chapitre 123 image
Sans perdre plus de temps, et surtout dû à notre excitation, nous nous embrassons passionnément. Sa langue danse avec la mienne, tandis que ses mains viennent agripper mes seins, mes fesses dans une caresse plutôt torride.
 
Mes mains, elles, descendent sur son torse, sa peau est douce, son corps se fait ressentir. Sous mes doigts je peux ressentir un certain frisson, alors que mes mains continuent leur descente vers le trésor tant convoité.

J’atteins enfin ce que je désire, son sexe n’est pas très dur, mais qu’a cela ne tienne, je vais y remédier. Lentement, tout en douceur, ma main se saisie de son membre, pour commencer un léger vas et viens, le rendant à chacun de mes allés retour, un peu plus dur.

Nous sommes debout, en plein milieu du salon, à nous caresser, à nous embrasser, puis nous bougeons ensemble, venant s’installer sur le canapé. J’allonge complètement Guillaume, son sexe est maintenant dressé, dur, prêt pour ce qui va suivre.

J’ouvre alors un préservatif, je l’applique sur sa colonne de chair, puis je me place au dessus d’elle. Je souhaite prendre les choses en main, diriger cet acte, je veux le dominer, contrôler notre plaisir. Je saisie de ma main sa queue, puis la dirige délicatement vers l’entrée de mon vagin déjà si humide.

Si humide que son pénis ne rencontre aucun problème pour se glisser en moi. Quel plaisir, quel délice de ressentir cette pénétration, centimètre par centimètre. Je me mords légèrement les lèvres, laissant échapper aussi un gémissement qui en dit long sur ce qui va suivre.

Au bout de cette pénétration, je prends appui sur le torse de mon chéri, tandis qu’il me saisi les bras. Son geste est ferme, rassurant, son regard est tendre, rempli de désir. Alors je commence à bouger mon bassin, un léger mouvement, qui nous fait frissonner tous les deux.

J’aime lui faire l’amour, j’aime quand nos corps ne font plus qu’un, et pourtant, à chaque fois que nous le faisons, c’est comme si je ressentais cela pour la première fois. Je ferme les yeux, savourant cet instant de plaisir, pendant que mon bassin accentue ses mouvements.

Je me redresse, saisissant les mains de Guillaume au passage, pour venir les poser sur mes seins. Ses paumes complètement plaquer sur ma poitrine, provoquent un frisson que je peux ressentir se propager dans tout mon corps.

Je marque une pause, c’est comme si je venais de ressentir un premier orgasme, je gémi longuement, jusqu’à épuiser tout mon souffle, avant d’ouvrir les yeux, puis reprendre un rythme plus soutenu.

Guillaume se met à gémir lui aussi, suite à ce nouveau rythme. Sa tête se repose sur le canapé, ses yeux se ferment, tandis que je contrôle tout. Je me sens grande, puissante face à cette situation, plus rien autour n’existe, la pièce raisonne de nos gémissements, de notre acte charnel.

Je monte et descend le long de cette colonne de chair, chaque centimètre qui me pénètre me procure un plaisir et un bien fou. Je sens monter en moi une chaleur, du creux de mes reins en passant par ma colonne, ma poitrine. J’ai l’impression que mes poumons brûlent, accélérant mon souffle, devenant par la même occasion plus court.

Je ne peux plus me retenir, mes gémissements ce font de plus en plus fort. Mes vas et viens sont plus rapide, parfois même brute. Je veux le sentir au plus profond de moi, je veux le sentir taper, me remplir.

Tout à coup une deuxième source de chaleur, je la sens naître dans mon bas ventre. Comme sortie de nulle part, elle grandit, prend de l’ampleur jusqu’à exploser et se propager dans tout mon corps. Inondant chaque partie de mon être, jusqu’à être expulsé en un cri long de satisfaction.

Je viens de jouir, je viens d’avoir un orgasme intense, au point de perdre mon équilibre, posant mes mains sur le torse de Guillaume, pour amortir ma descente, et me laisser complètement m’allonger sur son corps.

Ma respiration est rapide, courte, je ressens encore en moi des vagues de plaisir me parcourir le corps. C’est si bon, si délicieux, de ressentir tout cela, tandis que Guillaume m’enlace dans ses bras, me demandant comment je vais.

Moi : je vais bien…
Guillaume : tu as jouie ?
Moi : oui mon cœur, et c’est trop bon
Guillaume : tu veux que l’on arrête ?
Moi : non, non, laisse moi juste quelques secondes, et je suis à toi
Guillaume : tu n’es pas obligé tu sais…
Moi : je ne t’ai pas encore fait jouir, alors laisse toi faire

Je me redresse alors, laissant mes mains sur son torse, le forçant à rester là où il est. Je veux toujours garder le contrôle, son sexe est toujours tendu en moi, je le sens parfaitement sous cet angle. Je reprends alors mes vas et viens, je glisse parfaitement, même mieux.

Je me sens encore un peu sensible à l’intérieur de moi, chaque mouvement sur son sexe me réchauffe le bas ventre. Je m’incline un peu plus en arrière, j’ai l’impression que son sexe est différent en moi, sûrement que son membre frotte différemment.

