veux te joindre à moi ?

Je ris tout en lui posant la question, car en général c’est elle qui me propose de prendre un bain pour pouvoir en parler. Elle me regarde un peu perdu, rigole et me dit oui pour un bain. Je fais couler l’eau pendant que nous nous mettons nue, et une fois dans l’eau, c’est moi qui ouvre le sujet.

Moi : alors ? Tu vas me dire qui est cet homme ? (tout sourire)
Maman : euhh… c’est Laurent
Moi : quoi ?! Le mec nul au lit ?!
Maman : doucement, calme-toi ahaha, oui c’est bien lui
Moi : mais comment ? Pourquoi ?
Maman : hey bien en discutant avec lui, il m’a dit ne pas avoir eu beaucoup d’expériences, que son physique un peu gros l’empêchait souvent de faire des rencontres
Moi : oui mais je pensais que tu ne voulais plus le revoir
Maman : c’est ce que j’avais prévu au départ, puis il est revenu me parler
Moi : oui ça je le sais, mais comment tu en es arrivée à ce que j’ai vu dans le salon ?
Maman : hey bien, il m’a dit avoir beaucoup aimé nos ébats malgré le fait qu’il manque d’expérience, et il m’a demandé si on pouvait se revoir
Moi : pour coucher ensemble ?
Maman : non au départ c’était juste pour se revoir, puis en discutant il m’a dit que s’il avait l’occasion d’apprendre à s’occuper d’une femme, qu’il aimerait la saisir pour s’améliorer
Moi : et ?
Maman : et par la suite, je lui ai proposé d’apprendre avec moi
Moi : ok…
Maman : désolée, je n’avais pas vu ton message sinon tu ne m’aurais pas vu …
Moi : ahaha ne t’inquiète pas, j’ai été surprise oui, mais j’avoue qu’en y repensant c’est excitant ahaha
Maman : coquine va
Moi : je suis comme toi, c’est malheureux que je vous aie interrompu
Maman : je sais que si tu avais pu, tu nous aurais regardés en te faisant plaisir (sourire coquin)
Moi : oui comme l’autre fois où je t’ai regardé sur le canapé en train de faire l’amour avec l’autre homme
Maman : oui, j’avoue que j’ai beaucoup aimé ce moment
Moi : coquine va

Nous éclatons de rire à ce moment là, je pense que l’expression telle mère telle fille prend tout son sens avec nous. Nous sortons du bain et nous passons une soirée tranquille toutes les deux en lui racontant tout d’abord ma journée puis en regardant un film, jusqu’au moment de nous coucher. Je repense dans mon lit à ce que j’ai vu en entrant dans l’appartement mais aussi et surtout à Guillaume, un dernier message lui souhaitant bonne nuit et me voilà dans les bras de Morphée.
chapitre 49 image
Le reste du week-end se passa tranquillement, il faut dire que j’avais hâte de revenir au collège pour revoir Guillaume et passer du temps avec lui. D’ailleurs plus nous passons du temps ensemble, plus il prend de l’assurance, il m’attrape la main maintenant tout en se parlant et m’a même embrassé en public avant de se quitter, même si ça n’a pas durée longtemps.

Chaque soir comme d’habitude ma mère me demande comment s’est passée ma journée, et bien sûr en parlant de Guillaume, j’en suis venu à lui demander, si je pouvais le ramener chez nous le mercredi après-midi. Elle me sourit lorsque je lui demande cela, elle me répond oui puisqu’elle m’a promis de me laisser le voir librement. Elle m’a bien sûr mise en garde sur tout ce qui est rapport intime, elle sait que je suis très coquine mais elle prend son rôle de mère très au sérieux, et elle finit même par sortir de sa chambre une boîte de préservatifs.

Je suis surprise quand elle dépose la boîte sur la table devant moi, et nous rigolons toutes les deux surtout que je ne sais pas du tout m’y prendre pour l’appliquer sur un sexe en érection. Mais elle me rassure sur le fait que je vais savoir me débrouiller le moment venu.

Les jours passent et Mercredi après les cours je retrouve Guillaume à la sortie, d’habitude nous passons 1 heure ensemble avant de le laisser aller retrouver ses amis, mais aujourd’hui je lui propose de me raccompagner chez moi. Il accepte avec grand plaisir, sur le chemin je suis un peu nerveuse je dois l’avouer, et lui aussi je le sens tendu.

Arrivés devant mon immeuble je lui attrape la main et montons ensemble les escaliers. J’ouvre la porte et lui fait découvrir le petit appartement où je vis avec ma mère. Il dépose ses affaires à l’entré et je lui fais la visite, qui est plutôt rapide puisque l’appartement n’est pas très grand.

Nous terminons la visite par ma chambre, qu’il détails avec beaucoup de soins, et me pose des questions sur à peu près tous les objets et photos qu’il voit. Je le laisse s’installer sur mon lit en lui parlant de tout ce qui se trouve ici et je le trouve tellement mignon dans sa façon de m’écouter, que doucement je me rapproche de lui et finit par l’embrasser tendrement.

C’est la première fois que j’embrasse un garçon dans ma chambre, et bien que j’aie eu la permission de ma mère pour le ramener chez nous je me sens un peu nerveuse de ce que je fais là. Nous continuons de nous embrasser tendrement et peu à peu mes doutes disparaissent, je suis si bien avec lui à ce moment là. Nous nous installons confortablement dans mon lit, moi allongée, lui au dessus continuant de m’embrasser tout en me caressant la joue.

Ce moment pour moi est incroyable, et je commence à me sentir excitée de ce qui se passe là, mais Guillaume se redresse en me regardant dans les yeux…

Moi : ça ne va pas ?
Guillaume : euh, désolé, je ne sais pas si c’est bien ce que je fais
Moi : si, c’est parfait, tu m’embrasse très bien
Guillaume : merci, mais ce n’est pas ça, je suis chez toi et je sais pas si ta mère serait d’accord avec tout ça

Je rigole doucement en le regardant dans les yeux et en plaçant mes mains de chaque côté de son visage pour le rassurer…

Moi : je te rassure de suite, j’ai demandé à ma mère la permission que tu viennes chez nous
Guillaume : ah ok …
Moi : et je te rassure sur un autre point, elle est parfaitement au courant de ce qu’on pourrait faire ici
Guillaume : euh, comment ça ?

Je me redresse alors et sors de mon tiroir la boîte de préservatifs que m’a donné ma mère l’autre soir. Guillaume est sans réaction tellement il est surpris…

Guillaume : ah ok, euh
Moi : ahaha ta tête me fait trop rire
Guillaume : ta mère est d’accord avec ça ?
Moi : oui, elle est d’accord pour nous deux, c’est pour ça qu’elle voulait te rencontrer, pour au moins se faire une idée sur toi
Guillaume : mais elle ne m’a vu qu’une fois
Moi : oui mais je lui parle tout le temps de toi tu sais, et vous aurez d’autres occasions pour vous voir
Guillaume : tu as de la chance, ta mère est plutôt cool
Moi : oui, tu n’as pas idée, elle me donne beaucoup de conseils aussi
Guillaume : mais toi, tu te sens prête pour ça ?
Moi : je ne sais pas encore, je sais que je suis très bien avec toi
Guillaume : je le suis aussi, mais je ne crois pas que je sois tout à fait prêt encore pour le faire
Moi : hey, ne t’inquiète pas, ne te met pas la pression, on peut prendre notre temps
Guillaume : merci, tu es parfaite
Moi : hihi merci
Guillaume : en tout cas, même si je ne suis pas prêt aujourd’hui, je tiens à te dire que je suis très bien avec toi, et j’aimerais qu’un jour, que l’on fasse notre première fois à tous les deux
Moi : tu ne peux pas savoir à quel point tu me fais plaisir en me disant cela

A ses mots je ne peux m’empêcher de me rapprocher de lui et de l’embrasser à nouveau, il représente tout à mes yeux, tout ce que j’ai pu imaginer jusque là de mon premier amour. Je n’ai pas non plus d’exigences particulières le concernant, mais pour moi il représente le garçon idéal dont j’ai toujours rêvé. Nous avons passés l’après-midi à se parler, allongés l’un contre l’autre, à se raconter des histoires, et à s’embrasser encore et encore sans aller plus loin.

Dans ma chambre nous sommes à l’aise, à l’abris de tout regard, de tout dérangements, nous profitons de ce moment qui nous est offert, et je dois avouer que mon excitation me pousse à aller plus loin, mais je ne voudrais pas le brusquer.

Après toute une après-midi à se parler et s’embrasser, Guillaume est rentré chez lui vers 17H, et ma mère est arrivée pratiquement dans la foulée. En me voyant dans le salon elle me demande comment s’est passée ma journée, et je lui raconte tout. Elle rigole en sachant que Guillaume est plutôt nerveux et timide, mais elle le trouve mignon dans sa façon d’être avec moi, et elle est contente que je sois avec un garçon comme lui, d’ailleurs elle aimerait beaucoup le revoir et ainsi encore mieux le connaître.

Tout en se parlant je reviens également sur le sujet « Laurent », ma mère me dit qu’après le petit incident, Laurent s’est beaucoup excusé auprès d’elle. Bien sûr il n’a rien fait de mal, et apparemment elle compte le voir prochainement pour en discuter de vive voix et surtout, pour essayer de lui apporter plus d’expérience comme elle le dit.

Je lui parle donc du week-end qui vient, Guillaume part voir sa mère dans le sud, et les parents d’Estelle seront absents. Elle m’a donc proposé de passer le week-end avec elle et Kévin, ce qui pourrait également laisser le champ libre à ma mère pour voir Laurent en toute tranquillité. Ma proposition plaît beaucoup à ma mère, je sais qu’elle n’a pas du tout de sentiments envers cet homme, mais je me demande tout de même comment va se passer la suite de cette histoire.

Les deux jours suivants sont passés si vite que j’en suis triste, je n’ai pas eu l’impression de profiter de Guillaume comme les autres jours, de plus qu’aujourd’hui il était absent car il a prit le train pour aller voir sa mère.

Chaque fin de mois il part dans le sud pour passer du temps avec sa mère, il aimerait sans doutes vivre avec elle, mais il a choisi de rester avec son père pour ne pas perdre de vue ses amis comme il me dit. Mais il ne regrette pas du tout ce choix surtout depuis que nous sortons ensemble, et lorsque j’ai entendu ses mots pour la première fois, je peux vous dire qu’il m’a complètement chaviré le cœur.

Je suis dans ma chambre à regarder les photos qui sont sur mon téléphone, je n’en ai pas beaucoup encore de nous deux, mais le peu que j’ai déjà me donne le sourire à chaque fois. Comme chaque soir au moment de me coucher on se parle par message, on s’envoi beaucoup de cœur, des phrases du genre « tu me manques » ou encore « j’aimerais être avec toi » et « jtdr »

Oui car pour le moment aucun de nous n’a encore dit « je t’aime », peut-être par peur ou autres, je ne sais pas. Je sais par contre que j’ai de réels sentiments pour Guillaume, et je ressens la même chose quand il me regarde, mais pour le moment ses quatre lettres « jtdr » me suffisent totalement.

Il me dit que le voyage s’est bien passé et à peine à t’il vu sa mère, qu’elle lui a directement posé la question s’il a une copine, car apparemment ça se voit sur son visage. Il lui a tout raconté, et elle est contente pour lui, bien sûr une discussion plus sérieuse s’en est suivi, ainsi que des mises en gardes. J’imagine très bien la scène car je l’ai vécu il n’y a pas longtemps, et ça me fait rire.

Le sommeil commence à m’emporter alors nous nous souhaitons bonne nuit, demain je retrouve mes amis pour passer un bon moment avec eux, j’imagine aussi ce qui peut se passer du côté de ma mère avec Laurent, mais je sais que j’aurais tous les détails dès mon retour.
chapitre 50 image
Ce matin je me réveil en pleine forme, je regarde l’heure il est à peine 6H, je crois que j’ai trop pris l’habitude de me réveiller à cette heure ci pour aller en cours. Ce n’est pas grave je peux encore profiter un peu de mon lit, je dois retrouver mes amis vers 10H.

Je tourne un peu dans mon lit mais rien y fait, et doucement une petite envie me gagne. Ça fait quelques jours que je ne me suis pas touché, mais je n’ai pas seulement envie de me caresser mais aussi de voir des choses.

Alors je me dis pourquoi ne pas aller regarder quelques vidéos sur l’ordinateur, ma mère dort encore, elle aime profiter du week-end pour une grasse mat. Je me lève doucement, j’ouvre ma porte, celle de ma mère est fermée et je me dirige directement vers l’ordinateur.

A peine a t’il démarré que j’ouvre déjà une page internet à la recherche de la vidéo qui me donnera du plaisir. Je suis sur l’accueil du site et je regarde toutes les miniatures présentent et les titres. Il y a vraiment de tout sur ce site, mais une vidéo en particulier attire mon attention. C’est surtout le titre à vrai dire qui m’attire, car cette vidéo est la première fois d’un jeune couple.

Je clique sur la vidéo, et ils ont vraiment l’air d’ados, je ne sais pas s’ils le sont vraiment, et si c’est le cas comment cette vidéo a pu atterrir sur ce site. Mais toutes mes questions disparaissent assez vite pour ne laisser place qu’à mon désir. Je regarde le jeune couple s’embrasser, se toucher, se caresser, ils se retrouvent très vite nue tous les deux et la jeune fille a un très beau corps ainsi que son copain. La fille se laisse principalement faire, elle est allongée sur un drap noir, et elle a une poitrine magnifique et assez grosse, à me rendre limite jalouse.

En regardant la vidéo bien sûr mes mains ont commencés à parcourir mon corps, je me caresse comme j’aime le faire, et plus rien autour n’existe pour moi. Pourtant la situation est particulière, car je ne me suis jamais caressée devant l’ordi, le matin, la pièce bien éclairé au risque de me faire surprendre par ma mère, car même si je l’ai déjà fait en journée, ma mère était toujours absente dans les cas précédents.

Mais tout ça me semble si loin, aujourd’hui je sais que je peux le faire sans avoir peur d’être surprise ou qu’elle me juge, alors autant être à l’aise. J’enlève tout les vêtements que j’ai sur moi, pour me retrouver entièrement nue devant l’ordinateur. Je pose mes pieds sur le bureau en ouvrant mes jambes et ma main s’active sur mon sexe déjà bien humide.

Je n’ai pas mis le casque sur mes oreilles, et de toute façon la vidéo n’a pas beaucoup de son. On entend parfois la fille gémir mais de façon discrète. A ce moment en regardant cette vidéo je m’imagine avec Guillaume pour notre première fois, la fille est toujours allongée, les jambes ouvertes, et son mec se rapproche, le sexe tendu en direction de son intimité.

Il fait glisser le gland entres ses lèvres, je ressens à ce moment là le même plaisir, comme si j’y suis. Doucement le garçon s’introduit en elle, et je peux voir l’expression sur le visage de la fille, elle ferme les yeux, bascule légèrement sa tête en arrière. Elle semble prise entre une légère douleur, et un plaisir immense que de ressentir ce sexe dur, glisser entres ses jambes.

Je m’introduis également quelques doigts, et je rythme mes vas et viens à ceux du garçon qui pénètre en douceur la jeune fille. Ce sexe tendu est plutôt grand, bien droit, et dépourvu de poils tout comme le sexe de la fille, je m’imagine celui de Guillaume, sa taille, sa forme. J’aimerais tellement y être déjà, le ressentir en moi, lui donner du plaisir.
Je me caresse toujours au rythme du couple devant moi, et je ressens beaucoup de plaisir à me toucher en jalousant cette fille, avec ses seins, lourds, qui bougent à chacun des coups de son mec.

Je l’entends gémir doucement à chaque fois que ce sexe s’introduit en elle, et je fais de même au milieu du salon en me caressant. Je sens très vite le plaisir monter en moi, ce moment de jouissance qui pointe le bout de son nez. Je regarde toujours le couple faire l’amour devant moi et toute cette tension s’accumule en un point précis. Je fais de mon mieux pour me retenir, pour retarder ma jouissance, je sens que ça devient très dur et sous mes caresses, je jouis.

Mon corps tout entier se contracte, et je sens ce courant me parcourir. Je laisse échapper un gémissement qui est loin d’être discret, mon plaisir est tellement grand que je perds toute notion de temps et d’espaces. Il me faut bien quelques minutes pour récupérer, et j’entends doucement, le couple gémir jusqu’à la jouissance. Je me redresse, l’homme est en train de se finir sur le ventre de la fille, je vois beaucoup de sperme s’étaler sur elle, jusque sur ses gros seins.

Je suis encore toute retournée par mon plaisir, j’ai besoin d’une bonne douche, alors je ferme la page internet et je me lève en direction de la douche. Dans le couloir il n’y a personne, je suis limite un peu déçue, comme si je voulais être surprise, mais la porte de la chambre de ma mère est toujours fermée.

Je suis sous la douche, l’eau coule sur mon corps et ça me fait beaucoup de bien, je me suis réveillée en forme ce matin, et j’ai bien commencé la journée je dois dire. Après ma douche je m’habille, mes affaires sont déjà prêtes pour passer la nuit chez Estelle, alors je vais me prendre mon petit déjeuner.

Dans la cuisine je retrouve ma mère, elle a dû se lever pendant que j’étais sous la douche. Nous parlons un peu de ce qui est prévu aujourd’hui, de mon côté je vais surtout suivre Estelle et Kévin dans les activités qu’ils voudront faire, pour ma mère, elle a prévu de voir Laurent cet après-midi.

L’heure passe, je contacte Estelle et Kévin pour savoir s’ils sont prêts, et nous partons tout d’abord récupérer Kévin et ses affaires, pour les déposer avec les miennes directement chez Estelle. Aujourd’hui mes amis veulent commencer par un bowling, il faut dire que la dernière fois je me suis bien amusée, et que je ne me suis pas trop mal débrouillée.

Nous commençons quelques parties, et Kévin nous met la misère à chacune, je crois que je viens de perdre foie en moi concernant le bowling. Mais je ne baisse pas les bras, on se dirige vers la salle d’arcade et là c’est Estelle qui nous bat royalement au basket et au hockey sur table.

Même si je perds je passe un excellent moment avec eux à rire, et à se prendre en photo. Nous déjeunons sur place, un hamburger pour chacun avant de partir et d’aller au centre commercial. Comme d’habitude nous allons à la boutique de jeux vidéo, c’est toujours le paradis pour Kévin tandis qu’Estelle et moi sommes à la recherche du beau mec qui y travail, mais malheureusement aujourd’hui il n’est pas là.

Par la suite nous allons dans les boutiques faire quelques achats, et particulièrement la boutique de sous vêtements. Kévin est bien plus à l’aise maintenant, surtout que l’on rigole beaucoup à chaque fois qu’on lui demande son avis sur les strings, tangas et autres que nous lui présentons. Estelle me taquine aussi en me disant que certains plairont beaucoup à Guillaume et de là lui vient une petite idée.

Estelle : je voudrais jouer à un jeu avec vous
Kévin : euh lequel ?
Estelle : je me charge de sélectionner des sous vêtements pour vous deux, et par exemple toi Kévin tu en choisi pour Julia et moi
Moi : et moi pour Kévin et toi ?
Estelle : c’est ça ahaha
Moi : ahaha c’est quoi ton délire ?
Estelle : c’est pour s’amuser, on peut en choisir des sexy comme des sous vêtements amusants
Moi : ok chiche
Estelle : ok on se dit 3 sous vêtements chacun alors
Kévin et moi : d’accord

L’idée d’Estelle me plaît beaucoup, alors j’encourage Kévin à trouver ce qu’il y a de plus sexy à ses yeux. Ce qui va sans doute plaire également à Guillaume. Nous partons chacun de notre côté, on se croise dans les rayons parfois et ne manquons pas de rire à chaque fois. Les achats terminés nous sortons de la boutique avec nos poches en main, mais nous verrons tout ça une fois rentrés.

Nous avons passés l’après-midi dans les boutiques et nous finissons notre sortie par un cinéma avant que la mère de Kévin ne passe nous prendre vers 18H. Une fois chez Estelle, nous nous installons dans le canapé, et commençons à discuter de beaucoup de sujets.

On se parle aussi des vacances et je reviens sur un sujet sur lequel Estelle ne s’est pas très entendue la dernière fois.

Moi : dis-moi Estelle, tu m’as parlé d’un garçon pendant tes vacances, mais tu ne m’as pas dis ce qui s’est passé avec lui
Estelle : euh…
Kévin : allez, c’est toujours toi qui nous lance sur des sujets intimes, on veut savoir
Moi : ahaha merci de ton soutien Kévin

C’est rigolo de voir Kévin aussi curieux, d’habitude il est timide, mais c’est peut-être pour taquiner Estelle suite à son hésitation.

Estelle : ahaha ok ça va Mulder et Scully, je vais tout vous dire. J’ai rencontré un garçon qui s’appelle Corentin, on a bien parlé, on s’est revu plusieurs fois.
Moi : c’est tout ?
Estelle : non on s’est embrassé et …
Kévin : et ?
Estelle : et on a fait des choses voilà
Moi : ouuuu des choses comme quoi ? hihi
Estelle : j’ai fait ma première fois avec lui

Kévin et moi restons silencieux, étonnés de ce qu’Estelle vient de nous balancer. Pour le coup je voudrais lui poser tellement de questions, mais je ne sais pas si c’est le bon moment, surtout en présence de Kévin, mais après tout elle vient de nous le dire alors pourquoi pas.

Moi : mais je pensais que tu voulais que ta première fois soit spéciale
Estelle : oui je le voulais, mais je dois dire qu’il m’a complètement fait craquer
Moi : mais tu ne regrette rien ?
Estelle : non au contraire, il a été très doux, à l’écoute, et m’a mis à l’aise
Moi : ça ne t’a pas fait trop mal ?
Estelle : j’ai eu mal, ce n’était pas très agréable au début, mais je m’attendais à bien pire
Moi : et à part la douleur, comment tu t’es sentie toi ?
Estelle : honnêtement, pas très bien sur les premiers instants, je me suis demander ce que je faisais là, etc, et après j’ai commencé à ressentir du plaisir
Moi : tu as jouie ?
Estelle : non, mais j’ai vraiment aimé ce que j’ai ressentis, et comment il m’a fait l’amour
Moi : et vous avez recommencé ?
Estelle : oui et je peux te dire que j’ai vraiment pris beaucoup de plaisir
Moi : tu me donnes envie de vivre la même chose
Estelle : ça va arriver j’en suis sûre et…. Ba Kévin tu en fais une tête, ça va ?

Kévin est resté bien silencieux pendant cette conversation, mais il est bien là et totalement surpris de tout ce qu’il vient d’entendre. Mais je sais qu’avec le temps il va finir par s’y faire à nos conversations intimes, et bien qu’il soit timide, c’est notre ami avant tout, et on ne voudrait pas le mettre à l’écart dès que l’on engage un sujet comme celui-ci.
chapitre 51 image
Après cette fameuse conversation, Kévin est de nouveau parmi nous, et pour enchaîner, Estelle nous propose de découvrir les fameux sous-vêtements que nous avons achetés.

Nous ramenons les poches dans le salon et là encore Estelle à une petite idée derrière la tête.

Estelle : j’ai envie que l’on s’amuse un peu plus
Moi : c’est-à-dire ?
Estelle : ba ce n’est pas très drôle de juste montrer les sous vêtements qu’on a acheté pour les autres
Moi : si je comprends bien, tu veux refaire un défiler comme l’autre fois ?
Estelle : exactement ahaha
Kévin : euh moi aussi je vais devoir défiler ?
Estelle : hey oui mon petit Kev, nous aussi on veut bien voir ahaha
Kévin : euh je ne suis pas sûr de …
Moi : euh moi non plus, je te rappelle que je suis avec Guillaume
Estelle : et ?
Moi : je doute que ça lui fasse plaisir d’apprendre que je défile en sous vêtements devant un autre garçon
Estelle : Kévin n’est pas un autre garçon, c’est ton meilleur ami comme le mien, et on a déjà fait ça avant
Moi : justement c’était avant
Estelle : je pense que ta relation avec Guillaume ne devrait pas changer la relation que tu as avec Kévin ou moi, il ne changera pas sa relation avec ses amis, donc tu es libre d’en faire de même
Moi : mmmm…
Kévin : Estelle à raison
Moi : ah bon ?
Kévin : oui, je veux dire, que je ne voudrais pas perdre ton amitié, tout ce qu’on a construit et vécu parce que tu es en couple
Moi : mmm, je vois, c’est vrai vous avez raison, je ne voudrais pas vous perdre ou changer quoi que ce soit entre nous, parce que j’ai une relation
Estelle : alors ne change rien, reste toi-même
Moi : vous êtes les meilleurs amis du monde,…je vous aime

Je les prends dans mes bras, limite à verser une larme, il est vrai que j’ai des sentiments pour Guillaume, mais pour rien au monde je ne voudrais perdre mes amis, ils ont toujours été là pour moi. Et si je suis qui je suis aujourd’hui, c’est en parti grâce à eux, et au soutient qu’ils m’ont apportés depuis le début.

Estelle : alors on se le fait ce défiler ?
Moi : je suis partante
Kévin : euh…
Estelle : ah tu ne veux pas perdre notre amitié alors tu défile

Nous éclatons de rire tous les trois, et Kévin se prête alors au jeu. La consigne est simple, nous allons passer un par un pour défiler devant les autres sur une bonne musique. Nous avons préparés les sous vêtements dans plusieurs poches. La personne qui défile, découvre le sous vêtement au moment de se changer dans la chambre, et pour commencer nous tirons à la courte paille.

Le hasard décide que c’est Estelle qui passe la première, suivi de Kévin, et pour terminer, moi. Alors pour le 1er tour, on décide de commencer par des sous vêtements amusants, Kévin donne à Estelle une poche avec laquelle elle va dans la chambre. Je lance la musique sur la mini chaîne du salon, et nous découvrons Estelle vêtu d’un petit haut et d’une petite culotte avec le logo de Batman.

J’éclate de rire en découvrant la culotte que Kévin à choisi pour Estelle, mais je dois avouer qu’elle reste sexy avec. Elle tourne sur elle-même pour nous montrer ce sous vêtement sous tout les angles, elle est vraiment à l’aise devant nous. A mon tour je donne une poche à Kévin et le voilà parti dans la chambre pendant qu’Estelle s’installe à mes côtés toujours avec sa culotte Batman.

Kévin apparaît timidement encore caché un peu dans le couloir, il hésite beaucoup mais nous l’encourageons au maximum, il respire, prend son courage à deux mains et se lance. Devant nous il défile en ayant gardé son T-shirt mais pour le bas il est vêtu d’un caleçon gris, qu’il cache un peu avec ses mains.

Estelle l’encourage à se laisser aller, et de retirer ses mains, ce qu’il finit par faire, et elle se demande bien où est le côté amusant de ce caleçon. Je demande à Kévin de se retourner alors et nous pouvons lire une inscription sur ses fesses « mannequin professionnel ». Nous sommes toutes les deux en train de rire en regardant les fesses de Kévin et l’inscription dessus.

Il est un peu gêné mais se met à rire de la situation également, il commence à se laisser aller et s’amuser. C’est à mon tour, je prends ce que me donne Estelle, et je vais me changer dans la chambre. En voyant ce que je vais porter devant eux je ne peux m’empêcher de rire, je retire ce que je porte et enfile cette culotte.

J’ouvre la porte et me dirige directement vers le salon, je joue le jeu, je défile sur la musique en posant, puis Estelle me demande de ne plus bouger afin de pouvoir mieux regarder cette culotte. Il y sur le devant un panneau warning jaune avec écrit dedans « chat méchant ». Kévin éclate de rire en voyant ma culotte tandis qu’Estelle me prend en photo pour immortaliser ce moment.

On recommence avec Estelle, je lui donne sa poche et la voilà parti. Elle revient très vite en défilant et en prenant la pose, nous montrant très bien ses fesses avec écrit dessus « c’est pas la culotte de mémé ». Je la prends également en photo pendant qu’elle pose, alors que Kévin se pli de rire à côté.

Estelle me rejoint, donne à Kévin sa poche et il disparaît dans la chambre. Il revient encore un peu timide et en disant à Estelle qu’elle exagère. Je me demande bien pourquoi, jusqu’à que je le vois défiler devant nous et apercevoir la tête d’un éléphant sur le devant de son caleçon. Nous sommes repartis dans un fou rire en n’oubliant pas de prendre une photo.

C’est de nouveau mon tour, je prends la poche de Kévin et je vais dans la chambre. Je rigole encore bien sûr en découvrant la culotte, aussitôt, je l’enfile et je défile. Je porte une culotte jaune avec un mignon Pikachu sur le devant, Estelle adore, elle est complètement fan, et je pose pour une nouvelle photo.

La catégorie amusante est terminée, et nous passons au côté sexy, Estelle se lève, prend la poche que lui donne Kévin et disparaît. Elle revient très vite toujours vêtue de son petit haut mais aussi d’un magnifique shorty blanc, et je dois dire qu’il va très bien à Estelle. Elle prend la pose et j’immortalise le moment, avant qu’elle s’installe et que je donne à Kévin une poche.

Elle se demande bien ce que j’ai pu choisir pour Kévin, mais je lui dis que je suis resté plutôt sage dans mes choix, surtout ne sachant pas qu’il allait défiler devant nous. Kévin nous revient avec un caleçon bleu avec quelques motifs, il prend également la pose pour la photo, et semble s’amuser de plus en plus.

A mon tour, je prends la poche de Kévin, je sais que ses choix sont sages et donc je me réserve ceux d’Estelle pour la fin. Je reviens très vite vêtu d’un shorty en dentelle couleur rouge avec un petit nœud devant. Estelle me siffle, il est très sexy et me va parfaitement, je me dis alors que Kévin à très bon goût.

Estelle se lève et part avec une de mes poches vers la chambre, l’ambiance est devenue plus calme, il n’y a plus de fou rire, il y a maintenant des sifflements, mais aussi des regards attentifs de la part de tous. Estelle revient et le tanga shorty que je lui ai choisi lui va trop bien, il est de couleur mauve sombre ce qui laisse clairement transparaitre sa couleur de peau, sans trop en dévoiler non plus.

Kévin est clairement dans un autre monde, mais c’est à son tour, il prend la poche d’Estelle et s’en va. Il revient devant nous vêtu d’un caleçon noir, qui à une très belle coupe et qui je dois dire lui va très bien. On se met à le siffler pendant qu’il pose, et Estelle lui demande de retirer son T-shirt. Kévin hésite un peu, mais nous l’encourageons et il sait que nous ne le jugerons jamais sur son physique, alors il le retire devant nous. On le siffle de nouveau, il sourit timidement mais il semble content de lui.

Je me lève en faisant un bisou à Kévin qui le fait sourire de plus belle, je prends la poche d’Estelle et disparais. Quand je vois ce qu’Estelle à choisi pour moi je suis un peu surprise, de plus que je dois défiler avec ça devant eux. La dernière fois j’avais déjà défilé en culotte dentelle, mais là, je me sens un peu timide et légèrement excitée. Je suis sûre que Kévin sera un peu gêné et qu’il va aimer en même temps, puis je repense à ce moment sur la plage où je passais en maillot devant des jeunes et des hommes. Je me suis souvenue de cette sensation de susciter le désir, tout comme avec Thierry, alors je me suis mise à sourire coquinement dans la chambre tout en enfilant ce sous vêtement.

Je sors de la chambre et me voilà devant mes amis, je tourne, pose, me retourne, et les sifflements d’Estelle m’encourage tandis que le regard de Kévin à la fois perdu et ébahit m’excite encore plus. En effet je porte un tanga en dentelle, mais qui laisse clairement voir mes fesses à travers le tissu. Décidément Estelle est très coquine même avec ses amis, et c’est son côté folle que j’adore par-dessus tout. Elle n’oublie pas de prendre une photo avant que je ne regagne ma place.

C’est au tour d’Estelle de repartir se changer avec la dernière poche de Kévin. Pendant ce court instant je vois de petits regards de Kévin vers moi, il semble un peu gêné alors je rigole ce qui le détend un peu et finit par le faire rire aussi. Je lui dis de profiter du spectacle et de se laisser aller.

Estelle revient dans le salon, et disant haut et fort que Kévin est bien un petit coquin. Il devient tout rouge mais il rigole tout de même de la remarque et en effet, Estelle porte un tanga en dentelle rouge avec des triangles espacés sur les fesses qui laissent clairement voir sa peau dessous. A la voir comme ça prendre la pose, je suis totalement surprise et me sens très excitée. Je la prends en photo de face, de profil et aussi de dos en prenant une pose aguicheuse.

Kévin se lève, je lui donne ma dernière poche pour lui et il regagne la chambre. Estelle me regarde tout en me souriant et me dit qu’en regardant bien Kévin, il semble avoir un beau paquet. Je rigole lorsqu’elle me dit ça, car je me faisais exactement la même réflexion, et je lui avoue que je commence à me sentir excitée par notre petit jeu. Elle me répond qu’elle aussi tout en me faisant un clin d’œil avant de voir Kévin réapparaître.

Kévin porte un caleçon blanc plutôt petit, plutôt sexy et qui accentue la grosseur de son paquet. Il est au départ un peu hésitant, mais nos sifflements lui font perdre toute timidité par la suite, et il commence même à poser en levant les bras comme pour imiter un bodybuilder. Kévin prend de plus en plus confiance en lui et j’aime le voir comme ça, tout comme Estelle, et nous l’applaudissons bien fort pendant qu’il nous rejoint sur le canapé.

Je me lève, je prends la dernière poche de Kévin, et dans la chambre je me dis que ce jeu commence à devenir très coquin. Et quand je découvre ce que m’a choisi Kévin, je me dis clairement qu’il cache bien son jeu, mais sans plus attendre j’enfile le sous vêtement, et c’est très excitée que je regagne le salon.

Encore une fois je défile en suivant la musique et en prenant des poses de plus en plus aguicheuses, je joue le jeu à fond, et ça m’excite de sentir le regard des mes amis sur moi. Kévin m’a choisi un shorty tanga en dentelle de couleur noir et rose, le tissu est transparent sur sa quasi-totalité sauf un minuscule triangle cachant tout juste mon intimité. Mes amis me sifflent, m’encourage toujours plus tout en me prenant en photo, puis je m’installe sur le canapé sous le regard de Kévin qui ne me lâche plus.

Estelle se lève et prend sa toute dernière poche, la mienne, et je lui ai réservé une petite surprise. Ce sous vêtement était censé être pour elle dans son intimité, mais comme nous avons décidé de défiler, je l’ai réservé pour la fin.

Estelle nous rejoint, et elle regarde directement dans ma direction pendant qu’elle avance. Son sourire coquin me laisse penser que la situation l’excite beaucoup, et je dois avouer que je ne pensais pas qu’elle défilerait avec ce que je lui ai choisi là. J’ai choisi un string blanc en dentelle, très petit et transparent, il y a une petite étoile sur le devant pour tenter de cacher quelque chose. Mais je crois que je me suis trompée, car on distingue tout de même son petit duvet de poils en triangle qui est lui aussi très petit et très sexy sur elle.

Sous nos applaudissement elle se déhanche encore, pendant que je la prends en photo, puis elle pousse le jeu un peu plus loin en se mettant de dos, les fesses bombés, et en retirant son haut pour se retrouver avec pour seul vêtement ce petit string. Elle cache bien sûr sa poitrine avec ses mains tout en revenant s’assoir.

Kévin se lève en vitesse pour aller dans la chambre, Estelle me regarde en rigolant…

Estelle : je crois qu’il bande hihi

J’éclate de rire, mais je pense qu’elle a surement raison, puis Kévin revient, mais il reste dans le couloir, et nous l’encourageons du mieux que nous le pouvons. Mais Estelle a fait très fort sur ce coup là, surtout envers Kévin, puisqu’il se lance et défile avec un caleçon en dentelle noir et rouge, ses fesses sont clairement visibles, et je m’aperçois que son paquet l’est aussi en partie. Je peux voir le peu de poils qu’il a et la base de son sexe, ce qui me surprend beaucoup. Je ne pensais pas voir ça de Kévin un jour, mais je le vois là, et je me sens vraiment excitée même si c’est mon ami.

Je n’ai pas un sentiment de désir pour Kévin, mais ce jeu, de voir et d’être vue m’excite terriblement. Je me lève à mon tour, je prends la dernière poche d’Estelle et après tout ce que j’ai vu, je me doute qu’elle me réserve quelque chose de spécial pour la fin. J’ouvre la poche et je n’en crois pas mes yeux, je me doutais de quelque chose mais là. J’hésite vraiment à mettre ce sous vêtement pour défiler, mais je suis tellement excitée, et curieuse de voir la réaction de mes amis que je ne peux m’empêcher de le mettre et de sortir de cette chambre.

Estelle est vraiment coquine d’avoir choisi un vêtement comme celui là et de proposer un défiler, et c’est sous le regard attentif de mes amis que je m’avance. Je défile, tout en prenant mes fameuses poses, et je croise les regards plongés vers ce bout de tissu. Je porte un tanga noir encore une fois, mais il est tout particulier, à l’arrière sur mes fesses le tissu n’a pas de motifs et est totalement transparent, de plus le tissu est ouvert tout le long de la raie des fesses, et des lacets zig zag du haut vers le bas. A l’avant le tanga est ouvert en triangle et se referme juste au dessus de mon intimité, de petits lacets plus fin zig zag de la même façon qu’à l’arrière. Mais bien que je porte ce tanga sur moi, il laisse apparaître en transparence mes fesses, et mon intimité.

Estelle me siffle et m’encourage à faire comme elle, c’est-à-dire enlever mon haut. Sur le moment je suis totalement excitée et je me laisse guider par ce que me dit Estelle. Je me retourne, et j’enlève mon haut ainsi que mon soutien gorge, pour me retrouver seins nue devant mes amis. Je me retourne en cachant mes seins et m’avance vers le canapé.

Je me retrouve très près de Kévin et je lui demande alors si le spectacle lui à plu. Ses yeux parcours mon corps et se fixent sur mon tanga, je crois alors qu’il vient de se rendre compte que l’on peut voir mon intimité au travers du tissu. Kévin est sans réaction face à moi, je ne suis pas nue, mais donner la possibilité d’être vue ainsi me transporte totalement.

Estelle me saisie par la main, et m’entraîne directement dans la chambre. Après avoir refermé la porte, nous nous mettons à rire comme des folles, je deviens de plus en plus coquine au fil du temps, même avec mes amis.
chapitre 52 image
Dans ma tête je me mets à repenser à ce que je viens de faire là, ce défiler, les sous vêtements et cette façon de me montrer devant mes amis. J’espère que je n’ai pas été trop loin, surtout envers Kévin, et envers Guillaume. Sur le moment j’étais très excitée, d’ailleurs je le suis encore un peu mais je me rends compte que mon excitation m’emmène dans un autre monde.

Je suis toujours en train de me remettre en question, alors qu’Estelle est devant moi, elle remarque que je suis devenue bien silencieuse.

Estelle : hey ma Ju, ça ne va pas ?
Moi : mmm, euh, …si, si, ça va
Estelle : non, quelque chose te tracasse, je le vois bien
Moi : c’est que je pense à Guillaume
Estelle : je suis désolée, je voulais seulement qu’on s’amuse
Moi : oui je sais, mais j’ai peut-être été trop loin avec ce dernier sous vêtements devant Kévin
Estelle : honnêtement je ne pensais pas que tu viendrais défiler avec celui-ci
Moi : c’est que j’étais très excitée, et je n’ai plus réfléchie
Estelle : c’est surtout de ma faute
Moi : non, j’aime beaucoup ta folie, et ta liberté d’esprit, et c’est avec toi que l’on s’amuse le plus
Estelle : c’est vrai que par rapport à vous deux, je suis plus libre
Moi : et coquine, tu as oublié ahaha
Estelle : c’est vrai ahaha
Moi : mais je te rassure, on aime ça ahaha

A force de parler nous avons oublié Kévin qui est venu frapper à la porte, il veut aussi pourvoir se rhabiller puisque toutes ses affaires sont dans la chambre d’Estelle. On se change en vitesse avant de lui laisser la place. En sortant de la chambre Estelle me fait la remarque que notre petit Kévin semble avoir largement de quoi satisfaire une fille, et nous voilà reparties dans un fou rire.

Le temps est vite passé à force de s’amuser, il est pratiquement 20H, comme la dernière fois nous descendons commander une pizza juste au coin de la rue, puis de retour à l’appartement nous mangeons tranquillement devant un film d’horreur. Après le film nous passons chacun notre tour à la douche, et en revenant au salon je vois qu’Estelle est avec Kévin devant l’ordinateur. Elle transfert les photos prise sur son téléphone lors de notre défilé et elle ne manque pas de les regarder et de les commenter.

En voyant les photos on ne peut s’empêcher de rire sur les premières, surtout en passant par celle de Kévin et de son petit éléphant. Puis les sous vêtements deviennent plus sexy, et les poses le sont tout autant, mais Estelle prend le temps de les regarder, de les détailler et de nous dire qu’ils nous vont très bien. En faisant défiler les photos la dernière série de sous vêtements est vraiment plus sexy.

Je commence à être excitée de les regarder surtout en compagnie de Kévin, et je me demande ce qui se passe dans sa tête en ce moment, mais je n’ai pas besoin de me poser la question plus longtemps, puisqu’Estelle lui demande directement si le défiler lui à fait de l’effet.

Kévin : euh….
Estelle : tu peux nous le dire, vas-y
Kévin : mais vous êtes mes amis
Estelle : ba tu peux nous le dire, on ne te jugera jamais tu sais, et puis c’est normal, tu ne peux pas toujours te contrôler
Kévin : c’est vrai…
Estelle : alors ça t’a fait de l’effet ?
Kévin : euh oui
Estelle : et toi Ju ?

Alors là je ne m’attendais pas à ce qu’elle me pose la question aussi, mais Kévin a été honnête alors je ne vois pas pourquoi je ne le serais pas aussi.

Moi : oui, ça m’a fait beaucoup d’effet
Estelle : hey bien voilà, ahaha, alors moi aussi ça m’a beaucoup excitée, et même là encore en regardant les photos
Moi : mais toi alors ahaha
Estelle : ba quoi ? Je suis franche, c’est tout. Et dis Kev, je peux te poser une question ?
Kévin : euh oui
Estelle : c’est la première fois que l’on te voit en caleçon, et apparemment t’es bien …
Moi : équiper
Estelle : oh la cochonne !!!
Moi : ba non mais tu mets du temps à le dire ahaha
Kévin : euh (en rougissant)
Estelle : non mais sérieux tu as déjà mesuré ton sexe ?
Kévin : euh non, pour quoi faire ?
Estelle : ba vous faites tous ça, vous les mecs, non ?
Kévin : non pas moi
Estelle : d’accord, bon en tout cas, avec Ju, on s’est dit que ta copine sera comblée d’après ce qu’on à pu voir
Kévin : ah euh, … merci
Estelle : tu nous la montre ?
Kévin : hein quoi ?!!!
Moi : non, elle t’embête, ne fais pas attention à ça
Estelle : ahahah rooo, je rigole …

Tout en disant cela elle passe sur les photos suivantes et nous voilà sur Estelle et son fameux petit string blanc. Elle rigole en s’exclamant qu’il est vraiment petit et qu’elle ne s’en est pas vraiment rendu compte. Elle change encore et elle nous montre très bien ses fesses sur celle-là…

Estelle : j’ai vraiment un beau cul, n’est ce pas Kévin ?
Kévin : euh oui

On éclate de rire à nouveau, j’espère que les voisins ne nous entendent pas trop, mais la réaction de Kévin à ce moment est trop drôle. On change encore de photo et là Estelle n’a plus de haut, seulement son string. De mon côté je suis vraiment excitée, alors je n’imagine pas comment Kévin doit se sentir. Pour rire un peu je fais la remarque qu’au travers du string on voit très bien les poils d’Estelle taillé en triangle. Ce qui nous fais rire de nouveau mais je me calme très vite car la photo qui suit c’est celle où je suis avec ce shorty à lacet transparent.

Encore une fois Estelle, n’hésite pas à faire des commentaires tout en agrandissant les photos, et moi je suis à la fois honteuse et excitée de me voir ainsi sur l’écran, surtout sur celle où je suis seins nues. Mais quand j’y repense, j’ai déjà fait des photos plus hots que ça, avec ma cousine sous la douche et pour mes cousins. A ce moment là, mon honte commence à disparaître pour ne laisser place qu’à l’excitation d’être ainsi observée, la même sensation que j’ai eue lorsque j’étais devant Kévin avec ce shorty.

Heureusement pour moi que c’était la dernière photo, car mon excitation devenait insupportable, j’ai envie de me toucher d’ailleurs mais je peux encore me contrôler. Estelle referme son ordi, il commence à se faire tard, mais je pense que personne n’est fatigué après tout ça. On se dirige tout de même vers la chambre, nous préparons le matelas pour Kévin, je dors avec Estelle comme la dernière fois.

Tous les trois allongés dans la chambre, nous continuons de parler de tout, Estelle me pose pas mal de question sur ma relation avec Guillaume, mais je lui dis que pour le moment il est encore timide sur le plan intime, que je ne veux pas le brusquer et que je vais laisser les choses se faire à son rythme. Il est pratiquement 2h du matin lorsque nous éteignons la lumière pour s’endormir, et je dois dire que je suis tombée comme une masse.

Lorsque je me réveille il est 10H, je suis surprise, mais je ne suis pas la seule à avoir fait ma limace aujourd’hui puisque les autres dorment encore. J’ai une grosse envie de faire pipi, alors je me lève pour me rendre discrètement aux toilettes, pendant que je suis sur le trône, je ne peux m’empêcher de repenser à notre défiler.

Je sors des toilettes et en me rendant dans le salon je remarque l’ordinateur d’Estelle sur la table basse. Je l’ouvre, il n’a pas de mots de passe, et je vais dans ses photos pour regarder de nouveau celles prises hier. En regardant les photos, je me sens déjà très excitée, j’hésite un peu, mais mon envie est trop grande, alors je glisse directement ma main dans ma culotte pour me caresser.

Je regarde les photos d’Estelle dans son joli petit string, et aussi celle de Kévin dans son caleçon en dentelle, je me caresse toujours et en me voyant sur la photo dans ce shorty, je ne peux m’empêcher de repenser à ce moment, mon corps dévoilé devant mes amis. Je me touche tout en me regardant seins nus, les mains sur la poitrine…

Kévin : ah tes là ?

Je suis prise de panique, je retire ma main de ma culotte, et je me pose mille questions, est-ce qu’il vient tout juste d’arriver ? A-t-il vue que je me touchais ? Pourquoi je ne l’ai pas entendu arriver ? ….

Je ne sais carrément plus quoi faire, et au moment de lui répondre il s’installe à mes côtés…

Kévin : ah tu regardes les photos ?
Moi : euh, … oui je rigolais en les regardant, c’était amusant
Kévin : euh oui je me suis bien amusé
Moi : j’ai vu ça, tu n’avais plus honte à un moment et tu t’es lâché, c’est bien
Kévin : oui et toi aussi d’ailleurs
Moi : j’avoue que j’étais excitée, et que je me suis lâchée aussi
Kévin : Estelle à des jeux plutôt coquins, j’ai vraiment été surpris quand elle m’a demandé de vous montrer mon sexe
Moi : ahaha tu sais comment elle est, elle voulait t’embêter
Kévin : oui je sais
Moi : tu l’aurais fait pour de vrai ?
Kévin : euh je ne sais pas, toi tu voudrais voir ?
Moi : ahaha, t’es mon meilleur ami, je suis curieuse oui, mais je ne te le demanderais pas
Kévin : tu es curieuse ?
Moi : oui, après t’avoir vu en caleçon, je suis curieuse d’en voir plus, même si tu es mon ami, tu comprends ?
Kévin : oui, je vois
Moi : et toi ? Tu es curieux d’en voir plus aussi ?
Kévin : à vrai dire j’ai déjà beaucoup vu hier
Moi : ahaha c’est vrai, tu n’es pas trop choqué ?
Kévin : non j’étais plutôt surpris et j’ai aimé
Moi : ahaha banane

Nous rigolons tous les deux, et nous voyons Estelle nous rejoindre au salon en se frottant les yeux. La dernière limace vient de se lever et nous prenons un petit déjeuner malgré l’heure avant de ranger un peu le bordel mis dans tout l’appartement. Les parents d’Estelle rentreront dans l’après midi, mais je préfère partir avant pour qu’ils soient tranquille à leur arrivée.
chapitre 53 image
De retour chez moi je n’ai qu’une hâte, c’est de savoir ce qui s’est passé entre ma mère et Laurent, alors je m’installe dans le canapé et je lui demande directement de tout me raconter.

Elle me raconte qu’elle est allée le voir chez lui, il était nerveux, alors ils ont beaucoup parlés avant tout. Et elle a compris qu’il avait un gros problème, il s’est toujours senti nul dans tout ce qu’il fait, et encore plus avec les femmes. Pourtant en lui parlant elle voit très bien qu’il est gentil et charmant, mais au moment de passer à l’acte, il se met tellement à douter de lui, qu’il finit par mal faire les choses.

Ces doutes viennent sûrement de son enfance aussi où sa mère lui répétait sans cesse qu’il était bon à rien, ou encore de la première fille envers qu’il avait trouvé le courage de l’aborder, et qui l’a tout simplement rejeté en lui disant qu’aucune fille ne voudrait de lui.

Mais Laurent ne voulait pas que parler de lui, il voulait en savoir plus aussi sur ma mère, comment elle en est arrivée à être sur un site de rencontres et autres. Ils ont passés un bon moment à se parler, et ma mère finit par lui prendre la main pour se diriger vers la chambre.

Elle voulait lui donner des conseils, lui montrer comment s’occuper d’une femme, et comment lui donner de plaisir. Elle s’est mise à l’aise, puis s’est allongée dans le lit, elle a demandé à Laurent de la caresser.

La main de Laurent entre ses cuisses, elle a guidé, il est était toujours nerveux, et ma mère lui a rappelé qu’elle était là pour l’aider, et qu’il pouvait prendre tout le temps qu’il faut. Au départ, il était maladroit, mais en écoutant chaque conseil de ma mère il finit par la faire jouir. De là ils ont recommencés, Laurent se met beaucoup la pression pour vouloir satisfaire une femme, et il finit par être maladroit. Mais elle a guidé comme il faut jusqu’à jouir de nouveau, Laurent lui a avoué que c’était bien la première fois qu’il fait jouir une femme.

Ils ont recommencés une dernière fois, et là, elle n’a pas eu besoin de lui parler, elle s’est laissé faire, et il a très vite appris comment faire plaisir à une femme en la touchant. Laurent était très content de lui, et ma mère très satisfaite, mais elle a prit le temps de lui parler à nouveau de répondre à ses questions.

Ils sont sortis un moment prendre l’air, et surtout pour prendre des préservatifs pour la suite, à leur retour, il s’est occupé d’elle comme il a apprit et ma mère eu un orgasme sans devoir lui parler, ou le guider. Laurent s’est ensuite glissé entres les jambes de ma mère pour lui faire un cunni, pour cette pratique il n’a pas eu trop besoin de conseils, pour la faire jouir.

Laurent aime beaucoup ça apparemment, et il a recommencé une nouvelle fois, tout en continuant de s’améliorer. Il a ensuite enfilé un préservatif et la pénétré, elle se sentait bien mieux que les fois précédente où elle n’éprouvait pas du tout de plaisir. Mais de ce côté-là, il semble encore un peu nerveux, et jouie trop vite.

Laurent s’est excusé plusieurs fois d’avoir finit trop vite, et elle l’a rassuré en lui disant que ce n’était rien, et que c’était très bon malgré tout. Ils ont pris le temps de boire, de parler de sa première fois avec une fille. C’était après le lycée quand une copine lui a demandé comme service de la dépuceler, car elle avait honte d’être la seule de ses amies à être toujours vierge. Ce n’était pas le genre de fille pour qui les garçons se retournent dans la rue, et son caractère n’a pas non plus aidé. Mais Laurent étant toujours vierge à ce moment là, a vu une occasion de vivre sa première expérience. Le rapport s’est très vite passé, sans le moindre plaisir, ou petit gémissement, et aussitôt terminé que la fille s’est rhabillé en lui demandant de le dire à personnes.

Ma mère a été très surprise, et le comprend mieux maintenant, entre sa mère, la fille pour qui il avait des sentiments et sa première expérience, il n’a pas eu de chance avec la gente féminine.

Après ça ma mère et Laurent sont repartis dans la chambre, il s’est occupé d’elle comme il sait le faire, après quoi c’est ma mère qui s’est mise à l’œuvre sur Laurent. Elle la chevauché, prenant le temps de faire de long vas et viens, imposant le rythme pour faire durer le plaisir. Laurent a duré plus longtemps que les autres fois et c’est la première fois qu’il ressentait autant de plaisir lors de la jouissance.

Ils ont recommencés plusieurs fois dans la nuit, en variant les plaisirs et les positions, Laurent n’est pas devenu le parfait amant, mais il a pris un peu plus confiance en lui, surtout en parlant avec ma mère de son passé, et en recevant en retour des conseils et des compliments.

Moi : mais, est-ce que tu vas le revoir ?
Maman : je ne sais pas, je lui ai conseillé de faire d’autres rencontres et de me dire comment ça s’est passé
Moi : tu ne te vois pas dans une relation avec lui ?
Maman : non, il est gentil, et si je peux l’aider tant mieux, mais je ne me vois pas aller plus loin avec lui
Moi : c’est vraiment fort ce que tu as fais pour lui
Maman : tu trouves ? Je m’en suis surtout voulu de l’avoir jugé comme je l’ai fait sur sa façon de s’occuper d’une femme
Moi : et sur la taille de son sexe ahaha
Maman : oh oui, je suis horrible…
Moi : ahaha mais non, et je confirme, j’ai eu l’occasion de voir son sexe l’autre fois, tu as raison
Maman : oui, mais ce n’est pas bien ce que j’ai dis, et il s’en sort pas mal maintenant
Moi : tu as ressentis du plaisir malgré la taille ?
Maman : oui j’avoue, mais tu apprendras ma chérie que ce n’est pas la taille qui compte
Moi : d’accord, j’avoue que ton histoire m’excite un peu là ahaha
Maman : ahaha et toi alors raconte moi ton week-end

Sans plus attendre je lui raconte tout, et en détails également surtout le moment où je me suis sentie excitée de me montrer aux autres. Elle est totalement surprise et me demande à voir ses fameux sous vêtements, alors je me suis pressée de les sortir de mon sac et de les montrer à ma mère.

Elle me dit qu’ils sont vraiment très beau, et me demande d’essayé le tanga à lacet devant elle. Je retire tout ce que j’ai en bas pour enfiler le tanga, et la réaction de ma mère me plaît beaucoup. Elle me regarde attentivement en me disant qu’il me va très bien, et qu’effectivement elle distingue assez bien mes fesses et mon sexe.

Maman : tu es magnifique ma chérie, Kévin à dû en faire de joli rêve
Moi : merci maman, tu penses ?
Maman : oh oui, c’est ton meilleur ami, mais il reste un garçon
Moi : je ne devrais plus faire ça alors ?
Maman : je ne sais pas ce qu’il va penser de tout ça par la suite, je ne voudrais pas qu’il développe des sentiments pour Estelle ou toi, et qu’il soit déçu de n’être qu’un ami
Moi : je n’avais pas pensé à ça
Maman : je sais ma chérie, mais tu es encore jeune, c’est normal
Moi : et par rapport à Guillaume ?
Maman : alors comme te l’a dit Estelle, ce sont tes amis, et ta relation avec eux ne devrait pas changer pour Guillaume. Don tu es libre de faire ce que tu veux, tant que ça n’entache pas votre amitié, ni ta relation avec Guillaume
Moi : merci maman
Maman : c’est normal ma chérie

Je m’estime heureuse et chanceuse d’avoir une mère comme la mienne, attentive et toujours de bon conseil. Elle a toujours été là pour moi dans les bons, comme les mauvais moments. J’ai aussi beaucoup de chance d’avoir des amis comme Estelle et Kévin, et pour rien au monde je ne voudrais pas les perdre. Pour Guillaume, ma relation avec lui est encore toute nouvelle, et j’éprouve déjà de réels sentiments pour lui. Il est gentil, timide, attentionné, il a toutes les qualités qui font de lui, le garçon le plus mignon à mes yeux, et je souhaite que notre histoire dure le plus longtemps possible.
chapitre 54 image
La semaine je retrouve Guillaume, son week-end chez sa mère s’est bien passé, elle a été très curieuse et lui a posé pas mal de questions à mon sujet. il lui a également montré des photos de nous et elle nous trouve trop mignons. Si tout se passe bien du côté de sa mère ce n’est pas le cas du côté de son père, d’après ce que me dit Guillaume, il est assez difficile à vivre et c’est pour cela que ses parents ce sont séparés.

Guillaume n’a rien dit à son père sur notre relation, il ne sait pas comment aborder le sujet et il doute que cela l’intéresse. Mais sa mère lui conseil tout de même d’en parler avec son père, pour éviter toutes mauvaises surprises.

Les jours passent, je tente de nouveau l’expérience de l’escalade avec Guillaume et ses amis le week-end qui suit, et je commence à mieux m’en sortir. Je pense qu’avec de la pratique et de bons conseils je vais m’améliorer, mais ce que j’aime par-dessus tout, c’est de passer du temps avec Guillaume, et partager toutes sortes d’activités avec lui.

La semaine suivante, je reçois des messages de Thierry, Il demande de mes nouvelles et surtout comment se passe ma relation avec Guillaume. Je lui dis que tout va bien, que Guillaume est plutôt timide comme garçon et qu'il souhaite aller doucement avec moi. Il rigole à mes messages en sachant très bien que je suis assez coquine sous mon air de fille sage, mais à vrai dire j'ai peur de me précipiter et mal faire. Il me dit que Guillaume va finir par craquer comme ça a été le cas pour lui, et qu'il en garde un très bon souvenir.

Je suis flattée par ses messages et j'avoue que ça me fait du bien de lui parler comme ça de temps en temps. Du côté de ma mère, elle est moins sur le site de rencontre, une partie des hommes qui lui laissent un message ne sont pas très intéressants, tandis que l'autre partie n'a pas retenu son attention dans les premiers échanges écrits.
chapitre 55 image
Ce mois de Novembre a filé à une vitesse, je ne fais plus trop attention au temps qui passe, je suis toujours pressé d’être à demain pour passer du temps avec Guillaume, ou alors j’attends avec impatience d’arriver au week-end pour faire des activités avec lui. Je commence à ressentir une très forte envie d’aller plus loin avec lui, je continue toujours de me masturber mais je veux plus, je veux ressentir autre chose que mes doigts pour me faire du bien.

Ça fait maintenant 2 mois que nous avons commencé à nous fréquenter, il peut-être trop tôt encore pour lui, je ne sais pas, mais mon corps le réclame. Il faut que j’essaie de lui en parler, de savoir où il en est de son côté.

Nous sommes mercredi, après le cours je le rejoins à la sortie, où il est déjà avec Charles et Jonathan. Je ne veux pas passer pour la fille qui ne lâche pas son copain, ou alors la fille qui l’empêche de voir ses amis, mais aujourd’hui je voudrais passer du temps avec lui. Nous ne sommes pas tous les mercredi après-midi ensemble, ce n’est arrivé qu’une fois jusque là, bien que ma mère accepte que Guillaume vienne quand il veut.

Estelle et Kévin sont déjà partis, Charles et Jonathan discutent alors je me dis que c’est le bon moment. Je demande discrètement à Guillaume s’il veut venir chez moi cet après-midi, il me sourit timidement et accepte. Nous abandonnons ses amis qui nous taquinent en jouant les amoureux et en imitant des bisous.

Guillaume m’attrape la main pendant tout le chemin vers l’appartement, une fois arrivés, nous déposons nos affaires, je me retourne et c’est lui qui vient m’embrasser. Je suis surprise mais j’adore ça, j’aime sentir ses lèvres contre les miennes, et je dois dire qu’il m’embrasse d’une façon particulière aujourd’hui. Il m’embrasse de manière passionné, en m’enlaçant très fort, j’aime sentir son corps contre le mien.

Moi : hey bien, on dirait que tu avais très envie de m’embrasser hihi
Guillaume : ça fait un moment qu’on ne s’est pas retrouvé que tous les deux
Moi : je voulais te laisser du temps, et ne pas t’empêcher de voir tes amis

Il se rapproche de nouveau, et m’embrasse toujours avec cette même passion, je commence à me sentir excitée, je le laisse faire, il semble vouloir quelque chose, ses mains me caresse, parcourent mon corps. Est-ce qu’il est prêt ?

En tout cas de mon côté, je suis prête à beaucoup de choses pour lui. Je l’invite à venir dans mon lit pour être plus à l’aise, je m’allonge, il vient tout contre moi et nous continuons de nous embrasser. Sa main droite se pose sur mon ventre, je commence à avoir chaud, il me caresse doucement, alors que sa langue danse avec la mienne.

Sa main remonte doucement vers ma poitrine, il hésite un moment et pour l’accompagner, je prends sa main pour la poser sur mon sein. Guillaume me regarde un instant, je lui souris comme pour lui dire qu’il peut me toucher là. Sa main me caresse de nouveau, pendant que je le ramène vers moi pour savourer ses lèvres. Entres mes jambes, je sens cette chaleur monter, je sens que ma culotte est devenue humide, mon désir grandit, et je me doute bien qu’il se passe la même chose pour Guillaume. Tout en s’embrassant nos corps se touche, se frottent l’un contre l’autre, et je ressens sur ma cuisse quelque chose de dur. Je savoure ce moment, bien que je sois un peu nerveuse aussi pour la suite.

Moi : tu veux qu’on le fasse ?
Guillaume : euh… je ne sais pas
Moi : ah, d’accord
Guillaume : désolé, je ne sais pas comment m’y prendre, et tu as l’air si sûr de toi
Moi : c’est l’impression que je te donne ?
Guillaume : oui tout à fait
Moi : je voudrais savoir ce qui se passe dans ta tête, peut-être que tu y pense trop et ça te fait peur
Guillaume : je me pose énormément de questions oui, et je n’ai jamais pu en parler avec qui que ce soit
Moi : ah bon ?!
Guillaume : ba mes amis sont tous les deux aussi puceaux, et parler avec ma mère ça ma plus gêné qu’autre chose
Moi : c’est dommage, après ce n’est pas tout le monde qui est à l’aise pour en parler avec ses parents
Guillaume : c’est vrai, je ne suis pas du tout à l’aise, mais toi tu parles de ça avec ta mère ?
Moi : oui, on parle de tout
Guillaume : tu me surprends beaucoup, je te pensais plus timide que ça
Moi : pas avec ma mère ahaha
Guillaume : et avec tes amis ?
Moi : on se parle ouvertement aussi, mais ce n’est pas tout à fait la même chose
Guillaume : d’accords
Moi : je sais que tu n’es pas tout à fait prêt, mais tu peux me dire ce qui te passe par la tête, ce dont tu as envie là
Guillaume : euh… là, je…
Moi : ça fait maintenant deux mois qu’on se fréquente, tu peux me dire ce que tu as imaginé, ou ce que tu désire, n’ai pas peur
Guillaume : euh… hey bien… j’aimerais en voir plus de toi
Moi : mon corps ?
Guillaume : oui, euh mais pas tout, enfin pas toute nue, si tu ne veux pas ce n’est pas grave…

Je rigole pendant un moment, car Guillaume est mal à l’aise et ne trouve plus ses mots, mais il me vient une idée. Je me redresse et sort de mon lit tout en lui disant de rester tranquille. Je suis seule avec mon petit copain, et il semble vouloir en voir plus de moi, et vu que je suis d’humeur coquine aujourd’hui, pourquoi ne pas lui faire ce plaisir ?

J’allume mon petit poste à musique dans ma chambre, et je fais défiler les morceaux. Une fois la bonne musique choisi, je me laisse emporter et je déhanche doucement tout en fermant les yeux. Je ressens la musique, je marque le temps avec quelques poses. Mes mains occupent l’espace, viennent également glisser dans mes cheveux, mon cou, ma poitrine, mon ventre, le long de mes hanches, de mes cuisses.

Je suis toujours de dos à Guillaume, les yeux fermés, et j’ai l’impression de ressentir son regards me toucher, me caresser. Je me retourne, et doucement mes mains saisissent mon T-shirt par le bas, et commencent à le soulever tout en suivant le rythme de la musique. Mon T-shirt passe par-dessus mes épaules et ma tête, je suis en soutien gorge devant Guillaume, je ne le regarde pas encore, mais je sais qu’il doit être surpris, qu’il doit aimer ce qu’il voit là.

J’ouvre doucement les yeux, et je vois Guillaume, totalement surpris, la bouche ouverte. Je souris en le voyant ainsi, et je suis heureuse de lui faire plaisir, heureuse de lui faire découvrir mon corps. Je m’avance légèrement vers lui, tout en retirant le bouton de mon jean. Petit à petit, un par un, chaque bouton saute, je déhanche en suivant la musique et tout en ouvrant mon jean devant lui, je me retourne pour lui présenter mes fesses, qu’il découvre tout en même temps que mon pantalon glisse sur mes hanches.

Je prends mon temps, je danse doucement, le jean encore à moitié sur mes fesses, puis il reprend sa descente, il glisse pour arriver à mi-cuisse, puis finalement à mes pieds. Guillaume est derrière moi, à un mètre, et pourtant je peux ressentir une douce caresse sur ma peau, je peux ressentir son désir, son plaisir.

Je me retourne doucement, je continue de danser face à lui, ses yeux parcourent mon corps tout entier tandis que je me rapproche de lui. Je positionne mes jambes de chaque côté de son corps alors que ma bouche se rapproche de la sienne pour l’embrasser avec sensualité.

Il semble perdu, complètement assommé par le spectacle que je viens de lui offrir, et j’en profite pour lui attraper son T-shirt, et le passer par-dessus la tête. C’est la première fois que je le vois torse nu, et je dois avouer que son corps me rend folle, la douceur de sa peau, son parfum que je savoure à la source même.

Je le pousse doucement pour qu’il s’allonge complètement, et je m’attaque à son pantalon, je retire le bouton, descend la fermeture éclaire, et je découvre un trésor magnifique. En ouvrant son pantalon, je vois apparaître sous mes yeux, son caleçon et une bosse à l’intérieur. Je salive tout en la regardant, c’est l’objet de mon désir depuis plusieurs nuits maintenant et il est là sous mes yeux.

Je lui retire complètement son jean et je viens m’allonger tout contre lui afin de l’embrasser à nouveau. Son sexe tendu frotte contre l’intérieur de ma cuisse, je suis complètement mouillé depuis le début de ma danse, mais maintenant je le suis encore plus à la vue de sa bosse et la sensation que j’ai en me frottant à elle.

Guillaume : tu es magnifiques …
Moi : c’est vrai ?
Guillaume : oui, ton corps me rend dingue
Moi : il est tout à toi tu sais
Guillaume : je ne sais pas quoi dire, et je ne sais pas quoi faire
Moi : humm… tu as encore peur de te lancer ?
Guillaume : oui j’hésite toujours
Moi : d’accords ce n’est pas grave
Guillaume : mais toi tu le veux ?
Moi : oui, j’avoue que je suis très excitée là
Guillaume : je suis désolé, tu dois me trouver complètement idiot
Moi : non, c’est tout à fait normal d’avoir des doutes, et je me dis que si c’était l’inverse, tu me comprendrais totalement
Guillaume : oui, mais là, tu en as très envie, et moi, je…
Moi : hummm, j’ai peut-être une idée, tu veux me laisser faire ?
Guillaume : euh, d’accord…

A ce moment là, je sais que Guillaume à encore beaucoup de doutes en lui, mais je suis sa copine et peut-être que c’est à moi aussi de l’aider à ne plus en avoir. J’ai une idée en tête, mais c’est surtout mon désir qui me guide, et je pense que le meilleur moyen pour aider Guillaume c’est de lui donner du plaisir.

Je viens l’embrasser tendrement tout en me positionnant contre lui, ses mains me caresses doucement le dos. Je me colle tout contre lui afin qu’il ressente ma poitrine sur lui, et mon sexe humide contre le sien. Petit à petit, au rythme de notre baisé, je bouge légèrement le bassin afin de me frotter tout contre lui.

Je ressens son sexe tendu, il est si dur, et ça me donne terriblement envie d’en voir plus, et de le sentir en moi.

Moi : est ce que ça te plait jusque là ?
Guillaume : oui complètement

Je ne souhaite pas le brusquer, mais je voudrais que l’on ressente tous les deux du plaisir jusqu’à en être satisfait, alors je me frotte toujours, je me redresse et je simule un mouvement de vas et viens le long de son sexe. Les mains de Guillaume viennent se positionner sur mes hanches comme pour m’accompagner, doucement je les prends pour les poser sur ma poitrine.

Guillaume se laisse aller, il me caresse les seins pendant que je m’occupe de bouger mon corps contre le sien. Mon shorty est complètement trompé et d’après ce que je vois, le caleçon de Guillaume le devient lui aussi à cause de moi, mais également par son excitation.

Au bout de la bosse, je peux voir une petite trace sombre, je ne crois pas qu’il ait déjà jouie, sinon il me l’aurait dit. Je regarde le spectacle sous mes yeux, alors Guillaume fait de même, il est complètement surpris, hypnotisé par ce qu’il voit. Je sens que mon plaisir est tout proche, alors je me frotte de plus en plus tout en gémissant puis Guillaume ramène ses mains sur mes hanches, et les sert. Je sens que lui aussi n’en peux plus, puis soudain, il me soulève avec son bassin en laissant échapper un long cri de soulagement pendant que je jouie également sur lui.

Je n’ai plus de force, je me laisse complètement tomber sur Guillaume, épuisée, parce ce plaisir qui parcoure encore mon corps tout entier. De son côté, Guillaume respire longuement, il ne parle pas, moi non plus d’ailleurs. Nous sommes tous les deux l’un contre l’autre, à reprendre notre souffle.

Moi : est ce que ça ta plu ?
Guillaume : oh oui, énormément, je …
Moi : respire…
Guillaume : merci…
Moi : tu n’as pas à me remercier, j’ai pris énormément de plaisir aussi
Guillaume : c’est vrai ?
Moi : oui, j’espère que tes doutes ont un peu disparu
Guillaume : j’ai eu beaucoup de plaisir, et je suis prêt à recommencer si tu veux
Moi : je suis tout à fait d’accord, on pourra le refaire si tu veux

Au fond de moi je suis très heureuse d’avoir avancé avec Guillaume, et que ses doutes commencent à disparaître, je ne veux pas le brusquer même si aujourd’hui j’étais prête pour le faire. Je me mets à sa place, et je me dis que je dois aller à son rythme en sachant qu’il aurait fait de même si j’étais remplie de doutes.

Guillaume se lève pour aller se nettoyer dans la salle de bain, je me rhabille également, puis nous passons le reste de l’après-midi à nous parler, jusqu’à l’arriver de ma mère. Elle est contente de voir Guillaume et de lui parler un peu avant qu’il ne parte. Je l’embrasse longuement dans le hall avant de le laisser partir, puis je remonte les escaliers, toute heureuse.

Je pense déjà à nos prochains moments ensemble, et je dois dire que j’attends cela avec impatience…
chapitre 56 image
En remontant dans l’appartement ma mère me demanda bien sûr comment c’est passé ma journée et surtout mon après-midi avec Guillaume. Je lui dis que tout était normal, je lui raconte ma matinée et bien sûr ma mère est très attentive lorsque je lui ai raconté mon après-midi.

Elle ne dit plus rien, je lui raconte tout et à la fin elle me dit simplement que tout ce que je lui ai raconté lui a donné chaud, puis elle vient me serrer dans ses bras. Je suis surprise mais je n’ai rien dis, elle semble heureuse de me voir avancer ainsi et je pense que ce qui la rassure aussi, c’est que je lui dise tout.

Le soir dans mon lit je repense à ce que nous venons de vivre Guillaume et moi, nous sommes tous les deux timides mais je me rends compte que de nous deux questions sexe, c’est lui qui l’est plus. En tout cas jeudi matin quand je suis venue l’embrasser devant la grille avant de rentrer il était tout gêné, on en a parlé très vite mais je l’ai rassuré comme j’ai pu.

Lorsque je l’ai revu à midi il était mieux, en se parlant il me dit qu’il ne veut pas me faire de mal, et c’est pour cela qu’il hésite beaucoup, mais je le rassure en lui disant que de mon côté, je me sens en totale confiance avec lui et que je suis prête pour tout. Guillaume me sourit tout en venant m’embrasser, j’adore ce moment où plus rien n’existe autour de nous. Mais cet instant ne dure jamais, puisque nous devons reprendre les cours.

Le reste de la journée se passa normalement tout comme la journée de vendredi. Le week-end nous avons fait de l’escalade avec Charles et Jonathan, et je dois dire que je commence à y prendre goût. Je grimpe beaucoup mieux qu’à mes débuts, même si je fais encore quelques erreurs, et après une activité comme celle-là je peux dire que je n’ai plus du tout de force en rentrant chez moi le soir.

C’est la mère de Charles qui me dépose devant chez moi, je salut tout le monde en ne quittant pas du regard Guillaume à l’arrière. Arrivée à l’appartement je trouve ma mère devant l’ordinateur, je lui raconte vite fait ma journée avec les garçons avant de filer à la douche. Une fois fini je reviens voir ma mère pour lui demander un peu ce qu’elle a fait durant cette journée tout en me servant un verre.

A part le ménage et la lessive sa journée a été plutôt calme, puis elle s’est mise sur l’ordinateur pour dialoguer un peu.
Moi : et alors dis moi, un nouvel homme intéressant ?

Maman : humm non seulement une femme
Moi : pfff !!!! (En recrachant ce que j’ai commencé à boire)
Maman : ça va chérie ?
Moi : hum hum oui j’ai avalé de travers…. Tu discutes avec une femme pour un rendez-vous ?
Maman : ahaha mais non roooo, c’est une copine qui fait de la zumba avec moi, elle a vu mon profil et m’a envoyé un message
Moi : ah ok et elle dit quoi ?
Maman : elle découvre le site, mais tu vas rire, c’est sa fille qui l’a poussée à s’inscrire sur le site ahaha
Moi : euh
Maman : ça ne te rappelle rien ?
Moi : si, si je vois où tu veux en venir, mais genre elles ont la même histoire que nous ?
Maman : non surement pas, ça fait 4 ans que Christine est divorcée, et sa fille qui est dans le même collège que toi je crois, l’a aidé à s’inscrire sur le site
Moi : d’accord je vois, tu sais pendant un instant j’ai cru que tu étais intéressée par une relation avec une femme
Maman : non ma chérie, ce n’est pas du tout ça, mais pourquoi ? Ça te gênerait de voir ta mère sortir avec une autre femme ?
Moi : euh j’avoue que ça me ferait bizarre oui
Maman : ah bon ?
Moi : oui en fait je crois que je te vois qu’avec un homme, mais pourquoi ? Toi tu es intéressée par une relation avec une femme ?
Maman : non pas du tout, j’ai juste été surprise par ta réaction quand je t’ai dis que je parlais avec une femme sur le site
Moi : désolée maman
Maman : ce n’est pas grave ma chérie, je comprends tout à fait que sa puisse surprendre
Moi : oui, et vous parlez de quoi du coup ?
Maman : comme elle est nouvelle sur le site elle me demande un peu comment ça marche, alors je lui donne des conseils et surtout je lui donne des pseudos de mec à éviter
Moi : ahaha ok je vois, je te laisse alors

En rentrant dans ma chambre je me suis sentie un peu bête d’avoir réagie comme je l’ai fait avec ma mère, après tout si elle trouve le bonheur, que ce soit dans les bras d’un homme ou d’une femme je devrais surtout me réjouir pour elle avant tout. Au moment du repas je lui présente mes excuses quant à ma réaction de tout à l’heure, elle est contente mais elle était déjà passée à autre chose.

Après avoir bien mangé je suis retournée à ma chambre tandis que ma mère repris place devant l’ordi pour continuer de dialoguer. Franchement lorsque j’ai touché le lit, je me suis endormie comme un bébé tellement j’étais fatiguée.
Dimanche matin je me réveil en douceur, je regarde l’heure il est pratiquement 9H, ça va, j’ai déjà fait pire en terme de grasse matinée. Je me dirige vers la cuisine et ma mère vient elle aussi de se lever. Apparemment elle a beaucoup parlé avec Christine hier soir

Moi : vous avez dialogué jusqu’à quelle heure ?
Maman : humm on n’a vraiment pas vu le temps passer, il était 1h quand je suis allée me coucher
Moi : vous en avez des choses à vous dire ahaha
Maman : en fait on se connait juste un peu par rapport à la zumba, mais le fait qu’elle m’a trouvé sur le site nous a permis de mieux faire connaissance
Moi : d’accord je vois
Maman : et elle se pose pas mal de question par rapport à son inscription sur le site
Moi : ah bon ?
Maman : oui par exemple si ce qu’elle fait là est bien ou pas, ou alors que pourraient penser les gens et surtout sa fille si elle venait à rencontrer un homme ou alors plusieurs
Moi : ah oui en effet, en tout cas tu vas être de très bon conseil, je le sais déjà
Maman : je l’espère, en tout cas je vais prendre un verre avec elle cet après-midi, ça ne te dérange pas ?
Moi : non pas du tout, c’est cool ça pourrait te faire une bonne copine
Maman : c’est vrai que je n’ai pas vraiment de vraie amie, j’ai perdu de vue toutes celles que j’avais au lycée

Je suis un peu triste sur le moment en entendant cela de la bouche de ma mère, elle a toujours vécu que pour moi depuis le départ de mon père et c’est en partie à cause de moi qu’elle n’a plus eu de vie social. Elle a quelques copines de zumba comme elle le dit, mais pas de vrai lien avec elles non plus, mais peut-être que ça va changer, à voir comment ça va se passer avec Christine.

Après le petit déjeuner, je nettoie un peu ma chambre, je dois avouer que ça ne ressemble pas du tout à une chambre, mais après une heure de nettoyage ça commence à y ressembler. Je continue dans mon élan pour travailler quelques devoirs, au moins je m’en serais débarrasser.

Je suis toujours la tête dans mes devoirs quand ma mère vient me dire qu’elle s’en va voir Christine, je lui souris en lui disant à plus tard, et je termine mes devoirs au plus vite afin de pouvoir faire autre chose de mon après-midi. Une fois mes devoirs terminé je me rends compte qu’il est 14H et que je n’ai toujours pas mangé. Je regarde vite fait dans le frigo, et je prends quelques restes avant de me poser devant la télé pour manger, après quoi je me suis endormie sur le canapé.

Je me réveil et regarde mon téléphone, 15H45, je n’ai pas dormie longtemps, je débarrasse mon assiette et lave le tout, puis je regagne ma chambre, pour écouter de la musique. Je me perds dans mes pensées, mais au bout d’un moment je repense à Guillaume et à ce qu’on a fait sur mon lit. Je me dis que ce mercredi, on pourrait recommencer notre séance câlins, alors pourquoi ne pas mieux préparer les choses.

La dernière fois je lui ai fait un strip-tease en ayant des sous vêtements qui n’avaient vraiment rien de très excitant, puisque je n’avais pas du tout prévu le coup. Mais j’en ai quelques uns en réserve qui pourraient bien lui plaire, alors je me lève toujours la musique dans les oreilles et je regarde mes sous-vêtements.

Je les essaye de nouveaux tout en me regardant dans le miroir de la salle de bain, et j’imagine l’effet que ça aura sur Guillaume. Machinalement je commence à glisser mes mains sur mon corps en imaginant tout ce pourrait se passer, et mes doigts trouve très vite le chemin de mon petit bouton gonflé de désir.

Je retourne vers ma chambre, dans mes oreilles ce joue une musique douce. Je m’allonge sur mon lit, et repense à Guillaume, son corps, ses mains qui me caresses et qui viennent se poser sur ma poitrine. Je nous revois là dans mon lit, moi au dessus de Guillaume qui me frottent contre lui, j’aimerais tant qu’il soit là, et comme pour recréer ce moment, je saisie mon oreiller et je me positionne au dessus.

Je commence à me frotter longuement, en appuyant bien mon sexe humide contre l’oreiller. Je ferme les yeux, dans ma tête je revis cet instant avec Guillaume, je repense à son sexe tendu, cette bosse sous son caleçon. Je me frotte de plus en plus, puis j’enlève tout ce que j’ai sur moi, pour me retrouvez totalement nue sur cet oreiller. Je continue encore et encore, j’aime sentir mon plaisir monter, j’aime bouger mon bassin tout en simulant cet acte avec Guillaume. Je me sens venir, alors j’accélère de plus en plus, tout en appuyant fortement mon pubis contre l’oreiller et à ce moment je jouie très fort, je gémie également sans retenue, puis je viens m’écrouler sur mon lit.

Ma respiration est courte, rapide, j’enlève mes écouteurs en attendant de reprendre mes esprits, et après quelques secondes j’entends la porte d’entrée s’ouvrir et ma mère qui m’annonce qu’elle est rentrée.

Sans me soucier de ma nudité ou de ce que je viens de faire, je lui dis que je suis dans ma chambre, je l’entends poser son sac et venir dans le couloir, lorsqu’elle apparaît à la porte elle ne peut s’empêcher de sourire.

Maman : hey bien je vois que tu ne t’es pas ennuyé dis moi ahaha
Moi : ahaha oui j’ai trouvé une bonne activité
Maman : tu es très belle ma chérie
Moi : merci maman

Je sors de mon lit en lui disant que j’ai besoin d’un bain et je l’invite à me rejoindre pour me raconter son après-midi. Je fais couler l’eau pendant que ma mère se déshabille, puis nous nous installons toutes les deux dans le bain. Elle me demande de venir tout contre elle, j’aime ce moment, sentir la douceur de sa peau contre la mienne. Elle prend l’éponge dans une main et le savon dans l’autre, puis me frotte doucement le bras droit.

Moi : c’était bien ce verre avec Christine ?
Maman : très bien, on a longuement parlé, et ça me fait plaisir
Moi : elle avait beaucoup de questions ?
Maman : oui, et je pense l’avoir rassuré. Je lui ai fait comprendre qu’il est normal qu’elle continue sa vie et qu’elle a bien le droit au bonheur
Moi : qu’est ce qui s’est passé avec son mari ?
Maman : rien de particulier, à part qu’il ne s’entendait plus, et que l’amour avait complètement disparu entres eux
Moi : comment elle a vécu ça ?
Maman : elle s’y attendait en fait, puisqu’il n’y avait déjà plus rien entres eux depuis au moins 2 ans avant le divorce
Moi : ah ouais
Maman : donc pour elle, ça s’est bien passée, mais elle ne sait pas si le fait de s’inscrire sur ce site est une bonne chose ou non. Je lui ai dis que personnes ne peut la juger et qu’elle est libre de faire ce qu’elle veut. Ensuite nous avons surtout parlé de nos vies, de sa fille et toi et comment nous en sommes arrivés là
Moi : tu m’as dis que sa fille est au même collège que moi ?
Maman : oui sa fille s’appelle Nora, tu vois qui c’est ?
Moi : ah oui je vois, c’est une fille simple est plutôt gentille. Et Christine à commencé à parler avec des mecs du site ?
Maman : elle a reçu quelques messages, je lui ai dis de prendre le temps de dialoguer si elle le souhaite, et qu’elle verra par la suite si elle veut en rencontrer ou pas.

Tout en discutant ma mère à continué de passer l’éponge sur mes bras, mes épaules, mon dos et même un peu ma poitrine. Après ça nous sommes sortis du bain, j’aime la regarder se sécher devant moi, je la trouve très belle et je lui dis à chaque fois.

Une fois habillées, nous avons passés la soirée à parler, ma mère me raconte tout de son après-midi et elle se retrouve un peu en Christine. En tout cas je pense qu’elles vont continuer de dialoguer sur le site et même se voir de temps à autre. Je file dans mon lit après avoir dîner, je sens très vite le sommeil me gagner mais je pense surtout à mes retrouvailles avec Guillaume.
chapitre 57 image
Le lundi matin de retour au collège la première personne que je cherche est Guillaume que je suis toute heureuse de retrouver ainsi que nos amis. J’embrasse tendrement mon chéri avant de rentrer en classe et je me dis que je pourrais mieux profiter de lui à midi.

Les cours passent lentement ce matin, certains garçons foutent un peu le bordel en classe comme d’habitude. Ça ne me plaît pas forcément surtout quand je vois certains professeurs qui ont du mal à se faire respecter. Mais bon pour ma part je reste toujours dans mon coin, discrète, ne voulant jamais gêner qui que ce soit.

Enfin l’heure de déjeuner arrive, je retrouve Estelle et Kévin pour manger ensemble, après quoi je m’empresse de rejoindre Guillaume pour passer du temps avec lui. Nos discussions sont toujours variées, nous avons parfois des avis différents ou partagés, mais nous prenons toujours le temps de s’écouter l’un l’autre, c’est une des choses que j’aime beaucoup chez lui.

En venant m’embrasser il me dit qu’il a repensé à ce que nous avions fait la semaine dernière, et je lui ait tout simplement répondue que j’ai hâte de pouvoir recommencer ce mercredi là. Il est devenu tout rouge en me souriant, et ne sachant plus quoi dire, il m’a tout simplement embrassé de nouveau.

Je suis toujours un peu triste à la reprise des cours, surtout qu’aujourd’hui le temps passe vraiment doucement. A la sortie je reste cinq minutes avec mes amis et Guillaume avant de devoir les quitter, chacun partant vers des directions différentes. En rentrant chez moi je vais directement dans ma chambre faire les quelques devoirs que j’ai, puis ma mère rentre de son boulot et nous passons la soirée ensemble.

La journée de mardi se passa calmement, mais dès le mercredi je dois avouer que j’étais très excitée dès le matin, juste à l’idée de passer du temps avec Guillaume, rien que tous les deux. A la fin des cours je prends mon sac et je me dirige directement vers la grille où je retrouve tout le monde. Guillaume m’aperçoit et je vois sur son visage ce sourire coquin, il n’attendait que ce moment aussi de se retrouver. Estelle et Kévin sont restés dix minutes avec nous avant de partir. Charles lance Guillaume pour un après arcade, mais mon chéri refusa gentiment l’invitation avant de me prendre la main et de nous éloigner. Pour nous embêter Charles dit tout haut « amusez vous bien » avant de rire.

Nous rigolons tous deux aussi sans nous retourner, et pendant tout le trajet nous n’avons pas parlé, même pas un son à part des échanges de regards et des sourires coquins. Arrivés à l’appartement Guillaume dépose son sac à l’entrée, pendant que je pose mes affaires dans ma chambre, puis je reviens dans la cuisine pour lui offrir à boire.

Nous nous installons tous les deux dans le canapé, en buvant tranquillement tout en se regardant. Il prend mon verre et le dépose avec le sien sur la table du salon, et se rapproche de moi. Là doucement ses mains viennent se poser sur mon visage tout en amenant ses lèvres près des miennes. J’éprouve toujours un réel plaisir lorsqu’il m’embrasse, et là il n’y a personnes pour nous voir, ou nous interrompre. Doucement je bascule vers l’arrière, entrainant Guillaume avec moi jusqu’à être allongés tous les deux sur le canapé.

Tout en m’embrassant sa main commence à me caresser les bras, le ventre, puis doucement il cherche le chemin vers ma poitrine, s’arrêtant si près, comme pour me demander l’autorisation. Alors je lui saisie la main pour la poser directement sur mes seins, et il aime ça me caresser vu comment il m’embrasse à présent.

Doucement je saisie de mes deux mains le bas de mon T-shirt et le remonte en douceur jusqu’à le passer par-dessus ma tête. Guillaume me regarde dans les yeux, il regarde également mon soutien gorge et vient reposer sa main sur mon sein. Il y va parfois un peu fort, mais il se corrige très vite lorsque je lui dis de se calmer un peu.

Très vite son T-shirt prend la même direction que le mien et le voilà torse nu devant moi. J’adore le contact de sa peau, je le caresse en passant mes mains partout dans son dos, sur son torse également où je peux sentir les battements rapide de son cœur.

Je commence à déboutonner mon jean et l’ouvrir, Guillaume se recule un peu et m’aide à m’en débarrasser. Mon jean tombe au sol et je me retrouve en sous vêtements devant Guillaume, et il me regarde alors toute entière.

Guillaume : tu es magnifique
Moi : merci, j’ai choisi ses sous-vêtements pour toi, ça te plaît ?
Guillaume : oh oui, beaucoup

J’ai choisi pour ce jour de mettre un des sous vêtements achetés avec Estelle et Kévin, un tanga en dentelle de couleur noir et rose. Guillaume reste devant moi sans voix à me regarder alors je me lève pour lui montrer le tout, et en tournant sur moi-même, il se rend compte que le tissu est transparent à l’arrière, et qu’il peut voir mes petites fesses au travers.

Guillaume reste assis sur le canapé en me disant sans arrêt à quel point il me trouve belle, et je dois dire que ce n’est pas moi qui vais lui demander d’arrêter de dire ça. Je suis heureuse et excitée qu’il me dise ça, il reste perdu devant moi à me regarder alors je me baisse devant lui et je commence à défaire son pantalon.

Sans tarder, le voilà en caleçon devant moi, je le trouve tellement beau, et je ne manque de le lui dire. Je regarde à mon tour son corps, et doucement je dépose un bisou sur son genou, puis sa cuisse et je continue de remonter tout en plaçant mes mains sur le côté de son caleçon.

Guillaume : euh non stp, je ….

Je suis surprise sur le moment, mais peut-être qu’il a encore quelque peur à ce sujet, alors je retire mes mains doucement en continuant de déposer des bisous sur son corps.

Moi : d’accord…
Guillaume : je…. Désolé…
Moi : ça va aller, ne t’inquiète pas…. Tu veux qu’on aille dans ma chambre ?
Guillaume : euh… oui je veux bien, oui
Moi : alors suis-moi

Je me lève en le prenant par la main, et nous nous dirigeons tous les deux vers ma chambre. Nous nous installons sur mon lit confortablement, Guillaume vient se positionner au dessus de moi et nous nous embrassons de nouveau. Sa main reprend aussi ses caresses sur ma poitrine tandis que je fais de même sur son dos.

Je sens mon désir monter en moi, je sens que mon entre jambe est humide et j’ai envie de ressentir ses caresses à cet endroit là aussi. Alors je prends la main de Guillaume, celle qui me caresse les seins et je la glisse doucement vers mon intimité. Le contact de ses doigts sur le tanga me donne des frissons ainsi qu’un petit coup de courant, ses doigts commencent doucement à tourner sur mon petit bouton au travers du tissu. Le tanga est bien humide, et je vois sur le visage de Guillaume qu’il découvre pour la première fois cette sensation, ce toucher.

De mon côté j’apprécie longuement ses caresses, je me mords les lèvres pour retenir tout son qui pourrait sortir de ma bouche, mais au bout d’un moment, je ne peux m’empêcher de laisser échapper un petit gémissement.

Guillaume : ça va ? Je te fais mal ?
Moi : ça va très bien et au contraire tu me fais beaucoup de bien
Guillaume : je peux continuer alors ?
Moi : oui continu, et si tu veux tu peux passer ta main dans mon tanga
Guillaume : je …

Je comprends qu’il soit encore un peu gêné, mais je suis terriblement excitée, et je ne voudrais pas que ça s’arrête là. Alors je lui demande de passer sous ma couette, je recouvre bien nos corps jusqu’au cou, en lui demandant si c’est mieux ainsi, et sa réponse positive m’encourage. Mais mon excitation me pousse à aller plus loin, et voir quelles sont ses limites. Alors doucement je retire mes sous vêtements sous la couette et lance le tout au loin sur le sol.

Guillaume est très surpris par ce que je viens de faire et son regard est rempli de questions mais il est aussi très intéressé. Doucement sous la couette sa main vient se poser sur ma poitrine nue, et le contact de sa peau sur la mienne, nous fait sursauter tous les deux. Guillaume est un peu maladroit, je lui demande de se calmer, d’y aller en douceur, et ses yeux sont à la recherche de quelque chose.

Moi : est ce que tu veux voir mes seins ?
Guillaume : je ne sais pas… est ce que tu veux toi ?  Je… j’ai le droit ?
Moi : chut, on est ensemble, et bien sûr que je veux et que tu as le droit

D’une main je baisse lentement la couette jusqu’à que sous ses yeux apparaissent mes seins nues sur lesquelles sa main ne s’est jamais retiré. Il est surpris, et sans voix, son regard parcoure ma poitrine qu’il découvre pour la première fois, en moi-même je suis très excitée, lorsque je vois son regard sur moi.

Guillaume : c’est magnifique, tu es… tu es tellement belle…
Moi : merci (d’un sourire coquin)
Guillaume : je sens ton cœur qui bat
Moi : et ça te plaît ?
Guillaume : oh oui, beaucoup
Moi : alors tu ne dois plus avoir peur, et tu pourras la voir, et la toucher quand tu voudras
Guillaume : c’est vrai ?
Moi : oui, et tu peux aussi continuer de me toucher là…

En disant cela, je prends la main de Guillaume pour la glisser jusqu’entre mes jambes, la couette nous couvre toujours à ce niveau là. Guillaume a suivi du regard la progression de sa main jusqu’à disparaître, et son visage est encore plus surpris lorsque ses doigts touchent directement mon intimité humide.

Moi : tu aimes ?
Guillaume : c’est complètement fou, c’est très doux et tu es…. (En bougeant ses doigts le long de mes lèvres intimes)
Moi : hummm, continue, c’est trop bon…

Sans un mot Guillaume continua de me toucher, ses doigts parcourent mes lèvres, il est fasciné par ce toucher. Doucement je remonte sa main pour que ses doigts viennent s’occuper de mon clito, et c’est un véritable délice. Mon bouton est déjà bien gonflé, et très réceptif, les doigts de Guillaume tournent tout autour, le bouscule, lui passe dessus. Par moment il est un peu maladroit, mais dans l’ensemble il me fait le plus grand bien.

Je sens mon plaisir se concentrer de plus en plus, ça devient très dur de se retenir, mes jambes se tendent, se plie, elles ne restent pas du tout en place, tandis que ma respiration s’accélère et que ma poitrine se gonflent. Guillaume à ses yeux posés sur moi, il admire toujours mes seins et dans un élan d’excitation ma main vient se placer derrière sa tête et l’abaisse vers ma poitrine. Sans tarder je ressens sa langue venir tourner sur mon téton, sa bouche embrasse mon sein alors que ses doigts ne cessent de tourner. Et à ce moment là, je sens mon corps se raidir et une immense vague de plaisir me parcourir le corps tout entier.

Moi : hummmm AAAAAAH AAAh aaaaa …. Stop … stop
Guillaume : désolé, ça va ?
Moi : ohhhhh, ohhhh….. Oui ça va… c’est juste que c’est très sensible après
Guillaume : ah d’accord, je ne savais pas, désolé
Moi : ce n’est rien
Guillaume : je me suis bien débrouillé ?
Moi : tu étais excellent, franchement, excellent
Guillaume : c’est bizarre la sensation au toucher
Moi : ahaha ah bon ?
Guillaume : oui c’est à la fois doux, fragile on dirait, et très humide
Moi : oui je mouille pas mal
Guillaume : en tout cas j’ai adoré
Moi : moi aussi, et maintenant qui dirais tu si je te faisais plaisir aussi ?
Guillaume : comme la dernière fois ?
Moi : ou alors d’une autre façon hihi

Je glisse doucement ma main sur son corps jusqu’à la poser sur la bosse de son caleçon, mais Guillaume sursaute et je vois sur son visage qu’il n’est pas à l’aise.

Moi : Je te demande pardon si j’ai fait quelque chose de mal
Guillaume : non c’est que…
Moi : tu veux qu’on le fasse comme l’autre fois ?
Guillaume : eh bien, je…
Moi : chut, laisse moi faire tu veux

Guillaume bloque encore sur beaucoup de choses je me demande pourquoi, peut-être que j’aurais l’occasion de le savoir, mais pour le moment je savoure cet instant avec lui. Je viens me placer au dessus de lui comme la dernière fois mais aujourd’hui je suis entièrement nue. Guillaume m’a complètement recouvert de la couette, je commence à l’embrasser, oubliant toutes mes questions quant à son blocage.

Mon bassin commence à bouger sur le corps de Guillaume, je ressens très bien sa bosse entres mes jambes et je dois dire que mon excitation est encore plus présente, mes seins sont en contact avec son torse tandis que nos langues se mélangent. Ses mains viennent se poser sur mon dos, puis elles commencent à me caresser tendrement.

Pendant mes vas et viens sur son sexe, les mains de Guillaume viennent à un moment se poser sur mes fesses, cette caresse est tout à fait agréable mais de son côté il est surpris par son geste et tente de remonter plus haut. Je lui dis à l’oreille que je veux sentir de nouveau cette caresse, que ça m’excite beaucoup. Il semble peu sûr de lui, mais il dépose tout de même ses mains sur mes fesses puis je joins mes mains aux siennes pour lui montrer qu’il peut me les attraper fermement, mes les caresser et même les écarter.

Je me sens toute chaude, mon sexe est très humide et je crains que le caleçon de Guillaume soit dans le même état à présent. Je continue mes vas et viens puis je me redresse laissant apparaître mes seins, Guillaume est toujours aussi surpris de les voir, mais à son regard il apprécie vraiment le spectacle. Cependant il attrape la couette pour venir l’enrouler autour de ma taille comme pour me cacher.

Je continue toujours mes vas et viens, mais dans ma tête je me questionne de nouveau, et ne je peux m’empêcher de lui demander…

Moi : pourquoi tu me couvres ? …Hummm… ça te gêne ?
Guillaume : oh… je me dis, que peut-être… tu veux …
Moi : humm mon cœur, hummm si je me suis mise toute nue, c’est que j’ai confiance hum et que je veux que tu me regardes
Guillaume : Ah… tu veux vraiment que je te regarde ?
Moi : hummm, oui, fais toi plaisir, regardes moi Ahhh

En terminant ma phrase je saisie la couette de mes mains et l’ouvre complètement. Devant moi Guillaume baisse les yeux, et l’expression sur son visage m’excite terriblement. Il observe avec des yeux grands ouverts, sans rien dire mon intimité nue se frotter contre son membre tendu encore caché par son caleçon. Je regarde moi aussi le spectacle, et mes lèvres épousent parfaitement la forme de son sexe.

Guillaume ne bouge plus, il me regarde entièrement nue faisant des vas et viens sur lui et s’en est trop pour nous deux, il me dit qu’il va jouir alors j’accélère la cadence comme une folle et dans un seul et même gémissement, nous jouissons tous les deux avant de m’écrouler sur lui.

Je suis complètement épuisée, cette jouissance m’a coupé toute sensation dans les jambes, je me demande ce que ce sera lorsqu’on le fera vraiment. Guillaume est lui aussi tout retourné, sa respiration est courte, rapide. Il se tourne et vient m’embrasser, j’aime beaucoup ce baisé après avoir jouie comme ça. Guillaume me regarde entièrement, toujours nue et allongée à ses côtés, il me dit…

Guillaume : tu es sans doute, la plus belle fille que je n’ai jamais vue
Moi : oh c’est trop mignon, merci mon cœur
Guillaume : c’est la première fois aujourd’hui que tu m’appel « mon cœur »
Moi : oui c’est vrai, mais c’est sorti tout seul, ça te gêne ?
Guillaume : non au contraire j’aime beaucoup
Moi : d’accord c’est noté ahaha
Guillaume : ahaha ok, je file à la douche « mon cœur »
Moi : hiiii je suis trop folle de toi ahaha

Guillaume se lève et part dans la salle de bain se laver, pendant que de mon côté, je me remets encore de mes émotions, le souffle lent, allongée et toujours nue sur mon lit…
chapitre 58 image
Je suis toujours allongée nue dans mon lit, repensant encore à ce que nous venons de faire, et quel plaisir nous avons eu quand, Guillaume revient de la douche, et il a apparemment tout prévu puisqu’il a un caleçon tout propre sur lui. Je ne peux m’empêcher de lui sourire lorsque je le vois et ne manque pas de lui faire la remarque.

Moi : Monsieur à tout prévu on dirait ahaha
Guillaume : j’avoue que oui, car la dernière fois ce n’était pas vraiment agréable de rentrer chez moi avec le caleçon mouillé ahaha
Moi : ahaha c’est ma faute
Guillaume : tu ne t’habille pas ?
Moi : tu n’aimes pas que je sois toute nue ?
Guillaume : non c’est que… enfin je…
Moi : ahaha je rigole, viens on va à la cuisine j’ai soif

En me levant j’enfile vite fait un T-shirt long, je sens que Guillaume est gêné par quelque chose, et je pense qu’il faut qu’on en parle maintenant. Nous allons tout d’abord dans la cuisine nous servir un bon verre de jus puis nous nous installons sur le canapé. Guillaume en profite pour récupérer ses vêtements au sol et s’habiller.

Moi : mon cœur je peux te poser une question ?
Guillaume : euh… oui vas-y
Moi : je ne veux pas que ça te gêne de me répondre, c’est juste que je pense qu’il faut en parler
Guillaume : d’accord, je t’écoute
Moi : je voudrais savoir pourquoi tu es gêné à l’idée de me voir nue ? Et peut-être que ça a un rapport avec le fait que ça te bloque, tu ne penses pas ?
Guillaume : je me disais sous la douche, que tu me poserais la question
Moi : ah !
Guillaume : oui en fait, je ne sais pas par où commencer, mais …

Depuis tout petit sa mère lui a toujours dit de ne pas faire de mal aux autres et surtout aux filles, de les respecter. Elle l’a toujours repris lorsqu’il y avait une femme nue à la télé, ou alors s’il y avait un corps un peu trop exposer sur un magasine, de ne pas regarder.

Un des souvenirs marquant de Guillaume, fût quand il était âgé de six ans environ, sa cousine du même âge et lui jouaient ensemble. Venant un moment à s’éclipser, sa cousine, sans doute pour jouer ou autre leva sa jupe pour lui montrer sa culotte, malheureusement sa mère les surpris, mais c’est lui qui a été corrigé devant le reste de la famille.

Elle n’est pas du tout méchante en soit, mais elle semble voir le sexe comme un sujet tabou, sur lequel, elle ne parle pas et bloque de manière catégorique. Et quand il est parti en week-end chez sa mère et qu’elle a su pour nous, elle lui a resservis les mêmes discours de son enfance quant à ne pas blesser une femme et la respecter au point de lui promettre de ne rien faire avec moi, que je ne voudrais.

Je comprends à présent beaucoup sa façon de se bloquer avec moi, et de me demander sans cesse si c’est ce que je veux vraiment, ou si je vais bien, et s’il ne me fait pas de mal. Je ne sais vraiment pas quoi penser de son éducation, mais je sais qu’aujourd’hui Guillaume se bloque énormément envers les filles et a sans cesse l’image de sa mère dans sa tête.

Guillaume me dit aussi que c’est, en gros, ce qui à causé la séparation de ses parents. Au début tout allait très bien, si ce n’est que sa mère semblait juste stricte sur ce sujet, et plus tard pendant les disputes entres ses parents, son père lui sortait souvent qu’elle était devenue frigide. Les choses ne ce sont pas améliorés, il s’en est suivi de plus en plus de disputes et ils en sont venus à se séparer.

Moi : merci beaucoup
Guillaume : de quoi ?
Moi : de te confier comme tu le fais, je comprends beaucoup mieux pourquoi tu as ses réactions
Guillaume : je suis désolé, peut-être que tout ce que j’ai fait envers toi depuis le temps, ce n’est pas bien, et …
Moi : non, arrête, tu ne m’as absolument pas fait de mal et tu es le garçon le plus gentil qui soit. Tu sais j’ai toujours rêvé d’avoir quelqu’un comme toi
Guillaume : c’est vrai ?
Moi : oui c’est vrai, tu te soucis toujours pour moi, tu me respectes beaucoup. Mais tu sais, malgré que tu ais sans cesse l’image de ta mère dans ta tête, je voudrais que tu fasses ce que toi tu veux
Guillaume : avec toi ?
Moi : oui avec moi, et tu sais, je suis très amoureuse de toi
Guillaume : je suis très amoureux de toi aussi, et je suis tellement bien
Moi : moi aussi, et je te le dis, je suis prête à faire beaucoup de choses avec toi
Guillaume : ah bon, comme quoi ?
Moi : n’importe quoi, toutes les sorties que tu veux, et personnellement question sexe je suis prête à le faire avec toi
Guillaume : ça me touche ce que tu me dis là, moi aussi je voudrais le faire avec toi, mais peut-être…
Moi : je peux attendre que tu sois prêt

Guillaume est très heureux de cette discussion, d’avoir pu se livrer ainsi, et moi je suis contente de mieux le connaître. Tout ceci le gênait beaucoup, il ne savait pas comment en parler et si j’allais le comprendre ou non. Il avait très peur de me perdre pour tout ça, alors pour le rassurer je me suis blotti dans ses bras.

Nous échangeons un long regard, plein de douceur puis nous nous embrassons, et ça nous fait tellement du bien après ce que nous venons de partager. Tout en l’embrassant je le sers dans mes bras, je suis très amoureuse de lui et se l’avoir dit aussi clairement me rend heureuse.

Tout en m’embrassant Guillaume pose sa main sur mon ventre, me caresse doucement puis remonte lentement vers mon sein qu’il touche au travers du T-shirt.

Moi : ça te plaît ?
Guillaume : oui beaucoup
Moi : tu es libre de faire ce que tu veux avec moi, si tu as envie de me toucher, touche moi, si tu veux plus, dis le moi
Guillaume : et si ça ne te plaît pas ?
Moi : franchement si ça ne me plaît pas, je te le dirais, d’accord ?
Guillaume : d’accord
Moi : alors dis-moi ce que tu veux
Guillaume : hummm, tu es toujours toute nue sous ton T-shirt ?
Moi : tu peux vérifier par toi-même si tu veux

Un sourire se dessine sur le visage de Guillaume, ce qui me fait énormément plaisir, un peu gêné encore je pense il descend doucement sa main vers ma cuisse, puis il la remonte doucement soulevant au passage mon T-shirt afin de me dénuder. Guillaume regarde mon intimité qui lui est offert, et commence à me toucher doucement.

Guillaume : je te fais du bien ?
Moi : humm, oui continue, j’adore, fais ce que tu veux
Guillaume : c’est ce que je veux oui, je veux te caresser, je veux te toucher
Moi : alors touche-moi autant que tu veux…. Hum

Je ferme les yeux et me laisse aller à cette douce caresse pendant que Guillaume m’embrasse à nouveau. Sa main s’active entres mes cuisses, ses gestes sont parfois encore maladroit, mais il sait se calmer et me faire plaisir aussi. Il découvre sans doute pour la première fois le plaisir de faire vraiment ce qu’il veut envers une fille, et je suis entièrement d’accord pour me laisser faire.

Je suis devenue très vite humide, et Guillaume redécouvre cette sensation du bout des doigts.

Guillaume : est-ce que je peux…
Moi : hummm, fais ce que tu veux mon cœur ah… je te l’ai dis, humm, si ça ne me plaît pas, je te le dirais… Ah

Guillaume regarde attentivement ses doigts jouer avec mon clito, je le laisse faire, je ferme les yeux et apprécie vraiment ses caresses devenue plus précises. Puis ses doigts ce sont aventurés, ils descendent lentement, mais je ne dis rien, je le laisse faire, et doucement je sens un doigt me pénétrer. Je laisse échapper un gémissement tout en gardant les yeux fermés, puis son doigt commence à aller et venir entres mes lèvres.

J’adore ce qu’il me fait là, je gémis toujours plus et je sens un deuxième doigt s’introduire. J’ouvre légèrement les yeux, et Guillaume est très attentif à ce qu’il me fait, il regarde ses doigts me pénétrer tandis que je bascule vers l’arrière en relevant mon T-shirt. Je commence doucement à me caresser les seins quand je sens Guillaume se pencher vers moi, j’ouvre un moment les yeux et je le vois qui commence à me lécher les seins, à les embrasser et sucer tendrement mes tétons.

Tout ceci me fait monter très vite, tout ce plaisir qui s’accumule, mes gémissements se font plus fort, plus rapide. Guillaume est très encouragé par ce qu’il entend, et ses doigts me pénètrent plus vite eux aussi. Je me sens venir, je sens que je ne vais plus tenir très longtemps, mes jambes se raidissent tandis que mes gémissements s’intensifie, et là dans un long cri de plaisir je jouie alors que Guillaume accélère de nouveau ses doigts en moi.

Moi : huuuum, AAAAhh AAAAAh AAAAAh huummm stop aaaa stop
Guillaume : je t’ai fait plaisir ?
Moi : aaaa hummmm oui …. Oui c’était excellent, hummm…

Je vois sur le visage de Guillaume qu’il est fier de ce qu’il vient de me faire là. Son sourire représente beaucoup pour moi, et je dois dire que j’ai pris énormément de plaisir à me laisser faire.

Guillaume : je te regarde, et je me dis que j’ai vraiment de la chance que tu m’aies abordé
Moi : hummmm, et pourtant je suis plutôt timide…
Guillaume : timide, et très belle
Moi : hihi merci, mais toi aussi tu es très mignon
Guillaume : merci hihi, j’adore ton corps
Moi : merci, je suis contente que tu fasses ce que tu veux avec moi
Guillaume : je me sens mieux aussi
Moi : c’est vrai ? Je suis contente alors
Guillaume : je peux te regarder sous toutes les coutures ?
Moi : bien sûr, tout ce que tu veux

J’ai eu un peu le temps de reprendre mon souffle, je me lève, mon T-shirt me recouvre de nouveau tandis que je tourne sur moi-même devant Guillaume pour qu’il me regarde.

Guillaume : j’ai envie d’essayer quelque chose
Moi : humm, oui vas-y dis-moi
Guillaume : je ne sais pas comment le dire en fait
Moi : ce n’est pas grave, dis-moi
Guillaume : j’aimerais beaucoup te lécher… ou te goûter, je ne sais pas
Moi : vraiment ? Tu le veux ?
Guillaume : oui vraiment, enfin si tu veux bien sûr

Je suis toute surprise par ce qu’il vient de me demander, à l’intérieur de moi je suis toute contente qu’il se laisse aller à ses envies avec moi, que je ne peux m’empêcher de sourire bêtement. Je lui prends la main et lui dit de me suivre dans ma chambre, que nous serons plus à l’aise sur mon lit.

A peine dans ma chambre que nous sommes sur mon lit, tous les deux allongés pendant que Guillaume m’embrasse. J’adore sa façon de m’embrasser, je ressens vraiment à quel point ses sentiments sont fort pour moi. Je regarde Guillaume se redresser et descendre doucement vers le bas de mon lit. D’une main il pousse légèrement ma jambe droite, tout en déposant sur mes cuisses des baisés.

Je redresse mes jambes en les écartant pour lui faciliter le passage pendant que je retire mon T-shirt pour me retrouver complètement nue. Je regarde Guillaume prendre place tout doucement tandis qu’il me regarde tendrement.
Je sens son souffle se rapprocher doucement, ce qui me fait déjà frissonner et lorsque je sens le contact de ses lèvres sur mon intimité je ne peux m’empêcher de gémir. Guillaume dépose sur mon sexe de petits bisous, puis commence à les appuyer de plus en plus, jusqu’à ce que je sente sa langue en contact avec mon minou.

Quelle sensation incroyable, je redécouvre le plaisir d’un cunni. Je commence à fermer les yeux, à me laisser bercer par cette douceur que mon amoureux m’offre. Guillaume commence doucement à activer sa langue entres mes lèvres, tandis que mes gémissements eux s’élèvent déjà très haut. Je tente de me calmer un peu, doucement mes mains caresses mon ventre, mes seins et viennent parfois se placer sur la tête de Guillaume comme pour lui dire de rester là où il est.

Sa langue encore novice remonte doucement et vient travailler sur la zone que je préfère le plus, et même si mon chéri est encore débutant dans ce domaine, je peux dire que je sens déjà mon orgasme qui arrive. Je tente de souffler, de respirer calmement, j’ouvre les yeux par moment pour regarder Guillaume, et il a l’air de vraiment apprécier ce qu’il me fait.

Je sens que je viens, je sens toute la tension s’accumuler en un point, je sens mon petit bouton gonflé au maximum se faire manipuler dans tous les sens par cette douce langue. Je commence à ne plus supporter tout ça, mes gémissements ce font de plus en plus fort, de plus en plus long, puis

Moi : huummm, huummmmm ouiiiiii, ouiiiiiii OUIIIIIII AAAAAAAAAAAHHH AAAAAAAHH aaaaaaaaaa, doucement, oh…. Doucement, stop… mon cœur
Guillaume : hummm c’était trop bon
Moi : oh oui, je confirme, hummmm… c’était vraiment trop bon, merci mon cœur
Guillaume : j’ai pris beaucoup de plaisir aussi
Moi : c’est vrai ?
Guillaume : oui, je ne m’attendais pas à ça, tu as un goût que j’aime beaucoup, je pourrais te lécher pendant des heures
Moi : ahaha tu es trop mignon, je ne dirais pas non
Guillaume : alors j’y retourne…
Moi : ahaha, non attends un peu c’est encore sensible, c’est …. Hummmm ah oui, continue
Maman : chérie !!! C’est moi je suis rentrée !!

Je suis complètement surprise d’entendre la voix de ma mère, je n’ai vraiment pas vu l’heure passer, je suis en panique totale, tout comme Guillaume.

Guillaume : qu’est-ce que ? Je fais quoi ?
Moi : euh… ça va aller, sors de la chambre, ferme la porte, j’arrive

Guillaume s’exécute au plus vite, il sort de la chambre en fermant la porte, heureusement qu’il était déjà habillé. De mon côté je ne sais plus où je suis, je me lève complètement nue, et je reprends mon T-shirt long pour le remettre. J’entends pendant ce temps là Guillaume discuter avec ma mère dans le salon. Je sors les rejoindre et je me rends compte que j’ai complètement oublié de remettre des sous-vêtements, mais bon ce n’est pas comme si ma mère ne m’avait jamais vue nue.

Ma mère me regarde apparaître vêtu du T-shirt long et affiche un sourire qui n’est pas du tout discret. Nous essayons d’écourter au plus vite la conversation pour que Guillaume puisse s’en aller, mais ma mère prend un malin plaisir à discuter encore. Puis elle finit par saluer Guillaume qui disparaît aussitôt par la porte.

Je me retourne, ma mère me regarde avec un sourire encore plus gros et me demande de suite de lui raconter ce qui s’est passé.

Moi : je crois que j’ai besoin d’un bon bain pour me calmer
Maman : je suis entièrement d’accord, je viens avec toi ahaha
Moi : ahahah tu ne vas pas me lâcher hein ?
Maman : je veux savoir ce qui s’est passé petite coquine

Alors nous voilà toutes les deux dans la salle de bain, attendons que la baignoire se remplisse. Elle se doute très bien que je vais en avoir des choses à raconter…
chapitre 59 image
Pendant que l’eau continue de couler dans la baignoire, ma mère se déshabille lentement alors que moi je me retrouve vite nue, vu que je n’ai qu’un T-shirt sur moi. L’eau est bien chaude et nous nous installons toutes les deux, l’une face à l’autre.

Ma mère est là, face à moi affichant un sourire en attendant que je lui raconte mon après-midi. Je ne sais plus par où commencer, dans ma tête je suis encore toute retournée par ce que je viens de vivre là.

En lui racontant ce qui s’est passé, ma mère ne peut s’empêcher de sourire, de me dire que je suis coquine aussi par moment, et d'en rire. Notre complicité ne fait que grandir, au point de pouvoir tout se raconter. Je lui fais part également de mes doutes à certains moments quand j’étais avec Guillaume, et aussi des questions qui me sont venu à l’esprit.

Puis nous avons longuement parlé de Guillaume, de l’éducation qu’il a eue de sa mère. Là, où ma mère et moi avons réussi à créer un lien unique, qui fait que nous sommes tout à fait libres de parler de choses intimes. Guillaume et sa mère, eux, sont restés bloqués, et n’ont jamais pu échanger la moindre discussion à ce sujet.

Ma mère me dit que l’éducation que Guillaume à reçu n’est pas mauvaise, car aujourd’hui c’est un garçon très gentil et respectueux des femmes, et qu’il le sera toujours puisqu’il a sans cesse l’image de sa mère en tête. Beaucoup de parents ne communiquent pas avec leurs enfants sur le sexe, car c’est un sujet tabou, ou alors qu’ils ne savent pas comment en parler, et quoi leur donner comme conseil.

Guillaume fait parti de ses familles pour qui le sexe n’est pas un sujet à mettre sur la table, ou même un sujet à prendre à la légère. Je sais que sa mère est gentil en soit, puisqu’il me l’a dit, elle a toujours veillé à ce qu’il ne manque de rien, et qu’elle a toujours été soucieuse envers lui.

Ma mère pense qu’elle a dû vivre un moment marquant pour inculquer à son fils cette éducation au point de respecter la femme et de ne pas lui faire de mal. Ma mère m’avoue qu’elle avait peur pour moi, connaissant ma nature timide et fragile, elle ne voulait pas que je rencontre un garçon qui ne saurait pas prendre soin de moi. Mais aujourd’hui elle est rassurée dans un sens, de savoir que Guillaume est très gentil, et qu’il aura d’une certaine façon peur de faire quoi que ce soit de mal.

Ma mère est contente aussi que je guide Guillaume comme je le fais, et que nous découvrons le plaisir à deux. Je lui raconte également ce qui s’est passé par la suite, les douces caresses de Guillaume et le premier cunni qu’il m’a fait avant qu’elle nous interrompt.

Maman : attends il te faisait un cunni quand je suis rentrée ?
Moi : oui
Maman : mais comment il a pu arriver aussi vite devant moi ?
Moi : eh bien comme il était habillé, je lui ai dis de sortir de ma chambre pendant que je mettais quelque chose
Maman : d’accord, je vois, je comprends tout maintenant…
Moi : de quoi ? Je n’ai pas compris là
Maman : eh bien quand je suis rentrée et que je me suis annoncée, il est sortit assez vite de la chambre
Moi : et ?
Maman : et quand il m’a vu, il est venu me faire la bise,
Moi : ok…
Maman : et sa bouche était un peu humide, et j’ai sentie une odeur particulière
Moi : ah ok, oui je vois…

Après un petit moment de silence, on se met à rire toutes les deux de la situation, en effet Guillaume pris de panique était sortit bien trop vite, sans avoir le temps de s’essuyer ou autre. Et quand il a vue ma mère, le premier reflexe était de lui dire bonjour en lui faisant la bise. Heureusement que pour ma mère ce n’est pas grave, mais j’ai adoré sa tête quand elle a compris pourquoi sa bouche était humide et qu’elle avait cette odeur.

Maman : ahaha ton chéri est très poli, mais tu lui diras la prochaine fois de s’essuyer avant de me dire bonjour ahaha
Moi : ahaha oh non, il ne vaut mieux pas que je lui raconte ça, il risque d’avoir honte à chaque fois qu’il te verra ahaha
Maman : ahaha oui c’est vrai
Moi : alala, mais je suis désolée maman pour ça
Maman : ce n’est rien ma chérie (en faisant un clin d’œil)

Après ça, nous sommes sortis du bain toutes les deux, et après s’être séchées nous avons regagnés nos chambres dans le plus simple appareil, étant donné que nous avons été directement à la douche sans prendre nos affaires.

Je me suis habillée et me suis allongée dans mon lit, j’avais reçu sur mon téléphone plusieurs messages de Guillaume. Il s’excusait beaucoup pour ce qui s’est passé à la fin, et le fait que je ne lui répondu pas de suite l’a beaucoup inquiété. J’ai mis du temps pour le rassurer, je lui ai dis que j’ai pris le temps pour parler avec ma mère, et qu’elle était ravi de le voir.

Il pensait que ma mère me faisait une leçon de morale, mais je lui dis qu’au contraire, elle est très à l’aise pour parler de choses intimes, et qu’elle accepte tout à fait qu’il vienne ici. Il avait encore un peu de mal à croire que ma mère soit si à l’aise sur le sujet, et qu’elle l’invite ici pour être tranquille avec sa fille.

Il me fait beaucoup rire, même par messages, c’est fou à quel point je m’entends bien avec lui, et qu’il représente tout à mes yeux. Je suis un peu perdu dans mes pensées lorsque j’entends un bruit qui m’est familier. Ce bruit bien sûr n’est autre que le gémissement de ma mère de l’autre côté du mur. Je souris en sachant que ma mère se fait plaisir dans sa chambre, et c’est surement à cause des histoires que je lui ai raconté.
 
Je sors de ma chambre pour aller dans le salon, la porte de ma mère est fermée mais je peux parfaitement entendre ses gémissements au travers. Je souris en m’éloignant pour la laisser tranquille, j’ai eu ma dose pour aujourd’hui.
Quelques minutes plus tard ma mère toute souriante arrive dans le salon, elle se doute bien que je l’ai entendu se faire plaisir, mais aucune de nous n’en fera allusion ce soir.

Le lendemain je retrouve Guillaume et mes amis comme d’habitude, après le déjeuner je discute avec mon chéri encore de ce qui s’est passé hier. Pas du moment où ma mère est arrivée, mais plutôt de tout ce qu’on à vécu tous les deux. Il est trop mignon quand il me caresse la main en me disant qu’il a vraiment aimé ces moments et je lui rappelle que je suis prête à tout pour lui et qu’il peut me demander ce qu’il veut.

Il m’avoue alors que toute la nuit il n’a fait que penser à moi, à mon corps et à quel point il a envie de le revoir. Je dois dire que l’entendre me dire tout ça commence légèrement à m’exciter, mais je dois me calmer, nous reprenons les cours dans quelques minutes et je ne tiens pas à être distraite plus que je ne le suis déjà. Malheureusement pour toute l’après-midi je ne vais penser qu’à Guillaume et à ses mots, et je dois dire que j’ai trouvé le temps horriblement long.

Nous arrivons à la fin de la journée, comme à chaque fois, nous nous retrouvons tous devant le grille pour se parler quelques minutes, avant de partir chacun de notre côté. Mais au moment de partir je demande à Guillaume s’il veut bien m’accompagner jusque chez moi. Ça lui fait faire un détour de dix minutes environ, mais il accepte volontiers.

Sur le chemin, il me demande ce qui est prévu de faire pour les vacances de Noël de mon côté. Alors je lui dis que nous allons passer les fêtes chez mes grands parents près de Blaye et qu’il y aura toute ma famille. Sur tout le chemin il m’a écouté parler, en me posant parfois une question de temps en temps, et nous arrivons chez moi.

Guillaume vient m’embrasser pour me dire au revoir mais je lui demande de monter quelques minutes. Nous montons les escaliers jusqu’à arriver à l’appartement, puis je lui offre à boire.

Moi : c’est bon ?
Guillaume : oui merci, j’avais bien soif
Moi : je vois ça oui ahaha, merci de m’avoir raccompagné
Guillaume : ce n’est rien, je vais y a…
Moi : attends, … tu m’as dis tout à l’heure que tu voulais revoir mon corps ?
Guillaume : euh… oui …

Je viens alors déposer un baiser sur ses lèvres avant de me reculer, et doucement devant lui je retire ma veste, puis un par un chaque vêtement que je porte. Je suis en sous vêtements, Guillaume me regarde très attentivement, je vois sur son visage du désir, et je termine de me déshabiller complètement.

Guillaume : tu es magnifique …
Moi : merci mon chéri, comme tu voulais revoir mon corps je n’ai pas pu te laisser comme ça sans rien faire
Guillaume : merci mon cœur
Moi : hihi tu as l’air tout surpris de me voir comme ça, pourtant ce n’est pas la première fois
Guillaume : j’aime tellement te regarder et je me rends compte aussi que tu es prête à tout pour me faire plaisir
Moi : oui bien sûr
Guillaume : est-ce que…
Moi : est-ce que ?
Guillaume : non rien
Moi : non, vas y continue, demande moi ce que tu veux
Guillaume : je voulais savoir… si tu t’es… déjà masturbée en pensant à moi ?
Moi : oui, et beaucoup de fois même, pas toi ?
Guillaume : si, si, mais je …
Moi : dis-moi tout, n’ai pas peur
Guillaume : je voulais savoir, si tu voulais, le faire devant ?
Moi : oh... ça te ferait plaisir ?
Guillaume : oui j’ai envie de te voir le faire
Moi : je ferais tout ce que tu veux mon chéri, tu viens on va dans ma chambre ?
Guillaume : c’est gentil, en fait je voulais…
Moi : tu veux que je le fasse ici ?
Guillaume : oui, sur le meuble de la cuisine, si tu veux
Moi : je fais ce que tu veux…

Je viens l’embrasser, puis lui dis de se mettre à l’aise, de mon côté je m’installe sur l’ilot de la cuisine face à Guillaume. La situation m’excite terriblement, je veux faire plaisir à Guillaume et je me rends compte qu’il peut me surprendre par ses envies, surtout de me masturber ici sur l’ilot de la cuisine.

Je me suis déjà masturbée un peu partout dans l’appartement, ma chambre, celle de ma mère, le salon, la salle de bain, devant l’ordinateur, mais jamais sur l’ilot de la cuisine. En m’installant sur l’ilot, je fais face à Guillaume, j’ouvre mes jambes pour qu’il puisse m’observer et je glisse doucement ma main sur ma poitrine, puis mon ventre jusqu’à arriver sur mon intimité.

De là mes doigts commencent à bouger comme ils savent le faire sur mon clito. J’ai chaud, et en même temps froid, c’est l’excitation qui me fait ça, je ne pense plus à rien si ce n’est qu’à Guillaume. Je vois sur son visage la satisfaction de me voir ainsi, lui faire plaisir. Je me masturbe tout en le fixant, puis par moment je décroche, je ferme les yeux, je me laisse aller à mon plaisir.

Je pense aussi à ma mère qui pourrait arriver d’une minute à l’autre, tout dépend si elle s’arrête sur le chemin du retour pour une course ou pas. Mais pour le moment, je suis là à me masturber sur l’ilot de la cuisine devant mon chéri.
Guillaume me regarde attentivement puis me demande si je peux me positionner autrement. Je lui demande de me guider, de me dire comment il veut que je me mette. Il me demande de poser mes pieds sur l’ilot, afin de soulever mes fesses en écartant bien les jambes, et en me soutenant de ma main gauche vers l’arrière.

Je suis totalement surprise, il laisse parler ses envies, et ça m’excite complètement. Je me mets en position, je me sens comme offerte, là, sur l’ilot, entièrement nue à me masturber devant mon chéri. Je vais de plus en plus vite, je suis hors de contrôle, je gémis de plus en plus fort si bien que mon orgasme arrive d’un coup.

Mon corps se contracte sous l’effet de la jouissance, j’ai du mal à tenir sur mes appuis, mais je continue encore de me toucher, ce qui provoque un deuxième orgasme de suite. Ce coup ci, je ne peux plus tenir, je referme mes jambes sur ma main, mon corps convulse, alors que je gémis longuement de plaisir.

Guillaume se lève précipitamment de peur que je tombe, je repose mes fesses sur l’ilot, et je sens que j’ai beaucoup mouillé. Je regarde Guillaume dans les yeux en essayant de reprendre mon souffle, et on se sourit, satisfait tous les deux de ce qui vient de se passer. Il me regarde tendrement puis sans rien me dire, sans rien me demander, il glisse ses mains entres mes jambes pour les ouvrir.

Il s’abaisse pour enfouir sa tête entres mes cuisses, puis il vient me lécher une fois, deux fois, puis trois avant de se relever.

Guillaume : j’avais envie de te gouter encore une fois
Moi : tu peux me gouter autant que tu veux
Guillaume : j’adorerais, mais là…
Moi : oui, ma mère ne va pas tarder à arriver

Guillaume récupère son sac, puis juste dans l’ouverture de la porte je l’embrasse pour lui dire au revoir. La porte fermée, je me dépêche de ramasser mes affaires de m’habiller et de nettoyer l’ilot de la cuisine. Je ne voudrais pas laisser de traces et surtout aussi, c’est là que nous mangeons avec ma mère.

En parlant de ma mère, elle finit par arriver cinq minutes après que Guillaume soit parti. Je finis tout juste de nettoyer en prétextant avoir renversé du jus. Je sais que je dis tout à mère d’habitude, mais là, je crois que je vais le garder pour moi. Je ne voudrais pas la gêner d’avoir fait ça sur l’emplacement où nous mangeons, ou peut-être que je lui dirais un autre jour.
chapitre 60 image
Le vendredi lorsque je retrouve Guillaume devant le portail, il est tout souriant, et moi je suis toujours heureuse de le voir. Durant la journée nous sommes revenus sur nos aventures, nos découvertes et le plaisir que l’on a pu ressentir dans ses moments là. Guillaume se lâche de plus en plus et désir en découvrir d’avantage avec moi. Je suis heureuse qu’il arrive à se lâcher un peu comme il le fait, il prend petit à petit conscience de ses envies et il est de moins en moins gêné pour m’en parler.

Nous arrivons à la fin de la journée, je n’aime pas me séparer de mon chéri, surtout que ce week-end ma mère souhaite que je passe du temps avec elle. En fait elle a une petite idée de sortie pour samedi, et elle doit m’en parler ce soir, j’attends de voir ce qu’elle a en tête, mais je me dis que laisser mon chéri avec ses amis lui fera aussi le plus grand bien. Je ne voudrais pas qu’il me voit comme un petit pot de colle qui ne le laisse pas souffler de son côté, surtout que nous sommes encore au début de notre relation.

J’arrive chez moi et j’entame directement mes devoirs en attendant que ma mère rentre de la Zumba, il n’y en a pas énormément et au moins, j’en serais débarrassée pour le week-end. En arrivant ma mère vient me faire un bisou, et me propose de venir avec elle prendre un bain et me parler de cette fameuse sortie. Je lui dis que je termine juste une chose, et que je la rejoins aussitôt.

