chapitre 59 image
Pendant que l’eau continue de couler dans la baignoire, ma mère se déshabille lentement alors que moi je me retrouve vite nue, vu que je n’ai qu’un T-shirt sur moi. L’eau est bien chaude et nous nous installons toutes les deux, l’une face à l’autre.

Ma mère est là, face à moi affichant un sourire en attendant que je lui raconte mon après-midi. Je ne sais plus par où commencer, dans ma tête je suis encore toute retournée par ce que je viens de vivre là.

En lui racontant ce qui s’est passé, ma mère ne peut s’empêcher de sourire, de me dire que je suis coquine aussi par moment, et d'en rire. Notre complicité ne fait que grandir, au point de pouvoir tout se raconter. Je lui fais part également de mes doutes à certains moments quand j’étais avec Guillaume, et aussi des questions qui me sont venu à l’esprit.

Puis nous avons longuement parlé de Guillaume, de l’éducation qu’il a eue de sa mère. Là, où ma mère et moi avons réussi à créer un lien unique, qui fait que nous sommes tout à fait libres de parler de choses intimes. Guillaume et sa mère, eux, sont restés bloqués, et n’ont jamais pu échanger la moindre discussion à ce sujet.

Ma mère me dit que l’éducation que Guillaume à reçu n’est pas mauvaise, car aujourd’hui c’est un garçon très gentil et respectueux des femmes, et qu’il le sera toujours puisqu’il a sans cesse l’image de sa mère en tête. Beaucoup de parents ne communiquent pas avec leurs enfants sur le sexe, car c’est un sujet tabou, ou alors qu’ils ne savent pas comment en parler, et quoi leur donner comme conseil.

Guillaume fait parti de ses familles pour qui le sexe n’est pas un sujet à mettre sur la table, ou même un sujet à prendre à la légère. Je sais que sa mère est gentil en soit, puisqu’il me l’a dit, elle a toujours veillé à ce qu’il ne manque de rien, et qu’elle a toujours été soucieuse envers lui.

Ma mère pense qu’elle a dû vivre un moment marquant pour inculquer à son fils cette éducation au point de respecter la femme et de ne pas lui faire de mal. Ma mère m’avoue qu’elle avait peur pour moi, connaissant ma nature timide et fragile, elle ne voulait pas que je rencontre un garçon qui ne saurait pas prendre soin de moi. Mais aujourd’hui elle est rassurée dans un sens, de savoir que Guillaume est très gentil, et qu’il aura d’une certaine façon peur de faire quoi que ce soit de mal.

Ma mère est contente aussi que je guide Guillaume comme je le fais, et que nous découvrons le plaisir à deux. Je lui raconte également ce qui s’est passé par la suite, les douces caresses de Guillaume et le premier cunni qu’il m’a fait avant qu’elle nous interrompt.

Maman : attends il te faisait un cunni quand je suis rentrée ?
Moi : oui
Maman : mais comment il a pu arriver aussi vite devant moi ?
Moi : eh bien comme il était habillé, je lui ai dis de sortir de ma chambre pendant que je mettais quelque chose
Maman : d’accord, je vois, je comprends tout maintenant…
Moi : de quoi ? Je n’ai pas compris là
Maman : eh bien quand je suis rentrée et que je me suis annoncée, il est sortit assez vite de la chambre
Moi : et ?
Maman : et quand il m’a vu, il est venu me faire la bise,
Moi : ok…
Maman : et sa bouche était un peu humide, et j’ai sentie une odeur particulière
Moi : ah ok, oui je vois…

Après un petit moment de silence, on se met à rire toutes les deux de la situation, en effet Guillaume pris de panique était sortit bien trop vite, sans avoir le temps de s’essuyer ou autre. Et quand il a vue ma mère, le premier reflexe était de lui dire bonjour en lui faisant la bise. Heureusement que pour ma mère ce n’est pas grave, mais j’ai adoré sa tête quand elle a compris pourquoi sa bouche était humide et qu’elle avait cette odeur.

Maman : ahaha ton chéri est très poli, mais tu lui diras la prochaine fois de s’essuyer avant de me dire bonjour ahaha
Moi : ahaha oh non, il ne vaut mieux pas que je lui raconte ça, il risque d’avoir honte à chaque fois qu’il te verra ahaha
Maman : ahaha oui c’est vrai
Moi : alala, mais je suis désolée maman pour ça
Maman : ce n’est rien ma chérie (en faisant un clin d’œil)

Après ça, nous sommes sortis du bain toutes les deux, et après s’être séchées nous avons regagnés nos chambres dans le plus simple appareil, étant donné que nous avons été directement à la douche sans prendre nos affaires.

