chapitre 106 image
Nous voilà tous les deux à rires dans le salon, sûrement du à la petite pression qui nous a poussé à nous rhabiller en vitesse. Nos mains se caressent pour nous détendre, puis Guillaume m’embrasse, ce qui me fait vraiment du bien.

Guillaume : dis moi je peux te poser une question ?
Moi : oui vas-y
Guillaume : pourquoi tu m’as dis de ne pas m’en faire, lorsque tu es sorties nue voir ce que c’était que ce bruit ?
Moi : oh, en fait euh
Guillaume : ahaha
Moi : pourquoi tu ris ?
Guillaume : parce que c’est moi qui suis le plus souvent dans cette situation à ne pas savoir quoi répondre, et là, te voir comme ça euh… (En faisant une grimace)
Moi : hey ! (tape sur l’épaule) je ne fais pas cette tête d’abord
Guillaume : ahaha si
Moi : non
Guillaume : mais tu as la plus belle tête du monde
Moi : merci mon cœur, je t’aime
Guillaume : je t’aime aussi, alors tu veux me dire ou pas ?
Moi : hum en fait…

A ce même moment, nous entendons les clés dans la porte, puis ma mère apparaître dans l’encadrement. Elle est contente de nous voir, elle dépose quelques affaires et vient nous embrasser avant de s’assoir avec nous, pour nous demander comment s’est passé la journée.

Nous voilà tous les trois à parler, à échanger sur nos journées, les galères, et autres encore. Comme d’habitude nous ne voyons jamais le temps passer, lorsque l’on est en bonne compagnie, mais l’heure arrive pour Guillaume de rentrer chez lui.

Je raccompagne comme d’habitude Guillaume jusqu’en bas, puis je l’embrasse avant de le laisser partir. En remontant dans l’appartement, je ne vois pas ma mère dans le salon, peut être est t’elle dans sa chambre, ou aux toilettes, puis j’entends sa voix m’appeler, elle est dans la salle de bain.

La porte est entre ouverte, je la pousse, l’eau coule pour remplir la baignoire, tandis que ma mère est totalement nue, assise sur le rebord.

Maman : j’ai vraiment besoin de me détendre, tu viens prendre un bain avec moi ?
Moi : ahaha, d’accord, tu veux que je te fasse un petit massage aussi ?
Maman : c’est si gentiment proposé que je ne puisse refuser

Elle me fait rire ma petite maman, qu’est-ce que je l’aime.

Sans la faire plus attendre, je me déshabille, puis je viens m’installer derrière elle dans la baignoire afin de lui prodiguer un bon massage. J’adore toujours cette sensation, de ressentir son corps nue, pratiquement contre le mien. Malgré le fait que nous ayons des limites à ne pas franchir, je crois que nous nous permettons certains plaisirs personnel, au travers de petits actes comme celui-ci.

Nous restons toutes les deux silencieuse, appréciant ce moment, ce massage, ce contact. Je lui masse doucement les épaules, la nuque, puis elle vient s’allonger toute contre moi, pendant que mes mains s’occupe de ses bras.

Maman : je te remercie ma chérie, tu me fais vraiment du bien
Moi : c’est normal, tu veux que je continue encore un peu ?
Maman : ça ne te dérange pas ?
Moi : non au contraire
Maman : alors je veux bien un massage des pieds

Je dépose un bisou sur sa joue, en lui disant que je m’occupe d’elle, puis je change de place, pour me retrouver face à elle. Elle se détend complètement pendant que je lui prends un pied, pour commencer le massage.

Je peux l’entendre apprécier ce que je lui fais par de petit gémissement, et par son visage souriant. Je lui fais beaucoup de bien ça je le sais, alors je ne m’arrête pas à ses pieds, je continue en remontant vers ses mollets, en relevant ses jambes presque hors de l’eau.

La sensation de mes mains sur sa peau est douce, l’eau chaude et le savon se rajoute à cet effet. Pour lui masser convenablement les mollets, je me suis rapproché d’elle, les jambes écartées passant les siennes au dessus, afin de pouvoir être plus à l’aise.