Elle dépose ses affaires dans sa chambre et elle file directement à la salle de bain, j’entends l’eau couler, et pendant ce temps, je me concentre pour finir mon devoir au plus vite. Une fois que j’ai terminé je me lève et me dirige vers la salle de bain, où ma mère m’attend. J’entre, elle est là, détendue, les yeux fermés …

Moi : je t’ai fait attendre, désolée
Maman : non, pas du tout, tu as vite finis
Moi : oui, je n’en avais pas beaucoup heureusement
Maman : et ta journée ? Ça a été ?
Moi : oui super, elle est plutôt vite passé, et toi ?
Maman : humm, beaucoup de boulot, heureusement la Zumba m’a permis de me défouler un peu
Moi : tu veux que je te frotte le dos ?
Maman : hummm, oui je veux bien merci

Je finis de me déshabiller et je m’installe dans l’eau derrière ma mère, pour une fois les rôles sont inversés, je me dis que c’est toujours elle qui prends soin de moi, et de mon côté, j’ai l’impression de ne pas lui porter assez d’attention. Je prends l’éponge dans ma main droite, et je commence à lui frotter le dos doucement en lui demandant de me parler de cette fameuse sortie.

Elle ne m’en parle que ce soir, car elle a eu cette idée tardivement avec Christine. Elles ont dans l’idée de faire une randonnée, avec Nora et moi dans un but précis, se parler. En fait Christine a du mal à savoir ce que sa fille pense de son inscription sur un site de rencontre. Bien que ce soit sa fille qui l’a aidé à s’inscrire sur ce genre de site, elle ne sait pas du tout si elle approuve à cent pour cent, que sa mère puisse rencontrer un autre homme.

Donc ma mère souhaite que j’essaie de parler avec Nora, pour savoir un peu ce qu’elle en pense de tout ça, et surtout lui apporter aussi mon point de vue sur le sujet, si elle a des questions ou autres. Je ne sais pas du tout si je vais pouvoir amener Nora à parler de tout ça, car je ne la connais que très peu, mais je veux bien essayer.

Maman : et tu sais, Christine envie beaucoup notre complicité
Moi : ah bon ? Tu lui as dis quoi ?
Maman : je ne lui ai pas tout dit, ne t’inquiète pas
Moi : je ne suis pas inquiète ahaha
Maman : ahaha je te rassure, je lui ai seulement dis que nous partageons beaucoup de choses, et que tu me donnais bien souvent ton avis sur les hommes que je rencontre
Moi : que l’on partage beaucoup de choses ? C’est-à-dire ?
Maman : pas mal de moments mère-fille, et souvent des bains durant lesquels on se parle librement
Moi : et elle envie cette complicité ?
Maman : oui, elle aimerait bien que Nora lui parle, qu’elle lui pose des questions, mais elles n’ont jamais parlé de choses intimes
Moi : eh bien je vais essayer de voir ce que je peux faire demain. Je te fais du bien ?
Maman : oui c’est très bon, je devrais te demander de me le faire plus souvent ahaha

Pour moi il n’y a vraiment pas de soucis à lui frotter le dos plus souvent, et ça fait partie de cette complicité entres nous. Après le bain, nous passons à table, puis nous restons toutes les deux devant la télé jusqu’à l’heure d’aller dormir.

Ce matin, pas de grasse matinée pour moi, mais je me suis très bien reposée cette nuit et je me sens en forme. Le petit déjeuner avalé, je prépare mes affaires, et me voilà prête pour cette journée. C’est Christine qui vient nous récupérer, elle connaît pas mal d’endroit où faire de la randonnée, et aujourd’hui nous allons aux Monts de Blond à environ quarante cinq minutes de route.

Sur le trajet je discute avec Nora des banalités du collège pendants que nos mères parlent entres elles. Pour vous les décrire un peu, Christine semble être une femme dynamique, qui aime rire, elle est claire de peau, blonde et une silhouette plutôt sportive. Nora ressemble assez à sa mère, mince, blonde, de grosse lunette ronde qui lui vont très bien, mais pour le caractère elle est plus posé que sa mère.

Une fois arrivées, nous prenons nos sacs, nous avons prévus de faire une pause déjeunée pour faire durer la randonnée et passer une bonne journée. Ce qui me laissera sans doute plus de temps pour essayer de parler avec Nora. Christine et ma mère s’étirent un peu afin de s’échauffer, j’avoue que je ne suis pas du tout adepte des randonnées et que je ne sais pas du tout comment m’étirer en vrai.

Une fois prêtes, nous voilà partis, on y va bien sur à une allure tranquille, le but n’est pas de faire une course. Nous laissons Christine et ma mère marcher devant, nous les suivons à notre rythme et commençons à discuter tranquillement. Nous parlons des cours et aussi du brevet mais on ne stresse pas trop toutes les deux. Nous parlons également de nos amis et j’apprends que sa meilleure amie a déménagé l’année dernière, pour le coup elle traîne surtout avec ses camarades de classes, mais elle n’a pas vraiment d’affinités avec elles.

Nous venons également à parler de Guillaume, et Nora est très étonnée que je sorte avec lui. En fait, elle savait pour ma timidité maladive et me voyait souvent retiré dans mon coin, bien que je sois entourée de mes amis. Donc pour elle, jamais elle n’aurait pensé me voir avec un garçon, et elle est contente pour moi. Je lui explique alors un peu mon parcours, le départ de mon père et comment j’ai eu du mal à me sortir de ma bulle pendant toutes ses années. Et bien que j’aie pu faire d’énormes progrès, il m’arrive encore d’avoir des crises d’angoisses sur lesquelles je travaille.

Et je lui explique surtout que c’est grâce à ma mère, qui a toujours été là pour moi, et au soutien de mes amis que je suis aujourd’hui plus libre et moins timide.

Moi : et toi, comment ça se passe avec tes parents ?
Nora : je vis avec ma mère, et je vois de temps en temps mon père, car de son côté il s’est installé avec une femme que je ne supporte pas. Donc je ne vais jamais chez lui
Moi : et quand est-ce que tu le vois alors ?
Nora : on déjeune ensemble quelques fois pour profiter de se voir
Moi : ça ne doit pas être facile
Nora : oui, surtout qu’on s’aime très fort, mais sa nouvelle copine est vraiment horrible, et franchement, je ne sais pas ce qui lui trouve
Moi : elle est horrible comment ?
Nora : ba comment dire ? J’ai jamais vu une personne aussi fausse que ça, elle est toujours là à se plaindre, de plus, faut que tout tourne autour d’elle, et elle à une voix qui m’énerve. Rien que de l’imaginer ça me casse les oreilles
Moi : ok je vois un peu ahaha
Nora : et puis entres nous, elle est moche ahaha, je ne sais vraiment pas ce que mon père lui trouve
Moi : elle doit avoir d’autres qualités
Nora : hummm la seule chose qu’elle sait faire, c’est respirer

Je ne peux m’empêcher de rire à ce moment là, surtout avec l’air sérieux de Nora, quand elle a sortie ça. Mais ça lui fait du bien de parler en tout cas, et de rire, c’est la première fois qu’elle en parle comme ça, surtout depuis que sa meilleure amie est partie.

Nora : tu m’as dis que tu n’as jamais revu ton père ?
Moi : oui, plus de nouvelles depuis qu’il est parti
Nora : et l’idée d’avoir un beau-père ça te fait quoi ?
Moi : humm, à un moment, ma mère avait rencontré un homme qui la rendait heureuse, et franchement, il commençait à prendre ce rôle de père envers moi
Nora : donc ça te plairait beaucoup de voir ta mère avec un homme ?
Moi : ce que je veux avant tout c’est qu’elle soit heureuse, et toi ?
Nora : pour moi, du côté de mon père ça me fait chier franchement, mais bon ça va, je ne vis pas avec lui
Moi : et pour ta mère ?
Nora : humm je ne sais pas, j’espère seulement qu’elle ne tombera pas sur un con
Moi : tu n’en as jamais parlé avec elle ?
Nora : non du tout
Moi : c’est dommage, je pense que tu devrais parler avec elle, ça pourrait vous faire du bien, et au moins elle saura ce que tu en penses
Nora : humm, je ne sais pas, pourquoi ? Tu en parles avec ta mère ?
Moi : oui, en fait, on est très complice toutes les deux, donc on parle ouvertement des hommes qu’elle rencontre, et je suis plus rassurée
Nora : elle en a rencontré plusieurs ?
Moi : oui plusieurs
Nora : mais ça ne te gêne pas ?
Moi : tu sais depuis le départ de mon père, ma mère n’a plus du tout eu de vie sociale, elle s’est concentré uniquement sur moi et sur mon bien être. Alors aujourd’hui je voudrais qu’elle profite de la vie, avant de rencontrer le bon
Nora : hum, je comprends, c’est vrai que depuis que mes parents sont divorcés, elle a toujours pris soin de moi, et elle n’a jamais rencontré personnes
Moi : je pense que tu devrais la laisser rencontrer qui elle veut, et surtout lui en parler
Nora : je me rends compte qu’elle a toujours tout fait pour moi. Et de mon côté j’ai l’impression d’avoir été égoïste
Moi : c’est peut-être le moment de changer, et d’avoir une complicité avec ta mère
Nora : quant tu dis complicité, tu veux dire quoi par là ? Tu fais quoi avec ta mère ?
Moi : eh bien, on passe beaucoup de temps ensemble, ça m’arrive de dormir avec elle, de prendre des bains ensemble, et on parle également de tout
Nora : d’accord, c’est vrai que je ne passe pas beaucoup de temps avec ma mère, je suis toujours dans ma chambre. Pour les bains non, mais c’est déjà arrivé qu’elle soit dans la salle de bain pendant que je me douche ou l’inverse

Tout en se parlant, nous avons bien marché, et je dois avouer que je n’ai pas vraiment profité du paysage. Mais d’un côté j’ai réussi à parler à Nora, et j’espère franchement que ce que je lui ai dis là, va permettre de changer quelque chose entre sa mère et elle. Nous nous sommes arrêtés dans un endroit tranquille pour déjeuner, le soleil me fait beaucoup de bien surtout en cette saison. Heureusement pour moi que je me suis bien habillée aujourd’hui, et malgré le froid je dois dire que cette randonnée me fait le plus grand bien.

Après cette pause déjeunée d’environ une heure, nous avons repris nos affaires et continués la randonnée. Christine et ma mère sont repassées devant tandis que Nora et moi discutons toujours à l’arrière. Nora me dit qu’elle a beaucoup réfléchie suite à notre discussion, et elle se dit, qu’elle veut elle aussi créer une complicité avec sa mère.

Nous reparlons bien entendu des garçons, elle me pose pas mal de questions sur ma relation avec Guillaume, et je lui dis à quel point je me sens heureuse avec lui et combien il est attentionné envers moi. Pour Nora, les garçons ne sont pas sa priorité pour le moment, pas qu’ils ne l’attirent pas, mais elle ne ce sent pas prête pour quoi que ce soit avec un mec. Elle souhaite tout d’abord se concentrer sur ses études et se donner le maximum de chance de réussir.

Nora est vraiment une chouette fille, qui a la tête sur les épaules, et franchement cette randonnée m’a permis de mieux la connaître. Nous sommes de retour à la voiture vers 14H30, Christine et ma mère s’étire encore avant reprendre la route. Arrivées près de l’appartement, Nora me remercie, et me dit qu’elle parlera avec sa mère pour être au clair concernant les possibles rencontres de Christine. En tout cas pour ma part, je les remercie toutes les deux pour la journée que nous avons passés, avant de les voir partir.

En arrivant à l’appartement, ma mère me propose de prendre un bain pour nous détendre et pouvoir se parler un peu. J’accepte volontiers, et je lui raconte tout ce qu’on a pu se dire avec Nora. De leur côté, Christine et ma mère ont beaucoup parlés de leur travail, de petites tensions parfois, mais aussi de quelques hommes sur le site.

Ce qui est drôle, c’est que certains hommes que ma mère a rejeté, ont aussi abordés Christine, et elles partagent toutes deux les mêmes avis les concernant. Christine semble un peu partagée entre l’envie de profiter de la vie, et prendre le temps avant de rencontrer quelqu’un.

En tout cas, j’espère que la situation évoluera entre Nora et sa mère, ce qui je pense, leur fera du bien à toutes les deux.
chapitre 61 image
Ce dimanche je me réveil doucement, je dois dire qu’après cette journée randonnée, j’étais très fatiguée, et en regardant mon téléphone il est 9H passé. Je m’étire doucement et je me rends compte que j’ai mal aux jambes, je sors du lit pour aller vers la cuisine et mes jambes sont vraiment lourdes.

Je retrouve ma mère dans la cuisine et lui fait un bisou pour lui dire bonjour, elle me demande comment je me sens aujourd’hui et je lui dis pour mes jambes. Elle rigole en me disant que j’aurais dû faire quelques étirements hier à la fin de la randonnée. Je ne pensais vraiment pas que ça pourrait me faire ça, mais ma mère me rassure sur le fait qu’elle aussi malgré les étirements, elle ressent une fatigue musculaire.

Je prends mon petit déjeuner avec elle, puisqu’elle s’est levée pas longtemps avant moi. Aujourd’hui je pense que nous allons rester tranquillement chez nous pour nous reposer vus notre fatigue. Après le petit déjeuner, j’aide ma mère à faire quelques tâches ménagère, avant qu’elle s’installe sur l’ordinateur et moi devant la télé.

Je l’entends taper sur le clavier, elle doit surement parler sur le site, de mon côté j’envoie des messages à Guillaume, et aussi ma cousine impatiente d’être en vacances pour se revoir. Je fais vraiment ma larve aujourd’hui allongée dans le canapé devant un film que je ne suis pas du tout. Je suis toujours sur mon téléphone mais mes yeux viennent à se fermer tout doucement, jusqu’à m’endormir.

Je ne sais pas combien de temps j’ai fermé les yeux, mais à mon réveil ce n’est plus du tout le même film à la télé, et ma mère me voyant me relever me propose de manger. Nous mangeons une petite salade, juste pour avoir quelque chose dans le ventre, et en me regardant à moitié endormie ma mère se moque de moi. Mais je me sens encore très fatiguée, alors tout de suite après je regagne ma chambre pour m’endormir de nouveau.

A mon réveil ma tête est lourde, et mes jambes le sont aussi. Je crois que mon corps n’est pas du tout habitué aux randonnées, malgré que je prenne du plaisir. Je recherche mon téléphone pour savoir quelle heure il est, et je suis toute étonnée quand je lis sur mon écran 17H. J’ai en gros passé ma journée à dormir tellement la journée d’hier ma tuée.
Je me lève pour retrouver ma mère, et je la vois toujours devant l’ordi…

Moi : tu as parlé toute la journée sur le site ?
Maman : oula non, je suis allé dans ma chambre aussi pour me reposer
Moi : d’accord, tu as bien dormie ?
Maman : oui je me suis réveillée vers 14H30 et je suis revenue devant l’ordi
Moi : c’est qui ? Christine ? Ou un nouveau mec intéressant ?
Maman : j’ai eu quelques messages, un seul intéressant, Christine oui, mais aussi Laurent
Moi : oh tu me racontes alors ?
Maman : humm d’accord, mais ça te dit de prendre un bain, et que je te raconte tout ça ?
Moi : ok

Nous voilà toutes les deux dans la salle de bain, l’eau coule et nous nous retrouvons très vite nues. Ma mère m’invite à me positionner contre elle, pendant qu’elle passe l’éponge un peu partout sur mes bras et ma poitrine. Elle me dit avoir discuté avec Christine, que Nora a quelque peu changer envers elle suite à cette randonnée et qu’elle me remercie de lui avoir parlé.

Je suis contente d’avoir pu jouer un rôle dans tout ça et j’espère que leur relation évoluera encore. Pour le nouveau mec intéressant, pour le moment, il n’y a pas grand-chose à dire, à part le fait qu’il parle bien et qu’il est gentil. Mais ma mère attend de voir comment va se passer le dialogue avant tout.

Pour Laurent, elle n’avait plus trop de nouvelles depuis le début du mois de Novembre. Il s’est donné toutes les chances avec cette fille, ils ont pris le temps de faire connaissance, et ont eu plusieurs sorties resto, ciné et autres. Quand ils ont couchés ensemble pour la première fois, il a mis en pratique tout ce que lui à dit ma mère, et il s’en est pas trop mal sorti. Bien sûr il à demandé si il lui avait donné du plaisir, et il a été très content de la réponse.

Ma mère à beaucoup aimé reprendre contact avec Laurent, il n’est pas officiellement en couple avec cette fille, mais il ne voudrait pas qu’elle prenne mal le fait qu’il discute avec une autre femme sur le site, surtout avec laquelle il a eu des rapports. Ma mère le comprends tout à fait et ne lui en veux pas du tout, et au contraire elle espère que cette histoire entres eux se concrétisera.

Laurent est un homme très gentil, et il mérite de vivre une belle histoire. Tout en écoutant ma mère parler je me suis laissé aller à ses caresses, je suis allongée tout contre son corps, et ses mains me font vraiment du bien.

Maman : comment tu te sens ? Tu t’es bien reposé aujourd’hui ?
Moi : je me sens un peu mieux, bien que j’aie encore les jambes lourdes
Maman : je peux te faire un massage si tu veux, ça te fera du bien
Moi : je ne veux pas t’embêter
Maman : mais non, ça va, on sort de là, et tu vas dans mon lit, je vais te faire un massage, ça va te faire du bien

Nous sortons toutes les deux du bain, et nous nous séchons. Je n’ai pas pris mes affaires alors je m’enveloppe dans ma serviette pour aller dans sa chambre. Elle sort de son tiroir un tube d’huile pour massage et me demande de m’allonger.
Je me positionne sur le ventre toujours la serviette sur moi, et ma mère me rejoint dans le lit.

Maman : où est ce que tu as mal exactement ?
Moi : partout, les cuisses, les mollets et les pieds
Maman : d’accord

Je sens l’huile se verser sur mon pied gauche, puis ses mains commencent doucement le massage. Je ferme les yeux et me laisser aller, c’est tellement agréable. Ça me fait un bien fou, surtout quand elle passe sur mon mollet, avec l’huile, ses mains glisses parfaitement et me font du bien. Tout en se parlant, ma mère continue son massage sur mes jambes, nous venons à parler un peu de Guillaume et aussi des vacances de Noël qui approche. Maman à déjà pris quelques cadeaux pour mes grands parents mes oncles et tantes, mais pour ce qui est des mes cousins et ma cousine, nous irons choisir toutes les deux les cadeaux samedi prochain.

Je sens combien les mains de ma mère me font du bien, elle remonte de mon mollet à ma cuisse, et à chaque passage de ses mains, c’est comme si que je sentais mon sang circuler à nouveau dans ma jambe. Je dois avouer que lorsque ses mains remontent sur ma cuisse, cela ne me laisse pas indifférente. Ce massage est comme une douce caresse à un moment et je me mets à imaginer des choses. Au début je me suis forcé à réfréner toutes pensées du genre, mais très vite j’ai pensée à Guillaume, et en entendant ma mère me parler je n’ai pas pu échapper à la réalité.

Ce sont bien les mains de ma mère qui sont posées sur moi, et qui me font du bien. La dernière fois, c’est moi qui lui ait fait un massage du genre, et cela ne l’avait pas laissé indifférente non plus. Mais je garde tout ça pour moi, je ne voudrais pas dire ou faire quelque de mal, surtout qu’elle ne s’est occupée que d’une jambe pour le moment.

Maman : tu as de jolie fesses ma chérie
Moi : c’est vrai ? Tu trouves ?
Maman : humm oui (en relevant un peu plus la serviette)
Moi : merci, en tout cas, j’espère avoir les mêmes fesses que toi à ton âge
Maman : c’est grâce à la Zumba
Moi : c’est les hommes que tu rencontres qui doivent être aux anges ahaha

Je rigole mais au fond de moi j’essaie de cacher mon excitation qui commence à grandir de plus en plus. Surtout au moment où ma mère releva un peu plus la serviette pour me parler de mes fesses. Je sens à présent son regard sur moi, sur ma nudité partiellement dévoilé.

Elle change de côté pour commencer son massage sur l’autre jambe. Elle débute par mon pied, puis remonte petit à petit. Lorsque ses mains arrivent sur ma cuisse, mon excitation reprend de plus belle. A chaque passage de ses doigts à l’intérieur de ma cuisse, je suis là, à supplier en moi-même qu’elle remonte encore. Je sens ses doigts passer très près de mon intimité, mais à chaque fois elle se retire.

Je sens ma mère changer de position, et se placer à califourchon sur une des mes jambes. Je me demande ce qu’elle fait, jusqu’au moment où je sens ses mains se poser sur mes deux cuisses. Je lâche un gémissement de plaisir lié au bien qu’elle me fait aux jambes, mais aussi dû à l’excitation que je ressens, au moment où ses mains sont venus se poser sous mes fesses.

Ma mère continue de me parler un peu, pour ma part je ne réponds que rarement puisque je n’arrive plus à penser correctement. Ses mains viennent à présent se positionner sur mes fesses qu’elle masse délicatement. J’adore vraiment ça, c’est fou comment ce toucher me fait du bien et m’excite.

Je me demande ce qui se passe aussi dans sa tête, la dernière fois que je lui ai frotté les fesses, j’étais très excitée par la vue et par le toucher. Je me demande si c’est le cas pour elle aussi vu que les rôles sont inversés cette fois. Ses mains se baladent sur mes fesses, les attrapes, et les écartes aussi par moment. J’aimerais que ce moment dure encore, mais ses mains se retirent et elle se redresse.

Maman : ça ta fait du bien ma chérie ?
Moi : humm, oh oui, merci beaucoup maman
Maman : …h, d’accord, et bien si c’est bon pour toi…
Moi : euh …
Maman : oui vas-y, dis moi
Moi : j’aimerais bien que tu me masses l’avant des cuisses aussi, si ce n’est pas trop demandé
Maman : d’accord ma chérie, retourne toi

Je me retourne alors et m’installe sur le dos, en réajustant la serviette toujours sur moi, et ma mère vient s’installer à cheval sur ma jambe droite. Je la regarde et nous échangeons un sourire, peut-être qu’elle est elle aussi excité par la situation, je ne sais pas. Elle est face à moi, enroulé elle aussi dans sa serviette.

Elle dépose de l’huile sur mes cuisses, et cette fois ci, je peux voir tout ce qui se passe, et j’avoue que je me sens encore plus excitée. Je vois et ressens ses mains se poser sur ma cuisse droite, elles glissent doucement jusqu’en haut, puis elles retournent à leurs points de départ.

Maman : comme ça c’est bon ?
Moi : humm, encore plus haut s’il te plait
Maman : comme ça ?

En joignant le geste à la parole, je ressens les mains de ma mère remonter plus haut, et se perdre sous ma serviette. J’ai pris à ce moment là une profonde inspiration lorsque j’ai sentie ses doigts venir si près de mon intimité. Je ne sais plus quoi faire, est-ce que c’est toujours un massage ou alors les choses ont pris une autre tournure ? Je ne sais pas quoi penser, je vois seulement que ma mère me sourit à chaque passage de ses mains.

Elles posent ses mains à présent sur mes deux cuisses, puis remontent très lentement. Je sens mon sang circuler dans mes jambes, ses mains disparaissent de nouveau sous la serviette et viennent près de mon intimité.

Moi : humm….
Maman : je pense que l’on va arrêter là
Moi : ah bon ?
Maman : oui ma chérie, je vois dans quel état tu es depuis tout à l’heure
Moi : ah je ne pensais pas que ça se voyait
Maman : ce sont en fait de petite réaction, mais je n’ai pas eu de mal à deviner
Moi : désolée maman
Maman : ce n’est rien, c’est moi qui suis responsable
Moi : mais ça ne t’a rien fait à toi ?
Maman : si, je t’avoue que je suis excitée aussi
Moi : tout comme moi la dernière fois que je t’ai fait le massage
Maman : oui et je comprends mieux maintenant ce que tu as pu ressentir, le fait de voir ton intimité si près de ma main, ça m’a donné envie de … de te toucher
Moi : je sais, et je sais aussi que tu ne souhaites pas en arriver là, mais j’avoue que je ne savais plus quoi penser à un moment ahaha
Maman : désolée
Moi : ce n’est pas grave, je te comprends tout à fait
Maman : mais ça ta fait du bien ?
Moi : oh oui, c’était vraiment très bon, merci
Maman : tu devrais aller te rincer pour enlever toute l’huile
Moi : j’y vais oui

Je fais un bisou à ma mère pour la remercier encore pour ce massage, et je file en direction de la salle de bain. En me rinçant je me suis laissé aller à un petit plaisir solitaire très rapide, histoire de me calmer un peu.

En sortant de la salle de bain, je m’habille en vitesse et rejoins ma mère pour passer le reste de la soirée avec elle. Ni ordi, ni téléphone ce soir, juste elle et moi devant un plateau repas et un bon film.
Chapitre 62 image
J’adore commencé ma semaine avec une interro surprise, non pas du tout, mais nous devons cette interro à mes camarades turbulents qui ont fortement agacé le prof. A la pause de midi je retrouve comme d’habitude Guillaume, on ne manque pas de s’embrasser toujours dans notre coin. Il me raconte aussi son week-end avec ses amis et une soirée console chez Charles.

Pour les vacances, il ira avec sa mère voir toute sa famille pour passer les fêtes ensembles. Il me parle également de sa cousine avec qui, il passe le plus de temps lors des repas, et me raconte quelques histoires à son sujet. Je me souviens de ce que m’a raconté Guillaume avec sa cousine lorsqu’ils étaient plus jeunes, et je me demande s’il y a eu d’autres histoires du genre. Il est vrai qu’il est très timide et respectueux envers les filles mais j’aimerais en savoir plus.

Moi : dis-moi, à part le moment où vous avez été surpris par ta mère, tu as d’autres petites aventures avec ta cousine ?
Guillaume : euh… non, pas que je me souvienne
Moi : et tu la trouves comment ta cousine ?
Guillaume : elle est très belle, pourquoi ?
Moi : non rien, je me dis qu’il t’est sûrement arrivé de la regarder autrement, ou alors d’avoir regardé d’autres filles avec plus d’intérêt, même si tu as eu une éducation comme la tienne
Guillaume : pourquoi ? Tu es jalouse ?
Moi : ah non pas du tout, je te rassure, je suis juste curieuse, c’est tout
Guillaume : d’accord, je pensais que tu étais jalouse, vu comment je parle de ma cousine
Moi : non mon chéri, je te rassure
Guillaume : d’accord, et toi avec tes cousins ?

Là je ne savais plus vraiment où me mettre, s’il savait tout ce que j’ai pu faire avec Jordan jusque là, il serait sûrement furieux que j’aille en vacances avec ma famille. Alors je décide d’arranger, un peu, voir beaucoup, la vérité.

Moi : non tu sais, je les ai perdu de vue quand j’étais toute petite. Donc je n’ai pas vraiment vécu d’histoires avec eux

Heureusement pour moi, c’est l’heure de reprendre les cours, je n’aime pas lui mentir, mais parfois, il vaut mieux s’abstenir de dire la vérité sur certaines choses. L’après midi est vite passé malgré quelques heures de cours ennuyeuses. Je retrouve mes amis à la sortie avant de leur souhaiter bonne soirée, et j’embrasse tendrement Guillaume avant de le quitter aussi.

En rentrant chez moi je me penche directement sur quelques devoirs, puis ma mère arrive peut après. Pendant le dîner je lui raconte ma journée et ma conversation avec Guillaume, et le mensonge que je lui ai servi.

Maman : tu sais ma chérie, dans une relation, ce n’est pas facile parfois, de dire toute la vérité
Moi : oui je sais, mais j’ai l’impression de mal faire
Maman : on a déjà tous dit au moins une fois, un mensonge pour ne pas blesser l’autre. Tu commences à peine à connaître Guillaume, avec le temps, vous allez finir par vous confier l’un à l’autre
Moi : mais je ne voudrais pas qu’il soit choqué ou autres d’apprendre la vérité
Maman : nous n’avons pas tous la même façon de penser, et de voir les choses. Et toi seule peut savoir, en connaissant mieux Guillaume, si telle vérité ou autre est bonne à dire ou non

Nous avons beaucoup discuté toutes les deux, avec ma mère je peux vraiment être libre et lui demander conseils. Ce soir dans mon lit je repense un peu à tout ceci, comme l’a dit ma mère, nous avons tous notre jardin secret. Peut-être qu’un jour je le partagerais avec Guillaume, et qu’il en fera de même avec moi.

Une nouvelle journée s’annonce, comme d’habitude je retrouve tout le monde devant la grille avant de regagner nos salles. La matinée se passe plutôt bien, et la pause de midi est toujours un régal aux côtés de mon chéri. A la reprise des cours j’ai deux heures de libres, un de mes profs étant absent, je me dirige donc vers le CDI pour être tranquille, et dans un petit coin, je vois Nora, toute seule, installée en train de lire.

Moi : salut, tu vas bien ?
Nora : hey oui et toi ?
Moi : ça va, j’ai deux heures de libres un prof est absent
Nora : ah cool, moi aussi j’ai deux heures libres une semaine sur deux le mardi
Moi : je peux m’assoir avec toi ?
Nora : oui vas-y, installe toi

Nora a de suite abandonné son livre pour parler avec moi, je lui ai dis combien la randonnée m’a tuée, et comment j’ai dormis toute la journée de dimanche. Elle me rassure en me disant que ça a été la même chose pour elle. Nous venons également à parler de sa relation avec sa mère, elle se rend compte à quel point, son avis, sa présence à une place importante pour sa mère.

Elles ne se sont pas encore tout dit sûrement, mais le dialogue s’installe peu à peu, de plus elle passe un peu plus de temps avec sa mère, plutôt que d’être seule dans sa chambre. Elles ont bien sûr parlés du site et d’une éventuelle rencontre, mais Nora souhaite seulement que sa mère fasse attention, qu’elle réfléchisse bien avant de voir un homme pour de vrai.

Moi : est-ce qu’il y a quelqu’un qui lui plaît sur le site ?
Nora : humm, elle m’a parlé d’un homme, avec qui elle discute bien
Moi : et qu’est-ce que tu en penses toi ?
Nora : sur la photo il est plutôt pas mal, mais à part lui, ma mère à surtout dialoguer avec ta mère
Moi : oui c’est vrai, la première fois qu’elle m’a dit qu’elle discutait avec une femme, j’ai cru qu’elle était intéressée par elle ahaha
Nora : j’ai eu la même réaction ahaha je me suis dis, merde, ma mère est lesbienne ?
Moi : ahaha c’est totalement ça ahaha

Nous essayons de contrôler pour ne pas rire trop fort, on ne voudrait pas se faire expulser du CDI. Puis nous venons à parler un peu de Guillaume, de nos amis et de ce que nous avons vécus. Elle est toujours en contact avec sa meilleure amie, mais la distance commence à peser dans leur relation.

J’ai vraiment aimé ce moment passé avec Nora, et après avoir passé deux heures à nous parler, il est temps pour nous de regagner nos salles pour les dernières heures de cours. A la fin de la journée je salue tout le monde ainsi que Nora que je croise, et ne manque pas d’embrasser mon chéri avant de le quitter.

Le reste de la soirée ce passe normalement avec ma mère comme d’habitude, je lui dis que j’ai parlé avec Nora, que le dialogue semble s’installer entre elle et sa mère. Pour ma part j’apprécie vraiment Nora, et ne manquerais pas de passer d’autres moments avec elle, si l’occasion se présente.

Le lendemain, je retrouve mon chéri devant la grille, j’aime tellement l’embrasser, que nos amis commencent à être habitués. Bien sûr Charles, Jonathan et Estelle ne manquent jamais de faire une .remarque ou deux. Seul Kévin s’abstient de tout commentaire, puis l’heure sonne, il est temps pour nous de rejoindre nos salles respectives.

En fin de matinée, je suis soulagée d’en finir avec les cours, j’ai un prof d’histoire qui est endormant. J’ai l’impression que le temps se prolonge avec lui à chaque fois. Je retrouve Guillaume et nos amis, et c’est mon chéri qui me murmure à l’oreille pour me demander si on peut aller chez moi.

Je suis toute rouge et je lui souris pour lui dire oui, ni une, ni deux, nous saluons tout le monde avant de commencer à marcher. Nous entendons simplement les autres rires derrière nous, mais nous savons qu’ils ne disent rien de mal.

Très vite nous arrivons chez moi, Guillaume dépose son sac comme d’habitude et je lui sers à boire. Nous sommes tous les deux installés sur le canapé, puis très vite Guillaume vient m’embrasser. Je suis aux anges, son parfum, son goût me font tourner la tête, puis il commence doucement à poser sa main sur ma poitrine.

Je me redresse et lui prends la main, pour l’emmener dans ma chambre. Nous nous allongeons dans mon lit l’un contre l’autre, et nos bouches se rapprochent de nouveau. Ses mains ne tardent pas à rejoindre ma poitrine, puis petit à petit il se débarrasse de mon T-shirt, et moi du siens.

Dans la même continuité nous nous débarrassons de nos jeans, je me retrouve très vite en shorty, mon soutien gorge ayant rejoins le reste des vêtements au sol. La main de Guillaume vient glisser doucement vers mon bas ventre, pour finir sa course dans mon shorty. Ses doigts commencent alors une danse que j’adore sur mon petit bouton.

En imitant mon chéri, ma main vient aussi à l’encontre de son sexe, au travers de son caleçon. Je suis surpris, il ne dit rien, et semble apprécier ce que je lui fais. Alors je tente d’aller plus loin, et je glisse doucement ma main à l’intérieur du tissu. Je vais lentement pensant qu’il me dira de tout stopper, mais rien.

Ma main vient se poser sur son sexe tendu, et je commence doucement à le caresser de haut en bas. Cette sensation m’excite encore plus, le fait de toucher pour la première fois l’intimité de mon chéri me rend complètement folle.

Moi : je suis contente, tu te laisses aller
Guillaume : oui, et c’est vraiment bon
Moi : tu acceptes alors que je m’occupe de toi ?
Guillaume : c’est-à-dire ?
Moi : allonge toi, laisse toi faire, je m’occupe de tout

Je me redresse pendant que Guillaume s’installe confortablement, je rattache mes cheveux, puis je viens saisir le caleçon de mon chéri avant de le retirer doucement. Sous mes yeux, je vois apparaître son sexe, et je suis toute émerveillée de le découvrir. Vu que c’est mon chéri, je ne peux que dire qu’il a un très beau sexe, très clair de peau, le gland rosé encore à moitié recouvert par son prépuce, et ses boules que je trouve tout juste magnifique.

Lorsque je regarde son sexe, je me dis qu’il ressemble pratiquement à celui de Jordan, mais quel beauté. Je termine de lui enlever complètement son caleçon, et pour la première fois, Guillaume se retrouve entièrement nu devant.

Moi : j’ai tellement rêvé ce moment
Guillaume : ah bon ?
Moi : oui, et je dois dire que c’est encore mieux que dans mes rêves
Guillaume : excuse moi, j’ai seulement peur de ne pas assurer
Moi : ne te mets pas la pression comme ça, nous irons doucement

Je viens m’allonger entres les jambes de Guillaume, tout en le regardant dans les yeux, mais aussi l’objet de mon désir, si près de moi. Son sexe s’est légèrement ramolli pendant notre petite discussion, mais ce n’est rien. Doucement je saisi son sexe de main droite, j’approche doucement mes lèvres, pour y déposer un baiser, puis le touche du bout de ma langue, pour finir par le rentrer légèrement dans ma bouche.

Doucement je commence, un petit vas et viens, puis je fais tourner ma langue sur son gland tout en regardant Guillaume dans les yeux. Je crois que je dois bien remercier les quelques vidéos que j’ai pu voir pendant mes masturbations. Le sexe de mon chéri commence à retrouver sa vigueur, il durcit de plus en plus, et il finit par occuper toute la place dans ma bouche.

Les gémissements de Guillaume me comble au plus haut point, je n’ai pas beaucoup pratiqué la fellation jusque là, alors je m’applique comme il faut pour lui faire plaisir. La main de mon chéri vient me caresser la joue pendant que je m’occupe de lui, son regard est tendre envers moi.

Moi : je te fais du bien ?
Guillaume : oh oui, c’est encore mieux que ce j’ai pu imaginer
Moi : vraiment ? Je suis douée alors ?
Guillaume : oh oui mon cœur, vraiment douée

A ses mots je ne peux que reprendre mes vas et viens sur son sexe, puis je le lèche sur toute sa longueur. Je crois que j’adore vraiment ça, dans ma tête je me dis que je pourrais le faire pendant des heures, rien que pour le satisfaire. La queue de Guillaume est de bonne taille, moins grande je pense que celle de Jordan, mais un peu plus large. En tout cas je prends vraiment du plaisir à la sucer, mais Guillaume me demande de stopper là, car il ne pourra pas se retenir plus longtemps. Cette phrase me fait sourire, j’arrive vraiment à lui faire plaisir et j’en suis heureuse.

Mon chéri se redresse, puis il me demande de me mettre à sa place. Doucement il enlève mon shorty, et vient se placer directement entres mes jambes.

Guillaume : (inspiration) hummm, j’adore ton odeur, (inspiration), ça me rend complètement fou
Moi : je sens fort ?
Guillaume : non pas du tout, j’adore ton odeur, tout comme ton goût

En disant ceci, Guillaume baisse la tête pour me lécher, et quel plaisir je ressens là. Mon chéri est très doué avec sa langue, je me demande si je suis bien la première fille qu’il lèche, mais peu importe, Guillaume semble apprécier ce qu’il me fait, et je dois dire que mon excitation ne fait qu’augmenter.

Pendant qu’il me lèche je me caresse les seins, le ventre, je remonte légèrement les jambes, tandis je vois par moment Guillaume me regarder droit dans les yeux. Mon plaisir devient de plus en plus intense, sa langue joue par moment entres mes lèvres, mais il sait aussi s’occuper de mon clitoris.

Je pose ma main sur ses cheveux pour ne plus qu’il bouge, sa langue se précise de plus en plus, et je ressens mon plaisir monter. J’essaie tant bien que mal de me retenir, mais rien n’y fait, je n’en peu plus, je ressens ce courant me traverser le corps en entier, tout en laissant échapper un gémissement de plaisir.

Guillaume : c’était bon ?
Moi : o… oui, laisse moi un instant… pour reprendre mes esprits
Guillaume : tu es très belle…
Moi : merci
Guillaume : mais de là où je suis, tu es magnifique
Moi : ahaha tu es trop mignon… est-ce que tu veux aller plus loin ? (en lui montrant un préservatif sorti de mon tiroir)
Guillaume : euh … j’ai peur de ne pas tenir très longtemps. Je suis pratiquement sur le point de tout lâcher
Moi : oh, c’est à cause de moi
Guillaume : oui en effet, tu m’as tellement fait du bien que j’ai failli tout lâcher
Moi : hihihi trop forte
Guillaume : j’avoue
Moi : alors laisse-moi te finir, viens

Guillaume se redresse et se met à genoux au dessus de moi, les jambes de chaque côté de mon corps. Je saisis son sexe, puis je commence des vas et viens avec ma main. Sa queue reprend très vite de la vigueur et ma bouche vient très vite prendre place.

Les gémissements de Guillaume sont comme un encouragement pour moi, je m’applique comme je peux, et au bout de quelques minutes je sens que mon chéri ne tient plus.

Guillaume : je vais, je vais jouir… stop… attends
Moi : qu’est-ce qu’il y a ?
Guillaume : je vais jouir
Moi : ne t’inquiète pas, tu peux jouir sans soucis
Guillaume : non, je crois que ….
Moi : hummm, tu veux jouir sur mes seins ?
Guillaume : euh, …… d’accord
Moi : hey, ne t’inquiète pas, fais toi plaisir, jouie sur moi

Je vois sur le visage de Guillaume qu’il est un peu perdu, je le rassure comme je peux et je reprends mes vas et viens de la main. Très vite les gémissements de Guillaume ce font de plus en plus intense, mais il se retient. Il a sans doutes quelques peurs encore, mais je ne m’arrête pas, et j’accélère encore plus mes mouvements.

Guillaume : oh, oh OOOH je vais, je vais …..AAAAAAAAAhhh AAAAAAAhhh AAaaaaaa

Quel plaisir de voir Guillaume jouir de ma main, et il lâche une grande quantité de sperme sur ma poitrine. Il ne tient plus debout et faibli un peu, mais il s’appui sur moi, son regard est posé sur ma poitrine recouverte de sa semence, et je vois dans ses yeux qu’il semble perdu.

Guillaume : désolé, je ….
Moi : chut…. Tu n’as pas à être désolé, je te l’ai dis, tu peux te lâcher
Guillaume : oui mais tu es recouverte de sperme maintenant
Moi : et alors, une douche et ça ira
Guillaume : tu es sûre de toi ?
Moi : oui, et j’ai beaucoup aimé moi, que tu me jouisses dessus
Guillaume : ah bon ? Je ne pensais vraiment pas que tu aimerais, c’est pour ça que…
Moi : chut, ça va aller je te dis, tu sais ce qui me ferait plaisir là ?
Guillaume : euh dis moi
Moi : que l’on prenne une douche ensemble
Guillaume : euh…. (Souriant) d’accord
Moi : viens, suis moi

Je me lève alors, et prends Guillaume par la main en direction de la salle de bain. Je regarde de nouveau ma poitrine et je me rends compte qu’il a lâché en grande quantité. Mais je suis aux anges avec mon chéri, il est encore hésitant, mais j’adore son côté timide.
chapitre 63 image
Nous sommes tous les deux dans la salle de bain, l’eau chaude coule, et Guillaume est si près de moi. Je me débarrasse du sperme sur ma poitrine puis je viens embrasser mon chéri. Il prend le savon d’une main pour m’aider à me nettoyer, ses mains glissent sur ma peau, pendant que je fais de même sur son corps.

Ce n’est pas un grand sportif, il n’a pas de gros muscles, mais l’escalade lui donne vraiment un corps sec et sexy. C’est la première fois que je me douche avec un garçon, et qu’est-ce qu’il est beau.

Bon à vrai dire, Guillaume n’est pas le plus beau de tous selon Estelle, mais il reste mignon et surtout est très beau à mes yeux. Après la douche nous nous rhabillons, de mon côté je me passe seulement un T-shirt long, puis nous allons dans la cuisine.

Tout ceci nous a donnés très faim, je prépare vite fait à manger, pendant que Guillaume me regarde faire.

Guillaume : tu es vraiment belle
Moi : merci mon chéri, mais désolée pour le repas, je ne sais pas encore tout à fait cuisiner
Guillaume : ce n’est pas grave, ça sent déjà très bon ce que tu fais là
Moi : euh, c’est juste des œufs et du bacon ahaha
Guillaume : oui mais ça sent très bon

J’adore le regard de Guillaume sur moi, et surtout ses compliments. Nous mangeons doucement tout en se parlant, nous prenons le temps puis après avoir fini, nous nous installons dans le canapé. Nous reparlons de ce que nous avons fait dans ma chambre, du plaisir que nous avons éprouvés tous les deux.

Moi : dis-moi mon chéri, est-ce que tu as encore des doutes pour ta première fois ?
Guillaume : je dois dire beaucoup moins, et tout à l’heure j’étais vraiment sur le point d’exploser
Moi : mais tu souhaites encore attendre un peu pour le faire ?
Guillaume : je crois que oui
Moi : d’accord je comprends, et tout à l’heure quand je te suçais et que tu allais jouir, tu avais l’air d’avoir peur
Guillaume : euh oui
Moi : tu peux me dire ce qui te fait peur ?
Guillaume : en fait, je ne sais pas, j’ai peur de mal faire. Je te voyais prendre beaucoup de plaisir, et je me suis dis que si je venais à jouir dans ta bouche, ça te dégoûterait
Moi : hey bien non, je ne pense pas. Comme tu dis j’ai pris un réel plaisir à te sucer, et je voulais aller jusqu’au bout
Guillaume : euh, mais j’ai peur que tu n’aimes pas le goût
Moi : hey bien, pour savoir si j’aime ou pas, il faudrait que je puisse y goûter (clin d’œil)
Guillaume : tu souhaites vraiment le faire ?
Moi : oui, tu es mon chéri, et je veux vraiment te goûter, et peut-être que tu aimeras ça aussi hihi
Guillaume : hey bien je suis curieux de voir ça oui
Moi : super, alors retire ton jean que je m’occupe de toi
Guillaume : tu veux faire ça ici ?
Moi : oui, ne t’inquiète pas, on a largement le temps

Je me redresse en me plaçant devant Guillaume pendant qu’il retire son jean et son caleçon. Voir de nouveau son sexe sous mes yeux m’excite tellement.

Guillaume : attends, viens on va dans ta chambre…

Guillaume se lève et me prends par la main jusque dans ma chambre, je me dis qu’il veut sûrement être plus à l’aise, puis il me fait prendre place sur le lit et retire mon T-shirt.

Guillaume : je veux avant tout m’occuper de toi, laisse-moi faire…

Je suis toute nue et allongée sur mon lit pendant que Guillaume termine de se déshabiller. Il s’allonge entres mes jambes, je ressens tout de suite sa bouche sur mon sexe. Mon dieu que c’est bon, mon chéri est à présent beaucoup moins timide pour me faire des cunnis, et qu’est-ce que j’aime ça.

Il me mange complètement, sa langue glisse entres mes lèvres vaginales, et vient se poser sur mon clito, il me lèche avec une telle passion. Je n’en peux déjà plus, mon plaisir monte de plus en plus, et je sens que je ne vais pas tenir très longtemps.

Je relève mes jambes, tandis que Guillaume se place au plus près. Une main de mon chéri vient se placer sur l’arrière de ma cuisse, je regarde Guillaume une dernière fois, la bouche collé contre mon intimité, avant de fermer les yeux pour me laisser aller.

Je sens que je vais jouir, toute cette tension s’accumule dans mon bas ventre, j’essaie de me retenir, je souffle comme je peux, voulant repousser l’échéance mais rien y fait. Je gémis de plus en plus fort et dans un long râle de plaisir, je saisis de mes mains la tête de Guillaume pour ne plus qu’il bouge, et je jouis.

Le temps semble s’être arrêté, il n’y a plus un bruit, si ce n’est ma respiration à la fois, rapide et saccadée. J’ouvre les yeux, mon regard est perdu vers le plafond, puis je me redresse pour chercher Guillaume. Il est toujours la tête entres mes cuisses, humant les senteurs de mon vagin trempé. Il aime vraiment mon goût, mon odeur, alors je le laisse faire un instant pendant que je reprends mes esprits.

Moi : merci mon chéri
Guillaume : tu as aimé ?
Moi : oh oui
Guillaume : je manque encore de pratique, mais je vais m’améliorer pour te faire plaisir hihi
Moi : ahaha, je vais finir par ne plus te laisser partir alors
Guillaume : d’accord, et je m’occuperais sans arrêt de toi
Moi : humm avec plaisir, mais maintenant c’est à mon tour de m’occuper de toi
Guillaume : d’accord

Je me redresse, et Guillaume vient m’embrasser à pleine bouche, je suis totalement surprise, surtout qu’il a encore mon goût sur ses lèvres. Il n’a sans doutes pas réagi que ses lèvres étaient encore toute humide, mais je dois avouer que le goût est bizarre mais pas désagréable.

Guillaume recule tout en me souriant, et s’allonge sur mon lit, il est tellement mignon, innocent. Je sais qu’il n’a pas fait exprès de venir m’embrasser avec ma cyprine sur les lèvres. Je m’installe à mon tour entres ses jambes, pour en saisir son sexe de ma main.

Je dépose des bisous un peu partout sur son gland, le long de sa verge, puis je la lèche toute entière avant de la glisser dans ma bouche. Petit à petit elle commence à prendre de l’ampleur, la verge de mon chéri devient de plus en plus dure, et c’est un plaisir de la sentir grossir entre mes lèvres.

Je commence doucement mes vas et viens le long de son sexe, je le lèche, le masturbe puis le remet en bouche. Je ferme par moments les yeux, puis les ouvres de nouveau pour regarder Guillaume. Il n’en perd pas une miette du spectacle que je lui offre, et j’adore sa façon de me regarder.

Je devine dans son regard, le plaisir, lié à une retenue, peut-être des doutes, des questions. Je tiens à lui faire plaisir, et que ce moment reste à jamais graver dans sa mémoire.

Moi : j’adore te sucer, ton sexe est si doux et délicieux
Guillaume : tu me rends complètement fou et …
Moi : chut, … laisse-toi faire, je m’occupe de tout, surtout ne te retiens pas
Guillaume : tu es sûre ?
Moi : oui, je veux que tu jouisses dans ma bouche…

Tout en regardant Guillaume dans les yeux, je glisse de nouveau son sexe dans ma bouche et recommence mes vas et viens. Son regard est plein de supplice, de plaisir, j’adore ça, je ne veux plus qu’il doute, je veux qu’il profite au maximum.

Ma main vient caresser ses bourses de temps en temps, elle accompagne également les vas et viens de ma bouche. J’entends mon chéri gémir, sa main vient me caresser le visage d’une façon délicate. Sa respiration se fait de plus en plus longue, puis il retient par moment son souffle. Je sens également ses jambes bouger, se tendre, se relâcher.

Je pense que je suis sur la bonne voie, qu’il ne va plus tarder à jouir, alors, j’accélère mes mouvements, puis je ralentie, je veux qu’il en perde la tête. Les gémissements de Guillaume se font de plus en plus intenses, je ressens la tension dans ses jambes et combien il essaie de se retenir.

Je crois que j’ai vraiment pris ça pour un jeu, car j’accélère de plus en plus, puis je ralentie, ou m’arrête complètement quand je le sens se crisper. Je recommence de nouveau, encore et encore, j’adore ça puis vient le moment, où, Guillaume me dit clairement qu’il ne peut plus se retenir.

Je suis arrivée au point de non retour, alors je me lance dans un vas et viens rapide. Sa queue glisse dans ma bouche, jusqu’au fond, ou du moins au maximum que je peux la rentrer. Je m’applique comme je peux en m’aidant de ma main et là.

Guillaume : je… je vais…..aaaAAAAAAa…….AAAAAAAA…….

Je ne bouge plus, et je sens dans ma bouche se déverser une grande quantité de sperme. Il y en a beaucoup, je suis surprise, je pensais qu’il en aurait moins vu qu’il s’est déjà vidé tout à l’heure. Au fond de moi je voulais lui faire plaisir et tout avaler, mais là, je ne peux pas, il y en a trop.

Je m’efforce de garder son sexe en bouche pendant qu’il termine d’éjaculer, mais il y a encore des secousses qui tardent à arriver. J’ai l’impression que son sperme pourrait me sortir par le nez, mais je retiens tout, et une fois que Guillaume s’est totalement relâché, je me lève en plaçant ma main devant ma bouche pour aller directement dans la salle de bain.

Je recrache tout dans le lavabo en ouvrant l’eau, c’est fou la quantité de sperme qu’il a pu lâcher. Je suis totalement surprise, je crois que j’étais au bord de vomir. Non pas à cause du goût, mais plutôt à cause de la quantité qui s’est déversée dans ma bouche.

Je finis de me nettoyer et de reprendre mon souffle avant de rejoindre Guillaume. Il est toujours allongé dans mon lit fixant le plafond, puis je m’installe tout contre lui pour l’enlacer.

Guillaume : je suis désolé, ce n’était pas bon ?
Moi : non pas du tout, excuse moi d’être partie aussi vite dans la salle de bain. Je n’ai pas pu aller jusqu’au bout comme je le pensais
Guillaume : tu n’as pas aimé alors ?
Moi : non au contraire, tu as un goût particulier mais ça va franchement
Guillaume : particulier ? C'est-à-dire ?
Moi : je ne sais pas comment le décrire, c’est à la fois amer, et salée. Mais j’ai surtout été surprise par la quantité que tu as lâchée
Guillaume : ah oui, j’éjacule en grosse quantité, désolé
Moi : ce n’est pas grave mon chéri, on a essayé, et j’ai franchement aimé
Guillaume : moi aussi j’ai beaucoup aimé
Moi : ah oui ? Dis-moi, c’était comment pour toi ?
Guillaume : c’était carrément fou, j’ai essayé de me retenir au maximum, j’avais encore peur de mal faire, et quand je t’ai prévenue et que tu as accélérée…. Je n’ai jamais connu une telle jouissance…
Moi : oh, je suis trop fier hihihi
Guillaume : mais je ne veux pas que tu te sentes mal comme là
Moi : je ne me suis pas sentie mal, j’ai juste été surprise, et on testera de nouveau et on verra d’accord ?
Guillaume : d’accord

Nous restons allongés tous les deux l’un contre l’autre, totalement nue. J’aimerais que le temps se fige et nous laisse profiter de ce moment. Mais le temps passe, bientôt ma mère va arriver. Nous passons à la douche une dernière fois, puis Guillaume se rhabille, pour moi je repasse simplement mon T-shirt.

Nous restons tous les deux dans le salon à se parler, à nous embrasser, puis on entend les clés dans la serrure. La porte s’ouvre, ma mère est contente de nous voir tous les deux. Guillaume s’avance vers ma mère pour lui faire la bise, elle me regarde avant tout, et je comprends alors.

Je rigole en lui faisant signe qu’elle peut lui faire la bise sans problèmes. Nous discutons tous les trois pendant quelques minutes avant que Guillaume ne prenne ses affaires. Je sors dans les escaliers avec lui pour l’embrasser une dernière fois avant de le laisser partir. Lorsque je rentre dans l’appartement je vois ma mère toute souriante et qui n’attends qu’une chose, que je lui raconte tout.
chapitre 64 image
En voyant ma mère toute souriante, je sais déjà qu’elle n’attend qu’une chose, que je lui raconte tout. Nous allons toutes les deux dans la salle de bain, je crois que je n’ai jamais autant pris de douche ou de bain dans une seule journée.

Nous sommes toutes les deux installées, et je lui raconte en détail mon après-midi avec Guillaume. Ma mère m’écoute, attentive, souriante, me pose parfois une question. Nous rigolons toutes les deux à la tête qu’elle à fait, lorsque Guillaume est venu lui faire la bise.

Maman : en tout cas, ça avance doucement entres vous deux, c’est bien
Moi : il a de moins en moins de doutes, et se laisse aller à ses envies
Maman : c’est bien ça, et je suis contente qu’il soit aussi gentil avec toi
Moi : dis-moi maman, une question
Maman : oui vas-y
Moi : est-ce que tu as déjà essayé d’avaler toi ?
Maman : ahaha oui ma chérie
Moi : est-ce que tu as réussie direct la première fois ?
Maman : ah non, tout comme toi, la première fois, je n’ai pas réussie, j’ai tout recraché
Moi : d’accord
Maman : après comme tu l’as dit, il a lâché en grande quantité, et j’avoue que je n’aurais sans doute pas réussi non plus
Moi : je voulais lui faire plaisir, pour qu’il garde ce moment à jamais dans sa mémoire
Maman : tu sais, je pense que tu lui as donné énormément de plaisir, et je ne doute pas qu’il gardera longtemps en mémoire tout ce qu’il fait avec toi

Ces moments avec ma mère me permettent toujours d’avoir des réponses à mes doutes, et comme elle le dit, je suis encore jeune, et en pleine découverte. Il est donc normal d’avoir des doutes, d’avoir ce besoin d’en parler, d’être guider, et j’ai de la chance d’avoir une mère comme la mienne.

Après notre bain, je regagne ma chambre pour faire les quelques devoirs que j’ai pour demain. De son côté elle va sur le site répondre aux messages qu’elle a reçus. Au moment du repas je lui demande où elle en est avec ses rencontres sur le site.

Quelques messages mais rien de vraiment particulier, je m’attendais à quelques nouvelles concernant cet homme intéressant dont elle m’a parlé dimanche, mais rien. Christine semble elle, intéressée par un homme, dont elle communique le profil à ma mère pour avoir son avis. Peut-être qu’il sera son premier rendez-vous, car il semble avoir toutes les chances de son côté. D’après ma mère il est bel homme, et elle est contente qu’il ait bien accroché avec Christine.

Après manger je regagne ma chambre, laissant ma mère tranquille devant l’ordi. J’écoute un peu de musique et je dois dire que le sommeil me gagne rapidement.

Les deux jours suivants sont passés très vite, avec Guillaume nous avons reparlés de nos petits plaisirs et je suis contente quand il m’a dit qu’il n’avait pas arrêté de penser à ce que je lui ai fait. Je suis totalement rassurée, et ce n’est pas l’envie qui me manque de recommencer. Mais je n’ai pas pu le ramener vite fait chez moi pour lui faire plaisir avant de se quitter pour les vacances.

Je suis à la fois triste de le laisser, sachant que je ne vais pas le voir pendant deux semaines, mais aussi heureuse de me dire que je vais retrouver ma famille pour les fêtes. En parlant des fêtes, ce samedi ma mère et moi allons toutes les deux faire les derniers achats de Noël, surtout pour mes cousins et ma cousine. J’ai quelques idées de cadeaux en tête, pour Anthony nous avons trouvés un livre sur la photographie, vu qu’il m’avait parlé de ça pendant les dernières vacances, je me dis que ce serait le cadeau idéal.

Pour Jordan, le choix s’est très vite porté vers un jeux vidéo, en espérant que ça va lui plaire. Et pour ma cousine nous avons pensées à un petit panier, contenant des huiles, et des bougies parfumés. Une fois les achats finis, nous avons pris le temps pour nous poser et manger un morceau.

Les derniers achats de Noël se sont vite passés, nous pensions en avoir pour toute la journée, mais ça nous laissera plus de temps pour préparer nos affaires comme il faut. De son côté Guillaume est déjà parti pour rejoindre sa mère et le reste de sa famille. Je dois dire que sa cousine m’intrigue quelque peu, mais je me fais sans doutes de mauvaises idées, après tout je ne pense pas que tous les cousins et cousines soient passés par les mêmes découvertes que ma mère et moi.

De retour à l’appartement je vais dans ma chambre pour préparer ma valise, des vêtements bien chauds, mais aussi de jolies tenues pour la soirée du nouvel an. Je ne sais pas encore où nous allons fêter le 31 mais je m’imagine un peu la soirée, et surtout, je repense à ce qui s’est passé ce soir là. Entre la rencontre avec ses deux cousins qui voulaient nous embrasser, et ce fameux échange de baisé avec ma cousine.

Rien que d’y penser j’en ai le sourire, il s’est passé tellement de choses depuis cette soirée.

Maman : tu m’as l’air pensif …
Moi : oh… euh oui je repensais aux dernières vacances de Noël et à tout ce qui s’est passé depuis
Maman : le temps passe vite, et tu grandis tellement vite aussi …
Moi : tu trouves ?
Maman : oui, tu es très belle, et tu deviens peu à peu une jeune femme
Moi : merci maman, mais j’ai de la chance de tenir de toi …. (Clin d’œil)

Ma valise est pratiquement terminé, je glisse à l’intérieur quelques sous vêtements, ma mère ne manque pas de rire, ainsi que de faire quelques remarques sur certaines culotes et shorty. Elle se dit qu’il faudrait qu’elle fasse elle aussi un tri dans ses vêtements, et pourquoi ne pas renouveler sa garde robe.

Le reste de la soirée se passe tranquillement devant un bon repas, accompagné d'un petit film. Dans mon lit je pense à Guillaume, mais aussi à mes vacances en famille jusqu’à m’endormir doucement.

Ce matin je me réveil tranquillement, puis je vais dans la cuisine me faire mon chocolat. Ma mère est déjà réveillée et termine son café avant de rassembler ses affaires. Je termine vite fait mon chocolat pour faire de même, et une fois le tour de l’appartement fait, nous chargeons nos valises dans la voiture pour prendre la route.

Il y a pas mal de monde sur les routes, heureusement tout se passe bien, pas de problèmes de circulation, les heures de trajet sont très vite passées. Nous voila sur la petite route de chez mes grands parents, je vois que mon cousin Anthony et son père sont déjà là. Tout le monde nous accueil joyeusement en nous aidant à descendre nos affaires. Mamie comme à son habitude m’embrasse très fort et ne me lâche pas avant un bon moment. Puis Anthony m’aide à porter ma valise jusque dans ma chambre.

Nous sommes content de nous retrouver, il n’est plus aussi réservé, il a vraiment évolué aussi depuis les dernières vacances de Noël, et je pense que l’on pourra passer beaucoup de bons moments ensemble. Nous discutons un peu dans ma chambre pendant que je range un peu mes affaires, puis nous entendons une voiture arriver dans la cour.

On entend bien sûr mamie s’exclamer de bonheur, nous retrouvons Jordan, Karine et leurs parents. Avec Karine on se sert très fort dans les bras, nous sommes tellement heureuses de se voir à nouveau, qu’on ne se lâche plus. Jordan vient également me faire un énorme câlin, et en le regardant dans les yeux je devine quelques souvenirs partagés.

Nous voilà tous les quatre en direction de l’annexe pour déposer les affaires de Jordan et Karine. Je dois dire que les retrouvailles sont très chaleureuses, et aussi bruyantes, heureusement que le premier voisin aux alentours est à quelques minutes.

L’heure de déjeuner arrive, nous montons tous les quatre pour aider à dresser la table. Mamie comme d’habitude a préparé un bon repas, et vue le nombre à table, il y a quantité à manger. Les discussions s’enchaînent, boulot, santé, petit tracas et faits divers sont également au menu. Il est pratiquement interdit de parler politique, règle instauré par mamie, sinon papi part dans un débat sans fin.

Nous sommes restés tous ensemble à table tout le reste de la journée, à parler, même après le dîner. Plus tard dans la soirée, les voix se font plus calmes, posés, je sens la fatigue qui me gagne alors un par un, nous commençons à nous retirer de table. Mes cousins sont déjà dans leurs chambres, Karine se lève en souhaitant une bonne nuit à tous, puis je fais de même.

Ma mère me regarde avec un petit sourire, et nous souhaite bonne nuit. Karine me dit qu’elle passe la première à la douche, de mon côté je prépare mes vêtements pour dormir et je vois Jordan apparaître dans l’ouverture de la porte. Nous parlons un peu tous les deux pendant que j’attends mon tour pour passer à la douche.

Il regarde mes vêtements sur le lit, il joue doucement avec son doigt sur ma petite culotte en dentelle. Mon cousin m’a terriblement manqué, je le trouve très mignon comme ça devant moi, à me sourire et me parler. Je suis heureuse de retrouver mon cousin, il s’approche, pose sa main sur ma joue, à ce moment là, mon cœur se met à battre très fort dans ma poitrine, puis il s’avance pour m’embrasser.

Mais tout à coup, je me sens gênée, je pense également à Guillaume sur le moment, à mes sentiments pour lui et au fait que je ne veux pas lui faire de mal.

Je n’y avais pas du tout pensé à tout ça, je ne sais pas si Jordan a développé des sentiments pour moi depuis nos dernières vacances, pourtant ma mère m’avait mise en garde.

Je ne sais pas du tout quoi faire, alors comme un réflexe je tourne la tête pour m’écarter, je viens à parler de Guillaume avec Jordan. Je lui dis que c’est mon petit copain, lui raconte un peu nos sorties, ma découverte de l’escalade. Bien sûr au moment de parler de Guillaume, j’ai vu le visage de Jordan devenir un peu moins souriant, franchement je m’en suis voulu.

Karine sort de la douche à ce moment là, elle passe par ma chambre pour me dire que la place est libre, je prends mes affaires, puis me dirige vers la salle de bain. Je ne sais pas si je viens de faire de la peine à mon cousin ou non, mais au fond de moi je me devais d’être sincère. Sous la douche je repense encore à tout ça, à Guillaume, à Jordan, je suis un peu perdue, mais à la fois convaincue d’avoir fait ce qu’il fallait.

Après cette douche, je regagne ma chambre, en espérant que toutes ses pensées finiront par se dissiper. Sur mon téléphone, un message de Guillaume, je suis toujours heureuse de discuter avec lui par message le soir avant de m’endormir.

Je suis heureuse d’être ici, entourée de ma famille, pour passer les fêtes. Mais je me dis tout de même qu’il faudra que j’ai une longue discussion avec Jordan, je ne voudrais pas briser ce qu’il y a entres nous, mais seulement que les choses soient claires pour nous deux.
chapitre 65 image
Je me réveille, la chambre est plutôt sombre, il fait légèrement froid. J’ai très bien dormie, mais je reviens à penser à Jordan, à sa réaction lorsque je lui ai parlé de Guillaume. Je n’ai pas beaucoup de moments partagés avec mes cousins et ma cousine, si ce n’est que les dernières vacances passés ensemble. Je ne voudrais pas que le peu que j’ai vécu avec eux, soit perdu pour une situation comme celle là,  j’espère vraiment avoir un moment pour parler avec Jordan aujourd’hui.

Je sors de mon lit, je m’habille, ça va, je n’ai pas dormie trop tard, il est 08H30 lorsque je regarde mon téléphone. Je sors de l’annexe, dehors il ne fait pas très beau, je retrouve tout le monde sur la terrasse. Nous prenons notre temps pour prendre le petit déjeuner, après tout, c’est les vacances.

Je discute avec Karine pendant le petit déjeuner, je lance quelques regards vers Jordan, mais il semble m’éviter. Après le petit déjeuner, je me dirige avec Karine vers sa chambre, elle souhaite que je lui parle plus longuement de Guillaume, malgré que je lui ai déjà raconté pas mal de choses sur lui par message.

Nous sommes toutes les deux dans la chambre de Karine sur son lit, nous parlons, rions, tout en se montrant quelques photos sur nos téléphones. J’en ai pas mal de Guillaume et moi, ainsi que nos amis. De son côté Karine n’a pas eu plus d’expérience avec un garçon depuis les dernières vacances.

Karine : tu sais, je suis un peu jalouse de toi ahaha
Moi : oh mais pourquoi ?
Karine : hey bien ma cousine, toute timide, a réussi à faire un pas vers un garçon, et maintenant elle sort avec lui (faux air en colère)
Moi : je t’avoue que je suis toute aussi surprise, mais je voulais tellement ne plus être cette fille timide comme tu dis
Karine : tu sais que je te taquine hein ? Je suis contente pour toi, et tu n’oublie pas de m’envoyer un message quand tu auras fait ta première fois ahaha
Moi : ahaha ok si j’y pense
Karine : tu as intérêt, sinon ….

Sans finir sa phrase, Karine se jette sur moi, me chatouille à n’en plus finir, jusqu’à ce que je lui promette de lui envoyer ce fameux message. Elle m’a beaucoup manqué ma cousine, elle est toujours aussi folle, et c’est ce que j’aime chez elle.

Elle m’avoue aussi avoir beaucoup repensée aux dernières vacances, à ses découvertes avec Lucas et moi. Elle m’avoue également s’être donné du plaisir à plusieurs reprises en repensant à ces moments. Je lui avoue également la même chose, je ne peux pas lui mentir, il m’est arrivé quelques fois de repenser à Karine, Jordan, et Thierry sous la douche, ou autre part, malgré que je sois avec Guillaume.

Mes pensées ont toutefois été très rapides, c’était plus du genre, une comparaison, par rapport à une caresse, la façon d’embrasser ou encore de me toucher, mais mes pensées se terminaient toujours envers Guillaume.

Karine me regarde tendrement puis elle glisse son doigt sur mon ventre par-dessus mon pull, une caresse légère mais qui a le don de réveiller en moi le désir. Je ne sais plus quoi faire, je la regarde faire, et je me dis que je me retrouve de nouveau dans une situation un peu gênante.

Hier soir c’était Jordan, et aujourd’hui Karine. Qu’est ce que je dois faire ?

Je ne trouve pas la réponse à cette question, mais lorsque j’entends ma tante Claire nous appeler pour passer à table, je me dis que je suis tirée d’affaires. Karine se redresse en répondant qu’on arrive, puis elle me regarde en me souriant. Je ne peux que lui rendre ce sourire complice, mais au fond de moi je ne sais pas si c’est bien ou mal.

J’ai réellement eu du désir à l’instant, un peu comme avec Jordan hier soir si j’y repense bien, mais je suis perdue. Heureusement pour moi lors du repas, je me change un peu les idées, tout le monde parle et rigole. Après le repas tout le monde s’en va rejoindre sa chambre pour se reposer un peu, d’ailleurs je devrais rejoindre la mienne aussi, je me sens un peu fatiguée, mais j’ai un peu peur.

Alors en voyant ma mère quitter la table pour aller vers sa chambre, je l’ai immédiatement suivie. Elle me voit entrer avec elle dans sa chambre, je referme la porte derrière moi, puis je me colle tout contre elle en la serrant dans mes bras.

Maman : oula, ça ne va pas toi
Moi : oui, je suis un peu perdue
Maman : viens dans le lit avec moi

Tout en me disant cela, ma mère retire un peu ses vêtements pour être plus à l’aise, et je fais de même, car je pense que ma sieste, je vais la faire avec elle. Nous voilà en t-shirt et culotte sous la couverture, puis elle me demande ce qui ne va pas.

Je lui raconte tout, et elle me comprend tout à fait. Ma situation n’est pas facile, je suis prise entres mes désirs pour Karine et Jordan, mais également mes sentiments pour Guillaume, et de ce fait, cette envie de ne lui faire aucun mal.

Maman : je sais que la situation n’est pas facile pour toi, tu as tes sentiments pour Guillaume, mais également pour Karine et Jordan qui sont de ta famille, et avec qui tu as crée un lien particulier. Mais tu as déjà choisi au fond de toi…
Moi : ah bon ? Comment ça ?
Maman : hey bien tu es avec Guillaume, mais tu aimes aussi partagés des moments particuliers comme par exemple avec Kévin et Estelle lors de vos essayages
Moi : euh… oui, mais je n’ai rien fait avec eux…
Maman : oui, mais la situation t’as beaucoup excitée, et tu aimes ça, pas vrai ?
Moi : oui j’avoue
Maman : et à partir du moment où tu t’es montrer à Kévin comme tu l’as fait, tu as franchie une certaine limite
Moi : oui je vois, mais j’avais beaucoup d’hésitation avant, et en parlant avec Estelle et Kévin, j’ai compris qu’ils ne voulaient pas que notre relation change pour un garçon
Maman : qu’est ce que tu comptes faire alors ?
Moi : je ne sais pas du tout
Maman : écoute, tu vis avec chacun une histoire particulière, que ce soit avec Karine, Jordan, tes amis, Guillaume et même moi. Tu as sans doutes le droit d’avoir ton jardin secret, mais à toi d’y mettre tes limites
Moi : et quelles limites je dois mettre ?
Maman : il n’y a que toi qui peux décider cela, entre vivre certaines situations sans aller plus loin comme tu le dis, et prendre le risque que cela blesse quelqu’un. Ou alors ne rien faire, mais au risque que cela change beaucoup de choses pour toi
Moi : je comprends, maman, je peux te poser une question ?
Maman : oui vas-y
Moi : quand tu étais avec Bruno, tu t’es mise des limites ?
Maman : c’était particulier en fait, nous ne nous étions pas défini clairement en couple, donc il n’y avait pas de limites définies. Il était libre de parler ou de voir qui il voulait et moi aussi. Mais si notre situation avait évoluée alors oui il y aurait eu des limites
Moi : d’accord
Maman : et il faut bien que tu te dises, que tout le monde ne pense pas de la même façon
Moi : c'est-à-dire ?
Maman : hey bien je ne sais pas quel caractère a vraiment Guillaume, peut-être que sous son air de gentil garçon timide, il est très jaloux et possessif. Ou alors que ça ne le gène pas, et que tu es libre de faire ce que tu veux avec tes amis et autres
Moi : je ne sais pas du tout, on n’a jamais parlé de tout ça en fait
Maman : c’est normal ma chérie, vous débutez tous les deux dans une relation amoureuse, et tu ne peux pas tout savoir de l’autre dès les premiers temps, et même après des années de relation d’ailleurs
Moi : et qu’est ce que tu me conseilles de faire ?
Maman : hummm, je te dirais d’être sincère envers toi-même
Moi : je ne comprends pas
Maman : hey bien, tu aimes Guillaume et tu ne veux pas le blesser, mais tu ressens également du plaisir sous une autre forme avec tes amis, et encore une forme différente avec Jordan et Karine. Alors demande toi ce que tu souhaites vraiment, et seulement là tu pourras décider si tu souhaites instaurer des limites ou non, mais toujours en étant sincère envers toi-même
Moi : ce n’est pas facile du tout
Maman : rien n’est facile dans la vie ma chérie, surtout lorsque ça touche aux sentiments et autres. Mais tu es jeune, tu peux prendre une décision aujourd’hui, et si tu fais une erreur, corriger cette décision en fonction de ce que tu veux vraiment pour toi
Moi : d’accord, je vais essayer de suivre ton conseil maman, merci
Maman : c’est normal ma chérie, et on a tous notre jardin secret, donc si tu souhaites m’en parler, je serais toujours là

Les mots de ma mère me font toujours autant de bien, elle me connaît parfaitement et j’ai vraiment de la chance de l’avoir. Doucement elle s’endort devant moi, tandis que je réfléchie encore. Je retourne toutes les situations dans ma tête. Je ne sais pas encore ce que je dois vraiment faire, j’espère seulement que j’aurais la réponse très bientôt. Je ne voudrais pas faire de mal à Guillaume, et encore moins changer mon attitude envers mes amis ou ma famille.

Je finis par m’endormir bien que ma tête soit remplie de toutes sortes de pensées. A mon réveil ma mère me regarde, puis elle dépose un baisé sur mon front. Nous restons encore un moment dans le lit sans se parler, puis nous nous levons et nous habillons pour sortir de la chambre.

Moi : je suis sûre d’une chose au moins
Maman : laquelle ?
Moi : je ne veux rien changer entre nous
Maman : hihi je suis d’accord

En sortant de la chambre, je suis restée le reste de la journée avec mes grands parents, mes oncles et tantes. Je préfère me laisser encore du temps pour réfléchir à tout ça. Nous avons dîné, nous avons ris, et le soir en regagnant ma chambre, je me suis laissée aller dans un profond sommeil.
Chapitre 66 image
Cette nuit, j’ai rêvé de Guillaume, de son corps nu et ce matin à mon réveil, je ne peux que constater que ce rêve m’a complètement excitée. Doucement je me laisse aller vers une douce caresse, ma main gauche passe sous mon T-shirt à la recherche de mes seins, tandis que ma main droite trouve très vite le chemin de mon entres jambes.

Je me caresse doucement en pensant à Guillaume, rien que d’imaginer son corps me donne chaud, mais mes pensées dérivent à un moment et je me retrouve devant le sexe de Jordan. J’ouvre les yeux, ce n’est pas possible, je fais sûrement une comparaison comme les autres fois. Ça doit sûrement être ça, je reprends le contrôle, je suis de nouveau avec Guillaume, je le suce comme il aime, je l’imagine gémir, j’adore ça.

J’aime lui donner du plaisir comme je le fais, je me caresse toujours dans le lit puis je retire ma culotte et mon T-shirt pour être plus à l’aise. Dans mon imagination, Guillaume se redresse, il vient m’embrasser comme il sait si bien le faire, ses lèvres sont douces, sa langue s’introduit, tourne avec la mienne, puis il se recule et je vois devant moi Karine.

Encore une comparaison ?!

Je ne sais pas du tout, mais mon plaisir ne fait que grandir, je reprends mes esprits, puis je me retrouve de nouveau avec Guillaume. Son corps au dessus du mien, il est si beau, il me couvre de baiser dans mon cou, sur ma poitrine, mon ventre, et bientôt mon pubis. Ses lèvres laissent vite place à une douce caresse que je commence à bien aimé. Sa langue tourne sur mon petit bouton, il aime me lécher, il aime mon goût comme il le dit.

Je me laisse aller, ma main ne fait que m’amener vers ce moment de jouissance. Je me touche en imaginant recevoir ce cunni puis je le relève la tête et c’est Thierry qui est là, la tête entres mes jambes. Je suis au bord de la jouissance, et malgré ce changement, ma main continue de tourner sur mon clitoris, puis mon corps se lance dans une série de spasmes.

Je viens de jouir, je viens d’éprouver du plaisir, pas en pensant à Thierry ou à Guillaume, mais en pensant à tous à la fois. Mon souffle est court, je reprends peu à peu mes esprits, je me demande bien ce que ça veut dire.

Après un instant dans le calme total, j’entends une porte s’ouvrir. Ça doit être un de mes cousins ou alors Karine, qui vient de se lever pour aller prendre le petit déjeuner. Je repense aux mots de ma mère, à ce qu’elle m’a dit sur le fait d’être sincère envers moi-même.

Je viens de me faire plaisir en repensant un peut à tout ce que j’ai pu vivre jusqu’ici, à tout ce que j’ai découvert comme plaisir. Chacun et chacune font partis de mon jardin secret, et je dois être sincère, j’aime ça, je ne pourrais jamais ne plus penser à eux en me faisant plaisir. Alors je décide aujourd’hui de me faire plaisir en pensant à qui je veux, ça à toujours fait partie de moi, et je ne dois pas changer cela.

Je me lève, je cherche quelques vêtements chauds pour sortir. Je rejoins tout le monde à table pour le petit déjeuner. Je vois Jordan, mais il ne me regarde plus depuis l’autre soir, je l’ai vraiment vexé. Ma mère me regarde, je vois sur son visage un sourire, je comprends alors qu’il faut laisser un peu de temps à Jordan, que je dois lui parler quand il sera prêt.

Aujourd’hui mamie souhaite aller faire quelques courses, ma mère, mes tantes Claire et Sabine vont l’accompagner. D’un autre côté papy nous sollicite, les petits enfants, ainsi que mes oncles pour aller chez un ami pour quelques travaux.

Après le petit déjeuner, chacun se prépare de son côté, puis on se retrouve vite dans les voitures. Mais Jordan monte dans l’autre voiture avec mes oncles, pour le coup, Anthony est un peu surpris vu qu’il y a de la place pour lui dans la voiture de papy. Karine et moi demandons donc à Anthony de rester avec Jordan, et nous voilà partis.

Sur la route nous discutons toutes les deux avec papy, lui racontant un peu nos vies passionnantes à l’école et autres. Et papy ne manque pas de nous raconter aussi quelques anecdotes qui nous ont bien faites rires toutes les deux.

Nous arrivons chez l’ami de papy, le terrain est plutôt grand. Il y a deux maisons, une plutôt neuve dans laquelle ils habitent maintenant, l’autre plutôt vieille et petite mais toujours en bon état. Et aujourd’hui nous allons aider à tout débarrasser l’ancienne maison, et la nettoyer pour y installer de nouveaux meubles.

L’ancienne maison servira pour loger toute la famille lors des fêtes, un peu comme chez papy avec notre annexe. Ils ont déjà commencé à sortir quelques vieux meubles et affaires que papy à prévu de récupérer. Nous faisons connaissances avec tout le monde, puis nous nous répartissons les tâches.

Nous sommes assez nombreux, dans leur famille, il y a les grands parents, quatre adultes et quatre petits enfants, âgées de 5 à 17 ans. Et à voir comment Karine réagie, je pense qu’elle est complètement sous le charme de Nicolas qui est le plus grand.

Nous avons passés la journée à bouger de vieilles choses, à nettoyer les pièces, à monter de nouveaux meubles et je dois dire que je suis complètement épuisée. Papy a récupéré pas mal d’affaires, nous avons baissés les sièges arrières de mon oncle pour pouvoir tout rentrer.

Quelques affaires sont également dans la voiture de papy, mais pour le coup on a vraiment plus de place pour s’assoir. On va devoir se serrer pour rentrer, je vois Jordan qui commence à s’installer derrière papy, alors je me dis que je vais aussi aller de son côté, mais en me voyant il m’a complètement évité.

Ça me chagrine un peu comment il réagi, pour le coup, Karine demande à Anthony de venir de mon côté. Par manque de place je dois me placer sur Anthony, j’avoue que j’aurais aimé être sur Jordan, pour tenter une petite approche. Je voulais débloquer un peu cette situation entres nous, et pouvoir lui parler peut être plus tard. Mais il en a décidé autrement donc je me retrouve sur Anthony.

Dans ma tête je pense que je lui ai réellement fais du mal, je m’en veux vraiment. Dans la voiture tout le monde est calme, fatigué, je suis un peu perdue dans mes pensées, et en me plaçant un peu mieux sur Anthony j’ai ressentie une chose.

Je ne bouge plus, alors je me rends compte que mon cousin bande, ce qui je pense est tout à fait normal comme réaction. Mais jusque là je n’avais jamais eu l’occasion d’être aussi près d’Anthony, et je dois dire que cette situation m’a tout à coup excitée.

Mais qu’est ce qui me prend ?!! Je suis avec Guillaume, pourquoi je commence à être excitée comme ça ?!!

Je ne bouge pas, dans ma tête je me mets à imaginer le sexe d’Anthony, sa bosse à l’air assez grosse. Ça ne va vraiment plus, mais cette situation n’est pas voulu, nous nous sommes retrouvés à l’étroit dans la voiture, obligés de se mettre les uns sur le autres pour rentrer.

Donc je n’ai rien à me reprocher, ce n’est pas ma faute si…. Oula, elle paraît vraiment grosse tout de même. Je suis complètement perdue, je me demande ce qu’il en est du côté d’Anthony, il bande ok, mais est-ce qu’il aime vraiment ça, ou il trouve cette situation gênante ?

En tout cas, la route n’arrange rien du tout, les quelques petites secousses me font bouger sur la bosse d’Anthony, j’essaie de me placer autrement mais rien n’y fait, je reviens toujours vers son sexe bandé.

Heureusement pour nous, nous arrivons à la maison, nous prenons la petite route en terre et enfin la voiture s’arrête. Papy nous dis que nous allons décharger la voiture de suite, comme ça nous serons libre après. Nous sommes tous d’accord à part Anthony qui sort directement pour aller aux toilettes, il dit que c’est une envie pressante.

Nous commençons à décharger les voitures, puis Anthony nous rejoins, nous sommes tous silencieux, fatigués sûrement. Je cherche à attirer l’attention de Jordan mais toujours rien, et encore mieux maintenant c’est Anthony qui m’évite également.

Je ne sais pas si je fais vraiment les choses de travers en ce moment, mais je commence à me poser de plus en plus de questions. Il est presque 17H lorsque nous sortons les dernières affaires des voitures et après avoir fini, nous allons tous vers nos chambres. Je pense que nous désirons tous une bonne douche ainsi qu’un peu de repos. Nous passons un par un à la douche, quand arrive mon tour, je peux dire que ça fait vraiment du bien après une journée comme celle-là.

Je me sentais vraiment crade, avec toute la poussière soulevée, les meubles et autres à déplacer, j’ai pas mal sué aussi, alors cette douche me fait le plus grand bien. Pendant que l’eau coule sur mon corps je repense à ma discussion avec ma mère, et à ce qui vient de se passer dans la voiture.

Sincèrement je ne pense pas avoir fait quelque chose de mal, j’étais simplement assise sur les genoux d’Anthony. Mais je dois avouer que j’ai trouvé cette situation particulièrement excitante, et ma mère à raison, j’aime avoir du plaisir sous différentes formes. Est-ce que Guillaume m’en voudrait vraiment pour ça ? Et est-ce qu’il serait vraiment jaloux ? Le sujet est délicat, je ne peux pas simplement lui demander ça, surtout en parlant des mes cousins et ma cousine, il aurait très vite des doutes je pense. Je trouverais sûrement un moyen d’amener le sujet, pour le moment, je coupe l’eau, me sèche, m’habille, mais…

J’ai mon T-shirt, mais je ne trouve pas ma culotte, je croyais pourtant l’avoir prise avec moi. J’ai sûrement dû l’oublier dans ma chambre, alors je sors comme ça. Après tout mon T-shirt est assez long et je trouve ce côté plutôt excitant aussi, me trimbaler sans culotte comme ça dans le couloir.

Je rentre dans ma chambre et là je vois Jordan….
chapitre 67 image
Jordan est sur mon lit, il m’attendait depuis un moment. Je dois dire que je suis complètement surprise, même si je cherchais à le voir pour lui parler. Je ferme la porte, il se lève en s’approchant vers moi et m’enlace tendrement.

Tout à coup je me sens comme soulagée, je retrouve mon cousin, ses bras me réconforte, alors je le sers aussi dans les miens.

Jordan : ma cousine, je suis vraiment désolé d’avoir réagi comme ça, et de t’avoir évité
Moi : ce n’est pas grave, je suis contente que tu sois là, continue de me serrer dans tes bras
Jordan : tu m’as manqué
Moi : toi aussi tu m’as manqué
Jordan : non, ce que je veux dire, c’est que tu m’as manqué depuis les dernières vacances. Et quand tu m’as parlé de ton copain, je ne sais pas ce qui m’a pris
Moi : je t’ai blessé en parlant de Guillaume ?
Jordan : je crois que je suis devenu jaloux que ce soit lui ton copain et pas moi
Moi : Mais Jordan, tu es mon cousin, tu ne peux pas…
Jordan : oui je sais, et franchement je sais que j’ai mal réagi
Moi : c’est ma faute aussi, tu as eu un moment des doutes sur ce que l’on faisait, et je t’ai convaincu qu’il n’y avait rien de mal. Et l’autre soir quand tu as voulu m’embrasser, j’ai… je suis désolée  
Jordan : quand tu m’as évité,… je me suis senti rejeté, je ne comprenais pas pourquoi, même si tu me parlais de ton copain, je n’arrivais pas à l’entendre
Moi : je ne voulais pas, sincèrement, j’ai paniqué et je t’ai fait du mal je m’en veux
Jordan : je pensais que rien ne changerait entres nous, je n’avais pas pensé au fait que si tu te trouvais un copain, ça aurait un impact
Moi : franchement, je n’y avais pas pensé non plus, je m’en suis rendue compte au moment où tu voulais m’embrasser
Jordan : et si tu n’avais pas de copain ?
Moi : alors rien n’aurait changé, je t’aurais embrassé
Jordan : je suis content de le savoir…

Jordan s’approche de moi, et dépose un baisé sur ma joue, et franchement, ça m’a donné des frissons.

Jordan : je suis content de t’avoir parlé
Moi : à moi aussi, ça m’a fait du bien
Jordan : je te laisse tranquille, je retourne dans ma chambre

En se retournant, Jordan passe près de mon lit, il s’arrête un moment en posant les yeux sur la culotte, que j’ai oublié de prendre avant d’aller à la douche. Il la regarde, puis il me sourit tendrement.

Moi : oh désolée, j’ai oublié de la prendre en allant à la douche
Jordan : tu veux dire que… tu ne portes rien sous ton T-shirt ?
Moi : oui… je n’ai pas de culotte sous mon T-shirt…

Jordan baisse les yeux en direction de mes jambes nues, puis il me sourit. Peut-être est t’il en train de m’imaginer ou autre. Il reste quelques secondes sans bouger, ce temps m’a paru être une éternité, et sans que je sache pourquoi, je m’avance, de ma main droite je saisi ce petit bout de tissu sur mon lit.

Et doucement sous le regard attentif de Jordan, je lève une jambe puis l’autre, afin d’enfiler ma culotte que je remonte lentement, en soulevant au passage un peu mon T-shirt sans trop en dévoiler. A cet instant, j’ai ressentis de l’excitation et du plaisir à faire cela devant Jordan, sans aller trop loin.

Moi : peut-être qu’on n’est pas obligé de tout changer…

En lui disant cela, Jordan ne peut s’empêcher de me sourire, puis il ouvre la porte et s’en va vers sa chambre. Je suis contente d’avoir pu lui parler, d’avoir mis certaines choses au clair. Il y avait sûrement encore beaucoup de choses à se dire, mais pour le moment c’est déjà très bien, et au fond de moi j’ai pris du plaisir avant qu’il ne quitte ma chambre.

Nous nous sommes déjà vu entièrement nus, et avons fait même plus que se regarder. Mais sans aller jusque là, je me dis que des petits moments comme ce que je viens de faire, pourrait très bien nous faire plaisir.

Après tout ça, je m’allonge dans mon lit un instant pour me reposer, mais le temps passe, très vite c’est déjà l’heure de dîner. A table nous discutons comme d’habitude, je suis contente de croiser par moment le regard de Jordan, de voir sur son visage un sourire. Anthony semble un peu mieux également, il parle avec nous et ne cherche pas à m’éviter.

Après le dîner, je dois dire que je ne fais pas long feux, il est à peine 22H que je me couche, j’envoie quelques messages à Guillaume, puis je m’endors très vite. Je pense que cette journée m’a beaucoup fatiguée, mais je me réveille au milieu de la nuit avec une très forte envie de boire. Je me sens comme asséchée, mais j’ai aussi la flemme de me lever, de devoir aller jusqu'à la maison pour boire.

Je me dis que ça va sûrement passer, alors je tourne dans mon lit, puis le temps passe, je suis toujours assoiffée, mais un peu plus réveillée maintenant. Je me lève alors, je regarde l’heure, 1H du matin, je sors de ma chambre en T-shirt culotte, mais en ouvrant la porte de l’annexe, je peux constater que dehors il fait assez froid.

Je fais demi-tour pour aller chercher un jogging et mon pull, en entrant je claque la porte sans faire exprès. Je me suis faite peur par la même occasion, mais je sursaute une deuxième fois lorsque la porte d’Anthony s’ouvre juste à côté de moi.

Anthony : Ju ?
Moi : oui
Anthony : mais tu faisais quoi dehors dans cette tenue ?
Moi : je voulais aller me chercher à boire, je ne pensais pas qu’il faisait aussi froid dehors, et du coup je suis revenue pour chercher mon pull
Anthony : tu veux boire ? J’ai une bouteille si tu veux
Moi : oh oui je veux bien merci

Je rentre dans la chambre d’Anthony, il me tend la bouteille, et vu comment je la vide pratiquement je peux dire que j’avais sacrément soif. Je n’avais pas remarqué sur le coup, mais mon cousin est en caleçon devant moi, et honnêtement ça lui fait un beau paquet entres les jambes.

Anthony : effectivement tu avais très soif, tu as quasiment vidé ma bouteille
Moi : heu désolée
Anthony : ce n’est pas grave
Moi : et désolée de t’avoir réveillé aussi
Anthony : oh je me suis réveillé juste avant que tu ne sorte, j’avais soif aussi
Moi : il fait plutôt chaud aussi dans les chambres, et avec la journée qu’on a passée
Anthony : je trouve qu’il fait bon, par contre dehors tu as dû avoir bien froid ahaha
Moi : oh oui, c’est pour ça que j’ai fait demi-tour, je ne pense pas que j’aurais pu aller jusqu’à la maison ahaha
Anthony : c’est normal t’es une fille ahaha
Moi : n’importe quoi, ce n’est pas parce que tu es un mec que tu as moins froid que moi
Anthony : je te parie que si
Moi : ahaha mais toi, tu es toujours prêt à parier tout et n’importe quoi
Anthony : j’avoue que je suis plutôt joueur
Moi : oui, j’ai vu ça, et aussi coquin
Anthony : ah bon ?
Moi : ba oui, vu les photos que nous a demandé
Anthony : euh non, au départ j’ai dis que vous n’étiez pas capable de prendre une douche devant nous
Moi : oui ba ce n’est pas mieux hein
Anthony : oui mais pour le coup, les photos c’est l’idée de Karine
Moi : que tu as demandé encore ahaha
Anthony : oui bon j’avoue, mais vous êtes toutes les deux aussi très coquines et joueuses
Moi : de quoi ?

Anthony : pour dire la vérité, je ne m’attendais pas du tout à ça. Je voulais vous embêter et si vous m’aviez rembarré je n’aurais rien dis. Mais quand j’ai vu les photos je me suis dis que vous étiez très coquines ahaha

Nous avons bien ris tous les deux dans sa chambre, je dois dire que c’est la première fois que je partage un moment comme ça avec Anthony. Je le trouve moins distant qu’avant, je suis contente que ça aille mieux de son côté.

Après tout ça je suis repartie dans ma chambre pour me coucher, et je dois dire que je me suis endormie comme un bébé, l’esprit léger de savoir que tout va mieux entre Jordan et moi mais également avec Anthony.
chapitre 68 image
Ce matin je me réveil tout en douceur, en m’étirant de tout mon être. Je recherche mon téléphone il est 7H30. Je crois que je ne me suis pas encore mise en mode vacances, pour profiter de mon lit. J’envoie un message à mon chéri, mais je pense qu’il doit encore dormir.

Je reste un peu allongée, je rêvasse en regardant le plafond, puis je reçois une réponse de Guillaume. Nous échangeons quelques messages, et enfin je me décide à sortir du lit. Je m’habille en vitesse et je monte rejoindre ceux qui sont déjà sur la terrasse.

Je prends mon temps pour le petit déjeuner, les autres me rejoignent un par un. Aujourd’hui il n’y a pas grand-chose de prévu, nous allons surtout préparer le réveillon de Noël en famille. Et comme l’an dernier nous sommes chargés de décorer au mieux la terrasse avec tante Claire. On sort le sapin, les lumières et autres accessoires, nous faisons du mieux que nous pouvons toujours sous un regard avisé de mamie.

Et nous rions avec Karine, car à chaque fois qu’elle est venue nous dire quelque chose sur la décoration, tante Claire levait les yeux au ciel en répétant à voix basse ce que nous disait mamie. Je ne connais pas beaucoup ma tante Claire, je me rappelle seulement que lorsque j’étais plus jeune, elle était toujours à jouer avec nous vu son jeune âge. En tout cas elle me semble être quelqu’un de dynamique et assez franche aussi vu comment elle répond à mamie parfois.

Nous passons toute la journée pratiquement à préparer ce réveillon, vers 16H, après avoir mis en place les dernières décorations, nous sommes montés avec Karine dans la voiture de tante Claire pour allez chercher le foie gras chez un ami de papy. Ce n’est qu’à quelques minutes de routes, mais je dois dire que c’était pour moi l’expérience la plus traumatisante.

Dans la voiture nous avons eu le droit à de la musique bizarre, un mélange de techno et autres que je ne saurais décrire, mais d’après ma tante, c’est tendance. Mais ce qui m’a le plus marqué, c’est qu’elle conduit mal, j’ai vraiment cru que ma dernière heure était arrivée. Tout en conduisant elle répond à des messages, se regarde dans le rétro et autres. Si je me suis promis une chose je pense, c’est de ne plus remonter avec elle.

Heureusement pour nous et le foie gras, nous sommes revenues en un seul morceau à la maison. Karine et moi n’avons pas pu nous retenir de lui dire qu’elle conduisait trop mal, mais sa réponse nous à fait rire.

Claire : la prochaine fois, vous allez chercher le foie gras à pied, na

De retour à la maison, saint et sauf, nous aidons au dernier préparatif, avant de passer une agréable soirée en famille autour de cette table. Et comme d’habitude, pour le repas, nous sommes plutôt gâtés, il y a de tout, et il vaut mieux y aller doucement. Une petite musique pour accompagner le repas et beaucoup d’anecdotes de papy pour nous faire rire.

Nous avons même eu le droit à certaines histoires sur nos parents pour leur faire rappeler à eux aussi qu’ils ont étaient jeunes, et qu’ils ont aussi fait des bêtises. C’est sûr que là ils ne font plus les malins à nous dire, nous à votre âge ….

Pour le coup les cousins, Karine et moi n’arrêtons plus de rires et demandons encore des histoires à papy. Le temps passe, la nuit se rafraichie et arrive alors minuit. Tout le monde est parti chercher les cadeaux pour les déposer sous le sapin. Papy a voulu pour cette année s’improviser père Noël avec une fausse barbe, et s’est installé à côté du sapin pour nous appeler un par un, pour venir récupérer notre cadeau.

On a eu le droit à une photo chacun avec papy Noël sur ses genoux, et le moment était tout simplement comique. Il est temps d’ouvrir nos cadeaux, et j’ai eu le droit à des livres de la part de papy et mamie, de jolis vêtements et des bijoux de mes tantes et oncles. Tout le monde est heureux en ouvrant ses cadeaux, et je suis contente en voyant la tête de mes cousins et cousine lorsqu’ils ouvrent ceux choisis par maman et moi.

Et pour Anthony je crois que le livre choisi tombe pile poil, car son père lui a offert un bel appareil photo, et aussi une petite caméra, je crois que c’est une Go pro. En tout cas il est très content et le livre va lui permettre d’apprendre à faire de belles photos.

Nous passons ensuite au dessert et je dois dire que les buches de Noël sont toutes belles et appétissantes. On se montre les beaux cadeaux et je dois dire que je suis fascinée par celui d’Anthony. Nous avons passés pas mal de minutes à regarder la boîte, les notices et l’appareil lui-même. Anthony et son père ont toujours un peu de mal à se parler, bien que mon cousin ne se renferme plus comme avant. Mais en tout cas, je pense que mon oncle Vincent veut prendre soin de son fils et veut lui offrir ce qu’il y a de meilleur.

L’heure passe et tante Claire se lève pour aller marcher un peu et digérer, je me lève aussi pour l’accompagner. Nous marchons un peu sur la route, la lune éclaire beaucoup ce soir là, et je suis surprise de voir tante Claire sortir une cigarette.

Moi : oh tu fumes ?
Claire : non c’est une bougie, regarde (en l’allumant)
Moi : rooo ok question bête…
Claire : voila tu as tout compris ….fuuuuu
Moi : je ne t’ai jamais vu fumer
Claire : humm fuuu… je me cache quand je suis ici, sinon ta mamie va me faire un sermon
Moi : ah ok
Claire : mais je fume que pour certaines occasions fuuuu
Moi : ah bon lesquels ?
Claire : humm, quand j’ai trop mangé, comme là, fuuuu…. Quand je bois, comme là aussi, et après l’amour ahaha
Moi : ahaha ok, donc tu ne fumes pas souvent alors
Claire : oh si, je fume pas mal je dois dire fuuuu
Moi : ah tu bois beaucoup ?
Claire : humm y a de ça, et je fais beaucoup l’amour aussi fuuuuu
Moi : ahaha tu aimes beaucoup ton chéri alors
Claire : non, en fait j’ai pas mal de PC
Moi : de PC ?
Claire : ahaha des plans culs, Ju, des plans culs. Mais tu es encore jeune, c’est peut-être pour ça
Moi : oh tu es sur un site, comme maman ?
Claire : heu heu heu…. Humm tu veux me faire étouffer ou quoi ? Attend ta mère est sur un site de rencontres ?
Moi : euh oui, désolée, je n’aurais pas dû le dire
Claire : euh oui, boulette, tu ne dois pas le dire fuuuu, mais jamais je n’aurais pensé que Nana se mettrait sur ce genre de site
Moi : tu ne le diras à personne ?
Claire : non t’inquiètes, et puis ça ne regarde qu’elle, et toi, d’où tu sors cette info ?
Moi : c’est moi qui l’ai inscrit sur le site, je ne voulais pas qu’elle reste seule à cause de moi
Claire : d’accord, je vois fuuuu, et toi tu as un copain ?
Moi : oui j’en ai un, il s’appelle Guillaume
Claire : humm, hey bien, je suis contente, ma Ju n’est plus aussi timide qu’avant fuuuu et ça fait combien de temps ?
Moi : depuis Octobre
Claire : woao, si tu continue tu vas me battre niveau durée de relation ahaha, et alors il est comment ?
Moi : il est très gentil, doux, et mignon aussi hihi
Claire : il est comment au lit je veux dire ahaha
Moi : euh… on ne l’a pas encore fait
Claire : hein, attends ça fait genre fuuuu…. Trois mois et toujours rien ?
Moi : euh si …. Il y a ….
Claire : pardon excuse moi, je suis plutôt direct quand je parle, tu n’es sans doutes pas habitué
Moi : je suis surprise oui, et puis tu es ma tante
Claire : ahaha fuuuu… t’inquiètes pas pour ça, c’est vrai je suis ta tante, mais on a tellement peu de différence d’âge
Moi : c’est vrai…
Claire : aller, viens on rentre, tu veux un chewing-gum ?
Moi : non merci

De retour à la maison, nous nous sommes remis à table avec les autres. Le temps passe, et la fraicheur de la nuit nous calme peu à peu jusqu’à que nous débarrassons la table. J’embrasse ma mère avant de regagner l’annexe avec les autres et franchement je n’ai pas encore envie de dormir.

Je récupère mon téléphone et je vois des messages de Guillaume, je lui souhaite un joyeux Noël également et nous commençons à discuter un peu jusqu’à que Karine frappe à la porte. Elle aussi n’est pas très fatiguée pour le moment, alors elle vient s’allonger avec moi pour discuter un peu.

Tout en parlant avec Karine, je continue d’envoyer des messages à mon chéri, l’heure passe, et je me dis qu’avant de me coucher je vais aller me prendre une douche. Karine souhaite également venir avec moi, mais j’ai un peu de mal à lâcher mon téléphone, et au bout d’un moment Karine me le prends des mains et tape un texto qu’elle envoie de suite.

Je n’ai pas eu le temps de voir le message, qu’elle me prend par la main et nous voilà dans la douche. On se retrouve très vite toute nue, et nous entrons dans ce petit carré de douche. On n’arrête pas de rire et de s’embêter aussi, mais je veux vraiment savoir quel message elle a envoyé à Guillaume. Elle me dit de ne pas m’inquiéter, qu’elle ne ferait rien qui puisse nuire à notre relation. Je sais au fond de moi qu’elle ne ferait rien de tel, mais au fond de moi ses chamailleries étaient sans doute un prétexte pour la toucher et me coller à elle.

Après s’être lavé, nous sortons toutes les deux de la douches pour nous sécher et …

Karine : euh, je crois qu’on a oublié nos affaires
Moi : mais oui !!… tu m’as attrapé le bras et nous sommes venus ici directement
Karine : ok ce n’est pas grave, attends…

Karine ouvre doucement la porte et passe la tête dans l’ouverture, elle regarde attentivement, puis me dit que la porte d’Anthony est légèrement ouverte, et que celle de Jordan est fermée.

Moi : mais t’es folle, on ne va pas sortir comme ça ?
Karine : mais si hihihi
Moi : et si Anthony ou Jordan nous surprennes ?
Karine : justement, c’est ce qui rend la situation excitante, non ?

Le visage souriant de ma cousine à ce moment me lance comme un défi, et je dois l’avouer qu’au fond de moi, je commence à ressentir une certaine excitation. Elle me dit d’y aller doucement, pour voir si Anthony regarde dans la direction de la porte avant de passer devant.

Karine ouvre la porte de la salle de bain, elle m’attrape par la main et sur la pointe des pieds nous avançons dans le couloir. Nous sommes pratiquement devant la porte d’Anthony, et Karine cherche à voir où il est, et s’il regarde dans notre direction. Elle n’arrive pas du tout à le voir, la pièce est sombre et là, sans nous y attendre, c’est la porte de Jordan qui s’ouvre juste à côté de nous.

Jordan est dans l’ouverture de la porte, et nous sommes toutes les deux nues devant lui. On peut entendre la voix d’Anthony derrière, ils étaient tous les deux là, en train d’essayer les nouveaux jeux que Jordan a reçus en cadeau.

Nous sommes tous les trois totalement surpris, et nous n’avons aucunes réactions. Karine et moi, main dans la main, pendant que Jordan nous observe bouche bée. C’est la voix d’Anthony en arrière qui nous sort de ce moment, et Karine balance comme ça un « bonne nuit » à son frère, avant de me tirer par la main pour rentrer dans ma chambre.

A peine la porte fermée, que nous éclatons de rire toutes les deux, en s’attrapant les deux mains. Je pense que c’est une réaction normale, après ce que l’on vient de faire, et honnêtement je me sens bien excitée à ce moment là. Et je crois que c’est la même chose pour Karine vu qu’elle vient m’embrasser…

Karine : pardon…
Moi : t’inquiètes pas, ça va aller
Karine : non mais par ma faute, tu t’es retrouvée nue devant Jordan
Moi : ce n’est rien je te dis, c’était même très drôle ahaha
Karine : hey bien, je pensais que tu aurais eu une crise
Moi : non, ça va, ça fait un moment que je n’ai plus eu de crise, et j’ai l’impression qu’il t’a bien regardé aussi ahaha
Karine : oui, ce n’est pas grave, il va faire de beaux rêves ce soir ahaha
Moi : tu n’es pas du tout gênée ?
Karine : un peu, mais ça va, il a aussi vu des photos je te rappelle ahaha

Nous sommes toujours nues toutes les deux à se parler juste derrière la porte, comme si nous ne pouvons aller plus loin. Bien sûr après un moment je m’essuie avec ma serviette avant de la passer à ma cousine. Puis nous nous installons dans mon lit, toujours dans la même tenue.

Karine : tu sais… j’ai quelque chose à te dire…
Moi : ah bon ? Vas-y
Karine : tu sais l’autre jour, quand nous sommes allés chez l’ami de papy
Moi : oui
Karine : au retour, je me suis assise sur Jordan, et à un moment, je me suis rendue compte qu’il bandait
Moi : sérieux ? Et ?
Karine : au début, j’ai trouvé ça très gênant, puis après je me suis dis que c’était normal, vue la situation et …
Moi : et ?
Karine : j’ai commencé à être excitée
Moi : ahaha…
Karine : pourquoi tu ris ?
Moi : parce que j’ai vécu la même chose de mon côté avec Anthony hihi
Karine : sérieux ? Oui mais moi, c’est mon frère, franchement j’aurais préféré que ce soit Anthony
Moi : je comprends…

Après ses petites confidences sur l’oreiller, je prends mon téléphone, et je vois 4 messages de Guillaume. Avec toute cette histoire de douche, de serviette, de couloir et autres, j’avais complètement oubliée, que Karine avait envoyé un message à mon chéri.

J’ouvre les messages, et je découvre celui envoyé par Karine, et ceux de Guillaume…

Moi : […je vais prendre une douche avec ma cousine, fais de beaux rêves mon chéri 😉…]
Guillaume : […sérieux, tu vas te doucher avec elle ?...]
Guillaume : […tu as finis ?...]
Guillaume : […vous êtes toujours sous la douche ? oO…]
Guillaume : […bonne nuit ma chérie, il faudra que tu me racontes tout ça… XD …]

Je crois que mon chéri attend que je lui raconte ma douche avec Karine, mais je n’ai plus trop la force pour ça. Je vais lui répondre quand je serais réveillée, mais je ne sais vraiment pas quoi lui dire, ou du moins s’il faut que je lui dise tout.
chapitre 69 image
Bzziiiit
Bzziiiit

Moi : Qu’est ce que c’est que ce bruit ?...

J’ai la tête lourde, je suis fatiguée, terriblement fatiguée. Je me suis endormie très tard, ça me revient, le réveillon de Noël, le repas, les cadeaux…

Je suis complètement paumée, j’ouvre difficilement les yeux, les volets sont fermés, il fait très sombre dans ma chambre. Je viens de comprendre, ce bruit, c’est le vibreur de mon téléphone, c’est sûrement un message de mon chéri.

Quelle heure est-il ?

Je tends mon bras vers la table de chevet, j’allume la lampe et je saisie mon téléphone, il est 10H45. Mais franchement, je crois que je n’ai pas assez dormie. Je me tourne dans le lit, et je m’aperçois que je ne suis pas seule. J’oubliais que ma cousine avait dormie avec moi cette nuit, et…

J’oubliais également que nous nous sommes endormies nues. Je dois dire que ma cousine est très belle, ses seins sont magnifiques, son ventre plat, par contre je ne vois pas le reste de son corps caché par la couverture.

La lumière de mon écran m’agresse un peu les yeux, j’ouvre le message de Guillaume

Guillaume : […Bonjour mon cœur, bien dormie ?...]
Moi : […Bonjour mon chéri, désolée de ne pas t’avoir répondu hier soir…]
Guillaume : […ah je croyais que tu dormais encore…]
Moi : […je viens juste de me réveiller…]
Guillaume : […moi aussi je suis encore au lit…]
Moi : […tu es tout seul ?...]
Guillaume : […non, ma cousine est dans son lit, elle dort encore, pourquoi ?…]
Moi : […j’aurais bien aimé être dans ton lit, et m’occuper de toi XD…]
Guillaume : […ahaha, n’oublie pas que ma cousine est dans la même chambre…]
Moi : […je m’occuperais de toi discrètement hihi…]
Guillaume : […toi ça va, tu es toute seule…]
Moi : […non, ma cousine a dormi dans mon lit, après la douche…]
Guillaume : […ah oui la fameuse douche lol, et après je n’ai plus eu de nouvelles ahaha…]
Moi : […oui désolée, on a été lente 😉…]
Guillaume : […oh vous avez fait quoi pour rester aussi longtemps sous la douche ? XD...]
Moi : […c’est un secret mon chéri hihi…]
Guillaume : […oh je veux savoir :’(…]
Moi : […en fait, y a rien eu, à part qu’on avait oublié nos affaires dans les chambres, et que nous avons dû sortir de la douche toutes nues…]
Guillaume : […woao oO’…]
Moi : […ça t’excite ?...]
Guillaume : [… oui désolé…]
Moi : […ce n’est pas grave, tu veux que je t’excite encore plus ? on à dormie toutes nues hihi…]
Guillaume : […arrête, je ne vais plus pouvoir tenir XD…]
Moi : […pourquoi te retenir ?...]
Guillaume : […parce que je ne suis pas seul…]
Moi : […moi la situation m’excite, d’ailleurs, je commence doucement à me toucher…]
Guillaume : […arrête, ta cousine risque de te surprendre…]
Moi : […c’est ce qui rend la chose plus excitante hihi…]
Guillaume : […tu es complètement folle ahaha…]
Moi : […je ne t’excite pas ?...]
Guillaume : […si, grave…]
Moi : […hihi alors fais le avec moi 😉…]
Guillaume : […d’accord, je commence doucement…]
Moi : […moi, je me touche les seins, les cuisses, et mes doigts tournent sur la partie que ta langue aime tant…]
Guillaume : […oh oui, j’adore ça…]
Moi : […tu adores quoi ? Lâche toi mon chéri, dis moi tout…]
Guillaume : […j’adore mettre ma langue entres tes cuisses…]
Moi : […youhouhou, j’adore comment tu me dis ça, je suis encore plus excitée hihihi…]
Guillaume : […moi aussi ça m’excite grave, tu te caresse comment ?...]
Moi : […je suis sous la couverture, ma main entres mes cuisses, et mes doigts caresse mon clitoris…]
Guillaume : […j’adore, tu peux faire quelque chose pour moi ?…]
Moi : […oui dis moi, je ferais tout ce que tu veux…]
Guillaume : […j’aimerais que tu t’introduises un doigt…]
Moi : […hum à tes ordres mon coeur, mon doigt s’introduit, et il glisse parfaitement 😉…]
Guillaume : […c’est fou comment tu m’excite…]
Moi : […mon chéri, tu pourrais te mettre tout nu, comme moi…]
Guillaume : […je ne sais pas, j’ai peur que ma cousine se réveille…]
Moi : […si tu le fais, je m’introduis 2 doigts hihihi…]
Guillaume : […ok, attend…]
Guillaume : […j’ai enlevé mon jogging et mon caleçon, je suis tout nu…]
Moi : […hummm, ok alors, je m’introduis 2 doigts, et pour t’exciter encore plus, j’ai retiré la couverture…]
Guillaume : […complètement ?...]
Moi : […oui complètement…]
Guillaume : […tu es dans le noir ?...]
Moi : […non il y a la lumière de la lampe de chevet, ça t’excite ?…]
Guillaume : […à fond oui, tu es folle lol…]
Moi : […oui de toi hihihi, je suis prête à tout pour te faire plaisir mon chéri…]
Guillaume : […vraiment prête à tout ?...]
Moi : […oui, tu as une idée en tête…]
Guillaume : […oui mais je ne sais pas si je dois le dire…]
Moi : […dis le moi mon chéri, n’hésite pas…]
Guillaume : […tu vas trouver ça trop osé…]
Moi : […non, dis moi ce que c’est, je suis impatiente XD…]
Guillaume : […j’ai envie, que tu te touches face à ta cousine…]
Moi : […ahaha, petit coquin, attend…]
Moi : […voilà, je me suis mise face à elle…]
Guillaume : […woa, dans quelle position ? Je ne tiens plus, tu me rends fou…]
Moi : […allongée, face à elle, les jambes ouvertes et 2 doigts en moi mmmmm…]
Guillaume : […oO je vais jouir mon cœur, jpeux plus tenir…]
Moi : […fais toi plaisir mon cœur, je vais venir aussi…]
Moi : […penses à moi, toute nue, devant ma cousine et mes doigts qui me pénètrent…]
Moi : […je vais jouir, mmmm je jouie…]
Moi : […mon cœur, tu es toujours là ?...]
Guillaume : […oui je suis là, je lisais tes messages, je ne pouvais plus écrire tellement c’était bon…]
Moi : […ahaha, j’ai eu peur un moment, je pensais que ta cousine c’était réveillé lol…]
Guillaume : […non heureusement, mais je vais devoir aller vite fait à la douche avant qu’elle se réveille. C’était bon pour toi ?…]
Moi : […oh oui c’était très bon, j’ai adoré, merci pour ce moment mon cœur. Et dis, tu as jouie où ?...]
Guillaume : […sur moi, mais j’ai pris un T-shirt pour m’essuyer…]
Moi : […j’aurais aimé te nettoyer moi-même hihi…]
Guillaume : […ahaha coquine, je te laisse, je vais prendre une douche…]
Moi : […d’accord mon cœur, bisous partout <3…]
Guillaume : […bisous partout <3…]

Au fond de moi je me sens encore toute excitée, et à la fois heureuse. C’est la première que Guillaume et moi s’envoyons des messages comme ça. Des messages coquins qui nous ont amenés à un moment de plaisir. J’aurais vraiment aimé être avec lui à cet instant, mais j’ai tout de même pris énormément de plaisir à me toucher en sachant qu’il le faisait aussi de son côté.

Je suis toujours toute nue, mais je reprends une position normale dans le lit. Mon chéri est très timide question sexe, mais j’ai tout de même réussi à le mettre tout nu même si sa cousine n’est pas très loin. De mon côté, j’avoue que si Karine s’était réveillé, ça ne m’aurait pas plus dérangé que ça. Je lui aurais simplement dis ce qui se passait, et je suis sûre que la situation lui aurait plu d’ailleurs.

Je pense que tous les autres, excepté mes cousins et ma cousine, doivent être réveillé et autour de la table à l’heure qu’il est. Mais je n’ai pas trop envie de sortir de mon lit, je suis bien pour le moment, alors je prends mon téléphone et je joue un peu avec, en attendant que la limasse à côté de moi veuille bien se réveiller.
chapitre 70 image
Je suis sur mon téléphone depuis environ trente minutes, et ma cousine commence à bouger lentement. Je la vois tourner, encore et encore, elle s’étire également avant de commencer à ouvrir les yeux.

Je l’observe se tortiller depuis près de cinq minutes, et dans ses mouvements j’ai pu apercevoir une fesse. Je rigole en moi-même, surtout au moment où elle ouvre vraiment les yeux et qu’elle se rend compte qu’elle est dans mon lit.

Elle me regarde, et affiche un large sourire avant de me dire bonjour. Je ne peux que rire en la voyant, puis elle vient se blottir contre moi. Je lâche mon téléphone et me glisse sous la couverture pour la serrer contre moi, j’avoue que le contact de sa peau est très doux et chaud.

Je lui fais savoir qu’il est déjà presque midi, et qu’il serait temps de se lever pour rejoindre les autres. Mais Karine n’a pas encore envie de bouger du lit, et vient se positionner sur moi, en se laissant aller de tout son poids. Je tente de la soulever, mais elle ne bouge pas et me dit qu’elle veut encore dormir.

Seul moyen pour moi de la faire bouger, essayer de la chatouiller, elle commence à rire et à se tordre dans tous les sens et finit par me sauter dessus en me disant que je vais rester avec elle. Je me défends comme je peux, et nous nous affrontons à coup chatouille et de bisous.

Nous rigolons beaucoup toutes les deux, je lui dis de ne pas trop faire de bruits, car je pense que Jordan et Anthony dorment encore, mais elle n’en fait rien et continue de m’attaquer. Elle est par moment au dessus de moi, et quelques fois j’inverse la situation. Pour ce qui est de la couverture, elle ne nous couvre plus du tout.

Dans nos jeux, j’avoue que plus rien n’existe autour de nous, je m’amuse avec ma cousine en toute innocence. J’ai le dessus sur elle, puis je saisis ses poignets et les plaques contre le matelas.

Moi : attends… on dirait que j’ai entendu quelqu’un frapper
Karine : oh, je n’ai rien entendu moi…

Je la regarde en lui disant qu’elle fait tellement de bruit aussi, qu’il est normal qu’elle n’ait rien entendu. Son regard dans le mien semble briller, je ne comprends pas pourquoi, puis elle baisse les yeux. je fais de même, je suis son regard, et je me rends comptes que dans cette position, nos jambes sont entres croisés, et que nos sexes sont pratiquement en contact.

Au même moment la porte de la chambre s’ouvre et …

Jordan : j’ai frappé, vous n’avez p…. oh pardon les filles ! (en refermant la porte aussitôt)

Nous n’avons même pas eu le temps de réagir, à part regarder en direction de Jordan. De nouveau seule, nous ne bougeons plus, comme incapable de savoir quoi faire. Je finis par lâcher ma cousine, puis elle se redresse.

Nous sommes toutes les deux un peu paniquées, nous ne savons pas ce qu’il va en penser. Entre cette nuit où Jordan nous a vu dans le couloir, et maintenant, où il nous surprend l’une sur l’autre toutes nues dans mon lit. Il va finir par avoir des doutes, qui sont je l’avoue loin d’être faux. Mais ces fois ci, il n’en était vraiment rien.

Karine se lève, elle cherche un vêtement mais se rappelle que ses affaires sont dans sa chambre. Je n’ai pas le temps de lui proposer quoi que ce soit, qu’elle ouvre déjà la porte pour regarder dans le couloir avant de le traverser toujours toute nue, jusque dans sa chambre en face.

De mon côté je m’habille en vitesse et essaie d’arranger mes cheveux comme je peux avant de sortir de ma chambre. Karine s’est également dépêchée de s’habiller puis elle me dit qu’il faut absolument parler à Jordan. Elle ouvre la porte de sa chambre, il n’est pas là, nous sortons de l’annexe et nous le trouvons juste là, devant la porte.

Karine : Dan, je peux te parler une minute ?
Jordan : euh désolé les filles, je ne voulais pas vous surprendre…
Karine : justement, je…
Jordan : maman m’a demandé de venir, pour voir si vous dormiez encore. Je vous ai entendu rire, j’ai frappé, et…
Karine : ok, Dan, écoute moi, ce n’est pas ta faute. On a pas entendu quand tu as frappé…
Jordan : oui et du coup je…
Karine : écoute-moi, ce n’est rien. Je veux juste te dire que ce n’est pas du tout ce que tu crois
Jordan : euh…
Karine : on s’amusait et… enfin je veux dire…
Moi : je crois que tu es en train de plus l’embrouiller là
Jordan : j’avoue oui, mais je m’excuse encore
Karine : d’accord, mais n’en parle à personnes s’il te plaît
Jordan : je ne dirais rien, promis

Nous entendons mamie crier depuis la terrasse pour que l’on vienne manger, nous mettons fin à cette petite discussion mais je ne suis pas sûre que Jordan ait réellement compris ce qui se passait dans ma chambre. Je suis un peu en arrière avec Karine et je lui dis, qu’elle aurait dû être plus claire dans son explication. Mais d’après elle, se justifier viendrait à se rendre plus coupable que nous le sommes, et je la comprends.

A table nous essayons de penser à autre chose, mais j’avoue que j’ai du mal à décrocher de cette histoire. D’ailleurs, lorsque je regarde Jordan, je pense qu’il est encore en train d’y penser.

Le reste de l’après-midi, papy et mamie vont se reposer un peu après cette courte nuit. Mon oncle Philipe et ma tante Sabine vont faire de même, tandis que nous restons avec ma mères et tante Claire sur la terrasse, pour jouer à des jeux de sociétés.

Je dois dire que ça m’a beaucoup aidé à oublier cette histoire, et je vois également que Jordan et Karine s’amuse aussi. Nous avons continué de jouer jusqu’au soir, et après le dîner, une fois que tout le monde à commencé à être fatigués, nous avons rejoins nos chambres.

Je ne suis pas pressée pour passer à la douche, alors je reste dans ma chambre sur mon téléphone. Je réponds aux quelques messages de mon chéri quand j’entends toquer à ma porte. Je vais ouvrir, et je vois Jordan qui attend. Je ris un peu en pensant qu’il doit être un peu gêné d’ouvrir cette porte maintenant.

Il entre et s’installe sur mon lit avec moi…

Jordan : je voulais te dire, que je suis désolé encore pour ce qui s’est passé
Moi : ce n’est pas grave, on va essayer d’oublier ça
Jordan : mais je suis un peu jaloux tout de même
Moi : ah bon ?! Pourquoi ?
Jordan : hey bien, je comprends qu’on ne peut pas faire, ce qu’on a déjà fait par rapport à ton copain. Mais quand je t’ai vu avec Karine, je n’ai plus rien compris
Moi : ahahahaha… alala
Jordan : pourquoi tu ris ?
Moi : à cause de toi gros nigaud, ce n’est pas du tout ce que tu crois avec Karine
Jordan : oh…

Je pris le temps d’expliquer à Jordan toute la situation et ce, depuis le début. Je lui ai donc raconté cette fameuse douche où nous avions oubliés nos affaires, ce pourquoi il nous a vu nues dans le couloir. Que nous nous sommes endormies dans la même tenue, et qu’au réveil, nous étions en train de nous taquiner au moment où il a ouvert la porte.

Tout ça a finalement fait tilt dans sa tête, et nous voilà tous les deux partis dans un fou rire. Il se sent trop bête d’avoir mal interprété ce qu’il a vu, mais je ne lui en veux pas, je pense que j’aurais pensé la même chose. Et je lui rappel que si je ne fais rien avec lui, alors je ne ferais rien avec qui que ce soit.

Jordan : oui je comprends, mais je suis triste
Moi : oh pourquoi ? Il ne faut pas être triste
Jordan : il ne se passera vraiment rien ?

Je baisse la tête en souriant timidement, je ne sais vraiment pas quoi lui répondre, alors je me souviens d’un petit détail qui m’avait excitait l’autre soir. Ce n’est peut-être pas grand-chose, mais je ne peux pas non plus ne rien faire, surtout en voyant cette petite bouille triste devant moi.

Alors je me lève et lui demandant un instant et je fouille dans mon tiroir. Devant mon cousin je sors, et j’étale sur mon lit tout mes sous vêtements. Il regarde attentivement ce que je fais, puis je lui demande s’il veut bien m’aider à en choisir un pour la nuit.

Je le vois qui hésite, puis il choisi un shorty en dentelle de couleur chair. Je lui demande alors de le prendre avec lui et que je viendrais le récupérer dès que je sors de la douche. Nous sortons tous les deux de ma chambre et je me dirige vers la salle de bain avec ma serviette et mon T-shirt. L’eau chaude coule sur mon corps, je me détends parfaitement, et je savoure ce moment.

Une fois finis je me sèche, enfile mon T-shirt et me dis qu’il est temps de rejoindre Jordan dans sa chambre. Dans le couloir, je m’avance tranquillement, cette sensation de ne pas porter de sous-vêtements m’excite, et je repense au fameux moment où nous sommes sortis nues de la douche avec Karine.

Je toque à la porte de Jordan, puis il me dit d’entrer. Il me regarde attentivement, me demandant si la douche était bonne. Je lui dis que l’eau était parfaite, que je me suis bien détendu. Il me tend le shorty qu’il a choisi, et naturellement, devant lui, je l’enfile tout doucement. Je relève au passage un peu mon T-shirt, ce qui lui laisse l’occasion d’apercevoir je pense, un bref moment ma nudité.

Une fois mon shorty enfilé, je garde d’une main mon T-shirt relevé, et je tourne sur moi-même en demandant à Jordan ce qu’il en pense. Ses yeux sont fixés sur ce petit bout de tissu, qui se confond parfaitement avec ma couleur de peau. Avec un petit sourire coquin, il me dit que ce shorty me va à merveille.

Je le remercie pour ce compliment en venant lui faire un bisou, et lui souhaite une bonne nuit avant de sortir de sa chambre. Je regagne alors la mienne et m’allonge dans mon lit. J’ai beaucoup aimé ce petit moment, même s’il semble peu coquin, j’adore le fait de me dévoiler partiellement aux yeux de Jordan.

Je pense avoir compris ce que voulait dire ma mère par instaurer une limite. Je ne sais pas si j’ai bien mis en pratique le conseil qu’elle m’a donné, toutefois, après que mon excitation se calme, je me sens un peu gênée vis-à-vis de Guillaume.
Et en parlant de Guillaume, je reçois un message, et je dois dire, que je suis contente de découvrir un petit côté plus coquin de lui.

Guillaume : […tu dors avec ta cousine encore cette nuit ? XD …]23 h 47
Moi : […non elle est dans sa chambre ahaha…]
Guillaume : […ahaha ok, et tu dors toute nue ?...]
Moi : […je suis en T-shirt culotte, mais je peux tout enlever si tu veux…]
Guillaume : […je veux bien oui…]
Moi : […c’est fait hihi…]
Guillaume : […coquine XD, bonne nuit mon cœur…]
Moi : […bonne nuit, et fais de beaux rêves 😉…]
Guillaume : […oui, de toi toute nue <3…]
Moi :[… <3 <3 <3…]
chapitre 71 image
Ce matin, à mon réveil, j’ai un mal de tête pas possible. Je me dis alors que la journée commence vraiment bien. Je cherche mon téléphone pour regarder l’heure. 9H et un message de Guillaume.

Il est plutôt matinal, je lui réponds vite fait que je viens de me lever, aussi je me rends compte que j’ai des douleurs abdominales. La tête enfoncée dans mon oreiller je viens de comprendre que mes règles sont là. J’avoue ne pas être habituée encore, et que je n’y pensais plus du tout.

Je me lève, cherche dans mes affaires une serviette. Je ne voudrais pas tâcher mes draps ou autres. Et puisque je suis debout, autant rejoindre les autres sur la terrasse même si je n’ai pas vraiment envie de prendre un petit déjeuner.

En me voyant arriver, ma mère remarque à ma tête que ça ne va pas. Mes cousins et cousine ne sont pas encore levés, donc je m’installe aux côtés de ma mère, puis lui dis tout bas ce que j’ai. Tout le reste de la journée je me suis sentie dans le même état, avec les nausées en plus.

Donc je suis plutôt restée tranquille dans l’annexe à regarder des films avec Karine. Elle a déjà eu ses règles aussi depuis un peu plus d’un an maintenant. Et elle m’a dit aussi que pour elle, c’était assez chiant les premiers temps, mais qu’aujourd’hui elle est habituée, et que ce moment ne semble pas la déranger plus que ça.

Elle me rassure d’un côté, je me dis qu’avec le temps, je vais m’y faire, de toute façon je n’ai pas trop le choix. Mais je me dis surtout qu’à l’avenir je serais moins embêté que je ne le suis là.

J’ai aussi passé du temps avec Jordan sur ses jeux vidéo, je dois dire que je me suis plutôt bien amusée. Il m’a demandé s’il pouvait choisir mon sous vêtement pour la nuit, pour le coup, j’étais obligé de lui expliquer ma situation.

Il s’est excusé plusieurs fois, pensant avoir fait une bêtise en me demandant ça alors que je ne me sens pas bien. Mais il m’a fait rire, lui ai dit qu’il ne pouvait pas savoir et qu’il n’avait rien fait de mal.

Mes règles ont durées trois jours, à peu près comme la dernière fois. Je n’ai pas beaucoup mangé, je n’ai pratiquement rien fait à part des jeux et des films. Anthony, lui, a commencé à se servir de son appareil photo. Il a aussi beaucoup lu le livre que nous lui avons offert, il s’essaie à fond dans la photographie.

Aujourd’hui, nouveau jour, je me suis levée vers 8H, plus en forme que les jours précédents. J’ai pris un bon petit déjeuner, et je dois dire que j’ai très faim. Je retourne à l’annexe où je trouve Anthony sur son ordi. Je lui demande si je peux entrer, il regarde les quelques photos qu’il a pris avec son appareil.

Je lui demande ce qu’il fait, Il me dit, qu’il essaie de comprendre toutes les façons possibles pour faire de belles photos. Je ne m’y connais pas du tout, mais je l’encourage, et pour moi, franchement, les photos qu’il a prises sont déjà très belles.

Nous discutons un bon moment, il me dit tout ce qu’il a déjà essayé en parcourant le livre. Je l’écoute longuement, je suis contente de voir comment ça le passionne. Il me demande si je veux l’accompagner pour prendre quelques photos, et franchement, oui, j’ai envie de sortir, de me promener.

Karine et Jordan, eux, ne sont pas d’humeur à bouger aujourd’hui, alors nous partons que tous les deux. Nous n’avons pas vraiment d’idée où aller, donc nous prenons le chemin pour aller à la rivière.

Arrivés à la décharge, Anthony observe, se positionne, prend une photo, puis une autre. De mon côté je le regarde faire, et en voyant le bus à côté, je ne peux m’empêcher de repenser à ce qui s’est passé ici avec Jordan.

Après quelques minutes, nous reprenons le chemin de la rivière. Nous nous arrêtons souvent, Anthony me parle de ce qu’il a lu, de ce qu’il a déjà essayé et autres. Je ne comprends pas tout ce qu’il me dit, mais c’est tout de même très intéressant à l’entendre. Tout ça me semble très complexe, et très technique pour prendre une photo. Je pensais réellement qu’il fallait tout simplement appuyer sur le bouton et le tour est joué.

Mais en écoutant Anthony, je me rends compte que c’est tout le contraire, il faut prendre en compte, la lumière, l’angle et beaucoup d’autres choses. Nous arrivons finalement à la rivière, et avec tous les arrêts, les photos prises, nous avons mis beaucoup plus de temps que d’habitude pour arriver jusqu’ici.

Je m’installe près de l’eau, le soleil me fait du bien malgré le froid, je repense à nos moments passés ici. J’ai hâte de revenir ici en été pour pouvoir me baigner, et partager d’autres moments avec les autres.

Anthony vient également se joindre à moi, il laisse un peu de côté ses photos, il me tend une bouteille d’eau. Il me fait remarquer que c’est la première fois que l’on se retrouve seul tous les deux loin de la maison. L’autre soir nous étions dans la chambre, mais aujourd’hui nous sommes loin des autres.