Je me suis habillée et me suis allongée dans mon lit, j’avais reçu sur mon téléphone plusieurs messages de Guillaume. Il s’excusait beaucoup pour ce qui s’est passé à la fin, et le fait que je ne lui répondu pas de suite l’a beaucoup inquiété. J’ai mis du temps pour le rassurer, je lui ai dis que j’ai pris le temps pour parler avec ma mère, et qu’elle était ravi de le voir.

Il pensait que ma mère me faisait une leçon de morale, mais je lui dis qu’au contraire, elle est très à l’aise pour parler de choses intimes, et qu’elle accepte tout à fait qu’il vienne ici. Il avait encore un peu de mal à croire que ma mère soit si à l’aise sur le sujet, et qu’elle l’invite ici pour être tranquille avec sa fille.

Il me fait beaucoup rire, même par messages, c’est fou à quel point je m’entends bien avec lui, et qu’il représente tout à mes yeux. Je suis un peu perdu dans mes pensées lorsque j’entends un bruit qui m’est familier. Ce bruit bien sûr n’est autre que le gémissement de ma mère de l’autre côté du mur. Je souris en sachant que ma mère se fait plaisir dans sa chambre, et c’est surement à cause des histoires que je lui ai raconté.
 
Je sors de ma chambre pour aller dans le salon, la porte de ma mère est fermée mais je peux parfaitement entendre ses gémissements au travers. Je souris en m’éloignant pour la laisser tranquille, j’ai eu ma dose pour aujourd’hui.
Quelques minutes plus tard ma mère toute souriante arrive dans le salon, elle se doute bien que je l’ai entendu se faire plaisir, mais aucune de nous n’en fera allusion ce soir.

Le lendemain je retrouve Guillaume et mes amis comme d’habitude, après le déjeuner je discute avec mon chéri encore de ce qui s’est passé hier. Pas du moment où ma mère est arrivée, mais plutôt de tout ce qu’on à vécu tous les deux. Il est trop mignon quand il me caresse la main en me disant qu’il a vraiment aimé ces moments et je lui rappelle que je suis prête à tout pour lui et qu’il peut me demander ce qu’il veut.

Il m’avoue alors que toute la nuit il n’a fait que penser à moi, à mon corps et à quel point il a envie de le revoir. Je dois dire que l’entendre me dire tout ça commence légèrement à m’exciter, mais je dois me calmer, nous reprenons les cours dans quelques minutes et je ne tiens pas à être distraite plus que je ne le suis déjà. Malheureusement pour toute l’après-midi je ne vais penser qu’à Guillaume et à ses mots, et je dois dire que j’ai trouvé le temps horriblement long.

Nous arrivons à la fin de la journée, comme à chaque fois, nous nous retrouvons tous devant le grille pour se parler quelques minutes, avant de partir chacun de notre côté. Mais au moment de partir je demande à Guillaume s’il veut bien m’accompagner jusque chez moi. Ça lui fait faire un détour de dix minutes environ, mais il accepte volontiers.

Sur le chemin, il me demande ce qui est prévu de faire pour les vacances de Noël de mon côté. Alors je lui dis que nous allons passer les fêtes chez mes grands parents près de Blaye et qu’il y aura toute ma famille. Sur tout le chemin il m’a écouté parler, en me posant parfois une question de temps en temps, et nous arrivons chez moi.

Guillaume vient m’embrasser pour me dire au revoir mais je lui demande de monter quelques minutes. Nous montons les escaliers jusqu’à arriver à l’appartement, puis je lui offre à boire.

Moi : c’est bon ?
Guillaume : oui merci, j’avais bien soif
Moi : je vois ça oui ahaha, merci de m’avoir raccompagné
Guillaume : ce n’est rien, je vais y a…
Moi : attends, … tu m’as dis tout à l’heure que tu voulais revoir mon corps ?
Guillaume : euh… oui …

Je viens alors déposer un baiser sur ses lèvres avant de me reculer, et doucement devant lui je retire ma veste, puis un par un chaque vêtement que je porte. Je suis en sous vêtements, Guillaume me regarde très attentivement, je vois sur son visage du désir, et je termine de me déshabiller complètement.