Ma mère garde les yeux fermés tandis que de mon côté, je savoure le fait de voir mes mains parcourir son corps, en entendant par moment, ses petits gémissements. Lorsque je baisse les yeux, l’eau est claire, un peu de mousse ce forme à la surface, mais je peux voir une chose au travers.

Lorsque la mousse se disperse un peu à la surface, j’ai une vision magnifique sur la toison de ma mère. Une vision qui décuple ce que je ressens depuis le début, comme une légère excitation. Je sais qu’il y a des limites à ne pas franchir, mais la curiosité nous pousse toujours à aller au plus près.

Et c’est ce que je fais en me rapprochant un peu plus, tout en continuant mon massage sur les cuisses de ma mère. Elle reste toujours les yeux fermés, tandis que de mon côté, je profite d’un tout autre spectacle.

En me rapprochant, je vois à travers l’eau légèrement recouverte de mousse, mon intimité au plus près de celui de ma mère. Une pensée qui ne m’avait jamais traversé l’esprit, mais je revois à ce moment ci, certaines scènes dans des vidéos, notamment celle que regardé ma mère, où deux femmes frottaient leurs intimités l’une contre l’autre.

Je suis toute excitée par cette vision, mon massage, mes pensées, et les quelques petites gémissements de ma mère.
Maman : ma chérie, j’ai un aveu à te faire…

Moi : oh, euh oui … quoi ?

Je suis surprise lorsque ma mère me parle, j’étais tellement perdu dans mes pensées…

Maman : ou plutôt deux aveux, humm… tes massages sont tout simplement exquis
Moi : exquis ?
Maman : je veux dire qu’ils sont délicieux
Moi : merci, et le deuxième aveu ?
Maman : en fait, euh… je vous ai surpris avec Guillaume tout à l’heure

Cette aveu m’a tout simplement bloqué sur place, me demandant comment ? A quel moment ? Ce qu’elle a vue ? Et toute une panoplie de questions encore

Ma mère me raconte alors qu’elle avait reçu dans la journée un texto, pour la prévenir que la zumba de ce soir était annulée. Donc après son travail elle est rentrée directement à l’appartement et en ouvrant la porte, une fois dans le salon, elle nous a entendu faire l’amour dans la chambre.

Elle a été tout d’abord surprise, puis elle a sourit avant de se dire, qu’elle allait sortir pour nous laisser un moment d’intimité. En arrivant près de la porte, je me suis mise à gémir plus fort, ce qui l’a surprise de nouveau, puis de là, lui est venu cette curiosité, de nous écouter encore.

Elle s’est sentie un peu gênée aussi, puis elle s’est rappelé combien je me faisais plaisir en l’écoutant elle, prendre du plaisir avec des hommes. Doucement elle s’est donc rapprochée, puis elle s’est installée sur le canapé. Elle s’est allongée petit à petit, laissant ses mains parcourir son corps à travers ses vêtements.

Et sans s’en rendre compte, sa main avait finit par plonger entre ses jambes, se masturbant en nous écoutant gémir. Les gémissements se faisant de plus en plus fort, ainsi que les claquements de nos corps l’un contre l’autre, elle n’a pas tardé à jouir, pratiquement au même moment que nous.

Elle était complètement foudroyée par la jouissance qu’elle venait de ressentir là. Ne pouvant plus bouger, elle est restée là, à reprendre son souffle, ses esprits. Elle était gênée, se demandant pourquoi elle a fait ça. Puis elle s’est dite, qu’elle aller claquer la porte d’entrée, pour signaler qu’elle était rentrée.

C’était la meilleure chose à faire, pour nous et pour elle, malheureusement le timing était mauvais. Au même moment où elle cherchait à se relever, elle entendait la porte de ma chambre s’ouvrir, alors elle est restée allongée, priant le ciel que personnes ne viennent dans le salon ou la cuisine.

Heureusement pour elle, et pour nous aussi, nous sommes allés dans la salle de bain. Je faisais couler l’eau, alors elle attendait le moment, où, la porte se fermerait pour pouvoir s’éclipser tranquillement de l’appartement.