Je lui dis gentiment qu’il était très distant lorsque je suis revenue il y un an, j’avais moi-même encore un peu de mal pour me sociabiliser, et avec ce qu’il a vécu je le comprends tout à fait. Il me dit qu’il essaie de changer, mais que c’est très dur pour lui, surtout quand il semble en vouloir au monde entier.

Il sait que nous ne sommes en rien fautifs dans ce qui lui est arrivé, mais il me dit que le regard des autres est très difficile à ressentir. Qu’il a l’impression d’être jugé en permanence, d’être mis à part et abandonné. Ce qui est le plus difficile, c’est se dire que tout le monde à encore sa maman, et pas lui. Pourtant il sait que ce n’est pas toujours le cas, il sait que d’autres ont vécus la même chose, ou voir pire. Mais il ne comprend toujours pas pourquoi ça lui est arrivé.

Je reste silencieuse devant mon cousin, pour la première fois je l’entends me parler de ce qu’il ressent, de ses pensées, et ça m’attriste. Il me dit que lorsqu’il m’a revue, il ne s’est pas senti comme un étranger, qu’il avait quelqu’un dans la famille qui le comprenait, qui ressentait la même chose. Il sait qu’il a été très distant, mais c’est ce sentiment de lien qui l’a poussé et encouragé à changer.

Je suis contente d’entendre ses mots, de savoir que je suis une personne, vers qui il peut se rapprocher. Il reste silencieux un instant, puis je lui demande de me décrire comment était sa mère.

Son regard fixe l’eau qui s’écoule, puis un léger sourire se dessine sur son visage. Il me dit que sa mère était très belle, toujours là, à veiller sur lui, à ce qu’il ne lui manque rien. Il me parle de sa musique, de ses séries préférées, de sa façon de rire ou encore de le gronder quand il faisait des bêtises. Il regrette cependant comment il lui répondait par moment, à vouloir faire le grand et ne pas l’écouter.

Anthony arrête de parler, il est pensif, et je vois ses yeux briller, puis il me demande de lui parler de mon père. Je ne sais pas trop quoi lui dire, je n’ai que très peu de souvenir de lui, comme si, peu à peu il perdait la place qu’il occupait dans ma vie. Et je me demande d’ailleurs si j’avais une place dans la sienne. Partir comme ça du jour au lendemain sans donner une nouvelle, il y a de quoi penser que je ne représente rien pour lui.

Je lui dis que j’éprouve le même sentiment que lui, celui d’être abandonner, d’être une étrangère. Mais qu’il ne faut pas oublier que nous ne sommes pas seul, j’ai eu la chance d’avoir une mère aimante à mes côtés, je lui dis que malgré que son père ait encore de la peine, qu’il sera toujours là pour lui.

Après avoir longuement parlé, nous sommes restés ainsi, assis, sans bouger ni parler, à regarder l’eau s’écouler. Le ciel s’assombrit tout doucement, il ne vas pas pleuvoir, mais cela nous rappel à la réalité. Je pense qu’il est temps de rentrer, je me lève sans un mot, Anthony fait de même puis nous commençons à marcher doucement vers la maison.

Arrivés à la décharge je me mets à rigoler toute seule, Anthony me regarde, ne comprenant pas trop ce qui se passe. Je lui dis simplement que je me rappel de notre folle course jusqu’à la maison. Anthony se met à rire également en me disant que même s’il me donnait vingt secondes d’avance, je ne gagnerais pas.

A peine avait il finit sa phrase que je partais en courant, tout en comptant haut et fort, un, deux, trois….
J’essayais de mettre le plus de distance possible entre mon cousin et moi, arriver à vingt, je l’entendais crier derrière moi « j’arrive ! ».

Je donne tout ce que j’ai, je ne me retourne pas, je ne sais pas du tout si Anthony gagne du terrain ou non. Je cours aussi vite que je peux, je vois la maison, j’entends les pas de mon cousin se rapprocher. Il me dit que je suis trop lente, et je ne peux m’empêcher de rire, ce qui me fait ralentir d’ailleurs.

Mais la barrière est là, je tourne la tête, Anthony n’est qu’à quelques mètres derrière moi, je ne lâche rien, je donne tout dans un dernier effort, puis j’arrive la première. Je cris haut et fort ma victoire, puis je tente de récupérer mon souffle comme je peux. Anthony est là, aussi essoufflé que moi, il me félicite pour cette course.

Cette course nous à permis d’évacuer toute cette émotion partagée à la rivière, et franchement, à voir nos sourires, ça fait vraiment du bien. Anthony me tend la bouteille d’eau, je la vide entièrement puis nous avançons vers la maison.

Nous arrivons juste pour l’heure de manger, je dois dire que j’ai très faim. Tout le monde est là, ça parle de tout comme d’habitude, mais je n’écoute plus vraiment les conversations. J’ai trop mangé je pense, et pour le coup je me sens bien fatiguée.

J’attends le moment de débarrasser pour aider, cet après-midi, chacun à un programme un peu différent, une visite chez un ami, une balade en ville ou d’autres vont se reposer.

Avec Karine nous décidons d’aller en ville, je dois avouer que je prends le risque de monter une nouvelle fois dans la voiture de tante Claire. Mais pour être honnête, le trajet s’est plutôt bien passé. Une fois en ville nous nous promenons dans les rues, de boutique en boutique.

Nous continuons de marcher, nous sommes près d’un petit stand, lorsque j’entends une voix qui m’appelle. Je ne rêve pas, j’entends bien quelqu’un m’appeler, je me retourne et je vois Thierry qui s’avance vers moi.

Je suis surprise de le voir, et lui encore plus. Il faut dire que je ne lui ai pas envoyé de message depuis un moment. Nous parlons un petit peu pour se donner quelques nouvelles, mais ne souhaitant pas nous déranger, il nous quitte très vite.

Après s’êtres balader pendant près de deux heure, nous nous posons à une terrasse pour boire un verre. Nous discutons de tout et de rien quand un mec s’approche de nous. Tante Claire a eu du mal à le reconnaître, mais apparemment ils se connaissent. De ce que je comprends, ils étaient dans la même classe au collège. A regarder tante Claire, elle a l’air de vouloir échapper à cette discussion, elle ne sait pas trop quoi dire, et ne cesse de sourire pour rester poli.

Le mec s’appelle Thomas, il n’est pas méchant, mais semble un peu lourd. Surtout que sans rien demander, il commence à s’inviter et prendre une chaise. Honnêtement à ce moment là, il n’y a pas que tante Claire qui commence à être mal à l’aise. Il parle beaucoup et ne cesse de revenir sur la période du collège.

On ne sait vraiment plus comment s’en débarrasser, tante Claire commence à moins sourire, et j’ai peur de ce qui pourrait bien suivre. Heureusement pour nous, le téléphone sonne. C’est mamie au bout du fil qui lui demande de faire une course avant de rentrer. Thomas ne parle plus, mais semble ne pas vouloir lâcher tante Claire du regard. A peine a t’elle raccroché qu’elle mit fin à la conversation, que nous devons aller vite faire une course et tout.

Nous avons payés nos consommations et sommes partis assez vite. Je crois que Thomas voulait lui poser une question avant de partir, mais tante Claire ne lui à pas laisser l’occasion de s’exprimer. Nous sommes partis faire la fameuse course de mamie, puis nous sommes rentrés.

Mamie est surprise de nous voir déjà à la maison, surtout qu’elle avait dit que la course n’était pas urgente. Mais c’était pour nous la meilleure occasion de partir au plus vite.

Le reste de la soirée se passe normalement, petit dîné en famille et petite session film avec les cousins et Karine.
chapitre 72 image
Il est à peine 22H, quand nous passons tous à la douche un par un, mais avant mon tour, Jordan vient me voir dans ma chambre. Mon cousin me sourit, il à l’air hésitant, puis il ouvre mon tiroir, regarde à l’intérieur, avant d’en sortir une petite culotte en dentelle blanche, quasiment transparente tout autour.

Un souvenir d’un petit défilé entres mes amis et moi. Je lui souris à mon tour, comprenant qu’il n’à pas oublié ce petit jeu que je lui accorde. Je me dirige vers la douche, l’eau est chaude, ce petit moment me fait toujours du bien, je pense à beaucoup de choses, tout en me vidant la tête.

Un moment intime avec soit même, je suis toujours souriante en pensant à Jordan, qui doit m’attendre, impatient. Je finis de me doucher, me sèche, après quoi, je le retrouve dans sa chambre. Ma culotte est disposé sur son lit, mon cousin est assis devant moi, il me regarde attentivement.

Je saisis ce petit bout de tissu, un bien précieux pour Jordan, un moment excitant pour moi, puis doucement, dans des gestes lents, je lève mes jambes, ma culotte glisse parfaitement, je la remonte, ondule légèrement devant lui, jusqu’à la mettre entièrement. Une fois ma petite culotte enfilé, je me tourne sur moi-même pour lui montrer comment elle me va.

Ce petit jeu semble beaucoup lui plaire, ses yeux me fixent, son sourire en dit long sur son plaisir, bien que ça ne remplace pas vraiment ce que nous avons vécu. Mais il reste satisfait de voir en partie mon corps, même au travers de ces quelques bouts de tissu. Lors de ces moments, je ne contrôle plus rien, je suis comme guidée par mon excitation, comme un papillon attiré par la lumière.

C’est toujours après qu’un autre sentiment vient prendre place, je pense à Guillaume, et je commence à avoir une mauvaise opinion de moi. Je n’ai pas vraiment le temps de penser à tout ça, que nous nous retrouvons très vite dans la chambre de Karine, pour regarder un film sur son ordi. Mais difficile de choisir puisque nous avons déjà vus la plupart. Pendant la recherche et la suggestion d’un film, nous discutons un peu, ce qui me permet d’oublier peu à peu mes dernières pensées.

Au bout de dix minutes à chercher Karine semble vouloir lâcher l’affaire. Puis elle nous dit tout en rigolant que l’on pourrait regarder un film de cul. Nous ne savons vraiment pas quoi lui répondre, à part Jordan qui lui demande si elle a réellement des films comme ça.

Elle rigole toute seule en voyant nos têtes, surtout que c’est une proposition en l’air, puisqu’elle n’en a pas. Mais bon, elle ne sait pas du tout quoi mettre, et personnes n’a d’idée à proposer. Anthony nous dit que nous pourrions jouer à un jeu pour changer un peu.

Karine est partante mais elle ne veut pas aller chercher les jeux de sociétés qui sont à la maison. Jordan se propose donc d’y aller, toutefois, Anthony à une autre idée en tête. Il nous propose en montrant une bouteille vide, de jouer à action ou vérité.

Jordan est un peu perdu, tandis que Karine et moi rions. Ce jeu ne nous enthousiasme pas du tout, surtout que nous sommes jeune, donc peu de vécu, peu de vérité à avouer. Seul les actions pourraient êtres intéressantes, mais là encore, je pense que nous serons très vite à court d’idée.

Anthony avoue que son idée manque d’originalité, mais qu’il aurait aimé nous donner des gages bien sympas. Je suis curieuse de savoir ce qu’il avait en tête, je lui demande de nous donner un bref aperçu. Il pensait à des actions toutes bêtes, tel que faire des pompes, des acrobaties ou autres. En soit rien de vraiment extraordinaire surtout qu’il nous a déjà mis au défi de faire des choses bien plus coquines.

En parlant de nous mettre au défi, je me rappelle avoir gagné la course contre lui aujourd’hui. Il est d’accord, j’ai gagné, mais nous n’avons rien parié, et je dois avouer que je suis partie trop vite pour ça en effet. Je tente tout de même d’obtenir une récompense de sa part, et après lui avoir fait les yeux doux il finit par céder.

Je cherche alors une idée, quelque chose qui pourrait être sympa, mais je ne trouve rien. Karine me dit que je pourrais lui demander un massage. Je dois avouer qu’à ce moment là, des souvenirs de mes massages avec ma mère ont très vite refait surface, cela me plaît beaucoup et j’approuve de suite.

Sans trop y réfléchir d’ailleurs, car dans mes souvenirs, mes massages avec ma mère ce pratiquait nue, pour être plus à l’aise des deux côtés. Je ne pense pas que nous irons jusque là, du moins je l’espère, Anthony est d’accord pour me faire un massage, mais Karine ayant eu l’idée, en voudrait bien en avoir un aussi.

Anthony lui dit qu’il s’est engagé envers moi, surtout que cette course ne nous concernait que tous les deux. Mais il lui dit que Jordan pourrait très bien lui en faire un. Karine est partante, et pour l’occasion elle cherche dans ses affaires, pour en sortir le cadeau que maman et moi lui avons offert, c'est-à-dire, le panier d’huiles et de bougies parfumés.

Karine demande aux garçons de fermer leurs yeux afin de pouvoir nous mettre plus à l’aise. Je suis un peu gêné sur le moment, je pensais plutôt recevoir le massage au travers de mon T-shirt. Les garçons ayant fermés leurs yeux, je vois Karine retirer son T-shirt devant moi, pour se retrouver en petite culotte rouge, plutôt sexy d’ailleurs.

A ce moment là, j’hésite un instant, je pense à mon chéri, mais je dois avouer que la situation me plaît beaucoup, et commence à m’exciter. Je repense au massage que m’a fait Jordan une fois. Je voulais le provoquer, mais là je ne suis pas seule avec Jordan. Tout en regardant Karine devant moi, je fais alors de même, je me retrouve en culotte.

Karine me regarde attentivement en me souriant, j’oubliais alors le petit jeu avec Jordan, et la culotte qu’il m’a choisi ce soir. Je ne sais plus du tout ou me mettre, ma culotte est pratiquement transparente tout autour, seul mon intimité est caché par un petit triangle plus épais.

Je me dis que je peux aller me changer vite fait dans ma chambre, mais en voyant Karine me sourire et me faire un clin d’œil je ne pense plus à tout ça. Je la regarde attentivement, puis je comprends que sa culotte est pratiquement la même que la mienne.

Elle se tourne, sa culotte est en dentelle, et laisse également transparaître sa peau, mais beaucoup moins que moi. Ce moment là m’excite de plus en plus, je la suis, puis nous nous installons toutes les deux sur le lit. Karine nous choisi une huile parfumée à la lavande, l’odeur est douce et très agréable, et les garçons prennent places.

Il n’y a aucun commentaire sur ce qu’ils peuvent voir, j’avoue tout de même que j’ai très envie de savoir ce à quoi ils pensent à ce moment là.

Je me rends compte que l’idée de ma cousine est assez coquine en soit. Se retrouver toutes les deux en petite culotte uniquement devant Anthony et Jordan. J’ai déjà fait beaucoup plus avec Jordan, mais cette situation est particulière. Je ressens sur mon dos l’huile qui se déverse en petite goûte, puis les doigts de mon cousin qui viennent se poser sur ma peau.

Du bout de ses doigts, il étale lentement l’huile en faisant de petit cercle. Cela me donne un léger frisson, puis sa main se pose entièrement sur moi, et commence délicatement ce doux massage. Je jette un regard vers Karine, elle a les yeux fermés, elle semble apprécier ce que son frère lui fait. D’ailleurs en regardant vers Jordan, je le vois un peu gêné mais en même temps très attentif. Je me demande d’ailleurs ce à quoi peut bien penser Karine également, et ce qu’elle ressent au font d’elle.

Nous sommes toutes les deux allongées en petite culotte et l’ambiance est calme. Karine se redresse un peu pour prendre son ordi et cherche une musique apaisante. Dans sa façon de se tenir, les seins de ma cousine sont pratiquement visible de mon point de vue, les massages de mon cousin ce font moins précis. Je me doute bien qu’il doit regarder un peu la poitrine de Karine également, seul Jordan ne voit rien de là où il est.

La musique nous relaxe, tout comme le massage que nous recevons toutes les deux. Je me sens si bien, mais ce n’est pas le cas pour nos masseurs qui n’ont pas une position très confortable. Anthony me demande s’il peut s’installer sur moi pour être plus à l’aise, je lui dis que oui, et Karine autorise également Jordan à en faire de même.

Cette position change totalement leurs façons de nous faire ce massage, je dois dire que c’est beaucoup mieux. Je me laisse aller en douceur, au rythme de la musique ainsi qu’aux mains de mon cousin.

J’ouvre légèrement les yeux à un moment, je vois Karine qui se laisse complètement aller et Jordan qui semble faire des signes à Anthony. Je souris discrètement, en essayant d’imaginer ce qui peut bien leur passer par la tête.

Karine brise un instant le silence en demandant à son frère de lui masser le bas du dos, il s’exécute, mais en le voyant faire je sais qu’il est embêté par quelque chose. Je vois la main de Karine se diriger vers le bas, elle attrape doucement l’élastique de sa culotte, et l’abaisse légèrement.

En voyant le regard de Jordan sur sa sœur, je devine qu’il est totalement surpris, d’ailleurs, mon massage est également interrompu. Anthony est sûrement en train de regarder ce qui ce passe chez son voisin, alors je décide de lui demander la même chose, tout en abaissant également un peu ma culotte.

Qu’est-ce que c’est bon de se faire masser, cela m’excite de plus en plus. A un moment où Anthony s’est redressé, j’ai pu sentir sur le bas de mes fesses comme une forme. Je devine peu à peu que ce sont les bourses de mon cousin que je ressens là, elles bougent doucement contre mes fesses, et ça me mets dans un état…

Ma main vient abaisser encore un peu plus ma culotte, je sens que mes petites fesses ne sont plus totalement caché, bien que le tissu laissé déjà transparaître cette partie de mon corps.

Les mains d’Anthony viennent s’activer là où ma peau s’est dénudée et je dois avouer que c’est très agréable. Je repense au massage de ma mère, où elle avait clairement les mains posées sur mes fesses nues.

Karine demande à son frère de bien vouloir lui masser les jambes, sans attendre, Jordan se glisse plus bas et commence. Je n’ai pas besoin de le demander à Anthony, il se déplace également vers les bas et commence alors un massage sur mes pieds.

Je n’ouvre pas les yeux, mais je devine que les garçons doivent se dire des choses par leurs gestes ou leur regard. Doucement ils remontent sur les mollets puis les cuisses, alors Karine laisse échapper un petit gémissement.

De mon côté j’ai légèrement écarté mes jambes pour que mon cousin puisse s’installer au mieux. Je ne doute pas que son regard doit parcourir mon corps et surtout mes fesses et mon entre cuisse. Mais j’avoue que sentir ce regard sur moi, m’excite complètement.

Je sens les mains d’Anthony remonter encore plus haut, mais il semble timide et n’ose pas s’approcher de mes fesses. Pourtant j’ai très envie de sentir les mains de mon cousin se poser sur cette partie de mon corps. Je repense de nouveau au massage de ma mère, qui m’écartait mes fesses nue, je deviens totalement humide je le sens, mais, qu’est-ce que je fais là ?

Pourquoi est-ce que je me sens aussi excitée ? Je me suis complètement perdue, je pense à Guillaume à ce moment là, mais j’ai également envie de sentir les mains de mon cousin se poser sur mes fesses. C’est tout à fait contradictoire, j’en désire plus et en même temps je voudrais que ça s’arrête.

Les mains d’Anthony remonte lentement le long de mes cuisses, je sens une chaleur m’envahir un peu plus haut, je commence légèrement à gémir aussi. Mes pensées envers Guillaume se dissipent peu à peu, je ne sais plus quoi faire.

C’est Karine qui me sort de mes pensées, elle s’est légèrement redressée et retournée vers les garçons. Elle leur propose d’échanger les places et que ce soit à notre tour de les masser. Je dois dire que je suis surprise, tout comme les garçons, mais cette proposition tombe à point. Je ne savais plus du tout quoi faire, ni comment m’en sortir.

J’ai sûrement l’air un peu perdu, déboussolé, mais cette chaleur dans mon ventre est bel et bien présente.

Karine se redresse en cachant ses seins, et demande aux garçons de se mètrent à l’aise. Ils se redressent mais nous demande également de fermer les yeux. Karine ne comprend pas puisqu’ils vont simplement être en caleçon, qu’il n’y a pas de sein à cacher. Mais je rattrape le coup en disant à Karine de jouer le jeu, et je me sers surtout de ça comme prétexte, pour fermer les yeux et me changer les idées.

Ce fut un court instant, qui m’a au moins permis de me ressaisir. Les garçons s’installent à leur tour sur le lit, et nous nous mettons en place directement sur eux. Nous sommes toujours seins nus, nous avons donc donnés comme consigne aux garçons de ne pas ouvrir les yeux.

Karine : alors, c’est bien mieux qu’un film de cul et un jeu d’action/ vérité ahaha
Anthony : oui, mais dans un film de cul, on aurait vu des filles toutes nues
Karine : oui mais là, tu as tout de même eu deux jolies filles rien qu’en petite culotte
Anthony : pas faux, mais à action ou vérité peut-être que vous seriez vraiment nue ahaha
Karine : ahaha ne rêve pas trop mon cousin

Anthony rebondit très vite sur certaines situations je trouve, et Karine, elle, bien qu’elle soit très coquine et folle, arrive toujours à remettre les choses en place. Le massage des garçons ce fait dans le silence, seul la musique occupe la pièce.

Je suis installée sur Anthony, tout comme ma cousine sur son frère. En lui massant le dos, je ressens entres mes jambes cette sensation que je connais très bien, ma culotte est humide. Mais je suis gênée, je pense beaucoup à Guillaume, au fait que ces situations ne devraient pas m’arriver.

Je dois avouer que pour la suite, je n’étais plus trop dans l’ambiance. Mes mains ont bougés, elles étaient au contact, mais mon esprit lui était ailleurs. Je sais que je n’ai pas massé mon cousin comme il l’a fait pour moi, mais j’ai fait de mon mieux. Mes pensées sont troublées, ou plutôt dirigé vers Guillaume.

Il est pratiquement minuit lorsque nous terminons le massage, avec Karine nous remettons nos T-shirt avant que les garçons n’ouvrent les yeux. Ma cousine me regarde toujours avec un sourire coquin, je lui souris également, mais je ne dois pas afficher la même expression qu’elle sur mon visage.

Je regagne calmement ma chambre, prends mon téléphone pour en voir plusieurs messages de Guillaume, mais aussi un de Thierry…
chapitre 73 image
Je regarde avant tout les messages de mon chéri, il a également fait une soirée film avec sa cousine puis il est parti dormir. Je lui souhaite une bonne nuit mais je sais qu’il ne verra ce message qu’à son réveil.

Le message de Thierry, lui, je l’ai reçu il y a à peine cinq minutes. Il est très heureux de m’avoir vu aujourd’hui, bien que ça n’ai durée qu’un bref instant. Je lui réponds que je suis également contente de l’avoir croisé, et que je suis désolée de ne pas lui avoir envoyé de messages depuis un bout de temps.

Sa réponse arrive dans la minute qui suit, il pensait que je dormais déjà, pour le coup, nous nous mettons à échanger quelques messages, avant de me dire qu’il prend la route, et qu’il passera près de chez mes grands parents.

Je lui lance sans réfléchir que ce serait bête de ne pas en profiter pour se voir. Il est surpris, me demande si ça ne risque rien. Je pense qu’à cette heure là, tout le monde à déjà dû regagner sa chambre pour dormir. Donc non ça ne risque rien, mais je crois surtout avoir besoin de sortir pour me changer les idées.

Thierry me dit qu’il sera là d’ici dix minutes, ce qui me laisse le temps de m’habiller. Je sors de ma chambre, ouvre la porte de l’annexe et jette un œil vers la terrasse de la maison.

Personne, ouf, je ne voulais pas sortir et être vu. Je me dirige vers la route où j’attends Thierry comme d’habitude, puis je vois la lumière des phares arriver. Sans perdre de temps je monte dans sa voiture, nous voilà partis en direction du terrain privé de son ami.

Revoir cet endroit, me refait penser à cette nuit où j’ai découvert le plaisir que peut me procurer un cuni expert, je dois dire que ça me fait frissonner rien que d’y repenser. La voiture s’arrête, et la lumière s’allume.

Thierry : tu vas bien ? Tu m’as l’air ailleurs ?
Moi : non, enfin, oui ça va merci, je pensais juste à cet endroit et ce qui s’est passé
Thierry : ah, ok, ahaha, j’espère que ce sont alors de bons souvenirs
Moi : oh oui, ce sont de bons souvenirs, mais…
Thierry : Julia, je sais que tu as un petit copain, et je sais que tu es une fille bien, donc ne t’inquiètes pas, je ne ferais rien qui puisse te faire du mal
Moi : c’est gentil, vraiment, merci
Thierry : c’est normal, tu es une fille très sensible, et je sais que ton copain a de la chance de t’avoir
Moi : je ne suis plus très sûr de ça…
Thierry : oh, qu’est-ce qui te fait dire ça ?
Moi : je ne sais pas c’est dur à expliquer en fait
Thierry : j’ai bien senti dans tes messages que tu avais besoin de parler, donc si tu as besoin de conseils ou autres, n’hésite pas
Moi : je ne sais pas, je…
Thierry : tu peux me faire confiance

Je réfléchis un instant, je ne trouve pas les mots, ni comment je pourrais lui dire tout ça. Mais je sens une pression en moi, qui au fil des jours n’a fait qu’augmenter sans que je ne m’en aperçoive. Je cherche toujours mes mots, comme si je faisais une crise. Thierry est là, calme et silencieux, alors je prends une profonde respiration, et décide de lui raconter ce qui se passe dans ma tête.

Je lui dis combien je suis amoureuse de Guillaume, combien il me fait du bien rien que par sa présence, son sourire ou par ses mots. Mais d’un autre côté, je suis attirée, non pas par une personne, mais par le désir, le plaisir que certaines occasions me donnent. Je lui dis pour mes amis, les séances d’essayages, je lui dis également avoir découvert certains plaisirs avec mon cousin et ma cousine, que je tente aujourd’hui de contrôler et de limiter.

Mais j’avoue que je garde difficilement le contrôle, comme pour ce soir, lors du massage, où je me suis complètement laissé aller. Mon plaisir a pris le dessus sur moi, jusqu’à ce que je me mette à douter, et je m’en veux totalement.

Je continue dans mes aveux et je finis par lui dire surtout, mon plus gros secret, le lien particulier que j’ai avec ma mère. Je lui explique tout, sans entrer dans les moindres détails mais en lui donnant quelques uns pour qu’il comprenne bien la situation dans laquelle je suis actuellement.

Thierry m’écoute attentivement, sans me couper, il me pose juste quelques questions sur mon ressenti ou autres à divers moments de mon histoire. Je suis dans cette voiture à me livrer entièrement, il me faudra pratiquement quarante minutes pour tout lui dire.

Pendant tout ce temps il est resté là devant moi, à m’écouter, parfois surpris par certains aveux, parfois souriant. Au moment où je me suis arrêtée de parler, je baisse la tête, une larme vient couler le long de ma joue.

Je suis soulagée de pouvoir extériorisé tout ça, mais en même temps j’ai peur, je me sens mal d’avoir dévoilé ce secret entre ma mère et moi, de l’avoir trahi en quelque sorte. Je suis perdue, je ne sais plus quoi penser, alors que devant moi, une main me tend un mouchoir en papier.

Je le saisi, et relève la tête, Thierry me regarde en me disant que tout va bien, qu’il me comprend mieux, qu’il voit exactement la situation dans laquelle je suis. Il me tend également le reste du paquet de mouchoir, m’expliquant qu’il en a toujours avec lui, car ça lui arrive d’avoir des allergies sur les chantiers.

Il me dit que tout va bien, que tout ça restera entre nous, mais surtout le plus important, qu’il ne portera aucuns jugements sur mes actes, mes pensées, ma mère ou ma famille. Il me dit que je peux lui faire confiance, que tout ça ne change rien, surtout qu’il a aussi une part de responsabilité là dedans, vu notre différence d’âge.

Je tiens à le rassurer que je ne lui en veux pas du tout pour ce qui s’est passé, il le sait déjà, mais au moins les choses sont clair là-dessus. Il me regarde attentivement puis il me caresse la joue en me disant que c’est normal de me poser tant de questions. Il est content que j’ai pu me livrer ainsi à lui, ça lui permet de mieux me connaître, de comprendre par où je suis passée pour arriver jusque là.

Il me dit que ça ne change absolument rien de ce qu’il pense de moi, il continue de le dire, que je suis une fille bien, gentil, adorable à qui on s’attache très vite. Ses mots me vont droit au cœur, ma mère me le dit souvent, mais avoir une personne extérieure qui me le dit, ça me réconforte et me réchauffe de l’intérieur.

Thierry a une vision toute particulière de moi, il me dit que je suis timide de par ce qui s’est passé dans mon enfance suite au départ de mon père. Il comprend que je me sois isolée des autres pendant tout ce temps, mais le fait que ma curiosité des autres, ce soit éveillée au moment ou je découvre ma sexualité, c’est ce qui fait que je m’aventure toujours plus dans cette voix là.

Pour lui, il est difficile à partir du moment où l’on trouve du plaisir, de s’imposer des limites à notre découverte, et notre curiosité. L’homme est ainsi fait, il cherchera toujours à découvrir de nouvelles choses, à chercher les réponses et à aller toujours plus loin. Je suis pour lui tout ce qu’il y a de plus normal, surtout à mon âge.

Beaucoup auront des manières différentes de penser, certains pourraient voir cela comme quelque chose de malsain, d’autres seront sans doutes déjà aller plus loin, et d’autres encore m’accompagneront à leurs manières.

Il y a beaucoup de choses à découvrir, Thierry me dit que ma curiosité ne s’arrêtera sans doute pas là. Il sait combien je suis amoureuse de Guillaume, et au vu de mes limites que je me suis mise ces derniers jours, il sait que je n’irais jamais le tromper. Pour lui ce que je vis avec mes amis c’est ce qui crée un vrai lien.

Il est normal à notre âge de se poser des questions entres amis, de voir les avis des uns, des autres. Pour ce qui est des essayages, nous ne faisons que nous amuser, d’autres ont déjà vécu beaucoup plus que ça, et c’est ce qui renforcera notre lien d’amitié selon lui. Ils deviendront alors des personnes envers qui je pourrais avoir toute confiance, et qui ne me jugeront jamais.

Pour ce qui est de mes plaisirs avec Jordan et Karine, à moi de voir ce que je désire vraiment. Les limites que j’ai mise entres eux et moi, sont déjà une bonne chose selon lui. Il m’encourage d’ailleurs dans ce sens là, mais il ne doit pas y avoir de réels sentiments d’amour, ou cela risquerait de créer un scandale dans la famille si cela venait à s’apprendre.

Je le rassure que ce n’est pas du tout mon intention, mais je sais maintenant que c’est un risque, puisque Jordan a déjà développé pour moi certains sentiments. Je ne voudrais en aucun cas lui faire de mal, ni à Guillaume d’ailleurs.

En parlant de mon chéri, Thierry me dit que pour lui, tromper quelqu’un ce serait aller voir une autre personne. Mais là encore, ce n’est que sa manière de penser, parler à une personne, ou alors s’amuser entres amis comme je le fais ne constitue en rien une tromperie selon lui.

Mais il me conseil d’en parler avec Guillaume, pour avoir son avis sur le sujet, et ainsi je saurais quoi faire.

Au moment ou Thierry s’est mis à parler de ma mère, j’eu comme un nœud au ventre, mais il me rassure directement en me disant que cette relation nous appartient complètement et peu importe ce qui se passe, personnes n’a à intervenir.

Il connaît un peu ma mère, mais il ne pensait pas qu’elle était aussi ouverte d’esprit. Après ses réactions ce sont faites selon mon caractère et ma timidité, et peu à peu, cette relation a évolué, car elle aussi d’un certain côté, était curieuse.

Nous avons continués de parler, en revenant sur certains points et d’autres. En parler avec ma mère me fait beaucoup de bien, mais en parler avec Thierry c’est autre chose. Je trouve en lui un confident, avec qui je sais maintenant que je pourrais partager beaucoup de choses.

Moi : merci beaucoup
Thierry : c’est normal, et je serais toujours là si tu as besoin de parler ou autres
Moi : oui je le sais maintenant, et je suis désolée, j’ai beaucoup parlé ce soir
Thierry : ahaha ne t’en fais pas, j’ai aimé te revoir et t’écouter parler
Moi : tu ne t’attendais pas à quelque chose avec moi ?
Thierry : non pas vraiment, je sais que tu as un copain, et ce ne serait pas bien de ma part de te tenter
Moi : mais tu avais tout de même des pensées ?
Thierry : oui quelques unes, j’avoue. Mais suite à ce que tu viens de me dire, c’est mieux pour toi qu’il ne se passe rien
Moi : toi aussi tu es quelqu’un de très bien
Thierry : merci beaucoup (en souriant), bon je pense que ce serait mieux de rentrer maintenant
Moi : oula, oui, je n’ai pas vu l’heure, en fait je vois jamais le temps passer avec toi ahaha
Thierry : moi non plus je ne le vois pas passer

La voiture démarre, puis nous reprenons la route, direction la maison. Sur le chemin du retour nous parlons de tout et de rien, c’est arrivé seulement devant la maison que je me dis, que je n’ai pas eu assez de temps avec lui. Thierry me dit qu’il pourrait passer un autre soir pour me récupérer.

Je lui souris en lui disant que je serais très heureuse de le revoir. Je descends de la voiture puis je le regarde s’éloigner avant de rejoindre l’annexe. Il fait très froid, aussi je ne perds pas trop de temps pour rentrer, tout le monde dort, alors je rentre dans ma chambre sans faire un bruit, me déshabille et me plonge dans mon lit.

Dans ma tête je repense un peu à tout ça, à tout ce que je viens de livrer à Thierry mais aussi à ses mots. Sa façon de me comprendre me réconforte, je me sens alors plus légère, puis je m’endors paisiblement.
chapitre 74 image
Cette nuit, je me suis endormie comme une masse, je me réveille difficilement, la tête lourde. Il faut dire que je suis rentrée très tard, je ne sais pas combien de temps j’ai dormi, en tout cas personnes n’est venue me secouer.

Vu mon état de larve, je ne pense pas avoir eu mes huit heures de sommeil règlementaire, je prends mon téléphone, il est midi. Si je calcule, vu l’heure à laquelle je me suis couchée, ça me fait, hum, trois, quatre, cinq … et, bon je n’ai rien dis, j’ai un peu plus que mes huit heures.

Je me lève, m’habille, je passe par la douche pour que ma tête soit plus présentable. Arrivée à table, tout le monde est là, ma mère me demande si j’ai bien dormie, et à voir ma tête elle me dit que j’ai encore besoin de me reposer.

Je grignote à peine pendant le repas, je suis surtout fatiguée, et pensive je dois dire. Lorsque je regarde tout le monde autour de cette table, je me dis qu’ils n’ont pas l’air de ce soucier de quoi que ce soit, qu’ils ont de la chance. Mais en y repensant bien, chacun à son propre lot de problèmes à gérer, je suis encore très jeune, mes problèmes ont sûrement l’air insignifiant face à ceux de mes grands parents, mes oncles, mes tantes ou même ma mère.

Je me plains de ma petite existence alors qu’il y a sûrement pire ailleurs. Je me sens idiote, bête de me dire que je suis à bout avec de si petits soucis. Je termine de manger ce que j’ai dans mon assiette, tout le monde débarrasse et vont à leurs occupations.

Pour ma part je me dirige vers ma chambre, je suis encore fatiguée, mais j’ai surtout besoin de réfléchir seule, de mon côté. Je me déshabille, je me retrouve en T-shirt culotte pour être plus à l’aise. Je m’installe dans mon lit, je regarde sur mon téléphone, les photos de Guillaume et moi. Je me demande pourquoi est-ce que je me torture l’esprit comme je le fais.

Quelqu’un frappe à ma porte, je lui dis d’entrer, c’est ma cousine qui apparaît dans l’ouverture de la porte. Je l’invite à me rejoindre, elle voit très bien que je ne suis pas dans mon assiette. Elle s’allonge à côté de moi, puis m’enlace tendrement en déposant quelques bisous sur ma joue.

Elle me demande ce qui me chagrine, je tente de survoler le sujet en lui disant simplement que Guillaume me manque énormément. Elle comprend tout à fait que je sois folle amoureuse de lui, mais elle se dit que ce n’est pas tout. Elle creuse encore, et vient à me demander si ce qu’on a fait hier soir ne m’a pas gêné.

Je la regarde sans rien dire, elle sait qu’elle vient de toucher dans le mille, elle me dit avoir remarqué à la fin de la soirée que j’étais perdue dans mes pensées. Je ne peux plus le nier, je lui dis donc, que le massage d’Anthony m’avait perturbé, que je me suis sentie excitée sous ses caresses et que je me sens mal par rapport à Guillaume.

Je ne lui parle pas de ce petit jeu avec son frère, je ne sais pas comment elle pourrait le prendre, mais surtout je ne tiens pas à avoir plus de problème que ça. Elle me demande pardon, pour elle c’est de sa faute, l’idée du massage vient d’elle, et aussi le fait de se dévêtir.

Je lui dis qu’elle n’est en rien responsable, que je peux moi aussi dire non. Je lui dis m’en vouloir surtout de ne pas me contrôler lorsque je suis excitée. Karine me sert très fort dans ses bras, me dit que pour elle aussi par moment, elle ne contrôle plus rien lorsque l’excitation est trop forte. Elle sait donc de quoi je parle, et se met à ma place. Elle comprend que je sois amoureuse et perdu lorsque je me laisse aller à mes désirs.

Elle m’avoue que pendant les dernières vacances, son flirt avec Lucas était devenu bien plus pour elle. Au fil des jours elle en devenait accro, bien qu’elle m’ait dit le contraire, elle était amoureuse. Je me sens triste pour elle en entendant cela, et là où elle me comprend le mieux, c’est surtout sur le désir, l’excitation qu’elle trouvait ailleurs.

Ce n’est qu’après les vacances qu’elle s’est rendu compte de ce qu’elle faisait, qu’elle se laissait aller à ses désirs. Que son excitation la poussait aussi à faire des choses parfois insensées, comme prendre des photos en sachant très bien que son frère les verrait.

Je la regarde dans les yeux, je lui demande comment elle vit ça maintenant, si elle s’est posée des questions sur son comportement et autres. Elle s’allonge complètement, regarde le plafond puis rigole un moment avant de me répondre. Pour elle son comportement n’a en rien, blessé qui ce que ce soit, au contraire, elle vivait des moments forts avec Lucas, et elle trouvait nos jeux amusants.

Pour elle, si c’était à refaire, elle referait exactement la même chose. En y repensant bien, je ne regrette pas non plus ce qui a pu se passer durant ces vacances. Le seul hic pour moi maintenant, ce sont mes sentiments envers Guillaume, mais surtout la peur de lui faire du mal par mes actes.

Karine éclate de rire à mes côtés, puis elle me dit que nos jeux ne sont en rien une menace pour lui. Je ne comprends pas ce qu’elle veut me dire là…

Karine : bah tu ne vas pas tomber amoureuse d’Anthony, et larguer Guillaume ahaha
Moi : chut, tu parles trop fort
Karine : oh pardon
Moi : c’est sûr que ça ne risque pas d’arriver
Karine : ni avec moi d’ailleurs, et s’il venait à savoir ce qui s’est passé entres nous, je suis sûr qu’il serait très excité ton chéri ahaha
Moi : euh …
Karine : quoi euh ?
Moi : non rien c’est vrai, enfin je pense
Karine : ahaha pourquoi tu bafouille ?
Moi : pour rien
Karine : attend, tu lui as dis ?
Moi : non pas du tout
Karine : humm ok je te crois
Moi : je lui ai rien dis, je te jure. Mais c’est vrai que d’un côté ça l’excite
Karine : ahaha vas y dis moi

Je suis un peu mal en lui disant cela, mais d’un côté je me dis que c’est ma cousine, et vu tout ce qu’elle vient de me dire, je ne pense pas que ça puisse la gêner. Alors je me lance, je lui raconte mes échanges texto que j’ai eus avec Guillaume pendant qu’elle dormait nue à côté de moi.

Karine me regarde avec de grands yeux en me demandant si je suis sérieuse, puis éclate de rire. Elle me demande alors de lui montrer les fameux texto, ce que je fais. Elle est là, à côté de moi avec mon téléphone dans les mains, je vois ses yeux fixer l’écran, elle ne parle plus puis elle commence à sourire et pour le même coup, rire toute seule.

Je ne sais pas trop quoi dire, elle me redonne mon téléphone en me souriant et en déclarant que nous sommes mignons tous les deux. Elle comprend que je ne veuille pas lui faire de mal par des actes déplacés, il a l’air si gentil, et doux, mais elle remarque aussi le fait qu’il soit très coquin selon la situation.

Karine finit par me demander ce que nous avons déjà fait, comment il m’embrasse ou encore si j’ai déjà été plus loin. Jusque là nous n’avions pas eu ce genre de conversation toutes les deux, je me rappelle qu’elle m’avait partagé les moments vécus avec Lucas, alors je me dis que je peux faire la même chose avec elle.

Je lui raconte alors nos après-midi, comment il est timide et comment il se laisse de plus en plus aller. Je lui raconte en détail ce que j’ai fait avec Guillaume jusqu’à maintenant, sa façon de m’embrasser, de me toucher, de me regarder lorsque je suis nue devant lui. Il est timide c’est vrai, mais j’avoue à ma cousine, que j’ai été très surprise lorsqu’il m’a demandé de me masturber sur le plan de travail de la cuisine.

Karine est très attentive à tout ce que je lui dis, elle me demande les détails sur cette fameuse masturbation. Je lui raconte toute la scène, le plaisir que j’ai pu voir dans son regard.

Ma cousine rigole en me disant qu’elle ne s’est pas trompée sur le fait qu’il soit timide et très coquin. Mais pour elle, c’est aussi dû au fait que je lui dise, être capable de tout pour lui. Elle n’oublie pas de me rappeler, que je dois lui envoyer un message dès que j’aurais eu ma première fois.

Nous rions toutes les deux dans mon lit, je commence à être très fatiguée, alors Karine me dit qu’elle va me laisser me reposer tranquillement, avant de se lever pour repartir dans sa chambre.

Je me retrouve seule dans mon lit, je ferme les yeux tout en repensant à Guillaume, jusqu’à m’endormir. Cette petite sieste me fait le plus grand bien, lorsque je me réveille, je me sens beaucoup mieux. Je suis bien plus en forme, et ma tête est beaucoup plus légère.

Bon ce n’est pas comme si j’ai pu mettre un coup de balai sur mes problèmes, mais je me sens tout de même mieux. Je me lève, m’habille et me dirige vers la terrasse pour passer le reste de l’après-midi avec les autres.

Mamie a préparé quelques crêpes et gaufres, j’ai eu beaucoup plus d’appétit qu’à midi, du coup je me suis goinfrée. Nous sommes restés tous ensemble jusqu’à l’heure du repas, après quoi, nous sommes repartis avec les cousins et Karine vers l’annexe pour regarder un film.

Ce fût encore le même problème, quel film choisir ?

Et après quelques minutes à tourner en rond, je suis montée voir tante Claire, pour lui demander si elle a des films avec elle. Heureusement pour nous, oui, elle a un disque dur avec quelques films dessus.

De retour dans la chambre de Karine, nous cherchons un film sur le disque dur de tante Claire. Elle en a pas mal, et au moins ce sont des films que nous n’avons pas vus pour la plupart. Notre choix se porte sur un film d’horreur. Plongés dans le noir, nous avons eu pas mal de frayeur, mais aussi des moments de dégout en voyant certaines scènes.

A la fin du film, les garçons partent très vite dans leur chambre, pendant que je reste avec Karine. Je dois avouer qu’après un film de ce genre, je n’ai pas trop envie de dormir seule. J’envoie un message à mon chéri, en lui disant que j’ai peur, comme pour rechercher du réconfort.

Guillaume me répond dans la minute qui suit en me disant qu’il vient également de regarder un film d’horreur avec sa cousine. Je lui dis que je suis avec ma cousine, que je ne veux pas dormir seule. Je parle avec Karine tout en échangeant avec Guillaume quelques messages.

Puis je souris à un moment, car Guillaume me demande si je vais prendre ma douche avec ma cousine ce soir. Karine me regarde, me demande ce qui se passe, puis je la mets dans la confidence, et lui montre le message. Elle rit en lisant le texto, et me dit de lui répondre oui…

Guillaume : […est-ce que tu vas prendre ta douche avec ta cousine ce soir ?...]
Moi : […si tu veux oui, est-ce que ça te ferait plaisir ?...]
Guillaume : […j’avoue que oui, j’ai repensé à ce que tu as fais l’autre jour, et ça m’excite…]
Moi : […hihi tu es trop mimi mon chéri, tu as imaginé quoi d’autres ?...]
Guillaume : […j’ai relu nos messages, et je vous ai imaginé sous la douche, à vous laver l’une l’autre…]
Moi : [… ahaha petit coquin va…]
Guillaume : […désolé, je ne veux pas que tu me prennes pour mec bizarre…]
Moi : […non, au contraire, c’est coquin, j’adore…]
Guillaume : […c’était juste une pensée, je ne te demande pas de le faire…]
Moi : […je suis prête à tout pour toi, je vais voir ce que je peux faire 😉…]

Je n’ai pas besoin de tout répéter à Karine, puisqu’elle a regardé mes échanges de texto avec Guillaume. Elle me regarde en souriant, puis elle se lève, prend ses affaires et m’attends devant la porte.

Moi : […je vais à la douche avec ma cousine, je vais voir ce que je peux faire, et te raconte tout après…]
Guillaume : […tu es vraiment sûre de toi ?...]
Moi : […oui, je te laisse <3…]
chapitre 75 image
Je passe par ma chambre pour récupérer mes affaires, puis je me dirige vers la salle de bain avec Karine. Une fois la porte fermée, nous nous déshabillons, nous sommes toutes les deux silencieuse et partageons un sourire complice.

L’eau coule, nous la réglons à bonne température puis nous entrons toutes les deux. Je pense à mon chéri, je l’imagine, impatient de recevoir un nouveau message. Je suis déjà bien excitée, et cette fois, je n’ai aucune gêne ou autres, puisque cette situation vient de Guillaume.

Karine me regarde, puis elle me dit de me retourner. Ce petit jeu semble lui plaire, elle est totalement complice, je ne lui ai même pas demandé si elle voulait le faire ou non. Elle commence à me laver le dos, doucement, puis les épaules et franchement ça me fait du bien. Je me laisse aller à ses douces caresses, ses mains descendent le long de mes bras, puis passent vers l’avant. Elle me lave le ventre, puis remonte peu à peu vers ma poitrine.

A ce moment là je laisse échapper un petit gémissement, Guillaume a dû imaginer cette scène en se faisant plaisir, et je suis en train de la réaliser pour lui. Ma cousine vient poser sa tête sur mon épaule, puis me dit à l’oreille, que mon chéri est très coquin de nous imaginer ainsi.

Je me retourne, je fais face à Karine, qui a toujours les mains posées sur ma poitrine. Je prends un peu de gel douche, puis commence également à frotter ma cousine. Je lui frotte les bras, puis mes mains passent dans son dos, Karine se retrouve encore plus près de moi.

Je la regarde dans les yeux, puis elle me plaque contre le mur de la douche, avant de se rapprocher et de venir m’embrasser. Je suis complètement excitée, je me demande si Guillaume nous a imaginés ainsi.

Les lèvres de ma cousine sont douces, sucrées, très vite sa langue vient danser avec la mienne. Jamais je n’aurais pensé embrasser de nouveau ma cousine, surtout avec les doutes que j’ai eus depuis mon arrivée ici. Je me laisse complètement aller, bien que je pense encore à Guillaume, mais cette fois-ci, je savoure le moment.

Mes mains viennent à leurs tours sur les seins de ma cousine, je les caresses, doucement, tendrement au point de lui arracher un soupir. Elle se recule un moment, je lui dis que sa bouche est vraiment agréable, qu’elle m’avait beaucoup manquée.

Karine : ton chéri a imaginé que je te lave entièrement ?
Moi : je crois oui
Karine : humm alors retourne-toi…
 
Je me retourne et prends appuie contre le mur, Karine attrape de nouveau le gel douche, en déverse un peu dans sa main. Puis elle reprend ses caresses à partir de mon bas du dos, en passant par mes fesses, puis mes cuisses.

Je ferme les yeux, mon corps est comme électrisé, je ressens des frissons là, où ses mains se posent. Derrière moi, Karine s’accroupit, puis elle passe ses mains sur mes fesses en les écartant par moment. Cela m’excite complètement, et l’idée que ma cousine ait une vue directe sur mon cul et mon intimité, me rends folle.

Ses mains poursuivent leurs caresses le long de mes jambes, que j’écarte un peu pour lui faciliter le travail. Elle se redresse en remontant ses mains de mes mollets à mes cuisses, mais également sur mon intimité et entre mes fesses.

Ce dernier touché m’a complètement retourné, je laisse de nouveau échapper un gémissement. Je me retourne vers Karine, je prends en main le gel douche et commence à mon tour.

Je lui frotte le ventre, les hanches, puis je descends le long de ses jambes. Je suis accroupie face à son intimité entièrement lisse, je la regarde attentivement, ainsi que l’eau qui s’écoule sur sa vulve. Dans cette position mon visage n’est qu’à quelques centimètres de son sexe. Je suis tentée de me rapprocher, tentée d’effleurer et de goûter à ce fruit, mais je n’en fais rien.

Je remonte doucement, mes mains viennent prendre place entres ses jambes, que je caresse délicatement, ma main gauche remonte vers ses seins tandis que la droite, passe lentement sur son intimité. Si le mot d’ordre était de se laver l’une l’autre, alors je le fais volontiers, et ma main lui lave la vulve durant quelques secondes avant de remonter.

Karine prend appuie contre le mur en gémissant doucement, je la regarde dans les yeux. Elle semble avoir perdu légèrement l’équilibre après que ma main soit passée sur son sexe. Elle se redresse, puis vient de nouveau se coller à moi pour m’embrasser. Nos langues s’entremêlent, tandis que nos mains se posent sur nos fesses pour les caresser.

Nous sommes toutes les deux déconnectées du monde, je ne sais pas combien de temps nous avons mis sous la douche, mais je pense que nous sommes maintenant bien propre, et de la tête aux pieds.

Moi : je pense que l’on devrait s’arrêter là
Karine : oui, je pense aussi

Je savoure un dernier instant ses lèvres, puis nous sortons de la douche pour nous sécher. Ni l’une, ni l’autre ne prononçons un mot, seul nos regards se croisent en laissant paraître un sourire complice et satisfait.

Je ne sais pas si elle aurait voulu aller plus loin, je ne sais pas combien elle était excitée, mais ce moment a été magique pour moi, et je l’espère aussi pour elle. Nous n’avons pas été jusqu’à la jouissance, mais j’y ai pris énormément de plaisir sous ses caresses.

Une fois séchée et habillée, nous sortons de la salle de bain pour repartir dans la chambre de Karine. Je reprends alors mon téléphone, mon chéri a été du genre impatient en me laissant quatre messages.

Je n’ouvre pas de suite mes messages, je réfléchie un moment sur ce qui vient de se passer, Karine le remarque, et me demande si je suis préoccupée, si ce que je viens de faire me gêne.

Je la regarde et lui dit que non, que je me sens en fait très excitée que cela vienne de mon chéri. Pour lui c’est peut-être un défi, mais pour moi c’est un plaisir que je me suis défendue d’avoir depuis le début de mes vacances.
Karine me demande de regarder les messages, elle est aussi impatiente et semble encore vouloir y participer.

Guillaume : […d’accord <3…]
Guillaume : […toujours à la douche ?...]
Guillaume : […je n’en peux plus d’attendre lol…]
Guillaume : […mon cœur ? ça va ?...]

Nous rions toutes les deux dans la chambre en voyant les messages de Guillaume. Karine me dit de lui répondre, et en la voyant fixer mon téléphone, je comprends qu’elle est toute aussi impatiente de voir ce qui va suivre.

Moi : […je suis là mon cœur, ça va oui, pardon la douche a été longue…]
Guillaume : […ah, je me faisais du souci…]
Moi : […pourquoi du souci ?...]
Guillaume : […j’ai pensé que ta cousine l’avait mal pris, et… enfin un tas de choses…]
Moi : […ahaha rien de tout ça, au contraire, cette douche était superbe…]
Guillaume : […oh tu me racontes ? Vous vous êtes vraiment lavez l’une l’autre ? Comment tu lui as demandé ça ?...]
Moi : […ahaha ok je te raconte, je lui ai demandé si elle voulait prendre une douche avec moi, elle a dit oui. Sous la douche je lui ai demandé si elle voulait me frotter le dos, et ça s’est fait tout seul…]
Guillaume : […ça s’est fait tout seul, il y a eu plus ?...]
Moi : […ça t’excite ?...]
Guillaume : […oh oui grave, il y a eu plus ?...]
Moi : […petit coquin ahaha, elle m’a frotté le dos, les épaules, et aussi les seins, on a bien rigolé…]
Guillaume : […merde !!! pardon mon cœur, je suis sur le cul…]
Moi : […ahaha je suis prête à tout pour toi…]
Guillaume : […oui je sais, mais tu me surprends carrément. Et tu lui as aussi touché les seins ?...]
Moi : […ahaha oui, je l’ai lavé aussi, tu bandes mon chéri ?...]
Guillaume : […carrément oui…]
Moi : […hummm ça me plaît beaucoup ça, je commence à mouiller 😉…]

Karine à mes côtés rit en lisant nos messages, j’avoue avoir déformé un peu la réalité, mais c’est mieux ainsi pour Guillaume.

Guillaume : […tu es toute seule ?...]
Moi : […oui dans ma chambre, et toi ?...]
Guillaume : […dans mon lit, ma cousine dors je pense…]
Moi : […tu pourrais te caresser en pensant à moi hihihi…]
Guillaume : […j’ai la main dans mon caleçon oui, tu es toute nue ?...]
Moi : […oui, et je me caresse doucement…]

Karine me regarde en me traitant de mytho, nous rions toutes les deux et elle me dit que je dois faire exactement ce que je lui dis par texto. Je lui réponds que je ne suis pas dans ma chambre, elle me dit que ce n’est qu’un détail, mais pour le reste je dois être fidèle à ce que j’écris. J’adore ma cousine, son sourire coquin, et la situation m’excite terriblement, alors sans plus attendre, j’enlève tous mes vêtements et Karine fait de même.

Je la regarde puis je lui souris, nous nous allongeons toutes les deux côte à côte en lisant le nouveau message.

Guillaume : […tu me rends fou, rien que d’imaginer que vous vous êtes touchées les seins, woao…]
Moi : […hihihi, on a beaucoup rigolé dans la douche en le faisant…]
Guillaume : […dis moi, tu as déjà fais des choses avec ta cousine ? Autre que vous touchez les seins ?...]
Moi : […avant de te répondre, j’aimerais que tu te mettes nu aussi hihi…]
Guillaume : […je ne sais pas si ma cousine dors vraiment, comme elle tourne un peu…]
Moi : […fais le pour moi stp…]
Guillaume : […d’accord, voila, j’ai tout enlevé, mais je reste sous la couverture…]
Moi : […hummm, merci mon chéri. Alors oui je l’ai déjà embrassé, c’était pendant les dernières vacances, pour voir ce que ça fait…]
Guillaume : […woao, j’adore, ça veut dire que tu pourrais encore l’embrasser là ?...]
Moi : […ahaha je ne sais pas, c’était pour rire…]

Sans plus attendre, Karine se redresse, s’approche de moi, tout en déposant ses lèvres sur les miennes. Nous nous embrassons, totalement nue sur son lit, et mon cœur s’emballe de plus en plus. Ma cousine se redresse en me disant que c’est ce que mon chéri a demandé. Décidément, elle n’en loupe pas une, mais j’adore ça.

Guillaume : […ahahah, d’accord, c’est souvent des jeux entres filles ça on dirait…]
Moi : […oui, et ma cousine est plutôt folle, et joueuse, donc ça va…]
Guillaume : […toi aussi mon cœur tu es joueuse, et j’adore ça…]
Moi : […c’est normal, je suis folle de toi hihi <3…]
Guillaume : […moi aussi je suis fou de toi <3<3<3…]
Moi : […hihihi, tu te masturbe toujours mon cœur ?...]
Guillaume : […oui toujours, je t’imagine…]
Moi : […tu m’imagines faire quoi ? Dis le moi…]
Guillaume : […je t’imagine toute nue, dans ton lit, te masturbant, tu es si belle…]
Moi : […hummm, et qu’est-ce que tu voudrais que je fasse, pour te faire plaisir…]
Guillaume : […je ne sais pas…]
Moi : […dis moi ce que tu veux, n’importe quoi…]
Guillaume : [… je ne sais vraiment pas mon cœur, désolé, mais si ta cousine dormait déjà, peut-être que je t’aurais demandé de te masturber à côté d’elle. Comme l’autre jour 😉…]
Moi : […ahaha je vois, imagine moi alors toute nue, dans la chambre de ma cousine. Je me masturbe juste à côté d’elle, qu’est-ce qui te ferais plaisir ?…]

Karine, qui ne loupe rien de mes échanges avec Guillaume, me dit que nous sommes très coquins. Cette situation est très excitante pour moi, je me fais du bien avec mon chéri au travers des messages, mais également aux côtés de ma cousine pour combler les désirs de Guillaume sans qu’il le sache.

Guillaume : [… woa, j’aimerais alors que tu te touches en t’exposant face à elle, comme tu l’as déjà fait…]

Je me redresse alors sur le lit pour me mettre dans la position que Guillaume m’a indiqué. Karine, elle, reste toujours allongée, son regard fixant mon intimité, où mes doigts s’activent.

Moi : [… hummm j’adore ça mon chéri, imagine que je me masturbe face à elle…]
Guillaume : […hummm, tu es très excitante, mais qu’est-ce qui se passerait si elle venait à se réveiller ?...]
Moi : […pour de vrai, je ne sais pas, mais imagine qu’elle apprécie, et que je continue…]
Guillaume : […woa, mon cœur, je n’en peux plus, je vais lâcher…]

Tout en me touchant, je passe mon téléphone à Karine, pour qu’elle puisse lire les derniers messages. Elle sourit, puis se redresse pour se mettre face à moi. Je la vois écrire à Guillaume, puis elle me redonne le téléphone.

Moi : [… imagine que ma cousine se redresse, et se caresse face à moi…]
Guillaume : […oh mon cœur, je ne tiens plus, je vais lâcher…]
Moi : [… vas y mon chéri, je vais venir aussi…]

Je n’en peux vraiment plus, je me caresse face à Karine maintenant, en imaginant aussi Guillaume se faire plaisir. Nous essayons d’être les plus discrètes possibles, je vois également Karine se tordre de plaisir. Nous nous caressons de plus en plus vite quand je reçois le message de Guillaume. Il vient de jouir sur lui, je donne le téléphone à Karine, et toutes les deux nous jouissons pratiquement au même moment.

C’était complètement fou, je ne sais plus du tout où je suis, ni quelle heure il est. Dans ma tête il y a beaucoup de choses qui se mélangent. Guillaume, Karine, la douche, ma chambre, la cousine de mon chéri. Beaucoup d’élément me reviennent en tête, et j’avoue que j’ai pris énormément de plaisir.

Je ne suis pas du tout gênée de tout ce qui vient de se passer. Pour moi, j’ai pris du plaisir avec mon chéri, mais j’ai également alimenté toute cette imagination, tout cet échange par écrit par un plaisir réel avec Karine.

Je la vois nue devant moi, les jambes ouvertes, son sexe humide et ses doigts recouverts de son plaisir. Son visage me sourit, et je partage le même sentiment de satisfaction qu’elle.

Guillaume : […tout va bien mon cœur ?...]
Moi : […oui désolée mon chéri, j’ai jouie d’une force, que j’ai du mal à reprendre mes esprits…]
Guillaume : […hé bien toute cette imagination t’as énormément excité aussi on dirait <3…]
Moi : […oh oui, je ne pensais pas que c’était possible…]
Guillaume : […en tout cas, merci pour ce moment mon cœur, j’ai vraiment adoré…]
Moi : […moi aussi, j’ai beaucoup aimé le faire…]
Guillaume : […je vais essayer d’aller discrètement à la douche pour me nettoyer…]
Moi : […d’accord, je vais faire de même, et aller me coucher…]
Guillaume : […alors, bonne nuit mon cœur <3<3<3<3….]
Moi : […bonne nuit toi aussi <3<3<3<3…]

Je regarde de nouveau Karine, en la remerciant également pour ce moment. Elle me dit que la situation la vraiment excitée, qu’elle a prit beaucoup de plaisir à le faire. Je me lève du lit, j’attrape mes quelques affaires tombées au sol. J’ouvre discrètement la porte en souhaitant une bonne nuit à Karine, puis je regagne ma chambre toujours toute nue.

Une fois seule, je souffle, je me sens toujours autant excitée d’avoir vécu un tel moment. Je m’allonge dans mon lit, en ayant pris le soin de remettre mes vêtements. Cette expérience particulière est comme une exception à tout ce que j’ai vécu ses derniers jours. Je me suis tellement posée de questions, que j’en suis devenue presque malade.

Mais ce soir, je me sens comme libérée de mes chaînes, d’un poids qui pesait sur ma conscience. Je découvre que je peux avoir du plaisir, et suivre mes envies en incluant Guillaume dans ses situations. De plus cela décuple encore plus mon excitation, et par la même occasion ma jouissance.

Je finis par m’endormir paisiblement, le sourire aux lèvres en pensant à mon chéri, et à tout ce qui viendra…
chapitre 76 image
Ce matin j’ai du mal à ouvrir les yeux, ma tête est lourde, je pense que je n’ai pas assez dormie. Bien que je me sois endormie comme une masse, il doit me manquer facilement cinq heures de sommeil au minimum.
 
Je me retourne pour chercher mon téléphone, au même moment, quelqu’un toque à ma porte. Je n’ai la force de répondre que d’un « hummm », qui symbolise vraiment mon état de flemme et de fatigue.

Maman : ma chérie ? Tu dors encore ?
Moi : hummm… j’admire mon oreiller
Maman : hum ok, il est très beau oui, mais je pense que tu as assez dormie comme ça
Moi : il est trop bonheur
Maman : il est 12H30, tout le monde est debout, et sur la terrasse, sauf une marmotte
Moi : Karine est debout ?
Maman : oui, elle m’à dit que vous vous êtes couchés assez tard
Moi : oui vraiment tard, je peux dormir encore ?
Maman : non, allez lève toi

Je me redresse comme je peux, et ma tête ne doit pas être belle à voir, vu comment ma mère se moque de moi. Je prends un peu le temps, sinon je sens que je vais trébucher au premier pas. Ma mère vient s’assoir à côté de moi pour me faire un câlin. Je me lève enfin, mais je reste encore un peu perdue.

La tête lourde, je tente de trouver des vêtements pour me changer, tandis que ma mère reste assise sur mon lit. Je réussi à mettre la main sur ce que je recherche, puis commence à me déshabiller en retirant également ma culotte pour en mettre une autre. Elle me demande ce que nous avons fait hier soir pour nous coucher aussi tard. Je lui dis que je lui raconterais en détails, lorsque nous aurons notre moment à toutes les deux.

Ma mère remarque que ma culote retiré est légèrement marquée par une tâche humide, elle me sourit en me disant comprendre qu’il a dû se passer des choses durant cette nuit. Je me tourne face à elle tout en lui souriant, elle est là assise face à moi. J’adore son regard sur mon corps, il y a dans ses yeux de l’amour, de la fierté.

Elle me tend la main pour que je me rapproche, je suis toujours debout face à ma mère, et entièrement nue. Elle me saisie les deux mains, tout en me regardant de bas en haut, jusqu’à poser son regard dans le mien.

Maman : tu es très belle ma chérie, tu grandis si vite
Moi : merci maman, tu aimes ce que tu vois là ?

Ses yeux parcourent de nouveau mon corps, en détaillant mes seins, chaque centimètre de ma peau. Et lorsque son regard se pose sur mon intimité, je ne peux m’empêcher de ressentir un certains plaisir.

Maman : j’aime beaucoup ce que je vois là oui. On se voit souvent toute nue, mais je remarque qu’on ne prend jamais vraiment le temps de se regarder
Moi : c’est vrai oui
Maman : tu grandis si vite, je veux dire, tu deviens une jeune femme, et très belle en plus de ça
Moi : tu trouves ?
Maman : oui ta poitrine à changé, tes hanches également, et ça te va très bien.
Moi : merci
Maman : et tu as la peau si douce

Tout en me disant cela, ses mains ce sont posés sur mes hanches, une douce caresse s’en suit. Je lui caresse la joue et tout en se regardant je lui dis que je l’aime. Je me rends compte qu’elle a raison, on se voit souvent toute nue, mais on ne se regarde jamais vraiment. C’est la même chose concernant nos sentiments, elle sait que je l’aime plus que tout, qu’elle représente tout pour moi, mais je ne lui exprime jamais assez.

Ma mère me regarde, tout en me souriant me dit également qu’elle m’aime. Puis elle m’attire vers elle, et dépose un léger baisé sur mon ventre. Ses lèvres sur mon ventre me réchauffe, par l’amour qui s’y transmet, un léger soupçon d’excitation vient à son tour faire surface. Je suis nue, face à ma mère, ses mains qui me caresse la peau, et ses lèvres sur mon ventre.

Elle s’écarte de moi tout en me regardant, son sourire, est celui d’une mère heureuse. C’est un moment particulier entres nous, peu de personnes pourrait le comprendre. Je lui souris, puis je vois son regard qui se détourne, et c’est la surprise que je vois à présent sur son visage.

Maman : Anthony….

Je comprends alors que mon cousin est là derrière moi, dans l’encadrement de la porte, qui est resté ouverte. Je me retourne, surprise, en tentant de cacher mes seins et mon sexe avec mes mains. Dans ma tête, je me pose tout à coups des milliers de questions, depuis quand est-il là ? Qu’a-t-il entendu ? etc…

Mais le plus important, qu’est-ce qui se passe dans sa tête à ce moment là ?

Anthony : euh désolé, mamie m’a envoyé, pour voir si tout va bien

Ma mère s’est levée aussitôt pour fermer la porte, Anthony toujours présent derrière, dis encore être désolé. Maman réfléchie un instant, de mon côté je ne bouge plus, je sens comme une crise venir, mais je respire longuement afin de retrouver mon calme. Ce n’est franchement pas le moment de faire une crise de panique.

Maman : Anthony ?
Anthony : oui ?
Maman : tu peux remonter maintenant et nous laisser, on arrive
Anthony : d’accord, encore désolé
Maman : ça va aller

Ma mère s’approche de moi en me tendant mes vêtements pour que je les enfile. Je m’habille aussi vite que je peux, dans la chambre il n’y à pas un mot entres nous deux. Ma mère semble toujours réfléchir lorsque je lui dis que je suis prête, que nous pouvons rejoindre les autres.

Elle me demande si tout va bien, si je ne lui en veux pas d’avoir laissé cette porte ouverte. Je la rassure en lui disant que ce n’est en rien sa faute, que j’aurais dû m’habiller au plus vite, et surtout ne pas dormir aussi tard.

Ma mère n’est pas totalement rassurée, mais nous quittons tout de même la chambre pour rejoindre tout le monde sur la terrasse. Nous nous installons à table, papi m’accueille en s’écriant que la dernière marmotte est présente. Je rigole un peu gênée, tandis que je tente de regarder Anthony, mais il évite tout regard vers moi ou ma mère.

Nous déjeunons tous ensemble, tout le monde se parle, tout le monde à part, Anthony, ma mère et moi. Je me demande ce qui se passe dans la tête d’Anthony, j’espère qu’il ne va pas imaginer des choses bizarres, bien que je dois l’accorder, la situation dans laquelle il nous a surpris pouvait sembler bizarre.

Ma mère n’est pas du tout à l’aise, malgré le fait qu’elle essai de faire comme si de rien n’était. De mon côté je retombe à nouveau dans toutes ses questions qui m’entoure depuis le début de mes vacances.

Je ne dois pas faire machine arrière, je dois essayer de chasser tout cela de mon esprit, et de parler avec Anthony. Malheureusement, après le déjeuner, je n’ai pas l’occasion de me retrouver seule avec lui. Les heures passent, et bientôt nous allons chacun de notre côté pour nous préparer.

Mes grands parents ont prévu pour cette soirée du 31 de rejoindre des amis à une salle de fête. Dans ma chambre je prépare ma robe que j’ai gardée spécialement pour l’occasion. Ce n’est pas non plus une robe de princesse, mais j’ai décidé de la mettre pour cette soirée.

Dans le couloir pour aller à la douche je croise Anthony qui en sort. Je tente de lui parler un instant mais Karine sort au même moment pour se rendre également à la salle de bain. Tout en rigolant elle me dit que nous pouvons prendre cette douche à deux. Je n’ai pas de soucis avec ça, si ce n’est qu’Anthony me lança un regard.

Dans la douche pendant que je me déshabille, je repense à Anthony, sa façon de me regarder. Je ne sais pas du tout ce que je dois en penser, mais difficile d’avoir les idées claires avec Karine. Nous sommes toutes les deux sous la douche, elle me parle de cette soirée, qu’elle espère avoir beaucoup à manger et que la musique sera bonne.

Je réponds comme je peux, mais elle me voit ailleurs, intriguée par quelque chose. Elle tente de me réconforter en me disant que je ne dois pas me mettre dans cet état pour ce qu’on a fait hier soir. Tout cela en venant se blottir contre moi, une situation à laquelle je n’aurais pas dit non, mais cette fois-ci, je ne réponds pas à ces avances. Je la rassure, sur le fait, que je ne suis pas du tout inquiète pour ça, et lui dit simplement que je suis juste encore un peu fatiguée.

Karine me laisse alors tranquille, tout en continuant de parler. Elle espère également qu’il y aura des garçons plutôt mignons, avec qui elle pourra danser. Une fois notre douche terminée, nous regagnons nos chambres en serviette pour nous habiller. Nous avons prévu de prendre la route d’ici une heure, ce qui nous laisse largement le temps pour nous préparer.

Pour ce soir j’ai prévu une petite robe blanche, courte en dentelle, qui laisse mes épaules dénudées. Un passage rapide dans la chambre de ma cousine pour me coiffer, et me pomponner. Je suis encore avec ma cousine, lorsqu’on entend quelqu’un crier dans le couloir, que c’est l’heure d’y aller.

Nous voilà tous en voiture, je suis monté avec ma mère, tante Claire et Karine. Nous roulons pendant à peu près quarante minutes avant d’arriver. Il y à beaucoup de voitures, et le cadre semble tout simplement magnifique.

Nous sommes au bord du fleuve, je ne connais pas du tout l’endroit, mais l’air y est très frais. Nous nous dépêchons d’y entrer, pour trouver un peu de chaleur. Je ne me suis pas trompée, c’est vraiment magnifique, c’est en fait un restaurant au bord de l’eau, que l’on peut réserver pour des soirées comme celle-ci.

Nous payons chacun notre entrée, mais d’après ce que me dit ma mère, ce n’est pas très élevé, puisque que le plus gros de la réservation, et tout ce qui suit a été réglé en partie par l’association dont fait partie mamie. Il y déjà pas mal de monde à l’intérieur et d’autres encore arrivent.

Il y a beaucoup d’adultes, de personnes âgées mais aussi pas mal de jeunes, ce qui fera sans doute plaisir à Karine. Une personne nous installe deux tables, nous décidons de laisser les grands entres eux.

chapitre 77 image
Il y a déjà de la musique, mais encore personnes sur la piste de danse. Pour commencer la soirée, on nous sert une entrée et une boisson. J’avoue que c’est vraiment très bon, et j’ai hâte comme Karine de passer à la suite. L’ambiance se chauffe, le DJ invite tout le monde à danser, Karine ne tarde pas à se lever et m’entraîner par la même occasion.

Sur la piste nous sommes pas mal de jeunes, ainsi que quelques adultes. Bien sûr des échanges de regards entres Karine et certains garçons ne tarde pas à se créer. Pour ma part je ne suis pas du tout intéressée, car je suis en couple, mais aussi parce qu’ils ne sont pas du tout à mon goût.

Anthony et Jordan sont également avec nous, puis nous sommes rejoins par ma mère ainsi que tante Claire. Je dois dire que la musique et le fait de danser, me font le plus grand bien, je me vide complètement l’esprit, malgré toutes mes questions d’aujourd’hui.

Je m’amuse comme une folle, Jordan vient danser avec moi, puis je vois Karine avec un jeune. Tante Claire semble aussi en profiter pour se trouver un partenaire, et alors que je cherche ma mère, je la vois danser avec Anthony.

Peut-être une occasion pour elle de lui parler, ou je ne sais pas. Il me semble qu’ils ne font que danser. Les musiques s’enchaînent, je ne suis pas la plus grande danseuse qui soit mais je me lâche complètement, ce qui m’essouffle rapidement au point de ressentir l’envie de boire.

Pour les boissons, nous nous adressons directement au bar, où certains semblent avoir pris domicile. La soirée continue de plus belle, nous enchaînons entres les danses et les verres. Tante Sabine nous appelle pour nous dire que le plat principal est servi, sans plus attendre nous prenons place, puis le savourons.

C’est vraiment un délice, les assiettes sont très bien garnies, il y a une portion de tagliatelle, des coquilles Saint-Jacques, et un filet de truite accompagné de patate douce. Je regarde Karine qui n’en laisse pas une miette, les garçons aussi ont tout fini. Nous restons un moment à table, puis nous retournons nous amuser sur la piste.

La musique m’entraîne complètement, je me laisse aller tout en fermant les yeux par moment. Un garçon tente de se rapprocher de moi, enfin je crois que c’est son but, mais je ne fais pas attention et continue de danser. Au beau milieu de la piste de danse, Karine me demande de l’accompagner aux toilettes. Je la vois toute souriante, une fois aux toilettes, je lui demande comment ça se passe avec son partenaire de danse.

Karine : il est pas mal hein ?
Moi : ba ce n’est pas mon genre, mais oui il est pas mal si tu veux
Karine : il voudrait que l’on prenne l’air après, tu viens avec nous ?
Moi : tu es sûre de toi ? Je ne voudrais pas que ça se passe comme l’an dernier avec les deux cousins
Karine : non t’inquiète, et j’ai envie de m’amuser ce soir
Moi : t’amuser comment ?
Karine : je ne sais pas, on verra bien hihi
Moi : toi alors

Nous sommes toutes les deux en train de rire bêtement, tout en nous rafraichissons. Une fois passées aux toilettes, nous sommes sorties pour rejoindre ce partenaire ainsi qu’un de ses amis. Karine me présente à Julien, son partenaire, et Grégory, l’ami en question.

Ils ont tous deux 17 ans, et semblent amis depuis de nombreuses années, à les écouter parler. Nous sommes justes devant le parking pour que les garçons puissent fumer, ils nous proposent une cigarette par la même occasion.

Karine accepte volontiers de tirer une taffe, tandis que je refuse poliment. Les garçons nous posent pas mal de questions, d’où nous venons, ce qu’on aime faire dans la vie, et autres. Ils n’ont rien à voir avec les deux cousins que nous avons croisés l’an dernier.

Nous sommes tranquillement en train de parler quand un autre gars vient vers nous en courant. Il est essoufflé et semble connaître Julien et Grégory. On essaie de comprendre ce qu’il dit, mais rien à faire, le mieux est de le suivre. Nous longeons le bâtiment pour arriver sur un endroit en hauteur, et éclairé par les lumières du parking.

De là, il nous montre une voiture juste en dessous, tout juste à deux mètres de nous. Je regarde, je commence alors à voir ce qu’il y à d’intéressant ici. Il y à juste sous nos yeux, un couple en train de faire l’amour à l’arrière d’une voiture. Nous nous mettons à rire doucement devant la situation, grâce à la lumière juste au dessus de la voiture, nous arrivons à voir les fesses nues du gars aller et venir.

Aucun risque d’être surpris ici, nous sommes trop haut pour être vu, par contre, nous avons une vue plongeante sur l’arrière de la voiture. Très vite le couple change de position, la fille vient se placer au dessus de son homme, tout en reprenant un rythme soutenu du bassin.

Je dois avouer que la vision de ce couple commence à m’exciter, et j’envie beaucoup cette fille. Les garçons aussi ont l’air de s’en donner à cœur joie, à voir la scène se dérouler sous leurs yeux. Je regarde Karine avec qui nous échangeons des rires tout en s’attrapant la main.

Nous voyons à un moment l’homme se saisir de la robe, pour l’enlever complètement, et ainsi mettre à nue sa copine. Les garçons n’en loupe pas une miette et je dois avouer que moi aussi. Heureusement pour nous le couple ne semble pas faire attention à nos rires, sans doute couvert par la musique.

Par contre de leurs côtés, nous entendons clairement la fille gémir, tant elle prend du plaisir. Bien que ce spectacle me fascine je demande aux autres s’il ne serait pas mieux de les laisser tranquille. Mais les garçons semblent vouloir rester jusqu’au bout, afin de voir le visage de la fille, qu’ils trouvent, avoir un jolie cul, d’après eux.

Karine en lançant un léger coup de coude à Julien, lui fait rappeler nous sommes toutes les deux là, et qu’elle aussi à un jolie cul. Julien pour rigoler lui répond qu’il aimerait le voir de ses propres yeux pour en juger.

Sans se dégonfler Karine se redresse et soulève sa robe afin de dévoiler ses fesses un bref instant aux garçons. Les trois mecs sont là, à rire, et à se taper dans les mains en observant ma cousine. Puis elle baisse de nouveau sa robe pour se replacer comme si de rien n’était.

Je suis encore surprise par ce que ma cousine vient de faire, et nous nous mettons à rire toutes les deux. Sous nos yeux il y à du changement, l’homme toujours est toujours allongé, tandis que la fille se retourne pour nous faire face. Nous ne voyons toujours pas son visage caché par le toit de la voiture, mais nous voyons clairement son sexe imberbe, monter et descendre le long de ce sexe tendu.

Cette scène sous mes yeux me fait littéralement mouiller ma culotte. Le sexe de l’homme me parait long et large, et celui de la fille totalement dépourvu de poils. Julien n’en loupe pas une, en disant que cette vulve est magnifique, et tente même de demander à ma cousine, si elle souhaite dévoiler son intimité. Karine les regardes, tous attentif à sa réponse, puis elle leur tire la langue en leur disant que c’est beau de rêver.

Je suis au fond de moi soulagée de sa réponse, pendant un moment j’ai cru qu’elle allait le faire. Dans la voiture les gémissements ce font de plus en plus fort, et les vas et viens de plus en plus rapide. Très vite dans une série de cri intense, le couple se libère sous nos yeux, et quel spectacle. J’avoue que j’ai failli jouir aussi en regardant ce dernier acte.

Je demande de nouveau à tous si nous pouvons y aller, mais la réponse est toujours la même. Nous regardons le couple épuisé, heureux d’avoir pris autant de plaisir, puis l’homme retire de son sexe ce qui me semble être un préservatif. La fille de son côté cherche à remettre sa robe, mais elle semble ne pas y arriver dans cette voiture.

La portière s’ouvre alors, puis la fille en sort totalement nue, afin d’être plus à l’aise pour remettre sa robe. Elle est très belle, une belle blonde aux seins fermes. Nous sommes tous silencieux, nous risquons d’être vus à n’importe quel moment si elle lève la tête, puis dans un silence absolu j’entends…

Julien : Sophie !!

La fille est choquée d’entendre son prénom ainsi, alors qu’elle est encore nue, en train d’essayer de se rhabiller.

Sophie : putain Julien, mais tu fous quoi ici ? Et c’est qui tout ça ?

Julien sans tarder, saute la barrière pour arriver jusqu’à la fille. Je ne sais plus quoi faire, je sens seulement quelqu’un me prendre par le bras, pour me dire qu’il est temps de bouger. Nous marchons au plus vite, je peux entendre encore Julien demander des explications à cette fille. Karine et moi sommes perdus, et demandons à Grégory qui est cette fille.

Grégory : c’est la sœur de Julien…

Alors là, je ne m’y attendais pas du tout, je suis totalement surprise, et je peux voir la même réaction sur le visage de ma cousine. Grégory nous demande de rentrer rejoindre les autres dans la salle. Pour lui, Julien ne passera pas un très bon réveillon, inutile de l’attendre.

Je suis d’accord avec lui, je prends Karine par le bras pour rejoindre notre table. J’espère qu’elle n’est pas trop déçue, de ne plus avoir son partenaire de danse. Nous nous asseyons, elle me regarde d’un air toujours surprise, puis se met à rire. Je suis également surprise de sa réaction, puis je l’accompagne. Nous rions toutes les deux de la situation que nous venons de vivre.

Julien était là, à totalement délirer sur le cul et le sexe de cette fille, ne sachant pas que c’était sa sœur. Et de plus il en riait avec ses amis, mais maintenant, je pense qu’il doit bien l’avoir de travers.

Après avoir retrouvées notre souffle, Karine me prend par la main pour retourner sur la piste de danse. Je retrouve ma mère, ainsi que toute la famille, pour nous amuser et profiter. Très vite le DJ lance un compte à rebours, puis nous nous embrassons les uns, les autres en se souhaitant la bonne année.

Les restaurant à organisé un feu d’artifice qui est tiré sur le fleuve. La piste de danse est non couverte, ainsi nous avons une vue directe sur les lumières venant colorer le ciel. Je sens des bras chaleureux venir m’entourer, je reconnais là ma mère, nous regardons toutes les deux ce spectacle, jusqu’à sa fin.

Je regarde mon téléphone, il y à un message de Guillaume. Il me souhaite une bonne année, qu’il espère passer à mes côtés. Je le trouve trop mignon et lui réponds de suite, que je souhaite la même chose. La musique reprends de plus belle, je suis totalement libéré, heureuse de partager ce moment avec ma famille. Une nouvelle année s’annonce, je sais qu’elle sera riche en surprise et en émotion.

Il y de plus en plus de monde sur la piste de danse, les grands parents nous ont rejoints, nous nous amusons tous ensemble. Je danse avec Karine, Jordan et également ma mère que je serre très fort.

Les musiques défilent, le reste de la soirée est passée à une vitesse, petit à petit les gens partent. Il est temps pour nous d’en faire de même, puis nous embarquons dans les voitures. Je suis comme au départ avec Karine, ma mère et tante Claire.

Karine me dit à l’oreille que ça lui rappelle de bon souvenirs, il y à de nouveau une couverture qu’elle dispose sur nous. Dans la voiture tante Claire et ma mère discute, pendant que Karine vient se blottir contre moi. Elle me parle à nouveau de la soirée et de ce moment de voyeurisme. Je lui avoue avoir eu un doute au moment où Julien l’a taquiné pour voir son intimité. Elle me dit avoir été tenté de se dévoiler, mais elle ne voulait pas nous mettre dans une situation, dans laquelle, elle ne saurait nous en sortir.

Nous continuons de discuter, elle semble légèrement excitée, mais ni l’une, ni l’autre ne tiendrons plus longtemps, avant de s’endormir tout le long du trajet. Ce n’est qu’arrivées à la maison que nous nous réveillons.

Un passage rapide à la douche pour aussitôt rejoindre nos chambres et de nouveau nous rendormir. Je crois que j’ai beaucoup de sommeil à rattraper, de plus, avoir dansé toute la nuit m’a complètement achevée.
chapitre 78 image
J’ai vraiment passé une belle soirée, un nouvel an chaleureux, rempli de bonheur et de surprises. Je me réveil doucement, la tête encore lourde, fatiguée. Mais j’ai l’impression de ne pas avoir assez dormi, alors je me laisse encore aller dans un sommeil profond.

Je ne sais pas du tout quelle heure il est, ni si les autres ce sont déjà réveillés ou non. Cette fois-ci, mes yeux s’ouvrent plus facilement, à la fenêtre la lumière du soleil éclaire très bien la pièce. Je regarde mon téléphone, il est pratiquement 13H, je vois également quelques messages.

Mes amis me souhaitent une bonne année, Nora également m’a envoyé un message, tandis que Guillaume me couvre de bisous par millier dans les siens. Je prends le temps de répondre à tout le monde, puis je me lève, m’habille, me lave le visage, et me dirige vers la terrasse.

Les grands sont tous à table, les cousins et Karine dorment sûrement encore. Je prends place et avale un petit déjeuner, bien que je n’aie pas très faim. Tout le monde semble être réveillé depuis pas mal de temps, mais la fatigue se lit sur leur visage.

Je reste à table avec tout le monde, tandis qu’arrive un par un, Jordan, Karine puis Anthony. J’essaie de croiser parfois le regard d’Anthony, mais rien n’y fait. Il ne parle pas trop comme à son habitude, il n’y a peut-être pas de quoi s’inquiéter, mais au fond de moi, je ne peux m’empêcher de me poser des questions.

Pendant l’après-midi, à jouer à quelques jeux de sociétés, je réussis tout de même à avoir son attention, mais cela ne dure qu’un bref instant. Vers 17H nous arrêtons nos parties pour aller chacun à ses occupations, de mon côté je reste avec ma mère.

En me voyant elle sait que je suis soucieuse, elle devine très vite quelle en est la cause. Nous sommes toutes les deux dans sa chambre puis elle commence à me dire, que je ne dois pas me tracasser l’esprit comme je le fais.

Hier soir pendant leurs danses, ma mère et Anthony ont quelques peu échangés sur l’incident. Anthony s’est excusé encore une fois auprès de ma mère, elle l’a rassuré sur le fait qu’il n’avait rien fait de mal. Elle aurait voulu pouvoir en discuter plus longuement avec lui, cependant ce n’était ni le moment, ni le lieu pour avoir ce genre de discussion.

Elle me dit de ne pas me soucier d’avantages, ce sont des choses qui peuvent arriver, que l’occasion arrivera tôt ou tard pour parler de tout cela. Je lui fais confiance, ma mère a toujours les mots pour me réconforter, aussi je reste avec elle a discuté jusqu’à l’heure de dîner.

Une fois le repas avalé, je me dirige vers ma chambre, mon téléphone en main je discute avec Guillaume de nos soirées. Je lui raconte en détail ce que j’ai pu voir dans cette voiture, mais surtout la fin de cette histoire. De son côté sa soirée s’est déroulée de façon normale, sa cousine a eu beaucoup de succès auprès des garçons présents.

Il y a eu une fille qui est également venu l’inviter à danser, je ne m’attendais pas du tout à ça. Ce petit détail me fait légèrement sourire, surtout le fait qu’une autre fille trouve mon chéri mignon au point de vouloir danser avec lui. Mais je ressens surtout une pointe de jalousie, au point de lui demander des détails concernant cette fille.

Je voulais tout savoir d’elle, son nom, son âge, une description physique totale, mais Guillaume n’a vraiment rien retenue d’elle. C’est la première fois que je me sens ainsi, jalouse d’une autre. Je ressens aussi une peur, la peur de perdre Guillaume à cause d’une autre. Il l’a très bien senti dans mes messages, il me rassure comme il peut et s’excuse par la même occasion. Il voulait me raconter sa soirée sans rien me cacher, mais il ne pensait pas que je réagirais ainsi.

Je dois dire que moi non plus, je ne me suis pas rendue compte de l’état réel dans lequel j’étais. Je relis alors nos messages, essayant de chercher encore plus de détails qui m’auraient échappé. C’est là que je remarque à quel point, je suis sèche, voir méchante dans certains messages.

Je suis surprise de la réaction que j’ai eue, alors que je sais parfaitement que je ne suis pas blanche comme neige. Tous ces moments avec mes cousins et ma cousine, mes doutes, mes désirs alors que je suis avec Guillaume, et je me permets d’être jalouse d’une fille, pour une danse.

Je me dis que je ne suis pas bien du tout, réagir de la sorte alors que Guillaume n’a vraiment rien fait de mal. Je m’excuse auprès de lui dans mon message, si j’ai pu paraître jalouse et méchante. Il me répond que c’est normal, qu’il aime d’un côté ma réaction, qu’il trouve mimi selon lui. Je tiens vraiment à lui, je ne voudrais pas le perdre, ça me détruirait totalement, je le sais.

L’heure passe, nous commençons tous les deux a être fatigués, je m’excuse encore de ma réaction puis je le quitte en lui souhaitant bonne nuit, mais surtout en lui envoyant des cœurs à n’en plus finir. J’éteins ma lumière, me tourne dans mon lit, je repense encore malgré tout à cette fille, au danger qu’elle représente, mais surtout à tout ce film que je me fais.

Je suis fatiguée, mais le sommeil ne va pas m’emporter de si tôt, non je suis encore un peu sur les nerfs. C’est tout nouveau pour moi ce que je ressens là, je finis par me lever, me passer quelques vêtements chaud, et sortir pour faire un tour.

J’ai besoin de respirer de me changer les idées, je marche un peu dans le noir ne sachant pas vraiment où aller, puis je sens une odeur, une odeur de cigarette.

Claire : hey bien tu vas où comme ça ?
Moi : oh pu... tu m’as fais peur ! Qu’est ce que tu fais assise ici dans le noir ?
Claire : ça ne se voit pas ? fuuuu…
Moi : oui pardon, c’est juste que j’aie eu très peur
Claire : qu’est ce que tu fais dehors à cette heure-ci ?
Moi : j’avais besoin de prendre l’air en fait
Claire : oh, une prise de tête avec ton chéri ?
Moi : non tout va bien, c’est juste que j’ai mal réagi à propos d’une fille, et que je me trouve ridicule
Claire : humm, vas y, assied toi, et raconte moi tout

Me voilà pour le coup assise avec tante Claire dans le noir, à lui raconter ce pour quoi j’ai du mal à trouver le sommeil. J’avoue qu’en lui racontant cette histoire, je me suis emportée, je faisais des gestes dans tous les sens, tandis qu’elle continuait de fumer calmement.

Claire : humm, fuuu, tu me fais trop rire ahaha
Moi : et pourquoi ça ?
Claire : crois moi, ce n’est pas la première, ni la dernière fois que ça t’arrivera
Moi : mais je ne veux pas être comme ça
Claire : et pourtant c’est une réaction tout à fait normale
Moi : mais Guillaume n’est pas jaloux lui
Claire : il l’est sûrement, seulement il n’a pas encore éprouvé ce sentiment
Moi : mais je me trouve ridicule d’être jalouse d’une fille pour une simple danse
Claire : humm, fuuu, après c’est tout nouveau pour toi encore, mais avec le temps, tu apprendras
Moi : à t’écouter parler, on croirait que tu n’es pas jalouse
Claire : oh si, j’étais comme toi avant, à m’emporter pour un rien, un regard, une danse, un appel
Moi : et maintenant ?
Claire : maintenant, je me limite à des plans culs, pas de sentiments, pas de jalousie
Moi : et ça marche ?
Claire : dans l’ensemble oui, sauf si je croise mon plan cul à une soirée avec une meuf
Moi : ahaha, c’est nul alors
Claire : c’est pour ça que je te dis que ce ne sera pas la première, ni la dernière
Moi : je comprends oui
Claire : tiens petite question, tu m’as dis que ta mère est sur un site de rencontres, ça ne te fait rien ?
Moi : non pas vraiment, je suis contente pour elle
Claire : mais genre, elle a déjà rencontré un mec pour de vrai ?
Moi : quelques un oui
Claire : ouuuuh, je ne pensais vraiment pas ça de ma sœur ahaha
Moi : pourquoi ?
Claire : hey bien, quand j’étais petite, elle était si sérieuse, fais pas si, fais pas ça, le portrait craché de ta mamie
Moi : ah d’accord, je vois
Claire : mais maintenant si elle en profite, je suis contente pour elle
Moi : oui je suis contente aussi
Claire : bon ça va ? Ta crise est passée ?
Moi : oui je vais beaucoup mieux, merci
Claire : aller on rentre, il commence à faire trop froid pour moi

Sur ces mots nous revenons toutes les deux vers la maison, nous nous souhaitons bonne nuit, puis je regagne ma chambre. Avoir pris l’air, ainsi que d’avoir parlé avec tante Claire m’a fait du bien, ça m’a changé les idées. Je m’allonge dans mon lit, je ne pense plus à rien à part Guillaume, je vais sûrement encore être jalouse de certaines filles à l’avenir, mais je souhaite vraiment ne pas en arriver là, du moins, pour ne pas que je m’en prenne à mon chéri.

Doucement je commence à m’endormir, cette fois-ci, je ne vais pas lutter plus longtemps. Je me laisse complètement aller en ne pensant plus qu’à Guillaume.
chapitre 79 image
Ce matin je me réveille en sursaut, c’est un bruit qui m’a sorti de mon sommeil. Je cherche à comprendre ce qui vient de se passer, puis je me dis que c’est la porte de l’annexe qui vient s’en doute de claquer.

Ça m’a foutu une de ces peurs, mais pour le coup je suis réveillée, et je dois avouer que j’ai plutôt bien dormi cette nuit. Je suis allongée tout en regardant le plafond, pensive, me remettant un peu en question sur ce qui c’est passé ces derniers jours.

Bien que j’ai installé certaines limites avec Jordan et Karine, je me suis permis d’en franchir quelques une par l’intermédiaire de messages avec Guillaume. Alors qu’ hier, je me mise à jouer la petite copine jalouse, pour une danse entre mon chéri et une autre fille.

Je ne dois pas être tout à fait normale pour réagir de la sorte, je dois essayer de changer ça. Surtout que Guillaume aurait sans doute plus d’une chose à me reprocher, s’il apprenait tout ce que j’ai fait.

Je me mets à imaginer sa réaction, sa surprise, sa colère, ou encore son jugement. Il m’interdirait à coup sûr de revoir mon cousin, ou même mes amis, s’il ne me quitte pas sur le champ. Je me fais peur toute seule là dans mon lit, à imaginer tout ça.

Je me tourne alors, prends mon téléphone, il est 8H30 et j’ai déjà un message de Guillaume. Je lui réponds de suite en espérant qu’il ait son téléphone avec lui. J’ai envie de lui parler, besoin, de lui parler.

Je reste silencieuse, attendant son message, je ne lâche pas l’écran des yeux, impatiente de voir sa réponse, de sentir mon téléphone vibrer, sonner. Je commence sérieusement à me poser des questions, quand sa réponse arrive enfin.

Guillaume : […tu es déjà debout ?...]
Moi : […oui, la porte du couloir à claquer, et ça m’a réveillé…]
Guillaume : […ahaha sans ça tu ferais encore la limace…]
Moi : […je ne suis pas une limace d’abord…]
Guillaume : […je te taquine lol…]
Moi : […tu sais j’ai eu peur :’(…]
Guillaume : […à cause de la porte ?...]
Moi : […non je me suis réveillée, et j’ai pensé à la crise de jalousie que je t’ai faite hier. J’ai peur que tu me quittes maintenant…]
Guillaume : […oh mais non mon cœur, je ne vais pas te quitter juste pour ça…]
Moi : […mais je suis une mauvaise copine non ?...]
Guillaume : […loin de là, et je trouve ça mimi que tu sois jalouse…]
Moi : […pfff, n’importe quoi…]
Guillaume : […si je t’assure…]
Moi : […mais si c’était moi avec un autre garçon, tu serais jaloux aussi ?...]
Guillaume : […peut-être je ne sais pas…]
Moi : […comment ça tu ne sais pas ?...]
Guillaume : […hey bien ça dépend, si c’est qu’une danse non, s’il y a plus, alors oui…]
Moi : […tu sais il y a une chose que je dois te dire…]
Guillaume : […ah bon ? c’est quoi ?...]

Je me suis lancée sans trop réfléchir dans ce dernier message, une phrase qui peut dire énormément de chose. Je ne peux plus reculer, ni trop lui mentir, il s’en rendrait compte de suite, alors je décide de lui avouer une vérité, parmi tant d’autres.

Moi : […l’autre jour dans la voiture, j’étais assise sur les jambes de mon cousin, faute de place. Et je l’ai senti bander, sous mes fesses…]
Guillaume : […ok…]
Moi : […ok ? je te demande pardon, je n’ai pas voulu que ça arrive, je te jure…]
Guillaume : […hey calme toi ça va aller, je dois t’avouer une chose aussi…]
Moi : […euh oui ?...]
Guillaume : […il m’est arrivé la même chose aussi, avec ma cousine…]
Moi : […ah bon ?...]
Guillaume : […oui, tu ne m’en veux pas, j’avais tellement peur de te le dire…]
Moi : […euh, si tu n’es pas colère contre moi, alors je ne vois pas pourquoi je le serais contre toi…]
Guillaume : […oui mais ce genre de chose, on ne le contrôle pas, et j’avais peur que tu me fasses une autre crise de jalousie…]
Moi : […je m’excuse encore pour ça, et je sais, j’ai bien compris avec mon cousin que c’est difficile de vous contrôler…]
Guillaume : […je suis soulagé, et en fait, tu n’es pas si jalouse que ça…]
Moi : […pourquoi tu dis ça ?...]
Guillaume : […parce que tu n’as pas fais une crise de jalousie quand je t’ai avoué ça…]
Moi : […mouais, pas convaincue…]
Guillaume : […tu sais mon oncle, sa nouvelle copine est tout le temps jalouse pour n’importe quoi, et elle l’engueule tout le temps. Alors je suis sûr que toi, tu n’es pas jalouse...]

Je réfléchis un instant à ce qu’il vient de me dire là, et c’est vrai que j’ai été un petit peu jalouse, mais pas au point de lui pourrir la vie.

Moi : […tu sais j’ai hâte de te revoir…]
Guillaume : […moi aussi mon cœur, j’ai hâte…]
Moi : […j’ai envie que tu me prennes dans tes bras, et que tu m’embrasses…]
Guillaume : […moi aussi j’ai envie de sentir tes lèvres…]
Moi : […tu les sentiras mon chéri, et partout, partout hihi…]
Guillaume : […humm partout ?...]
Moi : […oui partout, sur tes lèvres, ton torse, tes abdos, et surtout ton sexe humm…]
Guillaume : […humm j’ai hâte, mais arrête mon cœur, tu commences à trop m’exciter là…]
Moi : […oh pourquoi ? tu ne veux pas que je te fasse plaisir là ?...]
Guillaume : […en fait je ne suis pas tout seul, je suis en voiture, avec la famille…]
Moi : […ah mince, lol et dis moi alors, ta cousine est sur tes genoux en ce moment ? 😉…]
Guillaume : […ahaha heureusement que non, sinon ce serait bizarre…]
Moi : […plus bizarre que ma cousine et moi sous la douche pour t’exciter ?...]
Guillaume : […ok j’avoue, tu es coquine, et tu vois que tu n’es pas jalouse ahaha…]
Moi : […c’est vrai, je trouve ça très coquin…]
Guillaume : […tu es ma coquine <3…]
Moi : […d’accord, je te laisse alors profiter de ta famille…]
Guillaume : […merci, bonne journée mon cœur…]
Moi : […bonne journée mon chéri, amuse toi bien <3<3<3]
Guillaume : […<3<3<3]

Tous ces messages m’ont fait comprendre à quel point Guillaume est doux, attentionné et gentil avec moi. Je suis allongée dans mon lit, regardant le plafond, mon cœur bat très fort dans ma poitrine, comme si je venais de prendre du plaisir. Je ressens quelque chose de fort en moi, comme si je suis persuadée d’une chose, en fait, tout au fond de moi, je sais maintenant à quel point je l’aime.

Mon cœur bat toujours très fort, j’ai envie de le crier sur tous les toits, surtout à Guillaume en premier. Mais je ne sais pas comment le faire, par message ?

Non, ce serait juste bizarre un mot sur un écran, dans une lettre lui expliquant tout ce que je ressens ?

Non plus, on revient à un mot, qu’il soit sur un écran ou un papier, pour moi il sera dépourvu d’émotions. Je crois que le mieux serait de le lui dire en face, oui, rien que tous les deux. Là, je pourrais lui dire tout ce que je ressens pour lui, mais surtout la peur de le perdre.

J’imagine nos retrouvailles, j’imagine comment je peux lui dire tous ces mots, tout ce qui est important pour moi. Je suis là, à contempler le plafond quand quelqu’un frappe à ma porte. Puis dans l’ouverture, je vois le visage de Karine.

Karine : tu ne dors pas ?
Moi : non, depuis un moment, en fait depuis que la porte a claqué
Karine : oh désolée, c’était moi

Karine s’installe sur mon lit en me demandant si je veux monter prendre le petit déjeuner. Toute la famille voudrait sortir profiter de cette dernière journée ensemble, avant de repartir chacun chez soit demain.

Alors sans plus attendre je me lève, m’habille et me dirige vers la terrasse pour avaler un petit déjeuner rapidement. Karine est également partie réveiller les cousins, ils n’ont pas tardé à venir nous rejoindre même s’ils n’ont rien avalés.

Tout le monde est pratiquement prêt, nous débarrassons la table, puis nous allons aux voitures. Pour cette dernière journée ensemble, nous allons tout simplement nous balader dans la citadelle, prendre l’air, et profiter un peu du soleil.

Il y a pas mal de monde, qui sont là en tourisme, ou en promenade comme nous. La dernière fois que nous sommes venus ici je n’étais pas trop fan, je n’étais pas trop à l’aise pour les visites guidées en groupe. Aujourd’hui, ça n’a pas vraiment changé, je ne suis toujours pas fan mais au moins je n’ai plus les mêmes craintes qu’avant concernant les regroupements.

La dernière fois nous avons visités la citadelle en surface, aujourd’hui nous faisons une visite guidée des souterrains. Nous avançons en petit groupe, je reste surprise tout même par toute cette architecture et l’ingéniosité de celle-ci.

Je suis avec les cousins et Karine, tandis que devant nous il y a les parents ainsi que la guide, que j’écoute comme je peux. Tout en continuant la visite je me suis retrouvée peu à peu à la traine, je ne perdais pas les autres de vue, mais pour le coup je n’écoutais plus du tout ce que disait la guide.

Cette situation ne m’a pas vraiment dérangé, puisque pour l’occasion je me suis retrouvée avec Anthony tout à l’arrière. Je regarde chaque détail de ce réseau souterrain, tout en me demandant ce qui se passe encore dans la tête d’Anthony, surtout depuis ce matin là, où il m’a surprise nue devant ma mère.

Depuis il m’avait semble t’il évité, et nous voilà maintenant tous les deux à l’écart des autres. Il ne parle pas, il semble encore fuir mon regard. Je ne sais pas du tout comment aborder le sujet avec lui, je suis toujours un peu gênée de ce qu’il a vu.

Je cherche mes mots, la façon dont je voudrais lui parler de tout ça, peut-être que c’est le même cas pour lui. Il baisse parfois les yeux dans ma direction, puis détourne le regard aussitôt. Il faudrait que l’un de nous deux se lance, juste un mot pour que l’on puisse se parler.

Je pourrais lui parler de cette visite et de combien je m’ennuie, au moins nous serions d’accord sur un même point, vue la tête qu’il fait depuis que nous avons quittés la maison. Ok, je vais me lancer, puis on verra bien où ça nous mène.

Moi : je…
Karine : hey les escargots à l’arrière, on vous attend !
Anthony : oui c’est bon, on arrive oh

Mince, au même moment où je me lance, Karine nous appelle. Les adultes à l’avant se retournent, je ne peux que suivre mon cousin qui à présent se dépêche d’avancer pour rejoindre les autres.

Nous sommes de nouveau tous ensembles, j’ai raté une occasion de parler avec Anthony. La visite se poursuit, nous sortons des souterrains puis nous continuons vers un château pour une visite dégustation.

A voir tante Claire, elle semble beaucoup aimer cette partie de la visite, comme tout le reste de la famille d’ailleurs. Nous avons continués ainsi toute la journée, sans avoir d’autres occasion pour parler avec Anthony, puis je me suis dis que je me prenais sûrement la tête pour rien encore une fois.

C’est tout moi en ce moment, je ne sais pas ce que j’ai à me poser autant de questions. Pour le coup, j’essaie de laisser tout ça de côté, et de profiter de cette dernière journée en famille.

Après cette visite nous sommes rentrés à la maison, je suis restée avec tout le monde sur la terrasse à parler, à rire, puis nous avons dîné. Nous profitons au mieux des derniers instants, puis les heures passent, nous regagnons nos chambres.

Après un passage à la douche, je profite de ce moment pour préparer mes affaires. Notre départ étant prévu demain matin, je ne tiens pas à courir dans tous les sens, pour faire ma valise. Une fois celle-ci fermé, je me plonge dans mon lit, je ferais sans doute un dernier tour demain, afin de voir si tout est bon.

Dans mon lit, je retrouve Guillaume sur mon téléphone pour nous raconter nos journées respectives. Il à très bien profité de ces derniers instants avec sa famille, et nous n’avons qu’une hâte, c’est de nous retrouver.

C’est le sourire aux lèvres que je ferme les yeux pour m’endormir…
chapitre 80 image
Aujourd’hui, c’est le jour de notre départ, je suis encore dans mon lit, observant le plafond et la lumière du soleil qui se faufile dans la chambre. Le temps est passé si vite que j’ai l’impression de ne pas avoir profité au maximum de mes vacances en famille.

Je ne tarde pas plus longtemps dans mon lit, il est prévu de charger nos affaires dans les voitures une fois le petit déjeuner pris. Je me lève, en passant par la douche pour me rincer le visage, puis je retrouve tout le monde sur la terrasse.

Il fait frais ce matin, je ne dis pas non à un bon chocolat chaud. Je profite des derniers instants avec ma cousine et Jordan, Anthony est plutôt solitaire le matin au réveil. Chacun discute de son côté, ça parle de boulot, de projets, nous des cours, des profs ennuyeux. L’heure passe, puis tout le monde se lève afin de débarrasser la table.

Je me dirige vers l’annexe avec les autres, mes affaires étant prêtes, je file à la douche pour me laver. Je fais le tour de la chambre pour voir si je n’oublie rien, je n’ai rien qui puisse traîner dans la chambre de Karine, donc je pense que tout est bon.

Dans le couloir en passant devant les autres chambres, je vois les autres finir de rassembler leurs effets. Dehors les adultes sont déjà aux voitures à charger les valises, je rejoins ma mère puis charge mes affaires à l’arrière.

Mes grands parents me parlent en attendant les autres, m’encouragent pour la reprise des cours, et me disent de faire de mon mieux. Les cousins et Karine sortent de l’annexe, ils chargent directement leurs valises dans les voitures, puis arrive le fameux moment des au revoir.

J’embrasse très fort mes grands parents en les remerciant pour ces vacances, puis j’embrasse également mes oncles et tantes. Jordan vient m’enlacer tendrement, Anthony m’embrasse, Karine, elle, m’enlace également en ayant quelques larmes aux yeux.

On a toujours du mal à se quitter toutes les deux, je partage la même peine qu’elle, et pourtant il faut se séparer. Je monte dans la voiture puis nous commençons à rouler tout en saluant une dernière fois mes grands parents.

Sur la route nous mettons de la musique, on parle un peu de tout. Il y a un peu de circulation aujourd’hui, tout le monde rentre des vacances, mais ça roule bien. Les kilomètres défilent, puis très vite nous arrivons en bas de notre appartement.

Nous descendons tout de la voiture, nous croisons quelques voisins dans les escaliers, puis enfin nous rentrons chez nous. Ah quel bonheur de retrouver son confort tout de même ! Nous ouvrons les rideaux et quelques fenêtres pour laisser passer l’air, en entrant dans ma chambre j’abandonne ma valise pour me coucher dans mon lit.

Qu’est ce que ma chambre m’a manqué, surtout mon lit, il n’y a pas à dire, on est toujours mieux chez soit. Ma mère passe devant ma chambre en me disant de défaire ma valise, pour lui donner tout mon linge. Pendant que je retire toutes mes affaires, ma mère prépare quelque chose à manger.

Quelque chose de léger fera très bien l’affaire, car chez mamie, j’ai beaucoup trop abusé. Une fois mon linge au sale, je retire les dernières choses de la valise quand je trouve à l’intérieur le disque dur de tante Claire. Je me demande ce qu’il fait là, je pensais l’avoir laissé dans la chambre de Karine l’autre soir, ou même que ma cousine lui avait rendu.

Je range ma valise, puis je demande à ma mère le numéro de tante Claire en lui expliquant tout. J’ai peur d’avoir fait une bêtise, mais heureusement pour moi, rien de grave, tante Claire me dit n’avoir que des sauvegardes de ces cours dessus, tout le principal est sur son ordi, mais qu’il ne faudra pas que j’oublie de lui rapporter la prochaine fois que je viens.

Ce petit problème réglé nous passons à table, c’est très calme de manger en tête à tête avec ma mère. Pendant les vacances nous étions habituées à rire, à écouter les histoires des autres et surtout mamie parler assez fort. Là nous mangeons dans le calme, ce qui nous fait rire toutes les deux, surtout en repensant à certaines histoires.

Après le repas, et surtout après la route, nous sommes toutes les deux fatiguées. Nous avons rejoint nos chambres, je me suis mise à l’aise, puis je me suis couchée comme une masse, en m’endormant assez rapidement.

Lorsque je me suis réveillée, je me suis rendu compte qu’il était pratiquement 16H00. Je suis surprise, je ne pensais pas être fatiguée à ce point. Je me lève en restant simplement en T-shirt, puis je me dirige dans le salon où ma mère y est déjà.

Elle regarde la télé, allongée dans le canapé, vêtu d’un simple T-shirt également. En me voyant elle me tend les bras pour que je vienne tout contre elle. Nous sommes là, allongées toutes les deux devant ce film que je regarde à moitié.

Il n’est pas loin d’être 17H15 quand le film se termine, ma mère me dépose un bisou sur la joue, puis me demande si je veux prendre un bain avec elle. Je dis toujours oui à ce petit moment mère fille, dans la salle de bain nous nous retrouvons très vite nues.

Je ne manque pas de détailler son corps, elle est toujours magnifique à mes yeux. Mais je remarque une petite chose…

Moi : maman, tu as laissé pousser tes poils ?
Maman : ahaha non, en fait je n’ai pas vraiment eu le temps de m’en occupé durant les vacances, et puis il n’y avait personnes à voir non plus ahaha
Moi : ahaha je comprends, et tu n’as pas regardé si tu avais des messages sur le site ?
Maman : non pas encore, mais peut-être plus tard, et toi dis moi, comment ça s’est passé là-bas ?
Moi : c’est difficile à dire, en tout cas je suis contente d’être rentré chez nous
Maman : moi aussi, viens là ma puce, et raconte moi tout

Ma mère me tend les bras pour que je vienne tout contre elle, j’adore sentir sa peau contre la mienne. Elle commence à me frotter doucement les bras, être de nouveau chez nous, dans cette baignoire, dans les bras de ma mère me réconforte.

Je commence par lui raconter ce qui s’est passé durant ces vacances, les questions que je me suis posées, ses conseils que j’ai essayé d’appliquer. Ma mère m’écoute, tout en continuant de me frotter, je lui raconte ce petit jeu avec Jordan et le choix de ma culotte. Je lui raconte également ce massage avec Anthony, combien je me suis sentie coupable.

Tous ces doutes qui n’ont fait que grandir, au point d’en penser que je suis une fille horrible, une mauvaise petite copine. Puis ma discussion avec Karine qui m’a réconfortée, les messages de Guillaume qui m’ont réchauffés le cœur.

D’ailleurs en lui racontant ce qui s’est passé par la suite avec Karine, en échangeant les messages avec Guillaume. Ma mère est devenue plus attentive, au point d’en oublier de me frotter. Je sens à un moment son bassin bouger sous mon corps, tout en continuant mon histoire.

Cette soirée était très excitante pour moi, et ce soir, dans cette baignoire, je me sens de nouveau dans le même état. La main de ma mère se remet à bouger, elle vient appliquer l’éponge sur ma poitrine, un geste rempli de douceur, et qui me donne en même temps beaucoup de plaisir.

Maman : tu me surprends chérie, vraiment
Moi : ah bon ?
Maman : oui, tu es passée par une période où tu t’es beaucoup remise en question, et tu en arrives à trouver du plaisir avec ta cousine, et ton chéri en même temps par message
Moi : ça s’est fait tout seul, et j’ai beaucoup aimé
Maman : tu m’étonne, moi-même je me sens excitée là
Moi : hihihi désolée
Maman : ce n’est rien (en me faisant un bisou sur la joue)
Moi : mais je ne suis pas tranquille par rapport à Anthony
Maman : lorsqu’il nous a surpris l’autre jour ?
Moi : oui, je me demande ce qu’il a pu s’imaginer, vu que je n’ai pas eu l’occasion de lui parler
Maman : je n’ai pas pu lui parler non plus, à part pendant notre danse où il s’est excusé
Moi : j’espère qu’il ne le dira à personnes
Maman : je ne pense pas qu’il fera ça, il semblait aussi gêné que nous, ne t’inquiètes pas pour ça ma chérie
Je ferme les yeux, je suis si bien dans les bras de ma mère. Je lui fais confiance sur ce dernier point, elle a toujours raison, et en même temps à qui il pourrait le dire ?
Moi : et toi maman, tu n’as rien à me raconter ?
Maman : hummm si, une petite histoire
Moi : oh, dis-moi tout

Un soir juste après Noël, mon oncle Philippe et ma tante Sabine ont fait l’amour, ce qui a provoqué une excitation folle du côté de ma mère. Elle ne s’est pas privé pour se donner du plaisir de son côté, en écoutant les deux amoureux. Ma mère écoutait ma tante gémir, pendant que son mari taper très fort en elle. Sa main s’activait entres ses cuisses jusqu’au son final d’une jouissance partagée.

Ma mère de son côté, après avoir retrouvé ses esprits, est allée aux toilettes. Elle voulait se sentir légère, et sûrement emportée par l’excitation du moment, elle y est allée entièrement nue. Elle a vite terminé de faire pipi, sort de la salle de bain pour regagner sa chambre en vitesse. Et c’est là que la porte du couple s’ouvre pour en voir sortir ma tante Sabine, également nue.

Elles ont été surprises toutes les deux, de se trouver là, l’une devant l’autre dans le plus simple appareil. Un échange de regard, qui par la suite est parti à la découverte du corps de l’autre très rapidement. Ma mère à ce moment là, a remarqué sur la poitrine de ma tante, les restes de semences déversées par mon oncle.

Leurs regards ce sont détournés, puis un sourire vraiment timide a été échangé avant de reprendre leurs chemins en ce souhaitant bonne nuit.

Moi : woao, c’était vraiment spécial
Maman : oui, je me suis sentie gênée, je me suis dis merde, elle a compris que je me suis fais plaisir en les écoutants c’est sûr
Moi : ou pas, elle a peut-être pensée que tu es juste allé aux toilettes
Maman : je ne sais pas, en tout cas j’étais gênée
Moi : hum imagine que les deux seraient sortis, là oui ce serait encore plus gênant
Maman : oh mon dieu, oui, je ne veux pas imaginer
Moi : et après ça c’était comment avec tante Sabine ?
Maman : c’était bizarre,  on se souriait comme deux gamines partageant un secret
Moi : ahaha je comprends tout à fait

Nous ne pouvons nous empêcher de rire à ce moment, ça nous fait vraiment du bien de se retrouver rien que toutes les deux. Après quelques minutes à parler encore, nous sortons de l’eau pour nous sécher, puis nous habiller.

Après le dîner je retrouve Guillaume sur mon téléphone, il a aussi quitté sa famille aujourd’hui, il passe la nuit chez sa mère avant de prendre le train pour revenir chez son père. J’ai vraiment hâte d’être à lundi pour le retrouver et sentir ses bras m’enlacer.

De son côté ma mère s’est installée sur l’ordi, elle a sûrement dû consulter le site, voir si elle avait quelques messages.
Rien ne vaut son propre lit, je regarde les photos que j’ai pu faire pendant mes vacances, puis je finis par m’endormir tout doucement.
chapitre 81 image
Il est 8H00 lorsque mon réveil sonne, je pourrais encore profiter de faire la grasse mat une dernière fois, mais je veux reprendre le rythme avant la reprise des cours. Je me force à me lever, pourtant au fond de moi je suis encore très fatiguée.

Je sors de ma chambre, direction la salle de bain pour me rincer le visage. Je me dirige vers le salon où je retrouve ma mère pour le petit déjeuner. Ce dimanche nous allons le passer tranquillement, devant un film puis chacune à ses occupations.

Le soir je reçois un message de Guillaume, un petit problème avec son train pour revenir, pour le coup il en prendra un nouveau que lundi. Je suis triste, je voulais tant le retrouver demain à la rentrée. Mais bon, ce sont des choses qui arrivent, et ce n’est qu’un petit contre temps avant nos retrouvailles.

Le lundi au réveil c’est la catastrophe, je pensais sincèrement que je serais au top mais non, pas du tout. Je suis arrivée devant la grille avec la tête dans le cul, mais je me rassure en voyant celle d’Estelle, Kévin et les autres.

Ils ont l’air aussi dépité que moi de reprendre les cours avec ce froid. Je saute dans les bras d’Estelle et de Kévin, contente de les retrouver puis j’embrasse également Charles et Jonathan. On se raconte un peu nos vacances avant d’entendre la sonnerie.

Je cherche autour de moi, espérant que Guillaume soit là, mais je sais qu’il ne prendra son train que dans la journée. Ce premier jour m’a paru très long, la reprise est vraiment dure, et les cours semblent ennuyeux à mourir. Pour le moment, concernant mes résultats scolaires, ils sont plutôt bons, j’ai de bonnes appréciations de la part de mes professeurs, mais je ne lâche rien surtout avec le brevet qui approche.

Le soir en rentrant chez moi, je reçois un sms de Guillaume, il est bien rentré chez lui aujourd’hui, et il n’a qu’une hâte, me retrouver demain. Au fond de moi, mon petit cœur fait boum, j’ai tellement hâte de le retrouver aussi.

La soirée se passe, cette nuit je peine à trouver le sommeil, ne pensant qu’à Guillaume, ce qui commence à m’exciter et doucement m’amener sans faille vers un plaisir solitaire que je connais très bien à présent.

Mes mains parcourent mon corps comme à leur habitude, jusqu'à trouver cette partie sensible entre mes jambes. Je me fais plaisir en pensant à mon chéri, son corps, son sexe tendu que je désire savourer encore une fois.

Très vite mon orgasme pointe le bout de son nez, je me laisse aller, mon corps se contracte totalement avant de se relâcher complètement. Après ce petit plaisir, je m’endors plus facilement, comme libéré d’un poids.

Ce mardi matin, je me réveille plus en forme que la veille, je file prendre mon petit déjeuner, un saut à la salle de bain pour me préparer, mes affaires en main je me dirige vers le collège. C’est là devant la grille que je vois Guillaume, sans plus attendre je me précipite vers lui.

Je le retrouve enfin, mon chéri, ses bras, son parfum. Il me serre dans ses bras, je suis si bien près de lui, il me réchauffe tout en venant poser ses lèvres sur les miennes. Je suis aux anges, complètement déconnectée de ce monde. Plus rien n’existe autour de nous, ses lèvres m’ont tellement manquées, je ne veux pas que cet instant ce finisse.

Autour de nous, nos amis rigolent en nous demandant de nous calmer. Charles et Jonathan ne peuvent s’empêcher de nous charrier, ce qui nous fait rire. Je salut tout de même nos amis puis je reviens dans les bras de Guillaume, jusqu’à ce que l’heure sonne.

Pendant les cours, je n’ai qu’une envie, d’être à l’heure de midi pour retrouver mon chéri. Heureusement pour moi, la matinée passe très vite. Après avoir mangé tous ensemble, Guillaume et moi allons dans notre coin, pour se parler tranquillement de nos vacances et autres.

Sans m’y attendre je vois Guillaume me tendre un petit paquet cadeau, en me disant que c’est mon cadeau de Noël avec un peu de retard. Je suis complètement gênée, surtout parce que je n’ai rien à lui offrir en retour. Mais pour lui, ce n’est rien, il me tend toujours le paquet. Je le prends, délicatement, je suis si touchée que je n’ose pas ouvrir le paquet.

De son côté Guillaume rigole en me demandant ce que j’attends pour l’ouvrir. Doucement je retire le papier cadeau pour trouver une petite boîte de couleur rouge. Je l’ouvre, et je peux voir un petit bracelet en or, avec plusieurs motifs accrochés à celui-ci. Un croissant de lune, des étoiles, un trèfle à quatre feuilles, quelques formes géométrique, et un cœur.

Ma main se porte à ma bouche, je suis émue de recevoir ce bracelet de mon chéri, il est tout simplement magnifique à mes yeux. Sans plus tarder je remercie Guillaume pour ce cadeau en me jetant sur lui pour l’enlacer, l’embrasser.

Guillaume affiche un large sourire, puis me demande de tendre mon bras pour qu’il me passe le bracelet au poignet. C’est décidé, c’est officiel, plus jamais je n’enlèverais ce bracelet, il peut être considéré comme un simple cadeau, un bijou fantaisie, ou autres. Mais pour moi, à ce moment précis, ce bracelet représente tout, il vient de mon chéri, et plus jamais je ne voudrais m’en séparer.

Je n’arrête pas de le remercier, de lui dire a quel point son cadeau me fait plaisir, je reste tout de même un peu gênée de ne pas avoir pensé à lui en offrir un aussi. Il me dit pour me rassurer que ce n’est rien, que pour lui, je suis son plus beau cadeau.

En entendant cela, je ne peux m’empêcher de verser une larme en venant me blottir tout contre lui. Guillaume rigole, tente de me calmer comme il peut, mais c’est plus fort que moi. C’est un sentiment très fort qui me prend, son cadeau, ses paroles, son être, sa chaleur.

Je me sens un peu idiote sur le moment, et pourtant j’aimerais lui dire tout ce que je ressens, je me dis que c’est le moment, malheureusement l’heure de reprendre les cours sonne. Je déteste tout à coup cette sonnerie, qui m’arrache à lui. Nous nous levons, je viens une dernière fois, cherche la chaleur de ces bras, puis nous partons chacun de notre côté, en direction de nos salles.

Cet après-midi, je vais suivre les cours à moitié, ne cessant d’admirer le bracelet que m’a offert Guillaume. Je le tourne sur mon poignet, le caresse, en regardant chaque petit motif qui y sont accrochés. Je dois paraître trop rêveuse, car pas mal de professeurs m’ont sorti de mes rêveries au cours de l’après-midi.

Très vite après les cours, nous nous retrouvons tous devant la grille avant de partir chacun chez soit. Je ne manque pas de montrer à Estelle le bracelet que m’a offert Guillaume, puis je l’embrasse une dernière fois avant de la quitter.

Sur le chemin du retour j’affiche un sourire, je suis follement amoureuse et ça se voit trop. A peine rentrer, ma mère remarque de suite mon état, puis me demande ce qui se passe. Je lui montre également le bracelet, en lui racontant ma journée.

J’ai envie de chanter, de danser, de courir tellement je suis dans un autre état. Oui bon, courir, c’est peut-être un peu trop, mais c’est pour vous dire, l’état dans lequel je suis. Mes devoirs finis, le dîner pris, je m’installe dans mon lit, en parlant avec Guillaume, le remerciant de nouveau pour ce cadeau, et d’être tout simplement lui.

La nuit se passe, ce matin je suis en forme, je saute de mon lit, direction petit déjeuner, la salle de bain et le collège. Comme d’habitude je retrouve tout le monde avec qui je discute mais surtout mon chéri.

La sonnerie retenti pour débuter les cours, un exam surprise pour commencer la journée. A la fin, c’est le même rituel, tout le monde est là, à se demander quoi faire cet après-midi. De mon côté je n’ai rien de prévu, mais si Guillaume veux passer du temps avec ses amis qu’il n’a pas vu durant les vacances, je suis d’accord soit pour l’accompagner, ou alors le laisser profiter d’eux s’il le souhaite.

Nous restons là, à nous parler avant de se saluer, pour partir. Guillaume m’accompagne sur le chemin, je suis contente d’avoir mon chéri avec moi pour cet après-midi. Nous arrivons à l’appartement je dépose mes affaires dans ma chambre pendant que Guillaume posent les siennes à l’entrée.

Je lui propose de lui faire quelque chose à manger, je ne suis pas une bonne cuisinière mais je me débrouille. Mon chéri se met à l’aise pendant que je lui prépare des pattes carbonara, bon ce n’est pas la vrai recette, mais c’est assez facile et rapide à préparer. Une fois le repas prêt, nous passons à table en se racontant encore quelques histoires de vacances.

Une fois fini je débarrasse nos assiettes, je fais la vaisselle quand je sens des mains venir m’enlacer. Mon chéri se colle tout contre moi en me disant à quel point je lui ai manqué. Ces bisous dans mon coup me donnent des frissons, me chatouillant par la même occasion.

Je finis de laver le dernier verre, puis je me retourne vers lui pour l’embrasser. Ces mains commencent à parcourir mon corps, à la recherche de ma peau. Je sens sous mon T-shirts ces caresses, puis je me mets à l’imiter.

Doucement je commence à lui enlever son T-shirt, j’adore la douceur de sa peau, son odeur, je sens l’excitation me gagner de plus en plus. Il me prend par la main, puis nous nous installons sur le canapé, à nous embrasser tendrement. Guillaume est assis dans le canapé, je suis sur lui, ces mains ne cesse de me caresser, doucement mon T-shirt tombe au sol, et ces doigts viennent retirer mon soutien gorge.

Mes seins nus, Guillaume les admire, les attrapes, puis les portes à sa bouche. C’est si bon, de ressentir ses lèvres sur mes seins, sa langue s’activer sur mes tétons. Toutes ces sensations m’ont manquées, je sens en moi une chaleur qui ne fait que grandir, j’adore ça.

Guillaume se redresse, nous échangeons à nouveau un baisé, tendre, savoureux, rempli de désir. Mes lèvres glissent sur les siennes, ma course continue dans son cou, son torse. Je glisse moi aussi vers le bas, en déposant mes lèvres sur chaque partie de son corps, pendant que mes mains se débarrassent de sa ceinture.

Mon chéri se soulève un peu, me permettant d’abaisser son jean, puis j’attrape de mes deux mains son caleçon que j’enlève doucement, laissant apparaître devant moi, son sexe tendu. Il est dressé devant moi, comme un trésor que je convoite depuis longtemps. Mes mains caressent ses cuisses, puis je saisis son sexe, commençant à lui donner du plaisir.

Je regarde Guillaume dans les yeux, sa respiration se fait profonde, son regard me supplie de continuer. Doucement je me rapproche, cela fait depuis un moment que je souhaite de nouveau ressentir son sexe dans ma bouche. Alors tendrement, sous ses yeux, mon regard dans le sien, je dépose ma langue sur son gland, le léchant, puis mes lèvres se posent à leur tour, pour enfin, glisser cette colonne de chair dans ma bouche.

Un gémissement se fait entendre, je suis heureuse de lui donner ce plaisir. Je me retire en faisant tourner ma langue sur son gland, puis je m’active de nouveau dans un va et viens, lent et doux.

Guillaume me caresse la joue, me disant à quel point c’est bon. Je suis contente de moi, je m’applique comme je peux pour lui faire plaisir, et j’y arrive. Son sexe glisse parfaitement dans ma bouche, je tente par moment d’y aller au fond, mais ce n’est pas encore réussi. Je manque encore d’expérience pour y arriver, mais peut-être qu’un jour…..

Guillaume gémit de plus en plus, mes mains caressant ses cuisses, son ventre, son torse. Je me retire un moment en déposant ma main sur son sexe pour le branler. J’adore son regard sur moi, il y a tant de plaisir dans ses yeux.

Moi : ça va mon chéri ? Je me débrouille bien ?
Guillaume : oh oui, tu es parfaite, tu …
Moi : c’est bien alors, laisse toi faire, laisse toi aller…

Sans plus attendre, ma bouche reprends place sur son sexe, cette fois-ci, mes vas et viens vont de plus en plus vite. Les gémissements de Guillaume ce font de plus en plus fort aussi, et court. J’accompagne cette fellation de ma main qui glisse tout le long de son sexe.

Je sens Guillaume se contracter, il essai par moment de se contenir, de reculer son bassin. Mais je ne lâche rien, ma bouche continue de lui procurer ce plaisir. Guillaume dans un dernier geste, pose sa main sur l’arrière de ma tête…

Guillaume : mon, mon cœur… je vais, je vais hummm, hummmm je vais…

Ce que j’entends là m’encourage, je continue de plus belle en accélérant mon rythme. Très vite je sens le corps de Guillaume se raidir, et une quantité impressionnante de spermes se déverser dans ma bouche. Il y en a tellement, je suis plus que surprise, je m’attendais à en recevoir beaucoup, mais pas autant. Je voulais lui faire plaisir, tenter de tout prendre en bouche et avaler.

Mais je n’y arrive pas, à peine a t-il fini de jouir en moi, que je me lève, la main devant la bouche en direction de la salle de bain. Je finis par tout recracher dans le lavabo, me rincer la bouche en reprenant mon souffle, puis une fois nettoyée, je reviens dans le canapé avec Guillaume, qui à la tête penchée vers l’arrière, les mains sur ses yeux…

Guillaume : merde, je suis désolé mon cœur, je n’ai pas pu me retenir
Moi : mais ce n’est rien mon chéri, j’ai beaucoup aimé moi, et je le voulais
Guillaume : mais euh, tu n’es pas trop dégouté ?
Moi : non pas du tout, j’adore le goût, c’est juste que tu lâches une grosse quantité
Guillaume : oui c’est vrai, et à chaque fois je pense que tu es dégoutée
Moi : retire-toi cette idée de la tête, j’ai beaucoup aimé, et pour toi c’était comment ?
Guillaume : franchement, c’était trop bon, tu es trop forte, tu es parfaite
Moi : hihi merci

Je viens me blottir contre mon chéri, admirant encore son sexe, qui commence à peine à revenir au repos. Je sais qu’il s’en veut encore un peu, pensant que tout ça me dégoute, mais je le rassure de nouveau, que si je le fais, c’est que je prends énormément de plaisir à le faire.

Nous sommes restés un moment à parler, tout en laissant nos doigts caresser la peau de l’autre. Je suis contente, il est de plus en plus à l’aise, avant il se serait rhabillé en vitesse. Pas là, pas cette fois, il reste ainsi, me permettant d’admirer son corps, son sexe au repose.
 