Guillaume : tu es magnifique …
Moi : merci mon chéri, comme tu voulais revoir mon corps je n’ai pas pu te laisser comme ça sans rien faire
Guillaume : merci mon cœur
Moi : hihi tu as l’air tout surpris de me voir comme ça, pourtant ce n’est pas la première fois
Guillaume : j’aime tellement te regarder et je me rends compte aussi que tu es prête à tout pour me faire plaisir
Moi : oui bien sûr
Guillaume : est-ce que…
Moi : est-ce que ?
Guillaume : non rien
Moi : non, vas y continue, demande moi ce que tu veux
Guillaume : je voulais savoir… si tu t’es… déjà masturbée en pensant à moi ?
Moi : oui, et beaucoup de fois même, pas toi ?
Guillaume : si, si, mais je …
Moi : dis-moi tout, n’ai pas peur
Guillaume : je voulais savoir, si tu voulais, le faire devant ?
Moi : oh... ça te ferait plaisir ?
Guillaume : oui j’ai envie de te voir le faire
Moi : je ferais tout ce que tu veux mon chéri, tu viens on va dans ma chambre ?
Guillaume : c’est gentil, en fait je voulais…
Moi : tu veux que je le fasse ici ?
Guillaume : oui, sur le meuble de la cuisine, si tu veux
Moi : je fais ce que tu veux…

Je viens l’embrasser, puis lui dis de se mettre à l’aise, de mon côté je m’installe sur l’ilot de la cuisine face à Guillaume. La situation m’excite terriblement, je veux faire plaisir à Guillaume et je me rends compte qu’il peut me surprendre par ses envies, surtout de me masturber ici sur l’ilot de la cuisine.

Je me suis déjà masturbée un peu partout dans l’appartement, ma chambre, celle de ma mère, le salon, la salle de bain, devant l’ordinateur, mais jamais sur l’ilot de la cuisine. En m’installant sur l’ilot, je fais face à Guillaume, j’ouvre mes jambes pour qu’il puisse m’observer et je glisse doucement ma main sur ma poitrine, puis mon ventre jusqu’à arriver sur mon intimité.

De là mes doigts commencent à bouger comme ils savent le faire sur mon clito. J’ai chaud, et en même temps froid, c’est l’excitation qui me fait ça, je ne pense plus à rien si ce n’est qu’à Guillaume. Je vois sur son visage la satisfaction de me voir ainsi, lui faire plaisir. Je me masturbe tout en le fixant, puis par moment je décroche, je ferme les yeux, je me laisse aller à mon plaisir.

Je pense aussi à ma mère qui pourrait arriver d’une minute à l’autre, tout dépend si elle s’arrête sur le chemin du retour pour une course ou pas. Mais pour le moment, je suis là à me masturber sur l’ilot de la cuisine devant mon chéri.
Guillaume me regarde attentivement puis me demande si je peux me positionner autrement. Je lui demande de me guider, de me dire comment il veut que je me mette. Il me demande de poser mes pieds sur l’ilot, afin de soulever mes fesses en écartant bien les jambes, et en me soutenant de ma main gauche vers l’arrière.

Je suis totalement surprise, il laisse parler ses envies, et ça m’excite complètement. Je me mets en position, je me sens comme offerte, là, sur l’ilot, entièrement nue à me masturber devant mon chéri. Je vais de plus en plus vite, je suis hors de contrôle, je gémis de plus en plus fort si bien que mon orgasme arrive d’un coup.

Mon corps se contracte sous l’effet de la jouissance, j’ai du mal à tenir sur mes appuis, mais je continue encore de me toucher, ce qui provoque un deuxième orgasme de suite. Ce coup ci, je ne peux plus tenir, je referme mes jambes sur ma main, mon corps convulse, alors que je gémis longuement de plaisir.

Guillaume se lève précipitamment de peur que je tombe, je repose mes fesses sur l’ilot, et je sens que j’ai beaucoup mouillé. Je regarde Guillaume dans les yeux en essayant de reprendre mon souffle, et on se sourit, satisfait tous les deux de ce qui vient de se passer. Il me regarde tendrement puis sans rien me dire, sans rien me demander, il glisse ses mains entres mes jambes pour les ouvrir.

Il s’abaisse pour enfouir sa tête entres mes cuisses, puis il vient me lécher une fois, deux fois, puis trois avant de se relever.

Guillaume : j’avais envie de te gouter encore une fois
Moi : tu peux me gouter autant que tu veux
Guillaume : j’adorerais, mais là…
Moi : oui, ma mère ne va pas tarder à arriver

Guillaume récupère son sac, puis juste dans l’ouverture de la porte je l’embrasse pour lui dire au revoir. La porte fermée, je me dépêche de ramasser mes affaires de m’habiller et de nettoyer l’ilot de la cuisine. Je ne voudrais pas laisser de traces et surtout aussi, c’est là que nous mangeons avec ma mère.

En parlant de ma mère, elle finit par arriver cinq minutes après que Guillaume soit parti. Je finis tout juste de nettoyer en prétextant avoir renversé du jus. Je sais que je dis tout à mère d’habitude, mais là, je crois que je vais le garder pour moi. Je ne voudrais pas la gêner d’avoir fait ça sur l’emplacement où nous mangeons, ou peut-être que je lui dirais un autre jour.
CE SITE A ÉTÉ CONSTRUIT EN UTILISANT