chapitre 116 image
A mon réveil, ma tête est encore un peu endormie, j’ouvre les yeux, je suis nue, allongée aux côtés de mon chéri, également dans la même tenue. Je souris alors tendrement en le voyant, et qu’est-ce j’aime le regarder ainsi.

Je ne bouge pas, je ne voudrais pas le réveiller, je veux juste être là, à le regarder. Je ne me suis jamais vraiment projetée dans l’avenir, la seule fois que je l’ai fait, c’est quand Guillaume m’a demandée de le faire. Je n’ai pas envie de repenser à mes études, et autres choix, je m’imagine seulement avec mon chéri, je me projette dans plusieurs choses que j’aimerais vivre avec lui.

Nous faire des sorties, partir en vacances ensemble, pourquoi pas aussi voyager. Toutes mes pensées se font sur plusieurs années, des moments de rires, de joies, aussi peut-être des disputes que je ne souhaite vraiment pas.

Je suis rêveuse de tous ces moments que j’aimerais vivre avec lui, que j’aimerais raconter à ma mère, à mes amis. Je reste un long moment ainsi, à rêver de ce que l’avenir peut nous réserver. Guillaume finit par se réveiller, lorsqu’il ouvre ses yeux, il me sourit, heureux de me voir.

Guillaume : tu es réveillée depuis longtemps ?
Moi : un petit moment oui
Guillaume : et tu me regardes ?
Moi : oui tu es trop beau
Guillaume : ahaha merci mon cœur
Moi : tu as fais de beaux rêves ?
Guillaume : humm oui je crois, je ne m’en rappel plus, et toi ?
Moi : j’ai rêvé que j’étais chez ma grand-mère en vacance
Guillaume : ah, et tu prenais une douche avec ta cousine ?
Moi : ahaha

Je n’en reviens pas qu’il pense à ça directement, je lui dis que non en venant le chatouiller, que c’est sûrement son fantasme. Nous jouons un petit moment, puis en me mettant sur lui, je viens l’enlacer, lui demandant s’il aimerait ça ? Que je prenne une douche avec ma cousine ?

Il me dit que cette idée ne l’avait jamais quitté, depuis que je l’ai fait pour lui, pendant les dernières vacances. Qu’il aurait voulu être une petite souris, pour nous regarder, nous laver l’une l’autre. Sous ses airs timides, mon chéri est un véritable petit coquin. Je lui demande alors de me détailler ce qu’il peut bien imaginer d’autres, tout en commençant à le caresser.

Seulement il n’a pas plus d’idées que ça, peut-être que c’est vrai, ou alors il a peur de m’en parler, de me blesser. Je ne l’embête pas plus avec ça alors, par contre une question me vient. J’aimerais beaucoup savoir ce qui a pu lui plaire dans les vidéos qu’il a pu voir, concernant la levrette.

Il est un peu gêné, mais il me répond tout de même, me disant que c’est surtout le fait d’entendre la fille gémir, dire des choses. C’est ça qu’il l’avait beaucoup excité, donc c’est ça qu’il recherche sûrement.

Tout en discutant, je n’ai pas arrêtée de le toucher, le masturber, alors bien évidement, son sexe n’a pas tardé à se mettre au garde à vous. Je lui dis alors de me donner plus de détails, sur ce qu’il aime quand il regarde ces vidéos, sur ce qu’il aimerait que je fasse aussi.

Il commence alors à me parler, timidement il me décrit ce qu’il aime voir dans ces vidéos, et pendant ce temps je descends doucement pour venir le sucer. Introduire son sexe dans ma bouche pendant qu’il me parle de ce qu’il aime, je trouve ça excitant, et un peu déstabilisant aussi. C’est la première fois que nous faisons cela, pour Guillaume ce n’est pas facile non plus, se livrer ainsi pendant que sa copine lui taille une pipe.