Puis dans un silence Guillaume se lève, laissant son jean et son caleçon tomber au sol. Le voir tout nu, devant moi dans le salon, m’excite terriblement. Il me prend par la main, puis m’emmène vers la chambre, pendant que j’admire ses petites fesses nues sous mes yeux…
chapitre 82 image
Nous voilà dans ma chambre, debout, au beau milieu dans un silence absolu. Son regard dans le mien, je me sens comme transporté ailleurs. Ses mains viennent se poser de part et d’autres sur mon visage, puis glissent dans mes cheveux.

Mon souffle est saccadé, un sentiment de frisson me parcours la colonne, puis ses lèvres viennent danser sur les miennes. Tout s’obscurci autour de moi, je ferme les yeux, savourant le moment présent, ce moment qui n’appartient qu’à nous.

Sa main droite se place à l’arrière de ma tête, tandis que l’autre descend dans mon dos, pour me tirer à lui. Son corps chaud en contact avec le mien, me bouleverse, je manque légèrement de perdre l’équilibre, mais ses bras me retiennent.

Je suis si bien avec lui, je me sens en sécurité, je me sens désirée, je me sens belle. Sous mes pieds nus, le sol est froid, je fais un pas en arrière, mais nos corps restent réunis, un autre pas, pendant que ses mains me caressent.

Je ne contrôle plus rien, c’est bien Guillaume qui me guide un pas après l’autre, jusqu’à mon lit. Doucement je bascule en arrière, toujours soutenue par ses bras, et déposée délicatement. Je me sens fragile, comme une fleur que l’on vient de cueillir, à laquelle, il faut apporter toute son attention.

Celui qui m’a cueillit, me sourit, me regarde, les yeux remplis de sentiments. Petit à petit, la fleur que je suis est dépourvue de toute impureté. Sous ses mains expertes à présent, mes vêtements se retirent sans difficultés.

Me voilà nue, totalement exposée à celui qui a cueillit mon cœur. Je me sens si fragile, sous ses yeux, sous ses caresses, mais je sais qu’il ne me fera aucun mal. Ses lèvres se déposent délicatement sur ma poitrine. Un frisson me parcours le corps, puis un autre, et encore un à chaque fois que ses lèvres se posent sur moi.

Doucement, ces lèvres empreintes une descente me donnant des sensations de vertiges. Mes mains s’agrippent, par réflexe, froissant le tissu sur lequel repose mon corps. Les lèvres de Guillaume viennent d’atteindre mon petit bouton, tout mon corps frissonne, je sens germer en moi, ce plaisir, qui ne fait que grandir.

Mes pieds toujours posés au sol, remontent sur le bord du lit, tandis que ses mains parcourent mon corps. Elles caressent mes cuisses, mes hanches, mon ventre, mes seins, chaque sensations de plaisir laissant entendre un gémissement de ma part.

Mes mains agrippent toujours le tissu, puis elles viennent se mêler à celles de Guillaume. Mes mains sur les siennes, je les incite à me toucher, à m’agripper les seins. Une douce caresse qui se transforme petit à petit en bataille mêlant plaisir et douleur.

Je sens monter en moi le plaisir, je sens mon intimité humide, je sens ses lèvres, sa langue tourner sur mon bouton. Mon corps commence à se raidir, mes gémissements se font de plus en plus rapides.

Alors que je me cambre totalement, ma bouche devient muette, mes mains serrent celles de Guillaume, puis dans un courant qui me parcourt le corps tout entier, je laisse enfin paraître mon plaisir dans un long gémissement.

Tout mon corps devient lourd, impossible à supporter, ma respiration est saccadée, mon cœur bat fort. Je reprends peu à peu mes esprits, je retrouve mon souffle, pendant que Guillaume ne cesse de me couvrir de baisé, allant de mes cuisses, à mon ventre puis ma poitrine. Je lui souris tendrement en le remerciant pour le plaisir qu’il vient de m’offrir, puis je l’embrasse, ses lèvres encore humide de ma jouissance.

Le goût ne me paraît plus bizarre, je sens au contraire, un certain plaisir. Mon chéri vient s’allonger à mes côtés, nous nous sourions, je ne cesse de regarder mon bracelet, il est heureux que cela me plaît.

Guillaume : mon cœur… est-ce que… tu veux toujours euh… faire l’amour avec moi ?

Je suis totalement surprise par sa question, mon cœur se remet à battre très fort, mes yeux regardant son visage.

Moi : oui mon cœur, je le veux toujours, tu es prêts ?
Guillaume : hum oui, je… j’ai vraiment envie de toi, que tu sois ma première

Je ne peux m’empêcher de lui sourire, de le serrer tout contre moi, heureuse de ce qu’il vient de me dire. Tout en me collant à lui, je sens son sexe dur contre moi…

Moi : ah oui, en effet tu as très envie de moi hihi
Guillaume : tu n’as pas peur ?
Moi : un peu oui, mais je veux aussi que tu sois mon premier
Guillaume : je te promets d’y aller tout doucement
Moi : je sais mon cœur, j’ai confiance en toi

Nous nous embrassons de nouveau, laissant aller nos mains à de douces caresses. Nous nous installons plus confortablement dans mon lit, Guillaume tout en m’embrassant se couche sur moi. Nos corps se frottent l’un contre l’autre, je sens son sexe tendu, glisser sur le mien encore humide.

Guillaume se relève, me regarde dans les yeux, je le sens prêt, alors je prends dans le tiroir de ma table de chevet, la boîte de préservatif que ma mère m’a donné. Le petit sachet est ouvert, j’en sors délicatement ce petit bout de plastique. Nous avons déjà eu des cours sur ça, sur la façon de le mettre, de l’utiliser.

Mais pour notre première fois, nous rions tous les deux, n’arrivant pas à appliquer de suite le préservatif sur son sexe. Après avoir bataillé, Guillaume réussit à le passer comme il faut, je vois alors son sexe tendu, là devant moi, entres mes jambes, prêt à faire de moi une jeune femme.

Mon chéri revient tout contre moi pour m’embrasser de nouveau, tout en se frottant l’un à l’autre. Je sens son sexe, ou plutôt cette matière en plastique glisser sur mes lèvres. Je me sens toute excitée, mais à la fois nerveuse, me demandant si je vais réussir, si ça ne va pas me faire trop mal, dans lequel cas, je ne voudrais pas en arriver à dire stop.

Guillaume a prit beaucoup d’assurance depuis que nous sommes ensemble, je ne voudrais pas tout gâcher pour notre première fois. Je ne voudrais pas que le jour où il se sent prêt, lui dire de tout arrêter parce que j’ai mal. Je crois que je me pose trop de questions, je sens mon minou devenir encore plus humide, ma respiration est plus longue et des frissons me parcourent tout le corps.

Je ressens déjà du plaisir rien qu’en sentant son sexe se frotter contre le mien. Guillaume se relève, me regardent droit dans les yeux, puis me demande…

Guillaume : tout va bien ? Tu es prête ?
Moi : oui mon cœur, vas y doucement
Guillaume : ne t’inquiète pas, je vais y aller tout doucement

Guillaume s’avance, venant m’embrasser, je sens son sexe venir se poser à l’entré de mon vagin. Je frissonne, je m’agrippe à lui, j’appréhende la douleur. Guillaume pousse encore mais il est mal placé, ma main vient alors se glisser entres nos deux corps, pour saisir son sexe, et le positionner comme il faut.

Lentement je sens Guillaume pousser, son sexe tendu glisse dans ma main qui le guide, mes lèvres s’écartent petit à petit. Je lui demande d’aller doucement, sûrement par peur, car je ne ressens encore aucune douleur. Mon chéri me répond d’un simple oui en me caressant le visage, un geste qui me donne tant de plaisir.

Guillaume est très attentionné, il commence un léger va et viens, son gland ayant à peine passé mes lèvres vaginales. Petit à petit, son sexe progresse en moi, je sens mon vagin s’ouvrir. Là encore il me laisse le temps de m’y faire, puis il avance encore jusqu'à ressentir une résistance.

Je lui demande de s’arrêter un instant, mon souffle est rapide, le sien aussi, nous échangeons un regard. Je ressens une douleur, elle n’est pas très grande, mais la peur d’en ressentir une plus grande me bloque un instant.

Guillaume : tu veux que j’arrête ?
Moi : non, j’ai juste besoin d’un instant

Je regarde vers le bas, je vois son sexe qui commence à peine à rentrer, cette vue m’excite encore plus, je me dis que nous avons déjà fait pas mal de chemin, que je peux continuer. Je lui demande alors de recommencer doucement tout en regardant cette pénétration.

Je vois son sexe glisser, je ressens mon vagin s’ouvrir, puis cette douleur de nouveau. Guillaume s’arrête, je constate que son sexe est rentré à moitié, ou presque. Je repose ma tête sur mon oreiller, je regarde mon chéri dans les yeux, lui disant de pousser un peu plus. Son regard brille, il me sourit, puis m’embrasse, en venant pousser un peu plus.

Je sens son sexe glisser, buter, puis une douleur, une déchirure en moi. A ce moment là, je lâche un gémissement mêlé à une expression de douleur, d’étonnement. Guillaume le voit sur mon visage, me demande si tout va bien. Aucune réponse de ma part, seul mes mains viennent se poser sur ses fesses pour l’inciter à pousser. Je ressens alors encore une douleur, puis son sexe me pénétrer en entier.

Guillaume : je, je suis au fond ?
Moi : oui, uh… tu es au fond
Guillaume : ça va ? Tu as mal ?
Moi : un peu oui, humm
Guillaume : tu veux que je me retire ?
Moi : non, hum, ça va aller
Guillaume : j’attends encore ?
Moi : vas y viens, mais doucement s’il te plaît

Nous nous regardons dans les yeux, doucement Guillaume commence à bouger, se retirant petit à petit. Puis son sexe me pénètre à nouveau, une sensation encore douloureuse me parcoure le bassin. Guillaume tout en me regardant recommence, puis doucement, s’installe un petit rythme de va et viens.

Son sexe glisse parfaitement, la douleur est encore présente, mais supportable. Dans ma poitrine mon cœur se met à battre très fort. Guillaume au dessus de moi semble avoir du mal à tenir debout, ses bras tremblent légèrement. Il s’abaisse pour enfouir sa tête dans mon cou, tout en continuant les mouvements de son bassin.

La sensation est encore toute nouvelle pour moi, je me suis déjà introduit des doigts, mais cela n’a rien à voir. Je ne contrôle rien du tout, son sexe glisse en moi comme il veut. Je ferme les yeux, me mort les lèvres en ressentant chaque va et viens.

Guillaume se redresse, dirige son regard vers le bas, puis regarde son sexe me pénétrer. Au départ ses va et viens était minimes, il se reculait à peine pour revenir aussitôt. Mais à présent, son sexe sort un peu plus, et la pénétration se fait plus longue.

Je regarde également son sexe en action, cette vue m’excite terriblement, la douleur commence à laisser place au plaisir. Mon chéri revient tout contre moi, m’embrasse, puis son regard me fixe, son corps reste immobile.

Guillaume : Je t’aime mon cœur

Ces mots, cette déclaration à moitié essoufflée me bouleverse au plus haut point. Je n’arrive pas à le croire, c’est la première fois que j’entends ces mots. Nous n’avons jamais été plus loin que des « je t’adore » et aujourd’hui, pendant que nous faisons l’amour pour la première fois, mon chéri me dit qu’il m’aime.

J’ai chaud, terriblement chaud, mais je frissonne en même temps, mon regard se perds dans le sien, puis dans un silence je lui dis aussi « je t’aime ».

Guillaume vient m’embrasser, je le serre tout contre moi, mes jambes venant se lier également dans son dos. Ses vas et viens reprennent, je sens de nouveau son sexe glisser en moi, venir au plus profond.

Je suis troublée, doucement je perds pied, il m’aime, il me l’a dit, il m’a regardé dans les yeux, et son regard ne ment pas. Mon cœur s’emballe, ma respiration se synchronise au rythme des vas et viens. Son sexe glisse parfaitement dans le mien, un soupçon de douleur est toujours présent, mais également du plaisir lorsque cette colonne de chair me rempli.

Guillaume se met à gémir de plus en plus, son bassin ne bouge plus de la même façon, il semble se retenir puis dans un dernier cri, mon chéri s’effondre complètement sur moi. Entres mes jambes, dans mon vagin, je sens son sexe gonfler, puis se relâcher plusieurs fois. Il ne bouge plus, son souffle dans mon cou est court, rapide, chaud.
chapitre 83 image
Guillaume : oh purée… c’ét… c’était trop…
Moi : tu as jouie mon cœur ?
Guillaume : oui… je suis désolé, c’est parti tout seul
Moi : ce n’est rien, c’était bon ?
Guillaume : c’était parfait, j’ai du mal à reprendre mon souffle
Moi : vas-y doucement mon cœur
Guillaume : et pour toi c’était comment ?
Moi : c’était merveilleux
Guillaume : mais tu n’as pas eu trop mal ?
Moi : au début si, après ça allait, et sur la fin, j’ai commencé à ressentir du plaisir
Guillaume : je ne t’ai pas fait jouir ?
Moi : non, mais ma première fois a été magnifique grâce à toi, merci mon cœur
Guillaume : j’aurais voulu que tu jouisses comme moi
Moi : hey, ce n’est rien, j’ai vraiment aimé ma première fois, c’était magnifique, vraiment
Guillaume : c’était magnifique pour moi aussi, je t’aime
Moi : hihihi j’adore quand tu me dis ça, je t’aime aussi

Doucement je sens le sexe de Guillaume revenir au repos dans mon vagin, il se retire doucement. Une fois retiré, je constate des traces de sang sur le préservatif, en repensant aux cours et ce que j’ai pu entendre, je pensais qu’il y en aurait plus.

Guillaume retire le préservatif, fait un nœud puis cherche un endroit où le jeter. Je lui dis de le mettre dans un mouchoir en papier sur ma table de chevet, je le jetterais plus tard. Je suis toujours allongée, nue sur mon lit, Guillaume se replace près de moi puis m’embrasse.

Nous restons là tous les deux, allongés, nus à se parler, à détailler ce que nous avons ressentis. Nous avons tous les deux eu peur au début, puis à la suite il s’est mis à ressentir énormément de plaisir. De mon côté je lui décris mon ressenti, je le vois inquiet lorsque je lui raconte tout, mais je le rassure sur le fait qu’il était vraiment parfait.

Nous parlons aussi de nos sentiments envers l’autre, nous sommes amoureux, confiant, mais nous n’avons jamais dis haut et fort que nous nous aimions. Alors cette fois-ci je lui dis tout, tout ce qu’il représente à mes yeux, le manque que je ressens lorsqu’il n’est pas avec moi. Je suis allongée contre lui, ma tête sur son épaule, nos doigts entremêlés, pendant que je me confis à lui.

Après lui avoir tout dit, il se met à son tour à se confier sur ses sentiments, l’entendre me dire tout ce qu’il ressent me fait chaud au cœur. Je ne peux m’empêcher de me serrer tout contre lui en venant l’embrasser, je l’aime tant.

L’idée me vient alors de prendre mon téléphone, puis installée tout contre Guillaume, je prends une photo de nous deux. On nous voit sur celle-ci, l’un contre l’autre dans mon lit, devinant que nous sommes nus, mais sans rien voir d’intimes.

Mon chéri me demande ce que je compte en faire de cette photo. Je le rassure, lui disant qu’elle ne sera que pour nous, mais que je voulais immortaliser ce moment. Je lui envoie la photo, je nous trouve trop beau dessus.

L’heure tourne, nous nous levons pour aller prendre une douche, en n’oubliant pas de jeter le préservatif avant que ma mère n’arrive. Dans la salle de bain, l’eau coule sur nos corps, nos mains ne cessent de caresser le corps de l’autre, tandis que nos lèvres ne se lâchent plus.

Je sens de nouveau Guillaume s’exciter, son sexe commence à bander sous mes caresses. Je lui demande au creux de l’oreille s’il souhaite que je m’occupe de lui, mais il ne semble pas à l’aise, surtout que ma mère arrive bientôt.

Alors je n’en fais rien, je laisse son sexe tranquille, nous finissons de prendre notre douche, puis sortons nous habiller. Une fois tout propre, nous restons assis dans le salon, l’un contre l’autre, à se parler, à se dire « je t’aime ».

J’entends les clés dans la serrure puis ma mère qui apparaît dans l’encadrement de la porte. Guillaume se lève pour saluer ma mère, je l’aide à ranger les quelques courses qu’elle rapporte, puis nous restons dans la cuisine pour parler.

Après quelques minutes, Guillaume regarde l’heure, il est temps pour lui de rentrer. Je l’accompagne jusqu’en bas, je n’en fini pas de l’embrasser, je suis sur un petit nuage avec lui. Je l’embrasse une dernière fois, puis je le vois partir dans la rue, avant de me retourner pour rentrer chez moi.

Une fois dans l’appartement, ma mère me demande comment c’est passée ma journée, je fais mine de rien, lui disant simplement qu’elle était des plus banales. Elle est étonnée que je n’aie rien à lui raconter, surtout que j’ai passé l’après-midi avec Guillaume. Je lui souris un instant, d’un air timide je baisse légèrement les yeux, puis je lui dis que nous avons fais l’amour.

Ma mère n’en revient pas, elle me regarde, sachant à savoir si c’est vrai, puis elle vient m’enlacer tendrement.

Maman : oh ma chérie, mais… et tu me dis que c’était une journée banale ?
Moi : ahaha excuse moi
Maman : woa, mais, comment ça c’est passée ? C’était bien ? Vous avez utilisez un préservatif ?...
Moi : euh…
Maman : attends, allons dans la salle de bain, je veux que tu me racontes tout

J’ai déjà pris une douche avec Guillaume juste avant, mais je ne refuse jamais ce moment avec ma mère. Une fois installée dans l’eau, elle me repose de nouveau les mêmes questions.

Je rigole à voir la tête de ma mère, je lui réponds en la rassurant que tout c’est passé à merveille. Je lui raconte tout, dans les moindres détails, ce que j’ai pu ressentir, en crainte, en douleur, mais aussi en plaisir.

Elle me pose de temps en temps d’autres questions, auxquelles je réponds, je vois dans son sourire, du soulagement, de la tendresse. Je lui parle également de nos confidences sur nos sentiments, et surtout à quel point je suis amoureuse de lui.

Ma mère est contente que j’ai pu trouver un garçon comme lui, qu’il soit aussi attentionné envers moi. Nous finissons de prendre notre bain, puis nous sortons, pendant que je me sèche, ma mère vient m’enlacer, déposant un bisou sur ma joue.

Elle me regarde à travers le miroir, me dit à quel point j’ai grandi, et que je suis devenue belle. Dans le reflet, nous sommes toutes les deux belles, nues, ma mère m’enlaçant, enveloppées par nos serviettes. J’aime tant ces moments avec elle, elle dépose sur ma joue un dernier bisou, puis nous allons dans nos chambres pour nous habiller.

Une fois vêtu, je me tourne vers mon lit, repensant à ce qui c’est passé ici cet après-midi. Puis en regardant bien, je m’aperçois alors d’une tâche sur mon lit, je ne me rends compte que maintenant qu’il y avait un peu de sang qui avait coulé. Pour le coup, mon drap est tâché, je le retire, le met au sale.

Dans ma chambre, je regarde la photo de Guillaume et moi, le bracelet qui m’a offert. Je suis tellement bien, bien sûr je n’oublie pas d’envoyer ce fameux message à Karine, pour lui dire que j’ai eu ma première fois.

Sa réponse n’a pas tardé, s’en est suivi du coup une longue conversation entres nous deux, à lui donner les détails, mais aussi à répondre à ses questions. Je me rends compte qu’aujourd’hui, je n’ai fait que repasser en tête ce moment, le décrire, et répondre à des questions sur ce sujet. Bon il faut dire aussi que je suis totalement amoureuse, que j’ai vraiment aimé ce moment, et que j’ai envie de le crier sur tous les toits.

Heureusement pour moi, j’ai la nuit pour me calmer, un bon repas chaud préparé par maman, suivi d’un petit film que je ne regarde pas vraiment, puisque je suis avec Guillaume par message. Mais une fois dans mon lit, j’arrive à me calmer, à me dire combien je suis heureuse, et que la vie est belle.

Bien sûr, je sais que tout n’est pas rose, que la vie peut me réserver des surprises. Toutefois je suis prête à avancer, comme je l’ai fait jusqu’à présent, et recommencer encore et encore avec Guillaume…
chapitre 84 image
Après cette nuit, à mon réveil je me sens, changée, comme devenue une autre personne. Je n’arrive pas à me l’expliquer, c’est une sensation étrange en moi, comme si je me sentais devenir plus grande, bien que je ne change pas de taille.

Je ne pense pas que perdre sa virginité, aide une personne à murir, ou alors à mieux comprendre les choses de la vie. Mais aujourd’hui sonne comme un jour nouveau pour moi, Je suis si bien, je me sens légère, belle, épanouie.

Les jours suivants ont l’air si radieux, pourtant ils ont la même routine, le réveil, le petit déjeuner, les cours. Tout s’enchaîne de la même façon, et pourtant tout à l’air si différent. Avec Guillaume, je suis comme sur un nuage, je flotte dans les airs, loin de tous problèmes du quotidien.

Dans ma tête, je me dis que j’ai perdu ma virginité, j’en suis fière, pas que cela me peser sur la conscience comme d’autres filles qui veulent jouer aux grandes. Non, je suis fière de l’avoir fait avec la personne que j’aime, c’est ce que j’ai toujours voulu, et, je suis restée fidèle à cette idée.

Lorsque je vois Guillaume dans les jours qui suivent, je ne vois plus le temps filer, pendant les cours je me laisse aller, comprenant sans difficulté ce que me disent les profs. Une chose aussi que je remarque, j’ai beaucoup plus confiance en moi.

Je crois que c’est ça, ce sentiment que j’ai tout au fond de moi, que je n’arrivais pas à m’expliquer. Je ne prends plus la vie comme avant, en ayant peur, en ayant des doutes sur mes choix, mes actions, sur le monde qui m’entoure.

J’étais cette fille timide, qui craignait tout du monde au point de se refermer sur elle-même, aujourd’hui je me sens changée, je suis confiante.

C’est une sensation nouvelle pour moi, c’est libérateur, et ça me fait du bien. Par exemple, ce week-end où nous sommes partis faire de l’escalade avec Charles, Jonathan et mon chéri. Avant, lorsque je grimpais, j’avais toujours cette peur de tomber, maintenant, je monte la paroi en ayant qu’une seule pensée, atteindre le sommet.

Je n’ai plus peur de tomber, me sachant assurer d’une part, mais me sentant également plus confiante. Lorsque j’en parle avec ma mère, je la vois me sourire, je vois dans ses yeux à quel point elle m’aime, et qu’elle est fière de moi, de mon évolution au fil du temps.

Lorsque je repense à tout ce que j’ai vécu depuis mon enfance, depuis que mon père est parti. Il m’en aura fallu du temps, pour arriver à cette confiance en soi. Je me trouve bête d’avoir vécu toutes ces années dans la peur, mais c’est ce qui fait ma personnalité.

Avec Guillaume, nous avons longuement parlé, encore de nos ressentis lors de notre première fois, mais aussi du fait de vouloir recommencer. Depuis cet après-midi dans ma chambre, je ne cesse d’avoir cette chaleur entres mes cuisses, cette envie irrésistible de refaire l’amour.

C’est un nouveau plaisir pour moi, un plaisir que je souhaite explorer encore, un plaisir que je souhaite atteindre au plus haut point. Guillaume est très envieux également, il ne pense plus qu’à ça depuis ce jour. Toutefois il a un souci, malgré ce désir, il a peur d’aller chez moi après les cours, pour profiter d’un moment seul à seul.

Il craint que cela ne gêne ma mère, alors que je lui répète en boucle qu’elle est d’accord avec ça. Mais pour lui, ce serait comme manquer de respect, je le comprends, et je ne peux pas lui en vouloir.

Cependant ce lundi, durant toute la journée à lui demander de venir, il accepte de me raccompagner chez moi après les cours. Sur le chemin, nous nous tenons la main, en parlant de nos cours respectifs. Puis arriver en bas de chez moi, je lui murmure à l’oreille que j’ai envie, que je pourrais m’occuper de lui avant que ma mère ne rentre.

Je le vois tenté, mais hésitant, puis après lui avoir fais les yeux doux, il finit par craquer et monter avec moi, jusqu’à l’appartement. Une fois passé la porte, le désir nous gagne tous les deux, nous nous embrassons passionnément, je retire ma veste, je suis prête à tout pour le satisfaire.

Je veux m’occuper de lui, lui faire plaisir, je me mets à genoux, puis nous entendons la voix de ma mère depuis le couloir. Je me relève aussitôt, complètement surprise, heureusement, elle n’apparaît que quelques secondes plus tard dans le salon.

En nous voyant, elle est également surprise, surtout que nous sommes là debout ne sachant pas où nous mettre, avec le souffle coupé. Elle me regarde, devine qu’elle vient de nous interrompre, mais il est trop tard. Elle nous propose un verre, pour changer la situation, nous demande comment s’est passé notre journée.

Nous avons suivi le pas, toujours en étant un peu gênés. Sur mon visage on peut voir un sourire pour dédramatiser ce moment, mais surtout par reflexe. Pour Guillaume c’est un peu plus difficile, il avait déjà peur auparavant de se faire surprendre, et maintenant que c’est fait, je ne doute pas qu’il doit se sentir coupable.

Nous essayons de nous changer les idées comme nous pouvons, puis après quelques minutes à parler avec ma mère, il est temps pour lui d’y aller. Je le raccompagne jusqu’en bas, lui demandant pardon de ne pas avoir pu faire ce qui était prévu. Il me sourit tendrement me disant que ce n’est pas grave, qu’il aime par-dessus tout passer chaque moment avec moi. Je l’embrasse une dernière fois avant de le laisser partir, puis je remonte.

De nouveau devant ma mère, elle s’excuse de nous avoir interrompus, ne sachant pas qu’on voulait en profiter après les cours. Je la rassure, elle n’a rien fait de mal, je ne pensais tout simplement pas qu’elle serait déjà rentré.

Nous finissons par en rire, heureusement qu’elle a parlé avant de nous voir, sinon je pense que la situation aurait été encore plus gênante.
chapitre 85 image
Heureusement pour moi le jour suivant, Guillaume ne semblait pas plus affecté que ça, que ma mère nous ait interrompus. Pour mon chéri la situation était très excitante, bien que nous n’avons pas pu aller jusqu’au bout. Il me dit être d’accord pour tenter une nouvelle fois d’aller chez moi après les cours, cependant pas dans l’immédiat.

En tout cas pour moi, le désir est de plus en plus grand, cette chaleur entre mes jambes ne s’est jamais estompé, et j’attends avec impatience le moment où nous pourrons de nouveau le faire.

J’attends ce jour, ce mercredi, où nous pouvons tous les deux allers chez moi sans soucis. Ce jour est enfin arrivé, mais c’est toujours dans les moments que nous attendons le plus, que le temps semble passer le plus lentement.

Pendant les cours je regarde l’heure, cette aiguille qui fait le tour du cadran à son rythme. Un cours après l’autre, j’ai l’impression de ne plus me contenir, je chauffe de l’intérieur. Lorsque je ferme les yeux quelques secondes, j’imagine le corps de Guillaume, nu, entre mes jambes.

J’ai l’impression de perdre l’équilibre alors que je suis assise sur ma chaise. Je reprends mes esprits en me disant de suivre le cours, que ça me changera les idées. Mais rien y fait, l’horloge fixé sur le mur joue avec moi, je pourrais croire que cette aiguille me nargue.

Je tente de souffler comme je peux, en essayant de me reprendre, de suivre ce que dit le prof. J’arrive peu à peu à me calmer, à reprendre mes esprits malgré cette chaleur toujours présente en moi.

En regardant une dernière fois l’heure, le temps semble plus clément avec moi, puisque nous touchons au but. La fin de l’heure, du dernier cours sonne enfin, il est comme un son libérateur pour moi. Mes affaires dans mon sac, je me dirige vers la sortie, où je rejoins Guillaume et mes amis.

Dans les yeux de mon chéri, je peux voir le même désir qui le brûle. Aussitôt nous saluons tout le monde avant de nous mettre en route. Nous ne manquons pas de nous raconter nos cours sur le chemin, mais une fois la porte de l’appartement passer, nous ne sommes plus les mêmes.

Les affaires tombent au sol, je sens mon cœur battre très vite, je me suis en feu, je le veux là maintenant. Une semaine s’est écoulé depuis que nous avons vécu notre première fois, sept jours qui m’ont paru être une éternité, avant de se retrouver là, à nouveau.

Je me suis bien sûr reposer cette question, vais-je avoir mal de nouveau ? Où alors ce ne sera que du plaisir ?

J’ai envie de connaître la réponse, de la goûter, de la vivre. Tout en s’embrassant, nos vêtements tombent peu à peu. Si c’est un jeu de piste, le joueur peut alors voir nos vestes dans la cuisine, suivi de nos T-shirts dans le salon. Mon soutien gorge précède un pantalon dans le couloir, puis un autre à l’entrée de ma chambre.

Lorsque nous arrivons à mon lit, nous sommes tous les deux souriant, sachant que ce moment n’appartient qu’à nous. Guillaume dans un dernier geste se débarrasse de tous vêtements présents sur moi. Je m’allonge en échangeant un dernier regard avec Guillaume, avant de le voir plonger entre mes jambes.

Humm, ce moment, je l’ai tant attendu, je savoure enfin sa langue qui se met à me laper dans les moindres recoins de mon intimité. Elle tourne, glisse, danse sur mes lèvres vaginales. Elle devient de plus en plus experte, elle se fait plus précise, en venant tourner sur mon petit bouton.

Ooohh, c’est là, c’est ici que se trouve toute cette tension, ce désir contenu depuis des jours. Mes mains viennent s’entremêler dans les cheveux de mon chéri, je l’incite à ne plus bouger, à concentrer son jeu de langue sur cet endroit précis.

« Voilà, comme ça, continue », ces mots raisonnent dans ma tête, « ne lâche rien, j’y suis presque »

C’est ce que je voudrais lui dire là maintenant, mais mon plaisir est tellement grand, que je n’arrive pas à en prononcer un mot.

Seuls mes gémissements parcourent la pièce, ils sont forts, de plus en plus rapide. Tout le monde pourrait m’entendre, mais ils sont destinés à une seule personne. La langue de Guillaume est toujours active, je ressens alors ce plaisir atteindre le sommet. J’adore ce moment, je veux le retarder, le contenir, et en même temps le libérer, le crier.

Dans un dernier geste, mon corps se contracte, se raidi, un long et puissant gémissement se propage dans l’appartement. Je jouie, je jouie comme dans mes rêves, comme dans mes pensées qui m’ont hantées depuis plusieurs jours.

Je suis essoufflée, abattu, je ne bouge plus pendant que ce courant me parcoure le corps tout entier. Je ressens cette chaleur se disperser dans mes jambes, dans mon ventre, ma poitrine. Guillaume m’embrasse partout, il remonte vers moi, s’attardant sur mes tétons, devenu sensibles.

Son regard dans le mien, je partage avec lui tout le plaisir que je viens de ressentir, mes mots le font sourire, il est fier de lui, fier d’être celui qui me satisfait. Je l’embrasse savourant par la même occasion mon goût, que je commence de plus en plus à aimer.

Guillaume se relève, puis devant moi, je le vois baisser son caleçon pour enfin laisser apparaître son sexe bandé. J’adore le voir nu, son corps est mince, sec, il est tellement sexy, et il n’est rien qu’à moi. Je lui tends la main, pour qu’il vienne plus près de moi, je reste toujours allongée, tout en l’attirant encore plus. Ces jambes se placent de part et d’autres de mon corps, tout en rapprochant son sexe de mon visage.

Une fois placé au dessus de ma poitrine, j’attrape avec délicatesse son sexe, pour l’amener à bouche. Ma langue tourne, elle caresse son gland, joue avec celui-ci avant que son sexe ne glisse entièrement dans ma bouche.

J’entends Guillaume, qui frémit en voyant sa queue disparaitre entres mes lèvres. J’ai vu pas mal de vidéos sur internet, je voulais tester cette position, connaître la sensation. Je suis à la fois maîtresse de son plaisir, et en même temps non. J’adore ça, avoir le contrôle, puis en même temps n’être que simplement là, à ressentir sa queue glisser toute seule dans ma bouche.

Guillaume gémit de plus en plus, j’ouvre les yeux, cette vue est incroyable. Le voir bouger doucement, la bouche ouverte, gémissant tout en me regardant dans les yeux. Je sens à ce moment là un second orgasme me parcourir le corps.

Comment ?

Je ne me rends compte que maintenant, machinalement pendant que je suçais Guillaume, ma main est venue prendre place entre mes jambes. Je me suis masturbée sans m’en rendre compte, et lorsque j’ai vu mon chéri savourer son plaisir dans ma bouche, je n’ai pu retenir mon plaisir.

Je suis en train de jouir en ayant toujours le sexe de Guillaume dans la bouche, je manque bien sûr de m’étouffer, surtout surprise par mon plaisir. Mon chéri est également surpris, me demande si ça va, je le rassure, lui dit que c’est tellement bon, puis il me sourit.

Je le vois tendre le bras en direction de ma table de chevet, puis en sortir un préservatif. Le moment que je souhaite le plus arrive enfin, je le regarde faire, il déplie du bout des doigts ce plastique, venant recouvrir son sexe bandé.

Doucement Guillaume s’allonge tout contre moi, nous nous embrassons, avec tendresse et désir, pendant que je sens son sexe, cherchait son chemin entre mes cuisses. Avec ma main, je saisis sa queue, la dirige à l’entrée de mon vagin qui est très humide.

Je le sens pousser, je sens de nouveau cette colonne de chair se faufiler entre mes lèvres. J’appréhende une douleur, un picotement, mais rien. Seule une sensation d’être combler se fait ressentir.

Je sens au fond de moi, son sexe me remplir, m’habiter, puis une fois bien installer, nous nous regardons. Nos yeux semblent surpris, nous redécouvrons ce moment, sans ou ayant à peine de craintes.

Je redécouvre ce que ça fait, d’avoir son sexe en moi, puis doucement il se met à bouger, et quelle sensation. J’avais oublié, ce que c’est de ressentir des vas et viens, de sentir cette colonne de chair prendre possession de mon vagin.

Je regarde Guillaume dans les yeux, je gémis chaque fois que je sens son sexe me pénétrer. Je vois sur son visage, le plaisir, le bonheur qu’il ressent à chaque va et viens. Je relève les jambes, cherchant à me placer au mieux, tandis que mon chéri engouffre sa tête dans mon cou.

Son rythme s’est accéléré, son souffle est chaud, rapide. De mon côté, je gémis de plus en plus, savourant chaque pénétration comme si elle était nouvelle. Je m’agrippe à son dos, mes jambes venant également l’encercler.

Guillaume accélère de plus en plus, il se met à gémir plus fort aussi, et dans un dernier coup de bassin, son corps se contracte, et vient me plaquer au fond de mon lit. C’est un long cri qui raisonne au creux de mon oreille, un cri libérateur, m’annonçant que mon chéri vient de jouir.

Je peux ressentir en effet son sexe qui saccade à l’intérieur de mon vagin, son torse posé sur le mien qui monte et descend de façon essoufflé. J’embrasse son cou, ses épaules, sa joue, attendant qu’il dise un mot.
Puis quelques secondes après, la tête toujours enfouie dans mon cou, il me dit…

Guillaume : ohh, c’était trop bon, c’était… pardon mon cœur, j’ai joui trop vite
Moi : ce n’est rien mon chéri, c’était vraiment bon pour moi aussi
Guillaume : mais tu n’as pas joui
Moi : oui mais j’ai pris beaucoup de plaisir, encore plus que la dernière fois
Guillaume : c’est vrai ? Tu ne dis pas ça pour me rassurer ?
Moi : non pas du tout, je t’aime
Guillaume : je t’aime aussi

Il est vrai que je n’ai pas jouie en faisant l’amour, mais je ne mens pas lorsque je lui dis que j’ai pris énormément de plaisir. Je découvre encore toutes les sensations concernant le sexe à deux, il est normal que je n’atteigne pas aussi vite l’orgasme. Mais en tout cas, c’est un réel plaisir pour moi de faire l’amour avec Guillaume, et de découvrir tout cela avec lui.
chapitre 86 image
Après un moment à être restés tous les deux allongés, s’embrassant, et parlant de nos ressentis, Guillaume se lève, retire le préservatif avant de ne remettre que son caleçon. De mon côté, je prends simplement un T-shirt pour me couvrir puis nous allons tous les deux dans la cuisine.

Nous avions tellement envie l’un de l’autre que nous avons complètement zappé de manger. Et après un tel moment, nos ventres commencent à crier famine.

Me voila dans la cuisine cherchant de quoi manger, des pattes, non, une purée, non plus. Je regarde ce que je peux faire, puis je me décide pour des croques monsieur. Guillaume est tout à fait d’accord, puis vient à mes côtés pour m’aider.

Nous nous taquinons tous les deux pendant que nous préparons les croques monsieur. Guillaume me met du beurre sur le bout du nez avant de venir le lécher, puis m’embrasser. J’adore ce moment, je le trouve tellement mignon que je ne peux m’empêcher de prendre plusieurs photos, nous nous amusons tous les deux, en prenant des poses, en tirant la langue et autres.

Une fois notre repas prêt, nous devenons plus sage, le temps de savourer nos croques monsieur. Je dois dire que le sexe nous a mis en appétit, nous en avions préparé plusieurs, et heureusement, vu que nous avons tout mangé.

Une fois terminé, nous débarrassons, en n’oubliant pas de nettoyer nos bêtises faites pendant la préparation. Guillaume se propose de faire la vaisselle, pendant que je m’installe dans le canapé.

J’allume la télé, il n’y a rien de vraiment intéressant, Guillaume finit, puis il me rejoint. Nous discutons de tout et de rien, refaisant le monde à notre façon, allongés tous les deux l’un contre. Nous prenons le temps de faire quelques photos encore, nous sommes tellement amoureux, ça se voit dans nos regards, dans nos gestes.

Je savoure ce moment tant désiré entres nous, cet après-midi que nous passons presque nu, à nous embrasser, tout en se disant « je t’aime »

Petit à petit, notre désir se réveil, nos corps se chauffent, devenant bouillant. Notre façon de s’embrasser devient plus intense, Guillaume se place au dessus de moi, puis enfoui sa tête entre mes jambes.

Sa langue ne tarde pas à venir se poser sur mon intimité, me léchant de toute part. J’adore vraiment ça, sa façon de s’occuper de moi, le son qu’il émet en me faisant du bien. Je laisse paraître mes gémissements sans craintes, il n’y a personnes à part nous.

Tout en me léchant, Guillaume vient à introduire deux doigts en moi, la sensation de plaisir ne fait que se décupler. Je ressens ses mouvements de vas et viens dans mon vagin, tandis que sa langue joue avec mon clitoris.

C’est complètement fou, ressentir tout ce plaisir en moi, me fait gémir encore plus. Je n’arrive plus à me contenir, je sens mon plaisir venir se concentrer en un point précis. Un point que je connais très bien, depuis toutes mes masturbations. Je me concentre pour retenir ce plaisir au maximum, afin qu’il n’en soit plus grand lorsque je le laisserais s’échapper.

Je suis au bord du gouffre, prête à sauter, à me libérer, à me laisser crier de plaisir. Sa langue, ses doigts vont de plus en plus vite, j’y suis, je relève mes jambes, et dans un dernier gémissement, je sens mon corps se contracter, puis relâcher tout le plaisir que j’ai pu accumuler.

C’est tellement bon, tellement fort comme sensation, mais Guillaume n’arrête pas, je me tords dans tous les sens, essayant de le pousser même avec mes mains. Mais il reste accroché, mon clitoris est devenu très sensible, et pourtant il continue de jouer avec, de le titiller.

Je ne cesse de gémir, mon clitoris n’en peut plus, je lui demande d’arrêter encore, mais rien y fait. Puis sans prévenir, je ressens mon corps se contracter de nouveau, dans une jouissance tellement forte, que mes cris ont raisonnait dans tout l’appartement.

Si un voisin passait à ce moment là devant la porte, il aurait de suite compris que la fille qui habite ici vient de jouir. Mais peu m’importe, que quelqu’un m’entende ou non, je suis prise dans une telle jouissance que je continue de gémir, dans un souffle court, saccadé, pendant que mon corps convulse à n’en plus finir.

Il me faut pratiquement cinq minutes avant que je ne puisse reprendre le contrôle. Heureusement pour moi, Guillaume a cessé de jouer avec mon bouton. Il est devenu si sensible que le simple fait de sentir le souffle de mon chéri dessus, me donne de légers coups de courant dans le bassin.

Mon chéri finit par remonter vers moi, m’embrassant au passage mon ventre, mes seins, puis mes lèvres. Je bois mon plaisir encore présent sur ses lèvres, un goût que j’aime à présent, doux, sucrer, unique.

Je regarde mon chéri dans les yeux, je lui dis combien il m’a fait plaisir, combien j’ai jouie, et surtout combien je l’aime.
Il me sourit, satisfait de m’avoir fait jouir ainsi, malgré que je lui dise d’arrêter. Je n’ai toujours connus qu’une jouissance après l’autre, laissant entre deux, un temps pour me reposer. Mais atteindre deux orgasmes à la suite, avec tant d’intensité, je dois dire que je suis complètement déboussolée.

Je prends encore un peu de temps pour me remettre de mon état, tout en savourant le moment, en l’embrassant. Puis ayant retrouvée mes esprits, je me lève prenant Guillaume par la main, afin de nous diriger vers ma chambre.

Une fois dans mon lit, je monte sur mon chéri, plaquant ses mains au dessus de sa tête. Je ne sais pas ce qu’il peut avoir en tête encore, alors je l’immobilise, pour à mon tour lui faire ce que je veux. Il rigole en essayant de se débattre, me disant que ce n’est pas du jeu. Mais vu qu’il n’a pas voulu m’écouter tout à l’heure quand je lui ai demandé d’arrêter, alors je ne l’écoute pas non plus.

Je descends mon corps, en saisissant son caleçon pour l’envoyer dans un coin de la pièce. Puis sous mes yeux, je vois son sexe bander. Je deviens alors comme une tigresse me jetant sur son sexe, pour le mettre en bouche. Je suis remplie de désir, un désir fou de sexe, un désir de faire crier Guillaume.

Et je suis satisfaite, dès les premières secondes j’arrache à Guillaume des gémissements. Il n’en revient pas de la fellation que je suis en train de lui prodiguer. Je suis comme affamée, absorbant son sexe comme une furie.

Mes vas et viens sont rapide, je tente même par moment de la mettre tout au fond. Ma main également vient saisir son sexe de façon forte et rapide. Ce qui ne manque pas de faire de l’effet à mon chéri, mais je ne compte pas en finir comme ça, non.

Je voulais surtout l’exciter au maximum, pour ce qui va suivre. Je suis fière de moi, d’avoir pu dresser cette colonne de chair à son maximum. Je vois son sexe gonflé, le gland très gros et rouge de désir, tandis que je saisie une capote, dans ma table de chevet.

J’ouvre l’emballage, puis j’applique avec précaution ce petit bout de plastique sur la queue de mon chéri. Avec beaucoup d’application, je réussi à le mettre, toute contente, je viens me positionner au dessus de son sexe, puis doucement, j’abaisse mon bassin.

Je ressens chaque centimètres de son sexe me pénétrer, tandis que je vois dans le regard de Guillaume toute la surprise du moment. Je descends encore, jusqu'à que son sexe soit entièrement en moi, et je dois dire que j’aime vraiment ça. J’aime cette position, j’ai le contrôle sur tout, la pénétration, le rythme, je suis maitresse de ce moment.

C’est la première fois pour nous encore une fois, une nouvelle position, un nouveau ressentis, Guillaume se laisse totalement faire, pendant que moi, je commence à bouger. Mes premiers mouvements ne sont pas bons, je prends le temps de comprendre, de ressentir les choses.

Puis peu à peu, tout devient clair, je commence à trouver le bon rythme, la bonne position. Je ressens tout dans les moindres détails, son sexe sur lequel le mien coulisse, mes fesses qui viennent se poser sur ses cuisses, ressentant par la même occasion ses boules. Ma respiration se synchroniser dans ma descente, mes mains posées sur son torse, ressentant chaque battements de son cœur.

Mes mains quittent son corps, pour se saisir de mon T-shirt, afin de le retirer. J’aime mes sentir nue, sentir ma poitrine qui bouge, sous les yeux de Guillaume. Je ne veux pas qu’il bouge, je le plaque au lit, lui passant le message, que c’est moi qui décide, qui contrôle.

Mon bassin bouge à présent dans un rythme plus soutenu, par moment je me lève un peu plus, savourant son sexe, glissé de tout son long dans mon vagin. Je ferme les yeux, tous mes sens sont en éveil, du bout des doigts, je perçois la chaleur de son corps, les battements de son cœur. Sur mes hanches ses mains chaudes me caresser la peau, puis elles viennent soutenir mes seins dans leur danse.

Je ressens également des frissons me parcourir le corps, commençant par mes cuisses, mes fesses, suivi de ma colonne, mon cou, puis mes joues. Ce frisson qui me parcoure, s’échappe par ma bouche comme un gémissement chaud, et long.

Je me mords les lèvres, montant, puis descendant le long de son sexe. Cette position me permet de tout contrôler, de tout ressentir, mais également de me concentrer sur mon plaisir. Un plaisir qui ne cesse de grandir en moi, un plaisir que je ressens à présent nettement, se réfugier au creux de mes reins.

Les gémissements de Guillaume m’emportent également, je suis à son écoute, calant mon rythme sur le son qui sort de sa bouche. A l’intérieur de moi, je sens ce sexe, me remplir, me combler, frottant entièrement sur ma paroi vaginale, pour venir se loger tout au fond de moi.

Appuyant comme sur un point, dans mon intérieur, un point qui devient plus sensible au fur et à mesure de la pénétration. Je cherche à découvrir quel est cette sensation, quel est ce point en moi, je me concentre dessus. Ma main vient se poser sur mon ventre, je sais que de l’autre côté de ma peau, à l’intérieur de moi, ce sexe me rempli complètement.

Ma main posé sur mon ventre cherche à comprendre d’où vient ce point, doucement elle descend, puis comme une évidence, mes doigts se pose sur mon petit bouton. C’est comme un choc électrique pour moi, un autre frisson me parcoure.

Je me touche à nouveau, mon plaisir fait une monté net, je repense à ce qui s’est passé il y a quelques minutes dans le salon. Lorsque Guillaume me léchait le clito, et qu’il me pénétrait de ses doigts en même temps.

Je ressens pratiquement la même sensation, mais en plus développé. Son sexe que j’introduis en moi, à mon rythme, au plus profond, puis mes doigts qui viennent jouer avec mon clito. C’est, incroyable, merveilleux, le plaisir que je peux ressentir là.

Ce point à l’intérieur de moi est encore plus sensible, tout comme mon clito, que je touche. Mon plaisir qui ne fait que grandir, ce frisson qui devient de plus en plus intense. Je continue de fermer les yeux, pour me concentrer, resté à l’écoute de mon corps et des moindres sensations.

Dans nos gémissements qui occupent toute la pièce, Guillaume me dit qu’il va bientôt jouir. Ces mains agrippent de nouveau mes hanches, la chaleur de celles-ci ne fait qu’augmenter mon plaisir. Je le sens, je sens ce plaisir arriver, atteindre un point encore inconnu.

Moi : oh, oh, humm, je vais… je vais jouir… attends encore un peu…
Guillaume : humm, ok, vas y

Sans plus attendre, je me laisse entièrement aller, j’accélère le rythme, aussi bien de mon bassin que de mes doigts sur mon clito. Je me mords les lèvres, tandis qu’à l’intérieur de moi, je sens cette chaleur devenir plus grande. Son sexe semble si profond en moi, plus besoin de chercher, de me concentrer, tout devient clair, limpide.

J’atteins un point encore jamais exploré, mon plaisir arrive à son paroxysme, puis c’est à ce moment là, en entendant Guillaume gémir de toute ses forces, en ressentant son sexe se gonfler en moi, que je me libère totalement, dans un cri encore plus fort que les précédents.

Entre mes jambes, un frisson si fort se crée, se propage à travers tout mon corps que j’en perds l’équilibre, dans un dernier cri, j’ouvre les yeux. A cet instant, tout paraît suspendu, sourd, j’ai l’impression de flotter, de voler dans les airs.

De mon vagin, en passant par ma colonne, ma poitrine, mon cou, je peux ressentir des milliers de pulsations m’envahir. Puis dans un retour à la réalité, une descente, une chute de tout mon être, pour venir m’affaler tout contre Guillaume.

Tout paraît si calme de nouveau, ma respiration est encore rapide, saccadée, celle de Guillaume l’est également. Petit à petit, je retrouve quelques sensations dans mon corps, je peux alors ressentir le sexe de mon chéri, qui trésaille encore dans mon vagin.

Vraiment, j’adore, je ne pensais pas que ça pouvait être aussi bon, de jouir ainsi. Je n’arrive pas encore à y croire, et pourtant je viens de le faire, je viens de vivre cette jouissance absolue. Tout mon être est encore lourd, dépourvu de sens pour certaines parties, comme mes jambes, mes bras.

Je n’ai plus du tout de force, seule notre respiration se fait entendre au milieu de ma chambre. Nous allons restés là, encore quelques minutes, avant de pouvoir s’enlacer, s’embrasser. Ce moment nous le savourons dans un silence absolu, un plaisir immense, partagé entre deux êtres nus, s’aimant d’une seule et même façon.
chapitre 87 image
Nous sommes toujours allongés nus, l’un contre l’autre, reprenant peu à peu nos esprits. Seulement après quelques minutes, tout en restant dans le silence, nos regards se croisent, nos mains viennent s’entremêler.

Je vois dans les yeux de Guillaume, cette question qui ne cesse de se répéter, cette réponse qu’il attend patiemment. Il me caresse le visage délicatement, avant de prononcer ces quelques mots…

Guillaume : tu, tu as jouie mon cœur ?

Tout raisonne dans ma tête, je suis encore dans les vaps on dirait, abasourdi par la vague de plaisir que j’ai pu ressentir. Je n’ai pas besoin de réfléchir à sa question, seulement à trouver le souffle pour pouvoir lui répondre.

Je le regarde, les yeux remplis d’amour, tout en réunissant le peu de force que j’ai pour lui répondre…

Moi : o… oui mon cœur, tu… tu ne peux pas, savoir à… quel point…

C’est dans un souffle encore coupé que je lui réponds, mais l’expression sur son visage me fait chaud au cœur. Il est heureux, ses yeux brillent, il est fière de lui, de m’avoir fait jouir ainsi, d’avoir pu combler sa petite amie.

Il me sert fort dans ses bras, me couvrant de milliers de baiser. Il prend soin de moi, tout le temps pendant lequel je reprends mes esprits. Je ne savais pas que jouir ainsi pouvait être à ce point soporifique. Nous restons tous les deux allongés, nus, à se parler, à dire nos ressentis. Je lui décris tout, tout ce que j’ai pu ressentir dans mon corps, dans ma tête, au moment de jouir.

Il m’écoute, attentif, comme un enfant à qui on livre un secret. Il me dit qu’il m’aime, qu’il est heureux de vivre ces moments avec moi. Je lui dis à quel point je l’aime aussi, que nous partagerons encore d’autres moments comme celui-ci.

Guillaume regarde l’heure, ma mère ne va pas tarder à rentrer, il voudrait bien prendre une douche avant, mais je n’ai vraiment pas la force de me lever. Je le regarde alors aller chercher ses affaires, et les miennes éparpillées un peu partout dans l’appartement, puis se diriger vers la salle de bain.

J’écoute l’eau couler, pendant que je ferme les yeux quelques minutes, je suis si bien dans mon lit, si bien que je finis par m’endormir. Ma tête est lourde, je dors profondément tout en sachant que Guillaume est sorti de la salle de bain, qu’il est présent à mes côtés.

J’entends sa voix, me demander si je ne veux pas aller à la douche, mais c’est au dessus de mes forces. Je continue de dormir, sentant ses bras m’enlacer, me couvrir d’un drap.

J’ouvre les yeux un moment, je somnole, ma tête est toujours lourde, tandis que je vois Guillaume sortir de ma chambre. J’entends dans le salon, une discussion, je comprends alors que ma mère est rentrée. Je reste ainsi les yeux fermés, dans un profond sommeil, jusqu’à entendre ma porte s’ouvrir.

Je ne sais pas combien de temps s’est passé, je sais seulement que c’est ma mère qui est là, assise sur le rebord de mon lit, me demandant de me réveiller. J’émerge petit à petit au son de sa voix, lui demandant comme je peux où est Guillaume…

Maman : il est rentré chez lui ma puce, il est déjà 18H
Moi : oh, c’est vrai ?... Je…
Maman : ne t’inquiètes pas, il m’a dit qu’il t’enverrait un message ce soir pour savoir comment tu vas
Moi : d’accord…
Maman : allez marmotte, réveille toi, tu vas venir prendre un bain avec moi
Moi : j’arrive…

En effet j’ai beaucoup dormi, ça ma fait énormément de bien. Je me lève comme je peux, je me sens lourde, comme dépourvu de muscles, ou même de corps, ne ressentant qu’une masse. J’entends l’eau couler, je suis assise sur le rebord de mon lit quand la porte s’ouvre de nouveau.

Je vois alors dans l’encadrement apparaître ma mère entièrement nue, elle s’avance vers moi, puis je passe mes bras autour de sa taille pour l’enlacer. Elle me caresse les cheveux, me demandant de me lever.

Je lui demande un instant pendant lequel je reprends mon souffle, puis dans une longue respiration, je sens une légère odeur, qui m’est familière. J’ouvre les yeux, et me trouvant à hauteur de son bassin, je comprends que je sens à ce moment là, l’odeur intime de ma mère.

Cela me trouble complètement, je suis prise dans une curiosité, cherchant de nouveau à humer son odeur. Je dépose mes mains sur ses fesses pour la rapprocher de moi, puis je l’embrasse tendrement sur le bas du ventre, presque au dessus de son pubis.

La vue de son sexe poilu, si près de mon visage m’excite terriblement, elle n’a sûrement pas remarqué mon état, et heureusement, sinon je ne sais pas comment elle aurait réagie.

Je retrouve enfin un peu plus de force pour me lever, puis nous voilà toutes les deux dans la baignoire. Ma mère en face de moi me sourit, elle sait qu’il a du se passer pas mal de choses durant cet après-midi. Elle a parlait avec Guillaume, prenant le temps de discuter de plusieurs choses sans chercher à le gêner.

Il est resté longtemps parler avec elle, elle l’aime beaucoup, surtout dans sa façon d’être posé, timide, humble. Guillaume a prévenu ma mère de ne pas entrer dans ma chambre, que j’étais simplement couverte d’un drap, sous lequel je suis nue.

A ce moment là ma mère n’a pu que sourire, laissant apparaître du côté de Guillaume une petite gêne. Bien sûr elle l’a rassuré, lui disant qu’il est ici chez lui, que nous pouvons faire ce que nous voulons. Je suis heureuse que ma mère et Guillaume puissent si bien s’entendre, elle cherche à le rassurer du mieux qu’elle peut, mon chéri n’ayant jamais eu de conversation sur un sujet intime avec ses parents.

Elle sait comment lui parler, pour le mettre en confiance, elle lui a également dit, que s’il avait des questions, n’importe lesquelles, qu’elle serait présente pour lui apporter une réponse. J’aime beaucoup ma mère, sa façon de toujours vouloir prendre soin des autres, de les aider.

Puis à mon tour, dans cette baignoire, je lui raconte mon après-midi, tout ce que j’ai pu vivre et ressentir. Ma mère est souriante, fière de moi, d’avoir découvert cette jouissance à deux. Elle comprend alors pourquoi je suis si fatiguée, puis elle me rassure, me disant que les prochaines fois seront encore meilleures.

Elle me donne déjà envie d’y être, de vivre ces moments, mais cette fois-ci je saurais être patiente, pour savourer cet instant comme il se doit.
chapitre 88 image
Ce soir là, comme promis, Guillaume m’envoie un message pour me demander comment je vais. Nous avons pris le temps de dialoguer comme nous le faisons chaque soir. Je l’ai rassuré quant à mon état de fatigue, que ma jouissance avait été si intense, que je me suis écroulée, épuisée.

Je dois avouer que j’ai vraiment aimé ce moment, que je n’arrive pas à y croire encore, tellement c’était intense. Je ne pensais pas que l’on pouvait éprouver un tel plaisir, un tel degré de jouissance. Je pense que je vais encore découvrir beaucoup de choses concernant le sexe à deux, que je n’expérimente là, que la surface du plaisir.

J’en parle toujours avec ma mère, elle sait me conseiller, me guider sur beaucoup de chose. Notre relation unique nous permet de parler sans tabou, de se confier librement sur tous sujets. Je me rappelle encore ce qui a déclenché tout ça, ce fameux après-midi où elle m’a surprise en train de me masturber devant l’ordinateur.

Quand j’y repense, cela me fait sourire, tout à changer depuis ce jour là, et pour le meilleur.

Les jours passent, avec Guillaume je suis toujours sur mon petit nuage, je me sens si bien avec lui. Depuis sa petite discussion avec ma mère, il est moins craintif à l’idée de passer vite fait chez moi après les cours, pour passer un bon moment à deux.

Nous devenons de véritable petit lapin, nous avons toujours envie l’un de l’autre. Pour le coup chaque soir après les cours, nous quittons très vite les autres pour venir chez moi. Une fois la porte fermée, nous nous embrassons, nous nous caressons avec une telle énergie, puis nous faisons l’amour.

Nous profitons au plus vite l’un de l’autre avant que ma mère ne rentre, et qu’est ce que c’est bon. Mon Dieu, surtout après une journée de cours à ne penser qu’à cet instant, il devient libérateur lorsque nous pouvons enfin faire l’amour. Je ne jouie pas à chaque fois que nous le faisons, mais qu’est ce que je me sens bien avec lui, avec son sexe au fond de moi.

Je suis dans un moment d’extase à chaque fois, même si je n’atteins pas la jouissance de l’autre jour, je me sens comblée, satisfaite. Après avoir fini, nous avons tout juste le temps de remettre un peu d’ordre lorsque ma mère arrive.
Elle est toujours souriante de nous trouver là, tous les deux. Son regard, son sourire en dit long, mais cela ne semble plus vraiment gêner Guillaume. Il devient peu à peu, plus à l’aise, nous prenons toujours le temps de se parler tous les trois avant qu’il ne parte.

Seul les mercredi après-midi restent pour nous le moment idéal pour profiter l’un de l’autre comme il faut. Dans ces moments là, nous prenons le temps, nous savourons l’instant. Nous ne sommes plus dans cet état d’esprit de finir en cinq minutes, c’est tout à fait le contraire.

C’est l’occasion pour nous de se parler longuement sur ce que nous pouvons ressentir, pendant que nous faisons l’amour. Guillaume est toujours attentif, comme pour prendre note de ce qui me fait vraiment plaisir, et l’appliquer aussitôt. Nous testons aussi ce qui nous vient à l’esprit, comme faire l’amour dans chaque pièce de l’appartement.

Comme par exemple, juste derrière la porte d’entrée, une fois celle-ci fermée. Je crois d’ailleurs que quelqu’un montait les escaliers à ce moment là, nous étions pris d’un fou rire. Nous avons également fait l’amour dans la cuisine, contre, et sur le plan de travail. Nous aimons aussi le faire sur le canapé, que ce soit lui, ou moi au dessus, nous prenons toujours autant de plaisir.

Ma chambre, nous la connaissons par cœur, mon lit, mon bureau, tout ce qui peut nous passer par la tête. La salle de bain est également un de mes endroits préférés, ressentir nos corps nus, se frotter l’un contre l’autre, pendant que l’eau coule sur nous, j’adore.

C’est dans tous ces moments là, surtout le mercredi après-midi, que je me libère totalement, que je cri mon plaisir, que j’atteins un orgasme intense. Comme je vous l’ai dis, nous sommes devenus de vrais lapins, nous faisons l’amour autant de fois que possible chaque mercredi.

Je ne tiens pas vraiment les comptes, mais je pense qu’un jour, nous avons fait l’amour pas loin de cinq fois en quatre heures. Ce jour là, je n’en pouvais plus, il me semblait ne plus avoir de force dans les jambes. Je ne marchais plus très droit pour aller à la salle de bain.

Il m’est de nouveau arrivé, d’être si fatiguée, que je me suis endormie encore comme une masse après l’amour. Laissant de nouveau mon chéri seul, heureusement, il est plus à l’aise, c’est en même temps une occasion pour lui et ma mère de discuter tranquillement.

Il y a également eu ce moment où mère nature m’a rappelait à la réalité, je grandis, j’évolue, mais j’ai aussi mes règles. Là encore une fois, Guillaume se montre tout attentionné envers moi. Il sait combien je me sens mal à cette période du mois, et franchement, mon chéri est parfait dans sa façon de s’occuper de moi.

Je ne passe pas forcément une bonne journée, mais le soir, après les cours, il me raccompagne, reste à mes côtés jusqu’à ce que ma mère arrive. Ce sont peut-être de petites choses insignifiantes pour certains, mais pour moi, il est parfait.
Je suis juste un peu déçue de ne pas pouvoir profiter de lui sexuellement à cette période, ou du moins que je m’occupe de lui. Mais il ne veut pas, il veut à tout prix que je me repose, surtout avec mes douleurs, mes nausées, et mon mal de tête.

Bien sûr, je ne manque pas de passer du temps avec ma mère, de tout lui raconter à chaque fois. Ces moments mère fille sont toujours aussi agréable, pleins de tendresse. Une chose aussi, lorsque je suis à moitié endormie dans ma chambre, elle vient me chercher totalement nue, en laissant couler l’eau pour remplir la baignoire.

Je profite de cet instant pour me coller à elle comme je l’ai déjà fait, puis discrètement, plaçant mon visage près de son pubis, je ressens son odeur. C’est un secret encore inavoué à ma mère, de peur qu’elle ne trouve ce geste déplacé, tout comme la fois où je lui ai touché l’anus pendant ce massage.

Je garde ça pour moi, du moins pour le moment, j’espère être discrète lorsque je le fais, mais cette curiosité grandi petit à petit en moi. Je suis partagée entre le désir et l’interdit.

Nous arrivons à mi février, depuis ce fameux jour, où j’ai perdu ma virginité, je n’ai pas arrêté d’expérimenter le sexe à deux. Nous avons fait l’amour dans toutes les pièces, puis nous avons également essayé plusieurs positions nous inspirant d’internet. Le classique missionnaire, l’Andromaque dont j’ignorais totalement le nom, la levrette qui met Guillaume dans un étant second, ce qui n’est pas pour me déplaire.

Pour le moment, c’est tout ce que nous avons pu tester, cependant, je sais très bien que ce n’est que le début, que nous allons encore découvrir pas mal de choses. Jusque là, je n’ai pas retenté de finir Guillaume en bouche, il ne veut pas que cela me dégoûte, et il faut l’avouer, nous sommes tellement excités, que nous ne résistons pas plus à l’appel de la pénétration.

Guillaume de son côté est devenue expert en cunni, je dois vous dire qu’il ne me faut pas longtemps pour atteindre un orgasme intense, sous les jeux de langue de mon chéri. Il adore ça, me faire vibrer, gémir, crier de plaisir avec sa langue. Je me laisse complètement aller, lorsqu’il se positionne entre mes jambes.

Nous sommes si bien lorsque nous nous retrouvons seul, savourant chaque moment qui nous est offert, avec autant de plaisir à chaque fois. Nous sommes deux jeunes amoureux, à l’écart du monde, insouciant, enveloppé dans cette bulle de désir et de plaisir.
chapitre 89 image
Nous arrivons à la fin de la semaine, mais aussi au début des vacances du mois de Février. Nous nous retrouvons tous devant la grille du collège, je profite du dernier instant avec Guillaume, car je ne le verrais pas avant deux semaines. Je suis déjà triste rien que d’y penser, deux semaines sans le voir, puisqu’il doit partir chez sa mère.

Tous les autres ont également prévu de partir pendant les vacances, tandis que moi je n’ai rien de prévu de mon côté. C’est avec beaucoup de difficulté que je dis au revoir à mon chéri, je souhaiterais pouvoir profiter de lui encore quelques instants, mais le moment est venu de rentrer chez soit.

Sur le chemin, je marche lentement, la tête dans les nuages, espérant de tout cœur que ces vacances passent au plus vite. Je ris toute seule, me disant que je dois sûrement être la seule à désirer cela. En rentrant chez moi, je m’étale de tout mon être dans mon lit, me disant que la vie est pourrie. Je ne bouge plus, ne sachant plus vraiment quoi faire, à part me plaindre de tout.

Si seulement je pouvais partir avec lui pendant ces vacances, je me sentirais moins seule. J’aurais pu rencontrer sa mère, et sans doute les autres membres de sa famille, puisqu’il a prévu de rejoindre sa cousine pour lui fêter son anniversaire. Mais non, au lieu de ça, je suis là, allongée, inerte, broyant du noir en attendant que l’on vienne me secouer.

A force de rester ainsi, je finis par m’endormir, au moins jusqu’à ce que ma mère n’arrive. En me voyant couché, elle me demande si je vais bien. A ma réponse elle devine mon état, puis me dit que ce n’est que deux semaines à passer, que je vais très vite retrouver mon chéri.

Elle a sûrement raison, ce n’est qu’un temps à passer, un temps durant lequel je pourrais m’occuper. Alors c’est décider, je ne vais pas me laisser abattre, je vais mettre ce temps à profit pour essayer des choses, apprendre ou autres.

Et c’est ce que j’ai fait, je me suis tout d’abord attaquée à mes devoirs, les profs ont toujours la riche idée de nous ensevelir d’une tonne de boulot durant les vacances. Mais bon, c’est ainsi, je m’y mets doucement, prenant le temps de faire ça bien. Puis une fois les devoirs finis je me suis attaquée à un gros ménage dans ma chambre.

J’ai été surprise de retrouver une capote usagée sous mon lit, je me suis mise à rire toute seule en la trouvant, mais ma mère aurait sans doute été en colère, surtout vu le bordel à ranger. Après, parmi toutes celles utilisées, en retrouver juste une sous mon lit, ce n’est pas la mort non plus.

Mais bon au moins, ma chambre est de nouveau propre à présent, puis dans le même élan, je me suis attaquée à tout l’appartement. Le soir en rentrant ma mère était toute contente de moi, du travail qui a été fait.

Chaque soir après avoir passé du temps avec ma mère, je reste sur mon téléphone pour dialoguer avec Guillaume. Il me raconte ses journées, ce qu’il fait pour s’occuper, comme par exemple faire de petits travaux chez sa mère, mais malgré tout ça, je lui manque beaucoup.

Je ressens également la même chose, mais il faut m’occuper l’esprit, alors je décide de me lancer dans la cuisine, ou plutôt, quelques gâteaux facile à réaliser. Bon le premier essai, malgré le mot « facile » est un véritable échec. Mais je ne baisse pas les bras, je recommence, et cette fois ci, c’est une réussite. Ce n’est pas non plus un chez d’œuvre, puisque ce sont là des recettes rapides et faciles à réaliser.

Toutefois, je m’y mets, je commence même à y prendre goût à en faire. Je n’arrête plus, chaque jours, de nouvelles recettes, je deviens vraiment douée, et fière de moi. Bon au bout de la première semaine de vacances, ma mère m’a gentiment demandé d’arrêter d’en faire. Ils sont très bon, il n’y a rien à redire là-dessus, seulement, il y en a trop.

En effet à ne plus pouvoir les manger, nous en avons offerts aux voisins, mais on ne va pas non plus en offrir tous les jours, ils serraient vite saturés eux aussi.

Ce vendredi soir en rentrant de la zumba, ma mère m’invite à prendre un bain avec elle. Une fois dans l’eau nous discutons comme d’habitude, puis nous venons à parler de Christine.

Aux dernières nouvelles, elle a franchi le pas de la rencontre avec ce fameux bel homme du site, et après quelques rendez-vous, elle a également passé une nuit avec cet homme. Ils se sont revus encore, pour passer de bons moments, mais au bout du compte, ils n’ont pas plus accroché que ça.

Cela ne la pas empêché de renouveler l’expérience, un dialogue, un rendez-vous, puis un moment de plaisir. Apparemment, quatre hommes sont passés dans son lit, ou elle dans le leur, peu importe. Je souhaite seulement souligner une chose, de où sortes ces histoires ?

J’ai l’impression d’avoir un retard sur tout ce qui s’est passé, c’est seulement à ce moment là, que je me rends compte, que j’étais tellement dans une bulle parfaite avec Guillaume, que je n’ai plus fais attention à ce qui m’entoure.
Je reprends un peu conscience du monde qui m’entoure, je me réveil un peu de cette utopie avec Guillaume. Il m’aura fallu tout de même une semaine, pour prendre conscience de cela, que je ne vivais plus que des moments forts et intimes, qu’avec mon chéri.

Il est comme une drogue pour moi, c’est une personne dont je ne peux plus m’en passer, mais il me rend tellement accro, que je ne fais plus attention à tout ce qui m’entoure. Ok pour les nouvelles de Christine, mais je me rends compte, que du côté de ma mère, elle n’a plus fait de rencontres, depuis un bon moment maintenant.

Je m’en veux tellement, j’ai l’impression de l’avoir délaissé, heureusement pour elle ce n’est pas le cas. Elle n’a pas non plus cherché à rencontrer quelqu’un ces derniers temps, attendant peut être le bon, ou alors cette petit étincelle comme elle dit.

D’un autre côté elle était également attentive à tout ce que je vivais ces derniers jours avec Guillaume. Elle est tellement gentille de toujours ce soucier de moi, mais je lui rappel tout de même que je ne veux pas être un frein pour elle. Tout en me souriant, elle me promet de faire un effort, de répondre à quelques messages même si elle n’est pas vraiment convaincu.

En général, un bon bain avec ma mère me permet toujours d’en ressortir avec les idées claires, en l’occurrence, cette fois-ci, j’ouvre les yeux sur le fait d’avoir laissé passer pas mal de choses. Après ce bain nous avons dîné, puis je me suis installée dans mon lit.

Je pensais à cette histoire avec Christine, ou plutôt ses histoires avec ces hommes, mais par-dessus tout à Nora. Je me demande comment elle vit cela, sachant qu’elle avait du mal avec sa belle-mère, je me dis que ça pourrait être une situation difficile, avec un des hommes rencontrés par sa mère.

Etant sur mon téléphone, je lui envoi un message, pour avoir un peu de ses nouvelles. C’est tout de même fou, on est dans le même collège, mais je trouve le moyen de ne pas la voir, ou du moins discuter un peu avec elle.

Mon téléphone vibre, un message, celui de Nora. J’enchaîne de suite pour savoir comment elle va, ayant appris pour sa mère et ses rencontres. Dans les messages, je l’ai sentie un peu ailleurs, donc difficile de vraiment en parler.
Cependant, elle me demande si j’ai quelque chose de prévu demain. Bien sûr, à part faire quelques gâteaux non, et comme me l’a gentiment demandé ma mère, je vais arrêter pendant un moment.

Je lui dis que je n’ai rien de prévu, elle m’invite donc à passer la journée avec elle, pour se balader en ville, sortir un peu de chez nous, mais surtout discuter, si j’ai bien compris. Le rendez-vous convenu, je la laisse tranquille. Je préviens tout de même ma mère que demain, je serais de sortie avec Nora, ce qui lui fait plaisir.

J’ai hâte d’être à demain, de sortir un peu, vu que je n’ai pas bougé de l’appartement depuis le début des vacances. Oui il serait temps pour moi de sortir, de reprendre contact avec le monde extérieur, et surtout de passer du temps avec mes amis.
chapitre 90 image
Ce matin, je me réveil tranquillement vers 9H, je suis tout de même en vacance. Je me lève direction la cuisine pour prendre mon petit déjeuner, où je retrouve ma mère. Elle profite également de son week-end pour se lever un peu plus tard que d’habitude.

Aujourd’hui elle n’a rien de prévu, à part faire une lessive puis se reposer. De mon côté je sors avec Nora, nous avons prévu de se retrouver à l’entrée du collège, puis d’aller en trainer en ville sans but précis. J’attends son message, pour savoir vers quelle heure elle souhaite que l’on se rejoigne.

En attendant, je prends mon petit déjeuner sans me presser, en parlant avec ma mère. Elle me demande ensuite si j’ai du linge à lui donner pour faire la lessive. Je vérifie ma chambre, quelques T-shirts sur ma chaise, et une culotte. Ça va, d’habitude, il y a une tonne de linge par terre, ou un peu partout dans ma chambre. Mais depuis que j’ai tout nettoyé, ça ressemble un plus à une chambre, plutôt qu’un débarra.

Pendant que je réunis tous les vêtements, je reçois un message de Nora, elle me dit qu’elle se prépare, que si tout est bon pour moi, on peut se retrouver d’ici trente minutes au collège. Je lui réponds vite fait, je passe mon linge à ma mère, puis je passe à la douche pour me préparer.

Une fois prête, je fais un gros bisou à ma mère, je ne sais pas encore à quelle heure je vais rentrer, mais je pense plus vers 18 H. Pour elle, pas de soucis, je sors de chez moi, direction le collège, où je retrouve Nora qui est déjà là.

Je lui fais la bise, ça va, je ne l’ai pas trop fait attendre, vue qu’elle vient tout juste d’arriver. Nous commençons notre chemin vers la ville, ça nous fait du bien à toutes les deux de sortir. Elle commençait à ne plus savoir quoi faire chez elle, tout comme moi, à part des gâteaux.

Je me suis tellement bien lancé dans les gâteaux que nous en avons pratiquement offerts à tous les voisins. Nora rigole, elle se dit aussi que ce serait une bonne idée, de se faire un après-midi pâtisserie. Je suis tout à fait partante, peut-être dans la semaine.

Tout en se promenant, nous visitons quelques boutiques en chemin, avant d’arriver au centre commercial. Nous ne faisons principalement que regarder, en admirant certains vêtements, bijoux et autres. Nous passons un bon moment à regarder des sous-vêtements, je repense alors à mes amis, à nos jeux.

J’en ris toute seule, Nora se demande d’ailleurs pourquoi je ris en regardant des sous-vêtements, je lui dis tout simplement, que ce sont des jeux avec Estelle et Kévin. Elle ne me pose pas plus de questions à ce sujet, mais en parlant de sous-vêtements, je lui demande ce qu’elle préfère.

Elle me dit plutôt être classique, elle n’aime pas l’idée même de porter un string, donc elle reste sur le style culotte et shorty. Je la rassure, je préfère aussi les culottes et shorty, quelques tangas sont dans ma commode, mais pour ce qui est des strings non, ce n’est pas pour moi.

Après ce petit moment dans les boutiques de sous-vêtements, nous sommes allées manger dans un petit café du centre. De là j’ai commencé un peu à lui poser des questions sur sa relation avec sa mère, s’il y a eu une évolution ou non.

Elle me dit avoir suivi mon conseil, elles ce sont mises à passer plus de temps ensemble, à se parler pratiquement de tout, ce qui fait très plaisir à sa mère. Elles ont parlés sur quelques sujets intimes, mais Nora n’étant pas plus intéressée que cela pour l’instant, sa mère ne lui posa pas plus de questions.

Néanmoins elle lui dit être présente si elle a une question ou autre, je rassure Nora sur ce point, la sentant un peu dérangée. Je lui dis avoir vécu la même période, bien que je sois resté seule dans mon coin, j’avais des questions auxquelles ma mère m’a apporté des réponses.

Ce fût et ce sont toujours de bons conseils que ma mère me donne, cela nous permet d’avancer plus sereinement dans la vie, du moins jusqu’à vivre sa propre expérience, et avoir ses propres réponses.

J’en viens aussi à lui demander comment elle a prit le fait que sa mère rencontre des hommes, mais surtout comment elle le vit.

Au début, pour Nora, tout allait bien, elle était contente de voir sa mère souriante en dialoguant avec cet homme sur le site. Le tout premier avait mis du temps, discutant chaque soir de la semaine avec elle, au fil du temps, sa mère s’est mise à être rayonnante. De là ils ont convenu d’un rendez-vous, un dîner pour se rencontrer.

Nora était toute impatiente de revoir sa mère pour avoir les détails de cette rencontre, puis il y a eu une autre occasion pour eux deux de se voir, encore une autre, et encore une. Un soir, sa mère n’est pas rentrée, de son côté Nora n’avait pas bien dormi, s’inquiétant un peu.

Mais le lendemain en voyant le visage resplendissant de sa mère, elle comprit alors que sa mère avait passée une belle soirée. Puis ils ont encore remis ça, sa mère revenait toujours avec un sourire aux lèvres.
Là où la situation est devenue plus bizarre selon Nora, c’est le soir, où sa mère est revenue avec cet homme. Je me doute bien, étant donné l’état de bonheur du couple, qu’il y a dû y avoir du bruit. Ce qui est normal en soit, mais pas pour Nora qui fût légèrement dégoûtée.

Je cherchais à en savoir plus, mais elle ne voulait pas en parler, du moins pas ici, dans un lieu public. Alors nous nous sommes levées, nous avons marchés en direction de quelques boutiques, avant de quitter le centre commercial.

Je sentais que Nora avait le besoin de parler, mais elle ne se sentait pas à l’aise. Alors pour remédier à cela, je lui ai proposé de venir chez moi, ou alors aller cher elle. Etant seule chez elle toute la journée, nous avons très vite pris la direction de leur appartement.

Sa mère étant partie rendre visite à un homme, elle ne sera de retour que ce soir. Nous arrivons donc chez Nora, l’appartement est simple et coquet. Elle me fait une visite rapide, puis nous nous installons dans sa chambre, pour plus de confidences.

Dans l’intimité de sa chambre Nora se sent plus à l’aise pour parler, elle me dit être contente pour sa mère, que des hommes la trouvent séduisante. Au tout début, Nora attendait avec impatience de connaître comment s’était passé la soirée de sa mère.

Nora buvait toutes les paroles de sa mère, elle espérait au travers de celles-ci trouver une histoire d’amour, unique, comme dans les films. Elle misait tout sur le premier homme en particulier, séduisant, posé, il arrivait à illuminer la vie de sa mère. Puis Nora a fait la connaissance de cet homme, ils se sont de suite entendu, elle était à l’aise avec lui.

En me racontant tout ça, je me demande ce qui a bien pu clocher dans cette histoire, pourquoi Nora semble avoir du mal avec les hommes de sa mère ?

La réponse a été difficile à avoir, il y a beaucoup d’hésitation pour Nora, mais je suis là, je lui dis que rien de tout cela ne sortira de cette chambre, ça restera entre elle et moi.

Nora timidement, se lance, elle me dit qu’elle a honte, puisque la nuit où cet homme est venu ici, elle a entendu cet acte intime, elle a entendu ces gémissements, ces plaintes contenant désir, plaisir et jouissance.

Après cette nuit, elle semblait perdue, évitant le regard de sa mère et de cet homme. Puis ils ont recommencés, encore et encore, exprimant toujours autant de plaisir. Elle est là devant moi, honteuse dans sa révélation, baissant la tête attendant un jugement, un soutien, un conseil.

Je lui prends les deux mains, Nora détourne légèrement le regard…

Moi : hey, tu n’as pas à avoir honte tu sais, ce sont des choses qui peuvent arriver, et pour te rassurer, ça m’est arrivé d’entendre ma mère avec un homme aussi
Nora : oui mais, tu vas me trouver bête…
Moi : non jamais je ne penserais ça de toi
Nora : ok, mais honnêtement j’étais contente pour ma mère, mais pour moi, le sexe à son âge, je pensais que c’était …
Moi : fini ?
Nora : oui, enfin voilà, et en entendant ma mère faire l’amour, je me suis mise à voir des images trop bizarres…
Moi : des images ?
Nora : oui des images de ma mère et ce mec… faisant l’amour, je… je ne suis pas normale ?
Moi : hey, retire de suite cette idée de ta tête, c’est tout à fait normal
Nora : oui mais…
Moi : il n’y a pas que ça, n’est ce pas ?
Nora : je… je…
Moi : tu t’es masturbée ?

Devant moi Nora relève la tête, les yeux écarquillés, ma question l’a complètement surprise, comme si un projecteur était braqué sur elle. Elle détourne de nouveau le regard, sentant sûrement dans ma question une pointe de jugement, mais il en est rien.

Moi : hey Nora, regarde moi, je ne te juge pas, c’est une simple question
Nora : humm….
Moi : en fait je te pose cette question, car c’est ce que j’ai fait moi

Son regard fixe le mien de nouveau, elle est une nouvelle fois surprise, puis elle bafouille une phrase incompréhensible avant de se reprendre…

Nora : tu t’es… masturbée, en… en écoutant ta mère ?
Moi : oui, c’est ce que j’ai fait, et si tu l’as fait aussi, ne t’inquiète, c’est normal
Nora : c’est normal tu trouves ?
Moi : ba moi je me sens normal ahaha

Nora me voyant rire, commence elle aussi à m’imiter, se posant encore la question de ce qui est normal. Puis après ce moment de rire qui l’a un peu détendu, je reviens sur le sujet, lui expliquant que pour moi c’est tout à fait normal.

Entendre des personnes prendre du plaisir, surtout à notre âge où nous sommes constamment perturbés par nos hormones, cela devient forcément une source d’excitation et de plaisir. Je lui raconte les images que j’ai eues dans ma tête, le désir de les entendre à nouveau, puis la jouissance que j’ai eue en me touchant.

Je vois que Nora se détend de plus en plus, je suis contente de moi, de pouvoir l’aider dans cette situation. Elle me dit combien elle a eu honte de tout ça, mais aussi combien elle a ressenti de plaisir en se masturbant. Elle était rempli de doutes, de remords, ce qui là un peu éloigné de sa mère, mais je l’encourage, je lui dis qu’elle n’a plus à avoir ces pensées, et surtout qu’elle n’a pas à avoir honte de sa mère et de son plaisir.

Nora : je suis contente d’avoir pu trouver une personne à qui en parler, et surtout qui me comprends puisque tu as vécu la même chose… Merci
Moi : c’est tout à fait normal, désolée de ne pas avoir pu être là avant, tu es restée un bon moment avec toutes ces pensées
Nora : oui, mais ce n’est rien, j’ai trouvé quelqu’un à qui en parler maintenant, et puis tu étais tout le temps avec ton chéri
Moi : c’est vrai, mais je devrais prendre un peu plus de temps pour mes amis aussi
Nora : peut-être oui, d’ailleurs je peux te poser une question ?
Moi : oui vas-y

Nora me demande timidement où j’en suis avec Guillaume, honnêtement je n’ai rien à cacher, et je suis tellement heureuse avec lui que j’ai envie que tout le monde le sache. Alors sans plus attendre je lui dis, que nous avons pris un peu de temps, que nous avons fais l’amour, et que c’était fabuleux.

De là elle s’est mise à me poser énormément de questions, sur mes ressentis, mes peurs. Nous sommes restées là, toutes les deux, tout l’après-midi, à se parler, à la rassurer sur bien des points. Concernant sa relation avec sa mère, elle va se reprendre, renouer le lien qui a été crée, en espérant l’approfondir. Pour son plaisir intime, je lui dis de se lâcher, de faire ce qui lui passe par la tête, que c’est son jardin secret et qu’il n’appartient qu’à elle d’en faire ce qu’elle veut.

Parler de masturbation avec Nora m’a tout de même émoustillé, bien que je n’aie pas eu de détail de sa part, le simple fait de savoir qu’elle aussi, s’est masturbée en écoutant sa mère faire l’amour, m’excite un peu. Je regarde par moment ce lit sur lequel je suis assise, en l’imaginant faire, cela n’arrange en rien mon excitation.

Heureusement pour moi le temps passe, et je ne l’ai pas vu filer. Cette journée m’a vraiment fait du bien, j’ai pu sortir, parler avec une amie de beaucoup de choses, notamment la rassurer, la conseiller. Nora est vraiment une chouette fille, je me retrouve en elle, nous avons pratiquement le même caractère, presque le même vécu, et semble t’il la même curiosité…
                                                                    
chapitre 91 image
Lorsque j’arrive chez moi, en passant la porte je ne vois personne. Bizarre, je ne pense pas que ma mère soit partie, elle n’avait rien de prévu pour aujourd’hui, mais a peut-être eu besoin de sortir.

Je regarde sur la porte du frigo, voir si elle a laissé un mot, mais rien, sur mon téléphone pas de message. Ce n’est pas grave, je me dis qu’elle va sûrement très vite rentrer, puis je me dirige vers ma chambre pour déposer mes affaires.

Je suis dans le couloir quand je vois la porte de ma mère entrouverte, j’écoute mais aucun bruit, je vérifie tout de même. C’est là, dans cette petite ouverture que je vois ma mère, étendue sur son lit, entièrement nue. Elle semble reprendre son souffle, une main encore posée entre ses cuisses. J’arrive tout juste à la fin de son plaisir, je souris toute seule avant de toquer à la porte pour lui dire que je suis là.

Elle sursaute, cherchant à se relever, puis en me voyant elle reste encore un peu surprise. Je dois vraiment lui avoir fais peur, je m’excuse, je ne voulais pas l’effrayer, juste m’annoncer. Elle se met à rire un peu gênée, me disant qu’elle était perdue dans ses pensées, et qu’elle n’avait rien entendu.

Elle regarde l’heure, elle pensait que je rentrerais plus tard que ça, mais je ne voulais pas trop m’attarder chez Nora, ne voulant pas embêter sa mère lorsqu’elle rentrerait. Je lui dis avoir envie d’un bain, que je fais couler l’eau. Bien évidement elle me sourit en me disant me rejoindre dans quelques minutes.

Je passe par ma chambre, dépose mes affaires, puis je vais dans la salle de bain pour faire couler l’eau. J’enlève quelques habits, puis une envie de boire me prends. Je laisse couler l’eau en allant dans la cuisine me prendre un verre d’eau. Tout en buvant je remarque que l’ordinateur est allumé, ma mère a sûrement dû oublier de l’éteindre. Je prends la souris, il y a une page internet encore ouverte en miniature.

Je clique dessus, puis découvre un site porno, sur lequel une vidéo où deux femmes se masturbent l’une devant l’autre. Je souris en voyant cette vidéo, ma mère a certainement commencé à se faire plaisir ici, puis est allée dans sa chambre pour être plus à l’aise. Je ferme tout, j’éteins l’ordi puis je regagne la salle de bain.

La baignoire est assez remplie, je coupe l’eau en me déshabillant totalement, puis ma mère me rejoint. Son regard me parcourt de la tête aux pieds, je lui souris sachant que c’est toujours un plaisir pour nous, de partager ce moment.

Nous nous installons, qu’est ce que je me sens bien, l’eau est chaude, je suis détendue. Ma mère me demande comment s’est passée ma sortie avec Nora, je lui raconte, les boutiques, le centre commercial, le petit café où nous avons mangé, puis notre discussion qui c’est finit chez elle.

Je lui raconte longuement notre échange, ses doutes, ses peurs, et ses jugements envers elle-même. Je sais que j’ai promis à Nora de ne rien dire à ce sujet, mais je sais aussi que je peux tout dire à ma mère, sans crainte que cette histoire ne circule.

Ma mère parle presque tout le temps avec Christine, elle lui a dit que Nora a quelque peu changer ces derniers temps, qu’elle était redevenue distante, mais sans comprendre pourquoi. Ou du moins elle pensait que c’était dû au fait que les hommes rencontrés ne lui plaisait pas. Ce qui a eu un impact quant à la relation de Christine et ce premier homme.

Je comprends alors pourquoi ce n’est pas aller plus loin avec cet homme qui pourtant avait tout bon partout. Je suis gênée, surtout pour Nora, en espérant qu’elle n’en saura rien de tout ça. Je ne voudrais pas qu’elle se sente fautive, d’avoir crée un doute chez sa mère, au point d’arrêter de voir cet homme.

Mais bon, je sais que maintenant, Nora va se reprendre en main, renouer les liens avec sa mère. Ce qui sera sans doute très bénéfique pour toutes les deux, sa mère pourra de nouveau rencontrer un homme sans craindre une mauvaise réaction de sa fille, et Nora trouvera certainement un réel plaisir à ce que cet homme passe la nuit chez elles.

Ma mère me regarde, puis elle rit en me disant que Christine et Nora nous ressemble un peu. Je lui dis m’être fait la même réflexion sur le chemin du retour. Je lui demande bien sûr en rapport à toute cette histoire, si j’ai moi-même était un frein dans une de ses relations. Ma mère m’assure que non, qu’il ne faut pas que je pense à ça, puisque c’est tout à fait le contraire.

Qu’elle trouve un réel plaisir à parler de ses rencontres avec moi, d’avoir mon avis, mes doutes, mais aussi qu’elle aime par-dessus tout faire l’amour ici, tout en me faisant un clin d’œil. Je ris de suite, sachant où elle veut en venir, lui répondant que c’est un plaisir pour moi aussi.

Sur ce point là, il n’y a rien à redire, nous sommes toutes les deux coquines, telle mère, telle fille. Je suis contente d’avoir cette relation fusionnelle avec ma mère.

Nous avons comme à notre habitude, passées un bon moment entre mère et fille dans ce bain. Je souris également en repensant à ce que j’ai pu voir sur l’ordinateur tout à l’heure, sachant entre autre que ma mère s’est faite plaisir en repensant sûrement à sa cousine ou autre. Mais je le garde pour moi, je ne veux pas la taquiner avec ça.

Nous finissons par sortir du bain, nous sécher, nous habiller. Nous passons une bonne soirée, un repas chaud, puis un film devant la télé avant de regagner ma chambre.

Je reste sur mon téléphone, même si je sais très bien que je n’aurais pas beaucoup de message de Guillaume ce soir. C’était aujourd’hui l’anniversaire de sa cousine, ils ont passés la journée à se balader, et ce soir ils ont le repas en famille pour fêter ça.

J’aimerais tant être avec lui en ce moment, pouvoir me coller à lui, être dans ses bras, l’embrasser. Sur mon téléphone je fais défiler les photos de nous, comme à chaque fois, où je me sens seule. Je regarde des photos de nous, à l’escalade avec Charles et Jonathan, au collège avec nos amis, ou seuls dans notre coin.

Des photos il y en a des dizaines et des dizaines, puis je souris seule allongée dans mon lit lorsque je tombe sur les photos faites après avoir fait l’amour. On peut nous deviner nus facilement, devinant ce qui a pu se passer juste avant, puis je repense à ces moments.

Il m’en faut peu bien sûr pour me chauffer, doucement ma peau devient plus sensibles, mes tétons pointes légèrement. Ma main parcourt mon corps, puis se faufile sous mes vêtements à la recherche d’une source de plaisir, située entre mes jambes.

Je me caresse doucement, imaginant chaque moment passé avec Guillaume. J’imagine son sexe fièrement dressé devant moi, pendant que je m’occupe de lui. Ces gémissements de plaisir, procurés par la fellation que je pratique. Tout en imaginant cela, je porte à ma bouche deux doigts que je suce, comme si c’était sa queue.

Les yeux fermés, je l’imagine se placer au dessus de moi, venant s’installer entre mes jambes. Son sexe dur à l’entré de mon vagin vient pousser, puis s’introduire en moi. Je me sens très excitée, je mime parfaitement la situation en m’aidant de mes doigts. Malgré que la sensation ne soit pas la même, j’éprouve énormément de plaisir à me masturber.

Très vite, l’atmosphère devient chaude, je retire tout ce que je porte sur moi, me retrouvant toute nue. Je m’imagine faisant l’amour avec mon chéri, il sait si bien s’occuper de moi, il sait ce qui me fait plaisir. Mes doigts vont et viennent dans mon vagin, les frottements me comble à présent, moi qui ne trouvait du plaisir qu’en touchant mon clito avant. Maintenant j’arrive à ressentir beaucoup de plaisir en m’introduisant mes doigts.

Dans mon imagination Guillaume me pénètre très vite, il y va fort, butant au fond de mon intimité. Je reproduis toujours la scène du mieux que je peux, puis je change de position. Il aime me prendre en levrette, apparemment la vue le rend complètement fou d’amour. Je me positionne à quatre pattes dans mon lit, mais très vite le plaisir me submerge, je fléchie, et ma tête vient se reposer sur mon oreiller.

Mon bras est positionné le long de mon corps, ma main entre mes jambes ne bouge plus, je me mets à bouger mon bassin, montant, descendant. Mes lèvres humides glissent le long de mes doigts, tandis que je gémis de plus en plus. Je ne sais plus où j’en suis, dans ma tête les scènes se mélangent, mon chéri est à un moment derrière moi, puis dessous moi. Je tente de me fixer, il est dessous moi, et j’entame des vas et viens rapide sur sa queue. Je mime un mouvement de va et viens, comme si je faisais l’amour à Guillaume, toujours plus vite, plus fort.

Très vite je sens mon plaisir monter, je n’en peux plus, mon visage se plaque sur mon oreiller, étouffant ainsi mes gémissements. Je cris de plus en plus, jusqu’à ce que ma jouissance explose dans tout mon être. Je me sens enfin libérée, apaisée, tandis que des spasmes me parcourent le corps.

Je m’affale entièrement sur mon lit, reprenant mon souffle. Mon esprit lui divague encore, pensant à Guillaume, son corps, son sexe. Je me sens bien mieux, plus légère mais malgré le plaisir ressenti pendant ma masturbation, je ressens un manque de sexe. Je désire surtout celui de mon chéri, je me dis, vivement la fin des vacances que je puisse le retrouver.

Je reste allongée, entièrement nue dans mon lit, laissant mon esprit s’égarer. Dans le silence de la nuit, je peux entendre un léger bruit, un gémissement venant de la chambre de ma mère. Je souris seule dans ma chambre, sans doute a t’elle entendu mes cris, puis elle s’est excitée au point de se donner du plaisir à présent.

Je tends l’oreille, cherchant à l’entendre de nouveau, puis encore une fois un gémissement se fait entendre. Je me laisse emporter par ces sons familiers, puis doucement je dirige de nouveau mes doigts vers mon intimité.

J’imagine ma mère se donnant du plaisir, là de l’autre côté du mur, elle aussi allongée entièrement nue. Je laisse mon imagination prendre le relais, puis, petit à petit, je me mets à penser à Nora et sa mère.

Toute cette discussion que j’ai pu avoir avec Nora aujourd’hui, et nos petites confidences. Je sais qu’elle aussi de son côté se masturbe en écoutant sa mère faire l’amour, alors je me mets à l’imaginer. Sa façon de se toucher, d’être attentive aux moindres sons venant de la chambre de sa mère.

Mon clito est déjà très excité, et encore sensible de la masturbation précédente. Très vite mon plaisir fait surface, il est là, se concentrant de plus en plus en ce point. Les gémissements de ma mère m’emportent toujours plus loin, mes pensées s’entremêlent entre Nora, sa mère puis la mienne.

De l’autre côté du mur, je peux entendre des gémissements plus rapide, elle est sur le point de jouir. Je ne tarde pas non plus, mon corps sensible à la moindre caresse m’électrise à chaque mouvement de mes doigts.

Je laisse moi aussi paraître quelques gémissements de plus en plus rapide et fort. Puis dans les derniers cris de ma mère, je jouie également de mon côté, dans une série de spasmes puissants. Mon souffle est coupé, puis mon corps se contracte avant de se relâcher.

J’apprécie avec toujours autant de plaisir, ressentir tout ce courant me parcourir le corps. J’adore ça, j’adore la sensation que tout cela me donne. Je reprends mon souffle tout doucement, pensant une nouvelle fois à Nora.

Je ne sais pas si j’ai été de bon conseil, je sais seulement qu’elle avait l’air d’être plus rassurée lorsque je suis partie. En tout cas, j’espère que mes conseils ont pu la libérer, et si c’est le cas, j’imagine qu’elle va maintenant se masturber en écoutant sa mère sans en avoir honte.

Je souris toute seule dans mon lit, imaginant tout cela, j’ai envie de savoir, d’avoir cette réponse. Nous allons sans doutes nous revoir dans la semaine, et sûrement que nous aurons encore des choses à nous confier, qui sait.

En attendant ce jour, je ferme les yeux, je me sens beaucoup mieux, apaisée, libérée. Je m’endors doucement, le sourire aux lèvres pendant que mon esprit divague en pensant à …
chapitre 92 image
Le temps semble si lent lorsqu’on est seul chez soit, qu’il n’y a pas grand-chose à faire, et personne à voir. C’est du moins ce que je ressens ces derniers jours, je tourne en rond, entre le ménage, quelques films et les messages, je ne fais quasiment rien d’autres.

Je me suis calmée sur les gâteaux, j’ai juste farfouillé une recette sur internet que j’essayerai avec Nora bientôt. Guillaume m’a raconté sa journée avec sa cousine, ainsi que le repas d’anniversaire le soir même. Il s’est très bien amusé, je lui manque beaucoup, mais au moins il profite de ses proches pendant ces vacances.

Dans la journée de mardi, j’ai beaucoup parlé avec Karine sur fb, nous nous sommes donné des nouvelles et bien sûr la discussion à très vite dérivée sur le sexe. Mais au fond de moi, j’aime ça, nous avons parlés surtout de Guillaume et moi, lui expliquant combien je ressens du plaisir lorsqu’il me fait l’amour dans chaque pièce de l’appartement.

Au fil de notre discussion, les questions de ma cousine ce sont faites de plus en plus précises, cherchant à connaître quelques détails sur mon chéri, à savoir par exemple, la taille de son sexe. De l’autre côté de l’écran, je la sentais plutôt excitée, je dois avouer que c’était le cas pour moi aussi. Donc je n’ai pas pu garder tout ça pour moi, en lui donnant les détails qu’elle voulait savoir.

Je lui ai dis qu’il a un sexe de bonne taille, au tout début, lorsque je l’ai vu pour la première fois, j’ai été émerveillée, surtout que j’ai mis du temps avant de pouvoir la voir. Puis sans mentir, il s’agit de mon chéri, tout de lui me fait frissonner, alors voir son intimité se dresser devant moi, je peux vous dire que je suis aux anges.

Karine voulait à tout prix savoir combien elle mesure précisément, ce à quoi je ne peux pas lui répondre, puisque je n’ai jamais eu l’idée de prendre une règle pour vérifier. Je lui dis par contre qu’elle est légèrement courbée, claire, un gland rosé qui se décalotte facilement, et une petite toison que j’aime beaucoup.

Karine a continué avec ses questions pendant un bon moment, avant que je lui dise que tout cela semble l’excitée. Elle s’est excusée, me répondant que oui, et qu’elle n’avait pas pu s’empêcher de se toucher un peu pendant notre discussion. Je la rassure, lui disant que je ne lui en veux pas du tout, que moi-même je suis excitée à ce moment là.

Elle m’avoue m’envier un peu, d’avoir un copain et pas elle. Le seul garçon sur lequel elle craquait avec déjà une copine, enfin il en était plutôt à sa troisième, ou quatrième. En fait, étant très mignon, il attire les filles, se laissant à son tour séduire au point de partir avec celle qui lui fait les plus jolis yeux. Ce n’est pas ce que recherche Karine, je comprends donc qu’elle ne tente rien, ne voulant pas être une fille de plus sur sa liste de séduction.

Karine se dit alors qu’elle n’est peut être pas si belle que ça pour ne pas attirer son regard, bien sûr elle a le droit à ce moment là, à une petite remontée de bretelle. Je ne veux pas qu’elle pense ça d’elle, au contraire je lui rappelle qu’elle est très belle, un visage magnifique et un corps qui pourrait faire tomber n’importe quel mec. Je lui rappelle que je suis très bien placé pour le savoir, l’ayant vu de nombreuse fois nue, et qu’à chaque fois c’était un vrai régal pour mes yeux.

Elle est rassurée, contente de tout ce que je lui dis là, elle en rougit même, puis me dit que moi aussi je suis magnifique. Nous avons l’air de deux amantes, chacune de notre côté de l’ordi à se complimenter sur nos visages, nos corps, nos intimités. La situation nous fait rires, mais je lui secoue une dernière fois les puces en lui disant qu’elle ne doit plus douter d’elle. Que ce mec sur qui elle craque n’en vaut pas la peine, vu que ce qui l’attire, c’est tout simplement les filles faciles.

Elle le sait bien sûr, elle avait seulement besoin de l’entendre. Nous avons continués de parler sur fb jusqu’à ce que ma mère rentre du travail. Je suis contente qu’elle soit rentrée, me sentant moins seule, puis je lui demande comment s’est passé sa journée.

Elle me parle de ses collègues, des dossiers qu’elle traite, auxquels je ne comprends rien. Elle a l’air fatigué, alors je lui propose un bon bain chaud, ainsi qu’un bon massage pour la détendre. Elle ne dit pas non, au contraire nous nous dirigeons très vite à la salle de bain pour faire couler l’eau, pendant que nous nous déshabillons l’une devant l’autre.

Une fois la baignoire remplie, nous nous installons, je me mets derrière elle pour lui frotter le dos pendant que nous parlons. Elle apprécie vraiment ce que je lui fais, elle se détend, puis je passe l’éponge sur ses bras, sa poitrine.

Je me rends compte d’une chose, j’ai passé pratiquement l’après-midi à parler de sexe avec Karine, ce qui m’a beaucoup excitée, et là je suis en train de frotter la poitrine de ma mère. L’éponge était tout d’abord au dessus, comme elle me le fait parfois lorsqu’elle me lave, mais très vite ma main est venu sous sa poitrine, venant sous peser ses seins avec l’éponge.

Je me rends compte alors de mon geste, de mon excitation alors que nous parlons tranquillement toute les deux. Enfin, parler, je dois dire qu’un petit silence s’est installé au moment où ma main à commencer à s’occuper de sa poitrine. Je me reprends en retirant ma main, puis en continuant de parler de tout autre chose, faisant comme si de rien n’était.

Je tente de me calmer du mieux que je peux, lorsque je suis excitée, je ne semble plus rien contrôler, et je dois dire que je me fais violence pour ne pas aller plus loin. Surtout qu’il s’agit là de ma mère, et que je ne voudrais pas aller trop loin comme elle me l’a déjà dit.

Nous restons encore un moment dans la baignoire avant d’en sortir puis nous habiller. Elle me remercie pour ce petit massage qui l’a très bien détendu, puis m’enlace en déposant un bisou sur mon front.

Le reste de la soirée se passe normalement, un bon repas, un petit film puis nous allons au lit toute les deux. J’écoute de la musique allongée dans mon lit tout en envoyant quelques textos à Guillaume. Il me dit avoir parlé avec sa mère aujourd’hui, qu’elle a beaucoup questionné sur notre relation, il n’était pas très à l’aise, puisque sa mère le reprenait sur tout ce qu’il disait.

Alors pour ne pas subir de grand serment, il ne lui a pas dis la vérité lorsqu’elle lui a demandé si nous avions déjà fait l’amour ou autre. Il est un peu déçu que sa mère soit braquée à ce point sur ce sujet, il me dit que ma mère est vraiment cool, que j’ai de la chance de l’avoir.

Il se sent plus à l’aise lorsque ma mère lui parle sur ces sujets qu’avec la sienne, alors qu’il ne la connait pas encore très bien. Je suis triste pour lui, déjà qu’il a un père qui semble assez peu présent, mais de plus une mère assez froide lorsqu’il s’agit de nudité, sexe et autres. Je me dis qu’il n’a pas de chance de ce côté-là.

Honnêtement en parlant de tout ça, je n’ai plus vraiment envie de rencontrer sa famille, ou du moins ses parents, de peur d’être jugé. De plus si j’étais partie en vacances avec Guillaume, je n’aurais pas pu profiter un instant de lui, si sa mère est toujours là à surveiller ses faits et gestes. Je me rends compte que je n’aurais pas supporté cette situation, avoir son chéri près de soit, et ne pas pouvoir lui faire l’amour, c’est horrible.

L’heure passe, Guillaume me laisse pour aller dormir, demain il doit se lever tôt pour faire quelques travaux avec son oncle, donc je lui souhaite une bonne nuit. Finalement en y repensant je me sens bien ici, même si je suis seule, par contre je me mets à la place de mon chéri, je comprends mieux lorsqu’il dit que j’ai de la chance d’avoir une mère comme la mienne.

Je regarde l’heure, il est 23H30, je retire mes écouteurs puis je pose mon téléphone de ma table de chevet. Ma lumière est déjà éteinte depuis tout à l’heure, puis dans le silence de ma chambre j’entends un bruit, mais il ne vient pas de la chambre de ma mère. J’entends un son, comme un film, pourtant nous avons éteint la télé en allant nous coucher, je ne comprends pas.

Je me lève sans faire de bruit, j’approche de ma porte, puis l’ouvre doucement. Il fait tout noir, mais le son est plus claire, il vient du salon, plus précisément de l’ordi. Je souris devinant que ma mère doit se faire plaisir devant une vidéo. Je commence à refermer ma porte, mais ma curiosité m’arrête, cela fait un moment que je n’ai pas vu ma mère se faire plaisir, et maintenant, nous sommes à l’aise sur ce sujet.

Alors ni une ni deux, je parcours le couloir sans faire de bruit, puis je me poste au coin du mur, d’où je peux voir ma mère. Elle est si belle, entièrement nue dans le noir, tout juste éclairé par le film joué sur l’écran. Je remarque qu’elle a le casque sur les oreilles, mais que le son sort également de l’ordi, peut être la t’elle mal branché.

En tout cas je peux clairement entendre une fille gémir, non, plutôt deux filles gémir. Ma mère est là devant moi se masturbant devant un film lesbien, alors sans plus tarder, je commence moi aussi à me toucher de mon côté. Très vite mes vêtements disparaisse un à un, j’aime être là, nue dans le couloir, observant ma mère se faire plaisir de son côté.

Cela fait un bon moment que je n’ai pas assisté à une telle scène, je retrouve alors un plaisir légèrement oublié, ce petit côté voyeur. La lumière de l’écran éclaire très peu, je distingue très bien ses seins, mais en ce qui concerne sa main sur son intimité, je la devine que très peu. Mais cela ne gâche en rien plaisir, au contraire, il ne fait que grandir au fur et à mesure que je me touche en la regardant.

Mes doigts sont très actifs sur mon petit bouton, imitant ma mère, puis je me pénètre de deux doigts lorsqu’elle fait de même. Ses deux pieds posés sur le rebord du bureau, les jambes grandes ouvertes, elle s’en donne à cœur joie, dans ses caresses.

Les deux filles dans la vidéo gémissent de plus en plus fort, elles prennent vraiment beaucoup de plaisir, ce qui décuple le mien par la même occasion. Ma mère porte ses doigts à sa bouche pour les lécher, comme elle aime le faire à chaque fois. Je la regarde faire, puis par curiosité je me tente à faire de même.

Je porte mes doigts humide de ma cyprine à mon visage, j’hume légèrement cette odeur intime qu’est la mienne. Je suis comme envoutée par l’odeur, ce qui me rappel mes ébats avec Guillaume, lorsqu’il finit de me lécher puis vient m’embrasser. Je me dis que ce n’est pas très différent en soit, alors je plonge mes doigts dans ma bouche pour les gouter, imitant dans les moindres faits et gestes ma mère.

Je connais déjà mon goût, lorsque j’embrasse Guillaume après un cunni, mais cette fois, c’est moi toute seule, qui porte mes doigts trempés vers ma bouche. Je ne sais pas comment décrire cela, mais je suis transportée, peut être mon goût, ou alors le fait de le faire moi-même, je ne sais pas. En tout cas, je replonge mes doigts dans ma fente, pour les ramener de nouveau à mes lèvres, et encore une fois je les lèches.

Je prends énormément de plaisir à le faire, à me savourer, alors je comprends ma mère, le plaisir qu’elle ressent. Je reviens au coin du mur pour l’observer, puis je remarque qu’elle porte quelque chose à son visage dans sa main gauche. Je n’arrive pas vraiment à distinguer ce que c’est, en tout cas, elle y prend beaucoup de plaisir, elle ferme les yeux, se caressant encore plus vite.

Je l’imite comme je peux, debout dans le couloir, me caressant au plus vite mon petit bouton. Les gémissements des deux filles sur l’ordi, ainsi que ceux de ma mère, me propulse dans un état second. Je suis sur le point de jouir, mais je voudrais attendre encore un peu, attendre de voir ma mère jouir aussi. Je me retiens comme je peux, ne voulant ni ralentir mes caresses, ni m’arrêter pour reprendre mon souffle.

Ça devient très dur, limite insupportable tellement mon petit bouton devient sensible. Je sens toute cette tension s’accumuler entre mes jambes, puis sous mes yeux je vois ma mère basculer vers l’arrière. Sa main gauche toujours porté à son visage, je la vois relever son bassin, la lumière de l’écran éclaire alors directement son intimité, et sa main qui s’y trouve.

Je vois alors ses doigts sur sa toison pubienne, qui s’active comme jamais sur son clitoris. Cette scène sous mes yeux me fait exploser, me fait jouir comme j’aime tant. Je ressens tout ce courant me parcourir, me donnant des frissons partout dans le corps, tandis que ma mère gémit de plaisir de son côté.

Je perds légèrement l’équilibre, je me rattrape comme je peux, essayant de ne pas faire de bruit, je n’arrive pas à y croire, combien je peux trouver de plaisir. Pourtant je me masturbe souvent, je connais également les joies du sexe à deux, mais je suis toujours surprise par ma jouissance.

Je retrouve doucement mes esprits, puis je regarde du côté de ma mère, elle a encore le souffle court, toujours dans la même posture, puis elle se redresse doucement. Elle se regarde, caresse la pointe de ses seins, son ventre, toujours avec sa main gauche à son visage.

Je me lève, puis je m’avance doucement dans le noir, elle semble ne pas m’avoir vu encore. Elle est concentrée sur l’écran de l’ordi, la main droite sur la souris. Elle finit par couper le film, puis dans le silence de la pièce, je m’annonce…
chapitre 93 image
Il n’y a plus aucun son provenant de l’ordi, le film étant coupé, je m’annonce en faisant un petit toussotement. Ma mère à un petit mouvement de recule, ne m’ayant pas vu arriver, tout en ayant le reflexe de se cacher.

Moi : tout va bien maman, ce n’est que moi
Maman : oh ma chérie, tu m’as fais trop peur, je…
Moi : ça fait longtemps que je ne t’ai pas surprise ainsi
Maman : euh oui, c’est vrai, je…
Moi : qu’est-ce qui se passe, on dirait que je te gêne ?
Maman : non, ce n’est pas ça… tu es là depuis longtemps ?
Moi : oui depuis un moment, j’ai beaucoup aimé te regarder faire hihi
Maman : ah hihihi, je pensais que j’avais été discrète
Moi : en fait non

Puis je lui montre que le câble du casque n’était pas très bien branché, que pour le coup j’ai entendu le son du film qu’elle regardait. Elle rit de sa bêtise, mais elle semble tout de même gênée, alors je la rassure, que j’ai beaucoup aimé le fait de la voir se faire du bien, tout en écoutant les deux femmes prendre du plaisir en même temps.

Nous sommes toutes les deux dans le noir, seulement éclairée pas la lumière de l’écran, et pourtant je devine que ma mère devient toute rouge à ce moment là. C’est bizarre, jamais je ne l’aurais pensé avoir honte de tout ça, ou à moins que ça fait si longtemps que ni l’une, ni l’autre n’a était surprise en pleine masturbation que cela la dérange.

Elle est là devant moi les bras croisé, comme pour se cacher, je ne comprends pas trop ce qui se passe, alors je m’approche d’elle, lui caresse le bras. Je lui dis à quel point je la trouve toujours si belle, et que j’ai moi-même essayé quelque chose en la regardant ce soir.

Maman : euh, ah bon, qu’est ce que c’était ?
Moi : hey bien, en te voyant porter tes doigts à ta bouche pour les lécher, je me suis moi-même laissée tenter hihi
Maman : ahaha, ok et,… qu’est ce que tu en as pensée alors ?
Moi : à vrai dire j’ai… tu ne voudrais pas en parler avec moi dans un bon bain plutôt ?
Maman : euh, je ne sais pas…
Moi : maman, qu’est ce qu’il y a ? Je te vois un peu gênée depuis tout à l’heure…
Maman : en fait, je … qu’est-ce que tu m’as vu faire ce soir ?
Moi : euh, hey bien, je t’ai vu prendre du plaisir en regardant une vidéo de lesbienne, c’est ça qui te gêne ?

Elle détourne légèrement les yeux, évitant tout regard envers moi, mais je sais que ce n’est pas ça. Ma mère est plutôt libre sur ce sujet, c’est elle qui m’a dit que tout le monde est libre de se faire plaisir en pensant à qui l’on veut, que ce soit un homme ou une femme, ces pensées n’appartiennent qu’à nous.

Alors pourquoi réagit-elle ainsi ?

Je lui dis alors l’avoir vu se masturber en portant sa main gauche à son visage plusieurs fois, mais que dans l’obscurité, je n’ai pas su ce qu’elle faisait réellement. Là son regard est revenu sur moi, droit dans le mien, je veux savoir ce qui peut la gêner ainsi, je ne voudrais pas qu’un malaise se créer entres nous deux.

Timidement ma mère décroise les bras en baissant les yeux, puis sa main gauche s’ouvre. La lumière est trop faible, je vois seulement une chose noir, puis je lui demande ce que c’est. Devant moi elle prend cette chose à deux main, puis en l’étirant je devine alors sous mes yeux, un tissu, plus précisément une culotte.

Je regarde un moment cette culotte qu’elle tient entre ses mains, puis je comprends alors pourquoi elle semble si gênée…

Moi : c’est… c’est ma culotte ?
Tout de suite, elle ramène ses bras près de son corps, froissant de nouveau ce bout de tissu entre ses mains.
Moi : mais qu’est ce que tu faisais avec ma culotte ? (surprise)
Maman : s’il te plaît, ne m’en veux pas…
Moi : pardon, je suis juste surprise, je ne voulais pas te le demander sur ce ton, excuse moi
Maman : c’est plutôt à moi de m’excuser
Moi : mais pourquoi ? Je ne comprends pas
Maman : c’est difficile à expliquer
Moi : maman, je suis surprise ok, mais quoi que tu me dises je ne t’en voudrais pas, je veux juste comprendre

Un moment de silence se passe avant que ma mère ne commence difficilement à m’expliquer toute l’histoire.

Apparemment, tout à commencé un jour où Guillaume est venu chez nous, donc un mercredi après-midi je pense. Lorsque ma mère est entrée dans l’appartement, nous étions dans ma chambre, et mon chéri est sorti au plus vite alors qu’il était en train de me faire un cunni, pour me laisser le temps de passer quelque chose sur moi.

C’est en lui faisant la bise qu’elle a sentie sa bouche encore humide, et cette odeur particulière. Nous en avions même ris toutes les deux le soir même lorsqu’elle me raconta la scène, mais depuis ce moment, cette odeur l’a travaillée, a réveillé en elle des souvenirs lointains.

Des souvenirs de jeunesse, lorsqu’elle se faisait du bien avec sa cousine dans leur cabane. C’est là qu’elle a grandement aimé voir un vagin s’ouvrir devant ses yeux, et en sentir les effluves, quand sa cousine se caressait au plus près de son visage.

Ses souvenirs ont provoqués des chaleurs intenses dans son corps, ma mère s’est masturbait de nombreuses fois en repensant à tout cela. Puis un soir, passant à la douche, elle a aperçut une de mes culottes dans la corbeille de linge, elle en voyait tout le temps, mais cette fois-ci, il y avait une certaine curiosité. Elle avait conscience de son geste, elle saisi de sa main cette culotte, dont une légère trace était présente.

Doucement sa main amena cette culotte à son visage, puis doucement elle inspira cette odeur encore présente, mon odeur intime. Tout de suite un sentiment de honte à fait surface, elle s’est rendu compte de ce qu’elle faisait là, puis laissa tomber ce tissu au sol.

Elle ne comprenait pas ce qui pouvait bien lui arriver, elle remit ma culotte dans la corbeille puis elle prit sa douche. Elle était gênée de ce qu’elle venait de faire, puis elle passa plusieurs jours à se demander ce qui pouvait bien se passer chez elle.

Elle n’arrivait pas à se l’expliquer elle-même, mais tout ça l’a beaucoup travaillée, et chaque soir lors de sa douche, cette curiosité revenait. Lorsque j’ai eu ma première fois avec Guillaume, je lui ai tout raconté, comme je le fais tout le temps, tout cela l’avait bien sûr beaucoup excitée. Elle s’est mise à ma place, à repenser à la découverte d’un sexe en elle, tout en se donnant du plaisir.

Puis la curiosité grandissant à chaque instant, la morale s’effaçant peu à peu, elle s’est laissé aller. Elle prenait de nouveau une de mes culottes, pour la porter à son visage. Mon odeur, son geste, lui ont fait perdre l’équilibre. Elle s’est retrouvée au sol, les jambes ouvertes, la main entre ses cuisses se caressant pendant qu’elle reniflait mon sous vêtement.

Son désir était plus fort que tout, aussi sa jouissance n’en fut que plus grande, surtout après cette longue période à se questionner, à essayer de se reprendre. Enfin elle lâchait prise, enfin elle se faisait plaisir en humant mon odeur intime, imprégné sur ce bout de tissu.

Bien sûr après avoir jouie, elle fut prise de honte, se demandant si tout cela ne va pas trop loin. Mais très vite, elle a recommencé, se donnant toujours autant de plaisir, tout en étant gêné en même temps.

Elle me dit aussi que l’autre jour, lorsque je suis revenu de ma sortie avec Nora, elle a eu peur au moment où je l’ai surprise nue dans sa chambre. Elle venait tout juste de se masturber avec un de mes sous vêtements. Elle pensait que je l’avais vu, ainsi je comprends mieux pourquoi elle semblait si gênée.

Mais ce soir, je l’ai vu faire, elle ne peut plus se cacher, et elle en a honte, honte de ce que je pourrais penser d’elle. Elle baisse de nouveau les yeux, elle sait que nous partageons beaucoup de choses sur le plan intime, plus que la normal sûrement. Mais pour elle, elle est sûrement aller trop loin, s’excusant encore et encore.

Je suis émue de la voir ainsi devant moi, une larme commence à perler, puis glisser le long de ma joue. Je m’accroupie devant elle, prenant ses mains dans les miennes, puis je tente de la consoler…

Je lui dis que je ne lui en veux pas du tout, que je peux tout à fait comprendre ce genre de situation, lorsque la curiosité, le désir prend le dessus sur la morale, et que nous nous laissons guider. Je lui dis que je ne peux pas lui reprocher quoi que ce soit, surtout pas moi, qui l’aime tant, et surtout parce que je passe clairement par la même situation en ce moment.

Ma mère relève la tête à ce moment là, surprise de mon aveux, mais elle ne comprend pas tout, alors je lui dis. Je lui dis que moi aussi, j’ai pu sentir son odeur intime, lorsqu’elle était nue, que je la serrais fort en collant mon visage près de son ventre. J’ai pu à ce moment là, me délecter de son odeur qui me paraissait si près, et si loin à la fois. Que je comprends ce sentiment d’interdit, et de désir à la fois.

Ma mère me regarde avec les yeux brillant, aucune de nous ne prononce un mot. Un instant de silence durant lequel, tout se repasse dans nos têtes, à la recherche de ce qui est bien ou mal. Cet aveu est à la fois libérateur, mais aussi amer, dans le sens que beaucoup de gêne s’en est ressenti également.

Nous sommes toujours nues, toutes les deux, l’une devant l’autre, moi à genoux, seule la lumière de l’ordi éclaire la pièce. Je ne sais plus quoi penser, ce silence semble durer une éternité, tandis que son corps me semble encore plus beau avec cet éclairage.

Ma mère me serre les mains, je ressens dans sa main gauche ce tissu que j’avais oublié, et qui est au départ le sujet de tout ces aveux.

Maman : je te demande encore pardon…
Moi : tu n’as pas à t’excuser maman, je comprends parfaitement la situation
Maman : si je m’excuse ma chérie, je n’aurais pas dû en arriver jusque là
Moi : mais…
Maman : écoute moi, je pense que nous devrions retourner nous coucher, il se fait tard, et…
Moi : d’accord, je…
Maman : nous en reparlerons, promis, mais pour le moment, j’ai besoin d’avoir les idées claires
Moi : je comprends

Nous nous relevons toutes les deux, ma mère éteint l’ordi pendant que je récupère mes vêtements dans le couloir. A la porte de ma chambre, elle dépose sur ma joue un bisou, me remerciant de l’avoir pardonné déjà, me disant que nous en reparlerons prochainement.

Je ne peux pas lui en vouloir, nous sommes surprises toutes les deux, et elle a sûrement raison de vouloir prendre le temps de réfléchir à tout ça. Je suis allongée dans mon lit, repensant à ce moment, à cet aveu, me demandant si nous sommes normales, si quelque part ailleurs, il y en a qui vivent les mêmes choses…

chapitre 94 image
Ce matin là, je me réveille doucement, je repense immédiatement à ce qui s’est passé cette nuit, à cette discussion avec ma mère. Je peux comprendre que nos aveux ont certainement été prématurés, du fait d’avoir surpris ma mère hier soir. Mais en y repensant si je ne l’avais pas surprise, peut être qu’elle ne m’aurait jamais dit tout cela.

Pour ma part, avoir avoué cela à ma mère m’a fait du bien, c’était un secret que j’avais envers elle, que je voulais lui dire, et j’ai su saisir cette occasion. Par contre de son côté, elle était plutôt gênée, que je l’ai surprise de une, de deux que je lui avoue faire la même chose en quelque sorte.

Je ne lui en voudrais jamais pour ça, car je connais le plaisir qu’elle a pu ressentir en faisant cela. Je sais aussi qu’elle s’est permis, ou du moins qu’elle nous a permis beaucoup de liberté concernant notre plaisir intime, mais qu’elle a tout de même une limite. Et avoir franchie cette limite, la fait se culpabiliser.

J’espère pouvoir en parler avec elle à son retour du travail, en espérant qu’elle ne se prenne pas trop la tête avec ça aujourd’hui. De mon côté je fais comme d’habitude, après avoir pris mon petit déjeuner, je nettoie un peu l’appartement, je mets un peu de musique puis je m’occupe de la lessive.

Bien entendu, en prenant le panier de linge sale, je tombe sur nos sous-vêtements, qui me rappellent aussitôt toute cette histoire. Je n’avais pas du tout pensé au fait que je pouvais certainement ressentir un certain plaisir à humer les culottes de ma mère. Mais bon, il y a sûrement déjà assez d’eau dans le gaz pour que j’en rajoute encore.

Je finis de tout mettre en machine, je lance puis je vais me poser devant un film. En regardant mon téléphone je vois un message de Nora, elle me demande si je voudrais passer une journée de nouveau avec elle, ce vendredi. Au programme de cette journée, ce sera atelier pâtisserie, je sens que l’on va bien rigoler, je lui confirme que c’est bon pour vendredi.

Pour le reste de la journée, je la passe devant quelques films, une sieste, le linge à étendre puis cette longue attente du retour de ma mère. Je suis impatiente de la revoir, pour savoir déjà comment elle se sent, et pouvoir en parler pour mettre les choses au clair.

Il est pratiquement 18 H lorsqu’elle rentre du travail, les bras chargés de courses que je m’empresse de prendre pour l’aider. Je tiens à lui montrer que je suis là pour elle, sans pour autant dire quelque chose, juste l’aider, lui laisser le temps de souffler puis si elle se sent à l’aise, être présente pour se parler.

Elle se contente d’un sourire, tout en me disant merci pendant que je range les courses. Je la vois se diriger vers le canapé, puis se mettre à l’aise, je lui demande bien sûr si elle désire quelque chose à boire ou autre. En lui apportant une tasse de thé, elle me semble naturelle, un peu fatiguée de sa journée, mais rien qui ne la tracasse plus.

Elle se déchausse, se mettant un peu plus à l’aise tout en buvant son thé, puis me demande ce que j’ai fait de ma journée. Je n’ai pas grand-chose à lui raconter, à part les quelques tâches ménagères, puis je lui demande comment ça s’est passé pour elle.

C’est une journée disons normale qu’elle a passait, entre quelque prise de tête sur des dossiers et les mails à envoyer, mais rien de spécial à part ça. Elle me dit alors qu’elle a besoin d’un bon bain chaud pour se détendre, je lui propose alors un petit massage pour lui faire du bien. Elle me sourit en me disant oui, mais qu’elle aimerait un massage des pieds dans ce cas.

Je suis d’accord pour lui accorder ce massage, mais surtout, je suis contente qu’elle accepte que je vienne avec elle, ce qui me fait dire qu’elle n’est pas plus gênée que je ne le pensais. Ce qui me rassure dans le sens, où, nous pourrons peut-être en parler durant ce bain.

L’eau coule, remplissant doucement la baignoire pendant que nous nous mettons nues. Nous nous installons dans cette eau bien chaude, qui nous fait le plus grand bien. Je lui prends le pied droit, pour commencer un lent et doux massage. Elle ferme les yeux, se laisse aller, je me dis alors que je dois lui faire beaucoup de bien.

Il se passe un long moment sans qu’aucune de nous deux ne dise un seul mot. Seul le silence règne, je me demande ce qui peut se passer dans sa tête. Est-ce qu’elle y pense aussi, à toute cette histoire ? Ou est-ce qu’elle a réussi à totalement l’ignorer ?

Je m’interroge beaucoup, j’aimerais avoir quelques réponses, je sais déjà qu’elle semble être normale en surface, mais c’est en profondeur que je veux en être sûre.

Tout en continuant mon massage sur son pied, je tente de trouver les mots, pour l’amener à me parler de la nuit dernière. Je ne cesse de tourner ma langue dans ma bouche, mais toutes mes approches semblent aussi brute les unes que les autres. Tandis que devant moi, ma mère apprécie son massage en gardant les yeux fermés.

Maman : tu veux en parler ?
Moi : euh …
Maman : je le sens depuis que je suis rentrée, que tu souhaite reparler de ce qui s’est passé hier soir, je me trompe ?
Moi : non, tu ne te trompe pas, tu me connais trop
Maman : ahaha c’est normal
Moi : mais tu m’as l’air bien, comparé à hier soir
Maman : oui, j’y ai pensé durant la nuit, et aussi un peu durant cette journée, heureusement pour moi, je me suis plongée à font dans mon travail, pour essayer de ne plus y penser
Moi : mais comment tu te sens là maintenant ?
Maman : à vrai dire, je ne sais pas, je me sens bien et en même temps j’ai honte
Moi : je peux comprendre, je faisais un peu la même chose, et je ne savais pas comment tu pourrais te sentir en l’apprenant
Maman : je ne crois pas que c’était la même chose
Moi : ah bon… explique-moi…

Ma mère semblait avoir longuement réfléchie, avant d’arriver à ce moment. Hier soir lorsque je lui ai avoué prendre du plaisir à sentir son odeur intime, c’était vraiment envers elle que je le faisais, tandis que pour elle non. Sur le moment je ne comprenais pas, mais je restais là, silencieuse, écoutant ma mère.

Elle a donc été troublée le jour où, elle a senti mon odeur sur la bouche de Guillaume, une petite histoire drôle sur le moment, mais qui a eu pour effet de réveiller en elle, quelques souvenirs avec sa cousine.

Un lointain souvenir, partagé, à humer l’intimité de l’autre pendant leurs séances de masturbation. Ma mère aimait beaucoup cela, ces instants intimes, de découverte, aussi les jours qui ont suivis elle n’a pas arrêté de se toucher en se remémorant ces souvenirs. Puis un jour elle a été tenté ressentir à nouveau une odeur intime en voyant une de mes culottes, mais sa morale l’en a empêché.

Elle ne voulait pas franchir ce pas, par respect pour moi, mais surtout envers cette relation que nous avons. Tout comme la fois où elle ma demandé de respecter une certaine limite, elle ne voulait pas que cette relation mère fille aille plus loin, dans quel cas, elle ne saurait comment cela pourrait finir.

Et c’est surtout de cela qu’elle a eu honte, d’avoir franchi cette limite, en prenant plaisir un jour à humer mes culottes pour se satisfaire. Bien qu’elle repensé à sa cousine en le faisant, ou alors imaginait le faire avec une autre femme, la raison lui rappelait très vite que cette culotte avec laquelle, elle se donnait du plaisir, m’appartenait.

Elle finissait toujours par en avoir honte, mais la tentation, l’envie de recommencer était toujours plus grande. Elle était toute gênée le jour où je l’ai surprise dans sa chambre, nue, elle venait une nouvelle fois de se donner du plaisir en reniflant une de mes culottes. Je n’avais pas compris ce qu’elle venait de faire là, aussi par peur d’être surprise à nouveau, elle s’était promis de tout arrêter.

Elle n’a bien sûr pas pu tenir sa promesse, mais cette fois-ci, elle n’a pas pu se cacher, et son aveu a été difficile. Je comprends alors que j’étais loin du compte, je pensais réellement que nous faisions la même chose, chacune de son côté, à sa manière.

Mais non, là où je prenais du plaisir à sentir l’intimité de ma mère, elle de son côté, le faisait pour se projeter dans des souvenirs, dans des imaginations autres qu’avec moi. Je me sens un peu honteuse pour le coup, mais elle me rassure, me disant qu’elle n’est pas fière d’elle sur ce coup là.

Elle qui doit, être un exemple pour moi, qui doit m’éduquer, me guider sur le droit chemin, elle a l’impression d’avoir fait tout le contraire jusque là. Je ne peux pas la laisser penser ça d’elle, au contraire, je lui rappelle combien elle a toujours été présente pour moi, qu’elle fait toujours de son mieux, et que jusque là, elle a tout réussi.

Ma mère me sourit timidement, me remerciant pour ce que je lui dis là, je suis contente de la voir sourire. Puis je me remets dans la situation d’hier, je repense à une chose, et pendant que nous sommes dans les aveux, je me dis que tout doit sortir.