Le temps lui a parut à cet instant là très lent, l’eau coulait toujours, elle s’est redressé pour regarder dans le couloir, voir si la voie était libre, ou ce qui mettait autant de temps pour fermer cette porte. C’est en relevant la tête discrètement par-dessus le canapé qu’elle aperçue Guillaume, entièrement nu appuyé contre la porte de ma chambre.

Elle s’est allongée de nouveau, totalement surprise, les yeux grands ouverts fixant le plafond. Elle espérait vraiment que Guillaume ne l’ai pas vu, puis dans sa tête, l’image de mon chéri, nu, debout dans le couloir, commençait à la travailler.

Elle ne savait plus quoi faire, peut être faire un bruit, pour que l’on rentre dans ma chambre, ou autres. Puis l’eau s’est arrêté de couler, elle fermait encore les yeux, priant de nouveau le ciel que l’on ne change pas d’avis, que personnes de s’approchent du salon, où elle était cachée.

Puis elle ouvres de nouveau les yeux, elle cherchait à savoir ce qui pouvait bien se passer, alors elle s’est redressait, sans faire de bruit, cherchant à voir ce qui se passe. C’est là, une fois la tête passait au dessus du canapé, qu’elle m’avait vu, à genoux devant Guillaume, en train d’embrasser son sexe.

Elle s’est cachée de nouveau, mais cette dernière vision éveillait sa curiosité. Elle était prise entre l’envie d’en voir plus, et le désir de disparaitre de la pièce. La deuxième option n’étant possible que par magie, elle s’est alors redressée une nouvelle fois, pour me voir cette fois-ci, en train de sucer mon chéri.

Cette scène était pour elle de toute beauté, incroyable dans sa simplicité, et émouvante tant elle contenait de l’amour. Tout en nous regardant faire, sa main avait repris son activité entre ses jambes. Elle continuait de se donner du plaisir, sans pouvoir détacher son regard de nous, elle me regardait attentivement, glisser la queue de Guillaume dans ma bouche, doucement, puis rapidement, tout en le regardant droit dans les yeux.

Cette scène lui donnait directement un orgasme qu’elle tentait de garder secret. Le plaisir lui avait dépourvu de force, au point d’en revenir allongée dans le canapé. Sa respiration était courte, mais elle voulait en voir plus, ça curiosité, son désir la poussait à en voir plus, c’est à ce moment là, où elle m’a entendu parler à Guillaume, lui demandant de me prendre.

En se redressant, elle devinait que nous étions dans la salle de bain, mais que la porte était restée ouverte. Elle n’a pas tardé à entendre les bruits de claquements, nos corps qui se heurtaient dans un plaisir intense.

Sans plus attendre, elle se donnait une nouvelle fois du plaisir en nous écoutant. Elle ne voulait pas venir dans le couloir, malgré la tentation qui était très grande. Elle avait peur que nous ne repassions par le couloir, et ainsi être démasquée.

Alors elle s’est masturbée, très vite, très fort en nous écoutant faire l’amour aussi sauvagement, jusqu’à ce que l’orgasme nous gagne tous au même moment, à la même intensité, dans le même plaisir.

Elle était à la fois heureuse, et gênée, mais tellement satisfaite de ce moment, qu’elle espérait qu’il recommence. Ne voulant certainement pas pousser plus loin la chance qu’elle avait eue jusque là, elle jetait un œil dans le couloir, voir si la voie est libre, puis elle prit ses affaires avant de se diriger vers la porte.

Dans la précipitation, en ouvrant la porte, son sac est tombé au sol. Elle avait compris que ce bruit m’avait interpellée, puis elle fermait la porte tout doucement. De l’autre côté, elle ramassait ses affaires éparpillaient au sol, avant de descendre.

Une fois en bas de l’immeuble, elle attendait un moment, pour reprendre ses esprits, se remettre de ses émotions, partagées entre le plaisir, la gêne et autres encore. De là elle m’appelait sur mon téléphone, prétextant qu’il n’y avait pas zumba, et qu’elle rentrerait directement si je n’avais besoin de rien.
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