Je me laisse aller à cette découverte, reposant mes mains sur ses cuisses, comme j’ai vu tant de filles le faire dans les vidéos. Je relève aussi mes jambes, offrant une vue explicit à Guillaume sur mon sexe ouvert, et sa queue me pénétrant.

Mon bassin bouge à un bon rythme, mais je dois dire que je ne suis pas habitué à cette position, je sens déjà mes bras fléchir, ne plus trop me supporter. Mais je continue, je ne veux pas arrêter pas pour le moment.

A voir le vissage de Guillaume, il prend énormément de plaisir, en ressentant mon vagin glisser sur son membre, et en le voyant à l’œuvre également. Je continue, j’accélère par moment, mais très vite mes bras n’en peuvent plus.

Je dois alors changer de position, je reviens vers mon chéri, je suis maintenant accroupi au dessus de lui. Là encore, je suis surprise par la sensation, j’ai plus d’amplitude dans mes mouvements. Je peux remonter plus haut, et descendre de façon plus brute.

C’est incroyable, cette façon d’avoir le contrôle, cette façon que j’ai de me baiser sur sa queue. Une boule de chaleur s’intensifie dans mon bas ventre, je vais jouir une deuxième fois. Alors je me dis qu’il faut que je le retarde, il faut me contrôler.

Mais c’est tellement bon aussi, cette façon brute que j’ai possibilité de faire, à chacun de mes vas et viens. Je me baisse littéralement sur la queue de mon chéri, alors dans ma tête tout est en contradiction. Je ne sais pas si je dois y aller doucement retarder mon orgasme, ou alors continuer plus fort, pour ressentir son sexe me pénétrer au plus fort, au plus profond.

Je dois faire un choix, au plus vite, car il ne m’est pas possible de faire les deux. Je ferme les yeux, voulant contrôler cette chaleur dans mon ventre. Elle grandit de plus en plus, s’intensifie tandis que je gémis plus fort.

Je n’arrive pas à me décider, j’aimerais tant pouvoir faire les deux, mais je sais que c’est impossible. Et pourtant à ce moment là, Guillaume me saisi par les poignets…

Guillaume : je, je… je vais…
Moi : hummm, c’est, trop … bon, vas-y
Guillaume : tu vas, humm… bientôt… jou…
Moi : OOui, aaaAA, je… vais encore, jouir

Alors sans plus attendre, j’augmente ma cadence, le choix est fait, pour nous deux. Je ne me prends plus la tête, je veux le ressentir taper en moi, je veux y aller plus fort. Et c’est ce que je fais, je prends un meilleur appui, toujours accroupi au dessus de mon chéri, je monte et descend aussi brusquement que possible.

Empalant mon petit minou serré et trempé sur son sexe dur. Nos gémissements sont de plus en plus fort, on ne se retient plus du tout, dans le salon, le bruit de claquement de mes fesses sur ses cuisses raisonnent. Je sens en moi cette chaleur, me brûler, me consumer les entrailles, je me retiens au maximum, dans un dernier cri.

Puis Guillaume se redresse, vient m’attraper pour me serrer tout contre lui, en criant de plaisir…

Guillaume : AAAaaa AAAAA AAAAA je …
Moi : aaAAAAA moi, au…aussi

Son corps se contracte, ses jambes sont tendus, puis plier, me soulevant au passage me laisser retomber sa queue. Je jouie, la tête en arrière, laissant échapper un long gémissement, tout en ressentant le sexe de mon chéri, convulser en moi, se libérant de toute sa semence.

Sa tête est plongée dans mes seins, tandis que je place mes mains à l’arrière de son crâne. Je le serre tout contre moi, ne me retenant plus de gémir, puis mon corps se relâche, je sens mes forces m’abandonner.

Je sens le souffle chaud et court de Guillaume sur ma poitrine, tandis que mon cœur bat au point de le sentir presque sortir. Nos derniers gémissements se font à l’unissant, dans une respiration plus calme, mais toujours aussi courte, et saccadé.

Les mains de Guillaume dans mon dos, me provoque encore des frissons, j’ai encore la sensation que ce courant électrique me parcours la colonne. Je ressens aussi son sexe, ou alors peut-être le mien palpiter.

Je ne sais plus, je n’arrive plus à penser, mon esprit est comme dans un brouillard…

Guillaume : c’était, si… bon mon cœur
Moi : c’était, fort pour… moi, et toi ?
Guillaume : oui, j’ai… des frissons partout, et même… des fourmis au visage, on dirait
Moi : je t’aime
Guillaume : moi aussi, je t’…

Je ne lui laisse pas le temps de finir sa phrase, que je l’embrasse, mon cœur bat très fort, je ressens à nouveau un frisson me parcourir. Le fait de l’avoir entendu me dire, me décrire sa jouissance me procure un bien intense.

Nous continuons de nous embrasser, jusqu’à nous allonger tous deux, dans le canapé. Reprenant petit à petit notre souffle, nos esprits, dans cette pièce redevenue si calme…
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