Je lui dis que hier soir, lorsque j’étais à genoux devant elle, ce moment m’avait paru intense, dans le sens où je ressentais un désir. La voir nue, fragile devant moi, et pensant surtout que nous étions dans la même situation, j’avais eu le désir de venir tout contre son corps, afin de ressentir son odeur à la source même.

C’est maintenant en y repensant, mais surtout en comprenant que nous n’avons pas eu les mêmes pensées que j’en ai le plus honte. Je ne sais plus quoi dire, je reste alors silencieuse, puis ma mère se redresse, me caresse le visage.

Maman : j’avais compris à ce moment là, ce que tu avais en tête…

Je relève la tête, la regardant totalement surprise, suis-je si prévisible que cela ?

Maman : je t’avoue que je n’ai pas su comment réagir à ce moment là, c’est pourquoi j’ai pu te paraître très dur en coupant court à notre conversation
Moi : oui j’avoue que c’était très net comme coupure
Maman : j’avais déjà franchi une limite, je ne voulais pas en franchir une autre
Moi : je comprends, j’ai beaucoup de mal à me contrôler lorsque je ressens du désir, contrairement à toi
Maman : c’est normal, tu es jeune, toujours en pleine découverte, et parfois impulsive
Moi : oui désolée
Maman : je ne t’en veux pas du tout ma chérie, aller, on sort de là…

Nous sortons de la baignoire pour nous sécher, ce moment m’a fait du bien, se dire les choses, c’est toujours ce qu’il y a de mieux à faire. Nous nous regardons dans le miroir, puis ma mère vient m’enlacer, je dois avouer, que malgré la discussion que nous venons d’avoir, il m’est difficile de ne pas ressentir un certain plaisir à sentir sa peau nue contre la mienne.

Ma mère profite de ce moment pour me rappeler à l’oreille, que notre relation ne doit pas franchir certaines limites, qu’elle s’excuse de nouveau pour celle qu’elle a pu entraver, que cela ne se reproduira plus, mais qu’elle tient par dessus tout, à garder intact la relation que nous avons établi jusque là.
chapitre 95 image
Toute la nuit dernière, je n’ai cessé de repenser à tout ce qui a pu se passer entre ma mère et moi. Nos aveux, nos discussions mais surtout le moment où je lui ai dis avoir eu un désir envers elle. Elle l’avait très bien deviné, mais elle semblait aussi en avoir à ce moment là. Un désir commun qu’elle a su contrôler contrairement à moi qui allais sûrement me lancer dans une histoire sans fin.

Car oui je comprends parfaitement ce que veux me dire ma mère, ces limites à ne pas franchir, pour ne pas perdre cette relation que nous avons toutes les deux. Nous nous faisons confiance au plus haut point, partageons même un certain plaisir à se voir nue, et plus encore. Mais aller plus loin, franchir ce pas interdit, nous emmènerait sans doute dans des situations incontrôlables.

Il y a sûrement dans le monde des personnes qui vivent la même situation, ou d’autres qui sont déjà allés plus loin. Je ne sais pas ce qu’elles ont pu traverser, les joies comme les douleurs, peut être des problèmes familiaux si le secret a été révélé, ou alors le fardeau que cela peut occasionner à vivre tout cela dans le silence.

Il y a beaucoup de choses à prendre en compte, il n’y a sûrement pas que le plaisir, et c’est cela que ma mère redoute, c’est pour cela qu’elle ne souhaite pas franchir ce pas.

Notre relation est déjà toute particulière, notre secret serait sans doute mal interprété par les membres de notre famille, ou encore d’autres personnes. J’ai pris le risque de tout dire à Thierry, le moment où je me suis sentie mal, et que j’avais besoin d’en parler.

Heureusement pour moi, mais également pour ma mère, Thierry est quelqu’un de posé, de réfléchi, il a su par ses mots, me redonner confiance, et m’aider comme à son habitude. Je repense aussi à mes expériences avec Jordan et Karine, des histoires qui sont à la fois excitante mais pas facile à vivre. Surtout que je repense à mes dernières vacances, où tout était différent puisque je suis amoureuse de Guillaume.

Je suis jeune, comme ma mère me la dit, je découvre la vie, les sentiments, le plaisir, mais aussi les problèmes, les questionnements, les angoisses. Il y a tant de choses qui me reste à parcourir, et je suis chanceuse d’avoir été guidé jusque là par une mère présente, aimante, et soucieuse.

Elle est mon pilier, celle sur qui je peux me poser quand je vais mal. Celle sans qui, je n’en serais pas là aujourd’hui.

Je pense qu’il est important de se remettre en question par moment, pour savoir où on en est dans notre vie, mais aussi pour nous permettre d’avancer, de grandir. En parlant d’avancer, le temps passe, je n’ai pratiquement pas vu défiler la journée, tandis que je revois ma mère le soir, avec qui je passe un bon moment, un bon repas, un bon film, une belle soirée.

Je n’ai pas grand-chose à apporter à ma mère, si ce n’est que ces moments là que nous partageons. Des moments mère fille, une complicité dans chaque instant que je souhaite d’ailleurs à Nora et sa mère.

Mais je vais très vite le savoir, car aujourd’hui je la retrouve chez elle pour notre journée pâtisserie, durant laquelle j’espère en savoir plus sur elles.

La dernière fois que j’ai vu Nora, elle se questionnait beaucoup sur le plaisir qu’elle éprouvait à écouter sa mère faire l’amour. J’ai su lui parler avec mes mots, mon expérience, mais surtout le même vécu, qui la beaucoup surpris je dois dire. Mais ce que je souhaite surtout pour Nora, c’est qu’elle puisse partager des moments avec sa mère, qu’elle n’a pas su avoir jusque là.

J’arrive en bas de chez elle, avec mon sac plein de provisions pour de bons gâteaux. Lorsqu’elle m’ouvre elle est toute contente de me voir, nous prenons le temps de tout poser, puis de discuter un peu avant de se lancer.

Et quel joyeux bordel nous avons mis là, heureusement que nous avons la journée pour nous, parce que vu l’état de la cuisine, nous allons avoir du sacré ménage à faire avant que sa mère ne rentre. Nous nous amusons comme des folles, de la farine sur nous, un œuf cassé, le batteur qui en met partout, comme je vous l’ai dis, c’est le bordel.

Après avoir terminé la préparation, nous mettons le tout au four, puis pendant ce temps là, nous nous installons sur le canapé, avec de quoi boire. Nous parlons de beaucoup de choses, naturellement je viens à lui demander comment ça se passe pour elle depuis la dernière fois que je suis venue.

Nora a encore un peu de mal à me parler de tout ça, mais je lui dis qu’elle peut me faire confiance, puis que je suis là pour l’aider aussi. Elle le sait très bien, elle me dit avoir totalement confiance en moi, c’est juste qu’elle n’a pas encore l’habitude d’en parler ouvertement.

Nora : hey bien… pour tout te dire, je t’ai écouté
Moi : et ?
Nora : et je me suis fais plaisir en écoutant ma mère avec un homme
Moi : oh c’est arrivé quand ?
Nora : mardi soir, elle est rentrée vers 23H, ils sont allés directement dans la chambre
Moi : ahaha ok, et tu te sens mieux, ou tu as encore des questions qui te tracasse ?
Nora : beaucoup moins en fait, j’y ai pris beaucoup de plaisir, je me sens plus libre en fait, peut être parce que je t’en ai parlé
Moi : peut être oui, ça fait toujours du bien de pouvoir en parler quand ça ne va pas
Nora : oui c’est vrai, merci encore

Je lui dis que c’est tout à fait normal, que ça me fait plaisir de pouvoir lui venir en aide. Elle me dit aussi qu’elle se sent plus à l’aise avec ça, qu’elle se sent mieux en présence de sa mère, qu’elle partage à nouveau des moments toutes les deux. Elles se sont expliquées un peu, surtout sur le fait que Nora se posait pas mal de questions, mais que maintenant, et surtout après avoir longuement réfléchie, elle est heureuse pour sa mère.

Christine a bien voulu en savoir un peu plus sur ces fameuses questions, mais Nora la rassurée en lui disant avoir pu en parler avec moi, et que tout va pour le mieux maintenant. Un jour peut être elles auront une discussion plus approfondie sur le sujet mais pour l’instant cela leur va à toutes les deux.

C’est en entendant cela que je suis fière de moi, fière d’avoir pu aider Nora, que la situation puisse s’arranger petit à petit. Bien sûr nous ne laissons pas le sujet ainsi, nous continuons d’en parler, avec un peu plus d’aisance que la première fois.

Puis tout en discutant, Nora semblait vouloir me dire quelque chose, de plus secret. Je l’ai très bien sentie, je ne l’ai donc pas lâché. Devant mon insistance, elle n’a pas pu résister, puis avec sa bouille toute timide elle a commencé à se livrer peu à peu.

Je dois avouer que je suis totalement surprise lorsqu’elle me dit avoir pensée à moi un soir. Je n’ai pas tout compris de suite, puis elle répéta, et je compris qu’elle s’était donné du plaisir en pensant à moi, mais surtout au fait que je me masturbe en écoutant ma mère.

Après quoi elle est devenue toute silencieuse, timide, ne sachant plus quoi me dire.

Confidence pour confidence, je lui avoue également avoir pensée à elle dans la même situation. Nous finissons par en rire toutes les deux, c’est sûrement le fait de partager la même histoire qui nous a emmener à cela. Car bien que Nora soit une jolie fille je n’éprouve pas forcément d’attirance pour elle.

Toutefois je suis contente pour toutes les deux, je suppose que du côté de Christine elle sera plus épanouie dans ses prochaines rencontres, sachant que sa fille est heureuse pour elle. J’aurais sans doute des échos de la part de ma mère lorsqu’elles se parleront sur le site ou autres.

Après avoir longuement parlé, la fin de la cuisson arrive, nous regardons ce fameux gâteau, il m’a l’air parfait, alors sans tarder nous nous attaquons à la suite. Une garniture à la crème pour le rendre plus beau, et plus délicieux qu’il ne l’est déjà.

Que de bordel qui se rajoute encore dans cette cuisine, heureusement, nous en avons fini. Nous mettons notre chez d’œuvre de côté, puis nous nettoyons le tout. Une fois le nettoyage terminé, nous nous posons de nouveau sur le canapé pour parler tranquillement.

Les discussions ce font plus sages, nous parlons de nos amis, des devoirs et autres, tandis que l’heure passe. Il est temps pour moi de rentrer, je ne manque pas de prendre une part du gâteau pour en ramener chez moi, puis je salut Nora, en la remerciant pour cette journée.

Une fois chez moi, ma mère ne tarde pas à rentrer, je lui montre bien entendu la part du chez d’œuvre réalisé avec Nora. Ma mère en a déjà l’eau à la bouche, mais nous gardons cela pour le dessert de ce soir.

C’est une bonne journée qui s’achève, un bon moment passé avec ma mère, sans trop parler de ce qui a été dit entre Nora et moi. Il ne reste plus que le week-end avant de reprendre les cours, de retrouver mon chéri et mes amis.

Je dois dire que j’ai tellement hâte de revoir Guillaume, qu’il me prenne dans ses bras, qu’il m’embrasse. Vivement la rentrée…
chapitre 96 image
Ces deux derniers jours sont passés si lentement, c’est bizarre, c’est toujours lorsque l’on est pressé d’arriver à quelque chose, que tout nous parait plus lent. J’ai beaucoup tourné en rond, pensant à mon chéri, à son corps qui me donne tant envie.

Ma mère l’a très bien remarquée, elle me voyait impatiente dans mon coin, alors elle m’a demandé de l’aider dans plusieurs tâches pour que je puisse m’occuper. Nous avons eu l’occasion de parler aussi un peu d’elle, du fait qu’elle n’avait pas eu de rencontres depuis un bon moment maintenant.

C’est sans doute le manque aussi qui la poussée dernièrement à se faire plaisir en suivant ces désirs. D’ailleurs en faisant le linge avec elle, nous avons eu un petit instant de rire toutes les deux, lorsque nos sous vêtements ce sont étalés sur son lit.

Je sais que c’est difficile parfois de lutter contre ses envies, mais en rire aussi peut nous détendre et accepter le fait qu’elles font parties de nous.

Suite à ça, le week-end est heureusement passé, nous sommes lundi, je vais enfin retrouver mon chéri. J’arrive devant ce portail où je retrouve tout le monde, sans plus attendre je m’enlace dans les bras de Guillaume, je retrouve enfin sa chaleur, ses lèvres.

Je prends le temps de savourer ce moment, mais je n’oublie pas de saluer les autres. J’ai à peine le temps d’échanger quelques mots, qu’il est déjà l’heure d’aller en cours. Décidément le temps semble toujours jouer contre nous.

En cours, la reprise semble très dur pour tous, même les professeurs n’ont pas la tête à nous enseigner quoi que ce soit. Après avoir rendu quelques devoirs, la matinée se passe, mais alors quel calvaire. Jamais le temps ne m’avait paru aussi lent que ça.

Après avoir déjeuné avec nos amis, nous allons comme à notre habitude dans notre petit coin à Guillaume et moi. Je m’installe tout contre lui entre ses jambes, puis il me raconte en détail ce qu’il a pu faire pendant ces vacances.

L’avoir eu tous les soirs par message n’était pas suffisant pour tout savoir, alors nous parlons de nos occupations. De nos journées, de nos sorties, mais surtout de combien nous nous sommes manqués.

Guillaume : c’est fou comme tu m’as terriblement manqué
Moi : toi aussi, mais je compte bien rattraper tout ça ce soir après les cours hihi
Guillaume : moi aussi ahaha, même si ce sera rapide
Moi : oui, mais j’ai tellement envie de toi
Guillaume : pour moi aussi c’est la même chose, d’ailleurs ce n’est pas l’envie qui me manque là
Moi : ah bon ? Hihihi dis-moi tout
Guillaume : j’ai tellement rêvé de t’embrasser, te serrer dans mes bras, te toucher
Moi : humm j’aime bien quand tu me parles comme ça, tu veux me toucher où ? hihihi
Guillaume : partout, partout, mais surtout à un endroit (murmurant à mon oreille)
Moi : tu veux me toucher là, maintenant ?
Guillaume : j’en ai envie oui, mais je sais qu’on ne peut pas, et c’est frustrant
Moi : j’en ai envie aussi
Guillaume : désolé, on va devoir attendre après les cours
Moi : hum oui, tu sais que j’ai déjà rêvé de ça une fois ?
Guillaume : ah bon ?
Moi : oui, c’était encore au début de notre relation, j’ai rêvé que tu me touchais là
Guillaume : au milieu de tout le monde ?
Moi : il y avait pas beaucoup de monde en fait, je ne sais pas pourquoi
Guillaume : tu me donnes encore plus envie hihihi
Moi : oh désolée, tu veux me toucher ?
Guillaume : oui mais pas ici, ça craint
Moi : tu sais que pour toi je suis prête à tout
Guillaume : à chaque fois que tu me dis ça, tu me surprends, et c’est bizarre mais j’ai envie de plus t’en demander
Moi : c’est normal, je t’aime
Guillaume : moi aussi je t’aime

Nous nous embrassons un instant, ce qui ne fait que m’exciter encore plus, et je le sens très bien aussi que de son côté, il est chaud. Son sexe plaqué contre moi, est très dur, alors je lui demande une nouvelle fois, s’il désire vraiment me toucher maintenant.

Sa réponse toute timide, me rend folle de joie, avec lui je pourrais repousser toutes les limites. Nous sommes pratiquement seul de notre côté de la cour, mais il y a pas mal de monde en face. Si Guillaume me touche comme dans mon rêve, nous risquons de nous faire remarquer par tout le monde.

Je réfléchie un instant, puis je lui demande de me passer sa veste. Feignant d’avoir pris froid, je la place devant moi pour me couvrir, et ainsi nous cacher en quelques sortes de tous. Guillaume me demande si je suis sûre de moi, mais l’excitation m’emporte, alors je défais ma ceinture, déboutonne mon jean, tout en lui prenant la main.

Guillaume regarde un peu autour de nous, tout en plongeant sa main entre mes cuisses. Quel plaisir je ressens alors là, sentir ses doigts me toucher, jouer avec mon petit bouton. Je me retrouve alors comme dans mon rêve, je suis prise entre le plaisir, et la peur d’être surprise par un regard.

Je regarde autour de moi, les autres ne font pas attention à nous, ils parlent entre eux, s’amusent, tandis que de notre côté, nous jouons à d’autres jeux. Guillaume me murmure à l’oreille, il me dit combien il aime me toucher, que ça lui a manqué pendant les vacances, combien il m’aime, et combien il est toujours surpris par ce que je suis capable de faire.

Mes paroles ne sont pas dites à la légère, je suis vraiment capable de beaucoup de choses pour lui, je le lui rappel, tout en lui disant combien je l’aime. Sa main s’aventure plus loin, il tente d’introduire ses doigts mais mon jean étant assez serré l’en empêche.

Je bouge un peu, essayant de faciliter au mieux le passage de ses doigts, mais rien y fait. Il me dit que ce n’est pas grave, qu’il est déjà très satisfait de pouvoir me toucher ainsi, ici au milieu de tous.

Mais prise par l’excitation, je ne compte pas en rester là, je veux lui faire plaisir, et en recevoir aussi. Tout doucement je prends mon jean de chaque côté, puis je tente de le baisser un peu. Je fais attention à ce que sa veste reste bien en place, il ne faudrait pas qu’elle glisse.

Je bouge légèrement, puis finis par abaisser mon jean, Guillaume tente de nouveau d’introduire ses doigts. Mon corps frissonne, à la sensation de son doigt en moi, je sens la chaleur venir s’accumuler entre mes cuisses.

Mon chéri m’embrasse dans le cou, me dit combien il m’aime, tout en me doigtant ici dans la cour, devant tout le monde. Si j’écoutais mon corps, si j’écoutais mes envies, ça ferait longtemps que j’aurais envoyé cette veste sur le côté, pour monter sur Guillaume.

Heureusement que je reste sage, que je me contente du plaisir que je ressens là. Guillaume joue avec ses doigts par moment sur mon clito, puis par moment dans mon vagin. Ma respiration est troublée, je ferme les yeux pour me couper du monde, lorsque je les rouvres, je m’aperçois que la situation m’excite terriblement.

Je me mords les lèvres, voulant en recevoir encore plus, je suis alors mon désir. Mon jean me gêne plus que tout, je veux prendre plus de risque, je saisi alors une nouvelle fois mon jean, puis le glisse encore plus. Guillaume de son côté me demande si je suis sûre de moi, sans un mot, je me retrouve cul nu sur le sol froid.

Cela a pour effet de me donner encore plus de frissons, mêlé à de l’excitation, puis la peur. Je ne peux m’empêcher de gémir un instant, alors je saisis le bras gauche de mon chéri, puis le mord doucement, comme pour me contenir.

Sa main droite est plus à l’aise, il me touche le clito, glisse entre mes lèvres pour y introduire deux doigts. Ses vas et viens sont plus rapide, la pénétration me fait gigoter, je suis prise d’un plaisir intense que je tente de garder en moi.

Je regarde une nouvelle fois autour de moi, les autres sont tous pris par leurs occupations, mais à ce moment j’ai l’impression que tous savent. Je croise quelques regards par hasard, au fond de moi, je me dis que cette personne sait ce que je fais là, il sait que mon chéri me doigte en ce moment même.

J’en deviens folle, prise totalement par le plaisir, je demande à mon chéri d’aller plus vite. Ses gestes ce font plus rapide, brute par moment, mais qu’est-ce que c’est bon. Heureusement pour nous il y a énormément de bruit dans la cour, cela couvre parfaitement le son des vas et viens plus rapide.

Je jette un regard sous la veste, il y a un peu de lumière, ce qui me laisse voir les doigts de mon chéri s’introduire en moi, puis le son me fait complètement vibrer.

Oui je vibre, j’arrive à la fin, je n’arrive plus à me retenir, je sens toute cette tension, accumulé au creux de mes reins, qui me submerge.

Moi : continue, oui… humm… je vais jouir, continue

Sans dire un mot, Guillaume accélère une dernière fois ses gestes, ce qui me fait complètement exploser. Je jouie d’une force, prise de plaisir, de crainte, je gémis en essayant d’étouffer mes sons du mieux que je peux.

Me cuisses se mettent à trembler, alors que j’essaie de me faire le plus discrète possible, mon corps est envahi de spasmes, ma respiration est courte. Je regarde une nouvelle fois autour de moi, j’ai vraiment l’impression d’avoir été surprise par tous, mais je me sens encore plus excitée.

C’est vraiment bizarre sur le moment, comme si j’étais heureuse, fière de moi, d’avoir fait ça ici. Guillaume retire délicatement ses doigts, il ne souhaite pas éveiller de soupçons sur ce qui vient de se passer, tandis que de mon côté, je semble m’en ficher totalement.

J’attrape sa main, puis dirige ses deux doigts vers ma bouche, que je suce tendrement pour en récolter mon goût. Guillaume est vraiment surpris par mon geste, puis je l’embrasse, pour partager avec lui ce goût, et aussi pour le remercier pour ce moment incroyable.

Je reprends doucement mes esprits, tandis que j’ai toujours le cul nu sur le sol. Cela m’excite en fait, d’être ainsi caché, et en même temps à la vue de tous. Mais il ne faut pas abuser de la chance qu’on a, alors je remonte aussi discrètement que je peux mon jean.

Guillaume me remercie pour ce que je viens de faire, il est encore surpris, et je dois dire que moi aussi. C’est fou ce que l’excitation peut nous pousser à faire parfois, et je lui dis encore, que je suis prête à tout pour lui.

Guillaume : j’ai vraiment de la chance
Moi : et moi encore plus

Il nous reste quelques minutes avant la reprise des cours, ce qui me laisse encore du temps pour me remettre de mes émotions. Je profite de cet instant dans ses bras, pour ressentir sa chaleur, son cœur battre, et l’écouter me dire à quel point il m’aime…
chapitre 97 image
Nous sommes de retour en cours, pendant les heures qui vont suivre je ne vais pas arrêter de repenser à ce que nous venons de faire. Me faire doigter ainsi pratiquement en public, c’était tellement fou, et je me rends compte maintenant à quel point c’était inconscient aussi.

Nous aurions pu nous faire surprendre par d’autres élèves, ou pire par des surveillants ou profs passant par là. Je me dis que nous aurions pu nous attirer de graves problèmes, mais le risque pris était tellement satisfaisant.

Je repense également à tout ce qui a pu se passer dans ma tête, lorsque je regardais tout autour de moi, cet impression d’être à la vue de tous, et en même temps caché. Le fait aussi d’avoir croisé quelques regards, c’est fou comment on peut interpréter les choses.

J’ai du croiser deux, ou trois regards, mais j’ai de suite pensée qu’ils savaient ce que nous faisions, alors que non. Ou peut-être que si, je ne sais plus, je suis totalement perdu, mais en même temps toute excitée.

C’est sûrement le fait d’avoir osé quelque chose, d’avoir franchi un pas, sur un coup de tête en plus. Peut-être aussi le fait d’avoir réalisé un rêve fait inconsciemment, mais surtout je pense, de l’avoir fait pour mon chéri, et de le surprendre.

Je l’aime tellement que je ne sais pas si je pourrais lui dire non, bon après je me doute bien qu’il n’irait pas jusqu’au point de me demander de me mettre nue devant tout le collège. C’est évident il n’est pas comme ça, je le connais timide, donc si il me demande quelque chose, ce sera toujours raisonnable.

A part peut-être la fois, où il m’a demandé par message de me toucher les jambes ouvertes face à ma cousine, pendant qu’elle dormait. Ok, il peut être imprévisible, mais je crois que c’est ce qui m’excite le plus.

Je dois dire que tout cela ne fait que me donner envie, j’ai hâte que les cours se termine, que je puisse rentrer avec lui, et faire l’amour. Il faut donc que j’essaie de me calmer, sinon je vais tout mouiller autour de moi tellement mon envie ne fait que grandir.

Je tente de me concentrer sur les cours, il ne faut pas que j’oublie que j’ai mon brevet à passer cette année. Donc il faut que je mette toutes les chances de mon côté.

Heureusement pour moi j’ai cette facilité à suivre en cours, malgré mes pensées, ce que j’ai en tête j’arrive toujours à écouter, et comprendre. Mais ce n’est pas pour autant que je dois me relâcher, au contraire, je veux réussir.

Je me concentre du mieux que je peux, malgré cette tension entre mes jambes. Je n’avais pas fait attention, je m’en rends compte que maintenant, mais ma culotte est complètement trempée suite à notre petit jeux.

Par chance l’après-midi semble passer beaucoup plus vite, les cours sont moins ennuyeux et la sonnerie retentie.

Je n’ai qu’une idée en tête retrouver Guillaume, aller chez moi, puis faire l’amour. Je le retrouve devant la grille, avec nos amis que nous nous empressons de saluer pour partir. Nous parcourons le chemin en direction de chez moi plus vite que prévu. Il faut dire aussi que l’envie nous donne des ailes.

A peine avons-nous passés la porte que Guillaume se jette sur moi, nous déposons nos affaires, puis nous allons directement dans ma chambre. Ma mère va bientôt finir son travail, il ne faudrait pas qu’elle nous surprenne.

Notre désir est intense, en moins de deux, nous nous retrouvons nus. Guillaume m’allonge complètement sur le lit, puis vient se placer au dessus de moi, pour me couvrir de baiser. Ses lèvres entament une descente qu’elles connaissent très bien déjà.

Au moment où ses lèvres se posent sur mon intimité, je ne peux m’empêcher de laisser sortir un gémissement. Il ne perd pas de temps, il me lèche, de long en large, comme s’il était affamé. Quel plaisir que de sentir à nouveau sa langue sur mon clito.

Très vite ses doigts viennent me pénétrer, j’adore, je me sens encore plus excitée, je brule littéralement de l’intérieur. Au point que mon plaisir ne tarde pas à venir, je sens ce courant me parcourir le corps, cette décharge, qui a pour effet, de me faire gémir au plus haut point.

Je tente de reprendre mon souffle, pendant que je sens des milliers de fourmis me parcourir le corps. Je me redresse, c’est à mon tour de m’occuper de mon chéri, à peine est-il assis que je saisis son sexe bandé pour le mettre directement dans ma bouche.

Guillaume est totalement surpris, je suis moi aussi une affamé, n’ayant pas eu son dessert de toutes les vacances. Je le suce en faisant de grands vas et viens, en m’aidant de ma main pour amplifier son plaisir.

Mais je ne tarde pas trop, je voudrais le sentir en moi, alors sans plus attendre, je me relève, en plaçant mes jambes de part et d’autres de son corps. J’ouvre le petit paquet de préservatif, que j’applique très vite sur son sexe.

Je passe ma main derrière moi, saisie la queue de Guillaume, puis l’introduit en moi. Mon dieu que c’est bon, quel bonheur, quel plaisir de me sentir de nouveau pénétré par son sexe. Je commence délicieusement mes vas et viens, tout en embrassant mon chéri.

Ce moment, je l’ai désiré, rêvé durant chaque jours qui ont constitué ces vacances, alors je dois dire que je suis vraiment comblé de pouvoir à nouveau lui faire l’amour.

J’allonge complètement Guillaume pendant que je monte et descend le long de sa colonne de chaire. Je ressens chaque centimètre, glisser en moi, jusqu’à ce que mes fesses butent contre ses cuisses. Je ferme les yeux tout en gémissant de plaisir, tandis que Guillaume me caresse les seins de ses mains.

C’est fou tout le plaisir que je peux ressentir, je suis de nouveau prise de spasmes, tout en gémissant, puis je m’écroule sur Guillaume.

Guillaume : tout va bien ?
Moi : oh oui… c’est tellement bon, de te retrouver, de te faire l’amour…
Guillaume : tu veux qu’on s’arrête ?
Moi : non
Guillaume : mais tu as l’air…
Moi : non, tu me donne trop de plaisir, c’est tout
Guillaume : d’accord, je voulais juste m’assurer que tout allait bien
Moi : oui, je vais parfaitement bien, viens derrière moi, et prends moi vite…

Je suis encore essoufflé, peu remise de ma dernière jouissance, tandis que Guillaume se redresse au plus vite, se place derrière moi, et m’introduis son sexe. Je ne me souviens plus de mes mots prononcés, je ne sais pas ce que j’ai pu lui dire, en tout cas, il s’introduit très vite.

Je suis complètement surprise, j’ai encore les frissons de ma précédente jouissance, et voila que Guillaume s’introduit en moi, en m’assaillant de coup de queue, rapide, et brut en même temps.

Ce qui n’est pas pour me déplaire, au contraire, je ressens là énormément de plaisir. Nous avons déjà essayé plusieurs fois cette position, Guillaume à un sexe légèrement courbé, et quand il va jusqu’au fond cela peut me faire mal. Donc en temps normal, il me prend dans cette position de manière lente et douce, tout en m’attrapant par les hanches.

Hors à ce moment là, c’est tout le contraire, pris d’excitations sûrement, il me culbute complètement. Il m’introduit sa queue en donnant des vas et viens rapide, parfois sec, et ses mains qui au début m’attraper les hanches, viennent maintenant me saisir la nuque, puis même me tirer les cheveux.

Je ne reconnais plus mon chéri, il a laissé place un quelqu’un de plus bestial, ce qui ne me déplait pas du tout. Bien au contraire, tout en subissant ses coups de reins rapide et sec, il y a une certaine douleur qui se mêle à mon plaisir, un plaisir qui ne fait que grandir.

J’ai encore du mal à reprendre mes esprits, tandis que je ressens en moi des puissants coups de queue. Je ne me retrouve pas, je me perds tellement j’ai du plaisir, tellement j’aime ce que je ressens là.

Je sens en moi de nouveau cette tension se concentrer tandis que du côté de Guillaume, il se met à gémir de plus en plus.

Guillaume : oh, oh Oh, je vais pas tarder…
Moi : continue, t’arrêtes pas… Ah ah ah
Guillaume : Oh OH OOOh … je vais venir
Moi : vas-y… ah AH prends moi plus fort… j’adore ça… Ah AAAAH AAAAAh

Sans plus attendre, Guillaume donne tout ce qu’il a dans un dernier effort, il tape fort. C’est tellement bon, ce mélange de douleur de plaisir, que je me mets à crier comme jamais je ne l’avais fait.

Puis dans un dernier coup, Guillaume se colle complètement à moi, je sens ma chevelure se tendre, me courbant au maximum, tandis que je ressens en moi, son sexe qui se déverse. Je suis totalement partie aussi dans un nouvel orgasme, il part de mon vagin, parcourant mon ventre, ma poitrine, mes joues.

Mes bras et mes jambes ne me supportent plus, tant bien que je m’écroule sur mon lit, suivi de Guillaume. Il est allongé, tout contre moi, essoufflé, en sueur, tandis que son sexe palpite encore en moi.

C’est incroyable comment nous avons eu du plaisir, c’est la première fois que ça nous arrives, d’être aussi fous, emballé, désireux de plaisirs. Guillaume se retire, il s’allonge à mes côtés, tout en venant m’embrasser, nous sommes tout deux encore épuisé de ce que nous venons de vivre.

Je viens me blottir tout contre lui, retrouvant peu à peu notre souffle. Dans ma chambre tout devient calme, je sens son cœur battre dans sa poitrine, puis un autre bruit m’interpelle. Ce bruit vient de la cuisine, je comprends alors que ma mère vient d’arriver.

Je me redresse comme je peux, Guillaume fait de même, puis nous nous habillons en vitesse. Pour mes cheveux on repassera, ma mère sait déjà que nous n’avons pas joué aux cartes. Mais pour Guillaume je fais un minimum, pour ne pas qu’il ait honte devant ma mère.

Je sors de ma chambre pendant que Guillaume vérifie une dernière fois qu’il est présentable, avant de nous rejoindre. Ma mère nous propose à boire, et à voir son petit sourire en coin, je ne peux que le lui rendre.

Elle fait comme si de rien n’était, du côté de Guillaume, il est vraiment mois gêné. Il commence sans doute à avoir l’habitude de parler un petit moment avec ma mère, juste après que nous ayons fait l’amour.

L’heure tourne, Guillaume reprends ses affaires pour rentrer chez lui, je l’accompagne comme d’habitude en bas, l’embrasse une dernière fois, puis je remonte. Je vais directement à la douche, ma mère me laisse tranquille pour ce soir, elle sait que si j’ai envie d’en parler, je viendrais vers elle, et je sais qu’elle sera toujours à mon écoute.
chapitre 98 image
Une nouvelle journée s’annonce, je suis en forme moi en ce moment. Le petit déjeuné pris, un saut à la salle de bain, puis je suis en route pour le collège.

Comme d’habitude, je retrouve tout le monde, nous discutons avant d’aller en cours, puis la même routine. Jusqu’à l’heure du déjeuné, il ne se passe rien de vraiment intéressant, à part bien sûr le fait que certains garçons de la classe n’arrête pas de mater la prof de français.

Je rigole en moi-même, en pensant qu’il doit y avoir plus d’un qui se fait plaisir le soir en pensant à elle. Au moins ça me fait bien rire pendant les deux heures de cours.

Après avoir déjeuné, je me retrouve avec Guillaume, nous discutons sur beaucoup de choses. Puis il me dit que demain il ne pourra pas passer de temps avec moi. Il va devoir aller chez Charles pour travailler sur un projet de groupe. Je suis déçue, lui aussi d’ailleurs, mais je comprends, ils n’ont pas pu travailler dessus durant les vacances, du fait de l’éloignement, et ils vont se pencher dessus demain.

Je lui dis que ce n’est pas grave, que je profiterais aussi, pour passer un peu de temps avec mes amis, comme ça fait longtemps. Peut-être une petite sortie au centre commercial, ce qui n’échappe pas à Guillaume, qui me fait promettre que si j’achète de nouveaux sous-vêtements, de les lui montrer très vite sur moi.

Il devient de plus en plus coquin mon chéri, il commence à se lâcher, j’aime beaucoup ça. Malheureusement les cours reprennent, je suis un peu fatiguée, je suis presque à m’endormir à certains moment. Mais le calvaire passe très vite, à la sortie du collège je retrouve tout le monde, puis nous nous saluons et partons.

Sur le chemin Guillaume me prend la main, me la caresse, je sens son désir, il en est de même pour moi. Une fois la porte franchie, il dépose ses affaires, puis nous nous installons sur le canapé. Enfin nous sommes seul, il m’embrasse avec passion, nous pouvons enfin profiter de ce moment rien qu’à nous.

Très vite Guillaume se débarrasse de mon jean, de ma culotte, puis il se plonge corps et âme, dans un cunni dont il est devenu expert. Il m’allonge, mes fesses au bord du canapé, pendant qu’il relève mes jambes pour les placer sur ses épaules. Il relève peu à peu mon T-shirt, mon soutien gorge mis un peu de côté laisse apparaitre un de mes seins.

Sa langue tourne sur mon clito, il l’aspire, le torture, ce qui me fait frémir. Je suis folle, folle de sa langue, de son cunni, de sa façon de me déshabiller petit à petit. Je me laisse complètement aller, je gémis de plaisir, tout en mettant mes mains sur la tête de mon chéri, pour l’enfoncer encore plus entre mes jambes.

Je suis sur le point de jouir, je lui dis de continuer, que j’arrive au bout, que je ne tiens plus, puis un bruit. Quelque chose vient de taper contre la porte, Guillaume s’arrête net, nous ne faisons plus de bruit, nous regardons vers l’entrée, le cœur battant très fort.

Puis un bruit de clé, il n’y a pas de doute, c’est ma mère qui est arrivée plus tôt que prévu. Je me redresse en vitesse en partant vers ma chambre, tandis que Guillaume me lance mes vêtements tombés au sol. Je ne sais pas trop ce qui se passe, je fuis par reflexe en fait, de peur d’être surprise par ma mère avec mon chéri, alors qu’en temps normal je n’aurais pas bougé.

Au moment où je passe le couloir, j’entends la porte s’ouvrir…

Maman : oh bonjour Guillaume, tu vas bien ?

Je m’enferme très vite dans ma chambre, apparemment mon chéri n’a pas eu le temps de me suivre, trop occupé à me lancer mes vêtements. Je les entends parler, je respire, reprend mon souffle, puis je remets de l’ordre dans mon haut. A commencer par bien remettre mon soutien gorge, ainsi que mon T-shirt, puis je regarde mes vêtements posés au sol.

Ok pour mon jean, mais, je cherche, je ne trouve pas ma culotte. Je regarde alors sous, puis à l’intérieur de mon jean, mais rien. Je pense qu’elle a du rester dans le salon, donc j’enfile le tout sans culotte, puis je sors de ma chambre.

Je retrouve mon chéri et ma mère en train de se parler sur le canapé. Quand je pense qu’il y a peine quelques minutes, je me faisais lécher par mon chéri à cette même place. Je salue ma mère, puis je les observe, il ne semble pas y avoir de gêne, même du côté de mon chéri.

Je suis surprise, mais je passe très vite à autre chose, nous parlons tous les trois un peu de nos journées. Ma mère aime poser des questions à Guillaume, sur sa famille, ses goûts, elle souhaite toujours mieux le connaître.

Puis vient le moment pour Guillaume de rentrer, je l’accompagne, je m’excuse que ma mère nous ait interrompu, j’aurais tant voulu lui faire plaisir moi aussi, mais pour lui tout va bien. Nous aurons d’autres occasions comme il me dit.

Lorsque je remonte, ma mère m’attend avec un grand sourire, en tenant ma culotte dans ses mains. Elle l’agite comme un fanion, comme si une victoire lui été acquise.

Moi : mais c’est ma …
Maman : oh oui je suis désolée mon cœur, je vous ai interrompu, je ne voulais vraiment pas

Elle vient me prendre dans ses bras, tout en s’excusant, je la rassure de suite, on ne lui en veut pas du tout. A l’avenir elle me demande plutôt de faire cela dans ma chambre pour ne pas être gêné dans le cas où elle rentrerait plus tôt, comme pour aujourd’hui.

C’est vrai que ce n’était pas malin de notre part, mais on a simplement suivi notre envie, pensant que nous avions du temps.

Elle me demande si je souhaite prendre un bain avec elle, histoire d’en parler en se mettant à l’aise. L’idée me plaît toujours, alors sans hésiter je me dirige vers la salle de bain.

Une fois toute les deux installées dans l’eau, je lui dis que je suis surprise que Guillaume n’ait pas été plus gêné que ça, par le fait d’être pratiquement pris sur le fait. Ma mère pouf de rire, je lui demande alors pourquoi.

Elle m’explique alors qu’à son arrivée, elle avait salué Guillaume, se demandant où je pouvais être. Naturellement elle est venue dans le salon pour le saluer, puis en lui faisant la bise, elle a de suite sentie cette petite odeur, qui lui est devenue familière.

Puis c’est elle qui à trouvé ma culotte sur le canapé, derrière un coussin. Elle n’avait plus aucun doute, elle s’avait qu’elle nous avait interrompu. Par contre oui, Guillaume était bel et bien gêné par la situation, mais elle a su en deux mots, le calmer, lui dire que tout va bien.

Je pense que ma mère à un don de tout dédramatiser, pour calmer les tensions, ainsi qu’un avis posé sur une situation. Elle est tellement douce, gentille, attentionnée, et avec un cœur énorme, qu’on ne pourrait le mesurer.

Notre bain finit, nous nous séchons puis comme à son habitude, ma mère vient me serrer tout contre elle. J’aime toujours ce moment, sentir sa peau contre la mienne, je me sens comme une petite fille, ou plutôt comme un bébé.

Pour le reste de la soirée, je vais m’occuper de mes devoirs, tandis qu’elle sera sur son ordi. Avant de m’endormir en parlant avec Guillaume, nous rigolons tous les deux d’avoir été presque surpris, ce qui me rappel un peu notre petite séance de masturbation au collège.

Quand j’y repense, j’ai le cœur qui bat fort, une sorte de frisson, comme si je revivais un peu ce moment. Suite à nos échanges, je commence doucement à m’endormir, pour complètement me laisser aller dans les bras de Morphée.

Le jour se lève, je suis en pleine forme, il faut dire que j’ai dormi d’un trait jusqu’au matin. Je prends mon petit déjeuner avec ma mère, toujours dans le silence, puis un tour à la salle de bain et en avant.

Je retrouve tout le monde, nous discutons un peu avant d’aller en cours. Heureusement, il n’y a que la matinée à gérer. Pour cet après-midi je ne sais pas quoi faire encore, je vais voir tout ça avec Estelle et Kévin, pourquoi pas leur proposer d’aller au centre commercial.

C’est vrai que ça fait longtemps que je ne suis pas sortie avec mes amis, en tout cas les heures défilent, la sonnerie retentie. Mon sac sur le dos, je me dirige vers la sortie, tout le monde est là, je profite des derniers moments avec Guillaume, avant de le laisser partir avec Charles pour son projet.

Jonathan les suit pour passer du temps avec eux, mais aussi les aider s’il peut. De mon côté je vais voir avec Estelle et Kévin ce qu’ils ont de prévu.

Moi : vous avez quelque chose de prévu cet aprem ?
Estelle : ba, tu ne vas pas avec Guillaume ?
Moi : non il doit travailler sur un projet de groupe avec Charles et deux autres je crois, du coup je vou…
Estelle : attend quoi ?! Ton chéri n’est pas disponible alors tu viens nous voir ?!
Moi : euh…

J’avoue que sur le moment je ne sais pas du tout comment prendre sa question, surtout sur le ton qu’elle me la dit.

Estelle : là tu nous prends pour des bouches trous !
Kévin : Estelle…
Estelle : attend Julia, mais t’es sérieuse, ça fait genre depuis bien avant les vacances que tu nous calcule à peine, et maintenant que ton chéri est occupé, tu viens nous voir ?!

Je ne sais vraiment pas quoi répondre, je suis perdue dans mes pensées, à vrai dire je recherche le dernier moment, où je suis sortie avec mes amis. Je n’arrive vraiment plus à m’en rappeler, je me sens mal, vraiment nulle, ridicule.

Devant mon silence, mon manque de réaction, je vois les yeux d’Estelle qui commencent à briller, puis elle prend ses affaires en prenant Kévin par la main.

Je suis là, seule, devant cette grille, d’autres élèves sont encore présents, ils me regardent, certains ont dû tout entendre. Je me sens mal, mon cœur s’emballe, ma respiration est comme coupée, je ressens une chose que je n’avais pas sentie depuis très longtemps. Je regarde au loin mes amis partir, tandis que je ne bouge pas, une crise, je recommence à avoir une crise de panique.

J’ai du mal à comprendre ce qu’il vient de se passer, ou du moins j’ai très bien compris, mais beaucoup de questions me viennent. Il me faut bien deux minutes avant de m’apercevoir que je ne vois plus mes amis dans la rue.

Je panique totalement, me demandant quoi faire, je regarde autour de moi, ma vision se trouble légèrement, puis ma réaction à ce moment là est de me donner une gifle. J’ai mal, mais je reprends mon souffle, puis je commence doucement alors à marcher vers chez moi, ma tête semble vide, et en même temps rempli de toutes ces questions, auxquelles je n’ai aucune réponse.

Tout le long du chemin, les mots d’Estelle raisonnent dans ma tête, comme un écho sans fin…
chapitre 99 image
J’arrive chez moi, la boule au ventre, je ne me souviens même pas de mon trajet jusqu’ici tellement je suis ailleurs. Je n’ai pas la force de manger, je n’ai envie de rien, si ce n’est que m’allonger dans mon lit.

Tout mon après-midi, je vais vivre une descente infernale, en essayant de trouver une réponse aux questions d’Estelle, mais rien ne me vient.

J’ai mal, terriblement mal, dans mon ventre, dans ma poitrine, puis mes larmes commencent à couler, je pleure. Mes yeux fermés, mes joues humides, mon oreiller aussi se gorge de mes larmes.

Je revois dans ma tête, le regard des autres devant la grille, comme des accusateurs, des juges, des bourreaux. Je suis coupable, sans nul doute, je n’ai aucunes défenses, rien qui puisse me sortir de cette situation.

Je suis seule dans ma chambre, à me morfondre, pleurant à n’en plus finir, me demandant tant de choses. Je revois le regard d’Estelle, rempli de colère, ses mots comme des lames venant me transpercer la poitrine, jusqu’à atteindre mon cœur.

Je saigne de l’intérieur, j’ai mal, terriblement mal, et pourtant c’est moi qui aie causé tout ceci. C’est mon attitude, le fait d’avoir délaissé mes amis pour profiter de Guillaume.

Je n’aurais jamais dû faire ça, je me rappelle notre rencontre, c’était la seule fille, la seule élève de l’école à m’approcher, alors que j’étais toujours isolée, remplie de peur. Cette petite fille venait me parler chaque jour, dans la cour de l’école alors que je restais silencieuse. Cette fille m’a accompagnait tout du long, alors que je ne disais rien. Elle aurait pu arrêter de venir me voir, m’abandonner pour se trouver des amis, mais non.

C’est une fille qui a su attendre mes premiers mots, qui a su attendre que je sorte doucement de ma carapace. Je me souviens que lorsque je lui ai parlé pour la première fois, son visage s’est émerveillé, elle était si heureuse d’entendre ma voix, qu’elle n’a pas arrêtée de me poser des questions.

Je n’ai pas su quoi répondre ce jour là, mais encore une fois, elle avait été plus que patiente, me parlant de tout, de ses peluches à qui elle avait donné des noms très originaux. Je me souviens qu’elle avait une imagination débordante, un esprit vif, et à la fois curieux.

Sans cesse, elle se demandait « pourquoi ? », « comment ? », tandis que moi, je ne disais rien.

Lorsque j’ai trouvé le courage de lui parler une nouvelle fois, elle est restée calme, silencieuse, me laissant le temps de prononcer mes mots, avec ma voix timide. Son visage était souriant, ses yeux brillant, puis sa main s’est posée sur la mienne, et avec sa petite voix douce, elle m’a dit

« Je serais ton amie pour toujours »

Elle ne m’a jamais abandonné, elle a tenue parole en devenant ma meilleure amie, avec qui j’ai depuis ce jour, partagé tant de moments. Toutes les photos dans ma chambre sont là pour en témoigner, ma première amie à me souhaiter mon anniversaire, à me donner un cadeau, à me prêter sa veste, à partager son goûter.

Elle ne m’a jamais abandonné, mais c’est ce que j’ai fait moi.

Mes larmes ne cessent de couler, tout en repensant à tout ça, à nos souvenirs communs. Je cherche encore à quand remonte notre dernier moment ensemble, Estelle, Kévin et moi. Elle m’a parlé d’avant les vacances, je ne peux pas y croire, j’étais tellement dans ma bulle avec Guillaume, que je n’ai pas vu le temps passer. Mais surtout, je n’ai pas vu que je laissais mes amis de côté

Je comprends tout à fait la réaction d’Estelle, je ne peux pas lui en vouloir, pas après ce que j’ai fait, mes larmes coulent encore plus en me disant que ce sont peut-être les derniers mots que j’aurais entendu d’elle. Je me dis, qu’après tout ça, elle ne voudra plus m’adresser la parole, qu’elle ne voudra plus jamais me voir.

Je ne peux pas imaginer cela, non, c’est trop dur, la perdre elle et Kévin, non, c’est quelque chose que je ne peux pas concevoir, il faut que je me retire ça de la tête. Je continue de pleurer, seule dans mon lit, alors que le temps s’écoule.

Les heures ont passés, je suis restée ainsi dans mon lit, sans bouger. J’entends ma mère qui rentre du travail, puis elle ne fait aucun bruit, pensant sans doute que je suis avec Guillaume dans ma chambre. Elle reste silencieuse pendant un bon moment avant de venir toquer à ma porte.

Je lui dis qu’elle peut entrer, lorsqu’elle ouvre ma porte, puis qu’elle me voit ainsi, elle se pose à ce moment là des milliers de questions. Totalement surprise, elle se dépêche de venir me voir me demandant ce qui se passe. Elle a de suite penser à Guillaume, peut-être une dispute, ou alors pire.

Je lui dis que ce n’est pas du tout ça, alors je lui explique ce qui s’est passé. En lui racontant toute l’histoire, les larmes me reviennent, ma mère m’écoute attentivement, me serrant dans ses bras, attendant que je termine.

Elle me sert très fort tout contre elle, puis inspire profondément. Elle me dit être triste pour moi, mais à la fois soulagé, que ce ne soit pas plus grave. En me voyant en larme, blotti dans mon lit, elle a imaginé le pire.

Bien sûr elle me comprend, elle sait très bien à quel point ça doit être douloureux pour moi. Elle s’allonge dans mon lit, me serrant tout contre son corps, m’apportant de la chaleur, du réconfort. Elle me parle d’une voix douce, ses mots sont comme un baume sur moi, en l’écoutant, je me sens apaisée.

Elle me réconforte dans le sens, où je sais qu’elle sera toujours là pour moi, qu’importe la situation, elle sera toujours présente.

Toute la soirée, ma mère ne me lâchera pas, elle se rappelle de ses moments, où j’étais encore cette fille timide, renfermée. Elle savait me garder auprès d’elle, tout en me laissant mon espace, pour que je me sente mieux.

Aujourd’hui c’est un peu différent, j’ai de nouveau commencé à avoir une crise, mais pas comme j’aurais pu le faire avant. Du moins je me souviens de ces moments où je restais enfermée des heures, voir des jours sans prononcé un mot à ma mère.

Aujourd’hui je reprends plus vite le contrôle, bien que je ne m’attendais pas à faire une nouvelle crise. Je pensais avoir changé, mais non, il faut dire aussi que ça a été brutal pour moi, de voir Estelle ainsi.

Cette nuit là dans mon lit, ne n’arrive pas à vraiment dormir, je tournes sans cesse dans mon lit, tout comme les questions dans ma tête. Le lendemain, lorsque mon réveil sonne, je ne suis vraiment pas en forme, ma mère me dit de rester là, de me reposer.

J’ai sur mon téléphone des dizaines de messages de Guillaume, il m’en a envoyé hier soir, je ne lui ai pas répondu. Je prends le temps de le faire là, il a dû s’inquiéter, alors je lui explique en quelque mot. Il est de suite plus rassuré, mais en même temps mal pour moi.

Je retrouve une nouvelle fois le sommeil, ma tête est lourde, remplie d’images, de questions, mais surtout de remords. Je dors pratiquement toute la journée, je me réveille lorsque mon téléphone sonne, c’est un appel de Guillaume.

Je lui réponds, il me dit qu’il est en bas de l’immeuble, qu’il souhaite me voir. Je me lève pour appuyer sur l’interrupteur et le laisser monter, lorsqu’il apparaît devant moi, il me prend aussitôt dans ses bras, pour me réconforter.

Nous nous installons dans le canapé, je lui raconte toute l’histoire, qui n’a pas pu tenir dans le texto que je lui ai envoyé. Il est vraiment mal pour moi, car il se dit être responsable dans cette histoire, qu’il en est aussi la cause.

Je ne veux pas qu’il pense ça de lui, il a su de son côté avoir des moments avec ses amis, c’est moi qui n’ai pas su faire la même chose. La seule à blâmer dans cette histoire c’est moi. Il me réconforte du mieux qu’il peut, il me fait sourire, preuve qu’il y arrive très bien.

Il me dit que je devrais venir au collège demain, et essayer de parler avec Estelle et Kévin. Surtout leur présenter mes excuses, si je m’en sens capable. Au fond de moi c’est ce que je veux faire, mais j’ai peur de ne pas trouver les mots une fois devant eux. Guillaume me dit qu’il sera là si je le souhaite, qu’il m’accompagnera pour m’aider.

Je le remercie, surtout d’être venu me voir, je ne m’attendais pas à ce qu’il fasse ça, je le trouve tellement mignon, surtout lorsqu’il me dit qu’il m’aime, et qu’il ferait n’importe quoi pour moi. Je me blottis tout contre lui, je lui promets que demain je viendrais, et que j’irais parler avec mes amis, mais toute seule.

Je veux le faire pour moi, pour mes amis, et Guillaume me comprend très bien. Tout en parlant la porte s’ouvre, c’est ma mère qui vient de finir son travail. Elle est contente de voir que Guillaume est là, elle sait que j’ai trouvé là du réconfort, que je vais plus vite m’en remettre.

Nous avons continué de parler tous les trois, changeant de sujet pour rire un peu, surtout pour me faire penser à autre chose. Après le départ de Guillaume, je reste avec ma mère, je n’ai rien avalé depuis hier midi, tellement je me sentais mal. Je me rattrape donc ce soir avec un bon repas, bien chaud.

Avant de me coucher, je vais discuter un peu avec Guillaume par message, je le remercie encore d’être passé, d’être tout simplement lui, de me faire rire, malgré mes pensées, mes angoisses, mon mal. Lui aussi, agit sur moi comme un baume, il arrive à me redonner le sourire dans une telle situation, je l’aime tout simplement.
chapitre 100 image
Ce matin, je me réveil difficilement, j’ai dormi, mais j’ai l’impression que la nuit a été courte. J’ai repensé à plusieurs choses, et je dois dire que je suis angoissée, d’aller au collège, d’affronter le regard d’Estelle.

Je traine les pieds, je semble stagner sur mon petit déjeuner, je n’ai pas vraiment d’appétit à vrai dire. Ma mère m’encourage à avaler quelque chose avant de partir. Elle se demande également s’il est sage de me laisser retourner en cours ainsi.

J’ai très peur, je voudrais encore rester ici aujourd’hui, mais au fond de moi, je veux tout le contraire. Je veux essayer de faire face à cette situation, de surmonter ma peur. Je me force à m’habiller, je me dis que je n’ai pas le choix, sinon jamais je me sortirais de tout ça.

J’ai mis du temps pour me préparer, sur le chemin, je semble compter chaque pas qui me rapproche peu à peu vers cette confrontation.

J’ai malheureusement provoqué cette situation, à moi maintenant d’en faire face. J’arrive devant la grille, Guillaume m’embrasse en me demandant comment je vais. Je le rassure sans en être convaincu moi-même, je cherche Estelle et Kévin du regard, mais ne vois personnes.

Jonathan me dit qu’il a vu Kévin rentrer dans la cours, je regarde vers l’intérieur, mais je ne le distingue pas. Rien ne sert de le cherche plus que ça, la sonnerie retentit déjà, je me dirige alors vers ma salle.

Pendant les cours, j’ai du mal à suivre, je rumine encore les mots d’Estelle dans ma tête, espérant trouver une manière de lui présenter mes excuses. Je tourne, retourne cette scène des milliers de fois dans ma tête, mais je n’arrive pas.

Lorsque la fin des cours sonne enfin, je regarde dans la cours, essayant de trouver mes amis parmi les autres. J’arrive au réfectoire, je désespère de les trouver, puis j’aperçois Kévin seul.

Je m’avance vers lui me posant tant de questions, lorsqu’il me voit, il est surpris, puis il s’approche en me serrant contre lui. Je ne sais plus du tout quoi penser, je reste silencieuse, puis il me regarde…

Kévin : tu es déjà de retour ? Guillaume m’a dit que tu avais fait une crise
Moi : oui je suis là, pour la crise, j’ai réussi à m’en sortir
Kévin : plus vite que d’habitude même, c’est fou
Moi : mais tu n’es pas en colère après moi ?
Kévin : moi non, enfin je ne sais pas…
Moi : tu es seul ? Où est Estelle ?
Kévin : elle n’est pas venu depuis hier, elle est très mal en fait
Moi : c’est à cause de moi ?
Kévin : euh, je ne sais pas…
Moi : Kév, dis moi la vérité stp, j’ai besoin de savoir
Kévin : euh, oui un peu

Je suis choquée, triste d’avoir pu causer autant de tord à mon amie, je suis une nouvelle fois perdue dans mes pensées, puis je demande à Kévin si nous pouvons manger ensemble, que j’aimerais beaucoup lui parler.

Il accepte volontiers, il faut dire que Kévin est le garçon le plus gentil que je connaisse. Je me rappelle très bien comment nous étions plus jeunes, et comment nous sommes devenus amis.

Kévin était un garçon timide, qui aimait le monde de la BD et des jeux vidéo. Il était donc toujours assis seul dans un coin de la cours ne demandant rien à personne, à part le fait de le laisser tranquille. Depuis tout petit, il avait des soucis de santé, notamment au cœur, lui interdisant la pratique de tout sport, ce qui lui amené plus tard, à avoir une corpulence assez forte.

Sur ce dernier point, les autres enfants se moquait toujours de lui, venant l’embêter par moment dans la cours alors qu’il n’avait rien demandé. C’est justement lors d’un de ces jours, où des enfants sont venus le déranger, rire de lui ouvertement en lui donnant des surnoms rabaissant qu’Estelle, révoltée, à pris sa défense devant tout le monde.

Ce jour là, elle n’a pas eu sa langue dans sa poche, ce qui avait d’ailleurs attiré l’attention du directeur. Au final, grâce à Estelle, les enfants ont été punis, puis les parents avertis de leurs comportements.

Le jour suivant, Kévin restait encore seul, dans son coin, par habitude. Estelle s’est dirigée vers lui, puis lui à proposé de venir avec nous. Il était tout gêné, ne comprenant pas ce qui se passait, il est resté un moment avec nous, puis un autre, et encore un autre, pour au final, ne plus nous quitter.

Il était timide, réservé, mais Estelle a su le mettre en confiance, lui faire comprendre que nous serions à partir de ce jour, des amis. Depuis, j’ai appris à connaître Kévin, à savoir qu’il ne dit jamais non, qu’il est facilement influençable, très gentil, et qu’il partagera toujours ce qu’il a avec nous.

Il est notre nounours, celui qu’on aime taquiner, cajolé, celui qui est toujours à notre écoute, fidèle et sincère. Je suis dans tous mes états en repensant à tout cela, je verse une larme, puis Kévin me sors de mes pensées, lorsque nous nous asseyons pour manger.

Kévin : ça ne va pas ?
Moi : si, si, j’étais juste pensive
Kévin : ah, mais il ne faut pas te mettre dans cet état là
Moi : c’est juste que je me disais, à quel point, j’ai de la chance de vous avoir, et que j’ai tout gâché
Kévin : il ne faut pas dire ça, ce n’est pas fini
Moi : dis-moi, est ce que tu es fâché contre moi, honnêtement ?          
Kévin : non, pas du tout, j’étais triste de ne plus trop t’avoir avec nous, mais en même temps heureux de te voir rayonnante

Kévin a toujours été sincère, quoi qu’on lui demande, je suis franchement touchée par ce qu’il me dit. Pour lui, il ne voyait pas de mal à ce que je passe du temps avec Guillaume, car je suis heureuse. Pour ce qui est d’Estelle, c’est plus compliqué, il a essayé de la calmer, de lui parler, mais elle était tellement furieuse qu’elle n’entendait rien.

Nous avons que très peu vu Estelle dans un état de colère, ou du moins de petite colère. Genre pour un film ou alors une chose qu’elle ne retrouve plus. Mais l’état dans lequel elle était mercredi, j’ai peu de devoir l’affronter, et qu’elle rejette mes excuses.

Kévin me dit de passer chez elle demain, ses parents s’absente pour la journée, elle sera sûrement chez elle. J’aurais ainsi tout le temps qu’il me faut pour lui parler, si elle l’accepte bien entendu.

J’avoue que je ne sais pas comment réagir avec Kévin, je suis heureuse qu’il me pardonne ainsi, il est tellement gentil, puis il n’était pas du tout en colère après moi. Mais je lui promets de me rattraper, de tout faire que ça s’arrange entre Estelle et moi, et que nous nous ferons une soirée si tout va bien.

Kévin me sourit, il me dit qu’il n’en demande pas plus, il souhaite sincèrement que l’on soit bien tous les trois, que l’on puisse se refaire des sorties et autres.

Après le déjeuner, je ne vais pas retrouver Guillaume, je reste avec Kévin pour discuter avec lui, ne pas le laisser seul, et surtout rattraper un peu le temps perdu. Malheureusement les bons moments passent toujours trop vite, je le quitte pour rejoindre mes cours.

Le fait d’avoir pu parler avec Kévin déjà m’a beaucoup soulagé, j’ai pu suivre en partie les cours. Mais je reste tout de même pensive envers Estelle, je voudrais déjà passer un bon coup de balai sur cette histoire et pouvoir tout reprendre comme c’était avant.

Je le souhaite sincèrement, car c’est ma meilleure amie, celle sans qui je ne serais pas là aujourd’hui.
La sonnerie annonce la fin de la journée, ainsi que le début du week-end. Je retrouve mon chéri à la sortie, nous restons un moment pour parler avec Charles, Jonathan, ainsi que Kévin, puis nous nous saluons.

Guillaume me raccompagne jusque chez moi, sur le chemin je lui raconte un peu tout ce qui s’est dit entre Kévin et moi. Il croise les doigts pour demain tout ce passe bien, que nous puissions parler calmement, sans éclats de voix.

Une fois arrivés, nous nous installons dans le canapé pour continuer de discuter. J’aime comment il prend soin de moi, son côté attentionné, nous restons là, à nous parler, pendant qu’il m’attrape la main, me la caresse du bout des doigts.

Doucement nos lèvres se rapprochent, elles se connaissent si bien, on dirait qu’elles sont faites pour être ensemble aussi. J’adore le gout particulier de ses lèvres, cette façon qu’elles ont de danser avec les miennes. Je me laisse aller petit à petit, basculant doucement vers l’arrière pendant que Guillaume m’accompagne dans ma descente.

Je le sens déjà bander contre ma cuisse, j’aime quand il me désire ainsi, je sais déjà à quoi m’attendre. Mon cœur bat lentement, calmement tandis que ses mains parcourent mon corps.

Je suis calme, mais pourquoi d’ailleurs ?

Guillaume : ça va mon cœur ?
Moi : oui, oui, je vais bien
Guillaume : ça te plaît ?
Moi : oui, continue, embrasse-moi

Mon chéri me rejoint à nouveau, je ferme les yeux, me laissant emporter doucement. Sa main vient glisser sous mon T-shirt, remontant jusqu’à se poser sur ma poitrine. Le contact est doux, léger, et je ressens comme, un vide…

Qu’est ce qui m’arrive ? Pourquoi je ne ressens pas les mêmes choses que d’habitude ?

J’essaie de sonder mon corps, comme à la recherche d’une partie de moi qui serait excitée, mais rien. Je ne comprends pas, pourtant nous sommes là tous les deux, je l’aime, mais il ne se passe rien. Je ne sais plus quoi faire, dans ma tête je pense à Estelle, elle est en pleure, elle est mal, à cause de moi.

Moi : hum, attends, une seconde stp
Guillaume : ça ne va pas ? Je t’ai fait mal ?
Moi : non ce n’est pas toi, je… je ne sais pas ce que j’ai
Guillaume : c’est peut être toute cette histoire qui te travail encore
Moi : oui ça me travail toujours, je suis désolée, je crois que je n’ai pas la tête à ça
Guillaume : hey, ne sois pas désolée, c’est moi aussi, je n’aurais pas du essayer
Moi : mais ça fait depuis mardi qu’on a rien fait, en plus je ne t’ai même pas fait jouir ce jour là
Guillaume : mon cœur, crois moi, ce n’est rien, je ne veux pas te forcer alors que tu ne te sens pas bien

Il vient m’enlacer tendrement, tout en déposant un baisé sur ma joue. Je m’en veux, déjà que je fais du mal à mes amis, puis maintenant ça. J’ai l’impression de tout faire de travers, heureusement que Guillaume est gentil et compréhensif.

Nous restons alors ainsi, à parler, jusqu’à ce que ma mère arrive de son sport. Je suis surprise, nous n’avons pas du tout vu l’heure passer. Même elle est étonnée de voir Guillaume encore présent à cette heure-ci.

Elle se demande si son père ne va pas être furieux en voyant son fils rentrer plus tard que d’habitude. Mais Guillaume la rassure, il n’en fera rien, d’ailleurs il va de suite l’appeler pour lui dire qu’il est en chemin.

Pendant ce temps ma mère me demande comment s’est passé ma journée, si je vais mieux. Je lui donne les grandes lignes avant que Guillaume ne finisse son appel. Apparemment son père est invité à une soirée, et rentrera assez tard. Son père est souvent invité par des clients de la banque, il vient surtout faire acte de présence comme il le dit, et de ce fait Guillaume passe toujours ses soirées seul.

Ce qui ne change pas d’habitude à vrai dire, puisqu’on son père ne partage vraiment pas de moment avec lui.

Ma mère est toute triste d’entendre ça, alors elle l’invite à rester manger avec nous, puis nous le ramènerons en fin de soirée. Je suis vraiment enchantée par cette idée, l’idée de partager plus de moments avec mon chéri me plaît toujours. Ma mère passe donc à la douche, surtout après sa zumba où elle a beaucoup suée.

Après quoi nous aidons ma mère à préparer le repas, tout en parlant, en riant, ce qui me fait vraiment le plus grand bien. Cette soirée pour moi, en présence de ma mère et Guillaume à tout simplement été parfaite, c’est vraiment ce qui me fallait pour me remonter le moral, et penser à autre chose. C’est la première fois que Guillaume passe la soirée avec nous autour d’un bon repas, il se sent à présent comme chez lui. Puis après avoir mangé le dessert, ne voulant pas trop abuser de la gentillesse de ma mère, nous l’avons ramené chez lui.

Guillaume nous remercie de nouveau pour cette soirée, c’était un plaisir pour ma mère, et s’il le souhaite, il sera toujours le bienvenu pour d’autres soirées.

De retour chez nous, je remercie également ma mère pour cette bonne idée qu’elle a eue, puis je viens l’enlacer. J’ai vraiment de la chance de l’avoir, d’avoir Guillaume aussi, puis je regagne ma chambre pour aller me coucher, dans l’objectif d’être en forme pour demain, afin de parler avec Estelle.
chapitre 101 image
A mon réveil, je suis déjà pensive, tout en fixant le plafond, je me projette dans ce que je vais faire aujourd’hui. Je vais tenter de voir Estelle, de lui parler, mais surtout de lui présenter mes excuses.

J’ai beaucoup mieux dormi que les précédents jours, il faut dire que j’ai eu beaucoup de soutien aussi. Kévin m’a dit que les parents d’Estelle ne seraient pas là aujourd’hui, c’est le meilleur moment pour moi d’essayer quelque chose.

Je me lève, j’ai la sensation d’être déterminée, malgré le fait d’avoir des doutes, des peurs. Ma mère me sourit, me laissant prendre tranquillement mon petit déjeuner dans le calme. Après m’être préparée en vitesse, je me dirige avant tout vers une petite pâtisserie de quartier, pour prendre le gâteau préféré d’Estelle.

Je voudrais mettre toutes les chances de mon côté, ne pas simplement me pointer avec ma tête triste. Durant mon trajet jusque chez elle, je tente de répéter mes mots, encore une fois, de trouver la meilleure façon de l’aborder.

Lorsque j’arrive chez elle, j’ai dû me répéter des milliers de scène dans lesquels je lui parlais, soit en pleurant, en étant ému, souriante ou triste aussi qu’elle me rejette. J’ai vraiment tout imaginé, mais ne sais vraiment pas à quoi m’attendre.

Arrivée devant la porte du hall, je profite de rentrer quand un occupant de l’immeuble en sort. Cela fait une étape en moins, je ne voulais pas sonner chez Estelle, et lui dire que j’étais en bas. Je monte les escaliers, je suis sur le pas de la porte.
Stressée, me demandant maintenant ce que je fais là, si je n’ai pas l’air ridicule avec ma petite boîte de gâteau, il ne faut pas que je commence à vouloir faire marche arrière. Je prendre une grande respiration, puis je sonne.

Devant cette porte, dans un silence absolu, mon cœur résonne, j’ai l’impression d’avoir un tambour dont la frappe ne s’arrête pas. Il me semble avoir sonné depuis trente secondes, ou peut être plus, ou moins, je ne sais plus vraiment, en tout cas, l’attente semble interminable.

J’entends enfin des pas, puis la serrure, pour enfin voir cette porte s’ouvrir. Dans cette minuscule ouverture je peux voir le visage d’Estelle, fatiguée, encore endormie on dirait, puis surpris de me voir là.

Estelle : Ju… ?
Moi : attends s’te plaît, ne ferme pas la porte
Estelle : ce n’était pas mon intention
Moi : d’accord, j’ai eu peur que tu me ferme la porte au nez
Estelle : qu’est ce que tu fais là ?
Moi : je… je suis venue, pour…                       
Estelle : on dirait que tu ne sais pas du tout pour quelle raison tu es là
Moi : si, si, j’ai juste du mal à…

Mon cœur bat fort, devant le visage froid d’Estelle, je me perds dans mes pensées, mes mots n’arrivant pas à sortir. Je ferme les yeux un instant, puis je compte jusqu’à trois, en inspirant grandement.

Moi : je, je te demande pardon, vraiment pardon pour ce que je t’ai fait, excuse moi

Ce n’est pas la façon la plus efficace sans doute de présenter des excuses, mais ce sont là les seuls mots qui ont pu sortir de ma bouche à ce moment là. Voilà maintenant que je suis prise de peur, des milliers de questions surgissent, à savoir comment elle va réagir, et ce que je vais pouvoir dire par la suite.

Estelle : attends Julia, tu es sérieuse, tu viens comme ça chez moi sans prévenir, me présenter des excuses, si on peut appeler ça des excuses, et tu penses que je vais tourner la page, comme ça ?

Ses mots sont assommants, comme un coup, pris en plein cœur, tandis que je tente de chercher mon souffle pour lui répondre. Je dois lui présenter des sincères excuses, lui dire ce que j’ai pu ressentir ces derniers jours, mais aussi lui dire combien je me suis aperçue du mal que j’ai pu lui faire.

Je commence à avoir des larmes aux yeux, mes lèvres tremblent, je me doute que je ne dois pas être belle à voir, mais je n’arrive pas à me contrôler, seulement à me concentrer sur les mots que je devrais lui dire.

J’ai peur, je pleure, je ferme les yeux, puis mes mots tentent de sortir…

Moi : je suis, vraiment désolée, tu dois sûrement penser, que je suis la pire des amies… pour t’avoir oublié comme je l’ai fait. Alors que toi, tu as toujours été là pour moi, à m’encourager, à me supporter. Je voudrais tant changer les choses, revenir en arrière, et ne pas agir comme je l’ai fait. Ces derniers jours, ça a été l’enfer pour moi… me dire que je t’ai blessé, que tu ne veuille plus me voir, tout ça c’est trop pour moi… et c’est pourtant ce que je t’ai fait vivre…

Estelle : oui, tu nous as blessés, tu n’as vraiment pensé qu’à toi, on n’existait vraiment plus, à part le fait que tu nous dises bonjour le matin, ou au revoir, il n’y avait plus rien. Même si on mangeait tous ensemble le midi, c’est à peine si tu nous adressée la parole. Je ne t’ai vraiment plus reconnue…

Moi : je ne me suis plus reconnue aussi, j’ai vraiment tout fait de travers avec toi…
Estelle : avec moi ?! Tu as pensée à Kévin, je parle de nous là, ça inclus aussi Kévin tu sais…
Moi : j’ai, j’ai déjà parlé avec Kévin, hier… je pensais vous trouver tous les deux, puis il m’a dit combien tu étais mal
Estelle : vous avez déjà parlé ? Et comment il est ? Il ne m’a rien dit
Moi : il était triste de ne plus m’avoir, mais il était heureux pour moi et Guillaume, puis on a discuté, ça va aller, c’est lui qui m’a dit que tu serais seule aujourd’hui
Estelle : pfff, Kévin est trop gentil…
Moi : oui j’ai de la chance de l’avoir, et je voudrais avoir la chance de te garder aussi
Estelle : ce n’est pas aussi facile tu sais, qui me dit que tu ne vas pas recommencer, nous abandonner une nouvelle fois ? Hein ?
Moi : j’ai pris conscience de ce que j’ai fait, et je ne veux pas non plus que ça recommence, je tiens à vous, je tiens à notre amitié, je tiens à tout ce qu’on a partagés ensemble
Estelle : pourquoi tu l’a fais alors ?
Moi : je… je ne sais pas, je ne sais vraiment pas
Estelle : ah tu ne sais pas ?… et bien moi je sais que jamais je ne vous aurais abandonné toi et Kévin, pour rien au monde. Alors peut être que tu t’es remise en question, peut être que Kévin t’a pardonné, mais moi j’ai encore du mal à ce que ma meilleure amie m’oublie du jour au lendemain

La porte se referme brusquement devant moi, dans un vacarme raisonnant dans les escaliers. Estelle était vraiment en colère, ses yeux brillaient, mais le scénario que je redoutais le plus est arrivé. Je n’ai pas su lui dire les bons mots sans doute, pas su m’abaisser devant elle, pas su comprendre sa douleur.

Je reste plantée là, pendant deux minutes à pleurer seule dans ce silence qui me pèse. Je tourne doucement les talons, il n’y a plus aucun son si ce n’est celui de mes larmes qui s’écrasent sur la boîte de gâteau.

Je descends avec difficultés les escaliers jusqu’à sortir dans la rue, dehors un passant me regarde en larmes sans pour autant plus réagir que cela. Je me sens seule au monde, une douleur intense me gagne dans ma poitrine.

Je ne sais vraiment plus quoi faire, je prends mon téléphone, je pense appeler ma mère, lui demander de venir me chercher, je n’ai vraiment plus la force de marcher. Je suis totalement perdue, je n’arrive pas à appuyer sur cette touche, comme paralysée.

Pourtant dans ma main, au même moment, mon téléphone se met à vibrer, je baisse les yeux, c’est un appel de Guillaume.

Moi : allo… (En pleure)
Guillaume : oh mon cœur, ça ne va pas ?
Moi : en fait… ça s’est mal passé
Guillaume : merde, tu es où là ?
Moi : toujours en bas de chez Estelle, je…
Guillaume : je ne sais pas où elle habite, il y a un endroit pas loin où je peux te retrouver ?
Moi : il y a la pizzeria, ou le salon de coiffure au coin de la rue
Guillaume : d’accord, je vois c’est où, j’arrive au salon de coiffure, d’ici 10 minutes
Moi : d’accord je t’attends

Avoir entendu la voix de Guillaume m’a sorti un moment de cette angoisse, je retrouve peu à peu mes esprits, puis je traverse la rue en direction du salon de coiffure. Je tente de m’essuyer un peu, certains regards dans la rue ont l’air de me juger encore plus que celui d’Estelle.

Je patiente un peu, je n’aurais pas attendu longtemps avant de voir mon chéri débarquer en courant. Il arrive essoufflé, puis me prends dans ses bras, me demandant comment je vais.

Je n’arrive pas vraiment à parler, seulement à pleurer dans ses bras en tentant de prononcer des mots. Il me console comme il peut, en me disant qu’il me ramène chez moi, mais je n’en ai pas envie. Je lui gâche déjà sa journée, je ne voudrais pas non plus gâcher celle de ma mère.

Guillaume me dit alors de le suivre, que nous allons chez lui pour être tranquille. Je me demande si c’est une bonne idée, je ne voudrais pas créer plus de problèmes surtout avec son père. Il me rassure très vite, il est absent depuis hier soir, il ne sait pas quand il rentrera, mais que je n’ai pas à me soucier de ça.

Marcher aux côtés de Guillaume me vide un peu la tête, bien sûr je repense toujours aux mots d’Estelle, son visage ferme, et cette porte qui se referme devant moi. Heureusement que Guillaume est là, il me soutient, me guide pendant le trajet, sinon j’aurais été perdu, errante sans but.
chapitre 102 image
Après quelques minutes de marche, à me repasser toute cette histoire en tête, nous arrivons devant l’immeuble de Guillaume. Je n’avais pas fait attention hier soir lorsque nous l’avons ramené, mais c’est vraiment un bel immeuble, rien à voir avec le notre.

Les escaliers sont grands, bien espacés, nous arrivons devant une grande porte, puis Guillaume l’ouvre. Je découvre alors un appartement vraiment spacieux, bien éclairé, tout simplement luxueux.

A vrai dire, je ne saurais pas vraiment si c’est vraiment égal au luxe, vu que c’est la première fois pour moi que je vois un tel appartement. Mais comparé à celui dans lequel nous vivons ma mère et moi, il n’y a pas photo. Il y a vraiment une fracture sociale si je puis dire.
 
Guillaume me propose à boire, puis me débarrasse de ma boîte. J’oubliais que je l’avais toujours en main, ce gâteau qui était pour Estelle. Je tente de boire quelques gorgées, tout en essayant d’arrêter de verser des larmes, mais je n’y peux vraiment rien.

Mon chéri me demande ce qui s’est passé, alors je lui raconte tout en détail, je lui dis que je m’attendais à ce genre de réaction, je ne veux pas juger Estelle, mais je sais qu’elle est têtue et qu’il est difficile de la faire changer d’avis.

C’est une fille souriante, qui a le cœur dans la main, mais qui peut aussi avoir un caractère froid quand quelqu’un ou quelque chose la blesse. Le fait que je sois la cause de cette blessure n’a vraiment pas dû être facile pour elle, et moi je me ramène comme ça, avec un gâteau, et de petites excuses.

Je la comprends parfaitement, je suis vraiment nulle sur ce coup là, je n’assure pas, je devrais être au dessus de tout ça, je devrais être au top dans mon rôle de meilleure amie, et pourtant.

Tout en déballant mon sac, je continue de pleurer, déversant toute ma peine sur Guillaume qui m’écoute sagement. Au bout du rouleau, ma peine laisse place parfois à des moments de colère, contre moi-même, voir aussi contre Estelle, à savoir pourquoi elle est si dur avec moi.

Je peux la comprendre, tout comme parfois je peux être perdue, ne trouvant pas la réponse, ou alors cherchant des hypothèses. Mais tout cela ne sert à rien, je suis là, je n’ai pas réussi à récupérer Estelle, je n’ai pas réussie à garder notre amitié intacte, puis tout ça me fatigue.

Je me sens vraiment épuisée, par tant d’émotion en si peu de temps, la tristesse, la colère, mais au-delà de ça, ce sont le regret et le jugement qui sont le plus difficile à porter. Je me sens lourde, les épaules chargées, la tête qui ne va pas tarder à exploser, arrivant à saturation.

Guillaume le voit très bien, il me prend par la main, je marche à travers un grand couloir, jusqu’à arriver dans sa chambre. Il m’allonge dans son lit, se place à mes côtés, me recouvrant de sa couverture, puis me demande de fermer un peu les yeux.

J’ai la tête lourde, remplie de toute cette histoire, de ces scènes que je me repasse, toute aussi différentes les unes des autres, mais n’arrivant toujours qu’à une même finalité. J’ai beau me forcer à trouver mes mots, à retourner chaque situation, mais la fin semble inéluctable.

Au travers de toutes ces pensées, je finis par m’endormir dans les bras de Guillaume, un instant durant lequel je vais mettre mon cerveau sur pause. Je ne sais pas combien de temps j’ai fermé les yeux, en tout cas je me sens encore un peu fatiguée, mais beaucoup mieux tout de même.

A mon réveil, je suis seule, je n’ai pas du tout sentie Guillaume se lever. J’observe autour de moi sa chambre, puis je me lève un peu curieuse en voyant des photos sur le mur face à son bureau. C’est la première fois que je viens là, dans son espace à lui, alors je prends le temps.

Je suis debout au milieu de la chambre lorsque mon chéri ouvre la porte, il est surpris de me voir réveillée. Il me demande comment je vais, ce n’est pas la grande forme, mais ça va beaucoup mieux, puis le fait d’être ici pour la première fois me change les idées.

Il me raconte un peu chaque histoire derrière ces photos, il m’en montre également de lui plus jeune, avec sa mère, puis sa cousine aussi. Il me fait sourire en me racontant quelques souvenirs, puis il continue en me montrant des affaires auxquels il tient.

Il a également une guitare, il prenait des cours quand il était plus jeune, c’est sa mère qui le voulait, puis quand ses parents ce sont séparés, il ne la plus touché. J’aurais voulu qu’il me joue un morceau, mais il a tout perdu d’après lui.

Mon téléphone sonne, c’est ma mère qui appelle, elle se demande où je suis, je la rassure de suite, lui disant où je suis. Elle me demande si je vais bien, je ne peux pas lui cacher que ma rencontre avec Estelle c’est mal terminée. Je termine cet appel en lui disant que je vais rentrer d’ici une heure, pour ne pas qu’elle s’inquiète plus que ça.

Je voudrais encore profiter d’être avec Guillaume, puis je lui demande de me faire visiter. L’appartement est très grand, j’ai l’impression qu’il occupe tout l’étage de cet immeuble. D’ailleurs pour aller de sa chambre à la porte d’entrée, il nous faut tout même faire un certain nombre de pas. Par comparaison, lorsque je sors de ma chambre, je vois le salon, ici non.

Donc de la porte d’entrée, Il me montre de nouveau le salon, il y a de grandes fenêtres tout en hauteur qui accentue encore plus l’espace de cette pièce. Toujours pour comparer, cette pièce pourrait contenir notre salon plus la cuisine si je ne me trompe pas, ou même plus. Nous continuons par la cuisine, belle est très grande aussi, où se trouve également une grande table à manger.

La première porte dans ce long couloir donne sur un bureau, celui de son père. Un bureau qui contient également un canapé et deux fauteuils, ainsi qu’une bibliothèque, et quelques tableaux.

Nous poursuivons par la salle de bain qui est tout simplement magnifique, elle contient une douche à l’italienne, ainsi qu’une baignoire à part, des toilettes et un immense miroir couvrant pratiquement tout le mur devant deux lavabos. On doit vraiment être à l’aise pour prendre sa douche ici, seul ou à deux.

Il y a également une buanderie, toute équipée, une autre chambre qui ne sert vraiment pas, puisqu’il n’y a aucun ami qui vient ici pour l’occuper. Puis la dernière pièce, la chambre de son père qu’il ne me fait pas visiter, même lui n’y entre pas. Mais d’après la description que me fait Guillaume, c’est la plus grande de toutes, contenant aussi une salle de bain, et un dressing.

D’ailleurs Guillaume m’a montré le bureau, auquel il n’a pas le droit d’y mettre les pieds non plus. Je suis encore stupéfaite par cet appartement aux dimensions hors normes pour moi. Là où ma mère et moi vivons sans contraintes, en ayant chacune notre espace perso, il y a à côté un immense appartement démesuré pour deux personnes.

Je reste encore sans voix, devant tout cela, Guillaume à un petit sourire, il a vraiment tout ici, même sa chambre est rempli de choses, des consoles, une grande télé, un ordinateur pour lui seul, un coin bibliothèque où il a toutes ses BD ainsi que des figurines, et un mini panier de basket.

J’ai honte maintenant surtout en me disant qu’il vient presque tous les jours chez moi, dans ma petite chambre où il n’y a qu’un petit bureau, et un petit poste à musique. Il doit sûrement se demander où il a atterri. Je regarde l’heure, je me dis qu’il est temps de rentrer, pour ne pas inquiéter encore plus ma mère.

Mais là où j’ai le plus honte, c’est lorsqu’en revenant vers le salon, je tombe nez à nez avec son père, qui vient de rentrer. Il me regarde totalement surpris, puis Guillaume me présente sans plus tarder. Son père s’appel Jacques, il me tend la main pour me saluer, son geste semble marquer une certaine distance, ainsi que son regard indifférent.

Je me sens vraiment mal à l’aise sur le moment, après je peux comprendre qu’il soit surpris de voir une fille chez lui alors qu’il n’avait peut être jamais entendu parler moi. Je tente de sourire, pour lui montrer que je suis heureuse de faire sa connaissance, tout en lui demandant s’il va bien. Sa réponse s’est défini par un léger hochement de la tête, sans changer son expression, ni émettre un son. D’ailleurs je sens également que Guillaume n’est pas à l’aise avec cette rencontre imprévue, je crois qu’il est temps pour moi de m’éclipser.

Je salue Jacques, qui ne se contente que de me regarder passer la porte toujours avec ce même regard. Dans les escaliers je suis choquée, devant tant d’absence d’émotions, si en quelques secondes je me suis sentie mal à l’aise, je n’imagine pas me mettre à la place de mon chéri, et vivre avec cet homme.

Guillaume me raccompagne jusqu’en bas où il s’excuse pour cet embarra, c’est plutôt moi qui ai encore une fois crée un souci, sans doute que son père lui demandera des comptes quand il remontera. Il me dit de ne pas m’en faire avec ça, j’ai déjà assez de choses en tête pour le moment, puis il fallait bien qu’il ait une discussion avec son père à mon sujet. Ce sera l’occasion pour eux d’en parler.

J’embrasse Guillaume avant de le laisser, je lui souhaite également du courage pour ce qui va suivre, en croisant les doigts pour que ça se passe bien. Sur le chemin, je suis encore sous le choque de cette rencontre, froide, bien qu’elle n’ai durée que deux minutes à tout casser, j’ai l’impression d’en être imprégné, comme si elle avait durée des heures.

Au moins, tout ceci m’a permis de me changer les idées, j’ai pu passer un temps en compagnie de mon chéri que je savoure, même si la fin ne fût pas à mon goût. J’envoie un message à ma mère pour lui dire que je suis sur le chemin, quelques minutes après, j’arrive en bas de chez moi, je monte les escaliers, repensant une nouvelle fois à toutes cette journée, et à quel point j’aurais voulu qu’elle se passe autrement.

Il est 17H quand j’ouvre la porte, puis la referme en signalant à ma mère que je suis rentrée de façon habituelle. Ce n’est que lorsque je me retourne que je la vois assise dans le canapé en compagnie d’Estelle…
chapitre 103 image
Je suis totalement surprise de voir Estelle ici, surtout qu’elle m’avait fermé la porte au nez, en étant dans une colère folle. Je l’ai totalement comprise, je me serais aussi sentie abandonnée si mes amis m’avaient fait la même chose.

Ma mère se lève, se dirige vers moi, place ses mains sur mes épaules en me regardant droit dans les yeux. Elle me dit qu’Estelle est là depuis maintenant une heure, qu’elle a attendu mon retour pour pouvoir me parler.

De son côté, pour nous laisser du temps, elle a prévu de sortir prendre un verre avec Christine, elle pense être de retour pour 20H. Ses affaires étant prêtes, elle nous salue, puis elle disparaît par la porte nous laissant ainsi seules.

Je suis toujours debout devant la porte, je n’ai pas vraiment bougé depuis mon arrivée, je détourne les yeux, de façon timide. Je ne sais pas vraiment quoi faire, ni quoi dire, je n’avais pas du tout envisagé cette scène.

Estelle se lève, se dirige vers moi, tandis que j’essaie de me faire encore le plus discrète possible, comme si je pouvais me replier sur moi-même jusqu’à disparaître.

Estelle : Ju… ?
Moi : je…, je ne sais pas quoi dire…
Estelle : alors ne dis rien et écoute moi, d’accord ?
Moi : d’accord
Estelle : Ju, je suis vraiment désolée d’avoir criée comme je l’ai fait ce matin, en te fermant la porte au nez. Je n’ai pas réfléchie que tu pouvais perdre tes mots quand une situation te stresse, et je me suis rendue compte qu’après, qu’il t’a fallu énormément de courage pour venir me parler, et me présenter tes excuses. J’aurais dû savoir t’écouter, te laisser le temps de me dire ce que tu avais sur le cœur, plutôt que de te pousser comme je l’ai fait. Pour ça, je me suis sentie très mal tu sais

Je lève mes yeux vers Estelle, des larmes coulent sur ses joues comme sur les miennes en écoutant ce qu’elle me dit, elle tente de regarder ailleurs comme pour garder la tête haute, tout en continuant de me parler…

Estelle : je ne sais pas pourquoi tu as fais ça… mais ça ma fait mal, de ne plus t’avoir auprès de moi. Mais ce qui m’a fait le plus mal encore, c’était de t’avoir crié dessus, en te disant toutes ces choses que j’avais sur le cœur… je savais que ça te ferait de la peine, et j’en ai franchement souffert…

Nous sommes là, toutes les deux à pleurer, dans le silence, puis Estelle me regarde en essayant d’essuyer ces larmes.

Estelle : je te demande pardon
Moi : je te demande pardon aussi

Sans prévenir Estelle se jette contre moi, tout en me serrant aussi fort que possible. Cette étreinte, je l’ai imaginé tant de fois depuis ces derniers jours, que cette scène me parait tout à coup irréel, le temps est comme suspendu.

Aucune de nous deux ne veut lâcher l’autre, par peur de la perdre à nouveau, tandis que nous fondons en larmes, tout en riant en même temps. Cela sonne bizarre, des pleures, des rires, en reniflant je fais même un petit bruit de cochon, ce qui ne manque pas de nous faire rire encore plus.

Estelle me regarde dans les yeux un instant, puis me dit de venir sur le canapé avec elle. Nous essayons de nous calmer un peu, les yeux toujours brillant, elle me présente ses excuses pour m’avoir parlé ainsi l’autre jour.

Nous passons bien les quinze premières minutes à nous excuser l’une envers l’autre, pour ce qui a été dit, été fait, avouant par la même occasion nos peines, nos blessures quant à la réaction de l’autre.

Nous pansons nos blessures par les mots, par les pleures, par nos sourires, et nos étreintes. Je suis si heureuse de retrouver mon amie, je me sens de nouveau complète, mon cœur bat fort, il n’a plus du tout mal.

Il y a tant de choses à ce dire encore, à rattraper entre nous. Je suis tellement heureuse de retrouver Estelle, tellement soulagée d’être assise là avec elle, à nous parler. Je lui raconte combien de fois j’ai du retourner cette scène dans ma tête en arrivant à la conclusion qu’elle ne voudrait plus être mon amie.

Elle m’enlace de nouveau dans ses bras, pour me réconforter, mais en même temps pour se rassurer elle aussi. Je pleure encore, c’est surtout la joie de la sentir tout contre moi qui me submerge

Moi : et dire que j’ai oublié la boîte chez Guillaume
Estelle : la boîte ? Mais c’était quoi cette boîte ?
Moi : c’était ton gâteau préféré
Estelle : oh, tu aurais dû commencer par là, je t’aurais pardonné de suite
Moi : ah mais toi…

Je ne manque pas l’occasion pour lui sauter dessus, la chatouillant partout jusqu’à nous retrouver allongées toutes les deux sur le canapé. Nous nous enlaçons comme deux amantes, émues de se retrouver, ma tête enfouie dans son cou, je lui dis combien je suis heureuse qu’elle soit là.

Estelle : je le suis encore plus, tu ne peux pas savoir comment tu m’as manquée, ne plus pouvoir rire avec toi, ou même taquiner Kévin ensemble
Moi : je me suis rendue compte trop tard, que je ne vivais plus rien avec vous, mais je ne pensais pas à quel point cela pouvait vous faire mal
Estelle : tu sais, peut être que Kévin ne te l’a pas dit, mais il était très triste. Nous sommes ses seules amies, ne plus t’avoir lui faisait mal, et il avait peur que je trouve un copain, et que je l’abandonne aussi
Moi : vraiment ?
Estelle : oui

Mes larmes coulent de nouveau en entendant cet aveu, cette pensée intime de Kévin, mais surtout le fait de l’imaginer seul, perdu. Il faut que je me rattrape envers lui, Estelle me dit alors que ce serait bien de se faire un week-end comme on le faisait, histoire de tout reprendre à zéro.

Je lui dis que c’est une très bonne idée, et que rien au monde ne nous empêchera de se voir, de profiter de ce moment entre amis. Nous nous enlaçons une nouvelle fois dans un silence, je n’oublie pas ce qui s’est passé, ce qui aurait pu arriver si mes amis ne m’avaient pas pardonné.

Je dois faire plus attention à eux, au monde qui m’entoure, je ne peux pas simplement m’enfermer dans ma bulle tant que cela me va. J’ai de la chance d’avoir des personnes qui m’aiment, et je dois en prendre soin.

Tout en restant allongées, Estelle tente de rattraper le temps perdu, elle me pose des questions sur ma relation avec Guillaume. Je me rends compte sérieusement que je l’ai laissé sans nouvelles depuis tout ce temps, alors que je lui disais bonjour tous les matins.

Moi : hey bien, je l’ai fait avec Guillaume
Estelle : t’es sérieuse ? Quand ça ?
Moi : c’était au retour des vacances
Estelle : et tu me dis ça que maintenant ? Alors qu’on se dit tout en temps normal
Moi : c’est vrai, je suis désolée, je n’assure pas, j’étais tellement…
Estelle : amoureuse oui je sais, en même temps, je me mets un peu à ta place, je ne sais pas si j’aurais été mieux que toi
Moi : c'est-à-dire ?
Estelle : sûrement que je vous aurais aussi oublié, alors je suis mal placé pour t’en vouloir
Moi : écoute, si ça arrive un jour, je saurais pourquoi, et je ne t’en voudrais pas

En même temps, comment je pourrais leur en vouloir après ce que je leur ai fait ?

En tout cas, Estelle veut tout savoir, elle me pose des tas de questions, elle est pire que ma cousine. Elle me demande comment ça s’est passé, si j’ai eu mal, si j’ai pris du plaisir, ou déjà jouie, quelles positions nous avons testé, etc…

Presque toutes les questions y passent, bien sûr, je ne lui cache rien du tout, puis en même temps cela nous permet d’échanger sur nos différents ressentis. Elle est toujours cette fille folle, direct, drôle, lui parler me fait le plus grand bien, surtout après ce que nous venons de traverser.

Nous restons là, toutes les deux à nous parler pendant des heures, je lui montre également mes photos avec Guillaume, elle sait combien je suis heureuse avec lui, et malgré le fait que je m’étais éloignée d’elle, elle savait que j’étais entre de bonnes mains.

Je lui montre également la photo de mon chéri et moi, prise juste après avoir fait l’amour. Estelle la regarde attentivement, me souriant elle me dit que je suis coquine, et se demande s’il y a d’autres photos du genre dans mon téléphone.

Je lui dis que non, c’est la seule, qu’il ne m’est pas venu à l’idée d’en faire d’autres, et surtout pour quoi faire ? Elle me sourit en me disant que ce serait coquin d’avoir ce genre de photo avec son copain.

Je ne pense pas que cela intéresse Guillaume, en tout cas Estelle continue de regarder la photo, bien que l’on n’y voie pas grand-chose. A part nos visages souriants, ému d’avoir vécu notre première fois, et laissant deviner que nous sommes nus, la photo ne dévoile rien d’intime.

On y voit le torse de Guillaume, mes épaules nues, ma poitrine contre la peau de mon chéri que l’on ne distingue pas du tout. Mais cette photo plait beaucoup à Estelle, elle installe l’envie d’en voir plus, elle éveille le désir le plaisir pour elle.

Elle me fait rire, elle est toujours aussi coquine, pendant que nous rions, la porte s’ouvre, c’est ma mère qui est de retour. Nous regardons l’heure, nous ne l’avons pas du tout vu passer, nous avons tant de choses à nous dire encore, mais Estelle doit rentrer.

Ma mère lui demande si elle ne veut pas rester pour manger, mais Estelle décline l’invitation, elle a promis à ses parents de rentrer avant dîner.

Mes larmes perlent de nouveau, je n’ai pas envie qu’elle parte, mais je sais que je vais la retrouver maintenant, il n’y a plus ce doute, cette peur dans mon cœur. Je la raccompagne jusqu’en bas, je l’enlace une dernière fois, puis elle me rappelle que nous nous ferons une soirée avec Kévin le week-end prochain.

Je ne risque pas de l’oublier, et j’ai vraiment hâte d’y être pour profiter de mes amis comme avant…
chapitre 104 image
Le reste de la soirée, je la passe avec ma mère, lui racontant mes retrouvailles avec Estelle, mais surtout le mal qu’elle a pu ressentir. Elle le sait déjà très bien, car elle a pu lui parler en attendant que je rentre.

En tout cas ma mère est contente pour nous deux, que nous avons pu nous retrouver, je lui parle déjà du week-end prochain, de notre soirée prévu, combien j’ai hâte.

Je lui demande également comment s’est passé sa petite sortie avec Christine, elles ont pas mal parlés, d’elle de ses rencontres, du mal de tomber sur le bon, mais que le plaisir est tout de même présent, enfin avec certains hommes.

Du côté de ma mère il y a un peu de nouveau, elle s’est remise sur le site de rencontre, elle avait énormément de messages en attentes. Elle a prit de le temps de tous les lires, certains ne semblait pas du tout intéressant, au vu du peu de contenu dans le message.

Il y a aussi le profil de certains qui n’est pas du tout à son goût, puis d’autres sortent du lot, se démarquent par une description intéressante. Elle a donc répondu à certains hommes qui lui plaisent physiquement, et qui savent avoir une manière particulière de l’aborder.

Malheureusement certains hommes n’ont pas encore donné de suite à ses messages, peut-être un profil crée sans réel attente, ou alors qu’ils ont déjà trouvé une femme avec qui passer du temps. La liste s’est donc très vite réduite, trois hommes restent en course, lui parlant depuis le début de la semaine.

Elle attend patiemment de mieux faire connaissance par message avant une réelle rencontre. En tout cas, je suis contente pour elle, d’être charmée à nouveau par des hommes. J’ai bien sûr eu le droit de détailler chaque profil pour lui donner mon avis, mais après, les goûts et les couleurs, ça ne se discute pas.

Toutefois, je lui fais savoir qu’ils ont l’air très bien en voyant leurs photos, et la description de chacun.

Le reste de la soirée ainsi que le week-end en général se passe normalement. De mon côté je suis restée dans ma chambre à envoyer des textos à Guillaume, qui au passage est soulagé que mon histoire avec Estelle se soit améliorée.

Suite à la rencontre du père de Guillaume, mon chéri a eu le droit à un petit interrogatoire, à savoir déjà ce que je faisais chez eux, puis tout une panoplie de questions. Je lui dis que je me suis vraiment senti mal à l’aise pendant cette courte rencontre, mais que je comprends tout de même son étonnement à mon sujet.

J’espère en tout cas ne pas lui avoir apporté trop d’ennuis avec son père, déjà que d’après Guillaume, l’ambiance n’est pas folichonne.

Nouvelle semaine pour moi, réveil, petit déjeuner, la douche et go. Je suis en forme, contente de retrouver tout le monde, et cette fois-ci je ne passe pas tout mon temps dans les bras de mon chéri. Je ris avec mes amis, prenant le temps de parler d’un tas de choses.

Pour le coup, mes journées se déroulent autrement, au déjeuner nous mangeons tous ensemble, mais après, nous n’allons pas nous isoler dans notre coin habituel, non, nous restons avec nos amis. C’est la même chose après les cours, lorsque nous sortons du collège, nous restons un bon moment à nous parler avant de rentrer chacun chez soit.

Les jours passent, ce mercredi une nouvelle fois, Guillaume va travailler sur le projet de groupe avec Charles, me laissant du temps pour me balader avec mes amis. N’ayant rien prévu de spécial, nous allons juste trainer un peu dans la ville, mais aussi se mettre d’accord sur notre week-end, et ce que l’on pourrait faire.

Alors nos idées sont déjà toutes faites, une journée centre commerciale, puisque Estelle n’y a pas été depuis un long moment, pareil pour moi. De plus, j’ai dans l’idée de trouver quelque chose de spécial pour faire plaisir à mon chéri.

Donc c’est parti pour le centre commercial et un cinéma. Les films à l’affiche intéressent beaucoup Kévin, notamment Transformers 2, Watchmen et autres qui font clairement partis de son univers. Nous nous mettons d’accord pour un film ce week-end qui lui fera plaisir.

Comme pour le reste de la semaine, les journées de jeudi et vendredi sont plutôt vite passées. Je me rends compte qu’à défaut de passer du temps avec mes amis, je n’ai pas profité une seule fois de mon chéri.

Après les cours, pendant qu’il me raccompagne, je lui demande si je ne le délaisse pas trop à présent ?

Guillaume : non au contraire, je suis content que tu ais pu retrouver tes amis
Moi : oui mais pour le coup, pas une seule fois nous nous sommes retrouvés seuls
Guillaume : ce n’est pas grave, j’ai pu passer du temps avec Charles et Jonathan aussi, mais je t’avoue que j’ai eu peur que toute cette histoire entre Estelle et toi soit de ma faute
Moi : non retire toi cette idée de la tête, c’est uniquement ma faute, et de plus elle ne t’en veut pas du tout

Nous arrivons en bas de chez moi, ma mère ne rentrera pas avant un moment, puisqu’elle ira directement à la zumba après le travail, ce qui nous laisse largement le temps d’en profiter.

Je lui souffle mon idée à l’oreille en affichant un très large sourire, et son désir ne tarde pas à pointer.

Nous montons alors les escaliers rapidement jusqu’à nous retrouver dans l’appartement. De là Guillaume me soulève totalement du sol pour me prendre dans ses bras. Je suis surprise et en rire en même temps.

Il me porte jusque dans mon lit, où il m’allonge puis commence à m’embrasser. J’adore cette fougue qu’il a, ce désir hardant, il est tellement beau quand il est comme ça. Très vite nos vêtements se retrouvent au sol, nous sommes entièrement nus à nous embrasser, nous caresser.

Guillaume vient se positionner entres mes jambes, puis il descend doucement, jusqu’à ce que sa bouche soit en contact avec mon intimité. Quel plaisir de ressentir sa langue jouer avec mon petit bouton, cela fait plus d’une semaine je crois que nous n’avons rien fait.

Je m’en veux beaucoup, mais je vais me rattraper de suite. Pendant qu’il me lèche, mon corps n’arrête pas de bouger, je gémis très fort. Il n’y a personne pour nous entendre, donc je me lâche complètement.

Tout en continuant de me lécher, Guillaume vient rajouter ses doigts à son œuvre. Il les fait glisser en moi tout doucement, pendant que sa langue s’occupe toujours de mon clito.

Moi : huuum, oh oui… continue… continue
Guillaume : …
Moi : hummm ta langue est tout simplement parfaite, hummm
Guillaume : …
Moi : hummm oui, oui, je viens, je… hummm, ahh, AAAAhhhhh, AAAAAhhhh

Je me cambre complètement, suite à cette vague de plaisir qui parcourt mon corps. Je stop Guillaume, sinon il est capable de continuer de me lécher pour me faire crier de nouveau, mais mon clito est trop sensible.

Mon chéri affiche un large sourire, fier de m’avoir fait jouir avec sa langue. Je me redresse pour venir m’occuper de lui, mais il m’attrape par les jambes pour me tirer vers lui, me faisant basculer en arrière dans un cri d’étonnement.

Guillaume : pardon mon cœur, laisse moi faire, ok ?

A vrai dire je n’ai pas le temps de lui répondre qu’il représente déjà sa langue sur mon sexe encore sensible. Guillaume me bouffe littéralement la chatte, de manière bestiale, je suis complètement surprise, mais woao, qu’est-ce que j’aime.

Je me laisse aller, bien que mon clito soit très sensible, à chaque coup de langue de mon chéri, j’ai comme un coup de courant. La sensation au début est un peu douloureuse, puis très vite le plaisir refait surface.

Je ne peux qu’être spectatrice, ou alors victime de ce plaisir que me donne mon chéri. Très vite mon clito gonfle à nouveau, au point de ne plus supporter toute cette attention. Puis dans un long cri raisonnant, je décharge toute ma jouissance.

Je suis à bout de souffle, l’esprit ailleurs, ma vision est comme troublée, mon cœur bat fort. Apparemment Guillaume souhaite recommencer encore une fois, cette fois-ci, je l’arrête net, sinon, j’aurais sans doute le bassin anesthésié à ce rythme là.

Sans dire un mot, Guillaume se penche vers ma table de nuit pour en prendre une capote, puis la glisse sur son sexe tendu. Je suis toujours un peu perdue, essoufflée alors que mon chéri s’introduit en moi.

Moi : hummm, oh oui, prend moi

Aussitôt Guillaume s’emballe, il retrouve ce côté sauvage, mais qu’est-ce qui lui arrive ?

Mais je ne l’arrête pas, je ne peux pas, je ressens tellement de plaisir dans sa manière de faire. Il m’attrape les jambes par les chevilles en les écartant en grand et bien haut, puis il me donne des coups de bassin rapide et sec.

Je ne peux que fermer les yeux, et gémir à chaque coup, gémir de plus en plus fort comme transportée par ce que je ressens en moi. Son sexe glisse parfaitement, je mouille beaucoup, et sa colonne de chair s’introduit parfaitement jusqu’à ce que je ressente ses couilles venir taper contre mes fesses.

Guillaume continue sur sa lancée, en gardant ce rythme brusque pendant de longues minutes, puis soudainement il bascule mes jambes sur le côté en ce retirant. Je me retrouve tout à coup en levrette, positionné par mon chéri, il présente sa queue sans plus attendre à l’entrée de mon vagin.

Mes lèvres sont déjà bien ouvertes, et pourtant je sens son sexe s’introduire, les écarter puis venir taper au fond de mon vagin. Une sensation de douleur et de plaisir se mêlent et ce font entendre dans mes gémissements.

Ma tête posée sur mon oreiller, tandis que mes fesses, elles, pointent vers le haut. Je ressens de nouveau ce même plaisir que la dernière fois, celui de me laisser complètement aller, soumise à cette douleur, ce plaisir.

Je n’en peux vraiment plus, et je pense que c’est la même chose pour mon chéri, au vu de ces gémissements. Je sens que je vais bientôt venir aussi, alors je veux qu’il donne tout ce qu’il a.

Moi : Oh oui mon cœur, AAAhh continue…
Guillaume : tu aimes ?
Moi : OOOh OUI, j’aime  ÇA !!!
Guillaume : je vais…
Moi : Moi aussi, je… je vais…. JE VAIS

Sans plus tarder, nous gémissons ensemble dans un terrible cri, un long et puissant cri, jusqu’à en perdre l’équilibre et nous affalés sur mon lit. Je respire comme je peux, le cœur battant à une vitesse, tandis que je ressens le sexe de mon chéri qui palpite encore dans mon vagin.

Dans mon corps je ressens comme des milliers de fourmis, tandis que je ne peux plus parler, ni même bouger, je suis achevée…
chapitre 105 image
Nous sommes tous les deux toujours allongés dans mon lit, entièrement nus, essoufflés, essayant de reprendre nos esprits. Je trouve enfin la force de me tourner vers Guillaume pour venir l’enlacer, le remercier pour ce moment si intense.

Mais je me demande bien ce qui peut lui arriver en ce moment pour qu’il devienne aussi surprenant. Est-ce que c’est le manque qui le pousse ainsi ? Ou alors c’est tout autre chose

Moi : j’ai adoré mon chéri, c’était comment pour toi ?
Guillaume : vraiment bon oui
Moi : je suis contente alors, mais je peux te poser une question ?
Guillaume : euh oui, je t’écoute
Moi : j’ai remarqué l’autre jour que tu m’avais fait l’amour de la même manière qu’aujourd’hui, c’est nouveau encore pour moi, mais j’aimerais savoir d’où ça te vient ?
Guillaume : ah, mais, non, je ne vois pas…
Moi : mon cœur, tu peux me le dire, vas-y
Guillaume : euh, en fait, j’ai un peu honte
Moi : honte de quoi ?
Guillaume : en fait j’ai vu ça dans un film
Moi : un film porno tu veux dire ?
Guillaume : oui, voila (timidement)

Je suis surprise sur le coup, je ne pensais pas que Guillaume en regardait, pour le coup je suis curieuse. Il me fait rire un instant, lui me regarde bizarrement, mais c’est plus fort que moi.

Guillaume : pourquoi tu ris ?
Moi : je ne pensais pas que tu pouvais regarder ce genre de film, c’est tout
Guillaume : moi non plus, mais c’est plutôt la curiosité qui m’a poussé
Moi : d’accord, et donc ça ta plu
Guillaume : j’ai trouvé cette position très excitante oui, mais aussi la manière de le faire
Moi : oh, c'est-à-dire ?
Guillaume : en fait, j’ai l’impression en voyant la fille sur les vidéos qu’elle prend beaucoup de plaisir, vu comment elle s’exprime et tout
Moi : d’accord, et moi je t’ai excitée là ? Tu as pris beaucoup de plaisir ?
Guillaume : oh oui, voir tes petites fesses rebondir, et t’entendre crier, c’était extra
Moi : hihi je suis contente alors, tu viens avec moi à la douche ?
Guillaume : oui

J’ouvre la porte de ma chambre, puis me dirige dans la salle de bain, je commence à faire couler l’eau, attendant qu’elle devienne chaude, lorsque je tourne la tête, je vois Guillaume entièrement nu dans l’encadrement ma porte.

Il est appuyé contre ma porte, me regarde avec des yeux rempli d’amour. La vision de son corps m’excite de nouveau, et puisque nous sommes seul j’aimerais en profiter au maximum.

Sans plus attendre je coupe l’eau, mon chéri me regarde sans comprendre, puis je viens vers lui, l’embrasse tendrement, avant de me poser à genoux devant lui. Je commence doucement à lui poser des baisers sur son sexe, petit à petit, mes baisers commencent à faire leurs effets.

Son sexe au repos commence à prendre du volume, je lèche entièrement sa queue avant de la prendre en bouche. A ce moment là, ce n’est pas agréable, car le gout de la capote y est fortement présent. Mais je ne lâche rien, je continue de sucer Guillaume avec amour et patience. Lentement le gout de la capote commence à se dissiper, pour laisser place à la vraie saveur de son sexe.

J’aime entendre les gémissements de mon chéri, pendant que ma bouche glisse le long de son sexe. Je le suce doucement, puis accélère de temps en temps, j’aime aussi le prendre en main, le branler très vite, puis le sucer en gardant le même rythme.

Je lis dans son regard, tout le plaisir que je lui donne, alors je ne faiblis pas, j’introduis toujours plus vite, toujours plus loin sa queue dans ma bouche, lui arrachant des gémissements qui m’encourage toujours plus.

Je veux lui faire plaisir, je veux que nos instants ensemble, soit toujours unique, je repense immédiatement à ce qu’il vient de m’avouer, concernant cette position, et les vidéos.

Je termine donc de le sucer, puis me redresse alors, en le prenant par la main. Je viens me placer près du lavabo, de dos à mon chéri, je saisie sa queue de ma main pour la diriger vers mon vagin déjà tout excité, puis lui dis

Moi : prends-moi comme ça
Guillaume : humm tu es coquine
Moi : je suis ta coquine, oui
Guillaume : mais on a pas de capotes, je vais en ch…
Moi : on s’en fiche des capotes, prends-moi stp
Guillaume : tu en es sûre ?
Moi : oui, juste préviens-moi quand tu vas jouir

Je suis face au lavabo, le corps cambré, prêt à accueillir Guillaume en moi. Je me regarde dans le miroir, je vois mon visage, mes yeux fixent, ma bouche qui s’ouvre au moment où je ressens Guillaume me pénétrer, faisant ainsi glisser sa queue au plus profond de mon être.

Lorsqu’il touche enfin le fond, ses mains se posent sur mes hanches, pour reculer son bassin et venir de nouveau taper au fond. Je ne peux m’empêcher de gémir, mais la sensation est toute nouvelle pour moi, et sûrement pour lui aussi.

C’est la première fois que nous faisons l’amour sans capotes, et ressentir son sexe directement en moi, sans passer par cette matière en plastique, c’est incroyable. Je me laisse aller, en enchérissant mes gémissements, en venant moi-même pousser mes fesses vers mon chéri, pour qu’il me pénètre mieux.

Moi : prends-moi comme tu veux

Cette phrase a pour effet d’éveiller Guillaume, je le sens venir taper de plus en plus vite, de manière plus profonde. Je regarde toujours dans le miroir, nos regards se croisent, se fixent, puis ma bouche s’ouvre en grand pour ne laisser qu’en sortir que du plaisir.

Se voir ainsi faire l’amour dans le miroir me plaît beaucoup au point d’en devenir provocatrice envers Guillaume. Ce qui ne manque pas de le faire réagir, il devient de suite, de plus en plus bestial, comme je le voulais.

Il aime apparemment cette façon de faire l’amour, alors je veux qu’il se fasse plaisir, je veux qu’il me fasse crier, je veux qu’il jouisse comme il l’aime.

Je me cambre de plus en plus, recevant en moi sa queue, de plus en plus forte, et toujours plus loin. Mon souffle est court, rapide, le sien aussi, sa main droite vient m’attraper les cheveux, puis les tire vers l’arrière.

Guillaume : tu aimes ça ?
Moi : oh, oui, Oui, j’aime ça, ah

Son rythme vient de doubler, sa puissance également, quand à sa façon de m’attraper, Guillaume est à la fois doux, et ferme en même temps. La douleur et le plaisir ne font de nouveau qu’un, j’adore cette sensation là. Nos gémissements raisonnent dans la salle de bain, tandis que les bruits de claquements ce font plus fort.

Je gémis de plus en plus, mes jambes n’en peuvent plus, je suis à bout lorsque je ressens cette décharge électrique me parcourir le corps. Je cris, je vide mes poumons dans ce son de jouissance lent et incroyable, tandis que mon chéri accélère toujours plus, jusqu’à se retirer et se terminer sur mes fesses.

Je ressens alors son sperme venir se déposer en bonne quantité sur moi, pendant que je regarde Guillaume dans le miroir, la bouche ouverte, ses râles courts mais puissants.

Je faiblis, heureusement Guillaume m’attrape, m’enserre des ses bras autour de mon ventre, puis se colle tout contre moi. C’était tellement bon encore une fois.

Nous sommes tout deux essoufflés, mais je suis surprise par un bruit. Je ne suis pas sûre, cela venait de la cuisine on dirait. Guillaume ne fait plus un bruit également, nous tendons tous les deux l’oreille, mais rien.

Moi : ne bouge pas, je vais voir
Guillaume : tu y vas toute nue ?
Moi : ne t’en fais pas pour ça

La porte de la salle de bain n’étant pas fermée, j’arrive très vite dans le couloir pour regarder dans la cuisine. Rien, il n’y a personnes, c’est peut être mon imagination qui m’a joué un tour. Pendant que je retourne à la salle de bain, je sens dans mon dos, la semence de Guillaume couler doucement.

Sans plus tarder, je prends place dans la douche pour me nettoyer, en invitant bien entendu mon chéri à se joindre à moi.

Guillaume : c’était quoi ?
Moi : rien, ou peut être un voisin dans le couloir
Guillaume : ils ont dû nous entendre aussi alors
Moi : ahaha oui sûrement
Guillaume : et ça te fait rire ? ahaha
Moi : oui
Guillaume : woao, je t’en ai mis partout dans le dos, pardon mon cœur
Moi : ce n’est rien, mais je t’avais demandé de me prévenir
Guillaume : je sais, mais je ne contrôlais plus rien à la fin. La sensation sans capote, c’est vraiment trop puissant
Moi : oui, j’avoue que j’ai beaucoup aimé sans
Guillaume : mais pourquoi est-ce que tu voulais que je te prévienne ?
Moi : je voulais tenter de te prendre en bouche
Guillaume : ah ok, désolé
Moi : ce n’est pas grave, une prochaine fois

Nous nous embrassons tendrement sous la douche, quand j’entends au loin mon téléphone sonner dans ma chambre. Je sors en prenant ma serviette pour ne pas en mettre partout, puis je réponds. C’est ma mère qui m’appel pour me demander si je souhaite quelque chose en particulier, comme elle n’a pas de zumba ce soir, elle arrive.

Je suis surprise, je ne sais pas quoi lui dire à part que ça va. Bien entendu, elle me dit alors qu’elle rentre. Je suis idiote, j’aurais dû lui demander de me prendre une boisson pour la faire traîner encore plus. Je vais vite à la salle de bain pour prévenir Guillaume que ma mère va arriver.

Sans tarder, nous voilà dans ma chambre à nous habiller, puis nous allons dans le salon nous installer en attendant ma mère.
chapitre 106 image
Nous voilà tous les deux à rires dans le salon, sûrement du à la petite pression qui nous a poussé à nous rhabiller en vitesse. Nos mains se caressent pour nous détendre, puis Guillaume m’embrasse, ce qui me fait vraiment du bien.

Guillaume : dis moi je peux te poser une question ?
Moi : oui vas-y
Guillaume : pourquoi tu m’as dis de ne pas m’en faire, lorsque tu es sorties nue voir ce que c’était que ce bruit ?
Moi : oh, en fait euh
Guillaume : ahaha
Moi : pourquoi tu ris ?
Guillaume : parce que c’est moi qui suis le plus souvent dans cette situation à ne pas savoir quoi répondre, et là, te voir comme ça euh… (En faisant une grimace)
Moi : hey ! (tape sur l’épaule) je ne fais pas cette tête d’abord
Guillaume : ahaha si
Moi : non
Guillaume : mais tu as la plus belle tête du monde
Moi : merci mon cœur, je t’aime
Guillaume : je t’aime aussi, alors tu veux me dire ou pas ?
Moi : hum en fait…

A ce même moment, nous entendons les clés dans la porte, puis ma mère apparaître dans l’encadrement. Elle est contente de nous voir, elle dépose quelques affaires et vient nous embrasser avant de s’assoir avec nous, pour nous demander comment s’est passé la journée.

Nous voilà tous les trois à parler, à échanger sur nos journées, les galères, et autres encore. Comme d’habitude nous ne voyons jamais le temps passer, lorsque l’on est en bonne compagnie, mais l’heure arrive pour Guillaume de rentrer chez lui.

Je raccompagne comme d’habitude Guillaume jusqu’en bas, puis je l’embrasse avant de le laisser partir. En remontant dans l’appartement, je ne vois pas ma mère dans le salon, peut être est t’elle dans sa chambre, ou aux toilettes, puis j’entends sa voix m’appeler, elle est dans la salle de bain.

La porte est entre ouverte, je la pousse, l’eau coule pour remplir la baignoire, tandis que ma mère est totalement nue, assise sur le rebord.

Maman : j’ai vraiment besoin de me détendre, tu viens prendre un bain avec moi ?
Moi : ahaha, d’accord, tu veux que je te fasse un petit massage aussi ?
Maman : c’est si gentiment proposé que je ne puisse refuser

Elle me fait rire ma petite maman, qu’est-ce que je l’aime.

Sans la faire plus attendre, je me déshabille, puis je viens m’installer derrière elle dans la baignoire afin de lui prodiguer un bon massage. J’adore toujours cette sensation, de ressentir son corps nue, pratiquement contre le mien. Malgré le fait que nous ayons des limites à ne pas franchir, je crois que nous nous permettons certains plaisirs personnel, au travers de petits actes comme celui-ci.

Nous restons toutes les deux silencieuse, appréciant ce moment, ce massage, ce contact. Je lui masse doucement les épaules, la nuque, puis elle vient s’allonger toute contre moi, pendant que mes mains s’occupe de ses bras.

Maman : je te remercie ma chérie, tu me fais vraiment du bien
Moi : c’est normal, tu veux que je continue encore un peu ?
Maman : ça ne te dérange pas ?
Moi : non au contraire
Maman : alors je veux bien un massage des pieds

Je dépose un bisou sur sa joue, en lui disant que je m’occupe d’elle, puis je change de place, pour me retrouver face à elle. Elle se détend complètement pendant que je lui prends un pied, pour commencer le massage.

Je peux l’entendre apprécier ce que je lui fais par de petit gémissement, et par son visage souriant. Je lui fais beaucoup de bien ça je le sais, alors je ne m’arrête pas à ses pieds, je continue en remontant vers ses mollets, en relevant ses jambes presque hors de l’eau.

La sensation de mes mains sur sa peau est douce, l’eau chaude et le savon se rajoute à cet effet. Pour lui masser convenablement les mollets, je me suis rapproché d’elle, les jambes écartées passant les siennes au dessus, afin de pouvoir être plus à l’aise.

Ma mère garde les yeux fermés tandis que de mon côté, je savoure le fait de voir mes mains parcourir son corps, en entendant par moment, ses petits gémissements. Lorsque je baisse les yeux, l’eau est claire, un peu de mousse ce forme à la surface, mais je peux voir une chose au travers.

Lorsque la mousse se disperse un peu à la surface, j’ai une vision magnifique sur la toison de ma mère. Une vision qui décuple ce que je ressens depuis le début, comme une légère excitation. Je sais qu’il y a des limites à ne pas franchir, mais la curiosité nous pousse toujours à aller au plus près.

Et c’est ce que je fais en me rapprochant un peu plus, tout en continuant mon massage sur les cuisses de ma mère. Elle reste toujours les yeux fermés, tandis que de mon côté, je profite d’un tout autre spectacle.

En me rapprochant, je vois à travers l’eau légèrement recouverte de mousse, mon intimité au plus près de celui de ma mère. Une pensée qui ne m’avait jamais traversé l’esprit, mais je revois à ce moment ci, certaines scènes dans des vidéos, notamment celle que regardé ma mère, où deux femmes frottaient leurs intimités l’une contre l’autre.

Je suis toute excitée par cette vision, mon massage, mes pensées, et les quelques petites gémissements de ma mère.
Maman : ma chérie, j’ai un aveu à te faire…

Moi : oh, euh oui … quoi ?

Je suis surprise lorsque ma mère me parle, j’étais tellement perdu dans mes pensées…

Maman : ou plutôt deux aveux, humm… tes massages sont tout simplement exquis
Moi : exquis ?
Maman : je veux dire qu’ils sont délicieux
Moi : merci, et le deuxième aveu ?
Maman : en fait, euh… je vous ai surpris avec Guillaume tout à l’heure

Cette aveu m’a tout simplement bloqué sur place, me demandant comment ? A quel moment ? Ce qu’elle a vue ? Et toute une panoplie de questions encore

Ma mère me raconte alors qu’elle avait reçu dans la journée un texto, pour la prévenir que la zumba de ce soir était annulée. Donc après son travail elle est rentrée directement à l’appartement et en ouvrant la porte, une fois dans le salon, elle nous a entendu faire l’amour dans la chambre.

Elle a été tout d’abord surprise, puis elle a sourit avant de se dire, qu’elle allait sortir pour nous laisser un moment d’intimité. En arrivant près de la porte, je me suis mise à gémir plus fort, ce qui l’a surprise de nouveau, puis de là, lui est venu cette curiosité, de nous écouter encore.

Elle s’est sentie un peu gênée aussi, puis elle s’est rappelé combien je me faisais plaisir en l’écoutant elle, prendre du plaisir avec des hommes. Doucement elle s’est donc rapprochée, puis elle s’est installée sur le canapé. Elle s’est allongée petit à petit, laissant ses mains parcourir son corps à travers ses vêtements.

Et sans s’en rendre compte, sa main avait finit par plonger entre ses jambes, se masturbant en nous écoutant gémir. Les gémissements se faisant de plus en plus fort, ainsi que les claquements de nos corps l’un contre l’autre, elle n’a pas tardé à jouir, pratiquement au même moment que nous.

Elle était complètement foudroyée par la jouissance qu’elle venait de ressentir là. Ne pouvant plus bouger, elle est restée là, à reprendre son souffle, ses esprits. Elle était gênée, se demandant pourquoi elle a fait ça. Puis elle s’est dite, qu’elle aller claquer la porte d’entrée, pour signaler qu’elle était rentrée.

C’était la meilleure chose à faire, pour nous et pour elle, malheureusement le timing était mauvais. Au même moment où elle cherchait à se relever, elle entendait la porte de ma chambre s’ouvrir, alors elle est restée allongée, priant le ciel que personnes ne viennent dans le salon ou la cuisine.

Heureusement pour elle, et pour nous aussi, nous sommes allés dans la salle de bain. Je faisais couler l’eau, alors elle attendait le moment, où, la porte se fermerait pour pouvoir s’éclipser tranquillement de l’appartement.

Le temps lui a parut à cet instant là très lent, l’eau coulait toujours, elle s’est redressé pour regarder dans le couloir, voir si la voie était libre, ou ce qui mettait autant de temps pour fermer cette porte. C’est en relevant la tête discrètement par-dessus le canapé qu’elle aperçue Guillaume, entièrement nu appuyé contre la porte de ma chambre.

Elle s’est allongée de nouveau, totalement surprise, les yeux grands ouverts fixant le plafond. Elle espérait vraiment que Guillaume ne l’ai pas vu, puis dans sa tête, l’image de mon chéri, nu, debout dans le couloir, commençait à la travailler.

Elle ne savait plus quoi faire, peut être faire un bruit, pour que l’on rentre dans ma chambre, ou autres. Puis l’eau s’est arrêté de couler, elle fermait encore les yeux, priant de nouveau le ciel que l’on ne change pas d’avis, que personnes de s’approchent du salon, où elle était cachée.

Puis elle ouvres de nouveau les yeux, elle cherchait à savoir ce qui pouvait bien se passer, alors elle s’est redressait, sans faire de bruit, cherchant à voir ce qui se passe. C’est là, une fois la tête passait au dessus du canapé, qu’elle m’avait vu, à genoux devant Guillaume, en train d’embrasser son sexe.

Elle s’est cachée de nouveau, mais cette dernière vision éveillait sa curiosité. Elle était prise entre l’envie d’en voir plus, et le désir de disparaitre de la pièce. La deuxième option n’étant possible que par magie, elle s’est alors redressée une nouvelle fois, pour me voir cette fois-ci, en train de sucer mon chéri.

Cette scène était pour elle de toute beauté, incroyable dans sa simplicité, et émouvante tant elle contenait de l’amour. Tout en nous regardant faire, sa main avait repris son activité entre ses jambes. Elle continuait de se donner du plaisir, sans pouvoir détacher son regard de nous, elle me regardait attentivement, glisser la queue de Guillaume dans ma bouche, doucement, puis rapidement, tout en le regardant droit dans les yeux.

Cette scène lui donnait directement un orgasme qu’elle tentait de garder secret. Le plaisir lui avait dépourvu de force, au point d’en revenir allongée dans le canapé. Sa respiration était courte, mais elle voulait en voir plus, ça curiosité, son désir la poussait à en voir plus, c’est à ce moment là, où elle m’a entendu parler à Guillaume, lui demandant de me prendre.

En se redressant, elle devinait que nous étions dans la salle de bain, mais que la porte était restée ouverte. Elle n’a pas tardé à entendre les bruits de claquements, nos corps qui se heurtaient dans un plaisir intense.

Sans plus attendre, elle se donnait une nouvelle fois du plaisir en nous écoutant. Elle ne voulait pas venir dans le couloir, malgré la tentation qui était très grande. Elle avait peur que nous ne repassions par le couloir, et ainsi être démasquée.

Alors elle s’est masturbée, très vite, très fort en nous écoutant faire l’amour aussi sauvagement, jusqu’à ce que l’orgasme nous gagne tous au même moment, à la même intensité, dans le même plaisir.

Elle était à la fois heureuse, et gênée, mais tellement satisfaite de ce moment, qu’elle espérait qu’il recommence. Ne voulant certainement pas pousser plus loin la chance qu’elle avait eue jusque là, elle jetait un œil dans le couloir, voir si la voie est libre, puis elle prit ses affaires avant de se diriger vers la porte.

Dans la précipitation, en ouvrant la porte, son sac est tombé au sol. Elle avait compris que ce bruit m’avait interpellée, puis elle fermait la porte tout doucement. De l’autre côté, elle ramassait ses affaires éparpillaient au sol, avant de descendre.

Une fois en bas de l’immeuble, elle attendait un moment, pour reprendre ses esprits, se remettre de ses émotions, partagées entre le plaisir, la gêne et autres encore. De là elle m’appelait sur mon téléphone, prétextant qu’il n’y avait pas zumba, et qu’elle rentrerait directement si je n’avais besoin de rien.
chapitre 107 image
Tout cet aveu de ma mère me surprend beaucoup, elle a répondue à bon nombre de mes questions, mais d’autres viennent maintenant s’ajouter. Tout en me racontant cela j’ai sentie qu’elle avait pris du plaisir, mais qu’elle cherchait aussi un exutoire.

Je reste bouche bée devant elle, cherchant encore à comprendre comment j’ai fait pour ne pas la voir, je me revois pendant l’acte, et pourtant à aucun moment je n’ai dirigé mon regard vers elle. Persuadée d’être seule avec mon chéri, je me suis concentrée sur mon plaisir et celui de Guillaume.

Ce que je ressens en moi est bizarre, je suis déconcertée, embarrassée, surtout pour Guillaume, d’avoir été vu ainsi, mais également excitée, émoustillé d’avoir été ainsi exposée devant ma mère.

Beaucoup de sensations contraires se bousculent en moi, tandis que ma mère attend que je prononce un mot.

Maman : tu sais, je m’en veux ma chérie, je n’aurais pas du
Moi : je…
Maman : ma chérie, ça va ?
Moi : oui, mais… je ne sais pas quoi dire
Maman : est-ce que tu m’en veux ?
Moi : non pas du tout maman
Maman : c’est juste que, je ne pouvais pas le garder pour moi, je me devais de te le dire
Moi : je sais, je te comprends
Maman : merci
Moi : je ne peux pas t’en vouloir, et souviens toi, il m’est arrivée la même chose, quand je t’ai vue avec cet homme sur le canapé
Maman : oui je m’en souviens très bien, c’est ce à quoi j’ai repensée d’ailleurs en te voyant

Ma mère se redresse pour venir m’enlacer tendrement, ressentant son corps nu contre le mien. Qu’elle sensation, quel plaisir, juste après avoir eu cet aveu, cette excitation soudaine. Après cette étreinte, sous mes yeux se dévoile à nouveau ce même tableau.

J’oubliais le temps d’un instant, que nos intimités étaient aussi proches. Cette vision ne fait que me provoquer, je repense alors aux limites à ne pas franchir. C’est si dur parfois de résister, surtout lorsque le désir est intense.

Mais je reprends mon souffle, je me calme, mon esprit devient plus claire. Ma mère me demande encore si tout va bien, puis je me permets de lui poser mes dernières questions.

Moi : est-ce que c’est normal, que je sois excitée après tout ce que tu viens de me dire ?
Maman : hum, je le pense oui, nous avons une certaine relation, nous aimons nous regarder l’une, l’autre dans son plaisir, sans interférer. Et je me rappelle avoir pris énormément de plaisir, au moment où tu m’as surprise, avec cet homme sur le canapé

Au fond de moi cette réponse me soulage, il est vrai que nous partageons une relation toute particulière, mais parfois ça fait du bien de l’entendre, de savoir que tout est normal. Pour nous du moins.