Guillaume : tu, tu veux que je continue de parler ?
Moi : humm, oui, continue, c’est bizarre mais ça m’excite
Guillaume : ok

Je reprends de plus belle, faisant glisser sa queue au plus profond dans ma bouche, tout en l’écoutant me dire…

Guillaume : j’adore, voir la fille, se cambrer, humm
Moi : humm, humm
Guillaume : j’aime aussi, l’entendre gémir, pendant que le mec… la prend fort
Moi : humm
Guillaume : ce que j’aime surtout, c’est entendre, la fille hum, dire qu’elle aime ça
Moi : humm, humm, humm
Guillaume : qu’elle dise d’y aller, plus fort, oh, de l’entendre parler
Moi : humm, et qu’est-ce qu’elle dit d’autres ?
Guillaume : des choses comme, oh, prends moi, humm, ou alors ba…
Moi : humm, ça va mon chéri, j’ai compris, laisse moi faire

Je remonte vers Guillaume pour l’embrasser goulument, avant de me pencher, pour prendre une autre capote, la dernière d’ailleurs. Je l’ouvre, puis l’applique sur le sexe de mon homme, avant de me placer au dessus, pour la faire rentrer en douceur.

Quel plaisir je ressens là, avoir le contrôle de la pénétration, du rythme, de tout en fait. Je suis la maîtresse de ce moment, c’est moi qui dirige. Guillaume place ses mains sur mes hanches, pour m’accompagner dans ce rodéo.

Il vient également me caresser les seins, le cou, le ventre, tandis que j’accélère peu à peu le rythme. Puis mon chéri se redresse, vient plaquer son visage contre ma poitrine, qu’il embrasse, lèche mes tétons, les aspires.

Sa position change complètement l’angle de pénétration, je la sens très bien venir au fond de moi, mais également son bas ventre venir s’appuyer contre mon clitoris. J’enlace alors Guillaume, pour ne plus qu’il bouge, pendant que je continue mes vas et viens le long de sa queue.

Pendant ce temps, il continu de s’occuper de mes seins, de mon cou avec sa bouche, puis de ses mains, il s’occupe de me caresser le dos, la nuque, les fesses. J’adore ça, cette sensation de totalement maîtriser mon plaisir, mais aussi de me laisser faire par ses caresses, ses baisers, sa bouche.

Je ne lâche rien, je continue de monter, de descendre sur sa magnifique queue. Je ressens également mon petit bouton, venir se frotter contre son corps, je commence à gémir de plus en plus. Ressentir cette pénétration, ainsi que du plaisir sur mon clito, cela provoque en moi une tension encore jamais ressentie. C’est comme si que tout mon intimité était pris d’assaut, de l’intérieur comme de l’extérieur. Je suis prise par un étau de plaisir, qui ne cesse de se resserrer sur moi, m’emprisonnant, créant encore plus de tensions.

Jusqu’à qu’enfin, mon cri raisonne dans tout l’appartement, libérant ainsi mon orgasme, un des plus forts, des plus violents jamais ressentie. Je m’effondre complètement, venant m’appuyer contre Guillaume, qui heureusement me soutient parfaitement.

Ma tête contre son épaule, je reprends mon souffle, je retrouve mes esprits, pendant que mon chéri m’embrasse tendrement dans le cou. Je n’ai plus la force de bouger, plus la force de tenir, alors je lui demande de changer de position.

Je me retire doucement, non pas sans difficultés, tellement mes jambes en tremblent encore. Puis je me positionne en levrette, ma tête appuyée contre mon oreiller, les fesses bien relevées. Je n’ai pas encore totalement retrouvée mes esprits, que je sens sa queue me pénétrer de nouveau.

Quel plaisir, quel supplice de sentir son sexe s’enfoncer peu à peu, plus au fond, jusqu’à venir buter. Je ne peux m’empêcher de gémir, de surprise, de plaisir, ainsi que de désir d’en recevoir plus. Guillaume entame alors des vas et viens doux, tout en m’attrapant par les hanches, puis il accélère légèrement le rythme.