Moi : c’était très dur alors pour toi aussi de résister ?
Maman : hum oui, je suis ta mère, mais j’ai aussi des faiblesses, et la curiosité en fait partie
Moi : je sais alors de qui je tiens cette faiblesse ahaha
Maman : les chiens ne font pas des chats ma chérie ahaha
Moi : c’est bien vrai ahaha
Maman : par contre je voudrais te dire une chose
Moi : oui je t’écoute
Maman : je suis ta mère, je t’aime énormément et plus encore, mais je ne tiens pas à être grand-mère à mon âge, alors la prochaine fois, pas d’excuses tu utilises des préservatifs
Moi : oui maman, désolée, sur le moment je ne me suis plus contrôlée
Maman : je comprends ma chérie, je suis aussi passé par là tu sais, mais un accident est très vite arrivé
Moi : je ferais plus attention promis, par contre, en parlant de préservatifs, je n’en ai bientôt plus
Maman : pas de soucis, je vais en reprendre, d’ailleurs j’en aurais peut être besoin aussi prochainement
Moi : oh, ah bon ?

Rien n’est encore fait, mais elle a un bon feeling avec un homme parmi les trois prétendants. Elle attend d’en savoir plus sur lui, de voir où leurs échanges les mèneront, elle veut faire ça bien, pour elle, comme pour moi.

Nous sommes dans le bain depuis un bon moment maintenant, l’eau commence d’ailleurs à devenir froide, ce que je ne supporte pas. Nous sortons alors toutes les deux, je regarde attentivement le corps de ma mère, puis je lui dis tout en rigolant, que si elle prévoit de voir un homme, qu’il faudra penser à tailler un peu ce buisson.

Elle se regarde, puis son regard me fixe en me disant qu’elle y pensera le moment venu, que pour l’instant, il n’y a pas besoin de tailler quoi que ce soit. Nous sortons toutes les deux de la salle de bain, passant le reste de la soirée devant un bon dîner, puis une émission du vendredi soir.

Ce n’est que lorsque je regagne ma chambre que je vois quelques messages de mon chéri sur mon téléphone.

Guillaume : […merci mon cœur pour ce moment...]
Guillaume : […je t’aime...]
Guillaume : […tu me fais la tête ?...]
Moi : […je ne te fais pas la tête ahaha, j’ai laissé mon tel dans ma chambre, j’étais avec ma mère…]
Guillaume : […ahah ok désolé, je m’inquiète trop vite...]
Moi : […je trouve ça mignon, t’inquiète…]
Guillaume : […au fait du coup, je n’ai pas eu ma réponse…]
Moi : [… oO ? c’était quoi la question ?…]
Guillaume : […euh, quand tu allais sortir toute nue de la douche, pourquoi tu m’as dis de ne pas m’en faire ?…]
Moi : […oh oui, ahaha, en fait, ma mère m’a déjà vue nue, voila tout…]
Guillaume : […euh ok, mais elle aurait trouvé ça chelou, non ?…]
Moi : […non, en fait on a l’habitude de se voir nue quoi, même là ce soir on a prit un bain ensemble…]
Guillaume : […ah ok, comme avec ta cousine, tu me surprends toujours…]
Moi : […c’est peut-être juste que tu n’as pas l’habitude, mais beaucoup font ça, et avec ma mère je n’ai pas de problème à me montrer nue…]
Guillaume : […c’est vrai que de mon côté c’est plus strict…]
Moi : […après ce n’est pas tout le monde qui est à l’aise avec la nudité en famille…]
Guillaume : […oui, en tout cas, je suis à l’aise maintenant avec la tienne ahaha <3 <3…]
Moi : […je me mets toute nue quand tu veux alors, et je vais te dire un secret, j’adore te voir tout nu aussi hihihi <3…]
Guillaume : […chiche ahaha…]
Moi : […ok chiche…]
Guillaume : […je t’aime mon cœur, bonne nuit, et profite bien de ta journée demain <3<3<3…]
Moi : […bonne nuit mon piti cœur, je t’aime <3<3<3<3…]

J’adore toujours nos échanges le soir avant de nous endormir, je pose mon téléphone, j’éteins ma lumière. Dans mon lit je repense à tout ce qui vient de se passer, surtout à l’aveu de ma mère. Je pense surtout à mon chéri, le pauvre, exposé malgré lui aux yeux de ma mère.

Si un jour je devais lui dire ça, je crois qu’il en serait rouge de honte pendant des jours, donc il ne vaut mieux pas qu’il le sache. En attendant, c’est le sourire aux lèvres que je m’endors paisiblement…
chapitre 108 image
Ce matin là, je me réveille doucement, j’ai passé une bonne nuit. A mon réveil il est 8H, j’ai largement le temps pour moi. Je me lève pour aller prendre mon petit déjeuner, ma mère est déjà debout, alors nous profitons de ce petit moment au calme.

De son côté, elle n’a rien prévu de spécial, le ménage, puis quelques courses et elle verra en fonction de ses envies pour la suite. De mon côté, je dois rejoindre les autres en début d’après-midi, donc ce matin, je vais aider ma mère pour les tâches ménagères.

J’avoue que dans ma chambre, il y a un peu de bordel, alors je range, je jette, je retrouve aussi des choses que je pensais perdues. Dans ma table de chevet, la boîte de préservatif quasiment vide, d’ailleurs ma mère me dit de passer à la pharmacie, pour prendre une pilule du lendemain.

C’est vrai qu’ hier, prise par l’excitation, je n’ai plus fait attention, mais bon, même si mon chéri a fini par jouir en dehors, je vais écouter ma mère, et aller prendre cette pilule. Elle me dit qu’elle m’emmènera avant de me poser chez Estelle, mais je lui dis que ce n’est pas la peine, que je vais y aller toute seule.

Elle me regarde, surprise, me demandant si je suis sûre de moi, puis je lui dis que je dois faire les choses par moi-même aussi, et j’ai fait la bêtise, j’assume. Elle vient me serrer dans ses bras me disant que ce n’est pas une punition, mais plutôt une précaution. Je la rassure, je ne le prends pas du tout comme une punition, seulement j’aimerais arrêter de toujours l’embêter, pour des choses que je peux faire moi-même.

Elle me regarde avec un sourire, puis me dit que je ne l’embête jamais, et qu’à n’importe quel moment, elle sera toujours là pour moi. Je sais ce qu’elle ressent au fond, elle me voit grandir chaque jour, et petit à petit je prends un peu plus confiance en moi, je prends un peu plus de responsabilité.

Sa plus grande crainte, est de me voir partir un jour, mais la vie est ainsi faites, elle ne peut que me guider à prendre mon envole.

Bon cet envole, je ne suis pas prête de le prendre de si tôt, vu le bazar que je fous partout. Le reste du ménage dans l’appartement est plutôt vite passé, de la poussière un peu par ci par là, la lessive à faire. Puis après avoir déjeuner, viens pour moi le moment de partir rejoindre Estelle chez elle.

Je pars plus tôt que prévu, puisque je dois faire un détour par la pharmacie, heureusement qu’il y en a une non loin de chez Estelle. Arrivée sur place, il y a quelques personnes devant moi, j’attends mon tour, mais j’avoue que je commence à ressentir de la honte.

Pendant tout le chemin, je me suis dis, je rentre, je la prends et hop on en parle plus, mais une fois devant le pharmacien, c’est une tout autre histoire. C’est maintenant mon tour, c’est un homme avec une barbe grisonnante qui s’occupe de moi.

Il me demande ce que je suis venue chercher, je dois dire que j’ai un peu de mal à parler, de lui demander ça, avec les quelques personnes présentent. Je lui dis alors à voix basse que je suis là pour une pilule du lendemain.

Il me regarde attentivement, puis me demande de le suivre. Je ne comprends pas trop, je pensais plutôt qu’il allait me donner ce que je souhaite, payer et partir. Au lieu de ça, il m’emmène juste derrière, dans une autre pièce puis il commence à me poser des questions.

Comme, mon âge, à quand remonte mon dernier rapport non protégé, si je connais les risques etc. je réponds sagement à toutes les questions puis il cherche dans une étagère, et me donne cette fameuse pilule, tout en me prévenant de certains effets secondaires.

Je lui demande combien je lui dois, puis il me dit qu’il n’y rien à payer, je suis surprise. Il me raccompagne à la sortie en me souhaitant un bon après-midi. Je n’aurais pas du tout pensé que ça pouvait se passer ainsi, mais bon, me voilà dans la rue, avec ce petit sachet dans les mains.

Je me dirige donc vers chez Estelle, ce n’est plus très loin. Arrivée en bas, je sonne, puis monte à son appartement. Elle m’accueil à bras ouverts, toute contente de me retrouver, je lui demande un verre d’eau pour ma pilule.

Elle me demande bien sûr ce que c’est, puis je lui explique vite fait la situation. Elle en rigole, mais ne me charrie pas trop avec. De toute façon, nous avons à peine le temps de parler que Kévin nous envoi un message pour nous dire qu’il est en bas avec sa mère.

Nous descendons, embarquons dans la voiture, puis direction la salle de cinéma. Kévin devait réfléchir depuis mercredi sur le film qu’il voulait voir, à choisir entre Transformers 2, et Watchmen, mais il n’a pas réussi à se décider.

Après avoir pris le temps de parler, et surtout parce que je n’avais pas vu le 1, nous nous sommes donc dirigés vers Watchmen. Nous prenons les tickets, ainsi que quelques popcorns et boissons. Dans la file d’attente il y a un garçon sur qui Estelle a complètement flashé, et à la voir se trémousser dans tous les sens, on ne peut s’empêcher de rire.

Je pensais que j’aurais du mal à suivre le film, bon j’avoue que j’étais un peu perdu à certains moments, mais heureusement que Kévin était là pour m’expliquer, que je puisse reprendre le fil. Par contre la scène de sexe dans le film m’a complètement parlé, là, je n’étais pas perdue, au contraire, avec Estelle, on s’est regardé en se disant « what ?!! ».

Au final, j’ai beaucoup aimé le film, et pas seulement pour la scène de cul. Après ça nous sommes allés au centre commercial, nous avons flânés de boutiques en boutiques, en passant par la catégorie jeux vidéo, vêtements et sous-vêtements.

Tout en me promenant dans chaque boutique, je pense à Guillaume, j’aimerai lui faire plaisir en trouvant une belle petite robe, qui le fera à coup sûr craquer, ainsi que des sous vêtements. Je demande quelques conseils à mes amis, et ils sont devenu fort pour ça, surtout Kévin suite à nos petits défiler.

J’ai finalement pu trouver une robe plutôt courte, après beaucoup d’essayages, de model différents, et validation de mes amis, et jury.

Je suis surprise qu’Estelle ne nous ait pas proposé d’acheter plusieurs sous-vêtements dans l’optique d’un éventuel défilé. D’habitude elle est d’humeur joueuse, je me demande ce qui se passe. En tout cas, nous passons un très bon moment, comme à chaque fois que nous sortons ensemble. Nous avons passés l’après-midi à rire, à se moquer des uns, des autres.

Après quoi nous avons pris le chemin du retour, mais j’avoue que je me sentais un peu bizarre. Peut-être un petit coup de fatigue, ou quelque chose qui n’est pas passé. Nous arrivons chez Estelle, il est 18H, enfin je me pose, cette marche m’a paru plus longue que d’habitude, c’est fou.

Ce week-end les parents d’Estelle sont de sortis comme souvent voir des amis, nous avons l’appartement pour nous seul. On se pose tranquillement dans le salon, en reparlant un peu du film.

Kévin a adoré, il est formel, pour lui tout ce que l’on pourra dire, ne sera que du vent. Pour ma part, j’ai bien aimé aussi, du côté d’Estelle ça se discute. En tout cas je dis à Kévin que les costumes sont assez différents de ce qu’on a l’habitude de voir dans les autres films.

Là nous sommes partis dans un débat, mais ce que je retiens beaucoup c’est le costume d’une héroïne, assez aguicheur.

Kévin : oui, mais franchement, c’est ce qui se fait partout, même pendant les regroupements de COSPLAY
Estelle : c’est quoi ça, le Codplay ?
Kévin : COSPLAY, avec un S
Estelle : oui bon tu m’as compris ahaha
Kévin : ce sont des regroupements, durant lesquels on peut venir jouer le rôle d’un personnage, en portant son costume
Moi : d’accord, et genre y a des filles qui viennent vraiment comme la fille du film ?
Kévin : ouais carrément, et c’est rien encore

Je jette un regard vers Estelle, puis nous rions toutes les deux, Kévin qui d’habitude est plutôt calme, timide, est à présent complètement excité. Apparemment quand on est dans son monde, il est à fond, et on adore.

Kévin : je vous jure, y a des tenues encore plus sexy, des personnages super canon et tout
Estelle : ahaha ça va Kév, calme toi, on te croit
Moi : moi je suis curieuse, tu peux nous montrer ?
Kévin : ouais sans soucis, passe-moi ton ordi stp
Estelle : je vais le chercher, bouge pas

Pendant qu’Estelle va dans sa chambre, je me lève pour me chercher un truc à boire. J’ai l’impression d’avoir quelque chose dans le ventre, qui tourne. Aussitôt je me suis mise à baliser, pour moi je suis enceinte, et je ressens en moi le début d’un bébé qui bouge.

Non mais, attend une seconde, je balise pour rien, j’ai pris la pilule.

Mais peut-être que c’est trop tard, le bébé est déjà en route, je vais devenir maman ?

Oh putain, je suis trop jeune, je vais faire comment ? Que va dire ma mère ?

Estelle revient avec son ordi puis Kévin recherche son histoire de cosplay sur internet. D’ailleurs ce n’est pas un groupe de musique ça ?

Je finis mon verre puis je rejoins les autres, Kévin a fini par trouver ce qu’il voulait nous montrer, et effectivement les personnages sont ultra sexy, et les filles qui jouent ces rôles le sont aussi. Alors on arrête plus, on regarde des personnages de toutes sortes, de plusieurs séries animées.

Estelle : oh regarde s’il y a un cauplay de sailor moon
Kévin : COSPLAY, C, O, S, P, L, A, Y euh…
Estelle : oui bon un ColsplayE de sailor moon
Kévin : elle me tue

De mon côté je suis morte de rire en les regardants faire, on passe en revu toute les séries que l’on regardait avant. D’ailleurs je ne sais pas pourquoi je n’en regarde plus maintenant.

Moi : je trouve vraiment que ces filles sont vraiment belles et sexy dans leurs costumes
Kévin : c’est clair, y a pas à dire
Estelle : attends Ju, mais nous aussi on serait super belles et sexy, si on faisait du Cosplay
Kévin : ah merci !
Estelle : tu vois, même Kév est d’accord
Kévin : non je disais ça pour le Cosplay
Estelle : ouais, la ferme en fait
Kévin : euh
Estelle : on n’était pas sexy quand on faisait nos défilés ?
Kévin : si
Estelle : alors tu vois Ju, je parie que nous aussi, on pourrait être sexy dans des costumes

Je ne sais pas pourquoi, mais à voir la tête d’Estelle à ce moment là, j’ai l’impression qu’elle vient d’avoir une idée assez folle…
chapitre 109 image
Effectivement, je ne me suis pas trompée, Estelle se lève en prenant une pose, voulant imiter un super héro je suppose. Debout, le torse bombé, les poings sur les hanches, puis elle déclare que nous allons improviser une soirée COSPLAY.

Je ne sais pas comment fonctionne son cerveau, mais en moins de deux secondes, elle nous a pondu une soirée costumée avec des règles de jeu. Les règles sont simples, l’un d’entres nous, devra essayer avec les moyens du bord de reproduire le personnage que les deux autres auront choisi, dans un temps de deux minutes maximum.

Nous tirons donc à la courte paille l’ordre de passage de chacun, ce sera donc Estelle la première, suivi de Kévin, et pour terminer moi. Donc pour ce premier tour, Kévin et moi essayons de trouver un personnage assez simple à réaliser pour commencer.

Notre choix s’est directement tourné sur le personnage d’Harley Quinn, Estelle s’en va directement dans sa chambre en courant, pendant que je démarre le chrono. Nous l’entendons faire un désordre pas possible dans sa chambre, puis dans le couloir.

Nous commençons à faire le décompte quand nous la voyant arriver en criant « tada ! »

Pour incarner ce personnage, elle a enfilé un legging noir, des bottines de même couleur, une verste en cuir et s’est coiffée en faisant deux couettes de chaque côté, ainsi qu’un rouge à lèvre vif. Comme pour la dernière fois, je la prends en photo pour immortaliser ce moment.

Nous applaudissons Estelle pour avoir en si peu de temps réussi à jouer ce personnage. C’est maintenant au tour de Kévin, nous cherchons le personnage à lui soumettre. Trouvé, il devra essayer de recréer un personnage de Ghostbusters.

J’adorais regarder ces films, et il y avait une série animé aussi d’après ce que je vois sur l’ordi. Le top départ est donné, Kévin s’empresse de chercher dans l’appartement, ce dont il a besoin pour relever ce défi. Le temps file, nous commençons à décompter, puis Kévin arrive à grande vitesse.

Nous nous retournons pour voir le résultat, puis nous éclatons de rire, en voyant Kévin dans sa magnifique pose. Il a fait comme il a pu, mais il a trouvé une veste blanche, sur laquelle il a passé des ceintures en travers, comme pour faire des harnais, et s’est attaché dans le dos, l’aspirateur de la mère d’Estelle avec le tube dans les mains, comme pour imiter le blaster.

Mais le plus drôle est bien la pose de Kévin, ainsi que son air sérieux. Il joue à la perfection le rôle, et pour ça, on ne peut que le siffler. Estelle ne manque pas de prendre une photo souvenir.

C’est donc à mon tour, je me prépare à ce qui me sera imposée, ils sont là à choisir, puis le personnage m’est donné. Il s’agit de Kim Possible, je vois souvent ce dessin animé passer à la télé, top chrono, alors sans plus attendre je me lance.

Heureusement le personnage est plutôt simple à réaliser, je trouve ce qu’il me faut dans la chambre d’Estelle puis je reviens vers mes amis avant la fin du décompte. J’ai pu trouver un pantalon pratiquement du même vert, et un haut manche longue que j’ai remonté pour laisser apparaître mon ventre.

Il n’y avait pas de réelles difficultés là, mais je m’en sors avec des applaudissements et une photo.
C’est de nouveau Estelle qui se lève, nous cherchons le personnage, puis nous lui donnons Blanche Neige.

Estelle : oh mais non elle est nulle elle, et où je vais trouver une robe de princesse quoi ?
Moi : ahaha
Kévin : tu n’es pas obligée de recréer le personnage à perfection, c’est du moment que l’on devine, qui tu incarne
Moi : ah bon ? On peut faire ça ?
Kévin : oui c’est aussi ça le COSPLAY
Estelle : donc je peux jouer un perso masculin aussi ?
Kévin : non ça c’est plus du Crossplay
Estelle : oh tu me perds là
Kévin : non mais t’inquiète, fais comme tu peux, du moment que l’on retrouve un peu du personnage
Estelle : ok

Le chrono est lancé, Estelle s’en va à toute vitesse dans sa chambre. Pendant ce temps Kévin m’explique qu’il existe des concours de ce genre, et que les costumes présentés sont tout simplement magnifique. Mais sur le coup, je ne l’écoute qu’à moitié, pas que ça ne m’intéresse pas, au contraire. Mais mon ventre me joue des tours, j’ai l’impression que ça tourne, je respire lentement, puis Estelle nous revient.

Elle se présente devant nous avec une mini jupe jaune, un haut de maillot bleu, et un ruban rouge pour attacher ses cheveux. Ce n’est pas une robe de princesse, mais elle est très sexy j’avoue. On la siffle, on l’applaudit puis on immortalise l’instant.

Kévin se lève, il est chaud, prêt à relever tous les défis, nous cherchons, puis le personnage est Jason, de vendredi 13. Le chrono est lancé, nous nous retournons pour laisser du mystère, pendant que nous entendons Kévin courir dans tout l’appart.

Je complimente Estelle, lui disant qu’elle est sexy dans sa tenue. Elle rit en me remerciant, mais elle est surtout contente de pouvoir repasser une soirée avec moi. Je la serre dans mes bras, en lui disant que je ressens la même chose.

Kévin : hum hum

Nous avons complètement oubliées le chrono, mais Kévin est déjà de retour, et je dois dire que je suis surprise du résultat. Avec ce peu de temps, et de moyen, Kévin ne s’en est pas mal sorti. Il a trouvé une veste appartenant au père d’Estelle, couleur un peu kaki, pour le masque, il a fait des trous dans une feuille de papier qu’il a scotché sur son visage, et tient dans sa main une spatule en fer, en guise d’arme blanche.

On applaudit haut et fort, tout en riant toujours pour le choix des armes. Après la photo, je me lève, j’attends mon personnage, un choix très vite fait par Kévin, Lara Croft. Je ne vois pas du tout qui c’est, heureusement que l’on me montre une photo. Le chrono se lance, puis je me précipite vers la chambre.

Mon ventre me lance à nouveau, je ne devrais peut être pas courir comme ça, sinon je vais perdre le bébé. Mais qu’est-ce que je dis moi ?

Je perds la boule, je me concentre un instant sur mon défi, je trouve ce qu’il me faut puis je présente dans le salon. J’ai pu trouver un mini short noir, et un petit haut sport gris, et pour les armes une agrafeuse, pas deux, malheureusement.

J’ai de la chance d’être dans une chambre de fille, et que mes personnages soient assez simple. La photo prise par Estelle, puis elle se lève en demandant que l’on choisisse maintenant des personnages sexys.

Pour rire, je lui dis que son personnage sexy est Angela Anaconda, Estelle me regarde alors avec un air dépité, je lui dis que c’est une blague puis lui donne son véritable perso, la princesse Mononoké. Elle est toute souriante, car elle adore ce personnage, top départ, et la voila parti pour se préparer.

Pendant ce temps là, j’essaie de boire quelque chose, en me disant que mon état va passer. Je respire comme je peux pour ça passe, mais j’ai l’impression que ça empire. Est-ce que je suis en train de tomber malade ?

Je ne sais pas quoi penser, j’ouvre les yeux lorsque j’entends Kévin commencer le décompte. Estelle revient dans le salon, puis nous nous retournons pour la découvrir, et le résultat est tout simplement sexy, avec le peu de moyen qu’elle a trouvé.

Elle est habillée pour le haut d’un chemisier sans manche qu’elle a nouée pour qu’il soit le plus court possible, en prenant le soin de le laisser ouvert pour entrevoir sa poitrine nue. Elle a aussi mis du rouge à lèvres sur ses joues pour se maquiller, et passée une veste imitation fourrure grise sur sa tête en guise de coiffe. Pour le bas elle a noué une serviette à main blanche, imitant une jupe très fendue.

Nous l’applaudissons, sifflons à n’en plus finir, puis je la prends plusieurs fois en photo, pendant qu’elle pose. C’est au tour de Kévin, en personnage sexy nous lui choisissons THE ROCK. C’est une idée d’Estelle, elle adore cet acteur et elle voulait voir comme Kévin s’y prendrait.

Pendant que Kévin tente d’incarner son personnage, je demande à Estelle si elle a mis un sous-vêtement. Elle me répond avec de gros yeux que bien sûr, elle porte un string pour ce soit plus sexy. Je demande, car avec elle, je peux m’attendre à tout.

Le chrono sonne, Kévin est de retour, il est temps de le découvrir. A peine retournées que nous sommes mortes de rire, Kévin est devant nous en caleçon noir, prenant la pose, et faisant le même haussement de sourcil que l’acteur. Il a même tenté de faire un tatouage sur son épaule avec un marqueur.

Malgré nos rires, nous l’applaudissons, lui disant qu’il est vraiment bon acteur, car dans tout ces personnages jusque là, il a reproduit la gestuelle, le jeu, Kévin est vraiment fort, et pour cela, nous le prenons une dizaine de fois en photo.

Je suis toujours en rire pendant que j’attends mon personnage sexy. Mon défi est d’incarner, Poison Ivy, une adversaire de Batman apparemment. Je vais vite dans la chambre cherchant des vêtements verts, je regarde dans la commode d’Estelle, un soutif, un maillot, n’importe, il faut que je me dépêche. En plus de ça, mon ventre me lance de nouveau, mais prise dans le jeu, je ne lâche rien.

Lorsque le chrono sonne, je suis tout juste de retour, j’ai vraiment fait avec les moyens du bord. Dans la commode d’Estelle, je n’ai trouvé qu’un string vert, je ne vais pas mentir, je n’aime pas du tout les strings. Mais étant donné que je dois être sexy dans mon personnage, j’en ai mis un. Mais pour imiter une plante verte sur mon corps, je n’ai pas trouvé autre chose que de disposer des post-it de couleur vert sous les ficelles du string, et sur ma poitrine nue en espérant que ça tienne.

En me voyant j’ai le droit à des sifflements, de cris, des applaudissements, puis je me prête au jeu, en prenant des poses sexy pour les photos. C’est de nouveau à Estelle, elle souhaite continuer dans la catégorie sexy, alors nous cherchons. Mais nous avons du mal à choisir, alors Kévin lui demande d’incarner une momie en version sexy.

Avec Estelle nous rions, surtout ne voyant pas comment rendre cela sexy. Mais bon, elle se prête au jeu, le chrono démarre puis elle file en direction de sa chambre. On se retourne, Kévin me félicite une nouvelle fois, il me trouve très sexy et audacieuse dans mon choix pour coller au personnage. Tout en parlant un post-it de ma poitrine se décolle et laisse apparaître un téton aux yeux de Kévin.

Cet instant fut très court, mais je pense que Kévin a eu tout le temps de pouvoir observer mon téton. Il s’excuse aussi vite qu’il peut, je le rassure de suite, c’est moi qui ait choisi comment faire mon costume, j’assume entièrement.

Le chrono se met à sonner, Estelle nous dit qu’elle est prête, alors nous nous retournons. Sous nos yeux, je crois que nous avons la plus belle, et plus sexy des momies. Estelle s’est rajoutée un peu de crayon noir autour des yeux, puis pour son costume, elle a opté pour de fines bandes de gaze s’enroulant autour de sa poitrine, ainsi que sa taille.

Les bandes n’entourant pas complètement ces parties là de son corps, et n’étant pas très épaisse, elle laisse clairement voir sa peau au travers, et deviner qu’elle est nue en dessous. D’ailleurs, pour se la jouer encore plus sexy et provocatrice, la bande de gaze qui passe sur son intimité dérive de suite sur le côté laissant voir que cette fois-ci elle est totalement lisse au niveau de son sexe.

Nous ne pouvons qu’être ébahi devant un tel spectacle, nous l’applaudissons, puis je la prends en photo. Pendant qu’elle prend la pose, tout en se retournant, nous sommes étonnés de voir ses fesses nues, sous nos yeux. Puis en revenant face à nous, nous pouvons clairement voir ses lèvres intimes sous la bande de gaze quasi transparente, et qui en a également adoptée la forme.

Je ne pensais pas qu’il serait possible d’en arriver jusque là avec ce simple jeu. Mais Estelle a le don de pouvoir rendre ces instants les plus coquins possible. Kévin se lève avec difficulté, cachant avec ses mains sans doute un début d’érection. Puis nous lui choisissons le personnage de Tarzan, homme pratiquement nu et sexy, que Kévin devra incarner.

Pendant qu’il part se préparer, je regarde de nouveau Estelle, et lui dis qu’elle est vraiment audacieuse, voir folle, pour être quasiment nue devant nous, mais qu’elle est terriblement sexy dans cette tenue.

Tout à coup, je sens dans mon ventre que ça ne va pas. J’ai l’impression que ça monte, j’ai l’impression que je vais…

Je me lève pour me diriger au plus vite vers les toilettes, un fois dedans, je me penche pour vomir. Estelle, paniquée m’a suivie, me tient les cheveux sur le côté. Kévin lui aussi est surpris, demande ce qui se passe.

Je reste la tête dans la cuvette, continuant de vomir par étape, me demandant ce qui m’arrive…
chapitre 110 image
Je suis à genou dans les toilettes en train de vomir à moitié nue, pendant qu’une momie me tient les cheveux, et que Tarzan nous regarde. Le tableau est assez spécial, mais peu importe la situation, dans ma tête, je me demande ce qui se passe.

Les nausées ce sont un peu arrêté, je respire comme je peux, pendant qu’Estelle me donne du papier pour m’essuyer.

Kévin : Ju, il se passe quoi ?
Moi : je crois que c’est la pilule que j’ai prise
Kévin : hein, de quoi elle parle ?
Estelle : attends ne bouge pas Ju, je vais regarder ça, et je reviens
Moi : ok
Estelle : Kév, surveille-la
Kévin : oui

Estelle s’en va dans le salon, sûrement regarder sur internet si c’est bien la pilule qui fait effet. Pendant ce temps Kévin s’accroupi, me caresse le bras ne sachant pas trop quoi faire, mais son geste me fait sourire.

Sa tenue également, il venait de finir, et j’ai eu cette envie de vomir au moment où il allait sortir. D’ailleurs il me surprend, il est vêtu d’un simple paréo de couleur marron qu’il a raccourci au maximum.

Moi : bravo pour ta tenue, c’est Tarzan tout craché
Kévin : ah merci
Moi : mais dis moi, tu ne portes rien en dessous ?
Kévin : euh oui, j’ai voulu faire en sorte d’être le plus sexy possible, pour faire comme vous
Moi : c’est trop top, je te trouve très courageux
Kévin : pas autant qu’Estelle et toi, mais je voulais me prêter au jeu, et incarner Tarzan à 100 %
Moi : hey bien c’est réussi (en lui faisant un clin d’œil)

La momie revient nous voir, elle a trouvé sur Internet, que les effets secondaires de la pilule du lendemain, pouvaient être des nausées et vomissement. Je me rappelle maintenant que le pharmacien me l’avait dit, mais je devais écouter à moitié.

A force de marcher dans l’appartement, les bandes de gaze sur le corps d’Estelle ont finit par se détendre un peu, voir se décaler, ne cachant plus grand-chose. Mais elle est trop absorbée par mon état pour s’en rendre compte.

Ce qui n’a pas trop échappé à Kévin, qui est surpris dans un premier temps, puis n’a pu s’empêcher de jeter quelques coups d’œil pas du tout discret.

Estelle me demande si c’est un peu passé, je lui dis que oui, mais que j’avais un peu froid. Alors elle demande à Kévin de l’aider à me mettre sous la douche. Elle ouvre l’eau en prenant soin qu’elle soit bien chaude, puis elle rentre avec moi pour me laver, et m’enlacer.

Kévin nous dit qu’il va nous laisser un moment tranquille, je le vois qu’il n’est pas trop à l’aise, alors il regagne le salon en laissant la porte entre ouverte, au cas où, on aurait besoin de lui.

Je ne suis pas non plus prête à mourir, mais j’avoue que ça me fait vraiment du bien. Sentir l’eau chaude couler sur mon corps et les bras d’Estelle me réconforte. Je me sens beaucoup mieux, les nausées sont encore là, mais ça va, elle diminue petit à petit.

Nous voilà toutes les deux assise dans la douche, l’eau chaude qui nous couvre entièrement. Je pose ma tête sur son épaule, la remerciant d’être ma meilleure amie, et que je suis désolée d’avoir gâchée la soirée, surtout que le jeu était très bien parti.

Estelle : hey ne dis pas de bêtises, tu n’as rien gâchée du tout (petite tape sur mon front)
Moi : aïe ahah
Estelle : mais c’est vrai que le jeu commençait à devenir intéressant ahaha
Moi : toi et tes jeux, tu as le chic pour que ça vire toujours au coquin
Estelle : oui ahaha, je crois que c’est dans ma nature, j’aime ça
Moi : on a remarqué, ne t’inquiète pas
Estelle : je me demande jusqu’où on aurait pu aller ?
Moi : ahaha je ne sais pas, mais en tout cas, ça fait du bien à Kévin, il se lâche toujours plus
Estelle : oui j’ai vu ça, et il n’est plus trop mal à l’aise en nous voyant
Moi : c’est vrai, d’ailleurs ça te plait beaucoup d’être quasiment nue devant nous
Estelle : j’avoue oui hihihi
Moi : tu es folle aha
Estelle : et tu m’aimes pour ça
Moi : oui, mais tu as remarquée quand tu es revenue du salon, que les bandes sur ton corps ne cachait grand-chose ?
Estelle : non j’avoue que j’étais ailleurs à ce moment là
Moi : hey bien je l’ai bien vue, et Kévin aussi ahah
Estelle : t’es sérieuse ? Kévin m’a maté sans m’en rendre compte ?
Moi : oui ahaha
Estelle : oh le coquin
Moi : mais je t’avoue quelque chose
Estelle : dis-moi
Moi : son pagne improvisé ne cachait pas grand-chose non plus quand il était accroupi
Estelle : OOOhhh, t’es sérieuse ? Tu as vue quoi alors ? Raconte !!
Moi : je n’ai pas vu grand-chose, mais j’ai vu un peu son sexe qui pendait hihi
Estelle : OOoohohoh tu ne lui as pas dis ?
Moi : non je ne voulais pas le mettre mal à l’aise, surtout qu’il commence à se lâcher
Estelle : tu as bien fait

Nous rions toutes les deux, de toutes ces petites confidences, toujours assises dans la douche, pendant que l’eau chaude s’écoule sur nous. De mon costume, il ne reste plus rien des post-it que j’avais collé sur moi, ou glissé dans le string. Alors pour celui d’Estelle, les bandes de gaze imbibées d’eau ne tiennent plus, elles glissent, et deviennent même transparentes.

Nous voilà belles toutes les deux, les seins à l’air, nous sommes, on peut le dire, quasiment nue, alors que la porte est entre ouverte. Estelle me dit que ce n’est pas juste, qu’il me reste encore ce string comparé à elle. Elle me dit alors de le retirer pour être à égalité, mais je refuse.

Elle vient alors m’enlacer encore plus, en essayant de me chatouiller, et par la même occasion, saisir les ficelles de ce string pour l’abaisser. Nous rions toutes les deux, je me défends bien sûr, je la chatouille aussi comme je peux, puis nous tombons, complètement allongées dans la douche.

Estelle est au dessus de moi, on n’en peut plus, mais ça nous fait tellement du bien de rire comme ça. J’en oublie presque mes nausées, elle m’enlace toujours, déposant un bisou sur mon front. Cela fait un bon moment maintenant, que nous sommes sous l’eau. D’ailleurs elle commence doucement à refroidir, signe qu’il est peut-être temps de sortir de là.

Nous nous redressons comme on peut, toujours assise toutes les deux, Estelle tente d’attraper une serviette sur le côté. Elle cherche toujours, elle sort la tête pour mieux voir, mais il n’y a rien. Dans nos jeux de COSPLAY, nous avons pris tout ce qui nous passait par la main, y compris sûrement les serviettes dans la salle de bain.

Je commence à avoir froid alors je me colle à Estelle, qui elle, dans le seul recourt possible, appelle Kévin. Il approche, se tient dans le couloir en nous demandons ce qu’il y a. Estelle lui demande alors d’aller dans sa chambre, de prendre dans la commode une serviette propre puis de nous la ramener.

Estelle m’enlace pour partager un peu de chaleur, sous cette eau encore un peu chaude. Je lui demande si elle va récupérer la serviette à la porte, mais elle me dit que non. Elle ne veut pas mettre de l’eau partout, du moins, plus qu’il n’y en à déjà.

Et puis, vu nos soirées, Kévin en a déjà vu beaucoup, alors nous voir ainsi, ça ne va rien changer. Justement il est de retour à la porte avec la serviette, Estelle lui dit de nous l’apporter directement, ce qui sans doute l’embête un peu.

Kévin : euh vous êtes sûre ?
Estelle : mais oui Kév, entre, de toute façon c’est nous, on ne va pas te manger
Kévin : oui mais vous êtes sous la douche
Moi : ça va aller Kév, tu peux venir
Kévin : euh ok, j’entre

La porte s’ouvre, la douche est directement face à elle, Kévin apparaît alors avec les yeux grands ouverts. Il tente par moment de regarder ailleurs, mais Estelle le rassure qu’il n’y a rien de mal, mais surtout de regarder devant lui pour ne pas glisser.

Il approche donc vers nous, son regard hésitant, mais venant tout de même se poser rapidement sur nous pendant de bref instant. La scène devant lui doit être des plus belles qu’il ait pu voir jusqu’à présent, et aucune de nous ne lui en veut de regarder.

Estelle coupe l’eau, puis elle se redresse pour prendre la serviette, tout en remerciant Kévin. Voir Estelle se lever, entièrement nue devant lui, la complètement scotché, il se ressaisi tout de même après quelques secondes, avant de nous dire qu’il nous attend dans le salon.

Nous le remercions encore une fois, puis nous nous séchons l’une après l’autre, avant de sortir de la douche, de récupérer nos affaires un peu partout dans la chambre.
chapitre 111 image
Dans la chambre d’Estelle, c’est un peu le bazar, il faut dire qu’avec notre session COSPLAY, nous avons remués toute la chambre pour trouver ce qu’il nous fallait. Je finis par retirer ce string entièrement trempée, Estelle, elle, est toujours nue, et la porte de sa chambre n’est pas du tout fermée.

Je lui parle un instant de ce qu’il vient de se passer dans la douche, le fait qu’elle se soit levé, les bandes de gaze mouillée et tombante l’ont laissée, il faut le dire, nue devant Kévin.

Estelle : honnêtement, je m’en fou
Moi : oui, j’ai vue ça
Estelle : c’est mon ami, j’ai confiance en lui, je sais qu’il a pu me regarder un peu surpris, mais il n’aura jamais un regard bizarre envers nous, concernant notre nudité ou autres
Moi : je comprends ce que tu veux dire
Estelle : et puis nos jeux, d’essayages et autres encore nous ont permis de nous libérer encore plus
Moi : oui, j’étais surprise de le voir s’afficher fièrement en caleçon
Estelle : et même à la fin, son pagne improvisé, on a un Kévin plus dévergondé

Nous rions toutes les deux, heureuse en fait d’avoir Kévin dans notre vie, aussi après s’être habillée, nous l’avons rejoins dans le salon. En nous voyant, il me demande comment je vais, je lui explique alors mon état de ce soir.

Je lui explique que j’ai eu un rapport non protégé avec Guillaume, que ma mère a préférée que je prenne cette pilule par précaution, et que l’un des effets secondaires de celle-ci, sont les nausées et vomissements.

Kévin comprend tout à fait, il se doutait aussi que ma relation avec Guillaume avait du évoluer depuis le temps, mais sans penser que je l’avais fait.

Estelle : oh, je n’avais pas vu l’heure, je vais appeler la pizzeria, voir si on peut encore passer commande

Effectivement, avec nos jeux, plus le temps passé dans la douche, le temps à bien passé, et ce serai bête de louper cette pizza. Le fait d’avoir vomis m’a complètement vidé, j’ai encore un peu de nausées, mais je ressens aussi l’envie de manger.

Heureusement pour nous, nous pouvons encore passer commande, Estelle choisi d’en prendre deux. Je lui demande pour quelle heure sont les pizzas, mais elle me dit de rester sagement ici avec Kévin, qu’elle ira les chercher d’ici une trentaine de minutes.

En attendant l’heure, nous revenons sur le COSPLAY, les fous rires que nous avons eus, ainsi que ce sentiment ressenti lorsque nous avons incarné chaque personnage. Nous mettons les photos prises sur l’ordinateur, puis comme l’autre fois, Estelle ne manque pas de les faire passer à l’écran, de les commenter et autres.

Le prix des photos les plus hots de la soirée, sont attribués à Estelle pour son costume de momie. J’arrive en deuxième position avec Poison Ivy, mais je suis sûre que si nous avions les photos de Kévin en Tarzan, il aurait fait un malheur. Nous lui décernons tout de même la première place, vu comment il a incarné à la perfection tout les personnages imposés.

Estelle se lève, il est temps d’aller chercher ces pizzas, je souhaite y aller avec elle, mais elle m’ordonne de rester assis ici.

Je profite de ce moment pour parler un peu avec Kévin, tout à l’heure, j’ai remarqué qu’il était un peu déçu quand je lui ai dit avoir franchi le pas avec Guillaume. Je sais qu’il heureux pour moi, mais alors pourquoi est-ce que j’ai vu visage un peu triste ?

Je le surprends par ma question, mais en fait, il pensait à lui, le fait qu’Estelle et moi avons vécu notre première fois, pour lui c’est tout à fait normal, nous sommes très belles selon lui. Puis il s’est mis à douté de lui, qu’un jour il puisse trouver une fille qui l’aime comme il est.

Kévin a sans cesse, ce genre de jugement envers lui-même, il ne le dit pas forcément, mais nous le savons, du moins je le ressens.

Moi : tu sais, je pense que l’amour, ce n’est pas qu’une question de physique
Kévin : je le sais, mais difficile de m’en convaincre quand je sais que je suis gros, et qu’aucune fille me regarde
Moi : tu es sûr qu’aucune fille ne te regarde ?
Kévin : oui…
Moi : hey bien pas moi, tu sais y pas mal de filles qui te regardent
Kévin : parce que je suis avec vous, elles doivent se poser des questions
Moi : humm pas forcément, tu as une personnalité bien à toi, et qui attire
Kévin : hum…
Moi : banane va, tu es drôle, attentionné, intelligent, il faudrait juste que tu ais un peu plus confiance en toi, et je suis sûre que tu auras des filles complètement folle de toi ahaha
Kévin : héhé, mais je suis trop timide
Moi : tu as remarqué que tu ne l’es plus avec Estelle et moi ?
Kévin : mais, vous, vous êtes mes amies
Moi : et tu as beaucoup changé depuis un moment, et j’adore
Kévin : c’est vrai ?
Moi : bien sûr, mon Tarzan, mon homme fort ahaha

Je l’enlace très fort à ce moment, en lui faisant un bisou, je n’aime pas le voir triste, et je pense vraiment chacun de mes mots. D’ailleurs je lui demande s’il ne se plairait pas dans un club de théâtre, vu comment il était ce soir, je pense qu’il s’amuserait à fond. Ça lui permettrait sans doute d’aller vers les autres, de ne plus être timide. Il n’y avait jamais pensée, c’est peut-être une branche à explorer, et qu’il aimerait.

Je le laisse réfléchir à ça, je ne veux pas le forcer à faire quoi que ce soit, je veux juste qu’il s’ouvre aux autres, comme j’essaie de le faire moi-même.

Notre livreuse de pizzas est de retour, aussi nous ne perdons pas de temps, nous avons faims. On se met un bon film sur l’ordi tout en mangeant, j’adore ces moments, ces rires, on ne pense plus aux problèmes, on apprécie juste.

Après le film, nous sommes passés chacun notre tour à la douche, enfin surtout Kévin, puisqu’Estelle est moi sommes déjà bien propres. Nous nous mettons à l’aise pour passer la nuit, c'est-à-dire T-shirt et petites culottes. Kévin nous rejoins dans la chambre en T-shirt et caleçon, sur ce point là, il n’est plus timide. Nous avons disposé comme d’habitude le matelas au sol pour Kévin, mais nous n’allons pas dormir de suite, on aime trainer en longueur, discuter, rire, et la nuit est loin d’être terminée.

En prenant l’ordi, puis en refermant la page du film, nous sommes retombés sur les photos d’Estelle en momie. Pour le coup, nous repartons sur le sujet, a savoir qu’il y a certains costumes qui sont très dénudés et sexy. Estelle comme à son habitude charrie un peu Kévin, puis lui demande s’il lui arrive de se faire plaisir en regardant des COSPLAY du genre.

Il rougit légèrement suite à cette question, mais sans trop attendre il répond que oui. Là pour le coup, c’est nous qui sommes sur le cul. J’aurais pensée que la réponse allait trainer en longueur, qu’Estelle l’aurait embêté à n’en plus finir jusqu’à ce qu’il réponde, mais non.

Nous éclatons de rires, je crois que nous avons complètement changé Kévin, alors Estelle ne le lâche pas, elle lui demande quel personnage il aime regarder et autres. Nous voilà partis à la recherche d’une série de photo de COSPLAY sexy pour lui demander s’il aime ou non, et s’il s’était déjà fait plaisir dessus.

Il y énormément de photos sur internet, alors forcément nous n’avons pas eu les bonnes, mais à regarder tout ça, nous étions tous en admiration et sûrement un peu excités aussi. Nous finissons par lui demander ce qu’il regarde en se faisant plaisir. Et Monsieur s’amuse à nous taquiner, du genre que l’on ne trouvera jamais.

Le saligaud, décidément il ne finit pas de nous étonner ce soir, alors on se prête au jeu, essayant de deviner ce qu’il aime regarder, nous passons en revue plusieurs catégories liés au manga, jeux et autres. Mais franchement, n’étant pas expertes dans ces domaines, nous avons finis par abandonner, un peu triste de ne pas avoir trouvé.

Mais bon, Kévin étant gentil, il prend l’ordi, et tape dans la barre de recherche ce qu’il aime regarder. Alors je dois dire, que je suis complètement surprise de ce que je vois là, je connais le site pour les vidéos que je regarde parfois, mais je ne pensais pas voir ça dessus.

Estelle ne perds pas de temps, elle clique sur la vidéo pour voir ce qui se passe dedans, et franchement, c’est encore plus bizarre pour moi.

Moi : c’est ça, que tu aimes regarder pendant que … ?
Kévin : euh, oui… j’aime bien le Hentaï
Moi : mais là, la fille elle se fait prendre par des tentacules ?
Kévin : oui, mais pas que, parfois c’est des montres, extra-terrestres

Estelle clique sur une autre vidéo pour voir, et cette fois-ci, c’est homme si l’on peut dire, mais avec un sexe complètement démesuré. Là encore je suis totalement surprise, bien que je ressente entres mes jambes, mon sexe devenir humide.

Moi : euh, mais jamais ça va rentrer, c’est trop gros
Kévin : attends, regarde
Moi : oh putain, si ça rentre, mais…
Estelle : hey bien Kév, tu caches bien ton jeu ahaha

Nous sommes tout les trois en train de rires, devant une vidéo où la fille prends en elle, un sexe tellement gros, que son ventre en gonfle à chaque vas et viens. De là on débat avec Estelle, sur la souffrance ressenti si c’était réel. Nous changeons de vidéo, revenons sur une fille se faisant prendre par des tentacules.

Nous finissons par nous demander si tous les garçons aiment regarder ce genre de vidéo, voir leurs personnages préférés faire l’amour, que ce soit avec d’autres perso, montres, extra-terrestre, ou tentacules.

Estelle me demande, si j’ai déjà parlé de ça avec Guillaume, alors je lui dis que oui, récemment il m’a avoué regarder des vidéos. Mais pour ce qui est des vidéos Hentaï, je ne sais pas. En tout cas, Kévin nous a fait découvrir tout un monde ce soir, lié aux jeux, à l’animé, un monde que je ne soupçonnais même pas, et qui je dois l’avouer, peut tout de même, être excitant.

Estelle, elle, ne le cache pas, elle le dit ouvertement que la vidéo l’excite et qu’elle a même envie de se masturber. Pour le coup, Kévin ne savait plus où se mettre.

Je vous jure, celle-là, je finis alors par couper la vidéo, et fermer le site. Estelle me dit que je ne suis pas drôle de faire ça, mais son excitation se sentait très bien, et si je ne mets pas un frein, je ne sais pas ce qui pourrait se passer.

Je ne voulais pas que Kévin en soit encore plus gêné. Il fait d’énormes progrès sur sa timidité avec nous, et je ne voudrais pas que cela se brise. D’ailleurs je devrais en parler un peu avec Estelle, cette relation que nous avons tous les trois me convient déjà très bien. Je ne voudrais pas en faire plus, au point peut-être, de tout gâcher.

Je sens que Kévin de son côté est soulagé, bien qu’Estelle fasse sa fausse colère pour nous embêter. Nous finissons par en rire comme toujours, et ça aide surtout à nous détendre avant de continuer à parler de nombreuses choses. Notamment des sujets plus sérieux, comme l’approche du brevet, et nos projets après le collège.

Nous sommes d’accord sur un point, nous aimerions aller au même lycée, pour toujours être ensemble, même si nous choisissons des branches différentes. Je ne sais pas encore dans quel domaine je voudrais travailler plus tard, mais ça fait aussi du bien d’en parler avec ses amis.

De comparer nos points de vue, de voir les idées des autres et ainsi s’en faire les notre. Tout en parlant, la fatigue se fait sentir, il est pratiquement 1H du mat, et nous commençons peu à peu à nous laisser aller vers un sommeil bien mérité.
chapitre 112 image
Durant cette nuit, j’ai pas mal tournée, il faut dire que les nausées n’ont pas aidé, mais il y avait également Estelle qui bougeait beaucoup. Je me suis levée une fois dans la nuit en urgence, en manquant de pratiquement piétiner Kévin au passage. Mais ça va, je n’ai pas vomi, c’était juste dans mon rêve je crois.

Ce matin je me réveille en entendant la porte de la chambre se refermer. Elle grince un peu, du coup on la laisse toujours entre ouverte pour ne pas faire encore plus de bruit. Je regarde mon téléphone, il est presque 9H, Kévin est déjà levé. A côté de moi, le spectacle est digne d’un film d’horreur. Estelle dort encore profondément, les cheveux en pagaille, la bouche ouverte, avec un peu de bave sur le côté.

Je prends une photo d’elle, comme ça je pourrais la ressortir un jour pour rire. Je décide de me lever aussi, une forte envie de faire pipi, mais aussi de me prendre un petit déjeuner. Je sors de la chambre, sans faire trop de bruit avec cette porte, après un passage rapide aux toilettes, je rejoins Kévin dans le salon.

Kévin : hey, bien dormie ? C’est moi qui t’ai réveillé ?
Moi : coucou, pas très bien dormie, avec mes nausées, tu m’as réveillée, mais t’inquiète ça va aller, et toi ?
Kévin : oui j’ai bien dormi
Moi : tu veux prendre le petit dej ?
Kévin : on n’attend pas Estelle ?
Moi : vu comment elle dort, on risque d’arriver au dîner si on l’attend

Nous rions tous les deux de bon matin, ça fait plaisir, nous allons dans la cuisine pour nous préparer du lait et des céréales, tout en se parlant. On se remémore un peu la soirée, les petits aveux, surtout les vidéos Hentaï qui m’ont beaucoup surprise.

Kévin avait un peu honte de nous le dire, ne voulant pas paraître bizarre sur ses goûts. Mais je le rassure, nous avons chacun nos goûts, nos préférences, et notre plaisir ne regarde que nous. Alors non, à mes yeux, Kévin n’est pas bizarre, et je le lui fais bien savoir.

Il est un peu gêné en voulant me poser une question, je lui dis qu’il n’y a pas de quoi l’être, qu’il peut me demander ce qu’il veut. Kévin se pose beaucoup de questions sur le sexe, il le sait très bien, que ce n’est pas comme dans les vidéos que l’on peut voir. Il se demande ce que l’on ressent, quand on le fait vraiment.

Je tente de lui répondre comme je peux, je lui donne mon point de vue, mon ressentie, mais il est tout de même différent de celui que Guillaume a eu en tant que garçon. Je lui dis qu’il découvrira cela par lui-même, mais qu’il ne faut surtout pas se mettre la pression. Et surtout croire en lui, arrêter de se dire qu’aucune fille ne voudra de lui.

Je reçois au même moment, un message de mon chéri, pour me dire « bonjour », me demander comment s’est passé ma soirée avec mes amis. Kévin me demande si je vais lui raconter ma soirée en détails, c'est-à-dire le COSPLAY, les nausées, la douche…

Je lui dis que non, que je ne donne pas de détails comme ça à Guillaume, de peur qu’il ne se fâche, qu’il me quitte ou alors qu’il soit jaloux.

Kévin : je suis sûr qu’il aurait aimé notre jeu de COSPLAY
Moi : ouais mais j’avoue que je serais jalouse qu’il puisse voir Estelle presque nue, et que lui se montre aussi
Kévin : je vois, mais toi ça ne te fait rien de te montrer ?
Moi : si comme je l’ai dis la dernière fois, mais après, nos jeux, nos soirées me plaisent aussi, donc c’est dur

Peut-être que je devrais lui en parler, partager avec lui ce que je fais avec mes amis. Je sais qu’il m’aime beaucoup, qu’il est assez coquin sous son air timide, mais j’ai peur d’une mauvaise réaction de sa part.

Je réponds à son message, lui disant que ma soirée s’est bien passée, malgré quelques nausées. Je lui dis tout de même de ne pas s’en faire. Pour les autres détails, je pense qu’il serait mieux de lui en parler de vive voix, si j’y arrive.

Je regarde l’heure, il est presque dix heure, je crois qu’il faudrait réveiller Estelle, histoire de pouvoir tout nettoyer aussi avant que ses parents ne rentrent. Je vais vers sa chambre, le couloir est sombre, je pousse la porte, et Estelle est complètement surprise de me voir entrer.

Je le suis également, ne pensant pas qu’elle était déjà réveillée, mais surtout pas qu’elle était en train de se masturber. Je comprends peu à peu ce qui se passe devant moi, toute cette histoire de vidéo l’a travaillé, puisque je vois sur l’écran de l’ordi, une vidéo Hentaï, celle avec des tentacules, tandis qu’elle se frottait contre son oreiller lorsque je suis entrée.

Même si la surprise à durée quelques secondes, Estelle se met à rire, de s’être faite surprendre ainsi. Elle n’était pas nue, mais le mouvement de son bassin sur son oreiller était pour le moins assez explicit. Heureusement que ce n’est pas Kévin qui est venu dans la chambre, le pauvre ne saurait plus où se mettre.

Je ris un instant avec Estelle, avant de lui dire de se lever, que nous l’attendons dans le salon, et que ce serait bien de ranger un peu l’appartement. Aussitôt elle ferme son ordi, se lève et me suis dans la cuisine pour prendre son petit déjeuner.

Kévin : alors bien dormie ?

Nous nous regardons toutes les deux en éclatant de rires, puis elle lui répond, faisant comme si de rien n’était. Après avoir terminés, et s’être habillés, nous nous mettons tous à la tâche pour nettoyer le joyeux bordel de notre soirée.

Le ménage fut assez rapide à faire, heureusement, puis après tout cet effort, nous avons terminés le reste de pizza, avant de prendre nos affaires, en attendant la mère de Kévin. On remercie encore une fois Estelle pour ce moment encore une fois inoubliable, puis je rentre avec la maman de Kévin qui me dépose chez moi.

Je monte les escaliers, puis une fois rentrée, je retrouve ma petite maman que j’enlace très fort. Elle me demande alors comment ça s’est passé, je ne manque pas de tout lui raconter en détails. Bien sûr elle m’a posée pas mal de questions, concernant mes nausées, elle s’inquiète assez vite, dès que j’ai une grippe ou autre. Je n’y peux rien c’est ma maman, mais je la rassure tout de même, tout va bien maintenant.

Je lui montre également mes quelques achats, ma robe, mes sous-vêtements. Qui j’espère sauront plaire à Guillaume, surtout que c’est pour lui que je les ai choisis.

Ma mère de son côté est restée tranquillement à l’appartement, elle a passée le plus clair de son temps sur l’ordinateur à dialoguer avec les hommes du site. D’ailleurs, ça évolue encore plus avec son prétendant numéro 1. Elle pense sûrement lui accorder un rendez-vous bientôt, histoire de voir s’il y a une réelle alchimie entre eux.

Ce dimanche après-midi, je vais me reposer tranquillement dans ma chambre, discutant avec Guillaume par message, tandis que ma mère fait de même sur son ordi. Un après-midi reposant, avant de reprendre une longue semaine de cours…
chapitre 113 image
Au fil du temps qui passe, chacun à sa manière arpente la vie, découvre les différentes facettes, qu’elles soient belles ou sombres. Chaque matin, je me lève, me demandant ce que cette journée me réserve, elle peut nous sembler banale, routinière, et pourtant, aucun jour ne ressemble à l’autre.

Je suis jeune, je n’attends sans doute pas grand-chose de la vie pour le moment, me contentant de bonheur très simple, retrouver mon chéri, rire avec mes amis, et savoir ma mère ainsi que ma famille en bonne santé.

Je ne vise pas la lune, je ne pense pas pouvoir changer le monde, le rendre meilleur, après tout je ne suis que moi. Mais depuis quelques temps, on nous demande de réfléchir à notre avenir, on nous demande ce que l’on voudrait faire plus tard, alors nous avons indiqués nos intentions d’orientations.

Jusqu’ici, je ne m’étais jamais posée ce genre de question, et pourtant elle me l’est posée. Je ne suis pas une ado exceptionnelle, je n’ai pas de rêves pleins les yeux, que je souhaiterais voir s’accomplir. Il n’y a pas si longtemps que ça, j’étais une fille, timide, enfermée dans sa bulle, ayant peur du monde extérieur.

Aujourd’hui, on me demande ce que je voudrais devenir dans ce monde, qui m’effrayait tant il y a peu. Lorsque j’écoute mes camarades en classe, je me dis que je pourrais faire comme eux. Voyager au bout du monde, soigner des gens dans des pays du tiers monde, sauver des vies, devenir astronautes, ou même une star de la musique.

Il y a tant de choses possibles à en croire les rêves des autres, mais bien souvent ces rêves sont pour la plupart anéantis, lors d’un passage chez la conseillère d’orientation, qui vous qualifie selon vos notes.

Du rêve, nous revenons très vite à terre, devant les études à réaliser pour devenir ce que l’on souhaite, ou par les orientations les mieux indiqués par le conseil de classe. C’est ainsi que je commence ma semaine, à me demander de quoi sera fait demain, ce que j’aimerais devenir plus tard.

Je suis assez bonne élève, mes notes parlent pour moi, et d’après le conseil de classe, je peux prétende à tous mes choix indiqués. Mais pourtant, devant ces feuilles, ces choix d’études, de métiers, je me sens perdue, je ne trouve pas de réponses. Je me sens comme larguée dans un monde encore plus vaste qu’avant.

Lorsque je retrouve mes amis et mon chéri au déjeuner, on ne fait que parler de ça. Il y en a pour qui le choix est déjà fait, reproduire le même parcours familiale, ou alors suivre les ambitions parentales. D’autres voudront sans doute s’émanciper, devenir quelqu’un d’opposer à l’image que projette le père ou la mère. Et d’autres voudront devenir quelqu’un de meilleur pour aider leurs familles.

Je ne sais même pas où me placer, je n’ai eu jusque là, l’image de ma mère, ayant un travail, un salaire moyen, des souhaits bien souvent mis de côté pour s’occuper de sa fille. Est-ce que je voudrais devenir comme ma mère plus tard ? Ou alors faire plus d’études pour qu’elle soit fière de moi ?

Je me sens tout simplement écrasée, peut-être que je me mets la pression pour rien, ou justement pas assez. Le soir après les cours, Guillaume me raccompagne, je lui demande alors ce qu’il en est pour lui, s’il a déjà réfléchi à son avenir.

Il me dit vouloir faire un métier lié à l’escalade, peut-être moniteur, ou autres qui seraient en rapport avec cette passion. J’avoue que je l’imagine, et le voit bien en tant que moniteur. Il a su penser à son avenir, en pensant à quelque chose qui le passionne. Mon gros problème c’est que je n’ai rien qui me passionne vraiment.

Il me dit de ne pas me mettre la pression, que je finirais sans doute par trouver ma voie, et qu’il me soutient dans tout mes choix. Il me fait rougir, me fait me sentir bien, surtout après cette journée à me torturer l’esprit.

Nous montons dans l’appartement, puis nous nous installons dans le canapé. Nous continuons de parler de cet avenir incertain, puis je lui demande quel serait son choix de lycée. J’aimerais vraiment que l’on puisse être ensemble, ainsi qu’avec nos amis.

Il le souhaite également, on se met alors à rêver, de projeter des choses ensembles. Nous restons ainsi dans le salon, en s’embrassant par moment jusqu’à ce que ma mère rentre du travail. Elle est toujours contente de nous retrouver, elle aime beaucoup parler avec Guillaume.

Elle nous demande comment s’est passé notre journée, puis nous discutons de ce fameux avenir. Pour Guillaume, sa passion semble déjà tracer son chemin pour plus tard, ma mère l’encourage d’ailleurs à le suivre, si c’est ce qu’il souhaite vraiment. Il n’attend pas spécialement que ses parents soient d’accords avec lui, mais c’est ce qu’il aimerait envisager, pour lui.

Après avoir longuement parler de tout ça, je raccompagne mon chéri en bas, lui souhaitant une bonne soirée, avant de l’embrasser puis le laisser partir. De retour chez moi, ma mère me demande ce qu’il en est pour moi, si j’ai une idée pour mes études.

Je lui explique un peu mes angoisses, n’ayant pas de passions, ayant peur de l’avenir, je ne sais pas du tout vers quelles études me tourner. Je lui montre tous les documents que j’ai eus, puis lui répète tout ce que m’a dit la conseillère.

Je lui dis également que je ne souhaite pas m’éloigner de mes amis, de Guillaume, ou même d’elle. Ma mère me regarde en me souriant, puis elle me calme, me disant que ce que je veux faire plus tard, ne regarde que moi.

Son rôle à elle, est de m’accompagner dans mes choix, me soutenir, il ne faut pas que je pense à mon avenir en fonction d’elle, ou des autres. Tant que je suis bien dans mes choix, c’est ce qui compte selon elle.

Nous discutons longuement de tout cela, durant cette soirée. Elle me fait du bien dans ses paroles, me rassure comme elle a l’habitude de le faire depuis des années. Après dîner, je suis dans ma chambre, à regarder les documents, les études à faire, les métiers d’avenir. Tout cela jusqu’au moment de me coucher.

Ce mardi, me revoilà dans le même contexte, mais il faut dire que lorsqu’un problème se présente à moi, je ne pense plus à autres choses. Toute cette journée, j’ai l’impression d’entendre encore tout le monde parler de ça.

On me dit encore de ne pas me mettre la pression, que j’ai le temps d’y réfléchir, que les dossiers sont à rendre pour fin avril. Ce qui me laisse vraiment du temps, mais je stress tellement. Guillaume tente tant bien que mal de me faire changer les idées. Notre journée finit, nous allons chez moi, mais rien n’y fait.

Nous sommes dans ma chambre à nous embrasser, à moitié nue, mais dans ma tête, encore et toujours ces foutus papiers à remplir. Mon chéri, le comprend très bien, il ne m’en veut pas, au contraire, il me prend dans ses bras, puis nous parlons tous les deux, de comment nous pouvons imaginer l’avenir.

J’ai beaucoup de mal, alors il me dit d’y aller progressivement, d’imaginer les choses par étapes. Tout en regardant le plafond, nous nous projetons sur la période du brevet, ce qui est une réussite totale, puis nos vacances, chacun de notre côté.

Notre rentrée au lycée, je me vois avec mes doutes, mes peurs, mais Guillaume et mes amis sont là. Je nous imagine au bac, le stress des résultats, les sourires, les pleures. Puis la poursuite des études, l’internat, ou alors un appartement, à partager avec Guillaume.

Mais au-delà de ça, je ne vois pas plus, je ne me vois pas encore dans quel branche je vais pouvoir être, ni quel métier me plairait. Mon chéri me dit que c’est tout à fait normal, que beaucoup ne se voient pas encore dans un métier. Le plus important pour le moment, est de choisir sa voie, vers une générale, technologique, ou alors un CAP.

J’avoue que je me mets énormément de pression pour rien, que j’ai le temps d’en discuter avec ma mère, mes amis et mon chéri. Mes notes parlent pour moi, je peux me diriger vers n’importe quelle voie.

Pour le coup, je n’ai pas profité de mon chéri encore une fois, je m’en veux, je me sens nulle. Pour lui ce n’est pas le cas, nous avons passés du temps ensemble, et c’est ce qui compte. Ma mère est arrivée, alors nous allons dans le salon avec elle, jusqu’à ce que Guillaume rentre chez lui.

Je passe une nouvelle soirée avec ma mère, à parler de nos journées, jusqu’à l’heure du dîner. Puis je me mets sur l’ordi, essayant de trouver des réponses à mes questions. Des forums, des articles, et autres, tout y passent.

Mais cela n’a pourtant pas un effet positif, je m’enfonce, ma tête en devient lourde. Ma mère après son film me demande si je souhaite venir avec elle, prendre un bain pour me détendre, car elle, en a bien besoin.

Elle est surprise lorsque je lui dis non, que je vais encore rester un peu sur l’ordi. Elle me dit alors que si je change d’avis, je peux la rejoindre, avant de me laisser seule.

Seulement je crois que j’arrive à saturation, je tourne en rond dans mes recherches, il faut que je me vide un peu la tête. Je me penche en arrière, me disant que je devrais penser à autre chose. Je peux encore rejoindre ma mère, elle vient tout juste de rentrer dans la salle de bain.

Puis je pense à Guillaume, au fait que je n’ai pas pu lui faire plaisir depuis plusieurs jours. D’ailleurs, ça me fait penser comment il était la dernière fois que nous avons fait l’amour. Après plusieurs jours d’abstinence, il était devenu vraiment bestial.

Mais il aimait par-dessus tout, cette position de levrette, qu’il avait vue dans une vidéo. Je me demande pourquoi, cette position la autant excité. Un instant de réflexion, je suis seule dans le salon, alors je peux vite regarder juste pour voir ce qui a pu l’excité comme ça.

Sans plus tarder, je recherche une vidéo, dans laquelle je retrouve beaucoup cette position. Je la lance, accélère au moment qui m’intéresse le plus. Mais rien, il n’y a pas vraiment de quoi être excité, alors j’en lance une autre. J’accélère encore, la levrette se passe normalement, mais rien de plus.

Je dois sûrement passer à côté de quelque chose, ce n’est pas possible, alors j’en lance une autre, puis encore une. Avec toutes ces vidéos, je commence à ressentir une excitation en moi, mais ce n’est pas encore ce que je recherche je pense.

Je tente une dernière, l’acte en lui-même est très excitant, mais je crois qu’il m’a surtout parlé du plaisir de la fille. Je n’ai pas du tomber sur le même type de vidéo, je réfléchie un instant, je me penche en arrière.

Maman : hum hum

Je tourne la tête, surprise d’entendre ma mère, puis je la vois dans le couloir, entièrement nue. Je ne sais pas depuis combien de temps elle est là, mais elle m’observe attentivement, puis elle se dirige vers moi.

Moi : maman ?
Maman : ça fait un moment que je te regarde, tu as lancée pleins de vidéos, mais tu ne t’es pas caressée, ça ne vas pas ?
Moi : euh si, ça va, je voulais me changer les idées et…
Maman : tu es tellement préoccupée que tu n’arrives pas à te faire plaisir ?

Je ne crois pas que ce soit là toute l’explication exacte, ou peut-être que ça l’est, mais que j’en ai pas conscience. Je lui demande d’ailleurs ce qu’elle faisait là, à me regarder, au lieu de prendre son bain. Elle me dit qu’elle y était, elle avait laissé la porte ouverte, pensant que j’allais la rejoindre, et c’est là, qu’elle a entendue les vidéos.

Par curiosité, elle est donc venue voir ce qui pouvait se passer dans le salon. Pour le coup, elle s’inquiète un peu pour moi, puis me dit de venir avec elle prendre un bon bain pour me détendre.

Cette fois-ci, je ne dis pas non, je suis fatiguée, je n’ai plus la tête à réfléchir, alors je me laisse tout simplement guider. L’eau étant devenue tiède, elle la renouvelle, pour profiter d’un bain bien chaud. Très vite nue, je m’installe dans la baignoire avec ma mère, elle me dit de venir tout contre elle, pour qu’elle puisse me frotter avec l’éponge. Je ferme les yeux, profitant de cet instant pour évacuer toutes mes pensées.

Dans la salle de bain, nous ne parlons pas, elle me frotte avec cette éponge. En passant par mes bras, ma nuque, ma poitrine. Je respire lentement, puis elle vient à me demander si je me sens mieux. Les yeux fermés, je lui réponds que oui, plongée dans un semi sommeil.

Elle dépose un baisé dans mon cou, j’arrive enfin à faire le vide un peu dans ma tête, à me laisser aller, puis elle continue de me frotter sans dire un mot de plus. Elle passe maintenant son éponge sur mon ventre, mes cuisses, tout en déposant son autre main sur ma poitrine. Puis lentement elle glisse l’éponge vers l’intérieur, jusqu’à ce qu’elle soit en contact avec mon intimité.

Mes yeux sont clos, la caresse est douce, il fait chaud, puis je sursaute, je m’éveil brusquement me demandant ce qui ce passe. Ma mère me demande ce qu’il y a, mais honnêtement, je ne sais pas quoi lui répondre.

Je me demande si j’étais déjà dans un rêve, ou alors, était-elle vraiment en train de me caresser ?

Elle me voit un peu perdue, elle me dit alors que j’ai vraiment l’air fatiguée, que je devrais aller me coucher. Elle est sage, ainsi que ses paroles, j’ai sûrement du rêver alors.

Nous sortons toutes les deux du bain, je me sèche, la tête endormie, puis j’enfile une petite culotte avant de me coucher dans mon lit. Fatiguée, je m’endors très vite, ne pensant plus à rien…
chapitre 114 image
Ce matin au réveil j’ai la tête plus légère, je me suis endormie comme une masse, aucun rêve, rien, à part une bonne nuit de sommeil. Je pense qu’il faut que je passe à autre chose, si je ne veux pas en devenir malade.

J’ai envie de me sentir légère aujourd’hui, de ne penser à rien à part mon chéri. De plus j’ai depuis un moment une petite idée en tête. Je suis allée au centre commercial exprès pour m’acheter une petite robe, pour lui faire plaisir. Elle est rouge, légère, courte, décolleté avec de fines bretelles.

Alors c’est décidé, je me lève, d’humeur plus joyeuse, je prends mon petit déjeuner, toute souriante avec ma mère, puis je file à la salle de bain pour me préparer. J’ai envie de me faire belle aujourd’hui, de me faire coquette, je pique alors un peu de maquillage de ma mère, juste de quoi souligner mes yeux, ainsi que du gloss.

Il est rare que je me maquilles, je l’ai fait principalement lors de nos soirées de Noël ou du nouvel an. Mais cette fois-ci, j’ai envie de plaire encore plus à Guillaume. J’enfile également des jolis sous-vêtements achetés spécialement pour mon chéri aussi.

Il raffole de me voir dans de petites tenues, j’adore son regard lorsqu’il me découvre avec, son désir se lit dans ses yeux. J’enfile ma petite robe, mais un petit problème se présente, mon soutien gorge est beaucoup trop apparent. Je suis déçue, moi qui voulais porter cet ensemble pour mon chéri.

Je demande à ma mère un petit conseil, alors elle me donne ses coques à nénés, comme elle aime les appeler. Des adhésifs avec lien pour un résultat bien plus joli, d’ailleurs, on pourrait croire que je n’en porte pas. Le seul petit hic restant, c’est de devoir mettre des baskets pour rentrer au collège.

Mais bon, le tout n’a pas l’air trop mal, je me regarde une dernière fois dans le miroir puis je file. Je suis pressé d’arriver, pour voir la réaction de mon chéri. Je ne mets jamais ce genre de robe pour aller au collège, seulement pour sortir, ou alors lorsque je suis chez mes grand parents pour les vacances d’été, mais là c’est parce qu’il fait très chaud, et que je suis qu’avec ma famille.

J’arrive près de la grille, j’aperçois déjà au loin mes amis et mon chéri. J’essaie de me faire discrète pour qu’il ne me voie qu’au dernier moment, mais je vois Estelle me sourire, puis elle donne une tape à Guillaume pour qu’il regarde dans ma direction.

L’effet est garantie, son visage se décompose littéralement en me voyant, je suis fière de moi. Il continue de me regarder jusqu’à ce que je vienne l’enlacer, puis l’embrasser. Il n’en croit pas ses yeux, il me dit à quel point il me trouve belle, et heureusement, je me suis habillée ainsi spécialement pour lui après tout.

J’ai le même compliment de la part de mes amis, et Estelle ne peut s’empêcher de pousser un petit cri tout en sautant sur place, puis elle vient m’enlacer. C’est bien la première fois qu’elle me voit venir ainsi au collège, elle me détail à n’en plus finir, et d’autres aussi me regardent.

Elle me dit de ne pas y prêter attention, que je suis très belle, et qu’il est normal que j’attire d’autres regards. Mais je la rassure, je me sens bien, pour la première fois je n’ai pas peur du regard des autres. Cela me rappelle ce moment en vacance, lorsque je suis passée en maillot de bain devant tous ces gens, dont le regard était porté sur ma cousine et moi.

Je retrouve là, un peu cette même sensation, ses yeux qui m’observent de loin, ce petit plaisir qui me gagne, mais le plus important pour moi, c’est le regard que mon chéri porte sur moi. Il m’enlace de nouveau, me dit à l’oreille combien il me trouve belle, qu’il m’aime.

Je profite de ce moment avant que la sonnerie ne retentie, puis nous allons en cours. Dans ma classe j’ai le droit à quelques compliments, ce qui me fait rougir d’ailleurs. Mais j’avoue que j’aime beaucoup, malgré le fait que je ne sache pas vraiment comment me tenir, avec cette robe sur ma chaise.

J’ai peur que l’on puisse apercevoir ma culotte, et difficile de suivre le cours quand certains garçons font les pitres à côté, en me faisant des signes. Je ris en moi-même, la situation est assez plaisante à vrai dire. A la fin du cours, ma prof de math m’interpelle, elle m’a dans sa classe depuis plusieurs années maintenant, et elle a bien remarquée tous mes changements. Elle me dit être contente pour moi, de continuer ainsi.

Cela me fait chaud au cœur de recevoir des compliments, des encouragements. Je me sens bien, le cours passe très vite puis c’est l’heure de la récré où je retrouve mon chéri. Nous sommes avec nos amis, à profiter de ces quelques minutes.
Guillaume : tu es vraiment belle mon cœur

Moi : merci mon amour, c’est spécialement pour toi
Guillaume : j’adore, et vivement cet après-midi, que j’en vois plus
Moi : hihi surtout que j’ai une petite surprise pour toi
Guillaume : oh, c’est quoi ?
Moi : ahaha si je te le dis, ce n’est plus une surprise
Guillaume : ahaha oui, mais je suis obligé d’attendre cet après-midi ?
Moi : euh oui, ça concerne ce que j’ai en dessous
Guillaume : oh je vois, tu as de nouveaux sous-vêtements
Moi : voila tu as ruiné ma surprise
Guillaume : non pas du tout, tu me donnes encore plus envie de les voir
Moi : hihi tu es impatient
Guillaume : c’est vrai, ça fait des jours qu’on a rien fait
Moi : je suis désolée, j’étais tellement dans mes pensées que…
Guillaume : hey, ne t’inquiètes pas, je vais bien, c’est juste que je ne tiens plus là
Moi : ah bon ?

Je regarde Guillaume, nous sommes un peu à l’écart de nos amis, il me parle tout bas, je sens son désir. Il joue avec le bas de ma robe, la soulevant légèrement comme pour avoir un aperçu de ce que je cache en dessous. Il est terrible dans ces moments là, mais c’est ce que j’adore chez lui, et puis, il faut dire aussi que par son petit jeu, il m’excite aussi.

Guillaume : j’ai tellement envie de la voir
Moi : hihi petit coquin, tout le monde me regarde déjà à cause de cette robe, on ne risque pas de passer inaperçu
Guillaume : c’est vrai, ce n’est pas comme l’autre fois où j’ai pu glisser ma main dans ton jean
Moi : hihi petit coquin, arrête, laisse ma robe tranquille, tu sais comment je suis…
Guillaume : prête à tout pour moi ?
Moi : oui mais aussi un peu gêné que tout le monde nous regarde

C’est encore une fois dans ma tête, cette impression que tout le monde nous observe dans nos petits jeux coquins. Mais il n’en est rien, aussi devant le sourire de mon chéri, je ne résiste pas vraiment, je craque, toujours au point d’être prête à tout pour lui faire plaisir.

Il le sait très bien, mais je ne peux pas simplement relever ma robe pour qu’il regarde dessous, pas ici, pas dans cette cour. Je me sens excitée par son désir de me voir, par sa main qui joue avec ma robe. Dans ma tête je cherche comment je peux lui faire plaisir, puis une idée me vient, une folle idée à vrai dire.

Je lui dis de m’attendre ici, je vais de ce pas aux toilettes des filles, elles sont dans le bâtiment. Une fois dedans je me regarde dans le miroir, je suis toute seule, mes pensées deviennent de plus en plus folles, et mon ventre en devient plus chaud.

Je glisse mes mains sous ma robe pour en retirer ma culotte en dentelle, spécialement choisis pour mon chéri. Je me regarde de nouveau dans le miroir, souriante, je me dirige vers la porte. Dans les couloirs, croisant les autres élèves, je me sens totalement nue, et pourtant je ne le suis pas, ou du moins qu’une partie ne l’est.

J’ai dans ma main ce petit bout de tissu, que je sers très fort de peur que quelqu’un ne puisse le voir. J’appréhende aussi ma démarche, un courant d’air ou autre, qui pourrait relever le bas de ma robe, et dévoiler à tous ma nudité.

Mais cette peur, ce transforme en adrénaline, puis en excitation. Je sens à chacun de mes pas, mon intimité devenir humide, tandis que je déambule parmi les autres élèves. J’ai vécu une seule fois ce même scénario, mais j’étais alors en vacance avec Jordan, là c’est tout à fait différent.

Lorsque je rejoins Guillaume, je lui souris, tandis qu’il se demande bien ce que j’ai pu faire. Je suis face à lui, appuyé contre le mur, puis je lui glisse discrètement ma culotte dans la main. Il comprend alors ce que je viens de faire pour lui, il déplie ma culotte, en tentant de la cacher au maximum. Il aime vraiment ce qu’il a dans les mains, mais encore plus, ce que je n’ai plus sur moi.

Il m’embrasse alors, me dit à quel point il m’aime, et qu’il est fou de ce que je viens de faire pour lui. Mais il reste toujours aussi joueur, et à présent, il aimerait voir ma peau nue sous cette robe. Ce petit jeu nous fait rire, nous sommes tous les deux coquins au milieu de tous.

Il relève doucement le côté de ma robe, situé près du mur, tandis que je jette un œil vers la cour, espérant que personnes ne regarde vers nous. Je sens un léger courant d’air passer entre mes cuisses, des frissons me parcourent les jambes et la colonne.

Je me mors les lèvres lorsque ma robe se soulève, puis dévoile à mon chéri, la peau nue de ma cuisse, de ma hanche, ainsi qu’une partie de mon intimité.

Puis la sonnerie retentie une nouvelles fois, nous étions tellement pris d’excitation que nous sommes surpris, puis nous rions tous les deux, de ce petit jeu coquin. Guillaume glisse ma culotte dans son sac, je n’avais pas du tout pensé à ça, je m’imaginais vite repartir aux toilettes pour la remettre.

Mais là non, nous sommes tous en train de rentrer dans le bâtiment pour rejoindre nos salles. Je me sens une nouvelle fois, nue parmi tous, sans la moindre défense, et totalement excitée.

En classe, je ne sais plus comment me positionner, si plus tôt dans la journée, j’avais peur que l’on puisse voir ma culotte, cette fois, ils auraient le droit à une vue direct sur mon intimité. Quelle torture, et quelle excitation en même temps.

Mon entrejambe est totalement mouillé, je sens mon liquide coulé, mon cœur battre fort, et un courant me parcourir la colonne. C’est bizarre, j’en suis presque à avoir un orgasme sur ma chaise, alors que je ne me touche pas.
 
Je tente de respirer comme je peux, priant le ciel que les dernières heures de cours passent au plus vite. C’est ces moments là que je me fais encore plus de films, j’ai l’impression que mon professeur accentue son regard sur moi. Qu’il me parcoure de haut en bas, mais qu’il s’arrête surtout sur le bas.

Je dois me ressaisir, heureusement pour moi, c’est la fin, j’entends la dernière sonnerie de la journée, je prends mes affaires, puis je retrouve Guillaume à la sortie. Je l’embrasse, nos amis s’en donnent à cœur joie pour nous chambrer. Je ne tiens plus alors nous disons au revoir aux autres, puis nous prenons la route.

Marcher sans culottes dans les rues, est une sensation bizarre, je ne saurais la décrire. Sur le chemin nous échangeons des baisers, des rires sur cette situation. Lui aussi n’en peut plus, il s’amuse parfois à passer ses mains sur ma cuisse, pour toucher la douceur de ma peau, et relever par moment cette petite robe.

Nous arrivons enfin devant mon immeuble, nous entrons dans le hall, et tout de suite, Guillaume me plaque contre le mur en venant m’embrasser. Ses mains me caressent, sa bouche continue sa course dans mon cou. Il soulève ma robe, ses doigts viennent jouer avec mon intimité complètement trempé.

Moi : attends d’être là haut
Guillaume : je n’en peux vraiment plus ahaha
Moi : on pourrait nous voir ici hihi
Guillaume : je ne sais pas pourquoi mais je trouve ça excitant
Moi : tu as envie de moi là ?
Guillaume : j’ai envie de te voir nue maintenant

Ses paroles me troublent, mon chéri est timide, mais il est parfois très coquin dans ses désirs. Dans les escaliers le bruit est assourdi, on entend dehors les voitures passer, mais aucune porte claquer, aucun pas descendre vers nous.

Je suis excitée, mon cœur bat très fort, mon corps en tremble un peu. Je l’aime tellement, et je suis toujours prête à tout pour lui, mes pensées se bousculent tandis qu’il me regarde droit dans les yeux…
chapitre 115 image
Mon cœur bat très fort, des frissons me gagne le corps, tandis qu’une chaleur envahie mon bas ventre. Sans dire un mot, mes mains viennent se débarrasser de ma robe dans des gestes lents, doux, ainsi que de mon soutien.

Dans le silence le plus total, me voilà entièrement nue, dans le hall de mon immeuble, tandis que Guillaume me regarde avec attention. Il n’en revient pas encore de ce que je viens de faire, et ce que je suis prête à faire pour lui.

Je suis pourtant timide, j’ai encore peur de beaucoup de choses dans ce monde, mais avec lui, je me sens en sécurité, et capable de tout pour ses yeux. Guillaume ne me lâche pas des yeux, je tourne sur moi-même pour lui montrer mon corps, ma nudité.

Très lentement, je commence à montrer les escaliers, lui faisant signe de me suivre. Il ramasse au sol mes affaires, puis me suis tout en me regardant. Je prends le temps, en faisant des poses, je trouve cela excitant de jouer avec un certain danger. C’est très fort en moi, mon cœur tape, tandis que tout mes sens sont en éveil, comme à l’affut du moindre bruit, du moindre mouvement.
 
A tout moment une porte pourrait s’ouvrir, un voisin pourrait monter ou descendre, et me trouver complètement nue dans les escaliers. Je continue de montrer les marches une par une, tout en regardant Guillaume en arrière qui ne me quitte pas des yeux.

A chaque voiture qui passe, cela raisonne comme un bruit sourd, qui provoque en moi des frissons, un sursaut, qui m’excite de plus en plus. Puis arrivés à ma porte, je glisse la clé à l’intérieur, mais mon désir me pousse à autre chose. J’ai envie de continuer ce jeu, cette expérience nouvelle pour moi, j’ai envie d’être encore plus coquine.

Sans plus attendre, je m’approche de mon chéri, je l’embrasse tendrement avant de lui dire, que nous ne sommes pas à égalité. La porte ouverte, nous balançons nos affaires à l’intérieur de l’appartement, tandis que nous restons sur le palier. Je lui retire son T-shirt, tout en lui couvrant le corps de baisers, tous aussi chaud les uns que les autres.

Puis je glisse lentement vers le bas, me débarrassant de sa ceinture, ouvrant chaque bouton de son jean, pour en libérer son sexe tendu. Il est là, devant moi, ce trésor tant convoité.

Son sexe est tendu, beau, alléchant, je le prends délicatement en main pour appliquer des vas et viens. Tandis que j’embrasse chaque centimètre de sa peau, me rapprochant peu à peu de son trésor. Mes lèvres glissent le long de sa verge, son gland se présente à ma bouche, tandis que je savoure sa forme du bout de ma langue.

Un baiser, deux, puis trois, avant de faire glisser sa queue, centimètre par centimètre à l’intérieur de ma bouche. Je suis totalement nue, sur le palier de ma porte, Guillaume, lui, l’est pratiquement, le jean baissé à ses chevilles.

Mes sens qui au début étaient totalement affolés, là ne me transmette plus rien, je suis coupée du reste du monde, appréciant la queue de mon chéri, à l’intérieur de ma bouche. Je ferme les yeux, écoutant chaque râle de plaisir émit par Guillaume, à chacun de mes vas et viens.

J’accélère légèrement le rythme, arrachant au passage des gémissements plus fort que les précédents. Je lève les yeux vers mon chéri, j’aime voir combien il apprécie ce que je lui fais. Tout en gardant mon regard dans le sien, je continue de le sucer, de le branler, doucement, puis de façon rapide.

Il respire fort, gémissant de manière toute aussi forte, son regard me supplie, me remercie pour ce que je suis en train de lui faire. Puis soudainement le bruit d’une porte, celle du hall qui vient de s’ouvrir puis de se fermer aussitôt.

Pris de panique, nous entrons de suite dans l’appartement, moi toute nue, Guillaume en sautant avec son jean aux chevilles. La porte refermée, nous entendons les pas montrer, puis la personne rentrer chez elle.

J’ai le cœur qui bat terriblement fort, je suis même essoufflée, sans avoir fait plus d’effort que ça. On se regarde avec mon chéri, puis nous rions de nos bêtises, c’est sûrement cette adrénaline qui se libère, qui nous cause ce fou rire, des rires de soulagements.

Guillaume me regarde, ses yeux deviennent malicieux, son sourire coquin, puis il se précipite sur moi, m’attrape me soulève pour venir me poser sur l’ilot de la cuisine. Sans plus attendre, il plonge sa tête entre mes jambes, sa bouche épouse directement la forme de mon intimité.

Il se met alors à me lécher, me sucer le clito, m’arrachant au passage des gémissements puissants. Je suis surprise, par ses gestes, par sa folie, par son désir. Ma respiration s’accentue, elle devient profonde, tandis que mon chéri continu.

Je sens sa langue passer entre mes lèvres, venir jouer avec mon clito, tourner autour, passer dessus, puis revenir à l’entrée de mon vagin. Je suis complètement allongée sur l’ilot, les jambes ouvertes, recevant un cunni parfait de mon chéri.

Je me caresse les seins, mon ventre en devient chaud, une tension s’accumule vers mon intimité, puis c’est l’explosion, l’extase, la jouissance qui se libère dans tout mon corps, laissant échapper un cri fort et long.

Je n’en peux plus, mon corps se laisse tomber, ma respiration est saccadé, tandis que mes cuisses en tremble. Je ressens Guillaume poser ses lèvres sur mes entre cuisses, il dépose des baisers, remplis d’amour, de douceur, pendant que je reprends mes esprits.

Tout doucement Guillaume me redresse afin de venir m’embrasser, cela fait un moment que je n’avais pas eu le goût de mon intimité à ma bouche. Je savoure ses lèvres, ainsi que mon goût, je recueille chacune des saveurs présentes.

Puis il me soulève à nouveau, pour m’emmener directement dans ma chambre. Arrivés dans mon lit, nous nous embrassons à nouveau, nos caresses partent à la conquête de nos corps. Je sens le sexe tendu de mon chéri se diriger vers mon vagin, il tente de rentrer doucement mais je le stop.

Guillaume : ça ne va pas ?
Moi : non c’est juste qu’il ne faut pas oublier la capote
Guillaume : on ne peut pas le faire un peu sans ?
Moi : désolée mon chéri, j’ai oublié de t’en parler, mais la dernière fois qu’on l’a fait sans, j’ai du prendre la pilule du lendemain, et c’est franchement pas agréable
Guillaume : oh…

Je lui explique alors un peu ce qui m’est arrivé, les effets secondaires que j’ai pu ressentir. Il en était sincèrement désolé, mais c’était entièrement ma faute, c’est moi qui lui ai demandé de faire sans. Il me sourit, il me comprend tout à fait, et ne tient pas à me faire vivre une nouvelle fois cette mauvaise expérience.

Il se penche pour prendre la capote, l’ouvre, l’enfile sur son sexe tendu, puis se présente à mon vagin. Nos lèvres se mêlent à nouveau, pendant que je ressens le sexe de mon chéri, venir me pénétrer tout en douceur.

Je connais déjà cette sensation, mais à chaque fois, elle me semble nouvelle. Je redécouvre ce plaisir, son sexe s’introduire en moi, frotter doucement mes parois vaginale. J’adore ce moment, où, je me sens remplie par son membre, où à chaque vas et viens, il me comble au plus profond.

Je suis allongée sur le dos, Guillaume entre mes jambes, étendu de tout son long pendant que ses lèvres se déposent dans mon cou. J’adore ça, mais je suis aussi chatouilleuse, cela me provoque des frissons, puis des rires.

Je me laisse gagner petit à petit par un plaisir grandissant, il vient envahir mon bas ventre, mes cuisses. Il accélère petit à petit sa cadence, accélérant de même mes gémissements.

Guillaume : je t’aime
Moi : je t’aime aussi mon cœur
Guillaume : tu me sens bien ?
Moi : oh oui, c’est parfait, continue
Guillaume : je crois que je ne… vais pas tenir, longtemps
Moi : continue mon chéri, continue plus fort si tu veux
Guillaume : si je vais plus vite, je vais jouir
Moi : alors joui mon cœur, joui pour moi, fais toi plaisir

Sans plus attendre, Guillaume plonge sa tête dans mon cou, accélérant aussi son rythme. Son sexe va de plus en plus vite, les claquements ce font entendre, ainsi que nos gémissements. Au creux de mon oreille, les râles de Guillaume ce font de plus en plus fort, je pose mes mains sur ses fesses, pour accompagner son mouvement, je les caresses, les pétris.

Puis dans un dernier mouvement, rapide et sec, Guillaume se raidit, en gémissant longuement. Je ressens à l’intérieur de mon vagin, son sexe palpiter, se vider de sa substance. Nos cœurs battent pratiquement à l’unisson, nos respirations sont courtes.

J’enlace tendrement mon chéri, posant ma main dans ses cheveux, les caressants, tout en le couvrant de baisers. C’était tellement bon, que je ne veux plus me séparer de lui, je veux qu’il reste en moi pour toujours, ne faire qu’un avec lui.

Moi : c’était bon ?
Guillaume : comme toujours mon cœur, je t’aime
Moi : hihi je t’aime aussi
Guillaume : tu as jouie ?
Moi : j’ai beaucoup aimé, j’adore faire l’amour avec toi
Guillaume : mais je ne t’ai pas entendu jouir
Moi : je n’ai pas jouie, mais c’était très bon mon cœur
Guillaume : je suis désolé, je suis venu trop vite, tu m’as tellement bien sucé aussi tout à l’heure
Moi : ahaha c’est vrai ? Merci

Nous sommes restés ainsi, à se parler de longues minutes, pendant que son sexe se ramollie, jusqu'à en sortir seul. Nous reparlons de ce petit jeu dans les escaliers, Guillaume n’en revient toujours pas que j’ai pu oser me mettre nue comme ça, depuis le hall jusqu’à l’appartement.

Je lui dis, que je me sens en sécurité avec lui, et prête à tout. Il retire la capote de son sexe, puis tout en nous parlant, nous nous endormons petit à petit, l’un contre l’autre…
chapitre 116 image
A mon réveil, ma tête est encore un peu endormie, j’ouvre les yeux, je suis nue, allongée aux côtés de mon chéri, également dans la même tenue. Je souris alors tendrement en le voyant, et qu’est-ce j’aime le regarder ainsi.

Je ne bouge pas, je ne voudrais pas le réveiller, je veux juste être là, à le regarder. Je ne me suis jamais vraiment projetée dans l’avenir, la seule fois que je l’ai fait, c’est quand Guillaume m’a demandée de le faire. Je n’ai pas envie de repenser à mes études, et autres choix, je m’imagine seulement avec mon chéri, je me projette dans plusieurs choses que j’aimerais vivre avec lui.

Nous faire des sorties, partir en vacances ensemble, pourquoi pas aussi voyager. Toutes mes pensées se font sur plusieurs années, des moments de rires, de joies, aussi peut-être des disputes que je ne souhaite vraiment pas.

Je suis rêveuse de tous ces moments que j’aimerais vivre avec lui, que j’aimerais raconter à ma mère, à mes amis. Je reste un long moment ainsi, à rêver de ce que l’avenir peut nous réserver. Guillaume finit par se réveiller, lorsqu’il ouvre ses yeux, il me sourit, heureux de me voir.

Guillaume : tu es réveillée depuis longtemps ?
Moi : un petit moment oui
Guillaume : et tu me regardes ?
Moi : oui tu es trop beau
Guillaume : ahaha merci mon cœur
Moi : tu as fais de beaux rêves ?
Guillaume : humm oui je crois, je ne m’en rappel plus, et toi ?
Moi : j’ai rêvé que j’étais chez ma grand-mère en vacance
Guillaume : ah, et tu prenais une douche avec ta cousine ?
Moi : ahaha

Je n’en reviens pas qu’il pense à ça directement, je lui dis que non en venant le chatouiller, que c’est sûrement son fantasme. Nous jouons un petit moment, puis en me mettant sur lui, je viens l’enlacer, lui demandant s’il aimerait ça ? Que je prenne une douche avec ma cousine ?

Il me dit que cette idée ne l’avait jamais quitté, depuis que je l’ai fait pour lui, pendant les dernières vacances. Qu’il aurait voulu être une petite souris, pour nous regarder, nous laver l’une l’autre. Sous ses airs timides, mon chéri est un véritable petit coquin. Je lui demande alors de me détailler ce qu’il peut bien imaginer d’autres, tout en commençant à le caresser.

Seulement il n’a pas plus d’idées que ça, peut-être que c’est vrai, ou alors il a peur de m’en parler, de me blesser. Je ne l’embête pas plus avec ça alors, par contre une question me vient. J’aimerais beaucoup savoir ce qui a pu lui plaire dans les vidéos qu’il a pu voir, concernant la levrette.

Il est un peu gêné, mais il me répond tout de même, me disant que c’est surtout le fait d’entendre la fille gémir, dire des choses. C’est ça qu’il l’avait beaucoup excité, donc c’est ça qu’il recherche sûrement.

Tout en discutant, je n’ai pas arrêtée de le toucher, le masturber, alors bien évidement, son sexe n’a pas tardé à se mettre au garde à vous. Je lui dis alors de me donner plus de détails, sur ce qu’il aime quand il regarde ces vidéos, sur ce qu’il aimerait que je fasse aussi.

Il commence alors à me parler, timidement il me décrit ce qu’il aime voir dans ces vidéos, et pendant ce temps je descends doucement pour venir le sucer. Introduire son sexe dans ma bouche pendant qu’il me parle de ce qu’il aime, je trouve ça excitant, et un peu déstabilisant aussi. C’est la première fois que nous faisons cela, pour Guillaume ce n’est pas facile non plus, se livrer ainsi pendant que sa copine lui taille une pipe.

Guillaume : tu, tu veux que je continue de parler ?
Moi : humm, oui, continue, c’est bizarre mais ça m’excite
Guillaume : ok

Je reprends de plus belle, faisant glisser sa queue au plus profond dans ma bouche, tout en l’écoutant me dire…

Guillaume : j’adore, voir la fille, se cambrer, humm
Moi : humm, humm
Guillaume : j’aime aussi, l’entendre gémir, pendant que le mec… la prend fort
Moi : humm
Guillaume : ce que j’aime surtout, c’est entendre, la fille hum, dire qu’elle aime ça
Moi : humm, humm, humm
Guillaume : qu’elle dise d’y aller, plus fort, oh, de l’entendre parler
Moi : humm, et qu’est-ce qu’elle dit d’autres ?
Guillaume : des choses comme, oh, prends moi, humm, ou alors ba…
Moi : humm, ça va mon chéri, j’ai compris, laisse moi faire

Je remonte vers Guillaume pour l’embrasser goulument, avant de me pencher, pour prendre une autre capote, la dernière d’ailleurs. Je l’ouvre, puis l’applique sur le sexe de mon homme, avant de me placer au dessus, pour la faire rentrer en douceur.

Quel plaisir je ressens là, avoir le contrôle de la pénétration, du rythme, de tout en fait. Je suis la maîtresse de ce moment, c’est moi qui dirige. Guillaume place ses mains sur mes hanches, pour m’accompagner dans ce rodéo.

Il vient également me caresser les seins, le cou, le ventre, tandis que j’accélère peu à peu le rythme. Puis mon chéri se redresse, vient plaquer son visage contre ma poitrine, qu’il embrasse, lèche mes tétons, les aspires.

Sa position change complètement l’angle de pénétration, je la sens très bien venir au fond de moi, mais également son bas ventre venir s’appuyer contre mon clitoris. J’enlace alors Guillaume, pour ne plus qu’il bouge, pendant que je continue mes vas et viens le long de sa queue.

Pendant ce temps, il continu de s’occuper de mes seins, de mon cou avec sa bouche, puis de ses mains, il s’occupe de me caresser le dos, la nuque, les fesses. J’adore ça, cette sensation de totalement maîtriser mon plaisir, mais aussi de me laisser faire par ses caresses, ses baisers, sa bouche.

Je ne lâche rien, je continue de monter, de descendre sur sa magnifique queue. Je ressens également mon petit bouton, venir se frotter contre son corps, je commence à gémir de plus en plus. Ressentir cette pénétration, ainsi que du plaisir sur mon clito, cela provoque en moi une tension encore jamais ressentie. C’est comme si que tout mon intimité était pris d’assaut, de l’intérieur comme de l’extérieur. Je suis prise par un étau de plaisir, qui ne cesse de se resserrer sur moi, m’emprisonnant, créant encore plus de tensions.

Jusqu’à qu’enfin, mon cri raisonne dans tout l’appartement, libérant ainsi mon orgasme, un des plus forts, des plus violents jamais ressentie. Je m’effondre complètement, venant m’appuyer contre Guillaume, qui heureusement me soutient parfaitement.

Ma tête contre son épaule, je reprends mon souffle, je retrouve mes esprits, pendant que mon chéri m’embrasse tendrement dans le cou. Je n’ai plus la force de bouger, plus la force de tenir, alors je lui demande de changer de position.

Je me retire doucement, non pas sans difficultés, tellement mes jambes en tremblent encore. Puis je me positionne en levrette, ma tête appuyée contre mon oreiller, les fesses bien relevées. Je n’ai pas encore totalement retrouvée mes esprits, que je sens sa queue me pénétrer de nouveau.

Quel plaisir, quel supplice de sentir son sexe s’enfoncer peu à peu, plus au fond, jusqu’à venir buter. Je ne peux m’empêcher de gémir, de surprise, de plaisir, ainsi que de désir d’en recevoir plus. Guillaume entame alors des vas et viens doux, tout en m’attrapant par les hanches, puis il accélère légèrement le rythme.

De mon côté, mes mains agrippent mes draps, tandis que je penche ma tête, fermant les yeux. Chaque coup que je ressens vient taper un peu plus au fond, son sexe courbé frotte parfaitement sur toute ma paroi vaginale.

Encore une fois le rythme s’intensifie, me faisant gémir de plus en plus vite, et plus forts. Son bassin commence à claquer contre mes fesses, dans ma chambre, on entend plus que ça, mêlé à des gémissements de plaisir, de petite douleur que j’aime ressentir.

Je me rappelle alors ce qu’il m’a dit plus tôt, les détails qu’il m’a donné, concernant ce qu’il aime voir, ou entendre, lors de cette position.

Moi : humm oui, humm oui, continu
Guillaume : oh, oh, oh
Moi : humm, prends-moi plus forts mon cœur
Guillaume : oh, comme ça ?
Moi : oui, comme ça, continu, humm, j’adore ça

A partir de là, mon chéri commence à changer, à y aller plus fort, plus loin, à devenir plus bestial. J’adore le voir comme ça, ressentir ce côté animal de mon chéri, qui est si timide en temps normal. Dans ma chambre, les claquements de nos corps se font entendre, ainsi que mes gémissements, les râles de Guillaume. Tout ce mélange, le tout crée un son harmonieux lié au plaisir partagé.

Je sens que mon chéri arrive au bout, je sens le plaisir me gagner une nouvelle fois, je sens que je vais également exploser dans une nouvelle jouissance. C’est vrai que c’est excitant de lui parler, de l’encourager pendant cette position. Mon plaisir entraîne mon désir, le désir d’en avoir plus, le désir de devenir encore plus coquine, et c’est sûrement ce que Guillaume veut aussi.

Alors je sonde rapidement dans mes souvenirs, dans des vidéos vus, ou alors ce que j’ai pu entendre de ma mère lorsqu’elle faisait l’amour. Je me laisse donc aller à mon plaisir, et à celui de mon chéri.

Moi : humm, vas y plus fort
Guillaume : OOhh ohh
Moi : prends moi, humm, prends moi, humm, Oui
Guillaume : tu aimes ça ? Quand je te prends comme ça ?
Moi : OUI, oui, continu, j’aime ça
Guillaume : je vais te faire crier
Moi : Oui, OUI, baise moi, BAIse moi BIEN fort

Ce fut à ce moment là, les mots déclencheurs, mon chéri avait laissé sa place à une bête encore plus sauvage. Ces râles, étaient devenus des cris rock, et puissants. De sa main, il est venu me saisir par les cheveux, me tirant la tête en arrière, tandis que sa queue elle, semblait avoir doublé la cadence.

Venant taper en moi, de façon forte, rapide, sec. Il n’y a plus de retenue, je la sens venir au fond, c’est douloureux, mais tellement bon à ce moment là, que je n’arrête plus de lui dire, de me baiser.

Guillaume : AAAhhh Je vi…Viennnss
Moi : OOOh OUII BAIse MOIiii…

Dans un dernier élan, Guillaume me soulève complètement le bassin, sa queue s’enfonçant au plus profond de mon être, tandis qu’une explosion de plaisir me parcoure le corps tout entier. Sa main continue de tirer sur ma chevelure, tandis que mes fesses cambrés à leur maximum, suspendus au bout de cette queue commencent à trembler.

Mon bassin frissonne, tremble complètement pendant que je continue de crier mon plaisir, qui résonne dans tout l’appartement. Puis sans prévenir, n’ayant plus de forces, nous nous écroulons l’un sur l’autre.

Le souffle coupé, le cœur affolé, le corps frissonnant, nous nous regardons, avec beaucoup de surprise, mais aussi beaucoup de plaisir, se remerciant l’un et l’autre d’un regard, pour tout ce que nous venons de vivre là.
chapitre 117 image
Après avoir retrouvé nos esprits, nous sommes là, tous les deux, nus à se regarder, puis nous rions, heureux de ce que nous venons de partager, mais aussi surpris. Surpris par une telle jouissance, une telle intensité, une telle force dans nos actes, dans nos paroles.

Je ne pensais pas que nous pouvions nous mettre dans de tels états, rien que par nos mots. Nous nous embrassons encore, passionnément, je ressens à travers ses lèvres, un tel amour, c’est incroyable.

Guillaume me dit à qu’il n’en revient pas, de ce que j’ai pu dire, ou faire, que c’était encore mieux que dans les vidéos. Je voulais lui faire plaisir aujourd’hui, je crois que je me suis surpassée. Entre cette petite robe, cette culotte retirée au collège, ma nudité dans les escaliers, et maintenant ça, cette journée restera à jamais dans nos mémoires.

Nous en parlons encore pendant de longues minutes, faisant attention à l’heure, à laquelle ma mère rentre. Guillaume souhaite aller se nettoyer à la douche, mais je n’ai vraiment plus de force. Cet orgasme m’a complètement épuisée, je n’ai plus la force de me lever.

Guillaume : tu veux que je t’aide peut-être ?
Moi : non merci, j’ai besoin de fermer les yeux un instant encore je crois
Guillaume : mais ta mère ne va pas tarder à rentrer
Moi : ce n’est pas un souci
Guillaume : tu ne m’avais pas menti
Moi : à quel sujet ?
Guillaume : que tu es prête à tout pour moi, que tu te mets nue quand je veux
Moi : oh j’ai dis ça ?
Guillaume : oui dans tes messages l’autre soir, quand on parlait de ta nudité devant ta mère
Moi : ah oui, et ça te plaît ?
Guillaume : oh oui que ça me plaît
Moi : je t’aime tellement que je veux toujours te faire plaisir, mais, j’ai peur si un jour tu me demandes quelque chose, et que je ne suis pas capable de le faire
Guillaume : hey, écoute moi, je t’aime aussi, et c’est vrai que tout à l’heure, j’étais tellement excité, que je t’ai demandé des choses, qui me surprennent moi-même, et j’en suis désolé
Moi : non ça va encore, j’étais moi aussi très excitée de le faire, mais j’ai peur de te décevoir

Guillaume m’enlace alors tendrement, pour me réconforter, qu’il ne sera jamais déçu de moi. Pour lui c’est incroyable que je fasse autant de chose, aussi coquine, aussi excitante et risqué. Alors qu’il sait comment je suis timide, et comment je peux me bloquer.

Il est vrai que je me surpasse complètement, me laissant guider par mes désirs, mon excitation et mon amour pour lui. J’affronte mes peurs, mes démons, en brisant mes chaînes et en repoussant mes limites. Lorsque je suis avec lui, je ne suis plus cette fille apeurée, qui se recroqueville à la moindre peur.

Je suis plus rassurée, je ne voudrais pas qu’un jour, je lui dise non, et qu’il se fâche contre moi. Maintenant je sais que ce ne sera jamais le cas, et qu’il m’aimera toujours quoi que je fasse. Je le laisse aller à la douche avant que ma mère n’arrive, moi je n’ai plus la force de tenir, alors je ferme les yeux quelques minutes.

A vrai dire, j’ai fermée les yeux pendant près d’une heure, à mon réveil, ma porte s’ouvre, et ma mère vient s’assoir à côté de moi. Guillaume vient tout juste de partir, il pensait que je me réveillerais avant, mais non. Ma mère me demande alors si je souhaite prendre mon bain avec elle, histoire de se raconter un peu nos journées.

Il faut dire qu’il y a beaucoup de choses à dire oui, d’ailleurs à voir son visage, elle est complètement surprise par tout ce que je lui raconte. Elle me dit en souriant que je me suis vraiment lâchée aujourd’hui, ainsi que Guillaume. Elle me dit aussi pour rire, qu’elle aurait voulu nous surprendre comme la dernière fois, mais j’ai un doute sur le fait que ce soit « pour rire », comme elle le dit.

En tout cas, nous rions toute les deux de tout ça, bien sûr elle me dit de faire très attention. Elle ne voudrait pas recevoir un appel, ou un courrier du collège pour un comportement déplacé de ma part. Je lui promets de tout faire pour ne pas en arriver là.

Le reste de la soirée se passe normalement, dîner, film, dodo. Ce Jeudi, lorsque je retrouve tout le monde, Estelle me taquine un peu en me parlant de ma tenue d’hier. Elle souhaiterait me voir dans ce style là plus souvent, plutôt que de venir habillée tel un vampire. Pas que je m’habille qu’en noir, mais que je ne laisse pas souvent paraître un bout de peau.

Il n’y a que lorsque je suis chez moi, avec mes amis en soirée, ou alors avec ma famille en vacance que je change un peu de style vestimentaire. Alors je lui promets de faire des efforts, mais il faut tout de même noter que j’ai pas mal changé depuis. J’ai fait pas mal de chemin concernant ma timidité, je me sociabilise plus facilement, j’arrive à affronter le regard des autres. Bon à ce niveau là, il y a encore du travail à faire, mais je progresse.

D’ailleurs en parlant de me sociabiliser, Guillaume m’annonce une nouvelle à laquelle je ne m’y attendais pas du tout.
Il souhaiterait que je vienne chez lui demain soir après les cours, pour que je rencontre de nouveau son père, pour ainsi mieux nous présenter, et faire plus ample connaissance. Je me dis chouette, moi qui suis timide, j’adore les rencontres glaciales.

Mais Guillaume à l’air heureux, car au début, son père s’en fichait royalement. Puis ces derniers jours, il s’est mit à lui poser des questions sur moi, à avoir une conversation presque normale. Je suis aussi surprise, surtout après tout ce que Guillaume a pu me dire sur son père.

Alors pourquoi pas ?

J’avoue tout de même que j’angoisse un peu à l’idée de cette rencontre. Maintenant si je peux mieux faire connaissance avec son père, et en même temps aider à ce que leur relation s’améliore, je me dis que je n’ai rien à perdre.
chapitre 118 image
Toute cette nuit, je ne vais pas mentir, j’ai un peu angoissé. L’idée de revoir Jacques le père de Guillaume me fait limite peur. Il avait l’air si froid la dernière fois que je l’ai vu, bon après il faut dire qu’il ne s’attendait sûrement pas à voir une fille chez lui. De plus que Guillaume ne lui avait jamais parlé de moi, je comprends tout à fait sa surprise.  

C’est aujourd’hui le jour J, toute la journée j’essaie de me répéter un peu pour une bonne présentation. J’en ai touché quelques mots à ma mère vite fait, pour avoir quelques conseils, et avis. Ne connaissant pas du tout Jacques, elle me dit de rester tout simplement naturelle, que le reste suivra. J’ai tellement envie de bien faire que je me mets la pression, mais je le fais aussi et surtout pour Guillaume.

Il est à la fois heureux que son père s’intéresse d’un coup à lui, et à son entourage, mais aussi nerveux. Il en a également parlé à sa mère, qui elle aussi, est assez surprise qu’il s’intéresse à la vie sociale de son fils, il faut le dire.

La dernière sonnerie de la journée annonce la fin des cours, et le début de ce qui me semble être un tourment pour moi. Je rejoins nos amis et mon chéri à la grille, j’ai presque envie d’inventer une fausse excuse pour ne plus aller voir Jacques. Mais je ferais sûrement de la peine à Guillaume, et son père ne me verrait sans doute pas d’un bon œil pour la suite.

Guillaume : tout va bien ? Tu es prête ?
Moi : hum, non, et euh, non
Guillaume : ahaha ne t’inquiète pas mon cœur, tout ira bien, tu verras
Moi : rigole bien ouais, toi aussi tu étais un peu nerveux à l’idée de parler avec ma mère la première fois
Guillaume : c’est vrai, mais aujourd’hui c’est un plaisir
Moi : je ne suis pas sûre que ça se passe aussi bien avec ton père
Guillaume : en tout cas, j’essai de me convaincre que ça va bien se passer
Moi : ah ba tu me rassures encore plus là

Nous rions tous les deux, et ça me fait du bien, vu mon état, puis nous saluons nos amis pour partir. Sur le chemin, Guillaume me dit combien son père lui avait semblé différent ces derniers jours. A lui poser des questions sur ses amis, sur l’école, pour enfin en venir à mon sujet.

Lors de notre première rencontre, Jacques a pu constater que je n’étais pas très à l’aise. Guillaume lui a longuement expliqué alors que je suis timide et peu sociable depuis toute petite. Il ne voulait pas je pense me mettre dans l’embarra, mais c’est ce qui est arrivé, ma timidité et sa personnalité quasi rigide n’ont pas vraiment matché.

C’est pourquoi il voudrait aujourd’hui, selon Guillaume, me revoir à nouveau, pour ainsi mieux nous présenter. Tout cela est bien joli, j’entends bien, mais ce n’est pas pour autant que je suis rassurée. Au contraire, nous approchons de l’appartement, et mon cœur ne fait que raisonner de plus en plus fort dans ma poitrine.

Nous entrons dans le hall, montons les escaliers, où je ralentis considérablement ma vitesse. Je ne lâche plus des yeux cette porte, vers laquelle je me rapproche, tandis que je ressens mes mains devenir moites.

Guillaume ouvre cette immense porte, la lumière présente dans l’appartement m’aveugle pratiquement avant que je ne retrouve la vue, pour voir devant moi, Jacques debout. En le voyant ainsi, je n’ai pas pu changer mon idée déjà toute faite sur lui. De plus en le voyant de nouveau, je remarque certains détails auxquels je n’avais pas fait attention la première fois. Il est plutôt grand, imposant, les épaules larges, et sa posture droite, rigide, comme un militaire. Sur le coup, en le regardant, je suis prise de peur, puis je baisse les yeux, en essayant de lui dire bonjour.

D’un pas en avant, il réduit l’écart qui nous séparés pour se retrouver qu’à quelques centimètres de moi. Là, je crois bien que mon cœur a cessé de battre, je ne sais plus vraiment où me mettre puis une voix grave raisonne dans la pièce.
Cette voix me glace le sang, me foudroie complètement, tellement elle est impressionnante par sa force.

Jacques : Bonjour Julia, entre je t’en prie, allons nous installer dans le salon
Moi : B…bonjour, oui
Jacques : Guillaume, va dans la cuisine, et emmène nous de quoi boire
Guillaume : oui papa

Les yeux baissés, je regarde en coin mon chéri disparaître dans la cuisine avant de sentir une main sur mon épaule. Je n’ose plus bouger, bien qu’il m’ait invité à le suivre dans le salon. Mais au contact de sa main, mon corps ne peut qu’avancer, comme si son geste avait une force inconnue.

Jacques s’installe dans le canapé, désignant d’un geste la place à laquelle il souhaite que je m’assoie. Je prends place donc juste à ses côtés sur le grand canapé, en attendant que Guillaume nous rejoigne, puis il me demande comment s’est passé ma journée.

De si près, sa voix grave me paraît encore plus impressionnante que tout à l’heure. Je tente de me sortir au plus vite de mes pensées, pour ne pas être impolie. Je respire un grand coup avant de lui répondre comme je peux. Je ne sais même pas si mes mots sont sortis dans le bon ordre, si ma phrase voulait dire quelque chose.

Au même moment, Guillaume arrive avec les boissons et les verres sur un plateau. Il me sert un grand verre de jus, tandis que Jacques se lève pour se servir un verre d’alcool présent sur le petit meuble non loin.

Je tente de regarder mon chéri, voir comment il est lui, essayer d’avoir un repaire. C’est peine perdu, lorsque Jacques se rassoit à mes côtés, je n’ai que pour reflexe de boire mon verre en entier, et d’une traite.
Jacques : hey bien, tu avais soif, Guillaume, ressers-la
 
Franchement, je crois que j’aurais mieux fait d’inventer une fausse excuse pour ne pas venir. Je suis encore moins à l’aise que la première fois, et pourtant, je m’y suis préparée à cette rencontre. Je reste assise, les poings fermés sur mes cuisses.

Jacques : alors dis moi Julia, tu as quel âge ?
Moi : euh, j’ai…
Guillaume : hum, elle a quinz...
Jacques : fils, c’est à Julia que je pose la question, elle est assez grande pour me répondre

A ce moment là, je levais les yeux vers Guillaume, le ton de la voix pris par Jacques, avait l’air si autoritaire que je me suis sentie vraiment mal pour mon chéri. Moi qui voulais que cette rencontre lui fasse plaisir, je me rendais compte que c’était loin d’être le cas, et que cela était en partie ma faute.

Je dois arrêter d’avoir peur, j’ai choisi d’être là, alors à moi de répondre…

Moi : j’ai quinze ans et demi Monsieur
Jacques : Oh, tu es encore très jeune, Guillaume en a bientôt seize
Moi : j’en aurais seize au mois de septembre Monsieur
Jacques : d’accord, mais tu peux m’appeler Jacques

A partir de là, je répondais à toutes ses questions, essayant de faire bonne figure. Bien que j’arrive à lui répondre, je ne suis pas pour autant plus à l’aise que ça. De son côté, Guillaume est resté silencieux, assis dans le fauteuil d’en face.

Il m’a posé des questions sur ma famille, ayant eu un père absent de mon enfance, et n’en sachant pas plus, le sujet est très vite venu sur ma mère. Puis nous avons parlés de ma timidité, de ce que j’ai traversé, et comment ma mère m’a aidé, soutenue, durant toutes ces années, à m’élever seule.

Jacques m’a aussi parlé de lui, de ce qu’il aimé dans la vie, ses loisirs, me demandant par la même occasion les miens. Egalement sa rencontre avec son ex femme, la mère de Guillaume, leur histoire, ainsi que la fin.

Nous avons également parlés des choix d’étude, ce qui a été un sujet plutôt houleux, puisque Jacques n’est pas d’accord avec les choix de son fils, concernant l’escalade. Puis en me voyant baisser la tête, il s’est repris, se disant que si c’est que souhaite vraiment son fils, alors il le laisserait faire.

Voilà à peine une heure que nous sommes là à parler, mais le temps me paraît encore plus lent. Heureusement que Jacques écourte cette rencontre, il doit s’en aller pour je ne sais quelle raison. Il m’invite à revenir quand je veux ici, que je suis la bienvenue, à condition que je respecte le fait de ne pas entrer dans son bureau.

Il est selon lui, assez maniaque, et n’aime pas que quelqu’un puisse toucher à ses affaires. Je peux tout à fait comprendre, alors je lui dis qu’il n’y aura pas de soucis de ce côté-là. Avant de nous quitter, il pose sa main sur la mienne, me disant que c’était un plaisir de me revoir, et qu’il espère en avoir de nouveau l’occasion.

J’aimerais lui répondre la même chose, mais mon malaise m’en empêche, je ne peux que lui sourire à ce moment là. Il se lève alors, me souhaite un bon retour chez moi, une bonne soirée, avant de prendre ses clés et de disparaître par la porte.

Dès qu’il est parti, je me suis mise à respirer, souffler, sentir de nouveau mon sang circuler dans mes veines. J’aimerais croire que le problème vient de moi, que ma timidité m’empêche d’être à l’aise avec les gens, mais je ne crois pas que ce soit le cas là.

Même Guillaume n’était pas tranquille durant toute cette rencontre. D’ailleurs en se levant, il est venu m’enlacer, en me disant qu’il était désolé pour tout ça.

Je le rassure tant bien que mal, je voulais aussi avant tout lui faire plaisir, mais il se rend compte que ce n’était pas une si bonne idée que ça. Que même si son père faisait tous les efforts du monde pour changer, ça ne marcherait pas.

Je n’arrive pas à croire que je puisse être aussi soulagé après le départ d’une personne, ça ne m’était jamais arrivé, du moins pas de cette intensité là. Je crois que j’ai besoin de rentrer chez moi, Guillaume le voit très bien, alors sans plus tarder, il me raccompagne en bas.

M’embrasse tendrement, avant de me remercier pour l’effort que j’ai pu faire en venant ici. Puis je suis partie, en repensant à tout ça durant mon trajet. Ce n’est que lorsque j’arrive enfin chez moi que je me sens mieux, mais je me dis que je me sentirais encore plus en sécurité, lorsque ma mère sera rentrer de sa Zumba…
chapitre 119 image
Après cette deuxième rencontre avec Jacques, le père de Guillaume, je me demande s’il n’y a pas un problème avec moi également. Je suis allongée dans mon lit, repensant à tout ce qui vient de se passer, me demandant si je peux arranger cette situation, surtout mon inconfort devant Jacques.

Mais rien ne me vient à l’idée, je tourne en rond, peut être que la solution me viendra plus tard.
Depuis ma chambre, j’entends la porte d’entrée s’ouvrir, c’est ma mère qui vient de rentrer. Je la retrouve dans le salon, toute souriante, après avoir décompressé comme il faut à la Zumba. Elle me demande aussitôt en me voyant comment s’est passé ma journée, ainsi que cette nouvelle rencontre.

Tout en lui parlant, en lui détaillant mon ressentis, je la suis dans la chambre pour déposer ses affaires, puis allons dans la douche pour partager un bon bain. Elle est restée silencieuse, attentive jusqu’à ce que je finisse. Elle-même s’est sentie mal à l’aise, après ce que je lui ai raconté, alors qu’elle n’y était pas.

J’ai au moins fait l’effort de venir le voir comme dit ma mère, mais de là à renouveler l’expérience, je ne crois pas que j’en serais capable. Rien que d’y repenser, j’en ai encore des frissons, ainsi qu’un goût amer.

Pour passer à autre chose, ma mère me parle de ce weekend, que Christine avait bien envie de faire une randonnée avec Nora, et que nous serions les bienvenues. Pourquoi pas ? Après tout, je n’ai rien de prévu, et cela me permettra de me changer les idées.

Alors c’est tout décidé, à la sortie du bain, ma mère contacte Christine pour lui dire que nous sommes partantes pour passer la journée avec elles.

Je passe le reste de la soirée sur mon téléphone à parler avec mon chéri, il s’excuse encore pour ce désastre qu’a été cette nouvelle rencontre. Mais il n’y est pour rien, ça ne passe pas du tout avec son père, c’est comme ça. Ou peut-être que les choses s’arrangeront avec le temps, je ne sais pas, mais je suis surtout triste aussi pour lui, vu la réaction de son père quant aux études qu’il souhaite faire.

Il ne s’attendait pas non plus à un grand soutien, mais de là a avoir une telle réaction, même Guillaume n’en revient pas. C’est sûrement ma présence qui a forcé son père à se reprendre et à changer de ton d’ailleurs.

Mais bon, je souhaite oublier tout cela, et penser à autre chose, c’est pour ça que cette proposition de randonnée tombe à pique. Après une bonne nuit de repos, et un bon petit déjeuner, nous montons dans la voiture de Christine pour nous diriger vers le point de départ.

Il nous faut à peine six à sept minutes de route pour arriver au parking du Zénith. Je ne comprends pas trop, je pensais que nous allions faire une randonnée très loin, mais non, nous sommes déjà arrivées.

Je n’ai pas le temps de demander où nous sommes, que Christine nous renseigne sur les lieux. Nous sommes aux bois de la bastide, il existe un circuit tout tracé, que tout le monde empreinte la plupart du temps, mais aujourd’hui nous n’allons pas le faire. Elle souhaite surtout passer du temps avec nous, nous promener dans cette forêt.

C’est sympa, je me dis qu’au moins, cette fois-ci, je ne vais pas souffrir comme la dernière fois. Quoi qu’un massage de ma mère ne m’aurait pas déplu.

Nous prenons quelques affaires, avant de commencer une marche plutôt tranquille. En effet, le but aujourd’hui est de passer du temps ensemble, tout en profitant du plein air. Et je dois dire que je suis agréablement surprise. Cette forêt est très claire, et on peut y trouver de drôles de sculptures, pour la plupart, des animaux.

Il y a également pas mal de monde, certains font la même chose que nous, d’autres empreintes vraiment le parcours de randonnée, et d’autres encore viennent même pour courir. Nous profitons pleinement du moment, prenons des photos, de nous toutes, seule en selfie, ou encore avec Nora.

Petit à petit nous nous séparons en deux groupes, les mères d’un côté, les filles de l’autre. Ce qui nous laisse l’occasion d’aborder d’autres sujets, plus intimes de chaque côté je pense. Nous commençons à parler de nos mères, de leurs rencontres du moment, enfin surtout pour Christine, car la mienne n’en a pas eu depuis un temps.

Christine enchaîne les rencontres, sans pour autant aller jusqu’à coucher avec. Elle cherche selon elle, un homme avec qui elle se sent bien avant tout, et avec qui elle partage beaucoup de choses.

Nora de son côté est ravi pour sa mère, qu’elle plaise autant aux hommes pour avoir tant de rendez-vous que ça. Il y en a malheureusement qui ne sont là que pour une histoire d’un soir, soit en couple, soit pour se faire plaisir comme ils disent.

Triste réalité des sites de rencontre, ou l’on vous promet de trouver l’amour avec un grand « A », pour au final, finir la soirée avec une personne, que l’on ne connaîtra pas plus loin que cette nuit.

Après on ne peut pas vraiment juger, certains y trouvent leurs comptes, comme ma mère une fois, voir deux. Mais je pense surtout qu’elle, comme Christine, ne veulent pas tomber sur un menteur, manipulateur ou autres encore.

Et Nora espère également que sa mère ne trouvera pas un homme lourd, qui sera presque comme sa belle mère. Pour ma part, je fais confiance à ma mère, je pense qu’elle saura s’il lui convient parfaitement à elle, ainsi qu’à moi.

Après nous être balader, avoir pique niquer, nous sommes rentrées chacun chez soit vers 16H. Ce fut une très belle journée entre fille à nous parler, à décompresser. Et franchement sortir prendre l’air m’a fait le plus grand bien.

Pour le reste de la journée, ainsi que du week-end, les choses ce sont passées de façon on ne peut plus normal. De mon côté quelques devoir, pour ma mère quelques rangement ainsi que des messages sur le site.

Mais pour le reste, nous nous sommes bien reposées, prête pour cette nouvelle semaine.
chapitre 120 image
C’est une nouvelle semaine qui commence, tout se passe comme d’habitude de mon côté, il y a des cours chiants, d’autres moins, enfin tout cela dépend de l’humeur du prof. Mais je dois dire aussi que certaines élèves de ma classe sont des éléments perturbateurs.

Ils sont tout le temps en train de faire du bruit, de dire des blagues idiotes, et certains professeurs ont vraiment du mal à les gérer, amenant le cours à devenir pénible par moment, pour ne pas dire tout le temps. Ils aiment aussi embêter certaines filles de la classe, qu’ils qualifient de bonnes ou utilisant alors d’autres mots encore plus dégradants.

J’y ai eu le droit à un moment, à des moqueries concernant ma timidité, ce qui ma valu quelques surnoms, mais avec le temps, et surtout le manque de réponses de ma part, ils ont finit par me laisser tranquille.

A part que depuis quelques jours, ils me regardent bizarrement. Je peux entendre parfois des chuchotements lorsque je passe près d’eux, et il me semble que j’ai le droit à leur attention depuis ce jour où j’ai mis cette robe pour Guillaume.

Il est vrai que je ne suis pas passée inaperçue dans tout le collège, je croise également certains regards dans la cours, dans les couloirs, autant des filles que des mecs. En temps normal, durant toute l’année, personne ne me remarque, je viens une seule fois avec une robe, tout change.

Mais bon, j’espère sincèrement que les garçons de ma classe ne seront pas aussi lourd avec moi qu’ils ne le sont avec les autres filles. Il suffit simplement de rester moi-même, calme, et ne rien faire si l’un d’eux vient à me dire quelque chose.

En parlant de tout cela avec Estelle, elle me rassure, me disant que ce jour là, j’étais magnifique. Et que s’il y a des chuchotements, ou des bruits de couloirs, c’est qu’ils sont tout simplement envieux, voir même jaloux. Je ne pensais pas du tout à tout ça, ni a pouvoir susciter de l’intérêt, mais maintenant, je sais que je ne suis plus si invisible que cela.

Si j’ai pu remarquer ces changements en ce début de semaine, je peux dire qu’il y a également eu du nouveau du côté de ma mère. Depuis quelques temps maintenant elle dialogue sur le site avec quelques hommes, mais surtout un en particulier. J’ai eu le droit de regarder son profil, des photos de lui, en soirée et autres, et il est vraiment pas mal.

Elle me dit qu’il s’appel Marco, et qu’il est très gentil par messages, que les discussions avec lui sont toujours un vrai régal. Alors oui, elle a finit par accepter un rendez-vous avec lui, ou plutôt un dîner ce vendredi soir.

A cette annonce, nous sommes toutes les deux excitées, à sautiller dans l’appartement en ce tenant les mains comme deux folles. Cela fait depuis un petit moment maintenant que ma mère n’a pas eu de rendez-vous. Et la voir toute souriante, excitée ainsi me rend heureuse pour elle.

Pour le coup chaque soir de la semaine, nous en parlons, elle me donne un peu plus de détails sur lui à chaque discussion, au moins ce qu’elle sait déjà. Mais j’en apprendrais sûrement plus encore après ce fameux dîner.
Je crois pour le coup, que je suis toute aussi impatiente qu’elle a ce sujet.

Mais le temps défile à son rythme, et rien ne peut le perturber. Aussi ce mercredi, nous avons passés Guillaume et moi du temps avec nos amis, nous sommes tous allés faire de l’escalade, et mon dieu ce que ça fait du bien. Nous avons passés un après-midi à rire, à monter, à chuter mais toujours dans la joie et la bonne humeur.

Kévin lui a eu beaucoup de mal pour grimper ne serait ce que la moitié du mur, mais il a au moins essayé. Le reste du temps, il nous a tenu compagnie, nous a assuré lorsque nous grimpions. Estelle, elle, se débrouille vraiment très bien, même mieux que moi au tout début.

Plus je m’essaye a cette discipline, plus je prends de l’assurance, plus je fais confiance aux autres, et je me lâche complètement. Je crois que c’est la discipline parfaite pour quelqu’un dans mon genre, qui à besoin de se lancer vers l’inconnue, de s’ouvrir aux autres, et de leurs accorder toute confiance.

Je n’ai pas eu l’occasion alors de passer des moments intimes avec mon chéri, pas même le soir après les cours. Pourtant ce n’est pas l’envie qui me manquait, ni pour lui, mais profiter de nos amis nous fait aussi du bien.
 
Nous avons malgré tout pu nous parler en privé, s’échanger nos ressentis quant à nos dernières étreintes amoureuses. Ce qui ne fait qu’attiser encore plus notre désir l’un pour l’autre. Guillaume à également remis le sujet de son père sur le tapis, je craignais qu’il veuille me revoir une nouvelle fois, mais heureusement pour moi ce n’était pas le sujet.

Jacques de son côté, a beaucoup aimé me revoir, discuter avec moi, même si notre rencontre fût courte. Il aimerait bien sûr en apprendre plus sur moi, et il a bien fait comprendre à Guillaume de nouveau, que je suis la bienvenue chez eux, si je le souhaite.

C’est sans doute très aimable de sa part, mais pour le moment, je pense avoir besoin de digérer cette rencontre encore. Car me rendre chez mon chéri, c’est pour moi le risque de croiser son père, chose dont je n’ai nullement envie pour le moment. Mais je dois aussi faire des efforts, me montrer plus sociable, alors un jour j’y retournerai oui.

Il me faudra à coup sûr un certains temps, avant de songer à me rendre chez eux. En même temps je me sens bien plus à l’aise chez moi, de plus que ma mère est totalement au courant, et d’accord sur ce qui s’y passe en son absence.

Et en parlant d’absence, nous arrivons enfin à ce fameux jour, ce vendredi, ce dîner tant attendu, tandis que je serais seule chez moi. A la fin des cours, mon chéri me raccompagne, nous montons tous les deux, savourant ce petit moment à deux pour s’embrasser sur le canapé, se parler, se dire combien nous nous aimons.

Ce soir il n’y aura pas de zumba après le travail pour ma mère, à peine a-t-elle finit qu’elle est déjà rentrée. Elle est contente de nous voir, embrasse Guillaume, puis elle commence à tourner dans l’appartement, ne sachant pas quoi faire, ni par où commencer.

Je rigole timidement en la voyant faire, mais je me mets à sa place, je devine combien elle doit vouloir que ce dîner se passe bien. Après ces longues heures à dialoguer, elle va enfin le rencontrer, elle ne met pas la barre trop haute, mais il est vrai qu’elle s’est faite une certaine idée de cet homme, et qu’elle souhaite ne pas être déçu.

Ou pire, qu’elle puisse le décevoir, au point de ne pas avoir de suite à ce dîner. Alors je m’efforce de la calmer, de lui parler, de lui dire que cette soirée se passera très bien…
chapitre 121 image
Je me lève, la prend dans mes bras pour l’enlacer et ainsi l’immobiliser un instant. Je lui demande de se calmer, et de laisser les choses se faire. Elle me sourit tendrement me remerciant, me disant combien elle a de la chance de m’avoir.

Elle jette un rapide coup d’œil à l’horloge dans la cuisine, ça va, elle à bien encore 2H30 pour se préparer avant son rendez-vous. Elle nous propose donc de prendre un thé, pour qu’elle puisse se calmer d’avantage, et profiter de nous.

Mon chéri est assez curieux, il lui pose alors quelques questions concernant son rendez-vous de ce soir. Moi je sais déjà tout à peu près sur ce Marco, mais en écoutant ma mère en parler de nouveau, je ne peux m’empêcher de sourire.

Bien entendu, on ne parle pas que de Marco, elle nous demande aussi comment s’est passé notre journée. Les cours, les devoirs, les changements de salles, tout cela avec le temps devient limite ennuyeux.

Et pourtant ma mère me dit que nous vivons là nos plus belles années. Qu’elle repense souvent à sa jeunesse, au lycée, à ses amis. Elle nous conseille de ne pas vouloir grandir trop vite, de profiter de chaque instant, et le plus possible de nos amis.

Pour le moment je ne souhaite pas grandir plus vite, au contraire j’aimerais profiter de mon chéri au maximum, mais bon il est aussi l’heure pour lui de regagner son domicile. Il n’est vraiment pas enthousiasmé par l’idée de partir. Peut-être en rapport avec le caractère de son père, et je le comprends tout à fait, si je devais vivre avec Jacques, je ne crois pas non plus que je serais très contente de rentrer chez moi. Mais non, c’est juste qu’il sera encore seul ce soir, Jacques étant invité à une soirée avec des clients.

Je lui fais un gros bisou sur la joue, en lui disant que je lui tiendrai compagnie par messages, tout au long de la soirée. Puis ma mère intervient…

Maman : attend, tu es tout seul encore ce soir ?
Guillaume : oui, mais ça va, depuis le temps j’ai l’habitude maintenant
Maman : et ton père rentre à quelle heure en général de ses soirées ?
Guillaume : humm, la plupart du temps, vers 4H du matin
Ma mère regarde attentivement Guillaume, je me demande ce qui lui passe par la tête puis…
Maman : et ton père serait d’accord pour que tu passes la nuit ici ?

Là je dois dire que je suis complètement surprise, mon cœur fait de suite un bon hors de ma poitrine, et je suis là, à attendre une réponse, qui serait positive. Guillaume ne sait pas du tout quoi penser, il n’a jamais pensé à une option comme celle-là, son père voulant toujours qu’il soit à l’heure à la maison.

Ma mère lui propose donc qu’il appel son père pour le lui demander directement, et qu’elle lui parlera aussi si nécessaire. Guillaume hésite un peu en prenant son téléphone, de mon côté, je croise les doigts, touche du bois et tout ce qu’il faut pour qu’il soit d’accord.

Guillaume compose le numéro, je reconnais la voix imposante de Jacques à l’autre bout, l’air contrarié de recevoir un appel de son fils. Mon chéri lui parle, lui explique la situation et la proposition de ma mère, pour rester ici ce soir. Je peux entendre Jacques, qui n’est pas très convaincu de cette idée, qu’il ne souhaite pas gêner qui que ce soit.

Alors se sentant obligé d’intervenir dans la conversation, ma mère prend le téléphone de Guillaume pour parler directement avec son père. Je ne peux que regarder mon chéri avec de gros yeux, me demandant comment va réagir son père. Après quelques minutes au téléphone, ma mère le remercie, puis Jacques parle de nouveau avec son fils.

Je cherche à savoir du regard quelle est sa réponse, puis à la fin de l’appel, mon chéri me sourit. Je devine alors qu’il est d’accord, je saute de joie, en enlaçant mon chéri, puis ma mère me dit de ne pas l’oublier dans cette histoire.

Je viens également la remercier, en l’embrassant le plus fort possible. Je n’arrive pas à le croire, cela signifie que je vais passer ma soirée, une nuit entière avec mon chéri, ici, chez moi. On ne m’arrête plus, je suis littéralement devenue une puce, à sauter partout. Mon chéri me dit simplement qu’il doit tout de même passer chez lui, prendre des affaires pour ce soir.

Ma mère lui dit donc d’y aller maintenant, et comme ça, elle pourra m’avoir un instant pour l’aider à choisir une robe, et se préparer. Sans plus attendre, j’accompagne Guillaume en bas, il en aura en gros pour une demi-heure, le temps d’aller, puis de revenir, je l’embrasse en étant heureuse, pensant que je l’aurais rien que pour moi ce soir, puis je remonte.

Je ne cesse de remercier ma mère pour cette idée, elle est contente aussi que Jacques ait dit oui.

Maman : et qu’est ce que vous allez faire ce soir ?
Moi : euh…
Maman : ahaha je te taquine, amusez-vous bien hihi (en me faisant un clin d’œil)
Moi : de toute façon, tu sauras tout ahaha
Maman : oui je le sais, et j’y compte bien d’ailleurs

Nous continuons à parler toutes les deux, toutes contentes, toutes excitées, à l’idée de ce que sera notre soirée. Les minutes passent, nous sommes dans sa chambre, à passer en revu les robes de ma mère, puis elle me dit qu’elle file à la douche avant que Guillaume ne reviennent, alors je l’accompagne, pour lui tenir compagnie.

Sous la douche, elle me parle, pour ce soir, j’ai de quoi faire si nous voulons manger, qu’en cas de problème, que je n’hésite pas à l’appeler, et autres. Je ris en moi-même, malgré son rendez-vous, elle trouve le moyen de penser à moi, et ce que je vais faire.

Je lui dis alors de ne pas s’inquiéter pour moi, que je suis entre de bonne main avec mon chéri, et de plutôt profiter de sa soirée. En sortant de la douche, je lui donne une serviette, elle se sèche devant moi, et je lui fais remarquer qu’il serait temps de passer un coup de rasoir dans cette touffe qu’elle a entre les jambes.

Elle rit après ce que je viens de dire, mais pour ce soir, elle n’a pas prévu d’aller plus loin que ce dîner. Elle tient à faire les choses comme il faut, mais aussi pour voir d’elle-même, si cet homme est aussi bien qu’il le prétend être.

Après toutes ses heures à lui parler par messages, elle va enfin pouvoir juger d’elle-même son prétendant. Nous sortons toutes les deux de la douche, au même moment j’entends quelqu’un frapper à la porte, cela doit sûrement être Guillaume qui est de retour.

Je laisse alors ma mère s’habiller tranquillement, pendant que nous attendons le résultat final, avec mon chéri dans le salon. Et après quelques minutes, nous pouvons enfin voir ma mère dans une belle robe de couleur argent, sur de beaux talents assortis et un maquillage léger, juste de quoi souligner sa beauté.

Mon chéri n’en revient pas, d’ailleurs il en perd ses mots, et sa mâchoire. S’il continu comme ça, je vais devenir jalouse, mais il est vrai que ma mère est très belle, alors je ne peux pas lui en vouloir. Nous passons encore un moment avec elle, l’heure approche, elle ne fait que ça, regarder l’horloge.

Elle se demande aussi s’il ne faut pas partir maintenant, elle recommence à stresser un peu. Je lui attrape la main, je me serre tout contre elle, en prenant soin de ne pas froisser sa robe ou autre. Lui disant de nouveau que tout va bien se passer, et qu’elle sera à la hauteur de ses attentes, car c’est la meilleure femme qu’il puisse rencontrer.

Elle me sourit tendrement, puis d’un pas déterminé, elle se lève, prends son sac, ses clés. Elle m’embrasse tendrement puis on se souhaite une bonne soirée, sourire en coin.

Je la vois disparaitre derrière la porte, au fond de moi je souhaite sincèrement que ce dîner se déroule comme elle le souhaite, et je n’attends qu’une chose maintenant, son retour. Enfin pas trop vite non plus, car je compte bien profiter de ma soirée, en compagnie de mon chéri…
chapitre 122 image
Je me retourne vers mon chéri, nous voici seul, un silence règne, mais il est doux, presque chaleureux. Je ne me fais pas encore à l’idée, que je vais passer une soirée rien qu’avec Guillaume, que je vais pouvoir passer ma nuit également.

C’est comme si je ne savais pas par où commencer, je le vois également un peu perdu, son regard fixé dans le mien, tandis qu’il me sourit. Je m’approche de lui, puis je l’enlace, ferme les yeux, profitant d’un moment de silence pour écouter, ressentir son cœur battre.

Guillaume : ça me fait tout bizarre
Moi : quoi donc ?
Guillaume : le fait d’être ainsi seul avec toi, j’ai l’impression que…
Moi : que l’on peut tout faire ?
Guillaume : oui, c’est ça, ta mère est vraiment gentille
Moi : c’est la meilleure, oui ahaha
Guillaume : tu veux que l’on mange ?
Moi : je n’ai pas faim encore, et toi ?
Guillaume : non plus
Moi : j’ai envie de profiter de toi avant
Guillaume : oh ça, ça me plaît ahah

Tout doucement je glisse mes mains sur son torse, mes lèvres, elles, viennent embrasser Guillaume. Le temps est suspendu, dans ce silence, seul nos baisers, nos caresses viennent se faire entendre. Lentement nous nous dirigeons vers le canapé, où nous nous installons.

Nos lèvres sont comme soudées, nous sommes allongés l’un contre l’autre, nos mains parcourent à présent nos corps, à la recherche de zone plus sensible. J’adore ressentir la chaleur de sa paume tout contre mes seins, très vite mes vêtements commencent à disparaître, pour me retrouver entièrement nue.

J’aime cet instant, où je suis complètement exposé à mon chéri, son regard parcourant chaque centimètre de mon corps, tandis qu’il glisse vers le bas. Mon cœur bat fort, un frisson se fait sentir à l’approche de ses lèvres près de mon intimité.

Il se met à l’aise, s’installant le plus confortablement entre mes jambes. Son souffle est chaud, il me chatouille presque, puis ses lèvres se déposent en une multitude de baisers, partout sur mes cuisses, mon bat ventre, jusqu’à atteindre mon petit bouton.

Je ne peux que fermer mes yeux, tout en laissant s’échapper un petit gémissement qui plaît tant à Guillaume. Sa langue au fil du temps devient de plus en plus experte, elle tourne, glisse, joue avec mon clitoris, en des cercles, en des mouvements que mon corps ne pourrait décrire.

Cela fait plus d’une semaine que nous n’avons rien fait, et c’est comme ci je découvrais pour la première fois toutes ses sensations. Mon chéri soulève mes jambes, je place donc ma droite sur le dessus du canapé, il a ainsi tout l’espace qu’il lui faut pour continuer son œuvre.

Très vite mon entre-jambe devient plus sensible, je ressens cette tension s’accumuler, je sais alors que je vais bientôt jouir. Tout en gémissant je demande à Guillaume de continuer, je lui dis qu’il va bientôt me faire jouir, alors sans attendre, il redouble d’efforts, sa langue devient plus rapide, plus entreprenante.

Je me retiens au maximum, ne voulant rien lâcher, mais lorsqu’il se met soudain à aspirer mon clitoris, je ne peux me contenir, et je viens jouir, exprimant mon plaisir dans un gémissement. Mon corps en tremble, convulse, tandis que je retiens la tête de mon chéri, car il serait capable de toujours continuer, mais mon intimité est beaucoup trop sensible.

Il me regarde droit dans les yeux, son sourire coquin en dit long, il est heureux de me faire jouir comme ça. On ne peut s’empêcher de rire alors, tandis qu’il dépose des baisers à l’intérieur de mes cuisses.

Guillaume : j’adore vraiment ton goût
Moi : ah bon ?
Guillaume : oui, il est particulier
Moi : tu as lécher d’autres filles pour me dire ça ?

Là je vois Guillaume être totalement surpris, puis il ne sait plus quoi me dire, il semble chercher à comprendre pourquoi je lui demande ça…

Guillaume : euh non, je veux…
Moi : ahaha tu devrais voir ta tête, je sais très bien que ce n’est pas le cas, et j’ai compris ce que tu voulais dire, ahaha
Guillaume : tu vas voir toi…

Il se met alors à me chatouiller partout, pour me punir de lui avoir fait peur. C’est vraiment de la triche, je suis entièrement nue, et ses mains sont directement en contact avec peau, qu’importe l’endroit où il me touche. Je n’arrête plus de rire, je suis à la limite de me faire pipi dessus même.

Puis je capitule, je m’excuse de lui avoir dis ça, car s’il continue je vais vraiment finir par me faire dessus. Heureusement pour moi il arrête, comprenant que je n’en peux vraiment plus, mais qu’est-ce que je l’aime. Nous échangeons encore des rires, tout en s’enlaçant, se caressant.

Guillaume : je t’aime
Moi : mais moi je t’aime encore plus
Guillaume : ah bon ? Impossible aha
Moi : laisse-moi te le montrer

Doucement je l’embrasse, ses lèvres ont encore le goût de mon intimité, il est vrai que c’est particulier et à la fois agréable. Puis lentement je l’embrasse dans le cou, sur son ventre, en soulevant délicatement son T-shirt.

Mes lèvres continuent leur chemin, puis je me débarrasse de son jean, dévoilant ainsi un caleçon déjà très bien gonflé. Je souris timidement, tout en disant que ceci, n’appartient qu’à moi et moi seule.

Une fois le caleçon enlevé, je saisis son sexe tendu entres mes mains, pour lui donner une caresse qu’il aime tant. Je me mets à l’aise, venant le lécher, de la base jusqu’à son gland, avant d’introduire ce membre dur dans ma bouche.

Aussitôt un gémissement de plaisir se fait entendre, m’encourageant à continuer, à me donner d’avantage. J’adore vraiment ce moment, ressentir son sexe me remplir la bouche, glisser entre mes lèvres, contrôlant son plaisir du bout de ma langue, tout en le regardant droit dans les yeux, me suppliant de continuer.

Ses yeux se ferment au moment où je reprends ma descente sur cette colonne de chair, gorgé de sang. Ses jambes bougent, je pourrais presque ressentir ses frissons, lorsque son sexe se contacte dans ma bouche, se retenant de venir trop vite.

Guillaume : oh mon cœur, attends…
Moi : humm, mais j’adore ça moi
Guillaume : oui mais si tu continue, je vais jouir
Moi : ça veut dire que je m’y prends bien ?
Guillaume : tu es excellente mon cœur
Moi : hihi merci,
Guillaume : j’ai envie de toi, maintenant
Moi : ok, ne bouge pas, je vais chercher ce qu’il faut

Je me lève, je me dirige vers ma chambre pour prendre une capote, mais en ouvrant mon tiroir, je m’aperçois que la boîte est vide. J’oubliais que nous avions utilisé la dernière, pour le coup je me sens tout conne.

Mon premier reflexe est d’appeler ma mère, comme un appel au secours, mais je ne peux pas faire ça, je ne voudrais pas la déranger si elle est avec cet homme. Je réfléchie donc un moment, je me dis que si elle m’en a passé, c’est qu’elle doit en avoir d’autres dans sa chambre.

Mon chéri est toujours allongé dans le canapé à m’attendre, j’ouvre alors la porte, puis entre dans la chambre de ma mère. Je doute qu’elle en ait encore, peut-être m’a t-elle passé la seule boîte qu’elle avait.

En allumant la lumière, je découvre sur son lit quelques robes qu’elle a pu essayer avant de se préparer. Je me dirige vers sa commode, je cherche mais rien, peut-être sa table de chevet. J’ouvre le tiroir, puis Guillaume m’appel dans le couloir, pensant que je suis dans ma chambre.

Je lui dis être dans la pièce à côté, puis il apparait dans l’ouverture de la porte, se demandant ce que je fais ici. Je lui explique alors ne plus avoir ce qu’il faut, et qu’il y en a sûrement, par chance, dans la chambre de ma mère.

Il me demande alors s’il peut m’aider à chercher, je ne vois pas de mal, alors je lui dis que oui, il reprend la fouille de la commode, au cas où je serais passée à côté. Mais il ne trouve rien non plus.

Je rigole un instant à nous regarder tous les deux nus dans la chambre de ma mère, puis je continue de chercher dans le deuxième tiroir. Je crois alors que c’est peine perdu, je m’excuse auprès de mon chéri, de ne pas avoir pensée à en reprendre, puis j’aperçois sous un livre un petit rebord qui me semble familier.

Je soulève le livre, et trouve une capote, mes yeux s’écarquillent, j’ai enfin ce que je cherche. Je soulève les autres affaires dans le tiroir espérant en trouver d’autres, mais rien. Ce n’est pas grave, nous en avons au moins une, je suis limite en train de sauter de joie en ayant trouvé cela. Je ris avec mon chéri, lui disant que l’on va pouvoir faire l’amour. Puis son regard se détourne, je me demande ce qui a pu attirer son attention.

C’est tout simplement une culotte assez sexy de ma mère qui est étendu sur le lit, il s’excuse aussitôt, pensant qu’il a fait quelque chose de mal. Mais je le rassure, et il faut le dire, ses sous-vêtements sont très sexy. D’ailleurs je lui dis qu’elle en a d’autres qui son vraiment pas mal du tout.

Sans attendre, j’ouvre un tiroir de sa commode pour en sortir une que j’aime beaucoup. Mon chéri ne sait plus où se mettre, totalement surpris que je lui montre une culotte de ma mère.

Moi : alors ? Qu’est-ce que tu en dis ?
Guillaume : euh à vrai dire, je ne sais pas, ça fait bizarre que tu me demande mon avis sur les culottes de ta mère

Je le regarde un instant, puis je me rends compte que oui, j’ai fait cela sans même réfléchir, ne pensant surtout pas au mal. Je voulais simplement avoir son avis…

Moi : désolée
Guillaume : ce n’est pas grave, mais si tu veux mon avis, oui elles sont pas mal, mais je préfère les tiennes
Moi : hihi merci, tu es mon homme parfait, viens, on a des choses à faire

J’éteins la lumière, puis referme la porte, avant de nous diriger de nouveau dans le salon, pour continuer ce que nous avions commencé…
chapitre 123 image
Sans perdre plus de temps, et surtout dû à notre excitation, nous nous embrassons passionnément. Sa langue danse avec la mienne, tandis que ses mains viennent agripper mes seins, mes fesses dans une caresse plutôt torride.
 
Mes mains, elles, descendent sur son torse, sa peau est douce, son corps se fait ressentir. Sous mes doigts je peux ressentir un certain frisson, alors que mes mains continuent leur descente vers le trésor tant convoité.

J’atteins enfin ce que je désire, son sexe n’est pas très dur, mais qu’a cela ne tienne, je vais y remédier. Lentement, tout en douceur, ma main se saisie de son membre, pour commencer un léger vas et viens, le rendant à chacun de mes allés retour, un peu plus dur.

Nous sommes debout, en plein milieu du salon, à nous caresser, à nous embrasser, puis nous bougeons ensemble, venant s’installer sur le canapé. J’allonge complètement Guillaume, son sexe est maintenant dressé, dur, prêt pour ce qui va suivre.

J’ouvre alors un préservatif, je l’applique sur sa colonne de chair, puis je me place au dessus d’elle. Je souhaite prendre les choses en main, diriger cet acte, je veux le dominer, contrôler notre plaisir. Je saisie de ma main sa queue, puis la dirige délicatement vers l’entrée de mon vagin déjà si humide.

Si humide que son pénis ne rencontre aucun problème pour se glisser en moi. Quel plaisir, quel délice de ressentir cette pénétration, centimètre par centimètre. Je me mords légèrement les lèvres, laissant échapper aussi un gémissement qui en dit long sur ce qui va suivre.

Au bout de cette pénétration, je prends appui sur le torse de mon chéri, tandis qu’il me saisi les bras. Son geste est ferme, rassurant, son regard est tendre, rempli de désir. Alors je commence à bouger mon bassin, un léger mouvement, qui nous fait frissonner tous les deux.

J’aime lui faire l’amour, j’aime quand nos corps ne font plus qu’un, et pourtant, à chaque fois que nous le faisons, c’est comme si je ressentais cela pour la première fois. Je ferme les yeux, savourant cet instant de plaisir, pendant que mon bassin accentue ses mouvements.

Je me redresse, saisissant les mains de Guillaume au passage, pour venir les poser sur mes seins. Ses paumes complètement plaquer sur ma poitrine, provoquent un frisson que je peux ressentir se propager dans tout mon corps.

Je marque une pause, c’est comme si je venais de ressentir un premier orgasme, je gémi longuement, jusqu’à épuiser tout mon souffle, avant d’ouvrir les yeux, puis reprendre un rythme plus soutenu.

Guillaume se met à gémir lui aussi, suite à ce nouveau rythme. Sa tête se repose sur le canapé, ses yeux se ferment, tandis que je contrôle tout. Je me sens grande, puissante face à cette situation, plus rien autour n’existe, la pièce raisonne de nos gémissements, de notre acte charnel.

Je monte et descend le long de cette colonne de chair, chaque centimètre qui me pénètre me procure un plaisir et un bien fou. Je sens monter en moi une chaleur, du creux de mes reins en passant par ma colonne, ma poitrine. J’ai l’impression que mes poumons brûlent, accélérant mon souffle, devenant par la même occasion plus court.

Je ne peux plus me retenir, mes gémissements ce font de plus en plus fort. Mes vas et viens sont plus rapide, parfois même brute. Je veux le sentir au plus profond de moi, je veux le sentir taper, me remplir.

Tout à coup une deuxième source de chaleur, je la sens naître dans mon bas ventre. Comme sortie de nulle part, elle grandit, prend de l’ampleur jusqu’à exploser et se propager dans tout mon corps. Inondant chaque partie de mon être, jusqu’à être expulsé en un cri long de satisfaction.

Je viens de jouir, je viens d’avoir un orgasme intense, au point de perdre mon équilibre, posant mes mains sur le torse de Guillaume, pour amortir ma descente, et me laisser complètement m’allonger sur son corps.

Ma respiration est rapide, courte, je ressens encore en moi des vagues de plaisir me parcourir le corps. C’est si bon, si délicieux, de ressentir tout cela, tandis que Guillaume m’enlace dans ses bras, me demandant comment je vais.

Moi : je vais bien…
Guillaume : tu as jouie ?
Moi : oui mon cœur, et c’est trop bon
Guillaume : tu veux que l’on arrête ?
Moi : non, non, laisse moi juste quelques secondes, et je suis à toi
Guillaume : tu n’es pas obligé tu sais…
Moi : je ne t’ai pas encore fait jouir, alors laisse toi faire

Je me redresse alors, laissant mes mains sur son torse, le forçant à rester là où il est. Je veux toujours garder le contrôle, son sexe est toujours tendu en moi, je le sens parfaitement sous cet angle. Je reprends alors mes vas et viens, je glisse parfaitement, même mieux.

Je me sens encore un peu sensible à l’intérieur de moi, chaque mouvement sur son sexe me réchauffe le bas ventre. Je m’incline un peu plus en arrière, j’ai l’impression que son sexe est différent en moi, sûrement que son membre frotte différemment.

Je me laisse aller à cette découverte, reposant mes mains sur ses cuisses, comme j’ai vu tant de filles le faire dans les vidéos. Je relève aussi mes jambes, offrant une vue explicit à Guillaume sur mon sexe ouvert, et sa queue me pénétrant.

Mon bassin bouge à un bon rythme, mais je dois dire que je ne suis pas habitué à cette position, je sens déjà mes bras fléchir, ne plus trop me supporter. Mais je continue, je ne veux pas arrêter pas pour le moment.

A voir le vissage de Guillaume, il prend énormément de plaisir, en ressentant mon vagin glisser sur son membre, et en le voyant à l’œuvre également. Je continue, j’accélère par moment, mais très vite mes bras n’en peuvent plus.

Je dois alors changer de position, je reviens vers mon chéri, je suis maintenant accroupi au dessus de lui. Là encore, je suis surprise par la sensation, j’ai plus d’amplitude dans mes mouvements. Je peux remonter plus haut, et descendre de façon plus brute.

C’est incroyable, cette façon d’avoir le contrôle, cette façon que j’ai de me baiser sur sa queue. Une boule de chaleur s’intensifie dans mon bas ventre, je vais jouir une deuxième fois. Alors je me dis qu’il faut que je le retarde, il faut me contrôler.

Mais c’est tellement bon aussi, cette façon brute que j’ai possibilité de faire, à chacun de mes vas et viens. Je me baisse littéralement sur la queue de mon chéri, alors dans ma tête tout est en contradiction. Je ne sais pas si je dois y aller doucement retarder mon orgasme, ou alors continuer plus fort, pour ressentir son sexe me pénétrer au plus fort, au plus profond.

Je dois faire un choix, au plus vite, car il ne m’est pas possible de faire les deux. Je ferme les yeux, voulant contrôler cette chaleur dans mon ventre. Elle grandit de plus en plus, s’intensifie tandis que je gémis plus fort.

Je n’arrive pas à me décider, j’aimerais tant pouvoir faire les deux, mais je sais que c’est impossible. Et pourtant à ce moment là, Guillaume me saisi par les poignets…

Guillaume : je, je… je vais…
Moi : hummm, c’est, trop … bon, vas-y
Guillaume : tu vas, humm… bientôt… jou…
Moi : OOui, aaaAA, je… vais encore, jouir

Alors sans plus attendre, j’augmente ma cadence, le choix est fait, pour nous deux. Je ne me prends plus la tête, je veux le ressentir taper en moi, je veux y aller plus fort. Et c’est ce que je fais, je prends un meilleur appui, toujours accroupi au dessus de mon chéri, je monte et descend aussi brusquement que possible.

Empalant mon petit minou serré et trempé sur son sexe dur. Nos gémissements sont de plus en plus fort, on ne se retient plus du tout, dans le salon, le bruit de claquement de mes fesses sur ses cuisses raisonnent. Je sens en moi cette chaleur, me brûler, me consumer les entrailles, je me retiens au maximum, dans un dernier cri.

Puis Guillaume se redresse, vient m’attraper pour me serrer tout contre lui, en criant de plaisir…

Guillaume : AAAaaa AAAAA AAAAA je …
Moi : aaAAAAA moi, au…aussi

Son corps se contracte, ses jambes sont tendus, puis plier, me soulevant au passage me laisser retomber sa queue. Je jouie, la tête en arrière, laissant échapper un long gémissement, tout en ressentant le sexe de mon chéri, convulser en moi, se libérant de toute sa semence.

Sa tête est plongée dans mes seins, tandis que je place mes mains à l’arrière de son crâne. Je le serre tout contre moi, ne me retenant plus de gémir, puis mon corps se relâche, je sens mes forces m’abandonner.

Je sens le souffle chaud et court de Guillaume sur ma poitrine, tandis que mon cœur bat au point de le sentir presque sortir. Nos derniers gémissements se font à l’unissant, dans une respiration plus calme, mais toujours aussi courte, et saccadé.

Les mains de Guillaume dans mon dos, me provoque encore des frissons, j’ai encore la sensation que ce courant électrique me parcours la colonne. Je ressens aussi son sexe, ou alors peut-être le mien palpiter.

Je ne sais plus, je n’arrive plus à penser, mon esprit est comme dans un brouillard…

Guillaume : c’était, si… bon mon cœur
Moi : c’était, fort pour… moi, et toi ?
Guillaume : oui, j’ai… des frissons partout, et même… des fourmis au visage, on dirait
Moi : je t’aime
Guillaume : moi aussi, je t’…

Je ne lui laisse pas le temps de finir sa phrase, que je l’embrasse, mon cœur bat très fort, je ressens à nouveau un frisson me parcourir. Le fait de l’avoir entendu me dire, me décrire sa jouissance me procure un bien intense.

Nous continuons de nous embrasser, jusqu’à nous allonger tous deux, dans le canapé. Reprenant petit à petit notre souffle, nos esprits, dans cette pièce redevenue si calme…
chapitre 124 image
Je suis allongée tout contre Guillaume, ma tête posée sur son torse, pendant que mes doigts se baladent sur sa peau. Nous restons ainsi, silencieux dans cette pièce sans bruits, n’écoutant que le son de notre respiration calme, détendue.

J’ai vraiment aimé ce moment, c’était incroyable. Je suis surprise de découvrir encore tant de choses sur le sexe, bien que je ne sois plus vierge. Je me dis qu’il y a tant à découvrir, tant de choses à expérimenter, à ressentir.

Je me demande si une personne au monde a déjà pu tout faire. Je veux parler de toutes les pratiques, les plaisirs, mais aussi des fantasmes. Lorsque je regarde des vidéos sur internet, il y a tant de choses que les acteurs font, peut-être qu’eux, ont déjà tout expérimenté.

Je suis dans ma bulle lorsque Guillaume me demande à quoi je pense. Je lui dis simplement que je repense au moment que nous venons de vivre, combien je ressens du plaisir avec lui, combien je l’aime.

Il me sourit puis m’embrasse tendrement, puis je me dis qu’il serait bien d’en parler. Je le connais bien, mais j’ai encore tant à apprendre de lui. Je me lance alors, lui demandant pour commencer, ce qu’il aime chez moi.

Guillaume : humm à vrai dire, j’aime tout de toi
Moi : ok mais vas-y dis moi tout
Guillaume : hey bien j’aime ta façon d’être, ta façon de sourire, de rire, de me regarder. J’aime ta façon de parler, ta discrétion, ta timidité
Moi : oh je ne sais plus où me mettre
Guillaume : et toi ? Qu’est-ce que tu aimes chez moi ?
Moi : je n’arrive pas à le décrire en fait, j’aime tout ce qui fait toi en fait. Tu as une personnalité en or, je me dis que je suis la plus chanceuse au monde, d’être avec toi.
Guillaume : merci mon cœur, c’est moi qui suis le plus chanceux au monde, tu sais je suis toujours impressionné
Moi : oh par quoi ?
Guillaume : hey bien, tout le monde te connait comme étant réservée, timide, mais en même temps tu semble pouvoir te lancer dans des choses totalement folles
Moi : tu fais référence à la semaine dernière ?
Guillaume : pas que, je veux parler aussi de ce qu’on a fait dans la cour au collège
Moi : ah oui je me rappel, hihi
Guillaume : et aussi de ce que tu as fais pendant les vacances, pendant que ta cousine dormait, j’en suis complètement fou
Moi : ahaha oui pour toi je peux faire n’importe quoi
Guillaume : humm coquine
Moi : hihi ça te donne des idées hein ? Peut-être que tu as déjà des fantasmes ?
Guillaume : euh en fait non, je ne crois pas
Moi : oh sérieux ?
Guillaume : pourquoi toi oui ?
Moi : humm, je crois que j’en ai un en ce moment, enfin je viens juste d’y penser, mais faire l’amour avec toi dans une belle forêt j’aimerais beaucoup
Guillaume : ah bon ? Tu peux m’en dire plus ?

Je viens tout juste d’avoir ce fantasme à l’idée, alors je ne sais pas vraiment comment je vois cela. Mais l’idée germe petit à petit, alors je lui décris ce que je peux imaginer, tandis qu’il change de côté pour venir s’allonger à ma droite, puis commence à venir m’embrasser dans le cou.

Je lui demande alors ce qu’il fait, il me dit de lui décrire mon fantasme, de fermer mes yeux, et de me laisser faire. J’avoue que sur le moment je suis surprise, puis je m’exécute. Il ne cesse de m’embrasser dans le cou, pendant que sa main vient caresser ma poitrine.

Moi : mon cœur attend, on a plus de capote
Guillaume : je le sais, mais ça ne m’empêche pas de te faire du bien
Moi : hum je t’aime toi
Guillaume : je t’aime aussi, allez ferme les yeux et décris moi ton fantasme…

Je me détends alors, ressentant ses lèvres dans mon cou, et sa main me caresser. C’est si nouveau, si agréable, je me laisse porter au jeu.

Moi : je nous vois, marchant dans une forêt, les arbres sont très grands, mais ils laissent passer une douce lumière. Nous sommes toujours sur le petit chemin, puis tu me prends la main, pour m’attirer hors du sentier.

Guillaume : humm, je nous imagine oui, continue

Moi : nous marchons à travers les herbes, s’éloignons toujours plus du chemin de randonné. Puis nous arrivons à un endroit, qui te semble idéal, alors tu enlève ton sac, puis tu en sors une couverture assez épaisse.

Ses baisers dans mon cou, réveil en moi une douce sensation, un léger frisson, que je ressens sur toute ma peau.

Moi : tu finis d’installer la couverture, puis tu m’attires vers toi, tu m’embrasses comme tu sais si bien le faire, puis tu m’allonges complètement. J’ai peur, je frissonne, je regarde autour de nous, si quelqu’un passe par là. Puis tu commences à me déshabiller, tes gestes sont tendres, et je suis très vite nue, au beau milieu de cette forêt.

Sa main droite qui s’occupait jusqu’à présent de mes seins, amorça une descente vers mon intimité déjà tout humide.

Moi : humm, tu me caresses au beau milieu de la forêt, puis très vite mon corps se met à se réchauffer. Tu t’allonge entre mes jambes, oooh, puis tu commences à me faire un cunni comme je les aime tant. Je m’abandonne totalement, je hummm… gémis tout doucement, de peur de nous faire surprendre. Je suis humm, bien humide, puis je te demande de me faire l’amour, alors tu remontes vers moi, aaaah, puis tu t’introduis humm…

Je ressens au même moment les doigts de Guillaume s’introduire en moi, ce qui provoque un frisson qui me parcours la colonne.

Moi : Humm, c’est si bon de te sentir en moi, tu me prends tout en douceur, tout en m’embrassant. AAaa, j’ai le goût de mon intimité sur tes lèvres, humm j’adore, ce mélange. Tu vas maintenant plus vite, humm oui

Ses doigts suivent mon imagination, me caressant par moment le clito, avant de se réintroduire en moi, en accélérant le rythme.

Moi : humm, oh oui, tu continue plus vite, je ne retiens plus mes gémissements, OOhh, qui sont… de plus, hummm, en, ohh, plus fort. Tu me fais si bien, aaaahhh, l’amour, que mes cris, raisonnent dans la forêt huummm

Guillaume : imagines que quelqu’un nous entend, qu’est-ce qui se passerait ?

Moi : hummm, mes gémissements ont attirés une personne qui passait par là, aaaAAA. J’avais peur au début, humm, qu’une personne nous surprenne OOOhh, mais maintenant, ça n’a plus d’importance AAAAhhh

Ses doigts ne cessent d’aller et venir en moi, de jouer avec mon clito qui est si humide. Dans le salon, on peut entendre ses doigts s’agiter sur mon petit bouton, laissant paraître un son visqueux, mouillé.

Moi : ohhh, ohhh, cette personne nous regarde, je la regarde droit dans les yeux huuuumm, mais je ne t’arrête pas, tu es si bOOOOO, bon en moi. AAAAhhh tu vas de plus en huumm plus vite, je va… aaaaa, vai… aaAAAA bientôt jouir

Guillaume : la personne te regarde toujours ?
Moi : OOOOui, elle me fait signe AAAAh que je peux hummmm jou OOOOO jouir, alors, je ne me hummm retiens plus, je Je, JZ, jou AA aaa jouis AAAAAAAAAhhhAAAAAAAAAA AAAAAAAAhhhh hummmmmAAAAAAhhh aaaaaaaa

Je cris intensément mon plaisir au beau milieu du salon, tandis que ses doigts ne cessent de bouger tout au fond de moi. Mon sexe dégouline littéralement sur ses doigts, comme si je lui avais pissé dessus. Puis je le stoppe, c’est devenu tellement sensible.

Mon corps est pris de spasmes, je sursaute encore pendant quelques secondes avant de laisser mon corps inerte, le souffle court, le cœur battant à en atteindre la rupture. Mes yeux sont ouverts, le plafond semble si haut, tout est flou, mes yeux divaguent.

C’était si intense, si bon, mon chéri m’embrasse toujours dans le cou, bien que je sois aussi devenue très sensible de cette partie, je ne l’arrête pas, je n’en ai plus la force. Je suis complètement assommée par ma jouissance.

Je prends le temps, de respirer, de retrouver mes esprits, de me calmer. Il me faudra bien quelques minutes avant d’y arriver, je regarde Guillaume dans les yeux, puis lui dis combien c’était bon, et le remercie en l’embrassant.

Nous restons ainsi pendant de longues minutes, à nous parler, à effleurer la peau de l’autre du bout des doits. Une douce caresse, accompagnée de tendres regards…
chapitre 125 image
En étant allongée sur mon chéri, je contemple son corps, mince, sec, mais aussi un trésor que je ne peux manquer depuis ma position. Je suis comme attirée par ce que je vois, je ne peux m’empêcher de vouloir y toucher, alors naturellement ma main part à l’aventure.

Elle glisse sur son ventre, puis arrive pratiquement à destination, lorsque j’entends le ventre de mon homme gargouiller.

Moi : oh
Guillaume : quoi ?
Moi : j’entends ton ventre qui gargouille, tu as faim ?
Guillaume : je dois avouer que oui
Moi : mais tu aurais dû me le dire
Guillaume : on passait un bon moment, je n’allais pas tout arrêter ahaha
Moi : petit coquin va, aller, je vais te préparer à manger
Guillaume : qu’est-ce que tu vas préparer ?
Moi : hum, je ne sais pas encore, j’ai peut-être une petite idée, mais je vais voir si j’ai tout ce qu’il me faut
Guillaume : tu vas cuisiner dans cette tenue ?
Moi : hum, non, je pensais enfiler un T-shirt
Guillaume : ah ok
Moi : pourquoi ?
Guillaume : non rien
Moi : aller, dis-moi
Guillaume : j’aime te voir toute nue, c’est tout
Moi : ahaha, petit coquin, ok, je peux cuisiner toute nue si tu veux
Guillaume : tu n’as pas peur que ta mère ne rentre ?
Moi : euh, il est 20H20, je ne crois pas qu’elle va rentrer de si tôt, du moins je l’espère, sinon ça voudrait dire que son dîner est pourrit
Guillaume : ah oui, j’espère que ça se passe bien pour elle
Moi : t’es trop mignon, ne bouge pas, je vais voir ce que je peux préparer à manger

Je me dirige donc dans la cuisine toute nue, selon les désirs de mon chéri. Je jette un coup d’œil dans les placards et le frigo, voir si j’ai tout ce qu’il me faut. Je ne vais pas préparer quelque chose de sophistiquer, juste un plat que ma mère m’a appris.

Quelque chose de simple, et rapide, donc j’ai tout, je me mets donc à l’œuvre. Guillaume de son côté est venu me rejoindre, se servant à boire, puis il est resté assis tranquillement à me regarder, me parler pendant que je prépare tout. Je ne suis pas une excellente cuisinière, j’espère donc réussir ce plat pour mon chéri.

Lorsque je le fais avec ma mère, ça va, car elle est là pour me guider, ou rattraper mes erreurs, mais là je suis seule aux commandes. De plus en parlant avec mon chéri, je fais parfois quelques bêtises, je stress peut-être de complètement rater ce plat.

Bref, j’ai renversé du lait, cassé un œuf, je me suis légèrement brûlé, mais ça va. Le plat étant fini, je le mets au four, et je croise les doigts pour qu’il soit au moins bon, voir comestible.

Guillaume : tu as finis ?
Moi : il faut attendre environ 15 minutes, le temps de faire gratiner
Guillaume : en tout cas, ça sent très bon, et te voir cuisiner dans cette tenue, c’est très excitant
Moi : petit coquin, j’ai vu tes petits yeux me regarder pendant que je préparer le plat
Guillaume : je te regarde toujours ahaha
Moi : je t’aime
Guillaume : moi aussi, et qu’est-ce qu’on fait pendant ces 15 minutes ?
Moi : on peut aller devant la télé ou… hey tu fais quoi là ? ahaha
Guillaume : j’ai envie de gouter au dessert avant ahah
Moi : tu ne veux pas qu’on aille dan… hummm

Je crois que je ne contrôle plus rien, Guillaume m’a soulevé pour m’installer sur l’îlot de la cuisine, mon bassin arrive pratiquement à hauteur de visage. D’ailleurs il lui suffit juste de s’incliner un peu pour commencer à me lécher.

Qu’est-ce que j’adore être surprise, qu’est-ce que j’adore quand il passe sa langue sur mon sexe. Dès les premiers coups de langue, je frémis de plaisir, je passe une main derrière sa tête, puis je ferme les yeux.

Mon plaisir ne fait que grandir, et je perds toute notion d’espace et de temps. Je ne sais plus du tout où l’on est, et ce que je pouvais bien faire juste avant. Aussi je me mets plus à l’aise, je m’allonge complètement, ouvrant mes jambes pour lui faciliter la tache.

Ma main ne cesse de lui caresser les cheveux, de le plaquer un peu plus sur mon intimité. Mes gémissements sont de plus en plus fort, ma respiration se fait courte, profonde, chaude, jusqu’à ce qu’enfin, je ressente un frisson me parcourir le dos.

Moi : hummmm AAAhhhhh sto, stop, hummmm
Guillaume : sluup, c’était bon ?
Moi : Oooh c’était… génial mon cœur, aahh tu es génial
Guillaume : mais tu es tellement délicieuse, que je pourrais faire ça tout le temps
Moi : humm, c’est avec plaisir, et… (snif snif) oh merde le four, j’ai oublié

Je me lève en vitesse pour aller voir mon plat que j’avais complètement oublié pour le coup, et heureusement pour moi il a tout juste gratiné comme il faut. Je laisse le four ouvert, en attendant que la chaleur se dissipe.

Puis je regarde Guillaume dans les yeux, il est coquin, mais il a failli me faire rater mon plat, enfin, s’il ne l’est pas déjà raté à la base. Je reviens vers lui pour l’embrasser, le remercier pour le plaisir qu’il m’a donné, puis je lui propose que l’on mange.

A première vue, j’ai semble t’il réussi mon plat, Guillaume se sert, puis il fait une grimace.

Moi : oh ce n’est pas bon ? (l’air triste)
Guillaume : tu rigoles ? C’est délicieux, c’est officiel, c’est mon plat préféré maintenant
Moi : oh merci mon cœur, je t’en referais dès que tu en voudras
Guillaume : comment tu appel ça ?
Moi : humm c’est un gratin de coquillettes au reblochon
Guillaume : humm j’adore vraiment, tu l’as bien réussi mon cœur, bravo humm
Moi : merci mon chéri, je suis fière de moi hihihi

Je sais que ce plat est des plus simples, mais entendre ces mots venant de mon chéri, me rends fière. C’est quelque chose qui me donne un peu plus confiance en moi. Nous sommes donc là, à déguster ce plat, dans le plus simple appareil. Alors oui si ma mère venait à rentrer maintenant, ce serait bizarre. Je sais que Guillaume en aurait honte à vie, et moi, ben je m’en fous en fait.

Mais bon, j’espère qu’elle passe une toute aussi agréable soirée, comme je la passe en ce moment. Je ne peux m’empêcher de sourire à mon chéri, fière d’être avec lui, pour une soirée rien qu’à nous. Le dîner terminé, je nettoie tout, puis je lui propose d’aller prendre un bain à deux.

Guillaume accepte avec un grand sourire, ne pouvant s’empêcher de me coller, de m’embrasser, et de me serrer tout contre lui. Ce qui n’est pas pour me déplaire, bien au contraire. Le bain étant rempli, nous nous installons confortablement, lui en premier, puis je viens me blottir tout contre son corps dans une eau chaude, apaisante.

Nous prenons tout notre temps, à parler, à rire, à nous taquiner. C’est dans ces moments les plus heureux, les plus simples que le temps semblent passer à une vitesse. Nous finissons par sortir du bain, surtout après que celui-ci soit devenu assez froid.

Je jette un regard à l’heure, il est presque 22H, nous enfilons nos pyjamas, histoire de ne pas être dans une drôle de situation. Puis nous revenons dans le salon pour regarder un film, allongés l’un contre l’autre.

Le film se termine vers les alentours de 23H30, à cette heure ci, ma mère ne devrait plus tarder à revenir, sauf si elle se laisse tenter par cet homme. J’en rigole toute seule, Guillaume me regarde se demandant ce à quoi je peux bien penser.

Je lui prends la main, l’invitant à venir au lit avec moi. Je prends le soin de laisser ma porte entre ouverte afin que je puisse entendre ma mère rentrer plus tard. Nous nous mettons au lit, c’est bien la première fois que je vais partager mon lit avec quelqu’un, et qui de mieux que mon chéri.

Nous sommes tous les deux allongés, à regarder le plafond, à refaire le monde avec des si. Nous parlons aussi des dossiers d’orientations, à savoir s’il est toujours sûr de son choix, surtout en repensant à la réaction de son père.

Ce n’est peut-être pas ce que veulent ses parents, mais c’est ce qu’il aimerait vraiment faire. Aussi pour ne pas créer trop de tentions chez ses parents, il fera des études général. Et plus tard, quand il aura eu son bac, il fera des études pour devenir moniteur.

En tout cas, il sait que je le soutiens jusqu’au bout, quoi qu’il fasse. Alors que nous continuons de parler ainsi, nos yeux se ferment petit à petit, et finissons par nous endormir, même si je pense à ma mère et son dîner de ce soir.

Je dois dire que je n’ai qu’une hâte, la revoir et connaître tous les détails de cette soirée…
chapitre 126 image
Je suis allongée tout contre Guillaume, c’est la première fois que je partage mon lit. Même si j’ai déjà dormi avec Estelle, Karine, ou même ma mère, partager une nuit avec mon chéri n’a rien de comparable.

Je me sens en sécurité, j’aime son odeur, son souffle long, la douceur de sa peau sous ma main. Je me suis vite endormie, mais je me suis aussi réveillée au bout d’une heure de sommeil. Je pense à ma mère, elle n’est pas encore rentrée, du moins je n’ai pas entendu la porte d’entrée s’ouvrir.

Peut-être l’ai-je manqué dans mon sommeil ?

Je ne pense pas, alors elle est sûrement partie passer la nuit avec cet homme, ce Marco. Je me pose trop de question, c’est normal, je m’inquiète pour ma mère. A ce même moment, je peux entendre la porte d’entrée s’ouvrir.

C’est elle, elle est de retour, mon cœur bat tout de suite un peu plus fort, surprise par le bruit, mais aussi heureuse de la savoir ici.

Je m’extirpe hors de mon lit le plus discrètement possible pour ne pas réveiller Guillaume, je referme soigneusement la porte derrière moi, puis me dirige vers le salon.

Moi : hum hum
Maman : oh ma chérie ! Tu m’as fais peur, tu ne dors pas encore ?
Moi : oh désolée, si j’étais dans le lit, mais je n’arrivais pas vraiment à dormir, je pensais à toi
Maman : tu ne dormais pas encore ? Guillaume est réveillé aussi ?
Moi : si je me suis endormie, mais au bout d’une heure je me suis réveillée, Guillaume dors toujours
Maman : oh je suis désolée si je t’ai inquiété, mais je suis là maintenant, tu peux aller te recoucher

Je la regarde attentivement avec un sourire en coin, elle sait que je veux tout savoir de sa soirée. Alors elle me propose à boire, puis nous nous installons dans le canapé, moi, pendue à ses lèvres pour tout connaître de son rendez-vous.

Je la vois afficher un large sourire, je n’en peux plus d’attendre, alors je lui dis…

Moi : aller maman, dis-moi tout là
Maman : ahaha ok, ok, hey bien …

Le dîner s’est déroulé à merveille, au-delà de ce qu’elle pouvait espérer. L’ambiance était parfaite, le repas et le service également. Ils ont parlés à n’en plus finir, discuter sur un site c’est bien, mais avoir la personne en vrai, et lui parler est encore mieux.

Elle a pu percevoir ses gestes, sa façon de s’exprimer, de se tenir, de la regarder et rien que ça, faisait en sorte qu’elle soit troublée. Elle se posait beaucoup de question sur cet homme, et ce soir, elle a eu certaines réponses. Sur le site, dans sa façon de dialoguer, il était très charmant, captivant, et elle ne s’est pas trompée.

C’était l’occasion aussi pour elle d’en savoir beaucoup plus sur ce prétendant fort charmant. Ils se sont posés beaucoup de questions, notamment sur leurs origines.

Son rendez-vous de ce soir se nomme Marco, un bel homme, qui fait très attention à son physique. Grand, mince mais des muscles assez dessinés, de ce qu’elle a pu voir au niveau des bras. Il est franco-italien de par son père, arrivé de Sicile dans les années soixante. Né en France, il a tout de même passé une partie de son enfance en Italie, avant de revenir ici à l’âge de 14 ans, ce qui fait, qu’il a un léger accent.

Il semble selon ma mère, être sûr de lui, voir très fier. Il a une posture droite, parle assez fort, et aime aussi rire. Ils ont parlés aussi des choses du passé, des souvenirs d’enfance, des moments heureux. Aussi ils ont parlés de moi, c’est la première fois pour lui qu’il rencontre une femme avec une fille ado.

Il se demande comment je suis, et si j’accepte l’idée que ma mère sort avec un homme. Elle a de suite rassuré, lui disant avoir une grande complicité avec moi, que je ne suis pas une ado difficile, bien que par moment je peux lui mener la vie dur.

Moi : mais pas du tout, je suis une fille exceptionnelle et très facile à vivre
Maman : ahaha mais oui ma chérie, je te taquine un peu

Toute cette soirée, s’est principalement déroulée sur des souvenirs d’enfance et origines, avec quelques questions d’actualités tout de même. Ils sont restés très longtemps au restaurant, prenant le temps de discuter, d’apprécier le moment. Après quoi, ils ont marchés un moment, se posant sur un banc, à parler encore. Ayant donc tous les deux appréciés cette soirée, ils ont convenus de se revoir vendredi prochain, pour encore mieux apprendre à se connaître.

Et cela va très bien à ma mère, elle souhaite y aller doucement. Les rencontres qu’elle a pu avoir via le site n’ont pas été horrible, mais prendre son temps, ne fait pas de mal.

Je suis toute souriante devant ma mère, avec tout ce qu’elle vient de me raconter, je l’enlace tendrement, lui disant combien je suis heureuse pour elle. Elle finit aussi par me demander ce qui s’est passé de mon côté, alors je lui dis tout.
Que j’ai passé une magnifique soirée en compagnie de mon chéri, mais que le manque de préservatif nous a légèrement freinés. Je lui dis combien j’étais contente de pouvoir en trouver une dans le tiroir de sa table de chevet. Et combien Guillaume s’est occupé de moi ce soir.

Elle ne pensait pas que j’avais pu utiliser toute la boite de préservatif, elle s’excuse même de ne pas m’en avoir donné d’autres, mais c’est entièrement de ma faute, j’ai oublié de lui en demander. Elle me dit que je n’ai pas besoin d’attendre après elle, que je peux m’en acheter moi-même, que je suis libre d’avoir des rapports si je le souhaite.

Il est vrai que j’appréhendais le fait de me faire recaler avec ce genre d’article, ou même que je ressente une certaine gêne a être vue avec ça. Mais ma mère me dit qu’il n’y a pas de quoi avoir honte, puis elle se lève a la recherche de son sac, pour en sortir un préservatif d’une petite poche intérieur.

Mes yeux s’écarquillent en voyant cela, un trésor caché, insoupçonné dans le sac de ma mère. Elle en avait gardé une pour elle, par précaution. En tout cas elle me promet de m’en racheter dès demain, puis me demande si je souhaite prendre la pilule ou autre.

Je n’y avais plus du tout pensé, me contentant toujours de préservatifs jusque là, mais après avoir gouté l’autre jour à une expérience sans, j’aimerais beaucoup. Il faudra donc revoir ma gynéco pour cela, elle va me prendre un rendez-vous au plus vite.

A force de parler, il commence vraiment à se faire tard, et elle ressent surtout le besoin de sommeil. Je l’accompagne à la salle de bain, elle se démaquille, enlève ses vêtements pour passer quelque chose de plus léger, puis je l’embrasse une dernière fois, avant de regagner nos chambres.

Une fois la porte fermée, je m’installe dans mon lit, prenant soin de ne pas réveiller mon chéri. Ma petite lampe de chevet éclair son doux visage endormi, et je ne peux m’empêcher de le prendre en photo ainsi.

Je sens moi aussi le sommeil me gagner, alors j’éteins tout, puis m’installe confortablement pour me laisser aller. Je souris encore une fois, repensant à ma soirée, et celle de ma mère, puis mes rêves m’emportent pour le reste de la nuit…
chapitre 127 image
Humm une nuit de sommeil comme je les aime, je me réveille en douceur, prenant le temps d’apprécier encore mon lit, sans avoir besoin de me brusquer pour aller en cours.

Pourquoi est-ce que ma première pensée est les cours ?

Je dois dire que je ne sais même plus ce qui s’est passée cette nuit, tellement mon esprit est encore vague. Je m’étire un peu et oh, ma main vient buter contre, mon chéri ?

Woa, je suis tellement ailleurs que j’oubliais ma nuit passée, mais maintenant que j’ouvre les yeux, je me rappelle. Ma chambre est encore sombre, la lumière du soleil peine à pénétrer au travers des rideaux, mais je peux tout de même voir mon chéri.

Mes yeux ont du mal à rester ouvert, mais je trouve tout de même la force de me rapprocher un peu plus de Guillaume, pour me blottir tout contre lui. Son parfum est doux, sa peau aussi, son corps me réchauffe, je me sens tellement bien à ses côtés.

Je suis encore un peu fatiguée, il faut dire que je n’ai pas beaucoup dormi cette nuit, alors je me laisse le temps. Je somnole encore un peu, profitant de ce moment paisible avec mon chéri.

Quelques minutes plus tard, le soleil semble pénétrer un peu plus ma chambre, je m’étire en douceur, pour éveiller un peu plus mon corps. Guillaume lui semble toujours dormir, dans l’appartement il n’y a aucun bruit non plus.

Je pense que ma mère doit sûrement être dans son lit encore. Elle est rentrée très tard, en plus de m’avoir racontée son rendez-vous, elle doit avoir beaucoup de sommeil à rattraper. Je suis donc la seule à être réveillée pour le moment, et une envie pressante se fait sentir.

Je sors de mon lit, et vais directement aux toilettes avant de me faire pipi dessus. De retour dans ma chambre, je regarde attentivement mon chéri, et cette fois, une autre envie se fait sentir. Surtout que ma mère m’a donné hier soir un préservatif.

Je ne sais pas comment pourrais réagir Guillaume, surtout que ma mère est là, enfin peu importe, je ressens une envie terrible de lui faire l’amour là. Je retire alors mon T-shirt et ma culotte, me retrouvant complètement nue, dans ma chambre à peine éclairé par les quelques rayons de soleil.

Je m’avance sans faire de bruit, je m’installe dans mon lit, en prenant soin de ne pas faire de mouvement brusque. J’ai envie de réveiller mon chéri, d’une manière un peu spéciale, je l’ai souvent vu dans des vidéos ou autre.

Alors je retire légèrement ma couverture, puis j’abaisse en douceur le caleçon de Guillaume. Une mission plutôt difficile, surtout si je ne veux pas le réveiller. Dans ma manœuvre je le vois bouger un peu, cependant il semble toujours endormi. Je peine à baisser son caleçon comme il faut, mais je peux tout de même accéder à sa merveille.

Sous mes yeux son sexe semble déjà un peu gonflé, je dépose un baiser sur le haut de sa cuisse, sa peau est chaude, délicieuse. Puis je glisse délicatement son sexe dans ma bouche, le savourant. Sous l’effet de cette caresse buccale, je peux sentir cette colonne de chair se gorger doucement de sang, pour devenir de plus en plus dur.

Son sexe ne tarde pas à devenir le plus ferme possible, tandis que je continue de plus belle ma fellation. Dans un sommeil peu profond, mon chéri commence à gémir, il doit sans doute faire un rêve agréable, il aura la surprise quand il ouvrira les yeux.

Je m’installe du mieux que je peux, allongée en bas de mon lit, légèrement sur le côté à aller et venir sur son sexe tendu avec ma bouche. Je vais et viens le long de son membre, léchant par moment toute la hampe, pour finir par m’occuper de son gland rose.

Je sens déjà la pré-semence pointer, je suis fière de moi, pouvoir lui donner du plaisir dans son sommeil. Il me tarde de voir sa réaction, quand il se réveillera. Il commence à bouger de plus en plus, sa tête allant d’un côté à l’autre, tout en gémissant.

Puis le moment tant attendu arrive enfin, je vois les yeux de mon chéri s’ouvrir à peine, se demandant sûrement où il est, et ce qui se passe. Il semble un peu perdu dans ses pensées, son regard fixe les rideaux de ma chambre, puis cherche à comprendre ce qui se passe.

Lorsque ses yeux s’abaissent vers moi, je peux voir la surprise dans son regard, tout en gémissant un peu plus fort.

Guillaume : humm, mon… cœur, qu’est-ce que…
Moi : humm, shuuut, c’est un petit réveil spécial pour toi mon cœur, hummm
Guillaume : oh, c’est… j’aimerais être réveillé, comme ça humm tous les matins
Moi : hum, hum, glup glup

Je suis totalement fière de moi, il aime vraiment sa surprise, et je le ressens également à son sexe dans ma bouche, qui semble devenir un peu plus gros. Sa main se tend vers moi, je la saisi, croisant nos doigts pendant qu’il ferme de nouveau les yeux. Ses gémissements sont pour moi le plus beau des cadeaux à ce moment précis.

Tout en continuant de lui faire du bien, ma main vient parcourir son corps, allant de ses cuisses, à son torse. Il se laisse complètement aller, gémissant par moment un peu plus fort. Puis il me regarde dans les yeux, me disant combien je lui donne du plaisir, et combien il aimerait me faire l’amour à ce moment précis.

Tout en le regardant dans les yeux, je remonte de long de son sexe, aspire légèrement le gland, avant de lui dire, que j’ai moi aussi, très envie de lui. Je me redresse alors, puis remonte lentement vers mon chéri, tout en le couvrant de baiser, chaud, humide, le long de son corps, jusqu’à arriver à ses lèvres.

Je passe ma jambe de l’autre côté de son corps afin de l’enjamber, il me découvre ainsi nue, surpris et heureux de ce qu’il peut voir. Sous ses yeux, je glisse ma main jusqu’à mon intimité, pour commencer à titiller mon petit bouton, ainsi que mes grandes lèvres.

Une petite masturbation pour constater que je suis déjà bel et bien humide. Mon chéri n’en croit pas ses yeux, il aime tant me voir me toucher devant lui, puis il place ses mains sur mes hanches pour me stopper.

Guillaume : attend, on n’a pas de capotes
Moi : hihi j’ai tout prévu

Tout en lui souriant, je lui montre le préservatif qui est posé sur ma table de chevet. Il se demande bien d’où ça sort.

Moi : c’est ma mère qui m’a donné la dernière qui lui restait
Guillaume : oh, c’est… attends ta mère est rentrée ?
Moi : oui, tard dans la nuit, tu dormais très bien
Guillaume : mais, on ne peut pas, je veux dire, elle est là, et elle risque de nous entendre
Moi : shuuut, on peut le faire discrètement aussi, et ne t’inquiète pas pour elle, elle dort profondément je pense, vu l’heure à laquelle elle s’est couché
Guillaume : euh, oui, mais…
Moi : s’il te plait, j’ai tellement envie de toi, et j’aimerais tellement, te faire l’amour au réveil
Guillaume : c’est vrai ?
Moi : oui, j’ai tellement rêvé de ce moment
Guillaume : oh, et…
Moi : je me suis masturbée beaucoup de fois, en imaginant ce moment (en lui chuchotant à l’oreille)

Sa respiration est légèrement troublée, alors que je me frotte tout contre lui, mon vagin humide, contre son sexe tendu. Mon chéri ne trouve plus ses mots, il place simplement ses mains de part et d’autre de mon visage, puis m’embrasse tendrement.

J’adore ce moment où nos salives se mélangent, où nos baisers deviennent plus chauds. Je tends ma main vers ma table de chevet, pour prendre la capote, me redresse, l’ouvre, et viens la déployer sur son sexe.

J’adore également ce moment, où je saisis son sexe, pour en placer le bout à l’entrée de mon vagin. Lorsqu’il me pénètre, je prends toujours une profonde inspiration, ressentant chaque centimètre glissé en moi.

Même si nous devions être discrets, nous n’avons pas pu nous empêcher de gémir lors de la pénétration. Un plaisir émis à l’unisson, un plaisir partagé, un plaisir tant désiré.

Me voila au dessus de mon chéri, son sexe entièrement introduit en moi, puis je commence à bouger doucement. Nous apprécions tous deux les vas viens, fermant les yeux pendant que ses mains viennent s’occuper de mes seins.

Guillaume : doucement mon cœur, ta mère pourrait nous entendre
Moi : non, pas de risques, elle dort, et les murs sont, hum, hum

Je n’arrive pas à finir ma phrase, trop prise de plaisir, ou alors, que je sais que ce mensonge était trop gros. Quoi qu’il en soit, il ne se pose plus de question, concentré sur ce qu’il ressent. J’augmente alors la cadence, posant mes mains sur son torse, le dominant une fois de plus.

Je le chevauche, je suis la maîtresse, la seule aux commandes, et c’est moi qui impose le rythme. Je n’arrive pas à retenir mes gémissements, bien que je n’en fasse pas des tonnes non plus. Mais de ce que je sais, cela suffit pour être perceptible de l’autre côté du mur.

Guillaume de son côté se contrôle du mieux qu’il peut, mais malgré tous ses efforts, il laisse tout de même paraître des sons plutôt audible. Je suis enivrée par le plaisir, une sensation que je connais très bien, ce frisson qui me parcourt la colonne, puis ce point qui se concentre dans mon bas ventre.

J’augmente ainsi le rythme de mes vas et viens, contrôlant toujours mes gémissements, mais c’est autre bruit qui vient s’ajouter à nos ébats. Un couinement, ou plutôt, un grincement…

Il est apparu de nulle part, puis plus rien, mais je continue sur ma lancé, je veux mon plaisir. Je saisis la main de mon chéri, posé sur mon sein, puis l’apporte à ma bouche, pour lui sucer, un, puis deux doigts.

Je me sens tellement bien puis encore un grincement, et de nouveau un. Je comprends alors, cela vient de mon lit, et pourtant il ne le faisait pas avant. Guillaume tente de me stopper, ne voulant pas que ce bruit s’entende, je suis bien d’accord avec lui, mais je suis tellement proche de mon orgasme.

Je le lui fais savoir, sans arriver à vraiment être discrète, puis je me lance dans la course finale. Une accélération soudaine, amplifiant les grincements, ainsi que mes gémissements. Et c’est l’orgasme, une jouissance intense qui se propage dans mon corps, ainsi que dans ma voix, que je tente d’étouffer.

Ce courant qui me parcoure me fait perdre l’équilibre, je me rattrape sur mon chéri, il sait que dans ses moments, je n’ai plus de force, alors il me soutient également de ses bras. Doucement je viens m’allonger contre lui, reprenant mon souffle comme je peux, puis je l’embrasse, le remerciant pour ce plaisir qu’il vient de me donner.

Ma respiration est encore courte, mais je retrouve déjà mes esprits, et tendrement, Guillaume m’allonge, se place au dessus de moi. Je suis épuisée, je n’ai plus la force de le chevaucher, alors je le laisse prendre le contrôle.

Il se place entre mes jambes, sa queue rentre parfaitement, tellement je suis mouillée. Et ses vas et viens commencent, imposant un rythme léger. Léger tout comme nos gémissements qui reprennent.

Mon chéri se place tout contre moi, sa tête venant se poser dans mon cou, où il gémit. Puis il commence à me lécher le cou, ça a pour effet de m’exciter encore plus, puis soudainement, j’entends un gémissement, venant de l’autre côté du mur.

Je suis totalement surprise, mais Guillaume ne semble pas l’avoir entendu. Ou peut-être, que c’est mon imagination qui me joue un tour. Je me concentre de nouveau sur mon chéri, et un autre gémissement vient me perturber, je n’ai plus de doutes, c’est bien ma mère que j’entends gémir.

A cet instant, tout me semble bizarre, je ressens le sexe de mon chéri venir me pénétrer de plus en plus fort, tandis que de l’autre côté du mur, je sais que ma mère se masturbe en nous écoutant. Les rôles sont inversés, et j’en ressens une terrible excitation.

Guillaume continue de plus belle, je plaque mes mains à l’arrière de sa tête, pour qu’elle reste enfouie, dans mon cou, mais aussi pour les placer sur ses oreilles. Je ne veux pas qu’il entende ma mère, j’ai peur qu’il en soit gêné, et qu’il veuille tout arrêter.

Je gémis moi aussi de plus en plus fort, essayant de faire au mieux, pour qu’il soit concentré sur ma voix. Dans un silence de courte durée, j’entends de nouveau ma mère gémir, elle semble proche de jouir, et moi aussi.

Alors je me lâche, je demande à mon chéri d’aller plus vite, bien entendu, mon lit grince à nouveau. Mais on ne fait plus attention à ça, sa queue me pénètre plus vite, plus fort, tandis que nous gémissons ensemble.

Moi : vas-y continue, humm
Guillaume : humm, dou…doucement
Moi : non, humm, plus fort, je vais humm, jouir, oh, joui avec moi aaaaahh
Guillaume : je, humm, vais jouir oui
Moi : vas-y, prends moi, aaaaAAA, jouie avec moi hummm

Mes paroles ont sûrement été perçus par ma mère, et c’est ce que je voulais, lui faire passer un message, lui dire combien nous sommes proches de l’orgasme. Sans plus attendre, Guillaume accélère le rythme, sa queue vient buter, claquer, mon lit grince plus vite, et plus fort.

Il n’y a plus aucune retenue, sauf dans les gémissements de mon chéri, qui tente de se contrôler au maximum. Mes mains sur ses oreilles, il ne peut entendre ma mère gémir, de plus en plus vite. C’est à ce moment que Guillaume vient se plaquer tout au fond de mon vagin, dans un terrible râle de plaisir.

Un plaisir que je partage aussi, ressentant mon orgasme me parcourir le corps, tandis que dans l’autre pièce, un cri étouffé se fait entendre. Guillaume se relâche totalement, essoufflé, alors que je ressens encore son sexe palpiter en moi.

Je n’en crois pas, nous venons de jouir tous les deux ensemble, ou plutôt, tous les trois. Mon cœur bat très fort, ma respiration est courte, j’ai chaud, terriblement chaud, mais je suis si bien. Si bien que je ne voudrais plus bouger, plus le quitter, qu’il reste en moi pour toujours…

chapitre 128 image
Dans ma tête c’est la folie, je repense à ce moment que je viens tout juste de vivre. Je viens de faire l’amour avec mon chéri, en écoutant ma mère se masturber. Dans ma tête, je me pose pas mal de questions, nous a-t-elle entendu depuis le début ? Comment s’est t’elle masturbée, entièrement nue ou autre ? A-t-elle compris que je m’adressée à elle au moment de jouir ? Et bien d’autres encore…

Ce sont peut-être des questions sans intérêts, mais elles sont présentes, et j’ai envie de savoir. Je me demande aussi si Guillaume a entendu quoi que ce soit, il est toujours allongé tout contre moi, le visage enfui dans mon cou.
Sa respiration est devenue plus calme, son cœur aussi, il y a maintenant un tel silence dans ma chambre, le temps semble en suspend.

Je dois dire que faire l’amour le matin est tellement bon, mon corps est encore plus détendu, j’ai l’impression que cette journée sera la plus belle. Guillaume se redresse légèrement, venant m’embrasser, là encore le temps, l’espace n’a plus d’importance, je suis scotchée à ses lèvres, appréciant la texture, le goût.

Lorsqu’il s’écarte de moi, je sens son sexe me quitter, et une sensation de vide. Cette chaleur en moi se dissipe peu à peu, créant une sensation de manque. Tout en se redressant, Guillaume regarde entre mes jambes, je vois sur son visage ce sourire coquin qu’il a en voyant mon intimité, mais aussi un air surpris.

Guillaume : mon cœur ça va ?
Moi : oui, très bien, c’était parfait, pourquoi tu fais cette tête ?
Guillaume : hey bien, c’est la première que…

Je me demande bien de quoi il parle, aussi je n’attends pas plus d’explication et je regarde aussi ce qui l’intrigue. En effet, je suis également surprise, c’est la première fois que quelque chose comme ça m’arrive.

Je crois avoir tellement ressenti de plaisir, que mes draps et mon lit en sont imprégnés. Entre mes jambes, il y une trace humide importante, beaucoup plus importante que d’habitude.

Je veux dire que j’ai déjà mouillé mes draps, lors de mes masturbations, ou même alors avec Guillaume, mais pas à ce point là. Je ressens aussi cette sensation humide sous mes fesses, je me déplace un peu, pour voir l’entendu des dégâts et effectivement, c’est encore plus impressionnant.

Guillaume : est-ce que tu t’es fais dessus ?
Moi : non pas du tout, sinon je l’aurais sentie
Guillaume : mais c’est la première fois que je vois ça, depuis qu’on fait l’amour
Moi : oui pour moi aussi c’est une première
Guillaume : woa, regarde, même ton vagin semble couler encore, il est complètement brillant et humide

A ce moment là, je dois dire que j’étais un peu mal à l’aise. Même si c’est mon chéri qui me regarde, et qui fait cette remarque, je me sens bizarre, ou plutôt comme quelqu’un de bizarre. Je couvre alors de ma main mes parties intimes, sans doute un réflexe. Je ne pense pas avoir de problème à mon intimité, non.

Guillaume s’en aperçoit, et s’excuse aussitôt s’il a pu dire quelque chose de blessant. Je sais que ce n’était pas intensionnel, qu’il est tout aussi surpris que moi. Je me lève, mon premier geste est d’enlever mes draps, comme pour effacer toute trace.

Guillaume est quelque peu surpris par mon attitude, puis il vient me serrer dans ses bras, me disant qu’il aime vraiment. Qu’il a l’impression d’avoir été le meilleur des chéris en me faisant jouir ainsi. Et je dois dire que c’est le cas, seulement je ne me suis pas rendu compte sur le moment, que je jouissais d’une telle puissance.

Puis je me suis mise à rire, d’avoir réagis ainsi, alors que je venais de vivre un moment magique. Ma réaction a été stupide, mais c’était surtout dû à la surprise. Jamais je n’avais autant mouillée mes draps, je me demande alors si c’est dû au fait d’avoir écouté ma mère gémir, pendant que je faisais l’amour.

En tout cas, après avoir retiré mes draps, et l’avoir mis en boule dans un coin de ma chambre, j’ai pris mes affaires invitant mon chéri à prendre une douche avec moi. Il prend alors ses vêtements, puis commence à vouloir les mettre. Je l’arrête de suite, la douche se trouvant juste en face de ma chambre, il n’y a qu’un pas à faire, donc pas la peine de s’habiller.

Il ne semble pas très convaincu de mon idée, puis je lui dis d’essayer, que c’est amusant. Je le vois me sourire, alors plus d’hésitations, je le prends par la main, et sans attendre, j’ouvre ma porte pour nous faufiler dans la salle de bain en vitesse.

Une fois la porte fermée, nous sommes tous les deux souriants, amusés, ce n’était pas grand-chose, mais nous sommes tout de même excités. L’eau coule sur nos corps, nous prenons soin l’un de l’autre en se frottant mutuellement. Une fois propre, nous nous habillons, puis nous sortons en direction de la cuisine, pour ce faire un bon petit déjeuner.

Je suis heureuse, je vis des situations auxquelles j’ai pensée depuis que je suis avec Guillaume. Le fait de passer une soirée avec lui, dormir à ses côtés, me réveiller également et passer tous ces moments du quotidien avec lui. J’en ai beaucoup rêvé, et aujourd’hui, je le vis.

Il est presque 10H quand ma mère nous rejoint dans la cuisine, les yeux encore pratiquement fermés. Elle nous embrasse, nous demandant comment c’est passé notre nuit. Puis nous commençons à parler de choses et d’autres, rien de vraiment sérieux.

J’échange bien sûr quelques regards avec ma mère, un léger sourire, complice. Il n’y a aucun doute, elle pense à la même chose que moi, mais nous en parlerons plus tard. Elle demande à Guillaume s’il a quelque chose de prévu aujourd’hui, dans le cas contraire, il pourrait passer sa journée avec nous.

Nous n’avions rien prévu de spécial, mais pourquoi pas improviser une sortie ou autre, pour en profiter. Alors sans plus attendre nous nous préparons, nous n’avons aucune destination précise si ce n’est que sortir prendre l’air, se promener, et passer du temps ensemble.

Nous nous sommes baladés alors tous les trois dans les rues, puis nous sommes arrivés au marché. De là nous avons écoutés un jeune musicien, très talentueux, nous nous sommes aussi laisser faire le portrait par une artiste. Puis nous avons aussi goutés à quelques sucreries, et autres présentent sur le marché, tout en parlant de choses et d’autres.

Nous avons terminés notre balade par un tour dans le parc non loin de chez nous, puis sur le chemin de l’appartement, ma mère est rentrée dans un petit commerce.

Ce fût une journée plutôt simple, mais que j’ai passé avec les personnes que j’aime, et c’est toujours ces moments là qui semble passer le plus vite. Je me dis que j’aimerais revivre à nouveau des journées comme celle-ci, ne pensant à rien, à part le moment présent.

Il est 16H30 lorsque nous arrivons à l’appartement, Guillaume me dit qu’il ne va pas tarder, qu’il ne souhaite pas trop déranger ma mère, bien qu’elle soit ravie de passer du temps avec lui. Mais je comprends surtout qu’il ne souhaite pas que son père lui fasse une scène.

Avant de partir, je lui donne le portrait que la fille à faite de moi, je souhaite qu’il puisse le garder, puis il me donne le sien en retour. Un échange pour que tous les deux puissions garder un souvenir de cette journée, puis sans plus tarder, mon chéri reprend ses affaires, dit au revoir à ma mère avant de passer la porte.

Ma mère est surprise qu’il doive partir aussi vite, mais elle comprend aussi que son père ne soit pas facile à vivre. D’ailleurs, elle l’a très bien ressenti lorsqu’elle a eu au téléphone l’autre soir.

Maman : c’est dommage qu’il soit partit, j’avais pris ça pour vous

Elle dépose alors une boîte toute neuve de préservatif sur le meuble de la cuisine, je souris en voyant cela, mais je sais comment il est, il aurait été gêné d’aller dans la chambre pour faire l’amour sachant que ma mère se trouve dans l’appartement.

D’ailleurs ce matin, c’était plutôt surprenant qu’il me fasse l’amour, mais il faut dire que je ne lui ai pas laissé le choix non plus, en le réveillant avec une gâterie. Au fait en y repensant, je dois en savoir plus du côté de ma mère.

Je lui dis alors que j’aimerais prendre un bon bain en sa compagnie, histoire de nous relaxer de cette promenade dans les rues, et aussi parler de choses plus intimes. Elle me sourit alors, elle sait déjà de quoi je veux parler.

La baignoire se remplie d’eau, pendant que nous nous déshabillons, et une fois pleine, nous prenons place l’une face à l’autre.

Moi : alors dis-moi à propos de ce matin
Maman : je dois dire que le réveil était très spécial ahaha
Moi : en effet oui ahaha
Maman : j’espère seulement ne pas avoir choqué Guillaume, d’ailleurs il n’avait pas l’air troublé ou autres quand je suis arrivée dans la cuisine
Moi : c’est parce qu’il ne t’a pas entendu, j’ai fais en sorte de gémir près de son oreille tout en les couvrant de mes mains, pour masquer tes gémissements
Maman : humm je vois, en tout cas c’était un moment très coquin
Moi : hihi tu t’es bien faite plaisir ?
Maman : oh oui, c’est fou comment une telle situation peut m’exciter à ce point

Nous avons continués alors de parler de ce réveil coquin, sans pudeur, elle m’a avoué comment elle s’est faites plaisir, entièrement nue, de l’autre côté du mur. Je lui ai décris aussi tout ce que j’ai pu ressentir à ce moment là, le fait de ressentir mon chéri au fond de moi, tandis que je l’écoutais gémir elle.

Nous avons également parlés de mes draps, qui étaient complètements trempés après notre acte, tellement j'ai ressenti du plaisir à ce moment. Je me sens rassurée du fait que tout cela soit normal, qu'il peut aussi lui arriver la même chose parfois.

Nous écouter, nous voir, en parler, tout ça ne nous gêne plus du tout je pense, mais cela pourrait être perturbant pour Guillaume ou le prochain prétendant de ma mère, si Marco s’accroche assez. Mais il est vrai que nous avons une telle complicité, qui pourrait passer pour quelque chose de malsain peut-être aux yeux des autres.

En parlant de cet homme, j’ai hâte qu’elle puisse de nouveau le voir, hâte aussi de le rencontrer, de me faire mes propres idées de lui. En tout cas, si en une soirée, il a réussi à lui donner ce sourire, je pense qu’il est très bien parti pour faire chavirer le cœur de ma mère…
chapitre 129 image
Pour le reste du week-end, nous allons le passer tranquillement chez nous. J’ai dû consacrer quelques heures à mes devoirs mais ça a été très vite. J’ai tout de même pu me reposer, passer du temps avec ma mère.

Nous avons regardés un film, enfin je me suis endormie tout contre elle sur le canapé, mais je n’ai pas été la seule à fermer les yeux. Puis plus tard dans la soirée, j’ai commencé à me sentir un peu patraque, je me souviens alors que la nature m’a gentiment offert un cycle menstruel.

Oh quel joie de me sentir mal pendant les quatre jours qui ont suivis, comme si on me broyait les entrailles, d’avoir des nausées et un mal de crane en continue. Franchement, je n’ai même pas réussi à suivre en cours, tellement mes pensées étaient focalisées sur mon mal.

Mes amis sont toujours adorables avec moi lorsque je ne suis pas bien, surtout arrivé à cette période, où il faut dire que j’ai du mal à dissimuler mon état. Et franchement, j’aurais bien voulu pouvoir rester chez moi, c’est tout juste insupportable comme situation.

Mais bon à l’approche du brevet je voudrais être présente au maximum, et ne plus faire comme avant, être absente pour le moindre motif. D’ailleurs mes professeurs, ainsi que le CPE ont salués mes progrès en la matière, notant par la même occasion une amélioration sociale, même si elle reste encore minime.

Et en parlant de sociabilité, depuis le début de la semaine, les élèves semblent de plus en plus penchés sur leur téléphone. Je n’y ai pas prêté attention tout de suite, c’est seulement arrivé en fin de semaine que je fais ce constat.
Il doit sûrement s’agir d’une application à la mode ou autre, j’ai toujours l’impression d’être en retard pour ce genre de chose. Nous arrivons donc au vendredi, j’ai enfin passé la mauvaise période des règles, je n’ai plus de douleurs ou autres, mais je porte tout de même des protections, au cas ou.

Ce matin au réveil, je partage mon petit déjeuner avec ma mère, elle a un sourire incroyable, elle resplendit complètement, je lui demande alors ce qui se passe, puis elle me dit que ce soir, elle revoit de nouveau Marco.

Après avoir de nouveau échangé des messages toute la semaine, ils s’offrent tous les deux un deuxième rendez-vous. Je suis toute contente pour elle, à croire que c’est contagieux chez nous, dès que l’une de nous est heureuse, l’autre ne peut s’empêcher de sourire à son tour, et de s’enlacer.

Fini le petit déjeuner, nous nous préparons toutes les deux en même temps, avant de partir chacune de son côté pour la journée. Lorsque j’arrive devant les grilles pour rejoindre mes amis et mon chéri, je remarque encore que tout le monde est sur son téléphone.

Je salue tout le monde, embrasse mon homme d’amour, puis parlons un peu de ce qui est prévu pour ce week-end. Rien de bien extra pour chacun à vrai dire, mon chéri lui, a eu une petite discussion avec son père, qui n’a pas vraiment aimé être pris au dépourvu par un coup de téléphone.

Il a donc laissé passer pour cette fois, mais je crois qu’il ne faut plus trop essayer d’avoir mon chéri chez moi pour le week-end. Je suis triste, car j’ai vraiment aimé notre soirée, dormir avec lui et tout le reste. J’étais vraiment la plus heureuse durant ces moments.

La sonnerie retentie, nous allons donc chacun à notre salle de cours. Une fois installée, et durant toute la journée, je remarque encore que tous les élèves semblent très distraits par quelque chose. Ils n’arrêtent pas d’en parler apparemment, je tente de saisir quelques discussions au vole, mais à chaque fois ils semblent parler d’une fille.

Même les professeurs étaient semblent t’il a cran, faisant pratiquement la chasse aux téléphones et s’appliquant d’une manière ferme à ce que les élèves cessent de discuter en classe. C’était vraiment bizarre comme situation, je me suis contentée de suivre à la lettre ce que disaient les profs, car au moindre écart, certains élèves ont eu le droit à une visite dans le bureau du principal.

Ce n’est vraiment que lorsque la sonnerie marqua la fin de la journée que je me sens un peu plus légère. Cette atmosphère pesante, rigide, je n’avais jamais connu cela, pourtant que je sais être une élève plutôt calme et obéissante, j’avais tout de même peur de me faire affiché devant tout le monde a être envoyé au bureau du principal.

Je suis arrivée devant la grille retrouvant tout le monde, et la première chose sur laquelle nous sommes d’accord, c’est que cette journée était tout simplement horrible. Je ne comprends toujours pas ce qui arrive, alors je demande à mes amis s’ils peuvent m’éclairer sur la situation, surtout que j’ai entendu parler d’une fille.

Mon chéri me dit qu’il vaut mieux ne pas en parler ici, que nous aurons tout le temps une fois chez moi. Je salue alors tout le monde avant de prendre la route au côté de mon homme, sur le chemin, nous avons simplement parlé de l’ambiance qui régnait dans les salles de cours, de cette tension de la part des professeurs.

Une fois à l’appartement, nous nous installons dans le canapé, puis il me dit que toute cette histoire, c’est à propos d’une fille. En début de semaine ce n’était que des rumeurs, mais qu’après des photos, voir des vidéos d’elle ce sont mis à circuler.

Je suis vraiment surprise d’entendre cela, alors je lui demande précisément ce que ces photos, ou vidéos montrent d’elle. Puis il sort son téléphone, il me dit que Charles les a eu aujourd’hui, et qu’il lui a transmis ça à la fin des cours.

Je découvre alors pour commencer des photos d’une fille, dont on ne voit pas du tout le visage dans des poses plein de charmes. En petit haut, en jupe, en mini short et autres, puis des photos plus osées, en soutien gorge, en maillot de bain.

Puis on découvre ses seins nus, dans toutes les positions possibles, je suis surprise mais en même temps un peu jalouse de sa poitrine. Ses seins sont plutôt gros, plus gros que les miens et bien fermes. On peut voir par moment son sourire, un petit bout de son visage, sans vraiment deviner qui ça peut être. Puis les photos continuent jusqu’à voir son corps entièrement nue, son intimité exposée dans les moindres détails.

Des photos prises de très près, s’aidant de ses doigts pour ouvrir et montrer l’intérieur de son sexe totalement lisse. Nous découvrons tous les deux en même temps ces photos, je lui demande s’il sait comment cela à pu circuler dans le collège.

L’histoire entendu, serait que les photos aient été envoyés à son chéri, une sorte de jeux entre eux, mais que le téléphone de ce dernier soit tombés entre de mauvaises mains. Je reste totalement surprise, mais je semble aussi excitée, voir plutôt curieuse d’en voir plus, mais en même temps dégoutée, car je me mets aussi à la place de cette fille. Je n’aimerais pas que des photos faites pour mon chéri, viennent à circuler dans tous les téléphones des élèves juste parce qu’un petit con les aurait vus et chopés.

Je me demande d’ailleurs comment se sent cette fille en ce moment. Je pose la question à Guillaume si on connait son identité, il me dit que l’on voit apparemment son visage dans les deux vidéos.

Je lui demande alors de les montrer, pour savoir qui est cette fille. Je sais que ce n’est pas bien du tout, que je me sens encore plus mal à l’idée de savoir que son identité est connu de tous. Mais ma curiosité semble plus forte que tout, alors il lance la première vidéo.

Nous la découvrons se filmer, commençant par ses seins qu’elle caresse d’une main, jouant avec ses tétons. Elle les pince, tire dessus jusqu’à ce qu’il pointe complètement, de là sa main descend pour venir toucher ses grandes lèvres, titiller son clitoris, puis s’introduire un doigt. Un deuxième vient à entrer, l’objectif de la caméra braqué au plus près de son intimité, montrant parfaitement ses doigts humide s’introduire dans son orifice.

La vidéo dure déjà près de trois minutes, durant lesquels elle se masturbe de plus en plus vite, jusqu'à se faire jouir, puis c’est au moment où elle remonte ses doigts vers sa bouche, afin de les lécher, que l’on découvre son visage en gros plan.

Je suis complètement choquée de découvrir que cette fille est Marguerite. Elle est en 3ème également, dans la même classe que Nora je crois, et elle sort avec un garçon dénommé Julien. Elle est vraiment gentille comme fille, discrète tout comme lui d’ailleurs, et ils sont ensemble depuis plus longtemps que Guillaume et moi.

Avec Guillaume nous sommes complètement surpris, jamais nous aurions pu penser ça d’eux, et les photos ne laissaient nullement deviner qu’il s’agisse d’elle. Mais maintenant il n’y a pas de doute possible, ce sont bien les mêmes seins, le même corps que l’on voit dans les photos et la vidéo.

Je ne trouve plus du tout mes mots, je me sens gênée au plus haut point. Je me pose tant de questions, mais surtout je me fais du souci pour elle, pour lui aussi car il doit aussi se sentir très mal, surtout si tout ça a fuité à partir de son téléphone.

Je ne sais plus quoi dire, à part demander à Guillaume de passer la deuxième vidéo.

Et là encore, nous assistons à quelque chose des plus intimes. Nous la découvrons à genoux, s’adressant à la caméra, sûrement tenu par son chéri. Elle lui parle, lui dit combien elle l’aime, combien elle aime aussi, et ce sont ses mots, « sa grosse queue ». Elle enchaîne en lui disant combien elle aime l’avoir en main, et la sucer.

Je suis vraiment troublée, et pas que en mal. Sur la vidéo on ne voit que son visage pour le moment, et un geste de sa main, laissant parfaitement comprendre qu’elle le masturbe pendant qu’elle parle. Puis elle s’incline, jusqu'à déposer sa langue sur le gland rosé de son chéri. Cette fois, nous découvrons entièrement le sexe de Julien, complètement tendu et prêt à être englouti par Marguerite.

Du moins si elle y arrive, car en effet, le sexe de Julien est vraiment grand. Je suis étonné de le voir d’ailleurs, et encore plus lorsque je le vois disparaître petit à petit dans la bouche de Marguerite. Elle semble arriver à le mettre en entier sans problèmes.

Je suis un peu jalouse encore, d’abord elle a de plus gros seins, et elle arrive à le prendre entièrement en bouche. Sa fellation semble même être à niveau supérieur au mien vu comment son chéri gémit dans la vidéo.

Je suis ailleurs, complètement subjugué par cette vidéo, à la fois surprise, excitée, jalouse et mal dans ma peau. Je n’arrive vraiment pas à me décider quant à mes sentiments, mais une chose est sûre, je n’aimerais pas être à sa place en ce moment.

Me connaissant, je crois que je me couperais du monde pour le restant de mes jours, m’enfermant dans ma bulle, balançant par la fenêtre tout ce que j’ai pu voir évoluer en moi, pour ne garder que la peur, les jugements, et le sentiment d’abondant.

La vidéo se termine au bout de quatre minutes alors qu’elle le suçait encore. Je ne parle toujours pas, Guillaume me demande si je vais bien, je le rassure alors, mais je me mets surtout à la place de cette fille.

Il me comprends tout à fait, puis il me dit que je n’ai rien à craindre, que nous n’avons jamais fait ce genre de photos ou vidéos, et qu’il n’y a donc aucun risque que cela circule dans le collège. Je suis d’accord mais je ne peux m’empêcher de me sentir mal pour elle.

C’est un couple qui ne fait jamais d’histoires, totalement discret mais qui ont à présent tous les regards des autres braqués sur eux. D’ailleurs en y repensant je ne crois pas avoir aperçu Marguerite ces derniers jours, ce que je peux parfaitement comprendre.
chapitre 130 image
Nous parlons de cela encore pendant un bon moment avec Guillaume, toujours sous l’effet de la surprise. Je me dis que je peux parfaitement comprendre ce que peut ressentir Marguerite à ce moment là, mais je suis sans doute loin du compte. Je ne pourrais jamais vraiment me mettre à sa place, sauf à moins de vivre la même situation.

Nous sommes toujours assis dans le canapé, lorsque ma mère rentre du travail. Elle ne va pas à la zumba ce soir, voulant se préparer pour son deuxième rendez-vous. Elle nous salue comme à son habitude, demandant comment c’est passé notre journée.

Je lui dis que la journée c’est passé de la façon la plus normale, je sais que je lui mens, mais je ne tiens pas à ce que cette histoire puisse gâcher en quoi que ce soit sa soirée. Nous prenons le temps de boire, de discuter avant que mon chéri ne nous quittes pour rentrer chez lui.

Maintenant seule avec ma mère, nous prenons le temps comme avant chaque rendez-vous de lui choisir une tenue, de nous prélasser dans un bon bain, tout en parlant à nouveau de Marco. Nous sortons de la douche pour passer dans la chambre, je reste avec ma mère pendant qu’elle s’habille, se maquille, puis je l’embrasse en lui souhaitant de passer une bonne soirée.

A partir de là, je vais m’occuper comme je peux, je reste sur l’ordi pendant quelques heures à parler sur fb avec Estelle et Kévin. Le sujet de Marguerite n’est pas écarté, et apparemment il s’en dit des choses, quelqu’un a soit disant une vidéo d’elle dans une soirée avec plusieurs mecs, d’autres encore disent qu’elle montre volontiers ses seins contre de l’argent derrière les bâtiments du collège.

Je ne connais pas Marguerite comme si elle était une amie, mais je trouve honteux de propager des rumeurs, des mensonges à son égard. Tout cela me rend malade, je reste malgré tout là à parler avec mes amis, puis je coupe l’ordi pour me faire à manger, essayant de me changer les idées devant un film.

Je n’arrive pas à me retirer ses idées de la tête, je revois les images sur le téléphone de Guillaume, puis sans que je m’en rende compte, je m’endors, épuisée, sur le canapé.

Ce n’est que lorsque que ma mère arrive que je me réveille, surprise par le bruit des clés dans la serrure.

Maman : oh ma chérie, ça va ? Je t’ai réveillée désolée
Moi : humm, je me suis endormie, je…
Maman : on dirait que ça ne va pas, ou tu as besoin de vraiment te reposer
Moi : hummm c’est que…
Maman : oh il y a quelque chose ?
Moi : oui, mais parle moi tout d’abord de ta soirée
Maman : oh, hey bien il y a beaucoup à dire, ça peut attendre demain

Je crois qu’elle a raison, je ne semble pas pouvoir tenir plus longtemps que ça, je suis vraiment fatiguée. Même si j’attendais son retour avec impatience pour savoir ce qui a bien pu se passer, je vais être raisonnable. Je me lève, en titubant, puis l’embrasse avant de me diriger vers ma chambre.

De là je ne me souviens pas avoir été réveillée plus d’une minute, c’est le trou noir jusqu’au matin. En me réveillant, mon premier reflexe est de regarder l’heure, il est 09H45. Je ne pensais pas avoir besoin de dormir autant, et pourtant.

Je me lève, une fois sortie de ma chambre, j’entends du bruit dans la cuisine. Ma mère est déjà debout, alors je la rejoins, l’enlace pour lui dire bonjour, puis m’installe pour prendre mon petit déjeuner.

Je me sens beaucoup plus en forme, et notamment pour écouter ce qu’elle a à me dire sur son deuxième rendez –vous.
Ils étaient ravis, tous les deux de se retrouver, ayant plu l’un à l’autre, ils n’attendaient que cette occasion de se revoir. Le dîner était très agréable, tout comme les longs sujets de conversation qui ont rythmés toute la soirée.

Chacune des histoires les font se connaître un peu mieux, se découvrant toujours plus, leur attirance connaît le même effet. A la fin du repas, ils ont pris le temps de se promener, appréciant chaque moment en la compagnie de l’autre, avant de quitter.

En regardant ma mère ce matin là, elle est comme sur un nuage, heureuse de ressentir se pincement au cœur lorsqu’elle pense à Marco. Je lui demande alors si elle éprouve des sentiments plus fort pour Marco que ceux qu’elle a connut avec Bruno.

Pour elle, les sentiments sont pratiquement les mêmes, gardant l’esprit clair qu’elle passe d’agréable moment, mais que ce n’est encore que le début. Elle sait qu’il ne faut pas se bercer d’illusion, elle verra donc ce que lui réserve leur prochaine rencontre.

Je lui demande alors si elle ressent déjà du désir pour lui, et elle ne peut pas se mentir. Pendant toute la soirée, elle n’a eu de cesse d’avoir des moments d’excitation, auxquels elle aurait voulu se laisser aller. Surtout à un instant précis, lorsqu’il lui a pris la main, alors qu’elle était posée sur la table.

Une caresse sans doute innocente, ou pas, vu comment il semble charmeur, mais qui a eu pour effet de complètement liquéfier son intimité à ce moment là. Elle ne me cache pas qu’à son retour chez nous, une fois dans son lit, elle s’est laissé aller à des caresses jouissantes.

Je ne peux qu’en rire, mais je suis déçue de ne pas l’avoir entendu hier soir, et pourtant, elle ne s’est pas privée de gémir comme il faut. J’étais sans doute trop fatiguée pour l’entendre.

Nous discutons encore de sa soirée, revenant sur des détails, des histoires partagées. Les heures passent, puis nous finissons par aller à nos occupations, un peu de ménage, de musique, de devoir, pour finir la journée par un film que nous regardons toutes les deux.

Dimanche est passé comme s’il n’avait pratiquement pas existé, entre messages, petite sieste et film, cette journée s’est déroulée d’une façon reposante.

C’est donc un choc lorsque lundi nous revenons à une tout autre réalité. Je retrouve mes amis et mon chéri, comme à mon habitude. Puis au moment de regagner nos salles respectives, nous sommes tous invités à rester dans la cour. Je ne sais pas trop ce qui se passe, jusqu’à ce que le principal ne prenne la parole, muni d’un micro.

J’oubliais presque l’histoire de Marguerite, ayant passé le reste de mon week-end focalisé sur la soirée de ma mère. Et pourtant c’est un rappel à l’ordre assez brut qu’évoque le principal. Toute cette histoire a pris une ampleur incontrôlable, qui impose de prendre des mesures.

A partir d’aujourd’hui, toute utilisation de nos téléphones que ce soit dans les salles comme dans la cour sera sévèrement sanctionnée. Si un élève est pris a parler de cette histoire, il sera aussitôt convoqué, voir renvoyé pour quelques jours. D’autres mesures seront adoptées, si les deux premières ne suffisaient pas à freiner cette histoire.

Dans la cour, certains élèves se sentant innocent à tout cela ne comprennent pas pourquoi de telles mesures sont prises, infligeant à tous les mêmes sanctions, qu’ils aient ou non, participer à la propagation de ses fichiers.

Le principal tient alors à expliquer, comment, et pourquoi, il en est arrivé à de telles mesures. Suite à toute cette histoire, aux rumeurs qui ce sont crées, la jeune fille a dû séjourner en urgence à l’hôpital. Pas qu’à cause des photos et vidéos qui ont circulés sur elle, mais aussi suite à des messages haineux, voir provocateur et menaçant qui ont conduit Marguerite à une tentative de suicide.

Cette annonce nous a tous glacer le sang, le silence règne sur tous les élèves présents. Je peux voir sur le visage de certains, la surprise, mais aussi l’incompréhension. Il est difficile de se dire que l’on a pu participer de près ou de loin à cet acte.

Et pourtant c’est le cas comme nous l’explique le principal, le simple fait d’en parler, peut véhiculer des maux qui peuvent affecter gravement une personne dans une telle situation. C’est le cas de Marguerite, qui n’a pas supporté le fait d’être exposé aux yeux de tous, le fait d’être humiliée, insultée, menacée, par des personnes qu’elle considérait sûrement comme des camarades, des amis.

Et ce week-end, Marguerite n’en pouvant plus de tout cela, a pris une décision lourde de conséquences. C’est pourquoi aujourd’hui, le principal se dresse devant nous, pour nous inciter, à cesser tout cela, avant que la vie de notre camarade ne soit perdue, et que cela nous affecte tous.

Le principal nous remercie d’avoir pris le temps de l’écouter, il précise aussi que si nous ressentons le besoin, nous pouvons à tout moment aller voir l’assistante sociale qui est présente toute la journée, afin de lui parler, d’échanger sur ce que nous pouvons ressentir en cas de problèmes ou non.

Cette réunion est close, et nous sommes invités à rejoindre nos salles respectives dans le calme, afin de continuer notre journée. Je crois que c’est la première fois que je vois autant d’élèves marcher dans les couloirs, les escaliers, dans un silence maître.

Le reste de la journée s’est déroulée d’une manière exceptionnelle, les professeurs n’ont pas eu besoin de lever la voix, de nous rappeler à l’ordre ou autre. Au contraire, ils étaient eux aussi calmes, et chaques cours, ou mots prononcés, pouvaient nous rappeler combien les actes peuvent avoir de grandes conséquences.

A la fin de la journée, avant de quitter la dernière heure de cours, nous avons tous reçus une lettre à remettre à nos parents, expliquant la situation, et les mesures prises à ce jour. Un mail leur sera également adressé, mais la leur remettre nous même signifie que nous comprenons parfaitement ce qui a été fait, et la situation dans laquelle se trouve actuellement Marguerite.

A la sortie, je retrouve mon chéri, avec qui je marche longuement jusqu’à arriver chez moi. Nous n’avons pas arrêté de parler, de nous mettre à la place de cette fille, même si nous n’y arriverons jamais vraiment. En tout cas, la présence de Guillaume me réconforte, surtout après cette journée.

Je lui demande aussi ce qu’il a fait des photos et vidéos, il me dit qu’il les avait supprimés depuis vendredi, ce qui me rassure encore plus. Lorsque ma mère est rentrée de son travail, je lui ai aussitôt donné la lettre. En la lisant elle était sous le choc de la nouvelle, me demandant aussitôt comment je me sens.

Je lui dis que je vais bien maintenant, même si je semblais un peu patraque pendant cette journée. Nous en avons encore parlés tous les trois, puis après que Guillaume soit partis, ma mère me demande si nous avons fait des photos du genre, ou même des vidéos.

Je la rassure de suite que non, que Guillaume ne m’en a jamais demandé, et que suite à cette histoire, nous savons tous les deux les risques encourus. Nous avons passés le reste de la soirée à parler calmement, puis je suis restée avec ma mère, à me blottir contre elle dans le canapé, cherchant peut être du réconfort, ou alors à me sentir en sécurité.

Je ne souhaite vraiment pas vivre cela un jour, je ne sais dans quel état je pourrais me retrouver alors. Mais j’ai de la chance d’être entourés de bonnes personnes, qui m’aime et qui prennent soin de moi, ils sont tout ce qu’il me faut, et bien sûr, j’espère de tout cœur, que toute cette histoire va s’arranger au plus vite, même si je le sais, ce sera encore très dur à vivre pour Marguerite…
chapitre 131 image
Une nouvelle journée s’annonce devant nous, une de plus qui vient s’ajouter dans une routine, une machine bien huilé, et pourtant, tout semble aujourd’hui différent.

J’arrive comme à mon habitude devant la grille, je salue tout le monde, puis me blotti dans les bras de mon chéri. Mais tout autour de nous semble plus calme, nos camarades sont beaucoup moins agités et plus personnes ne regardent son portable.

Lorsque la sonnerie raisonne, tout le monde regagne sa salle dans le plus grand calme. En classe, les cours sont plus faciles à suivre, même les élèves les plus turbulents semblent disciplinés. Tout le monde se sent vraiment concernés par ce qui est arrivé à Marguerite.

Et tous les jours de cette semaine seront de mêmes, sans le moindre incident, si ce n’est qu’un ou deux élèves qui ce sont vu confisqués leurs portables, ou alors certains qui sont allés voir l’assistante sociale.

Pour ma part aussi je me suis sentie gênée, voir vulnérable au regard de certains camarades, je me suis mise à imaginer leurs pensées, des moqueries, des jugements. Chose que je n’avais pas faites depuis longtemps.

Les moments que j’ai pu passés seule avec mon chéri à l’appartement n’ont pas été les mêmes qu’auparavant. Cette histoire m’a affecté au point de me couper toutes envies de sexe. J’avais l’impression que l’on pouvait nous épier, nous photographier, et nous afficher aux yeux de tous.

Aussi je m’excusais auprès de mon chéri, mais heureusement, il me comprenait parfaitement, se remettant lui aussi en question. Je suis persuadée que nous n’avons pas mal agis, toute fois, cette semaine passe en se posant mille et une questions, sans jamais vraiment trouver de réponses.

J’en ai beaucoup parlé aussi avec ma mère, elle s’inquiète pour moi, car elle sait que je me sens mal pour ma camarade, et elle sait que dans ses moments là, j’ai tendance à accumuler les problèmes des autres, et les reporter sur moi. C’est dans ces moments là que je tombe dans une spirale infernale de perte de confiance, et elle ne souhaite pas que j’en arrive là.

D’ailleurs à trop s’inquiéter pour moi elle en est presque à vouloir dire non pour la nouvelle invitation de Marco à dîner. Il en est hors de question, mais elle ne voudra jamais me laisser seule ici, avec ce qui se passe. Encore si Guillaume pouvait passer une nuit à nouveau avec moi, ce serait super, elle serait plus rassurée, mais son père est loin d’être aussi compréhensible.

Heureusement que j’ai une autre solution, et je remercie le ciel d’avoir des amis en Or. En parlant de tout cela avec Estelle, elle m’invite à passer la nuit de vendredi chez elle, comme ça je ne serais pas seule, et ma mère pourra aller sans crainte à son rendez-vous.

Je rentre donc chez moi après cette semaine de cours, imprégnée d’une ambiance terrible. Ma mère ne tarde pas à rentrer, nous discutons de nos journées pendant près d’une heure, avant qu’elle aille à la douche, pendant que je prépare mon sac. Ce soir Estelle souhaite que l’on sorte avec ses parents pour aller jouer au bowling. Cela faisait vraiment longtemps, et j’ai hâte aussi de revoir ses parents.

Lorsque je retrouve ma mère dans sa chambre, elle est vêtu d’une belle robe bleue nuit, lui arrivant à mi cuisse, et la mettant magnifiquement en valeur. Ce soir, Marco en aura plein les yeux en la voyant dans cette tenue. En tout cas, je sais qu’ils passeront une agréable soirée tous les deux.

Il est 19H lorsque les parents d’Estelle arrivent en bas de chez moi pour me récupérer. J’embrasse ma mère en lui souhaitant de passer une agréable soirée, puis je m’empresse de descendre, et nous voila partis pour une soirée bowling.

Une fois sur place, nous prenons nos chaussures, et attendons notre tour. Il y a pas mal de monde ce soir, alors nous prenons le temps de discuter. Estelle me lance des regards, elle a repéré quelques garçons plutôt mignons, à qui elle envoie de petits sourires. D’ailleurs ça nous fait bien rire, surtout qu’elle a bien attiré l’attention de deux d’entres eux.

Quand vient notre tour, c’est chacun pour soit, il y a de beaux lancés comme de belles gouttières, surtout de ma part, du coup, je finis dernière au classement tellement je ne suis pas douée. Il faut dire que c’est ma deuxième fois, mais bon, je m’amuse comme une folle, et comme d’habitude, Estelle n’hésite pas à prendre des photos.

Nous devons laisser la place à d’autres, alors nous profitons de ce moment pour manger un morceau, puis allons sur les machines d’arcades pour passer le temps. Pas loin de nous, les deux garçons à qui souriaient Estelle n’arrêtent pas de nous regarder. Ils finissent par nous rejoindre et entamer la conversation. Ils ne sont pas très délicats dans leur approche, mais cela plaît à Estelle.

Nous faisons les présentations, il y a Thomas, très grand brun qui est après Estelle, et Mattéo, blond et qui je dois dire est très grand aussi. D’ailleurs il me fait penser à mon cousin. On commence donc à jouer ensemble, à rire en attendant notre prochain tour sur la piste.

Les garçons sont les prochains, bien entendu Thomas ne manque pas de proposer à Estelle de se joindre à eux, pour faire une partie, filles contre garçons. Je sais déjà quel sera le résultat, mais Estelle accepte volontiers.

Les parents d’Estelle nous laisse aller en piste avec les garçons, ils restent tranquillement à une table. Nous passerons donc le reste de la soirée à nous amuser avec eux, grâce à moi on a fait que perdre, même si à un moment j’ai fais équipe avec Mattéo. Ce qui n’a pas du tout changé le résultat.

A la fin de la soirée, Estelle et Thomas ont échangés leur numéro, Mattéo voulait aussi le mien, mais je lui ai tout simplement dis non, que je suis déjà avec quelqu’un.

En rentrant à l’appartement, nous allons toutes les deux à la salle de bain, puis laissons la place à ses parents. Et nous voilà en pyjama dans la chambre d’Estelle, à reparler de la soirée, des photos prises, de nous, mais également avec Thomas et Mattéo.

D’ailleurs en parlant d’eux, il n’aura pas fallu attendre longtemps avant qu’Estelle reçoive un sms de Thomas. Ils passent la soirée ensemble tout comme nous, alors pendant que nous discutons entre filles, nous parlons également avec les garçons par messages.

Thomas ne manque pas d’assurance en disant qu’ils auraient aimés passer le reste de la soirée avec nous, et continuer de nous amuser ensemble. Ils s’échangent bien sûr leur profil fb pour mieux se parler. Nous continuons de rires tout les quatre par message, s’envoyant des débilités, et émojis de tout genre. Puis nous avons commencé à nous envoyer quelques photos, tout d’abord de nous tout simplement, souriant, faisant des grimaces et autres.

Là les garçons ont envoyés une photo d’eux torse nu, ce qui nous a fait pouffé de rire. Puis Estelle entre très vite dans son jeu, en leur envoyant une photo d’elle en culotte et débardeur qu’elle relève pour dévoiler un peu son corps. De là, les messages sont devenus de plus en plus coquins.

Mais ce qui me gène le plus, c’est que sur cette photo, on me voit également allongée à côté d’Estelle, et que l’on peut voir un peu ma culotte.

Je n’aime pas trop ça, j’ai l’impression de tromper Guillaume, alors que je ne fais vraiment rien, mais elle me dit que ce ne sont que des messages, et que c’est juste pour rire. Mattéo me fait savoir qu’il a le cœur brisé que je ne lui ai pas passé mon numéro. En même temps, je ne vais pas le lui passer alors que je suis en couple.

En voyant les messages que peut envoyer Thomas, je me demande si Estelle est vraiment attiré par ce mec. Elle me regarde droit dans les yeux et d’un air navré, elle me dit que non, il est certes mignon, mais il semble courir très vite après les filles.

Au début tout était bien, on ne faisait que rire, même selon moi, ce n’était qu’un jeu innocent. Mais là, les messages deviennent osés, les photos aussi, alors je demande à Estelle si on peut arrêter là. Elle comprend alors que je ne suis pas bien, et coupe court à la conversation avec eux en leur souhaitant tout de même une bonne soirée.

Elle s’excuse aussi, elle s’est laissé prendre au jeu, les choses en entrainant une autre. Je sais qu’elle aime ça, plaire aux autres, et parler aussi, vu qu’elle va sur des sites de tchat. Alors je ne peux pas lui en vouloir, mais après la semaine que nous venons de passer, et ce qui est arrivé à notre camarade, je ne peux qu’être méfiante.

Elle s’excuse encore, mais elle est déjà toute pardonnée. J’avoue avoir tout de même passé une bonne soirée en leur compagnie, mais que pour moi ça s’arrêtait là, puisque j’ai déjà un chéri. En parlant de Guillaume, j’en viens à lui dire que nous n’avons pas eu de relation depuis deux semaines.

Elle rit en me disant qu’elle en a pas eu depuis les grandes vacances, donc deux semaines ce n’est rien, et que je vais sûrement me rattraper, et me faire pardonner comme il se doit. On ne peut s’empêcher de rire, surtout qu’elle en rajoute en disant que ça lui gratte vraiment.

Nous avons continué de parler garçon, mais aussi de l’homme que fréquente ma mère en ce moment. Je lui dis tout ce que je sais, bien que je ne l’aie pas encore rencontré. Il semble être sérieux et très attentionné envers ma mère, et c’est tout ce que je souhaite.

Elle me demande si je l’imagine déjà devenir mon beau-père, ce à quoi je ne sais pas trop quoi répondre. Il est vrai qu’avec Bruno, j’avais eu un bon feeling, que je le sentais vraiment s’investir pour jouer un rôle de beau-père. Mais bon, à quoi ça sert de s’avancer, il vaut mieux voir comment les choses vont évoluer avant tout.

En regardant l’heure, il se fait tard, et je pense qu’il est temps de fermer les yeux. Surtout que nous ne tenons plus vraiment, que l’on se parle à moitié endormie. Nous éteignons tout, puis elle m’enlace tout en me déposant un bisou sur la joue, que je lui rends aussitôt.

C’est tout ce dont j’avais besoin ce soir, pour oublier la semaine que nous venons de passer. Malgré quelques travers en fin de soirée, je me suis beaucoup amusée, j’ai ris à en avoir mal aux abdos, et tout cela grâce à ma meilleure amie.

Tout en fermant les yeux, je pense à mon chéri, mais aussi à ma mère, elle ne m’a pas envoyé de message pour me dire si elle est rentrée, ou comment s’est passé sa soirée. En tout cas j’espère qu’elle aura été aussi bonne que la mienne, et j’ai vraiment hâte de la revoir demain pour qu’elle me raconte tout…
chapitre 132 image
A mon réveil, je me sens encore un peu fatiguée, je me laisse le temps de somnoler. Dans la chambre d’Estelle, il fait chaud, et la lumière pénètre peu au travers des rideaux. Je ferme les yeux, pensant à mon chéri, à ma mère, j’aimerais d’ailleurs regarder mon téléphone, voir si j’ai un message d’elle, mais je n’ai vraiment pas la force de bouger.

Je me demande quelle heure il est, je n’entends aucun bruit dans l’appartement, les parents d’Estelle doivent sûrement dormir encore, profitant du samedi pour une grâce mat bien méritée. Au bout de quelques minutes de silence total, j’entends un rire féminin, provenant de l’autre chambre.

Ils se lèvent à peine sûrement, mais en entendant les rires, je me dis aussi que les murs ici sont fins. Je me demande alors si Estelle a déjà entendu ses parents faire l’amour au travers des murs. Je me demande également si c’est ce qui va se passer dans quelques minutes.

Je tends l’oreille, j’entends toujours quelques rires, quelques voix, mais rien de plus ne se passe. A part la porte qui s’ouvre, puis des bruits sourds dans la cuisine. D’ailleurs Estelle ne tarde pas à se réveiller, peut-être a t’elle entendue ses parents se lever.

En ouvrant ses yeux, elle me regarde directement, puis me souris avant de venir me faire un câlin. On se met à parler toutes les deux, si on a bien dormi et autres. Elle regarde son téléphone, elle y voit un message de Thomas, qui apparemment a bien accroché sur elle.

Je lui demande si elle va lui répondre, elle ne sait pas vraiment, peut-être qu’elle va lui laisser une chance. Mais pour le moment elle le laisse de côté, je lui parle un peu de ce qui s’est passé hier soir, de la façon qu’elle a réagi avec ce garçon en lui envoyant des photos, alors que nous venions de vivre une semaine un peu spéciale.

Elle me regarde droit dans les yeux, puis me dit qu’elle est triste pour Marguerite, mais que la vie ne s’arrête pas là. Je ne la comprends pas tout à fait, alors elle s’explique au mieux.

Pour elle, Marguerite ne mérite pas du tout ce qui est arrivé, et même si tout le monde se sent un peu responsable, parce qu’ils se sont envoyés les fichiers ou autres, on ne fait pas sa vie autour de se qui vient de se passer.

Estelle ne veut pas s’interdire de rencontrer un garçon, de lui parler, et de s’amuser avec lui sous prétexte qu’une fille vient de vivre un enfer. Elle souhaite vivre sa vie comme elle l’entend, pour elle, il n’y a que ses parents qui ont le droit de lui dire quelque chose.

Alors elle joue le rôle en suivant les règles établie à l’école, mais en dehors, elle est libre de faire ce qu’elle veut. En parlant avec elle, je me rends compte que oui, je prends parfois les choses beaucoup trop à cœur. Après je me sens mal pour toutes ces choses qui se passent autour.

Estelle rajoute qu’il est normal de compatir pour Marguerite, mais qu’à côté, les choses continuent. Peut-être que nous aurons appris à ne pas recommencer ce genre de chose si cela arrive de nouveau, ou peut-être que non. Et même si cela lui arrive un jour, ou autre chose qui sait, la vie continue son chemin, et elle en fera autant.

Je vois ce qu’elle veut dire, il est vrai qu’elle a toujours été ainsi, pas insouciante, mais libre. Elle est mon exact opposé, j’aimerais parfois être comme elle, oser les choses sans me poser des tas de questions avant.

A y repenser, j’ai tout pris sur moi, et je l’ai également reporté sur Guillaume, je n’étais plus la même avec lui pendant toute cette semaine, alors qu’on aurait tout simplement pu continuer de vivre normalement.

Je viens alors enlacer Estelle, la remerciant d’être mon amie, de m’ouvrir les yeux sur beaucoup de choses. Depuis petite, je vis refermé sur moi-même, je m’interdis beaucoup de choses, de peur d’être mal vu, jugé. Et c’est grâce à Estelle, et aussi ma mère que depuis peu, j’avance, que j’évolue enfin, pour devenir plus libre.

Alors oui je vais prendre comme leçon ce qui s’est passé pour Marguerite, mais je dois aussi continuer de vivre, d’aller vers mes propres expérience, même si un jour ça se passe mal.

Nous sommes toujours allongées toutes les deux dans le lit quand la mère d’Estelle vient toquer à la porte. Elle passe légèrement la tête dans l’ouverture pour nous dire que le petit déjeuner est prêt. Sans plus attendre on se lève, s’habille un peu plus puis nous allons à la cuisine.

A table nous reparlons de notre soirée bowling, et le père d’Estelle ne manque pas l’occasion pour taquiner sa fille avec les garçons rencontrés hier soir. Il n’arrête plus, et Estelle en devient rouge par moment, ce qui me fait rire.

A la fin du petit déjeuner, qui s’est étendu jusqu’à pratiquement 10H, je regarde mon téléphone et vois plusieurs messages. Il y en a de Guillaume, il est vraiment en or mon chéri, mais aussi de ma mère, m’indiquant qu’elle est rentrée.

Je suis soulagée je pense de savoir qu’elle soit à l’appartement, mais cela veut aussi dire qu’elle a passé la soirée avec Marco, pour le coup j’ai hâte d’entendre son récit. Par contre, je ne pense pas que je vais rentrer de si tôt, puisque les parents d’Estelle me proposent de passer la journée avec eux, une sortie improvisée que j’accepte volontiers.

Une journée à flâner dans les rues, à rire, à me vider la tête. En passant devant l’aquarium, notre curiosité a été plus forte que tout. Il faut dire que je ne suis jamais rentrée à l’intérieur, car étant petite, et enfermée dans ma bulle, je n’ai pas participé à la sortie pédagogique organisée par mon école.

Je n’avais nullement envie aussi d’y aller même avec ma mère, de peur d’être dans un endroit rempli de gens inconnus. De ce fait je découvre pour la première fois ce lieu, les yeux grands ouverts, et émerveillés par ce monde aquatique. Nous prenons quelques photos dans les zones autorisées, pour en garder un maximum de souvenir. Un moment inoubliable pour moi, passé en compagnie d’une famille aimante.

A la sortie, il est pratiquement 16H, le temps est venu pour moi de rentrer je pense. Je repasse par chez Estelle pour récupérer mes affaires, puis on me dépose en bas de mon immeuble. Après les avoirs remerciés pour ces moments passés, je monte les escaliers en vitesse, pressée de voir ma mère et d’entendre ce qu’elle a, à me raconter.

Lorsque je passe la porte d’entré, je ne trouve personne dans la cuisine ni dans le salon. Je m’avance, empreinte le couloir, la salle de bain est vide, puis je la vois dans sa chambre, en train de ranger son linge.
Je viens l’enlacer, elle me sourit, heureuse de me voir également, puis nous nous installons sur son lit. Elle sait déjà ce que j’attends d’elle, mais elle aime ça, me faire languir.

Moi : allez maman, comment s’est passé ton rendez-vous là ?
Maman : ah mais c’est ça que tu attends ?
Moi : ba oui rooo, comme si tu ne le savais pas…

Elle en rit, puis me regarde dans les yeux avant de commencer. Hier soir Marco, était très élégant, toujours aussi soigné, et gentleman. Lorsqu’ils se sont retrouvés, il est venu déposer ses lèvres près de celles de ma mère. Un baiser doux et électrifiant, annonçant d’emblé que la soirée sera rempli de désir pour tous les deux.

A table les regards n’ont cessés de se croiser, de se perdre, de pétiller l’un pour l’autre. Des sourires au tout début timide, puis plus présent par la suite, laissant place parfois à des rougissements. Le repas était excellent, le vin également, elle ne se souvient plus très bien combien de verre elle a pris, elle sait seulement qu’elle se laissait aller volontiers.

Leurs doigts se sont entrecroisés pendant tout le repas, puis se sont liés au moment du dessert, pour ne plus se lâcher. Ils ont beaucoup parlés, rit également, puis ils ont quittés le restaurant aux alentours de 22H.

Ils ont longuement marchés, se tenant la main, s’approchant de plus en plus pour finir par s’embrasser près de la voiture de Marco. A cet instant, ma mère a commencé à ressentir une chaleur lui monter de l’intérieur, pour venir se concentrer dans son bas ventre.

Le baiser dure, il devient de plus en plus prononcé, captivant, voir fou. Leurs mains viennent se mêler au jeu, ils s’attrapent, se caressent. Ils sont là au milieu de la rue à s’échanger ce premier baisé totalement fou. Ce n’est que lorsqu’un autre couple passe près d’eux qu’ils ne reviennent à la réalité.

Ma mère est complètement perdue, puis Marco lui propose alors de venir chez lui. Sa réponse fut direct, instinctive. Mais c’est surtout son désir qui a répondu avant tout, une envie de sexe, de mâle intense.

Sur le trajet, elle ressent son cœur battre, son corps devenir chaud, son intimité se resserrer. Elle ne peut qu’attendre d’être arrivée à destination, et heureusement que l’appartement de Marco ne se trouve pas très loin, sinon elle pense qu’elle aurait pu bruler sur place.

En sortant de la voiture, elle titube légèrement, la tête qui tourne un peu sous l’effet de tous ses verres de vins. Mais Marco la soutient, ses bras sont forts, et sa main n’a pour effet que d’électriser le corps de ma mère.

Elle retire ses talons pour marcher plus facilement, et une fois la porte d’entrée franchit, ils se jettent de nouveau l’un sur l’autre, pour ne plus se séparer. Leurs vêtements sont tombés un à un dans le couloir, jusqu'à rejoindre le lit, complètement nue.

Lorsque je vois ma mère me raconter tout cela, elle éveille en moi un désir, ses yeux semblent regarder au loin, se rappelant la soirée qu’elle vient de passer, une nuit entière à faire l’amour, à ressentir ce plaisir tant voulu.

Elle craignait un peu leur première fois, le fait de ne pas être à la hauteur, ou alors d’avoir visé trop haut pour ses attentes. Mais au final, elle fût très satisfaite, en tout point. Son regard toujours perdu, elle me dit avoir jouie plusieurs fois durant la nuit, et toujours d’une force incroyable, jusqu’à en être totalement épuisée.

Ils se sont endormis au petit matin, dans les bras de l’autre, puis ils ont remis ça à leur réveil, ainsi que dans la douche. Elle se sent comblée, d’avoir eu ces moments à deux, du sexe intense, dans lequel elle a ressenti tout le plaisir d’être follement désiré.

Je ne sais pas combien de fois elle a prononcé les mots « fou », « folle », follement ». En tout cas, son récit m’a follement excitée, ah, je crois qu’elle a déteint sur moi.

En tout cas, je la vois sourire, heureuse de cette soirée, et elle a hâte de le revoir. Il en est de même pour lui, bien qu’ils ne veuillent pas trop brusquer les choses, ils vont donc devoir attendre leur prochain rendez-vous, qui est programmé pour le vendredi suivant…
chapitre 133 image
Après avoir entendu le récit de ma mère quant à sa soirée avec Marco, je n’avais qu’une envie, retrouver Guillaume et lui sauter dessus. Je me sens un peu stupide de mettre braqué comme je l’ai fait suite à ce qui s’est passé pour Marguerite.

Mais cela était plus fort que moi, je me sentais mal pour elle, alors que je devrais tout de même continuer à vivre mes expériences comme le dit Estelle. Pour le coup, je n’ai pas su gérer mes émotions comme d’habitude, heureusement pour moi que Guillaume est très compréhensif et toujours patient.

J’en parle avec ma mère, lui racontant tout d’abord ma soirée avec Estelle et ses parents, puis la rencontre de deux garçons, ainsi que ce qui s’en est suivie une fois rentré du Bowling. Elle sait que je n’ai rien fait de mal, pourtant j’avais l’impression quelque part de tromper mon chéri, le fait de parler avec un autre, de lui plaire et d’avoir envoyé cette photo.

Ma mère me confronte à une chose, en me demandant si ses garçons ne connaissent pas Guillaume, ou alors ses amis. Je n’y avais pas du tout pensé, et je me mets à baliser, à tourner toutes sortes de situation dans ma tête.

J’espère vraiment que ses garçons ne sont pas du genre à montrer aussitôt à leurs amis, les photos des filles qu’ils ont pu rencontrer. Dans quel cas, je crains le pire si cette photo arrive aux yeux de Guillaume.

Ma mère essaie tout de même de me rassurer, que ce n’était sûrement qu’un jeu sur le moment, et qu’il n’y aura pas de suite. C’est tout ce que je souhaite, je ne voudrais pas décevoir mon chéri pour une photo, surtout que je ne voulais pas y figurer dessus.

Je finis par lui parler du point de vue d’Estelle, sur l’histoire de Marguerite, et ma mère est d’accord avec ce qu’elle dit. Que je ne dois pas me heurter, m’imposer une limite à ma vie dès que quelque chose se passe autour de moi. Mais elle sait mieux que quiconque comment je suis, et elle sait que c’est tout à fait normal pour moi de me sentir aussi mal pour ma camarade.

Elle a toujours essayé de me sortir de cette spirale dans laquelle je me plongeais pour le coup. Elle faisait toujours de son mieux, mais le déclic devait venir de moi, selon la psy que je suivais toute petite.

Et je pense que ce déclic, je le trouve aujourd’hui, il m’en aura fallu du temps, et il en faudra sûrement encore pour totalement me sortir de là. Toute la nuit, je vais me remettre en question, repensé à tout mon chemin parcouru. Revoir des situations extrêmes de mon passer, que je peux trouver aujourd’hui tout à fait banales, ou sans grand intérêt. Une nuit à comprendre que j’aurais pu mainte et mainte fois éviter des situations de crise ou autre en ne rapportant pas les problèmes des autres à ma personne.

Après toute cette nuit à cogiter dans mon lit, je passe la journée de dimanche comme une marmotte tranquillement installée dans mon lit. Je continue à me recentrer, mais également à discuter sur mon téléphone avec Guillaume, mais aussi Karine, avec qui j’échange beaucoup. Elle me pose toujours autant de questions sur mon chéri et moi, en allant très loin sur les sujets intimes.

Mais c’est ma cousine, et avec elle je me confie aussi librement qu’avec ma mère, surtout après tout ce que nous avons partagé. Ce qui a pour effet de me titiller un peu, et je pense que ça doit être aussi le cas pour elle. De son côté il n’y a pas de garçon en vue, ou du moins ils sont déjà en couple. Mais elle me dit avoir qui l’intrigue en ce moment, qu’elle préfère attendre encore. Pour le coup je me demande bien ce qui peut se passer de son côté.

En parlant de tout cela, elle a hâte de me revoir aux vacances, passer des heures, voir des nuits avec moi et peut être plus comme elle s’amuse à le dire. Je ne peux que rire devant sa folie, je m’y vois déjà, à profiter des beaux jours pour me balader avec elle et mes cousins, et voir ce que ces vacances me réserve.

Discuter avec elle toute cette journée, n’a fait que de m’exciter. Je suis dans ma chambre, alors je me dis pourquoi ne pas me laisser aller à une caresse. Je ferme doucement les yeux, je glisse ma main vers mon intimité, puis je suis coupée par la voie de ma mère.

Elle m’appel depuis la cuisine, car il est l’heure de dîner. Je n’ai vraiment pas vu le temps passer, tout au fond de mon petit cocon. A table nous parlons de tout et de rien, puis je passe le reste de la soirée devant la télé avec ma mère. Et pris par la fatigue je vais me coucher, surtout que demain c’est lundi.

Une nouvelle semaine qui s’annonce, mais les règles restent inchangés, du moins jusqu’à nouvel ordre. L’ambiance est donc toujours aussi calme, je retrouve comme à mon habitude mes amis et mon chéri.
Pendant les cours, je ne suis pas vraiment, je pense sans cesse. Des pensées mêlant mon chéri et ma cousine, surtout après lui avoir parlé hier. Je n’ai rien fait avec Guillaume depuis deux semaines, et je dois dire que je commence à ressentir un sérieux manque. De plus, ma cousine à réveiller en moi un désir en ne faisant que parler de sexe par message.

Je crois que dès la fin de la journée, et surtout en rentrant chez moi, je vais me jeter sur Guillaume. Je m’imagine déjà, me rendant encore plus désireuse que je le suis déjà. Et comme par hasard, les cours semblent interminables, cette journée n’en finit plus.

L’horloge au mur semble en panne, ce n’est pas possible, et il fait de plus en plus chaud. Quand arrive enfin la fin de la journée, mes affaires sont déjà prêtes, la sonnerie retentie à peine que je me lève pour sortir de la salle, mais mon professeur demande à me voir.

Ce n’est pas possible ? Pourquoi maintenant ? Et surtout qu’est-ce qu’elle me veut ?

Je m’approche donc de Madame Morel qui est ma prof de math, mais aussi mon professeur principal. Elle ne souhaite rien de plus que de discuter avec moi sur la situation actuelle, étant donné que j’ai facilement tendance à me renfermer. Elle veut savoir comment je vais, vu que l’examen du brevet approche, elle ne voudrait pas que les évènements récents puissent interférer en quoi que soit.

Elle me connaît depuis longtemps maintenant pour m’avoir eu dans sa classe des années de suite. Comme elle me l’a dit la dernière fois, elle est contente de voir tous ces changements en moi, qu’elle espère que je vais continuer ainsi, et surtout, si j’ai un souci, de ne pas hésiter à venir lui en parler.

Je la remercie pour tout avant de la laisser, elle est très gentille, mais j’avoue que mes pensées étaient plutôt orientées vers autre chose. Avec toute cette discussion j’ai bien perdu une dizaine de minutes, heureusement pour moi mes amis et mon chéri sont toujours devant la grille, je les rejoins alors, avant de tenter une rapide retraite vers chez moi pour pouvoir profiter de Guillaume.

Sur le chemin il n’y a rien de spécial, si ce n’est que mon désir ne fait que grandir, puis une fois arrivés à l’appartement, je découvre que ma mère est déjà rentrée.

Je suis contente de la voir, mais j’avoue que ça gâche tout, surtout sachant d’avance que Guillaume ne voudra rien faire en sa présence. Je dois me résigner, ce n’est pas aujourd’hui que je pourrais assouvir mes envies semble t’il.

Je suis légèrement agacée, mais je passe tout de même un bon moment, entre discussion banale et rires.
Lorsque je vois mon chéri partir, je ressens toujours un vide en moi, mais là encore plus. Tout le long de la soirée, je vais continuer de ressentir cette tension au creux de mes reins, cette envie intense. Je tente tant bien que mal de penser à autre chose, en faisant mes devoirs, ou en passant le reste du temps devant la télé. Mais rien y fait, et cette nuit je vais tourner dans mon lit.

Le jour suivant, rien ne change, la même ambiance, les mêmes couloirs, et mon corps qui réclame de plus en plus celui de mon chéri. J’aurais très bien pu me faire plaisir dans la nuit, comme je sais si bien le faire, mais je souhaite avant tout le corps de Guillaume, je souhaite son sexe, pas mes doigts.

Je n’attends qu’une chose à nouveau, la fin des cours, ce moment libre, où je peux être avec mon chéri seul à seul durant quelques minutes, durant lesquels je pourrais me jeter sur lui. La sonnerie, enfin, je me précipite comme une furie vers la grille, telle une tigresse en chasse, connaissant très bien sa proie, son goût succulent qui pourra la satisfaire.