De mon côté, mes mains agrippent mes draps, tandis que je penche ma tête, fermant les yeux. Chaque coup que je ressens vient taper un peu plus au fond, son sexe courbé frotte parfaitement sur toute ma paroi vaginale.

Encore une fois le rythme s’intensifie, me faisant gémir de plus en plus vite, et plus forts. Son bassin commence à claquer contre mes fesses, dans ma chambre, on entend plus que ça, mêlé à des gémissements de plaisir, de petite douleur que j’aime ressentir.

Je me rappelle alors ce qu’il m’a dit plus tôt, les détails qu’il m’a donné, concernant ce qu’il aime voir, ou entendre, lors de cette position.

Moi : humm oui, humm oui, continu
Guillaume : oh, oh, oh
Moi : humm, prends-moi plus forts mon cœur
Guillaume : oh, comme ça ?
Moi : oui, comme ça, continu, humm, j’adore ça

A partir de là, mon chéri commence à changer, à y aller plus fort, plus loin, à devenir plus bestial. J’adore le voir comme ça, ressentir ce côté animal de mon chéri, qui est si timide en temps normal. Dans ma chambre, les claquements de nos corps se font entendre, ainsi que mes gémissements, les râles de Guillaume. Tout ce mélange, le tout crée un son harmonieux lié au plaisir partagé.

Je sens que mon chéri arrive au bout, je sens le plaisir me gagner une nouvelle fois, je sens que je vais également exploser dans une nouvelle jouissance. C’est vrai que c’est excitant de lui parler, de l’encourager pendant cette position. Mon plaisir entraîne mon désir, le désir d’en avoir plus, le désir de devenir encore plus coquine, et c’est sûrement ce que Guillaume veut aussi.

Alors je sonde rapidement dans mes souvenirs, dans des vidéos vus, ou alors ce que j’ai pu entendre de ma mère lorsqu’elle faisait l’amour. Je me laisse donc aller à mon plaisir, et à celui de mon chéri.

Moi : humm, vas y plus fort
Guillaume : OOhh ohh
Moi : prends moi, humm, prends moi, humm, Oui
Guillaume : tu aimes ça ? Quand je te prends comme ça ?
Moi : OUI, oui, continu, j’aime ça
Guillaume : je vais te faire crier
Moi : Oui, OUI, baise moi, BAIse moi BIEN fort

Ce fut à ce moment là, les mots déclencheurs, mon chéri avait laissé sa place à une bête encore plus sauvage. Ces râles, étaient devenus des cris rock, et puissants. De sa main, il est venu me saisir par les cheveux, me tirant la tête en arrière, tandis que sa queue elle, semblait avoir doublé la cadence.

Venant taper en moi, de façon forte, rapide, sec. Il n’y a plus de retenue, je la sens venir au fond, c’est douloureux, mais tellement bon à ce moment là, que je n’arrête plus de lui dire, de me baiser.

Guillaume : AAAhhh Je vi…Viennnss
Moi : OOOh OUII BAIse MOIiii…

Dans un dernier élan, Guillaume me soulève complètement le bassin, sa queue s’enfonçant au plus profond de mon être, tandis qu’une explosion de plaisir me parcoure le corps tout entier. Sa main continue de tirer sur ma chevelure, tandis que mes fesses cambrés à leur maximum, suspendus au bout de cette queue commencent à trembler.

Mon bassin frissonne, tremble complètement pendant que je continue de crier mon plaisir, qui résonne dans tout l’appartement. Puis sans prévenir, n’ayant plus de forces, nous nous écroulons l’un sur l’autre.

Le souffle coupé, le cœur affolé, le corps frissonnant, nous nous regardons, avec beaucoup de surprise, mais aussi beaucoup de plaisir, se remerciant l’un et l’autre d’un regard, pour tout ce que nous venons de vivre là.
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