Je l’enlace sans qu’il m’ait vu arriver, puis je lui glisse à l’oreille que l’on peut y aller, mais là encore, la déception. Il doit travailler avec Charles sur un nouveau projet, qui selon lui sera plié en une soirée, voir deux. Je garde le sourire, mais au fond de moi, je suis triste.

Je ne sais pas trop quoi dire, si ce n’est que lui souhaiter une bonne soirée. Il m’embrasse, puis me dit que demain nous aurons tout le temps qu’il faut, en me faisant un clin d’œil. Ce petit geste de sa part, m’encourage, me réchauffe, alors je le laisse aller.

Sur le chemin du retour, je suis tout de même déçue, de marcher seule, me dire que je devrais attendre jusqu’à demain. Ou alors, dès que je rentre je peux me faire plaisir, oui, me toucher, me masturber comme je sais si bien le faire.

Humm, non, je ne veux pas, j’ai vraiment envie de le faire avec Guillaume, pas avec mes doigts, j’ai tenu jusque là, alors je peux attendre jusqu’à demain. Une fois chez moi, ma mère arrive peu après, elle me demande comme d’habitude comment s’est passé ma journée, puis nous discutons.

La soirée se passe normalement en gardant un goût amer de déception dans la bouche. Je tente encore de penser à autre chose, pour mieux me contrôler, mais là encore c’est difficile, surtout lorsque ma mère me propose de prendre un bain avec elle.

Rien que le fait d’être avec elle dans la salle de bain réchauffe mon corps, alors lorsque je la vois se déshabiller, mon sang bouillonne. Nous nous installons dans une eau chaude, qui n’aide pas du tout à calmer mes ardeurs.

Mais c’est surtout la vision de son corps nue qui me met dans tous mes états, et particulièrement cette petite nouveauté. En effet, je découvre ce soir que ma mère a opté pour le rasage intégral. Je suis surprise, et mes yeux sont comme attirés par son intimité totalement lisse.

Maman : pourquoi tu me regardes comme ça ?
Moi : euh, rien, mais… depuis quand es tu complètement rasée ?

Ma mère éclate de rire, elle a oublié ce petit détail, puis elle m’explique que c’était pour changer, et surtout pour faire plaisir à Marco. En tout cas le résultat la change du tout au tout, en la voyant ainsi devant moi, son intimité ainsi exposé sans le moindre poil, nous dévoile de grandes lèvres ferment.

Ma mère me sourit, puis elle s’installe confortablement, me retirant ce magnifique tableau des yeux. Elle apprécie les compliments que je lui fais sur cette nouvelle coupe, Marco en est ravi également. En me voyant, elle devine que je suis légèrement à cran, puis me demande ce que j’ai.

Je lui explique alors toute l’histoire, puis elle se met à rire de nouveau. Je lui dis combien j’ai hâte d’être à demain, de venir ici avec Guillaume et de lui faire l’amour. Elle me dit tout à fait me comprendre, puisqu’elle est dans la même situation que moi. Enfin pas tout à fait, puisque ça lui fait que depuis vendredi dernier qu’elle n’a rien fait. Et pourtant ce n’est pas l’envie qui lui manque de le rejoindre ou encore se masturber, surtout avec les messages que lui envoi Marco.

Mais elle souhaite attendre leur prochain rendez-vous, pour qu’ils puissent se jeter l’un sur l’autre avec un désir intense. On se met à rire toutes les deux, telle mère telle fille, il n’y a pas à dire.

Nous continuons de parler de nos chéris, de nos envies, ce qui fait du bien d’un côté de pouvoir extériorisé les choses. En parlant de tout cela, ma mère me demande si je ne voudrais pas prendre la pilule, par précaution, et ce sera aussi un tout autre plaisir de le faire sans préservatif.

J’y avais réfléchi à un moment, il est vrai que j’ai toute confiance en Guillaume, et que la pilule ne sera pas de trop. Alors elle me dit qu’elle va prendre rendez-vous avec la Gynécologue pour discuter de tout ça. On continue de discuter, de se taquiner un peu, puis en sortant de la baignoire, je ne peux m’empêcher de la regarder à nouveau.

Le fait de la voir ainsi, lui donne un corps encore plus jeune, c’est fou combien cela peut faire une différence. En me regardant, elle me dit que les coups de langue sont plus intenses en sensation sans les poils, ce qui nous fait rire à nouveau.

Je ne réussi pas vraiment à me changer les idées pour cette nuit, mais je me dis que demain, je vais enfin pouvoir profiter de mon chéri comme il le faut, et vue mon désir, nous allons en utiliser des préservatifs.
chapitre 134 image
Mercredi matin, mon réveil sonne, j’ai passé une bonne nuit, je ne sais plus de quoi j’ai rêvé, mais je sens que ma culotte est poisseuse. Ma nuit a sans doute été agité, dommage que je ne me rappelle de rien.

En tout cas, je suis en forme, super motivée, surtout super excitée. Je ne tiens vraiment plus après toute cette attente. Un rien me fait penser au sexe, c’est fou comment je peux devenir obsédée lorsque je suis en manque.

Au petit déjeuner je retrouve ma mère comme d’habitude, puis une fois fini, je me prépare, et je trace ma route. Comme à l’accoutumé je retrouve mes amis et mon chéri devant le portail. Je les salut, on se raconte un peu nos soirées, mais aussi les dernières histoires.

En parlant d’histoire, nous avons eu des nouvelles de Marguerite, elle va semble t’il mieux, mais ses parents, par précaution, ont décidés de la changer d’établissement. Ce que je peux tout à fait comprendre, car je pense que je n’aurais plus remis les pieds ici après une telle histoire.

Surtout craignant le regard et le jugement des autres. Mais bien qu’elle ne soit plus ici, les règles restent inchangées pour le moment, ce qui favorise grandement le travail des professeurs.

Le temps passe lentement, mais heureusement que nous n’avons que la matinée de cours. Enfin l’heure de la délivrance sonne, je prends mes affaires avec moi, puis je retrouve tout le monde à la sortie. Nous discutons un instant avant de nous quitter comme d’habitude, pour qu’enfin je puisse profiter de mon chéri seul à seule.

Je suis déjà en train de rêver à tout ce que je vais lui faire en arrivant chez moi, et je devine à sa façon de me regarder, de me tenir qu’il en a envie lui aussi. Nous échangeons quelques sourires complices quand Charles nous propose de se faire un cinéma.

Non mais pourquoi il nous propose ça maintenant ? Qu’est ce que j’ai fait au ciel pour que mes plans tombent toujours à l’eau ?

Je ne sais pas quoi dire, mais je n’ai clairement pas envie d’aller au cinéma maintenant. Mais bon, ma personnalité fait que je ne sais pas dire non, de peur de blesser quelqu’un ou de mal faire. Alors je laisse les autres en parler, en espérant que ce plan improvisé soit avorté.

Mon chéri dit qu’il n’est pas très chaud, mais apparemment, il y a un film qui vient de sortir et qu’il faut absolument aller voir. Lorsque Charles prononce le titre « x-mens origine : Wolverine », cela à fait tilt chez Estelle.

Estelle : attends c’est le film avec Hugh Jackman ?
Charles : exact, alors intéressée ?

Estelle me prend alors par le bras me disant qu’il faut aller voir le film, elle est clairement excitée comme une puce, je le suis également, mais pas pour la même raison. A cet instant c’est comme si on avait balancé un seau d’eau sur le feu que j’avais depuis deux semaines.

Mais bon, je ne sais pas dire non, alors je leur dit oui pour un après-midi cinéma. Kévin, Charles et Jonathan sont clairement enthousiasmé d’aller voir le film, après tout c’est leur monde, Estelle, elle, y va pour voir un acteur.

Sur le chemin, Guillaume me dit qu’il est désolé, qu’il n’avait pas du tout prévu cela. Mais ce n’est pas de sa faute, alors je ne vais pas lui en vouloir. Et d’ailleurs je ne peux en vouloir à personne, car comme le dit Jonathan, ça fait un bon moment que nous n’avons rien fait ensemble.

J’envoi tout de même un texto à ma mère pour la prévenir, au cas où elle rentrerait avant moi. Nous arrivons au cinéma, à l’affiche nous arrivons juste à l’heure, et il y a beaucoup de monde présent. Nous faisons la queue, je suis un peu déçu de ne pas me retrouver seule avec mon chéri, mais je me dis que je passe tout de même du temps avec lui, ce qui me réconforte.

Devant nous les personnes défilent, certains partent en étant frustré, tandis que d’autres mettent du temps à laisser la place au guichet. Il semble y avoir un souci, et pour sûr, la séance affiche complet pour le film que nous venons voir.

Les garçons sont répugnés, ils avaient tellement hâte de le voir, surtout ensemble. Nous sortons de la queue, on se demande quoi faire alors, puisque nous avons marché jusque là pour voir ce film, cela paraît un peu bête de se quitter maintenant que la salle est complète.

Estelle nous dit alors que l’on pourrait attendre la prochaine séance, mais elle est un peu trop tard. Et ce n’est pas tout le monde qui peut se permettre de rentrer à l’heure qu’il veut, surtout que l’après-midi cinéma n’était pas du tout prévu. Alors nous décidons d’aller voir un autre film.

Pendant que nous faisons la queue à nouveau, on se décide pour un film, mais honnêtement, ce qui reste à l’affiche n’est vraiment pas terrible. Nous avons loupé les autres séances qui valaient le coup, donc nous voilà à s’orienter vers un film qui ne me paraît pas fun du tout.

Ce qui me mets la puce à l’oreille, c’est lorsque l’on rentre dans la salle qui est pour ainsi dire, vide. Vide car il n’y a vraiment que nous dedans, oh et un monsieur assez âgé ainsi qu’une autre dame.

Nous prenons place, et vue qu’il n’y a personne, on se permet de se mettre où on veut. Charles et Jonathan s’installe plus bas, Kévin et Estelle à deux rangés de nous, légèrement sur la droite, tandis que nous sommes, Guillaume et moi, sur les rangés du haut.

Le film commence, je ne m’attends pas à quelque chose de spécial, c’est ce que je fais toujours pour les films, je pense que c’est une manière de ne pas être déçu au final. Mais ce qui est drôle c’est qu’en regardant le début du film, j’ai l’impression de me retrouver un peu, un enfant vivant seul avec sa mère qu’il aime.

Heureusement pour la mienne, je ne suis pas jalouse qu’elle ramène des hommes à la maison. On en parle d’ailleurs un peu avec Guillaume pendant la séance, puisqu’il trouve que l’actrice ressemble fortement à ma mère. En y regardant bien, il n’a pas tord, ses cheveux, sa silhouette et sa façon de parler aussi.

Curieuse comme je suis, je me mets à le questionner sur ma mère, de comment il la trouve. Il est un peu mal à l’aise de me dire ça, mais je veux savoir, je lui tire les vers du nez comme je peux. Puis il finit par m’avouer qu’il trouve ma mère très belle, et que je tiens ça d’elle.

Ce qui me fait rougir, et je le rassure, il a le droit de trouver ma mère très belle car c’est vrai. A peine avons-nous finit de parler d’elle, que voilà l’actrice complètement nue à l’écran, il n’y a pas de doute, elle ressemble trait pour trait à mère. Ce que je laisse échapper à voix haute, Guillaume est quelque peu surpris, et je mets à le pincer, lui disant de ne pas regarder ma mère nue.

Ce qui est totalement absurde, puisque ce n’est pas elle, mais on s’amuse comme on peut. Nous rions doucement tous les deux à l’arrière, puis dans mon geste je l’ai quelque peu touché au niveau de l’entre jambe.

Je me stop net en le regardant, et lui demandant s’il est réellement en train de bander en ayant vu l’actrice nue. Ce à quoi il me répond oui, mais aussi du fait qu’un rien l’excite en ce moment, vu que nous n’avons rien fait depuis des semaines.

Je le rassure que je suis dans la même situation, et que j’aurais vraiment aimé être avec lui chez moi, plutôt qu’ici. Mais ça me rassure, je croyais l’espace d’un instant qu’il bandait en imaginant ma mère nue, vue la scène et la ressemblance avec l’actrice.

Mais maintenant que je lui dis ça, ses pensées sont vraiment orientés vers ma mère, alors je le pince, mais je le sais, c’est de ma faute. Toutefois, ce petit jeu, et savoir qu’il bande juste à côté de moi commence à me titiller.

Je laisse donc ma main aller sur sa cuisse, puis se poser directement sur son paquet que je caresse au travers du jean. Guillaume est surpris, il me demande ce que je fais là, je lui dis que je m’en veux, car c’est en partie ma faute si nous n’avons rien fait depuis deux semaines, et surtout que le film n’a pas l’air captivant, puisque nous faisons que de parler depuis le début.

Mes caresses et mes arguments ont eu raison de lui, aussi il se rapproche de moi pour m’embrasser tendrement. C’est fou comment il a pu me manquer, même pour une chose aussi simple. Puis se laissant aller un peu plus, sa main gauche vient se poser sur mon sein, pour commencer à le caresser.

Le monsieur âgé tousse deux fois, ce qui nous tire de notre petit monde, pour nous redresser et faire comme si de rien n’était. On se met à pouffer de rire, ce qui attire l’attention d’Estelle, qui nous sourit.

Nous essayons de suivre le film pendant quelques minutes, puis je ne sais pas pourquoi, ni qui à commencé, mais nous voilà de nouveau à nous embrasser, nous caresser. Cette fois nous nous faisons le plus discret possible, profitons de ce moment à nous.

Guillaume finit par glisser sa main sous mon haut, pour caresser mon sein à même la peau. J’avoue, ce contact m’électrise complètement, surtout au moment où, il me dit avoir terriblement envie de moi.

Je m’arrête alors un instant, je regarde autour de moi, personne derrière nous, et les autres semblent suivre le film. Alors je lui glisse à l’oreille, de baisser son pantalon, et d’en sortir sa queue. Guillaume se met à regarder tout autour aussi, puis hésitant quelque peu, il fait ce que je lui ai demandé.

L’éclairage du film me permet de voir son sexe bandé, une vision que je trouve toujours aussi belle. Sans tarder, et le plus discrètement possible, je reprends mes caresse, cette fois-ci directement sur son sexe. Guillaume gémit tout en m’embrassant, j’adore le fait de contrôler son plaisir, et j’avoue que cette situation m’excite de plus en plus.

Je jette toujours un regard rapide autour de moi, ne voulant pas être surprise. La peur mêlé au plaisir m’excite toujours plus, aussi je me penche pour venir déposer ma bouche sur le sexe chaud de mon chéri.

Je sais que je surprends totalement Guillaume, vu comment il a sursauté en posant ses mains sur mon épaule et ma tête. Mais je lui fais tellement du bien qu’il ne peut m’arrêter, il se contente simplement de se contenir au mieux pour ne pas trop gémir.

Je me relève un instant, toujours dans la peur d’être surprise, je lui demande au passage s’il aime ce que je lui fais là. Ses yeux ne me mentent pas…

Guillaume : si tu savais comment je suis heureux en ce moment
Moi : chut, doucement, on pourrait nous entendre
Guillaume : ouvre ton pantalon, que je puisse te caresser aussi
Moi : je ne sais pas si ça sera possible, mon jean est plutôt serré
Guillaume : oh mon cœur, j’ai tellement envie de toi, envie de te faire plaisir

A ses mots, nos bouches se rejoignent à nouveau, on s’embrasse avec fougue. Je le désire tellement aussi, je le sens combien mon intimité est humide. Je caresse toujours son sexe de ma main droite, mes yeux s’ouvrent, faisant un tour de salle, personne ne nous regarde.

Dans ma tête tout s’emmêle, je pense à tant de choses, mais je ne suis plus moi-même, je suis totalement excitée par mon chéri, par toute cette situation.

J’arrête soudainement d’embrasser Guillaume pour me placer dans mon fauteuil, regardant attentivement la salle et les personnes présentent. Mon chéri ne comprend pas, il me demande si je vais bien, s’il a dit ou fait quelque chose de mal.

Je ne réponds pas, je reste silencieuse durant quelques seconde, puis dans ma tête, tout devient clair. Je relève alors légèrement mon bassin, retirant ma ceinture, et abaissant au plus vite mon jean. Je regarde toujours autour de moi, comme pour me rassurer de ma décision, Guillaume me demande également si je vais bien.

Je lui dis alors que je veux lui faire l’amour, mes chaussures me gênent, alors je les enlève, s’en suit mon jean, ainsi que ma culotte.

Guillaume : tu es folle, et si on nous surprend ?
Moi : si on ne fait pas de bruit, ça ira, et j’ai tellement envie de toi
Guillaume : moi aussi, mais tu es sûre de toi ?
Moi : tout ça m’excite complètement, tu ne peux pas savoir à quel point, et je te l’ai déjà dis, je suis prête à tout pour toi
Guillaume : euh, mais on n’a pas de capotes
Moi : t’inquiète je gère pour ça, fais moi de la place

Sans plus attendre, je viens me placer au dessus de Guillaume, attrape son sexe tendu, puis le glisse en moi. Je suis actuellement tellement excitée, tellement humide, que son sexe entre en moi sans problèmes.

Le sentir en moi me provoque déjà un courant électrique qui me parcours le corps entier, que je suis obligée de le mordre dans le cou, pour refreiner mon gémissement. Je ne bouge plus, la sensation est incroyable, le faire sans capotes est tout simplement fantastique. Pour lui aussi je suppose, mais c’est surtout la situation dans laquelle nous sommes qui me fait vibrer.

Faire ça ici, dans cette salle de cinéma non loin de nos amis, et de personnes totalement inconnues. Je me retrouve dans un autre monde, je suis excitée comme jamais, puis je commence mes vas et viens.

Il faut faire vite, ne pas provoquer la chance qu’on a de ne pas avoir été surpris jusque là. J’embrasse avec passion mon chéri, pour étouffer nos gémissements, tandis que j’accentue mes mouvements de bassin.

Guillaume : oh, oh, je n’arrive pas à croire qu’on le fait vraiment
Moi : moi non plus, mais c’est tellement bon, oh
Guillaume : tu es incroyable, ah… tu ne cesse de me surprendre
Moi : je te l’ai dis, humm… je suis prête à tout… pour toi
Guillaume : oh chérie, oh… alors j’aimerais une chose…

A peine a t’il finit sa phrase, que ses mains viennent saisir chaque côté de mon haut pour le retirer complètement.

Moi : oh… tu veux que je sois toute nue ? Ahhh
Guillaume : oui mon cœur hummm

Si tel est son désir, alors je défais mon soutien gorge, et me voilà complètement nue dans l’obscurité de cette salle de cinéma. Je n’y avais jamais pensé, même pas en rêve ou en fantasme, mais nous voilà, à faire l’amour, moi entièrement nue.

Guillaume : tu es tellement belle, ahhhhh
Moi : chut… je t’aime humm
Guillaume : je t’aime aussi, humm… mon amour

Je bouge au plus vite, montant, descendant le long de sa queue. Toute cette situation m’emporte, je sens au creux de mes reins ce plaisir que j’aime tant. Toute cette tension s’accumuler, je bouge encore, puis à ce moment là, c’est l’explosion.

Je m’agrippe à mon chéri, aussi fort que je peux, je le mords à nouveau sur l’épaule pour étouffer ma jouissance. Mon corps tout entier se raidi, des frissons me parcours chaque centimètres de ma peau pour qu’enfin, je me relâche.

Je respire un peu, je reprends très vite mes esprits, surtout là où nous sommes, puis je regarde vers l’avant de la salle. Heureusement pour nous, personne ne semblent avoir remarqué quoi que ce soit.

Je demande à chéri s’il a joui, malheureusement non, j’aurais juré l’avoir senti jouir avec moi. Mais j’avoue qu’après avoir eu mon plaisir, la tension est retombé, et je me rends compte des risques que nous avons pris, surtout avec moi qui suis nue.

Mais je ne veux pas le laisser comme ça, bien qu’il me dise que ce n’est pas grave. Je ne sais pas à quel point on en est dans le film, je pense que nous avons encore le temps. Je prends un instant, puis je me retire de mon chéri, son sexe bande très dur, et il brille totalement vu comment je l’ai humidifié.

Il commence à remonter son pantalon lorsque je le stop. Il ne comprend pas ce que je fais là, sans rien dire, je me positionne à genoux devant lui, dans le peu d’espace qui me reste. Je prends son sexe dans ma main, et je viens l’engloutir dans ma bouche.

Guillaume : oh, qu’est-ce que tu fais ?
Moi : humm, c’est pour te remercier de m’avoir fait jouir, et d’être un chéri formidable

Il n’y a plus de place aux mots, seulement aux actes, je reprends ma fellation, enfonçant sa queue au plus profond dans ma bouche, j’ai vraiment beaucoup mouillée, pour avoir laissé tant de cyprine sur son sexe.

Je le suce vite, je suis tellement emporté par ce que je fais là que plus rien n’existe autour. Je le sens gigoté, ses jambes se tendent, ses mains se placent sur mes joues en me disant…

Guillaume : chérie, oh… stop… stop, stop, stop… je vais lâcher… je vais, je….AAAAhhhhhhh AAAhhhhhh

Ses gémissements sont si difficilement retenus tandis qu’il se libère au fond de ma gorge. Une fellation, une jouissance que j’ai voulue, et je suis toujours aussi surprise par la quantité qu’il peut envoyer.

Je crois que j’étais tellement bien qu’il n’arrête plus, j’ai bien dû recevoir six giclés ou plus, tandis que son sexe se contracte encore. J’étouffe avec toute cette quantité au fond de ma gorge, mais le contexte est particulier. Etre totalement nue, au milieu de cette salle de cinéma, parmi nos amis et autres, et faire jouir mon chéri avec ma bouche. Avec tout cela, je me lance, et j’avale son sperme, ici.

Le goût, la texture est bizarre, mais j’avale tout ce que je peux. Il faut m’y reprendre à plusieurs fois tellement j’en ai dans la bouche, ou alors, c’est moi qui ne sais pas y faire. Malgré tout mes efforts, j’en laisse une partie s’échapper de ma bouche, coulant un peu sur son sexe, mais aussi le fauteuil et le sol.

Je me retire doucement en regardant mon chéri droit dans les yeux, il ne trouve rien à dire, sûrement surpris par ce que je viens de faire. Je lui laisse un instant pour récupérer, puis je lui demande comment c’était.

Il me dit que c’était tout simplement incroyable, que « je » suis incroyable, et que c’était complètement fou. Je me relève et me blotti contre lui, toujours nue. D’ailleurs j’avais complètement oublié cela.

Il me regarde, en souriant il me dit que je suis belle, et que je pourrais rester encore ainsi. Je lui donne une petite tape en lui disant qu’il est bête. Je prends mes affaires, cherchant le tout dans le noir, puis je regarde vers nos amis, nous avons vraiment eu de la chance.

Je lance un petit regard vers mon chéri, puis je me lève. Sa surprise est totale, il se demande ce que je fais. Je m’éloigne alors de lui en me dirigeant vers les grandes marches d’escaliers. Je dandine doucement du cul, pour lui donner un spectacle. Je remonte jusqu’aux dernières rangées de sièges, puis je fais le tour de la salle.

Je ne sais vraiment pas ce qui me prend à ce moment là, dans ma poitrine je ressens une sensation déjà vue. Comme celle que j’ai eue lorsque j’ai monté les escaliers de mon immeuble dans le plus simple appareil. Tout mes sens sont en alerte, je suis extrêmement sensible, j’ai peur mais en même temps si calme.

Mon chéri se retourne, il suit mon déplacement des yeux, la bouche ouverte, puis je redescends les grandes marches, pour revenir à mon emplacement, en enjambant Guillaume, déposant au passage un baiser.

Il est toujours surpris, tandis que je me rhabille comme je peux. Il ne trouve plus ses mots, il a même oublié de remettre son pantalon depuis tout ce temps. Il me dit à quel point je suis folle, et à quel point il m’aime.
Folle moi ? Ça ne me ressemble pas pourtant, ou alors la folie d’Estelle a finit par déteindre sur moi. Une fois nos vêtements remis, on se blottit l’un contre l’autre, en s’embrassant de nouveau. Je ris tout doucement en lui disant qu’avec tout ça, on oubliait une chose…

Guillaume : on a oubliait quoi ?
Moi : hey bien, je t’embrasse, alors que tu as joui dans ma bouche, ahaha
Guillaume : franchement, après tout ce que tu viens de faire, je m’en fiche, je t’aime
Moi : Je t’aime aussi

Nous avons regardé sagement la fin du film, je ne sais même plus de quoi ça parle au final, mais peu importe. J’ai passé avec mon chéri un moment que je n’oublierais jamais…
chapitre 135 image
En sortant du cinéma, nous sommes tous les deux calmes, se tenant la main, tandis que les autres débâtent du film, à quel point il était vraiment sans intérêts. Ils auraient tant voulu voir Wolverine à la place, et au lieu de ça ils ont vu une histoire d’amour.

Ils iront sans doute voir leur film un prochain jour, nous demandant si cela nous intéresse. Je regarde Guillaume dans les yeux, puis on se met à sourire. Je n’ai pas vraiment envi de voir ce film, mais si mon chéri souhaite y aller avec les autres, alors il peut.

Je sais que nous avons repensé à la même chose, mais sur le chemin du retour, une fois que nous avons quittés nos amis, nous reparlons de ce qui s’est passé. Guillaume n’en revient toujours pas de ce que nous avons fait et il se pose pas mal de questions.

Surtout que nous l’avons fait sans protections, et je me rends compte à quel point je peux me lancer dans des situations insensés, poussé par l’excitation et l’envie de faire plaisir à mon homme.

Je balise un peu tout de même, j’avoue que je commence à me sentir mal, mais sur le moment c’était juste incroyable. Je ris un peu par stress je pense, et si on nous avait vu, même une seconde, je ne sais pas.

Pour le préservatif, je rassure mon chéri, sur le chemin je vais passer en pharmacie pour prendre une pilule du lendemain, au cas où. Ce moment tombe à pique je pense, car j’en avais parlé avec ma mère, donc j’en parle maintenant avec mon chéri, quant à prendre la pilule contraceptive.

Pour lui j’ai l’impression de lui parler dans une autre langue. Il ne connaît rien de tout cela, à part les quelques infos qu’il a eu en cours. Mais il me fait confiance, il me dit que si je suis d’accord avec ça, alors il est aussi.

J’attendrais donc d’avoir mon rendez-vous avec ma gynéco, pour pouvoir commencer à prendre cette pilule.

Guillaume : je suis encore sur le cul
Moi : hum de quoi ?
Guillaume : hey bien, tu as avalé…
Moi : ah ça ! ahaha
Guillaume : mais, ce n’était pas trop …. ?
Moi : bizarre ? Si j’avoue, le goût ça allait, je l’ai déjà eu, mais le premier coup que j’ai avalé, je l’ai bien senti passer, et le reste aussi
Guillaume : je suis désolé mon cœur
Moi : hey ne t’excuse pas, je le voulais depuis longtemps, mais je ne réussissais jamais, et là c’était l’occasion hihi
Guillaume : ahaha ok, mais, comment c’était au final ?
Moi : hey bien, ce n’était pas mauvais en soit, et j’avoue que là je me suis surpassée, car tu en lâché beaucoup
Guillaume : oui, je sais, mais pourquoi tu as voulu avalé là ?
Moi : à vrai dire, j’ai eu peur que tu jouisses en moi, surtout qu’on n’avait pas de capotes, alors pour te finir, je me suis dis, pourquoi pas ma bouche, pour ne pas laissé de traces
Guillaume : woao, tu es incroyable, mais on aurait pu arrêter là, je veux dire ce n’était pas grave…
Moi : ah non, tu m’as fais jouir, il fallait que tu jouisses aussi
Guillaume : merci mon cœur
Moi : hihi c’était avec plaisir, et maintenant que je l’ai fait, je pourrais le refaire à nouveau (petit clin d’œil)
Guillaume : sérieux ?
Moi : ahaha oui, je ne te promets pas de réussir encore, mais au moins réessayer. Mais dis moi, de ton point de vue, c’était comment ?
Guillaume : woao, c’était tout simplement… je n’ai pas les mots en fait… juste que c’était plus intense que je ne le pensais
Moi : ah bon ? Pourquoi ?
Guillaume : hey bien, difficile à expliquer, mais les premières fois que tu l’as fais c’était déjà incroyable, mais alors là…
Moi : mais pourquoi c’est incroyable ?
Guillaume : c’est qu’en fait, quand je suis près à jouir, j’ai peur de mal faire, que tu ne le veux pas vraiment
Moi : pfff n’importe quoi toi
Guillaume : oui je le sais, et pour le coup, je suis là, près à jouir, et je tente de me retenir au maximum. Je lutte de toutes mes forces, et quand tu continue pour que je me termine dans ta bouche, c’est tout ce que j’ai pu endurer pour me retenir que je lâche.
Moi : c’est une grosse tension alors ?
Guillaume : oh oui, c’est fou comment je me libère après tout ça, et le fait de sentir ta bouche se remplir, c’est tout simplement incroyable comme sensation
Moi : d’accord je comprends mieux alors…

Guillaume n’en revient toujours pas, il me pose encore beaucoup de questions, notamment sur le fait de m’être mise entièrement nue, et d’avoir fait un petit tour de salle après. Comme je lui dis toujours, je suis prête à beaucoup de choses avec lui.

J’avoue avoir pris énormément de plaisir à le faire là-bas, et surtout dandiner mes petites fesses nues sous ses yeux. Nous sommes tous les deux à rires en s’attrapant, marchand dans la rue jusqu'à arriver à la pharmacie.

J’entre et je revois le même monsieur avec la barbe grisonnante au comptoir. Devant moi il y a une personne, j’attends mon tour. Lorsque je suis devant ce monsieur, je n’ai plus la même gêne que la première fois, mais ça me fait toujours un peu bizarre de venir ici pour lui demander cela.

Lorsque je lui dis pour quoi je suis là, il est un peu surpris, mais bon je pense qu’il doit en voir des choses tous les jours. Comme la fois précédente, il me demande de le suivre dans l’arrière salle pour me poser les mêmes questions. Il semble ne pas me reconnaître, après tout il doit en voir du monde passer.

Après un moment à discuter, il me donne cette petite pilule, tout en me regardant attentivement. Peut-être se rappel t’il de moi en fin de compte.

Aussitôt fini, je repars en direction de chez moi avec mon chéri, il me demande de lui montrer à quoi ressemble cette pilule. Durant le trajet, il me pose quelques questions, je lui dis à peu près tout ce que je sais, mais surtout les effets secondaires que j’ai déjà pu expérimenter comme les fortes nausées, maux de têtes et vomissements.

Je préviens donc Guillaume de ne pas s’inquiéter si demain je ne me sens pas bien. Ce sera tout simplement les effets de la pilule. En arrivant chez moi, nous montons pour passer le reste de l’après-midi seul à seul, à discuter, à s’embrasser, avant que ma mère ne rentre.

De là nous avons fait comme d’habitude, nous avons parlé, de tout, de rien, un petit regard complice avec Guillaume de temps en temps. Ces moments passent toujours trop vite, car il est déjà l’heure pour mon chéri de rentrer.

Après son départ, j’ai passée une soirée tranquille avec ma mère, je ne lui ai pas raconté ce qui s’est passé dans la salle de cinéma, de peur qu’elle ne me fasse une leçon. Je pense que je lui dirai tout cela plus tard, une histoire qui nous fera sans doute rire toutes les deux.

Le soir dans mon lit, je repense encore à tout ce qui s’est passé cet après-midi. Je souris toute seule, me disant que j’ai été complètement folle sur le moment. Un instant unique en compagnie de mon chéri.

Je me demande si je suis en train de changer du tout au tout, ou est-ce que c’était vraiment un cas particulier ?

Je veux dire, je me suis amusée, a faire l’amour dans le cinéma, et me balader nue après. Mais c’était sur le moment, vraiment dû à l’excitation. Je ne pense pas que je serais prête à le refaire, même là dans mon lit, je me dis à quel point c’était fou et risqué.

Alors si on m’avait dit qu’un jour je ferais ce genre de chose, mon moi du passé aurait tout simplement dit qu’il n’y a aucune chance que ça arrive. Comme quoi les choses changent avec le temps, et je me rends compte à quel point c’est vrai pour ma personnalité, et ma timidité…
chapitre 136 image
En me levant ce matin, je repense encore à ce qui s’est passé hier. J’ai le sourire aux lèvres lorsque je retrouve ma mère pour le petit déjeuner. Elle me demande alors ce qui peut me faire sourire ainsi, mais je ne lui dis rien, à part une excuse bidon.

Heureusement sur le moment, je me suis rendu compte que j’ai oublié de prendre la pilule du lendemain. Je repars vite dans ma chambre, la cherche, puis en l’avalant je me dis que je vais sûrement le regretter aujourd’hui, sachant d’avance ce qui m’attend.

Après le petit déjeuner, une fois prête, je suis en route pour retrouver mes amis et mon chéri. La journée s’annonce habituelle, une matinée normale, des cours parfois ennuyeux, puis la pause déjeuner.

C’est lors de la reprise des cours l’après-midi que les choses ont été bousculées, si je puis dire.

Alors que je rentre dans la salle, je commençais à ressentir les effets de la pilule, quelques vertiges suivi de maux de ventre. Mais en plus de cela, il y a le groupe de garçon qui est déjà présent, et se chamaillent comme à leur habitude.

Je dois dire que le bruit me donne un peu plus mal à la tête, je n’ai qu’une hâte, m’assoir et passer cet après-midi le plus vite possible. Sauf qu’en allant à ma place, une voix m’appelait. Je n’avais pas compris sur le moment ce que l’on m’a dit, surprise que l’on s’adresse à moi, puis il recommença.

Youssef : oh Julia, je te parle
Moi : oh pardon, je n’avais pas entendu
Youssef : ouais, je commençais à croire que tu me snobais
Moi : euh non, pas du tout
Youssef : humm tu sais, on te matte depuis un moment maintenant, et franchement, t’es grave bonne

A ce moment là, je n’ai pas su quoi en penser, j’étais perdu. Le fait déjà d’avoir ce mal de tête et que Youssef s’adresse à moi directement alors qu’aucun garçon ne l’avait fait avant, du moins pas de cette façon. Puis le fait qu’il, ou plutôt « qu’ils » me matent, puisque c’est ce qu’il a dit.

Et pour finir, ce mot « bonne » qu’il a utilisé, ça m’a comme donné un coup. Je ne lui ai rien demandé, et il se permet de m’aborder et de me dire tout ça, qu’est ce qu’il cherche ?

Tout en étant perdu dans mes pensées, Youssef continuait de me parler, claquant des doigts devant mon nez pour me ramener sur terre. Mais j’avais complètement décroché, et n’avais rien entendu de ce qu’il avait pu me dire.

Youssef : oh, je te fais des compliments et tout, et toi tu planes
Moi : désolée, c’est juste que… mais tu veux quoi ?
Youssef : wesh, comment ça je veux quoi ? Tu veux m’afficher ou quoi ?
Moi : non, non, je…
Youssef : attends je suis là, poli, je te dis que t’es devenu grave coquine, et toi t’en à rien a faire
Moi : non, ce n’est pas ça, je…

Je commençais vraiment à me sentir mal là, physiquement mais aussi mentalement ne sachant plus quoi faire pour me sortir de cette situation. Youssef est très impressionnant là devant moi, il a une voix déjà grave pour son âge, d’origine africaine, grand mince, habillé bien souvent d’un survêt. Il aime jouer les troubles fêtes, se mettant couramment à dos les professeurs et la plupart des élèves, c’est quelqu’un qui aime se faire remarquer.

Et en cet instant, tout le monde nous remarquait très bien. Je le voyais bien que je l’avais énervé, vu le ton de sa voix, mais ce n’était vraiment pas fait exprès. Autour de nous, il n’y avait aucun bruit, les regards étaient fixent, attendant de voir la suite.

A ce moment là, un autre garçon, Mehdi, est venu pour parler à Youssef. Lui disant de se calmer, qu’il n’avait pas à me parler comme ça.

Youssef : wesh, Mehdi, c’est quoi le blem, pourquoi tu te lève, je cause tranquille là
Mehdi : gros, tu commence à faire peur à Julia, et c’est toi qui l’affiche là
Youssef : mais mêle toi de ton cul mec, qu’est ce qu’y a, tu craques pour elle c’est ça ?

Honnêtement je ne savais plus du tout quoi faire, ils étaient là à se parler, moi debout au milieu de la salle, un mal de ventre me gagnant de plus en plus. Les autres élèves nous regardaient, et sincèrement, oui je me sentais de plus en plus mal. Jusqu’au moment ou le professeur entre dans la salle.

Il avait entendu quelques bouts de conversation, et avait deviné ce qui se passait. Au vu des histoires récentes qui ce sont déroulées, nous avons pour le coup, tous finis au bureau du CPE.

Nous avons attendu environ dix minutes avant d’y entrer, je soufflais comme je pouvais pour me calmer, mais aussi pour que mon mal se passe, puis surpris de me voir là, le CPE me demande ce qui s’est passé. Mais franchement, ma timidité avait repris un peu le dessus sur moi, de même que je ne voulais pas dire quelque chose qui pourrait nuire à mes camarades.

Devant mon silence, c’est Youssef qui prit la parole, expliquant ce qui s’est passé de son point de vue. Apparemment il voulait me parler, me féliciter de mon changement personnel, qui se faisait ressentir de jour en jour et voulait m’encourager à continuer ainsi.

Je n’ai pas l’impression que ce soit vraiment la vérité, ou alors, j’avais vraiment mal compris ses mots, ses intentions. Nous avons passés un moment dans le bureau à démêler cette histoire, puis à la fin le CPE me demanda si tout cela était vrai.

Voulant en finir avec tout ça, car je sentais vraiment mes nausées s’intensifier, mais surtout ne pas apporter de problèmes aux garçons, je lui dis que oui, que j’avais tout simplement bloquée comme d’habitude.

Le CPE libère alors Youssef et Mehdi, il me demande de rester un instant pour me parler. Une fois les garçons partis, il m’invite à m’asseoir.

Il me dit alors, qu’il connaît très bien le cas de Youssef pour être un fouteur de trouble et menteur. Pour le cas de Mehdi, il a un dossier sur lui également, mais c’est plus parce qu’il est là au mauvais endroit, au mauvais moment. Il n’a rien à voir avec Youssef, c’est au contraire un gentil garçon.

Le CPE se doute bien alors de ce qui s’est passé, mais ma timidité, mon silence, fait qu’il ne peut pas appliquer de sanction envers Yousef si je ne parle pas. Il comprend tout à fait que j’ai peur, peut être pour ce qui pourrait se passer si je parle, mais que devant certaines situations, je me dois de parler.

Il me dit alors que pour cette fois, il laisse les choses se passer, surtout pour moi. Mais que si ça venait à se reproduire, que je peux venir lui en parler seul à seule, et qu’il prendrait alors les mesures nécessaire, sans que cela puisse me nuire.

Il y a déjà eu cette histoire avec Marguerite, il ne tient pas à ce que mon nom soit ajouté à la liste, surtout me connaissant. Il tient d’ailleurs à me féliciter, au vu des progrès personnel que j’ai pu faire, mes professeurs et lui-même ont toujours eu une bonne appréciation à mon sujet. Mon changement de personnalité se fait voir de jour en jour, et il tient à ce que je continue ainsi.

C’est pour cela qu’il insiste, si un problème se présente à nouveau avec Youssef, de ne pas hésiter à venir lui en parler.

En sortant du bureau, je me sens soutenue, protégée et fière que l’on puisse me remarquer, moi qui me pensait insignifiante voir invisible. Même si Youssef a été pour le moins grossier, dans l’ensemble j’existe aux yeux de tous.

C’est ce que je retiens de tout cela, bien entendu, cette petite histoire à vite fait de faire le tour du collège. A la sortie, Guillaume vient me demander si je vais bien, et qu’est ce qui s’est réellement passé.

Je lui explique à lui et nos amis ce qui s’est passé en gros, il était très furieux que Youssef ce soit adressé à moi de cette façon. Mais je lui dis de ne rien faire, sinon c’est lui qui aura des problèmes, de plus que je me sentais vraiment mal avec les effets de la pilule.

Guillaume comprend alors mon état, n’en dit pas plus et me raccompagne à la maison. Sur le chemin du retour, nous ne faisons qu’en parler, bien que cela me donne toujours plus mal à la tête, je le calme comme je peux, le rassurant aussi au passage que je vais bien et que dans l’ensemble, même si à un moment j’ai pu ressentir le début d’une crise de panique, je m’en suis pas mal sortie.

Si tout le monde peut remarquer mon évolution, alors il faut que je prenne chaque chose comme un moyen de progresser, quel qu’il soit.

En arrivant chez moi, la première chose que je fais est d’aller aux toilettes pour vomir. Je n’en reviens pas que j’ai pu me retenir tout l’après-midi. Guillaume est là, me rassurant, tenant mes cheveux en arrière. Je l’aime tant, quand j’y repense c’est la première fois que je le vois énerver, voulant prendre ma défense comme mon chevalier vaillant.

Mais je ne veux pas qu’il ait de problème, ou alors qu’il ne se fasse mal. Parce que Youssef est quelqu’un de grand, mince, mais bagarreur, ça je le sais.

Après avoir vomis tout ce que je pouvais, je me rince le visage, me nettoie, puis nous nous installons confortablement dans le canapé. Guillaume se sent coupable de mon état, l’avoir fait sans préservatif hier dans cette salle de cinéma. Mais c’est moi qui ai surtout pris les devant, donc il n’a rien à se reprocher.

Lorsque ma mère rentre, elle vient de suite me voir, me disant qu’elle avait eu l’appel du CPE, qui lui avait expliqué en gros l’histoire. Je la rassure de suite, mais bon, comme toute mère, elle est paniquée, et m’écoute à moitié.

Et surtout en me voyant avec mes yeux gonflés et brillant comme si j’avais pleuré, il me faudra pour le coup un bon moment pour qu’elle se calme, qu’elle puisse entendre toute l’histoire.

Guillaume est resté avec nous aussi longtemps qu’il le pouvait, après qu’il ne soit parti, nous restons toutes les deux en tête à tête, parlant encore de ce qui s’est passé, mais aussi de mon ressenti, mes questionnements etc. Nous en discutons dans le salon, puis dans un bain chaud, ainsi qu’à table.

Nous avons vraiment fait le tour du sujet, cherchant même à excuser le comportement de Youssef, en essayant de comprendre qui il est. Jusque là, il ne m’avait jamais adressé la parole, ni les autres garçons, surtout qu’ils savent très bien quel est mon problème.

Alors pourquoi aujourd’hui ? Qu’est-ce qui a pu lui donner une raison de venir me parler ainsi ?
Je n’aurais sans doute jamais cette réponse, à moins de le lui demander directement, mais ce serait comme lui donner une raison valable de recommencer. Et honnêtement, je ne souhaite pas m’attirer plus d’ennuis que ça.

Mais je pense trop, et c’est aussi le cas pour ma mère, elle a toujours été soucieuse de mon bien être, mais la voir aussi paniquée, je pense que c’est bien la première fois. Elle sait toujours garder la tête froide, mais cette fois-ci, qu’un garçon comme Youssef vienne me parler ainsi, ça l’a totalement déstabilisée.

C’était une situation nouvelle pour elle comme pour moi, et vu que ça s’est passé en milieu scolaire, elle a peur que cela ne se reproduise.

Bien que je ne semble pas plus choquée que cela, ou du moins, j’ai l’impression de mieux me maîtriser, ma mère vient s’allonger avec moi, dans mon lit. Elle me réconforte toujours du mieux qu’elle peut, elle m’enlace, me caresse les cheveux et nous finissons par nous endormir toutes les deux ainsi.
chapitre 137 image
Dans la nuit, j’ai eu quelques rêves agités, me réveillant plusieurs fois entres les bras de ma mère. Sincèrement, heureusement qu’elle est là, sinon je me sentirais un peu plus paniqué, car ce même rêve s’est répété encore et encore.

J’ai tout simplement rêvé de Youssef, ou alors d’une image de lui encore plus impressionnante, puis de mes camarades de classe, qui étaient là, leurs regards braqués sur moi, à rire également. Je semblais ne pas pouvoir bouger, m’enfuir, ou leur dire d’arrêter, tout cela jusqu’au matin.

C’était tout simplement le véritable enfer pour moi, vivre une situation pareil sans jamais pouvoir m’isoler, échapper à tout cela.

Heureusement que nous sommes vendredi, car je ne suis vraiment pas en forme avec la nuit que je viens de passer. Ma mère en se levant me demande si je ne souhaite pas rester ici aujourd’hui, me reposer, et penser à autre chose.

En y repensant, je pense que c’est mieux pour moi d’aller à l’école, de ne plus me cacher dès qu’un problème se présente ou que l’on me bouscule un peu. J’ai besoin de progresser, de me sortir de cette situation et surtout de ne plus avoir peur.

Je dois encore beaucoup travailler sur moi, alors, pourquoi ne pas commencer aujourd’hui ?
Je l’enlace tendrement dans mon lit, allongée tout contre elle. Je lui dis que je vais y aller, et ne plus avoir peur, ce qui l’a fait sourire.

Au petit déjeuner, nous discutons un peu, surtout de ce soir. En pensant toujours à moi, elle veut annuler son rendez-vous avec Marco, mais je lui dis non. Il ne faut pas faire ça pour moi, surtout que je vais très bien. De plus je ne souhaite pas gâcher une histoire qui pourrait très bien se passer.

Elle me sourit, me demandant si je suis vraiment sûre de moi, et d’aller bien. Je sais qu’elle ne veut que mon bien, me protéger, mais je ne veux pas non plus qu’elle se prive pour moi, surtout qu’elle attend de le revoir avec impatience.

On est alors toutes les deux d’accord, ce soir elle ira à son rendez-vous, et moi je saurais bien trouver quelque chose pour m’occuper. Notre petit déjeuner finit, on se prépare, puis nous prenons chacune notre route.

Devant la grille lorsque je retrouve mes amis, ils me demandent de suite comment je vais. Je les rassure, puis m’enlace dans les bras de Guillaume. C’est au moment de me rendre en classe que je commence à avoir le cœur qui palpite.

Je passe la porte d’entrée, je vois de suite que Youssef est déjà là. Je m’avance alors doucement, prenant le chemin le plus loin, mais en gardant tout de même un œil discret sur lui. A aucun moment il tourne les yeux vers moi, c’est comme si je n’existe pas, ou que rien ne ce soit passé.

Et c’est très bizarre, autant je souhaite ne pas lui parler, mais qu’il m’ignore ainsi me frustre légèrement. Est-ce que tout ce qu’il m’a dit n’était que du vent ?

Je ne pense pas, mais tout ça m’intrigue, alors que je ne devrais même pas y penser, ou faire attention à lui. Mais d’un côté, j’ai envie de savoir pourquoi il est venu me parler, et pourquoi me dire tout ça. J’ai une curiosité plutôt mal placé, même si je dois dans ce cas là, éviter la personne.

Les cours se passent normalement, je vais durant toute la matinée cherché à croiser le regard de Youssef, mais encore une fois, rien. Il se fiche royalement de moi.

C’est l’heure d’aller déjeuner, je ramasse mes affaires tandis que d’autres sortent déjà de la classe quand une voix m’interpelle. Je lève les yeux, c’est Mehdi qui est là devant moi, me demandant s’il peut me parler deux minutes seul à seule.

En le regardant de plus près, je remarque pour la première fois, qu’il a les traits du visage très doux, et je peux ressentir dans sa voix, une bonne intention, alors je lui dis oui.

Mehdi : euh merci, voilà… je voulais, te présenter mes excuses
Moi : euh, ok, mais pourquoi ?
Mehdi : bah, pour ce qui s’est passé hier, j’voulais pas te mettre mal à l’aise
Moi : ah, ne t’inquiètes pas… tu ne m’as pas du tout mise mal à l’aise, euh au contraire
Mehdi : ah bon ?
Moi : oui, en fait… c’était très… gentil de ta part d’avoir pris ma défense, euh je te remercie d’ailleurs
Mehdi : euh, c’est normal et ne fais pas attention à Youssef

Le fait que Mehdi vienne me parler comme ça, je suis très surprise et ne sais pas vraiment comment réagir. Mais je m’efforce de parler, d’être la plus normale possible. D’ailleurs le fait qu’il me dise de ne pas faire attention à Youssef m’intrigue.

Moi : oui, à propos de ce qu’il a dit
Mehdi : oui, c’est totalement faux, tu n’es pas bonne
Moi : ah ok… je ne sais pas comment le prendre maintenant (baissant les yeux)
Mehdi : euh non, je veux dire tu es très jolie, mais bonne c’est insultant je trouve
Moi : ah ok… euh merci
Mehdi : euh oui, c’est parce que j’ai une sœur, et je ne voudrais pas entendre ce mot pour elle
Moi : ah d’accord, elle est ici avec nous ?
Mehdi : non elle est au lycée
Moi : ok
Mehdi : euh, bref, voila je voulais juste te dire ça, je t’embête pas plus
Moi : merci Mehdi, c’est très gentil à toi

En allant vers la porte, Mehdi balance ses bras, tapant parfois dans ses mains, se sentant sûrement fier de ce qu’il vient de faire. Et c’est courageux de sa part je trouve, de venir me présenter des excuses alors qu’il n’a rien fait de mal.

En le regardant partir, je dois dire que je le trouve mignon et très gentil. C’est vrai que je n’ai jamais vraiment regardé les autres de près, mais je trouve oui que Mehdi a les traits fin, une voix calme dont on sent la gentillesse à chaque mot.

Et je comprends un peu pourquoi il a pris ma défense hier, c’est son instinct de protection envers sa sœur qui a dû prendre le dessus. En tout cas, je me sens flattée, il me redonne le sourire pour le reste de la journée, qui passa rapidement pour le coup.

Comme chaque fois avant de rentrer, je passe un moment avec mes amis et mon chéri, voyant ce que chacun a prévu pour son week-end. De mon côté, je vais improviser au fur et à mesure. Déjà une chose, je me fais raccompagner par mon chéri, il me dit d’ailleurs en chemin que son père demande souvent de mes nouvelles et que je suis toujours la bienvenue.

C’est vrai que de ce côté-là, je pourrais essayer de faire un effort pour le rencontrer à nouveau. Après tout, c’est une bonne chose à faire si je veux progresser, de plus, il est normal que je fréquente la famille de Guillaume aussi.

Alors je lui promets de faire des efforts, de revoir son père s’il le souhaite et pourquoi pas aller chez lui soit un mercredi, soit le soir après les cours. Je vois sur le visage de Guillaume un large sourire, mais il me dit que je n’ai pas à me forcer si je ne le veux pas.

Je sais qu’il ne me forcera jamais à rien, mais ce sera au mieux pour tous les deux je pense. En arrivant en bas de chez moi, je vois déjà la voiture de ma mère. En même temps, nous avons un peu tardé en parlant avec les autres et elle ne fait pas sa zumba lorsqu’elle à un rendez-vous galant le soir même.

Nous montons alors, j’ouvre la porte mais ne la vois pas dans le salon. Elle doit être dans la chambre à préparer ses affaires pour ce soir. Guillaume se pose dans le canapé tandis que je vais voir ce que fait ma mère. C’est en passant devant la porte de la salle de bain que celle-ci s’ouvre pour en voir sortir ma mère habillé d’une simple serviette.

Elle est surprise de me trouver là dans le couloir, mais encore plus de voir Guillaume dans le canapé la tête tournée vers nous.

Maman : oh vous êtes rentrés ? Bonjour Guillaume, ça va ?
Guillaume : euh oui bonjour, ça va merci et… et vous ? (en détournant légèrement les yeux)
Maman : oh Guillaume, tu peux me tutoyer voyons, et oui je vais bien merci
Moi : euh, maman, tu devrais aller t’habiller dans ta chambre
Maman : oh oui, désolée, je reviens de suite…

Elle regagne en vitesse sa chambre, tandis que je repars vers le salon. Guillaume est quelque peu gêné, mais on rigole tout de même de la situation. Je pensais qu’elle nous avait entendu rentrer, heureusement qu’elle n’est pas sortie toute nue comme elle le fait souvent.

Je nous prépare une boisson en attendant que ma mère ne revienne habillée cette fois-ci. Mais il est encore très tôt, elle nous rejoint alors en peignoir, s’excusant au passage envers Guillaume pour tout à l’heure.

Après tout, elle est ici chez elle comme dis Guillaume, alors elle a le droit de se promener comme bon lui semble. Serait-t-il en train de faire un sous entendu à ma mère ?

Il faudra que j’ai une petite discussion avec mon chéri lorsque nous serons seul, il ne faudrait pas qu’il se fasse des idées, surtout après avoir vu un film dont l’actrice nue ressemblait fortement à ma mère.

Mais bon, passons ce petit détail, nous avons parlés comme d’habitude de nos journées, de choses banales, jusqu’à ce que l’heure arrive pour mon petit homme d’amour de rentrer chez lui. Après quoi, j’ai aidé ma mère dans sa préparation, en choisissant sa robe, en l’aidant à se coiffer et parfaire son maquillage.

Comme à chaque fois, je la trouve magnifique, je la prends bien évidement en photo, puis nous discutons encore un peu en attendant l’heure pour elle de partir. Elle me demande ce que j’ai prévu pour ce soir, mais à vrai dire, je ne sais pas encore.

Je vais sûrement passer ma soirée sur l’ordi à regarder des vidéos ou autres, mais vraiment rien de très spécial. Elle me dit qu’il y a déjà de quoi manger dans le frigo, que s’il y a un problème de ne pas hésiter à appeler, les choses habituelles que me dit ma mère avant chaque rendez-vous.

Mais je sais qu’elle ne veut que mon bien, alors je la pousse délicatement vers la sortie, lui promettant que tout ira bien, en lui souhaitant de passer une bonne soirée. Elle me sourit, m’enlace fortement avant de partir.

Donc me voilà enfin seule, l’appartement paraît vraiment vide sans elle, mais je vais sûrement trouver de quoi m’occuper ce soir…
chapitre 138 image
Lorsque je me réveille ce matin, je suis vraiment dans le brouillard, les yeux collés, je tente de trouver mon téléphone pour voir quel heure il peut-être.

Je tends mon bras, trouve du bout des doigts mon téléphone, en regardant l’écran, je constate qu’il est déjà 11H. Dans ma tête je tente de me souvenir un peu de ma soirée.

Ça me revient, après le départ de ma mère, je me suis accordée un bon et long bain chaud, dans lequel je me suis totalement détendu. Où j’ai aussi pris soin de mon corps, un petit rasage, une crème pour la peau et après être resté près de 1 heure dedans à écouter de la musique, chanter et autres, Je suis sortie de la baignoire pour me sécher.

Je n’avais pas très envie de m’habiller ce soir, alors je suis restée en serviette, me baladant dans tout l’appartement ainsi. Je me suis dis, qu’après ce qui s’est passé au cinéma, ce n’est vraiment pas grand-chose que de se balader à moitié nue chez moi.

J’ai sorti de quoi manger, je me suis faites mon assiette, puis me suis installée devant l’ordinateur. Je restais là, plongée dans des vidéos et post de FB en envoyant des bêtises à mes amis, mon chéri, mais aussi ma cousine.

D’ailleurs j’ai beaucoup parlé avec Karine, lui disant que j’étais seule, que ma mère était sortie pour la soirée. On s’est donné plusieurs nouvelles, des ses parents, son frère, ou encore nos grands parents.

Je lui ai raconté d’ailleurs ce qui s’est passé avec Youssef et Mehdi. Sa première réaction a été de me demander comment je me suis sentie, s’inquiétant pour moi. Je l’ai rassurée puis nous avons longuement parlés sur ce que Youssef m’a dit.

Puisqu’apparemment, certains garçons de ma classe ou autre, me trouve « bonne ». Alors là, c’était le débat, parce que oui, pour eux c’est peut être une sorte de compliment, mais pour moi à ce moment là, je me suis vraiment sentie mal. Mehdi l’a d’ailleurs très bien dit, c’est limite insultant.

Karine m’a taquiné avec Mehdi, me disant qu’il avait l’air mignon dans son comportement envers moi, que j’en ai beaucoup parlé. Bref elle ne m’a pas du tout lâcher de la soirée après cette histoire. Mais elle sait très bien que je suis follement amoureuse de mon chéri.

Donc un débat qui a vraiment duré, puisque Karine ne voit pas cela comme une insulte, ou du moins ça dépend de la façon ou de la personne qui le dit.

En repensant à tout ce que ma cousine m’a dit hier, j’ai eu matière à réfléchir, j’ai eu son point de vue. Je suis d’accord en partie avec elle, si par exemple, c’est mon chéri qui me le dit, lors d’un rapport ou autres, c’est quelque chose qui peut être excitant.

Mais venant d’une personne que l’on ne connait pas du tout, ou que l’on fréquente très peu pour moi c’est non.

Par contre ce que je n’ai pas dis à ma cousine hier soir, c’est que ça m’a fait bizarre, car après ça, j’ai cherché le regard de Youssef, j’ai peut être cherché à savoir combien il me trouve bonne ?

Non, ça peut pas être ça, je ne suis pas un morceau de viande que l’on juge bon de consommer ou non.

Ce n’est vraiment pas terrible de me réveiller en pensant à ce genre de chose, j’ai l’impression d’être en colère pour rien. De plus, ma tête est encore lourde. Dans l’appartement il n’y a aucun bruit, c’est vrai j’oubliais.

Ma mère m’a envoyé un message dans la soirée, pour me dire qu’elle ne rentrerait que le lendemain. J’en connais une qui a dû s’amuser toute la nuit. Mais je crois qu’elle n’était pas la seule à avoir eu du plaisir hier soir. Cela me revient maintenant, surtout en voyant que je suis nue dans mon lit et que mes draps semblent tâcher.

C’est drôle, cela fait un bon bout de temps que je ne m’étais pas masturbée, étant complètement comblée avec mon chéri, je ne cherchais plus du tout à me toucher. Ce qui est drôle aussi, c’est que je me suis touchée en pensant à ma mère hier soir, l’imaginant faire l’amour. Alors que ça fait très longtemps que je n’ai plus cherché à la voir se masturber.

Nous sommes toujours très libre toutes les deux pour parler de sexe, de ce que nous avons fait et autres, mais ni l’une ni l’autre n’a cherché à renouveler ce petit jeu entre nous. Je me demande bien ce qui a pu changer.

Il est pratiquement midi lorsque je me décide de me lever, j’ai les jambes complètement HS, j’enfile un T-shirt pour m’habiller, puis je vais vers la cuisine pour me prendre un petit déjeuner. Aujourd’hui je ne sais vraiment pas quoi faire à part rester allongée telle une larve devant la télé jusqu’au retour de ma mère.

Après une sieste ou deux toujours dans le canapé, j’entends les clés dans la serrure. Il est 18H30 lorsque ma mère rentre enfin. Elle dépose son sac dans la cuisine, elle n’est plus du tout coiffée de la même façon que lorsqu’elle est partie et le léger maquillage n’y est plus. En tout cas, elle me rejoint avec un grand sourire, tout en venant déposer un bisou sur mon front, s’excusant au passage de ne pas m’avoir envoyé de message ou m’avoir appelé, pour me dire qu’elle rentrait tard.

On se regarde toute les deux, se souriant, puis je me soulève pour qu’elle puisse s’installer à côté de moi. Je ne peux pas du tout lui en vouloir pour ça, elle était avec son prétendant, c’est tout à fait normal. Elle me demande naturellement comment s’est passé ma soirée, ainsi que ma journée. Je n’ai presque rien à lui raconté, puisque je n’ai pas fait grand-chose.
 
Par contre, de son côté, elle a beaucoup de choses à me raconter et quoi de mieux que notre petit rituel pour se dire toutes ces choses. Nous allons dans la salle de bain, parlons un peu pendant que l’eau coule.

Une fois installées, je suis attentive à tout ce qu’elle me raconte. Comme à chaque fois, ce Marco semble très bien s’en sortir, un bon restaurant, des discutions très variées et toujours intéressantes, à la fois sur la vie personnelle, les souvenirs, les projets futurs et autres.

Ma mère semble toujours ravie de ces rencontres avec Marco, elle est pour moi totalement sous le charme. Elle m’en parle toujours avec un grand sourire et avec tout ce qu’elle me dit sur lui, j’ai l’impression de déjà le connaître avant même de l’avoir rencontré.

Après le dîner, ils ont fait comme à leur habitude, ils ont marchés un moment, se promenant main dans la main, tout en riant à des anecdotes. Peu à peu, l’excitation se faisait sentir, ils s’embrassent, se caressent légèrement avant de rentrer.

Ma mère me charrie un peu en me disant que ce qui suit est réservé aux adultes. Pour le coup, je réagis en lui envoyant de l’eau au visage, elle en rit et fait de même. On joue toutes les deux dans la baignoire, nous avons l’air de deux gamines innocentes, envoyant de l’eau partout.

Nous finissons par nous calmer, sinon il y aura plus d’eau en dehors que dans le bain lui-même. Je reste au plus près d’elle, ma tête posée sur mes genoux à l’observer droit dans les yeux. Elle dépose alors un peu de mousse sur mon nez, puis commence à me raconter la suite.

Il était encore plus entreprenant que la première fois et pour ma mère, cela lui convenait parfaitement. Ils avaient passé la semaine à se retenir l’un pour l’autre, tout en se chauffant par le biais de textos. L’excitation était alors à son comble et le résultat était là.

Marco était chaud bouillant, il s’imposait vraiment, prenant les choses en main du début à la fin. Ma mère s’est alors sentie comme une poupée, à qui il pouvait tout faire, une poupée à la fois facile à manipuler et fragile.

Elle se sentait si bien entres ses mains, entres ses bras si fort. Toute la nuit, elle s’est faite retourné, encore et encore, soulevé comme si elle ne pesait rien. Ils ont fait l’amour dans le salon, après avoir finit, ils ont pris un verre d’eau dans la cuisine, où ils ont remis ça. Enfin ils sont arrivés dans la chambre dans laquelle ils n’ont cessés de gémir de plaisir, jusqu’à ce qu’ils soient vraiment épuisés.

Après cette nuit à faire l’amour dans à peu près toutes les pièces de l’appartement, ils ce sont endormis, satisfait, le sourire aux lèvres. Ma mère comptait vraiment revenir chez nous une fois réveillée, mais là encore, une envie irrésistible se faisait sentir.

Elle-même n’en revenait pas, Marco semblait inépuisable. A peine réveillés, ils ce sont embrassés, caressés, excités au point de faire l’amour deux fois de suite. A ce moment là, elle le savait déjà qu’il serait difficile pour elle d’abandonner Marco aussi vite. Elle voulait prendre son téléphone pour m’envoyer un message, mais l’homme avec qui elle était ne lui laissait pas un moment de répits.

Ils venaient tout juste de faire l’amour, mais Marco était très joueur. Apparemment il est très doué de ses mains, ainsi que sa langue et donc, pour se reposer, reprendre des forces, il s’occupait volontiers de ma mère. Elle n’en pouvait plus du tout, de jouir encore et encore. Son corps en sueur, son souffle court, ses jambes tremblantes, elle se demandait comment tout cela était possible.

Elle ne pensait sans doutes jamais trouver un homme comme ça, et pourtant c’est bien le cas. Après tout le plaisir que son corps avait enduré, elle s’est endormie pendant environ une heure durant laquelle Marco avait préparé de quoi manger.

A son réveil, il était à ce moment là l’homme parfait, bellâtre en tenue d’Adam apportant le déjeuner au lit. Elle était affamée après tout ce qu’elle venait de vivre. Ils ont parlés longuement, ils ont rit puis ce sont amusés à se chatouiller comme des enfants, avant qu’elle n’essai de fuir en courant toute nue dans l’appartement.

Cela a duré quelques minutes, avant qu’il ne puisse mettre la main sur elle, l’immobiliser pour l’embrasser à nouveau. Encore une fois, ils ont fait l’amour, se laissant emportés tout deux à des gémissements libre, exposant au monde leurs plaisirs.

Ce rapport là était différent à bien des égards. Après avoir joués tous les deux, ils ce sont attrapés dans le salon, l’atmosphère était brûlante. Très vite les caresses ce sont enchaînés, les corps ce sont attirés mais autour d’eux, il n’y avait pas de protections. Ils ce sont laissés aller, faisant l’amour sans préservatifs.

Elle ressentait alors mieux les choses, sa colonne de chair aller et venir en elle. De plus, après avoir fait tant de fois l’amour, Marco était sur ce coup là bien plus endurant. Et pour couronné le tout, ils ce sont tous les deux attrapés près d’une fenêtre donnant sur la rue, un léger voile blanc se tenait entres eux et le monde.

Ils ont fait l’amour ici, devant la fenêtre, leurs regards pouvaient percer au travers du tissu fin, mais pas l’inverse. Au moment où ma mère se tenait contre la fenêtre, les mains sur les rebords à gémir de tout son être, une main vint saisir le rideau pour l’ouvrir complètement.

A cet instant tout s’embrouillait dans la tête de ma mère, elle se sentait si vulnérable ainsi exposée à la vue de tous, mais en même temps elle était excitée. L’appartement est au quatrième étage, donnant sur la rue, sans avoir de vis-à-vis direct.

Si un passant levé les yeux, il aurait pu voir la poitrine nue d’une femme, s’appuyant contre la fenêtre et n’aurait aucun mal à comprendre ce qui se passait là. Elle était complètement excitée par l’idée, se faisant culbutée sauvagement, ressentant le sexe de Marco taper plus fort.

Puis il la colla contre la vitre, sa poitrine s’écrasant contre celle-ci, son visage venant se plaquer aussi. Elle pouvait apercevoir dans l’immeuble d’en face, mais plus bas, un homme chez lui, confortablement installé devant la télé.

Son plaisir à ce moment là était totalement décuplé, elle se laissait aller à des gémissements en plus fort, comme pour se faire entendre. Espérant sans doute au plus profond d’elle que cet homme la remarque bien qu’elle n’ose l’avouer.

Marco était très endurant, il ne ménageait plus du tout ma mère, donnant tout ce qu’il avait. Sous les coups de boutoirs, elle avait déjà jouie deux fois. Son corps n’en pouvait plus, elle disait à voix basse d’arrêter, mais elle me l’avouait elle-même. Elle disait cela sans même être convaincu qu’elle voulait que ça s’arrête.

Elle disait cela tellement doucement que Marco n’avait rien entendu à part les gémissements de ma mère, alors que son corps se tendait vers l’arrière, invitant l’homme avec qui elle faisait l’amour à continuer du plus belle.

Elle était là, exposée depuis plusieurs minutes à gémir, ses jambes ne la tenaient plus, mais Marco la soutenait dans ses derniers efforts jusqu’au moment de jouir en elle. Et c’est ainsi, offerte à la vue de tous, qu’elle ressentait aussi un orgasme si intense, qu’elle avait libéré un liquide venant couler sur ses cuisses, puis s’étaler au sol.

Cette jouissance les avaient terrassés tous les deux, Marco venant se plaquer lui aussi contre ma mère, s’embrassant un instant, avant de chercher leur souffle et s’affaisser.

Ils étaient tous les deux allongés, respirant fortement tout en cherchant à reprendre leurs esprits. Cet orgasme était si fort qu’ils n’ont pas eu la force de se relever. Ils sont restés là, allongés au sol, jusqu’à s’endormir complètement.

Lorsqu’ils ce sont réveillés il était déjà assez tard, ma mère rassemblait alors ses affaires, en s’excusant auprès de Marco de devoir partir aussi vite. Bien sûr il comprenait totalement, il l’aidait puis la raccompagnait à la porte.
chapitre 139 image
Après tout ce que m’a raconté ma mère ce soir, je dois dire que je l’envie beaucoup. J’aimerais moi aussi pouvoir passer toute une nuit avec Guillaume à faire l’amour. J’ai eu cette occasion, j’en ai profité mais pas assez je pense.

Nous n’avions plus de préservatifs, c’était la raison principale pour laquelle je n’ai pas pu lui faire l’amour toute la nuit. J’aurais sans doute pu le faire sans, comme la fois dans la douche ou même récemment au cinéma. Mais ce soir là, j’avais peur de mal faire, ou je ne sais plus vraiment.

Après avoir dîné rapidement, ma mère fatiguée par toutes ces activités avec Marco est partie se coucher, tandis que je reste dans le salon à regarder la télé. Je tourne en rond, j’envoie des messages à mon chéri, mes amis, pour discuter un peu.

Mais ce soir mon chéri est occupé à jouer en ligne avec Charles et Jonathan, alors je le laisse tranquille. Pareil pour Kévin et Estelle ne répond pas, je me demande d’ailleurs ce qu’elle peut bien faire. Je reste ainsi allongée dans le canapé, puis j’entends la voix de ma mère. Elle semble être au téléphone, elle rit, parle, je pense qu’elle doit être avec Marco.

En écoutant sa voix, ses rires, son histoire refait surface, peut-être sont-ils en train d’en parler également ?
Ah si seulement Guillaume pouvait être là avec moi, je me sens follement excitée, j’ai moi aussi envie de crier mon plaisir. Malheureusement je suis seule et cette histoire ne cesse de tourner en boucle dans ma tête.

En écoutant toujours ma mère parler, je me laisse peu à peu emporter par une douce caresse. Hier soir j’imaginais ce que pouvait faire ma mère avec Marco, ce soir, je me rejoue les scènes décrient par elle.

Très vite j’ai chaud, je me caresse comme je sais si bien le faire. Au tout début par-dessus mes vêtements, puis mes mains arrivent à même ma peau. Je me dis que je devrais aller dans ma chambre, où je serais plus à l’aise pour continuer. Mais il y ce côté de moi qui me dit de rester là, je sais qu’il n’y a pas de mal entre ma mère et moi, qu’elle peut très bien me surprendre, que la situation sera à la fois plaisante et excitante pour toutes les deux.

Alors je me débarrasse de mes vêtements, j’adore être totalement nue lorsque je me touche. Ma main gauche s’occupe de mes seins, tandis que ma main droite vient s’activer sur mon petit minou tout lisse.
Dans mes pensées, je vois ma mère, debout contre cette fenêtre à se faire prendre sauvagement. Mon imagination me transporte complètement, mon corps ressent déjà cette tension, ce courant s’accumuler au creux de mes reins.

Je repense également à ce qui s’est passé avec Guillaume au cinéma, je comprends ce qu’a pu ressentir ma mère ainsi exposé à cette fenêtre, car j’ai vécu pour ainsi dire, pratiquement la même situation.

Je continue mes caresses de plus belle, je suis au bord de l’orgasme, tandis que mes gémissements ce font entendre. Je ne tiens plus, vraiment plus, alors j’accélère le mouvement de mes doigts sur mon petit bouton gonflé. Mon corps se contracte de plus en plus, ma bouche ouverte n’émet aucun son et dans un mouvement, je me cambre et viens crier mon plaisir libérateur.

Mon corps en tremble en ressentant le courant me parcourir, j’ai le souffle lourd, court, mes doigts sont trempés, je les porte à mes lèvres pour les lécher, je les savoure, les nettoies. Je tends l’oreille pour entendre la voix de ma mère, mais plus rien. C’est le silence total, à part le son de la télé.

Il me faut quelques minutes pour émerger de ce brouillard, dans ma tête les pensées s’entremêlent. Mon chéri et moi au cinéma, ma mère et Marco près de cette fenêtre. Parfois je me dis que je voudrais être une petite souris pour voir tout ce qui se passe d’intime, ou alors avoir un pouvoir comme dans les films. Remonter le temps, ou alors être invisible et assister à toutes ces scènes.

Je reprends mon souffle, puis je me redresse pour regarder autour de moi, rien, personne, ni dans le salon, ni dans le couloir. Je pensais sincèrement que mes gémissements attireraient l’attention de ma mère. Je me lève alors, je prends mon T-shirt et ma culotte dans ma main, puis me dirige toute nue vers ma chambre.

Je titube légèrement, cela faisait longtemps que je ne mettais pas masturbée, mais je n’ai pas du tout perdu. Au contraire mes doigts savent toujours comment me faire plaisir.

En arrivant devant ma porte, je regarde celle de ma mère qui est fermée. Je suis curieuse alors j’attrape la poignée pour l’abaisser doucement. Sans un bruit je l’ouvre, je remarque que la pièce est sombre. Je glisse ma tête à l’intérieur, la lumière du couloir éclaire peu, ma mère est allongée, profondément endormie.

Elle devait vraiment être fatiguée pour s’endormir aussi vite et à cette heure-ci. Je referme sa porte, puis je regagne ma chambre dans le silence. Il est à peine 21H, je vais me mettre dans mon lit, écouter de la musique jusqu’à m’endormir.
chapitre 140 image
Ce dimanche est passé assez vite, j’ai toujours l’impression de ne rien voir du week-end, qu’il passe en un éclair pour revenir de suite à une semaine de cours. Nous sommes restées sagement chez nous, un réveil vers 9H pour prendre un petit déjeuner ensemble.

Nous avons pas mal parlés, de Marco, de Guillaume, de l’école aussi puisque je dois bientôt rendre la fiche d’orientation. Je me suis pas mal penchée dessus, essayant de voir au mieux ce que je pourrais faire plus tard. C’est assez difficile quand on en a aucune idée, il y a tellement de choses possible à faire mais on doit s’orienter, faire un choix.

Si ça se trouve, je vais choisir une branche qui ne me plaira pas du tout, que je regretterais après. Mais bon, je pense me diriger vers une générale en attendant de mieux entrevoir mon avenir. J’en parle longuement avec ma mère, pour elle peu importe ce que je fais, du moment que je me sente toujours bien dans mon choix.

En parlant de tout et de rien, elle se rappelle qu’elle a eu un rendez-vous pour moi au gynécologue afin de commencer la prise de la pilule. J’ai rendez-vous dans la deuxième semaine de mai, elle m’accompagnera comme pour la première fois.

Je dois également réfléchir à une idée de cadeau pour mon chéri, vu que son anniversaire approche. Voir également avec Charles et Jonathan s’ils ont déjà prévu de faire une fête ou non, et où la faire s’ils n’ont pas réfléchis à ça.

Voilà, un dimanche qui est passé en coup de vent et déjà la reprise des cours. Aujourd’hui le temps n’était pas très beau, ce qui n’arrange rien à ma motivation d’aller au collège. De plus, je ne me sens pas très bien. Mais bon, je suis tout de même heureuse de retrouver mes amis et mon chéri.

On s’y habitue à cette routine, s’embrasser, se parler, aller en cours, écouter, parfois s’endormir ou ne plus suivre, bref une journée ennuyeuse mais qui passe vite finalement. En rentrant ce soir avec mon chéri, nous discutons comme toujours, il me dit que ce week-end, il ira voir sa mère dans le sud.
                                                        
Cela fait un moment qu’il n’y est pas allé. Elle l’a appelée ce samedi pour lui rappeler qu’elle existe, qu’elle aimerait, elle aussi, passer du temps avec lui. C’est vrai que ça ne doit pas être facile de jongler entre deux foyers pour voir sa mère, son père.

Heureusement que je n’ai pas à faire cela, d’ailleurs je me demande comment ça aurait été dans mon cas. Mais difficile de l’imaginer, je ne sais même pas ou se situe mon père, ni s’il a déjà eu ce désir de me revoir.

Je dois avouer que cette pensée me pique un peu, au point de presque me sentir mal. Je n’avais jamais eu cette sensation en pensant à mon père, ou du moins pas depuis un bon moment, je me colle contre mon chéri en essayant de passer à autres choses.

Heureusement qu’il est là, il me fait rire en tout instant et m’aide très vite à oublier tout ça. Nous parlons tout en arrivant chez moi, puis montons vers l’appartement. Nous sommes seuls, alors naturellement je me jette sur lui pour l’embrasser.

Nous nous installons sur le canapé toujours en se roulant des galoches, rien que cela me réchauffe déjà le ventre. Mon chéri me demande si nous allons dans la chambre, je lui dis que nous avons encore le temps avant que ma mère n’arrive.

On dirait qu’en ce moment j’aime jouer avec les situations, même petite soit elle, le faire ici dans le canapé au risque que ma mère ne rentre m’excite complètement. Guillaume me regarde dans les yeux, me demandant si je suis sûre, ce à quoi je lui réponds en abaissant mon jean.

Il vient m’embrasser à nouveau, comme en accord avec mon idée, puis je lui glisse à l’oreille que j’ai très envie qu’il me lèche. Il sourit aussitôt, il adore ça, me lécher tendrement pendant que je gémis.

Il s’abaisse doucement, prenant au passage ma petite culotte pour la faire glisser le long de mes jambes. J’adore ressentir ses baisers quand il remonte petit à petit vers mon intimité. Il me donne des frissons en faisant cela.

Je suis installée dans le canapé, à demi-nue, tandis que Guillaume est à genou devant moi prêt à me lécher. Sa langue glisse à l’intérieur de mes cuisses, je me sens déjà partir. Elle se rapproche, puis elle atteint mon sexe chaud.

Humm, quel plaisir, j’adore vraiment sa langue sur mon sexe, je le regarde un instant, il a les yeux fermés, il s’applique comme toujours. Je lui caresse les cheveux, lui demandant par mon geste d’insister encore plus sur mon petit bouton.

Moi : hummm, je t’aime… et j’aime… comment tu me lèche
Guillaume : humm, slup… euh mon cœur ?
Moi : oui ?
Guillaume : je suis désolé, mais on dirait qu’il y a un goût bizarre, ou une odeur

Je me redresse en vitesse, me demandant bien de quoi il peut parler. Il me regarde d’un air triste, il ne veut pas me faire paniquer et je m’excuse je ne sais combien de fois. Je pense après ma journée de cours que je ne dois pas être fraiche, alors je vais vite dans la salle de bain pour me nettoyer.

Au moment de me laver, je remarque un petit filet de sang, je comprends de suite pourquoi j’avais mal au ventre ce matin. Mes règles sont en avance, je me sens vraiment conne d’avoir pu oublier ça, ou ne pas avoir eu conscience de ce qui se passait.

Je n’ose même plus sortir de la salle de bain, honteuse que mon chéri ait pu mettre sa bouche sur mon sexe alors que je commence à avoir mes règles. Je suis en train de me perdre dans mes pensées, je sens mon ventre se tordre et une larme me couler sur la joue.

Je suis à moitié nue debout dans la baignoire, je ne bouge plus, tandis que l’eau coule toujours et vue que je ne tiens plus très bien la pomme de douche, elle arrose au passage le bas de mon T-shirt. Mon chéri toque à la porte entre ouverte, me demandant si tout va bien. Il comprend alors que je suis un peu en larme, il entre et vient de suite me demander ce qu’il y a.

Je ne sais pas du tout quoi dire, j’ai honte en le voyant. Il coupe l’eau, me prend par la main pour me faire sortir de la baignoire. Il me rassure, me disant qu’il est là pour moi. Je viens me serrer tout contre lui, cherchant son réconfort, sa chaleur.

Il me dit que tout va bien, tout en me serrant fort contre lui. Il ne comprend toujours pas ce qui se passe, ni pour quelle raison mes larmes coulent. Toutefois il est là, présent, attendant sagement que je me calme et que je puisse lui parler.

Il me demande si je souhaite m’assoir, je réponds simplement en hochant la tête. Il m’accompagne vers le salon où sont mes affaires, il me soutient comme si je ne pouvais pas marcher seule. La scène peut sembler ridicule, je ne suis ni blessée, ni dans l’incapacité de me déplacer, mais je le trouve tellement mignon.

Je prends place dans le canapé, baissant la tête, toujours honteuse, pendant que Guillaume va à la cuisine pour me chercher un verre d’eau. Il me tend le verre, je le prends mais je n’ai pas soif. Je me dis combien je suis ridicule, je dois arrêter de me comporter ainsi, à toujours être aussi fragile pour la moindre chose.

Mon chéri se place à mes côtés, me tenant la main puis je prends une grande inspiration avant de commencer à lui présenter mes excuses. Il ne comprend pas du tout la raison pour laquelle je m’excuse ainsi en ayant les larmes aux yeux, surtout que je dis des choses qui n’ont ni queues ni têtes. Je cherche mes mots tellement je m’embrouille puis il se lève brusquement, je le suis du regard.

Guillaume : tu es enceinte ?
Moi : Quoi ?!!
Guillaume : hey bien le goût que j’ai senti
Moi : mais non pas du tout ! Où est-ce que tu vas chercher ça ?
Guillaume : ba je ne sais pas, il y a ce goût…
Moi : mais ce n’est pas ça du tout
Guillaume : mais je te vois en pleure, et comme on l’a fait sans capotes au cinéma alors je pensais que…

A ce moment là, je n’ai pas pu me retenir de rire, je revois sa tête lorsqu’il m’a demandé si j’étais enceinte, il était là avec de grands yeux, le visage tout blanc. Je me lève à mon tour, encore en rire, des larmes sur les joues en venant l’enlacer pour le rassurer que je ne suis pas enceinte.

Par contre j’ai encore un peu honte de lui dire la vérité, et je me trouve surtout conne de ne pas avoir deviné de suite que j’avais mes affaires. Je le regarde dans les yeux, puis je baisse la tête avant de lui dire que ce goût qu’il avait dans la bouche, est dû à mes débuts de règles.

Guillaume ne dit rien, ce qui me travail encore plus, mais il finit par bouger vers la cuisine pour se rincer la bouche, ce que je peux comprendre. Ça doit vraiment être dégoûtant, je ne dis rien, j’attends simplement s’il va me dire quelque chose. Puis il revient me prendre dans ses bras, me disant que ce n’est rien. Qu’il sait très bien que je n’ai pas fait exprès et surtout que je n’ai pas à me mettre dans cet état pour si peu.

Je pose ma tête contre son épaule, le remerciant d’être aussi gentil, mais que j’ai tout de même très honte de tout ça. Mon chéri continue de me parler, de me serrer dans ses bras, de me rassurer, alors que la porte d’entrée s’ouvre.

Je me retourne, ma mère est entrée dans l’appartement avec quelques courses, puis en nous voyant debout dans le salon elle est toute étonnée, et détourne le regard en s’excusant.

Merde, j’oubliais que j’étais à moitié nue, en revenant dans le salon, perturbée, je n’avais pas cherché à remettre mes vêtements. Je me tourne complètement vers ma mère lui disant que tout va bien, on ne faisait rien. Elle me regarde à nouveau, puis en voyant mon visage, elle comprit de suite que j’avais un peu pleuré.

Maman : ma chérie, mais… ça ne va pas ? Qu’est ce qu’il y a ? Pourquoi tu pleures ?
Moi : t’inquiètes pas ça va bien, c’est un truc bête
Maman : oh, en plus de ça tu es à moitié mouillée, regarde ton T-shirt
Moi : oh mince, quelle conne

Instinctivement j’attrape mon T-shirt de chaque côté pour l’enlever d’un coup. C’est vrai qu’il est mouillé, de plus je n’ai même pas pris le temps de m’essuyer en sortant de la baignoire. Pour le coup, j’ai mis des gouttes d’eau un peu partout.

Guillaume : euh….

Je me retourne, mon chéri est debout tout hébété, tenant dans sa main mon jean. En le voyant ainsi, là je me dis que ça ne va vraiment plus, en un instant, en voyant ma mère s’inquiéter pour moi, j’oubliais encore de un que j’étais à moitié nue, mais de plus que mon chéri était là.

Maman : ma chérie, prends tes vêtements et va t’habiller dans ta chambre, ce serait mieux…

Je prends alors mon jean dans la main de mon chéri, je lui dépose un bisou sur la joue et me dirige vers ma chambre. Je les laisse un moment, je les entends parler, je pense que ça va aller, ma mère va savoir comment briser la glace.

Alors aujourd’hui je ne sais pas ce qui se passe chez moi, mais je n’ai vraiment pas assurée. Déjà que j’avais honte de m’être faites léchée par mon chéri alors que j’ai mes règles, et maintenant je l’ai choqué à me mettre nue devant lui et ma mère. Enfin pratiquement, puisqu’il me reste mon soutien gorge.

Vivement que cette journée s’achève, je n’en peux plus. En tout cas, je ne suis plus en panique, je me sens mieux que tout à l’heure, c’est surtout pour mon chéri que je suis gênée maintenant. Je m’habille en vitesse puis je les rejoins dans la cuisine. Ils ce sont fait du thé et parlent du week-end que mon chéri va passer avec sa mère.

Bon, maintenant, essayons de ne plus faire de gaffe, ce serait parfait pour terminer la journée.
Les choses reprennent leur cours normal, après avoir passé du temps à se parler tous les trois, mon chéri nous dit devoir partir. Je le raccompagne en bas, je l’embrasse, m’excusant encore pour tout ce qui s’est passé. Il me sourit, me dit que tout va très bien, puis je le regarde s’éloigner.

A mon retour dans l’appartement, ma mère m’enlace. Nous allons toutes les deux prendre un bon bain, je vais passer du temps à tout lui raconter, et heureusement pour terminer, nous passons la soirée à en rire de ma bêtise.

Mais quelle conne je suis tout de même…
chapitre 141 image
Franchement cette journée de lundi je ne vais pas l’oublier de si tôt, Guillaume non plus d’ailleurs. Nous en avons reparlé longuement, lorsque nous étions que tous les deux chez moi ce mercredi. Il était surtout très surpris par la facilité avec laquelle je me suis mise pratiquement à nue devant lui et ma mère.

Sur le coup, pour moi, il n’y avait pas de mal, de plus je n’ai vraiment pas fait attention à ce que je faisais à ce moment là. Il me rassure, il ne voit pas cela d’un mauvais œil, simplement pour lui, c’était une scène un peu étrange.

Il comprend un peu ce que je lui avais dis une fois, qu’entre ma mère et moi, nous n’avons pas de gêne que ce soit au niveau de la nudité, mais aussi à se parler. Je lui explique surtout que c’est aussi le fait d’avoir cette facilité à tout se partager, à nous confier l’une l’autre, qui m’a permis de me décoincer au fil du temps.

Par contre ce qu’il ne savait pas, c’est que je disais vraiment tout à ma mère. Tous mes doutes, mes peurs, mais aussi mes ressentis, ce que j’éprouve pour lui mais aussi ce que nous faisons, même dans les moments intimes. Car j’avais besoin d’être rassurée, d’avoir des conseils, d’être guidée par moment.

Je pensais ne jamais avoir ce genre de conversation avec lui, de peur qu’il le prenne mal, nous juge et me quitte. Mais non, les choses ce sont faites naturellement, nous étions sur le canapé, se câlinant et discutant tout simplement.

Il était un peu surpris et je peux le comprendre, car il n’a pas du tout ce genre de relation avec ses parents. Mais là où il me comprend vraiment, c’est parce que lui aussi à une confidente avec qui il parle librement.

Pour moi il était du genre pudique, ne parlait de tout ça à personnes. Mais apparemment sa relation avec sa cousine est plus fusionnel, c’était pendant les vacances de Noël, qu’il en a parlé avec elle. Car chaque jour, il lui parlait de moi, me décrivant, lui disant tout ce qu’il pouvait ressentir, alors sa cousine avait osé lui poser quelques questions intimes.

Il lui en avait donc parlé, et continue encore par message de temps en temps. J’ai été très surprise, mais cela m’a fait sourire, j’étais contente qu’il ait une personne au moins à qui se livrer. Il ne donne sans doute pas tous les détails intimes comme je le fais avec ma mère, mais au moins il en parle, se confie et demande même conseils parfois.

Nous avons donc passé tout notre mercredi après-midi à nous parler, nous confier l’un à l’autre, en raison de mes règles. J’aurais voulu m’occuper de lui, lui faire une gâterie, mais il n’en voulait rien, il voulait tout simplement passer du temps avec moi.

Bien entendu, pour Guillaume, ma relation avec ma mère s’arrêtait à la nudité et nos discussions intimes, rien de plus. Je crois que si je lui disais vraiment tout, il serait choqué à vie. D’ailleurs en voyant ma mère le soir même, la situation était assez cocasse. L’idée qu’elle sache tout de nous, de ce que nous faisons ensemble le perturbait un peu au début, pour lui il est comme mis à nu. Puis au fur et à mesure tout allait pour le mieux.

S’il savait qu’elle avait également vu nu, il serait mal je pense, mais je garde ça aussi pour moi. Comme beaucoup d’autres choses d’ailleurs quand j’y pense. Peut-être que je ne dis rien maintenant et que ce seront des histoires à partager pour plus tard.

Durant cette semaine, les cours ce sont passés normalement, je n’ai plus fait attention à Youssef et sa bande. Seul Mehdi m’adressait par moment un regard, pour me saluer, ce à quoi je répondais par un sourire. J’ai eu l’occasion aussi de demander à Charles et Jonathan s’ils avaient prévu une soirée pour l’anniversaire de Guillaume.

Ils n’ont apparemment rien prévu, habituellement ils le font en journée lorsqu’ils peuvent se voir le week-end. Mais concernant son père, il n’est pas vraiment d’accord pour laisser Guillaume sortir en soirée. Je pense que c’est une chose qu’il faudrait que j’en discute avec lui directement. Ça me donnera une réelle envie de le voir à nouveau. J’aimerais tellement faire une surprise à Guillaume.

Ma mère de son côté est sortie avec Christine mardi soir pour prendre un verre. Elles tenaient impérativement à se raconter les dernières nouvelles concernant leurs prétendants du moment.
J’ai eu le droit de connaître chaque détail concernant Christine, lors d’un bain avec ma mère. Christine a fait la connaissance d’un homme il y a deux semaines environ, avec qui elle a très vite matché. Ils n’ont pas attendu longtemps pour se donner du plaisir et elle ne regrette rien, vu le coup que c’est.

D’ailleurs pour les deux mères, un autre rendez-vous est prévu pour ce vendredi soir, alors nous avons eu la petite idée de se faire une petite soirée filles pour l’occasion. Une soirée chez moi avec Estelle et Nora. C’est la première fois que l’on va se faire une soirée pyjamas et j’ai vraiment hâte d’y être.
chapitre 142 image
Nous sommes donc vendredi, les cours viennent à peine de se terminer que nous voilà déjà réunis devant la grille du collège. Mon chéri n’a pas trop de temps, il doit passer chez lui en vitesse récupérer sa valise, car son train part dans une heure à peine.

Je dis au revoir aux garçons et à plus tard aux filles. En entendant cela, Charles saute sur l’occasion pour demander s’il peut venir squatter notre petite soirée. Je m’éloigne mais je peux clairement entendre Estelle le rembarrer gentiment, enfin à sa manière.

Après quelques minutes de marche, nous sommes arrivés à l’appartement. Pour moi la porte est toujours trop grande et l’intérieur me fait encore peur. Surtout que son père est présent, mais j’ai promis à Guillaume de faire des efforts, alors autant commencer maintenant.

En me voyant apparaître à la porte, Jacques se lève du canapé, pose son journal. Il est très ravi de me voir à nouveau, il vient vers moi et m’embrasse sur la joue.

Je ne sais vraiment pas quoi dire sur le moment, c’est la première fois qu’il fait cela, de plus que sa main sur mon épaule me parait si lourde, j’ai eu une sensation étrange. Bien sûr j’essaie de réagir au plus vite en souriant, même si la gêne doit se lire sur mon visage.

Il est parfois difficile d’aller de l’avant, surtout dans des situations stressantes comme celle-là. Mais je dois passer par ce chemin si je veux grandir, et surtout avoir une bonne relation avec la famille de Guillaume.

Jacques m’invite à m’assoir avec lui pendant que mon chéri s’en va chercher ses affaires. Il lui reste deux, trois choses à mettre dans sa valise.

Jacques : ta valise aurait déjà dû être prête (d’une voix grave)
Guillaume : désolé papa

Jacques me regarde un instant, je suis mal à l’aise vu comment il parle à son fils devant moi. Il le remarque sans doute, puisqu’il change aussitôt de ton en lui disant que ce n’est rien.

Pour enchaîner son père me demande comment s’est passé ma journée. Je lui réponds avec un peu plus de facilité que la dernière fois, puis je me dis que ce serait l’occasion de lui parler de l’anniversaire de Guillaume, pendant que je suis seule avec lui.

Moi : dites Monsieur, je…
Jacques : appelle-moi Jacques voyons ahah
Moi : euh, oui, Jacques pardon
Jacques : tu veux me demander quelque chose ?
Moi : oui, c’est… à propos de l’anniversaire de Guillaume
Jacques : ah, je t’écoute
Moi : je voulais savoir, si vous… l’autoriseriez à sortir un soir pour…
Jacques : pour fêter ça, c’est ce que tu me demandes ?
Moi : euh, oui s’il vous plaît
Jacques : hum…

Il est là devant moi à réfléchir un instant, tandis que je suis en stresse devant lui à attendre une réponse. Je regarde vers le couloir, cherchant si Guillaume à déjà fini ou non. Je ne voudrais pas qu’il revienne pendant que l’on discute de ça.

Jacques : et tu voudrais faire cette fête quand et où ?
Moi : hey bien, je me disais le vendredi 15, le week-end qui suit son anniversaire… mais je ne sais pas où encore, il faut que je demande à ma mère
Jacques : hum

Là encore il réfléchit, mais pourquoi ça semble si long pour me dire oui ou non ?

Moi : ce serait une surprise, il n’est pas du tout au courant
Jacques : hum, d’accord, si c’est une surprise, et que tu me le demandes, j’ai quelque chose à te proposer…(à voix basse)

De là, il se rapproche de moi pour me dire qu’il a une idée. Ce vendredi là justement, il est prit pour une soirée avec des clients dans une autre ville. Il n’a pas pour habitude de faire cela, mais puisque c’est moi qui lui ai demandé, qu’il connaît ma timidité. Il se dit que j’ai du recherché beaucoup de courage pour lui en parler.

Alors il me propose de venir ici même, pour faire cette fête surprise, qu’il me donne carte blanche à condition de ne rien casser, de ne pas inviter tout le collège et surtout de tout nettoyer avant son retour, samedi en fin de soirée.

Je suis totalement surprise de sa part, je ne m’attendais pas du tout à cela, c’est complètement fou. Je n’avais qu’une idée de surprise, et voilà qu’il me déballe un plan tout fait pour que la fête soit réussit.

Je pense qu’il doit lire sur mon visage la joie que me donne sa réponse, puisqu’il en rit. Au même moment Guillaume arrive avec sa valise, nous arrêtons donc d’en parler, mais je remercie Jacques. Il comprend tout à fait pour quoi et nous accompagne à la porte avant de m’embrasser et me souhaiter une bonne soirée.

Il salut également son fils, lui souhaitant de passer un bon week-end et d’embrasser sa mère. Tout à coup, Jacques paraît à des années lumières du portrait que j’avais de lui, une personne froide, autoritaire ne se permettant aucun plaisir ni et son fils.

Cette personne avait semble t’il disparue en un instant. En descendant les escaliers je suis encore toute surprise, mais si heureuse. Mon chéri ne s’y attend pas, mais je pense que son anniversaire sera super, du moins je vais tout faire pour qu’il le soit.

Guillaume : euh, depuis quand mon père te fait la bise ?
Moi : aujourd’hui
Guillaume : et ça va ?
Moi : euh oui, mais c’est normal je pense, on apprend à mieux se connaître aussi

Il reste tout de même surpris de ce geste, surtout venant de son père. Il est vrai que j’étais la première à me demander ce qui pouvait bien se passer, mais si ça m’aide à avoir une meilleure relation avec lui, alors pourquoi pas.

Nous avançons rapidement, je ne voudrais pas que Guillaume rate son train, heureusement, nous arrivons quinze minutes avant le départ. Mais ce quart d’heure passe trop vite, je l’embrasse une dernière fois avant de le laisser, je suis toujours triste de le voir partir.

Je reste là bêtement sur le quai alors que le train s’éloigne jusqu’à ne plus le voir. Doucement alors je refais le chemin inverse pour rentrer. J’ai l’impression que la route est plus longue qu’à l’aller.

En arrivant chez moi, en ouvrant la porte j’entends de la musique dans l’appartement, ma mère doit sûrement être en train de se préparer pour son rendez-vous. Je me demande où est-ce qu’elle est ?

Je n’ai pas à chercher longtemps, je la vois sortir de la salle de bain toute nue avec une serviette sur la tête. Je ris en moi-même, surtout en la voyant se trémousser en rythme. Elle tourne la tête puis me voit, elle vient alors me prendre dans ses bras pour m’emporter avec elle dans sa danse.

Elle me fait tourner dans tous les sens en me demandant de faire comme elle. Je ris comme une folle, lui demandant si je dois aussi me mettre toute nue, ce à quoi nous sommes plié de rire, au point de nous prendre les pieds dans mon sac posé au sol et de trébucher.

Dans notre chute nous avons eu une frayeur, mais nous n’avons cessé de rire. Elle se redresse un peu, nue au dessus de moi me demandant si je ne me suis pas faite mal, mais non tout va bien.

Elle se relève, coupe la musique et reprend son souffle après son fou rire. Je suis contente de la voir ainsi, toute rayonnante, heureuse à l’idée de retrouver Marco ce soir. Elle me propose un thé en allant prendre place dans la cuisine, discutant un bon moment avant qu’elle ne décide d’aller s’habiller.

Heureusement que mon chéri n’était pas avec moi, il aurait tout simplement eu un bug, ou alors profité pour mater. Hum, je me demande bien ce qu’il aurait fait.

En tout cas, j’ai passé le reste du temps avec ma mère, on a parlé, je l’ai conseillé sur sa robe, mais le résultat pour moi reste toujours le même, elle est magnifique.

Je n’arrête pas de l’embêter en lui disant qu’ils vont être de véritable petit lapin ce soir. Elle me regarde avec un air choquée me disant qu’elle ne voit pas de quoi je parle. Avant que j’oublie, je lui parle également de la fête que je veux organiser pour Guillaume.

Elle est très étonnée aussi de la réaction de Jacques. Au moins l’endroit sera grand pour accueillir nos amis et serons tranquille pour toute la soirée. Elle me demande seulement de bien respecter les consignes que Jacques m’a données.

Il est près de 19H lorsque nous entendons sonner à la porte, en ouvrant je vois Estelle et Nora avec leurs affaires accompagnées de Christine, qui est toute aussi belle pour son rendez-vous. Elle entre un moment pour discuter, s’échanger des compliments sur leurs tenues de soirée, pendant que les filles posent leurs sacs dans ma chambre.

L’heure défile, il est temps pour les mères de s’éclipser rejoindre leur prétendant. Toutes les trois leur souhaitant en cœur de passer une bonne soirée, la notre débute dès maintenant…
chapitre 143 image
C’est parti pour notre soirée pyjamas, nous voilà toutes les trois dans le salon se demandant par quoi commencer. A vrai dire, nous n’avions pas prévu grand-chose, soirée pizza, vernis à ongles et film d’horreur.

Alors pour la pizza, pas de soucis, nous allons téléphoner dans quelques minutes. Pour ce qui est vernis et autres, les filles ont apportés de quoi faire en piquant quelques affaires de leurs mères, pour le film, Estelle à son ordi.

En tout cas, je suis trop contente de les avoirs toutes les deux avec moi ce soir, ça me changera de mes soirées où je suis toute seule. Pour les filles, c’est une première, bien sûr elles se connaissent, Nora en me voyant parfois, passe faire un coucou au groupe, ce qui l’amène de temps en temps à discuter, mais sans plus.

C’est pour cela que je les ai invités ce soir, histoire qu’elles puissent faire plus amples connaissances et nous amuser toutes les trois ensembles.

Nous passons la commande de la pizza de suite, même si nous la mangerons plus tard, au moins ce sera déjà fait. En attendant le livreur, nous regardons un peu ce que les filles ont apportés dans leurs sacs.

Elles ont de tout, du vernis, rouge à lèvres en passant par des crèmes, masques et autres produits pour mettre en beauté une femme. Nous poussons la table basse du salon, déballons le tout au sol et en parlant de beauté, Nora souligne que ma mère était très belle pour sa soirée.

C’est vrai et la sienne aussi d’ailleurs, il faut dire qu’elles s’avent se mettre en valeur sans trop en faire. Estelle nous demande si nous connaissons les hommes qu’elles sont partis rejoindre. Des deux côtés, à part les photos et prénoms, non. En même temps, ils ce sont rencontrés en réel il y a quelques semaines et je pense qu’elles préfèrent avant tout mieux les connaitre, plutôt que de nous présenter le premier venu.

Je demande pour le coup à Nora pour quelles raisons ça n’a pas marché avec les autres. D’après elle, et après avoir longuement discuté avec sa mère, ils ne se correspondaient pas forcément. Tout est toute feu toute flamme au début, une attirance, un désir sincère puis après la réalité les rattrapes.

Bien souvent, c’est sa mère qui a mit fin aux relations pour diverses raisons, elle sait ce qu’elle recherche. Je la comprends tout à fait, pour ma mère c’est la même chose. Donc pour le moment, elles recherchent, tâtent le terrain et si elles peuvent s’amuser au passage, pourquoi pas.

Nous rions toutes les trois, mais c’est vrai que dans les débuts, ils sont très chauds au lit d’après ce que l’on peut entendre.

Estelle : attendez une minute… vous les entendez vraiment faire l’amour et tout ?!
Moi : euh oui
Nora : pareil, pour les mecs qu’elle a ramenés chez nous
Estelle : mais WHAT ?!!

Je suis surprise de voir Estelle comme ça, elle qui est si libre d’habitude n’accepterait pas l’idée d’entendre ses parents faire l’amour. Apparemment ça la dégoute complètement, même si elle sait qu’ils s’aiment énormément et que c’est naturel.

Elle nous dit avoir déjà entendu ses parents faire l’amour, il était tard, elle dormait et un bruit l’a sortie de son sommeil. Quand elle comprit ce qui se passait dans la chambre d’à côté, elle se boucha aussi vite les oreilles. Pendant des jours elle faisait la gueule, mais ça lui est passé rapidement sachant que c’était surtout de l’amour avant tout.

Après ça, dès qu’elle entendait un bruit venant de l’autre côté du mur, elle mettait ses écouteurs et la musique à fond. Elle le fait encore aujourd’hui, car pour elle c’est un peu dégueu surtout d’avoir en tête, l’image de ses parents en plein ébats.

Nora et moi rions après Estelle en se regardant, dans nos yeux on devine directement que pour nous deux, c’est tout le contraire. Mais bon, vue la réaction d’Estelle, il vaut mieux garder ça secret.
Notre pizza finit par arriver, je pose le tout dans la cuisine pour plus tard, puis reviens au salon.

Estelle : mais je vous rassure hein, j’aime le sexe, en parler, déconner dessus, seulement voilà, pas quand c’est mes parents…

On en rit encore et on la comprend. D’ailleurs en parlant de sexe, elle me demande comment ça se passe avec Guillaume, si c’est chaud entre nous. Je lui dis que ça va, on s’amuse bien pour rester un peu évasive.

Estelle : ah bon ? Rien de chaud chaud ? (petit rire)
Moi : hum, on le fait dès qu’on le peut, mais c’est tout
Estelle : d’accord, dès que tu peux, comme au cinéma par exemple ?

Elle me fixe avec ce même sourire alors que je ne sais plus quoi dire à part bégayer. Nora ne comprends pas du tout l’histoire, je cherche une échappatoire, une excuse mais Estelle ne ma lâche pas des yeux. Puis elle se met à rire, je me mets à faire pareil par réflexe, me demandant vraiment ce qu’elle a vu.

Je tente de jouer la fille innocente, ne sachant pas de quoi elle parle, alors elle nous raconte que pendant le film, rien que le début l’ennuyait grave. Elle se demandait si on ne voulait pas sortir et aller quelque part d’autre, plutôt que de se faire chier. Elle s’est alors retournée, sur le moment elle ne m’a pas vu, pensant que j’étais aux toilettes.

Elle a attendue mon retour, puis de nouveau elle a jeté un œil derrière. C’est là qu’elle m’a vue installée sur Guillaume, bougeant légèrement. Elle a comprit de suite, faisant semblant de rien espérant que Charles et Jonathan n’aient pas la même idée qu’elle de partir.

Nora : woa, c’est chaud je trouve
Moi : arrête… je sais plus où me mettre (je ris, mais j’ai honte)
Estelle : ahaha, mais dis moi une chose…
Moi : ah non j’en peux plus, j’en reviens pas que tu ais vu ça (en riant, la main devant la bouche)
Estelle : ahaha je me suis retournée une dernière fois, tu étais… ? (en me fixant)
Nora : quoi ? Y a eu quoi ? (ne sachant plus qui regarder)

Là, je ne voyais pas du tout ce qu’elle voulait dire, je pense qu’il s’est passé tellement de choses au cinéma en même temps.

Estelle : …toute nue ?
Nora : carrément ?!! (en me fixant)

Bon à ce moment là, avec leurs têtes, je me suis mise à rire de honte. Je cache un instant mon visage dans mes mains, avant de relever la tête et souffler. Inutile de le nier, je leur raconte tout, oui j’étais nue, je pensais que personnes ne nous avait vue. Après avoir jouie je leur dis même avoir fait un tour dans le fond de la salle.

Nora : toute nue ?!
Moi : oui hihi (rire timide)
Nora : mais tu n’avais pas peur ?
Moi : sur le moment non, j’étais excitée, je trouvais ça coquin et je n’ai vraiment pas réfléchie (encore en rire)
Estelle : c’est toi la best (avec un sourire coquin)

Je saute sur Estelle, la plaque au sol en la chatouillant, je me venge comme je peux mais bon, c’était le risque. On se roule au sol, prenant au passage Nora pour lui faire subir le même sort. On est là, toutes les trois à rires en s’entremêlant, je fais promettre à Nora de garder cette histoire secrète. C’est notre soirée, alors on peut tout se dire, mais rien ne sort d’ici.

A se rouler comme des folles pendant cinq minutes, on finit étalées, essoufflées, les unes sur les autres. Les rires n’en finissent plus, on est si bien là.

Nous reprenons notre souffle, le calme revient peu à peu, puis continuons à parler « garçons » pendant que nous nous essayons quelques vernies à ongles. Nous faisons la liste des beaux mecs du collège, la mise à jour de qui sort avec qui, les ragots etc.

En farfouillant dans le joyeux bordel, je trouve des crèmes pour le visage, masques, mais également de la cire et bande d’épilation. Estelle nous conseille pour la crème et le masque de le faire après la douche, pour ce qui est de l’épilation, on peut le tester de suite.

Je ne sais pas du tout ce que ça peut donner, je ne connais que le rasoir, pareil pour Estelle. Pour Nora, elle ne connaît rien de tout cela, elle dit laisser au naturel, pareil pour ses jambes qui n’ont pratiquement pas de poils.

Estelle : ça vous dit de tester du coup ?
Moi : hum oui pourquoi pas, ça peut être marrant

Aussitôt dit, on se met toutes les trois en sous vêtements. On test de tout sur les poils de nos jambes qui ont déjà pas mal repoussés depuis, ainsi que nos aisselles. C’est clairement l’horreur surtout quand on ne connaît pas. Certains poils sont plus résistants, alors on essaie plusieurs fois, on souffre encore et encore avant de se rendre compte qu’ils sont en fait trop courts.

Estelle essaie de nous vanter les mérites de l’épilation, en nous disant que c’est efficace jusqu’à quatre semaines, mais rien n’y fait, c’est douloureux et on est morte de rire en voyant les autres souffrir. Même pour Nora qui n’a pas beaucoup de poils aux jambes le sent bien passer.

Nous sommes comme anéantie, couchées au sol, à rire, pleurer. On se demande bien comment font les autres pour subir une telle torture chez l’esthéticienne. De plus qu’elles le font au niveau du maillot également, rien que cette idée me fait déjà verser une larme en imaginant la douleur.

Estelle nous propose d’essayer aussi, on la regarde se demandant vraiment si elle est sérieuse. Heureusement elle blague, car moi personnellement, je ne me voyais pas faire ça. On abandonne toute histoire d’épilation. Elle nous propose de passer aux crèmes et masques, là ça me va, je me sens plus adepte de petits soins doux et parfumés.

Nora : euh, vous voulez aller dans la salle de bain ?
Estelle : humm ce sera mieux, il faut appliquer certains produits pendant et après une douche
Nora : euh, je n’ai pas très envie de me mettre à poil là
Estelle : oh tu es pudique ? Désolée je ne pensais pas
Nora : non ce n’est pas ça, c’est juste que je ne me rase pas et que ça fous la honte

Bizarrement, je dirige mon regard vers sa culotte quand elle nous a dit ça, je ne vois rien de particulier. Mais je comprends ce qu’elle veut dire, moi j’étais plus pudique, mais avec le temps je me suis rendu compte que ce n’est rien, de plus on est entre filles.

Nora réfléchie un moment, on l’encourage du mieux qu’on peut, puis on est pas non plus clean, ça fait une semaine pour ma part que je ne me suis pas rasée, alors des poils elle n’est pas la seule à en avoir. Après une longue discussion, elle finit par sourire en disant que c’est parti, Estelle prend alors son ordi pour mettre de la musique dans la salle de bain, histoire de s’ambiancer.
Alors c’est parti…
chapitre 144 image
Nous voilà toutes les trois dans la salle de bain, la musique sur l’ordi d’Estelle nous entraine dans une danse à la fois passive, sensuelle, tout en nous regardant dans le miroir. Nous sommes en sous vêtements, toujours dans un moment de folie, jouant les filles amoureuses, coquines, voir félines.

Je nous trouve très belles dans ce reflet, nous jouons de nos corps, de nos formes ainsi que de nos cheveux. Des poses, des fous rires, nous nous amusons à jouer les femmes fatales, imitant des pistolets de nos mains.

Les produits à tester sont étalés devant nous sur le meuble du lavabo. Les soutiens gorges s’envolent les premiers, laissant apparaître nos seins. On se complimente chacune, sur la forme, la grosseur, la couleur et autres encore. Les unes préférant toujours une chose chez l’autre, comme un détail qui pourrait parfaire notre corps.

Estelle est la première à se dénuder, elle est vraiment à l’aise avec son corps. Nora la regarde au travers le miroir, puis abaisse aussi le dernier tissu présent sur son corps. Directement, mon regard se fixe sur son intimité, son sexe est poilu comme elle l’a dit, mais il n’est pas non plus si fourni que ça.

Estelle lui fait même la remarque, qu’elle n’avait pas à avoir honte pour si peu de poils au final. Il est vrai que je m’attendais à beaucoup plus, vu comment elle en parlait. Mais en fait, non, elle a une pilosité peu développé comme si ses poils commençaient à peine à sortir. Des poils fins, centré comme si elle les taillés tout autour.

Nora rit de nos remarques, l’air un peu gênée que l’on parle de son intimité, mais cette gène s’en va rapidement, puisqu’elle est même à présent face à nous, s’exposant presque, tandis que je me dénude moi aussi. Nous entrons toutes les trois dans la baignoire, l’eau coule et la pomme de douche passe de main en main pour se rincer de la tête aux pieds.

Puis nous nous installons toutes au fond de la baignoire, laissant l’eau couler pour la remplir, Je laisse la place aux filles à chaque extrémité alors que je me place au milieu. En temps normal, tenir à deux dans cet espace est déjà assez juste, mais trois c’est compliqué. Chacune doit au moins croisé une jambe sur moi ou derrière alors que les miennes sont pratiquement à l’extérieur.

Après une longue organisation, nous finissons par trouver la position idéale. Nous rions beaucoup, car au passage je me suis mangé une jambe, un pied et pas seulement dans le visage, mais aussi sur les seins.

Donc installées, nous commençons par tester le masque pour cheveux, à appliquer entre 10 à 20 minutes. Un temps pendant lequel nous allons chanter toutes en cœur chaque paroles des musiques qui vont passer. Je te promets de Zaho, dingue dingue dingue de Christophe Maé et autres encore auxquels je ne pense pas avoir été à la hauteur.

Par contre Nora nous a vraiment surprise, elle a vraiment une belle voix que l’on félicite d’ailleurs. Nous l’encourageons même à participer à la nouvelle star, on serait vraiment trop contente de la voir à la télé, et c’est garanti, on ne vote que pour elle.

Le temps est venu de nous rincer les cheveux, et comme pour nous installer, se relever dans cette baignoire c’est le parcours du combattant. Cette fois-ci je fais attention à ne recevoir aucun pied dans mon visage.

Nous sortons de la baignoire en mettant de l’eau un peu partout avant de se sécher totalement. Chacune notre tour, nous appliquons le masque d’argile, on se regarde, puis éclatons de rire à voir nos têtes. On va devoir attendre que ça sèche, heureusement que nous avons de la musique et que notre Dj est totalement folle.

Elle nous entraîne dans des danses déchainées, en criant même comme des folles. Estelle prend également des photos sur lesquels nous posons nues, en se collant, faisant des grimaces, resserrant même nos poitrines avec nos mains face à l’objectif. Des photos coquines qui resteront comme tout le reste, un secret de plus à cette soirée.

A un moment, sur l’ordi se joue la musique de Pitbull « I know you want me ». Nous avons commencé à chanter, à danser, laissant nos serviettes s’échapper pour continuer nues. Estelle à même simuler une façon très grossière de faire l’amour en venant me culbuter en chantant les paroles.

Je sentais le bassin d’Estelle venir s’écraser contre mes fesses, laissant un bruit de claquement se faire entendre nettement. Nora n’en pouvait plus de rire, et elle aussi a eu le droit de se faire prendre sauvagement avant que notre Pitbull improvisé ne se repose sur le rebord de la baignoire en mimant fumer un cigare.

On continue de danser les unes contre les autres totalement nue, des mouvements parfois grotesque, sensuelle, se donnant des coups de hanches ou se frottant seins contre seins. Vraiment des instants de folies qui ne sont possible qu’avec Estelle.

Au bout de quelques minutes, le masque d’argile commence à tirer sur nos visages, signe qu’il
sèche. Après s’être rincer et avoir complètement retiré le masque, nous nous regardons aussitôt dans le miroir comme si nous pouvions voir de suite les changements sur notre peau.

Bien sûr nous avons trouvé des choses à dire, et avons débattus longuement, puis nous testons le dernier produit de la soirée, la crème pour le corps. C’est vraiment doux, parfumé, enfin un soin que j’apprécie. J’aide Nora à lui passer de la crème dans le dos, elle en fait de même pour moi tandis qu’Estelle s’installe sur le meuble du lavabo, relevant ses jambes pour se mettre la crème.

Dans cette position, elle expose totalement son intimité, ce qui ne nous échappe pas du tout. Estelle en rit, surtout que ses poils commencent à très bien repousser. Elle me demande alors si j’ai un rasoir à lui donner pour retirer tout ça. Je lui dis que si elle le veut, elle peut très bien prendre une bande épilatoire.

Je disais cela pour rire bien sûr, repensant surtout à la douleur ressentie plus tôt, mais cette idée faisant son chemin, Estelle voulait bien la tester. Sur ce coup là, je la laisse tester toute seule, moi je ne tiens pas à souffrir comme pour mes jambes. Je vais lui chercher les bandes, et on a vraiment l’air conne à essayer de les lui coller sur l’intimité.

Nora nous regarde attentivement alors que je demande à Estelle de relever la jambe, de l’écarter pour mieux appliquer la bande. J’appuie comme il faut partout pour bien l’étaler ce qui nous donne un fou rire, surtout en entendant Estelle me dire d’arrêter de lui toucher sa chatte.

Après ce moment à rire, c’est l’heure de vérité, j’attrape la bande fermement, je la regarde dans les yeux en lui disant de retenir son souffle, puis à la fin du décompte, j’arrache aussi sec. Le visage d’Estelle est à mourir de rire, la bouche en forme de O, les yeux grands ouverts me regardant, puis balayant la pièce dans le vide, avant de crier…

Estelle : MAIS PUTAIN ÇA FAIT MAL !!!
Moi : ahaha, et le pire, c’est qu’y a encore des poils
Estelle : QUOI !!!
Moi : attend je retente
Estelle : NON, non !! Une fois ça me suffit
Moi : ahaha tu es sûr ?
Estelle : certaine, passe moi le rasoir ce sera mieux
Moi : oh comment c’est tout rouge

Nora est prise d’un fou rire en nous voyant faire, mais je n’ose pas imaginer ce qu’Estelle a pu ressentir, rien qu’en voyant son intimité rougir, je me dis que ça doit vraiment être horrible. Après une minute à souffler pour évacuer sa douleur, elle prit le rasoir et la crème.

De mon côté je me regarde le visage dans le miroir pour constater les bienfaits du masque, tandis que Nora discute avec Estelle en la regardant faire de plus près. Même si le résultat est beau Nora ne souhaite pas se raser, elle appréhende encore de se couper.

Elle le fera peut être un jour, quand elle sera plus en confiance, mais pour ce soir, nous en avons fini de tout ces tests de produits. Le bilan est très vite fait, il faut souffrir pour être belle aux yeux des hommes. Les filles me posent des questions sur Guillaume, sa pilosité et autres, auxquelles je réponds.

Je le trouve très beau sans qu’il ait besoin de faire d’efforts, on se demande alors comment il me trouverait si j’arrêtais de me raser de partout. On en rit, mais il est hors de questions que j’essaie, car je me vois mal déjà moi, avec des poils partout.

A la limite, ne pas me raser l’intimité, pour voir sa réaction ok, mais pas le reste. Nous continuons de débattre de tout cela en nous habillons, puis prenons la pizza pour nous installer dans le salon en vu de regarder un bon film d’horreur. J’installe aussi mon matelas au sol, nous allons dormir ici ce soir, il y aura plus de place pour nous trois avec le canapé.

Nous avons crié, parfois critiqué les choix absurde des acteurs pour leur survies sachant qu’ils vont à une mort certaine mais bon. Je n’aime pas regarder ce genre de film toute seule, il me faut toujours quelqu’un à qui me coller.

Après le film, nous continuons de parler, des garçons, de sexe. Je demande a Estelle si elle a toujours mal suite à l’épilation de son intimité. La réponse est oui, elle décale alors sa culotte pour constater que la zone épilé est encore légèrement rouge.

On en rit encore tout en nous allongeant, puis nos discussions se font plus calme, douce, jusqu'à que nos voix ne puissent à peine être audible et nous endormir…
chapitre 145 image
Durant la nuit, j’ai dormi avec Estelle sur le matelas au sol, Nora, elle, était installée sur le canapé. Il a fait chaud pendant notre sommeil, mais ça ne nous a pas empêché de nous coller l’une à l’autre, surtout avec le manque de place.

Je ne sais pas quelle heure il est, le soleil passe au travers des fenêtres, ce qui me tire de mes rêves. Je lève un peu la tête, le salon est un véritable chantier. Je suis fatiguée rien qu’en pensant au rangement que nous allons devoir faire.

Je repense à notre soirée, combien nous nous sommes amusées et les fous rires que nous avons pu avoir toutes les trois. Mais je me dis surtout que je ne me suis pas comportée comme à mon habitude.

En temps normal, je fais attention à la moindre petite nudité, ou situation qui pourrait m’exciter un peu. Mais hier soir, il n’y avait rien de tout cela, non, juste des rires. Je me suis amusée comme une folle avec ses deux là, et c’est ce que je retiens le plus.

Je traîne encore, je me colle contre Estelle, laissant passer les minutes en regardant le plafond. Lorsque les filles commencent à émerger, il est pratiquement 12H. Nos têtes à ce moment là ne sont vraiment pas fameuses, les cheveux en pétard, les yeux à moitié fermés, et en guise de langage des « humm » incompréhensibles.

J’envoie tout de même un message à ma mère pour lui demander à quelle heure elle rentrerait. Pour être sure d’avoir le temps de tout remettre en ordre avant son arrivée. Mais pas de réponse, je souris en moi-même, elle doit sûrement être occupée.

Nous nous levons, prenons un petit déjeuner sans pour autant faire l’effort de nous habiller plus. Nous restons bien une heure devant nos bols de céréales avant que je ne reçois un message de ma mère.

Ça va, on se met d’accord toutes les deux qu’elle rentre pour 17H, ce qui nous laisse largement le temps. Et heureusement, car nous ne sommes vraiment pas productives. Nous passons l’après midi à parler, en rangeant une chose après l’autre.

Pendant ce temps, je leurs parle également de mon idée de faire une fête pour l’anniversaire de Guillaume qui approche. Les filles sont très emballées par l’idée, alors on se met d’accord sur les préparatifs. S’agissant surtout d’une surprise pour lui, il va falloir s’organiser en toute discrétion.

Pour la date et le lieu, tout est bon, je leur dis que le père de Guillaume nous autorise à faire la fête chez lui à condition de ne pas inviter tout le collège, de ne rien casser et surtout tout nettoyer avant son retour.

Les heures passent, on entend sonner à la porte, je me lève pour ouvrir, il s’agit de Christine qui est là pour récupérer Estelle et Nora. Nous avons vraiment passés toutes les trois un bon moment, nous sommes presque tristes de nous séparer. En partant l’appartement est tout à coup vide, le silence règne tandis mon regard parcours chaque endroit à la recherche de choses que j’aurais oublié de ranger ou nettoyer.

Après avoir fait le tour de l’appartement je me pose un instant dans le canapé, il est 17H passé de quelques minutes, ma mère ne va pas tarder à rentrer maintenant. Je l’attends impatiente en tentant de m’occuper en regardant la télé, mais il n’y a rien de vraiment intéressant.

Je regarde l’heure qui tourne, mais elle n’est toujours pas là, c’est bête sûrement, mais je commence à m’inquiéter pour elle, me demandant où elle peut bien être. Je regarde mon téléphone je ne sais combien de fois, ce qui semble encore plus ralentir le temps, puisqu’à chaque fois je vois l’heure qui n’a pas du tout l’air de changer.

J’ai beau le regarder mais je ne vois aucun message ou appel de ma mère, est-ce qu’elle passe à nouveau la nuit avec Marco ?

Non je ne crois pas, dans quel cas elle m’aurait prévenu. Je me dis alors que le mieux serait de l’appeler, puis au moment où je veux appuyer sur la touche, j’entends la clé dans la serrure de la porte, avant de la voir enfin apparaître dans l’ouverture.

Je me sens soulagée, je me lève puis je la serre tout contre moi en déversant un peu sur elle mon inquiétude. Elle en rit en me demandant pardon pour le retard, me disant qu’elle a été retenue au moment de partir.

Je ne doute pas qu’ils ont dû en profiter encore une dernière fois, d’ailleurs, je peux sentir une odeur de sueur, ou d’homme pendant que j’enlace ma mère. Je le lui fais savoir, ce à quoi elle réagit en me repoussant légèrement, disant qu’elle a vraiment besoin de se laver.

Je la suis naturellement jusque dans la salle de bain où elle commence à se déshabiller. Je la regarde faire avec un léger sourire, je suis un peu égarée dans mes pensées lorsqu’elle me demande de la rejoindre.

Dans le bain elle vient prendre place tout contre moi, elle me demande de lui laver le corps. Ce que je fais tout en douceur pendant qu’elle me raconte sa soirée.

Comme toujours un bon restaurant, qu’ils ont aimés du début à la fin, puis après le dessert ils ce sont baladés. Au détour d’une rue ils ont croisés un groupe de joyeux potes dont quelques uns étaient un peu éméchés. Ils ce sont retournés en regardant ma mère, et n’ont pas manqués de la complimenter, ou la siffler, ce qui la mis un peu dans l’embarra, n’aimant pas particulièrement recevoir ce genre de remarque de la part de parfait inconnus.

Marco lui se sentait encore plus fier à ses côtés, lui expliquant qu’il était ravi que des hommes se retournent en voyant la femme qui l’accompagne, et que les compliments sont tout à fait justifiés puisqu’elle est très belle.

Il continuait de la rassurait tout en se baladant, lui disant qu’il est normal d’avoir ce genre de compliment au détour d’une rue mais qu’il était préférable de ne pas s’offusquer, de ne pas s’occuper d’eux. Elle comprenait bien que seul, Marco ne pouvait pas tenir tête à ses jeunes, et préférait rester silencieux pour ne pas créer de problèmes.

Elle se sentait toujours un peu gêné mais également en sécurité aux côtés de son prétendant. Il avait sans doute pris la bonne décision, et peut comprendre son point de vue concernant les compliments. Tout en marchant, ils s’embrassaient, Marco continuait de plus belles sur les compliments, et les caresses du bout de ses mains. Si bien qu’à certains moments, lors d’arrêts improvisés pour s’embrasser, il remontait sa robe pour en jouer avec son sous vêtement. L’excitation était à son comble pour tout les deux, et bien que craintive, elle sentait en elle un sentiment étrange, la peur mêlé au désir, au plaisir.

Alors elle se laissait aller, sous les mains joueuses de Marco, un petit bout de tissu glissait le long de ses jambes. Ce qui venait de disparaître était la culotte de ma mère, que Marco arborait comme un trophée, tout souriant et humant son odeur.

Au coin d’une rue, dans la pénombre, ma mère se voulait coquine, entrainant son prétendant tout contre elle pour s’embrasser, puis elle descendait dans son cou, son torse, pour continuer sa route jusqu’à se mettre à genoux.

Elle ne tardait pas à déboutonner et libérer le sexe tendu de son homme pour s’en occuper. Sa bouche glissait tout du long de cette colonne de chair, dans cette ruelle peu éclairé. C’est la première fois qu’elle faisait cela, dans une ruelle, où n’importe qui pouvait la voir.

Elle se déconnectait totalement de la réalité, comme prise dans un courant de désir si fort, qu’elle ne pouvait lutter contre et ne se laissait qu’emporter. Marco accompagnait d’une main les mouvements de vas et viens, il gémissait tant ma mère lui donnait du plaisir.

Puis, toujours la pénombre de la ruelle, il saisit ma mère pour la relever, la retourner et la plaquer contre le mur, remontant sa robe par-dessus ses fesses. Ils étaient tout deux très chaud, le battement de leur cœur pouvait résonner dans tout leur corps, tant l’adrénaline était au plus haut. Elle s’est alors sentie entièrement dominé à cet instant, totalement plaqué contre ce mur froid, rugueux. Ce sentiment lui plaisait beaucoup, et acceptait totalement ce qui pouvait se passer à cet instant.

Contre ses fesses nues, elle pouvait sentir les mains de Marco les caresser, les pétrir, tout en glissant sa queue tendu entres. Elle sentait ce sexe dur, aller et venir, le gland cherchant son chemin entres ses jambes humides. Elle se perdait dans ses pensées, elle en voulait plus, sans faire attention à l’endroit où elle se trouvait.

Son instinct, son désir avait pris le dessus, tendant ses fesses vers l’arrière, elle voulait ressentir son homme la prendre là, tout de suite dans cette ruelle. Elle voulait jouer avec le danger, elle voulait vivre, faire ce qu’elle n’avait jamais fait auparavant. Une fois cambrée, le gland est venu se positionner entres ses lèvres, puis au moment de la pénétration, elle sentait un long frisson lui parcourir le dos.

Ses yeux fermés, elle ressentait chacun des mouvements de bassins. Marco allait et venait, le désir était au summum, il bougeait de plus en plus vite, de plus en plus fort. Tous les deux étaient dans un état second, un réel instant de pur plaisir.

On pouvait entendre dans cette ruelle, des bruits de claquements des bassins venant se heurter l’un contre l’autre, ainsi que des gémissements parfois discrets, parfois puissants.

Elle se laissait complètement aller, aussi bien qu’au coin de cette ruelle, le même groupe de potes repassait à ce moment là. Ils n’étaient vraiment pas très loin, seule la pénombre pouvait les dissimuler des jeunes passants.

De suite la main de ma mère est venue stopper le bassin de Marco, surprise de les voir passer non loin. Tout à coup, il n’y a plus eu de gémissements dans cette ruelle, voulant êtres discret en attendant que le groupe passe. Mais au fond d’eux, ils voulaient continuer, le désir étant trop fort, ils n’attendaient que le moment où ils seraient de nouveau seuls, pour continuer leur affaire.

Aussi à peine sont-ils partis que Marco s’enfonçait de nouveau, ma mère n’a pas pu s’empêcher de gémir. Elle était au bord de l’extase, prête à jouir, prête à être entièrement comblée. Ce qui n’a pas échappé au groupe qui est revenu de suite sur leurs pas pour en être sur.

C’est uniquement au moment où le groupe ce mit à rire et à siffler, que le couple s’est rendu compte de leur présence, aussi Marco stoppait tout mouvements, ils étaient pris en plein ébat, mais surtout filmés.

Un des hommes présent au bout de cette ruelle braquait sur eux un téléphone, seulement aucunes réactions de ma mère, ni de Marco parmi les rires et les sifflements. Après un long moment sans réagir, ma mère décidait en urgence de se rhabiller, suivit de Marco en se mettant dos au groupe.

Après quoi, ils entendaient des sifflements avant de s’en aller en courant plus loin dans cette ruelle, mettant de la distance entres eux et le groupe. Plus loin, plus au calme et fatigués après cette course, elle s’est mise à rire nerveusement, en tremblant avant que Marco ne la serre dans ses bras pour la rassurer.

Elle ne bougeait plus, ses rires étouffés entres les bras de Marco, elle essayait de se calmer du mieux qu’elle pouvait. Aussi elle lui demandait aussitôt d’aller à la voiture pour rentrer.

Une fois chez Marco, ma mère se sentait encore honteuse d’avoir été ainsi surprise, elle avait besoin d’une douche, besoin de se nettoyer comme pour enlever toutes traces de cette ruelle sur elle. Elle repensait toujours à ce jeune, qui l’avait filmé avec son téléphone, elle n’arrivait pas à l’effacer de sa mémoire.

Ce qui était prévu au départ pour une nuit torride entres eux, a finalement, laissé place au calme et à la parole. Elle ne se sentait pas du tout à l’aise, même incertaine quant à ce qu’elle avait pu ressentir dans cette ruelle.

Heureusement elle a réussit à se calmer, et après une nuit de repos, peut-être pourrait-elle voir plus clair.
18Aug

Vous pouvez me laisser ici vos commentaires, vos appréciations sur le récit.

La création d'un site est tout nouveau pour moi, il y aura certainement des choses à revoir, visuel, organisation.

Le site sera mis à jour, avec de nouveaux chapitres au fil du temps.

Merci à vous.

par ici les coms  
CE SITE A ÉTÉ CONSTRUIT EN UTILISANT