chapitre 88 image
Ce soir là, comme promis, Guillaume m’envoie un message pour me demander comment je vais. Nous avons pris le temps de dialoguer comme nous le faisons chaque soir. Je l’ai rassuré quant à mon état de fatigue, que ma jouissance avait été si intense, que je me suis écroulée, épuisée.

Je dois avouer que j’ai vraiment aimé ce moment, que je n’arrive pas à y croire encore, tellement c’était intense. Je ne pensais pas que l’on pouvait éprouver un tel plaisir, un tel degré de jouissance. Je pense que je vais encore découvrir beaucoup de choses concernant le sexe à deux, que je n’expérimente là, que la surface du plaisir.

J’en parle toujours avec ma mère, elle sait me conseiller, me guider sur beaucoup de chose. Notre relation unique nous permet de parler sans tabou, de se confier librement sur tous sujets. Je me rappelle encore ce qui a déclenché tout ça, ce fameux après-midi où elle m’a surprise en train de me masturber devant l’ordinateur.

Quand j’y repense, cela me fait sourire, tout à changer depuis ce jour là, et pour le meilleur.

Les jours passent, avec Guillaume je suis toujours sur mon petit nuage, je me sens si bien avec lui. Depuis sa petite discussion avec ma mère, il est moins craintif à l’idée de passer vite fait chez moi après les cours, pour passer un bon moment à deux.

Nous devenons de véritable petit lapin, nous avons toujours envie l’un de l’autre. Pour le coup chaque soir après les cours, nous quittons très vite les autres pour venir chez moi. Une fois la porte fermée, nous nous embrassons, nous nous caressons avec une telle énergie, puis nous faisons l’amour.

Nous profitons au plus vite l’un de l’autre avant que ma mère ne rentre, et qu’est ce que c’est bon. Mon Dieu, surtout après une journée de cours à ne penser qu’à cet instant, il devient libérateur lorsque nous pouvons enfin faire l’amour. Je ne jouie pas à chaque fois que nous le faisons, mais qu’est ce que je me sens bien avec lui, avec son sexe au fond de moi.

Je suis dans un moment d’extase à chaque fois, même si je n’atteins pas la jouissance de l’autre jour, je me sens comblée, satisfaite. Après avoir fini, nous avons tout juste le temps de remettre un peu d’ordre lorsque ma mère arrive.
Elle est toujours souriante de nous trouver là, tous les deux. Son regard, son sourire en dit long, mais cela ne semble plus vraiment gêner Guillaume. Il devient peu à peu, plus à l’aise, nous prenons toujours le temps de se parler tous les trois avant qu’il ne parte.

Seul les mercredi après-midi restent pour nous le moment idéal pour profiter l’un de l’autre comme il faut. Dans ces moments là, nous prenons le temps, nous savourons l’instant. Nous ne sommes plus dans cet état d’esprit de finir en cinq minutes, c’est tout à fait le contraire.

C’est l’occasion pour nous de se parler longuement sur ce que nous pouvons ressentir, pendant que nous faisons l’amour. Guillaume est toujours attentif, comme pour prendre note de ce qui me fait vraiment plaisir, et l’appliquer aussitôt. Nous testons aussi ce qui nous vient à l’esprit, comme faire l’amour dans chaque pièce de l’appartement.

Comme par exemple, juste derrière la porte d’entrée, une fois celle-ci fermée. Je crois d’ailleurs que quelqu’un montait les escaliers à ce moment là, nous étions pris d’un fou rire. Nous avons également fait l’amour dans la cuisine, contre, et sur le plan de travail. Nous aimons aussi le faire sur le canapé, que ce soit lui, ou moi au dessus, nous prenons toujours autant de plaisir.

Ma chambre, nous la connaissons par cœur, mon lit, mon bureau, tout ce qui peut nous passer par la tête. La salle de bain est également un de mes endroits préférés, ressentir nos corps nus, se frotter l’un contre l’autre, pendant que l’eau coule sur nous, j’adore.

C’est dans tous ces moments là, surtout le mercredi après-midi, que je me libère totalement, que je cri mon plaisir, que j’atteins un orgasme intense. Comme je vous l’ai dis, nous sommes devenus de vrais lapins, nous faisons l’amour autant de fois que possible chaque mercredi.

Je ne tiens pas vraiment les comptes, mais je pense qu’un jour, nous avons fait l’amour pas loin de cinq fois en quatre heures. Ce jour là, je n’en pouvais plus, il me semblait ne plus avoir de force dans les jambes. Je ne marchais plus très droit pour aller à la salle de bain.

Il m’est de nouveau arrivé, d’être si fatiguée, que je me suis endormie encore comme une masse après l’amour. Laissant de nouveau mon chéri seul, heureusement, il est plus à l’aise, c’est en même temps une occasion pour lui et ma mère de discuter tranquillement.

Il y a également eu ce moment où mère nature m’a rappelait à la réalité, je grandis, j’évolue, mais j’ai aussi mes règles. Là encore une fois, Guillaume se montre tout attentionné envers moi. Il sait combien je me sens mal à cette période du mois, et franchement, mon chéri est parfait dans sa façon de s’occuper de moi.

Je ne passe pas forcément une bonne journée, mais le soir, après les cours, il me raccompagne, reste à mes côtés jusqu’à ce que ma mère arrive. Ce sont peut-être de petites choses insignifiantes pour certains, mais pour moi, il est parfait.
Je suis juste un peu déçue de ne pas pouvoir profiter de lui sexuellement à cette période, ou du moins que je m’occupe de lui. Mais il ne veut pas, il veut à tout prix que je me repose, surtout avec mes douleurs, mes nausées, et mon mal de tête.

Bien sûr, je ne manque pas de passer du temps avec ma mère, de tout lui raconter à chaque fois. Ces moments mère fille sont toujours aussi agréable, pleins de tendresse. Une chose aussi, lorsque je suis à moitié endormie dans ma chambre, elle vient me chercher totalement nue, en laissant couler l’eau pour remplir la baignoire.

Je profite de cet instant pour me coller à elle comme je l’ai déjà fait, puis discrètement, plaçant mon visage près de son pubis, je ressens son odeur. C’est un secret encore inavoué à ma mère, de peur qu’elle ne trouve ce geste déplacé, tout comme la fois où je lui ai touché l’anus pendant ce massage.

Je garde ça pour moi, du moins pour le moment, j’espère être discrète lorsque je le fais, mais cette curiosité grandi petit à petit en moi. Je suis partagée entre le désir et l’interdit.

Nous arrivons à mi février, depuis ce fameux jour, où j’ai perdu ma virginité, je n’ai pas arrêté d’expérimenter le sexe à deux. Nous avons fait l’amour dans toutes les pièces, puis nous avons également essayé plusieurs positions nous inspirant d’internet. Le classique missionnaire, l’Andromaque dont j’ignorais totalement le nom, la levrette qui met Guillaume dans un étant second, ce qui n’est pas pour me déplaire.

Pour le moment, c’est tout ce que nous avons pu tester, cependant, je sais très bien que ce n’est que le début, que nous allons encore découvrir pas mal de choses. Jusque là, je n’ai pas retenté de finir Guillaume en bouche, il ne veut pas que cela me dégoûte, et il faut l’avouer, nous sommes tellement excités, que nous ne résistons pas plus à l’appel de la pénétration.

Guillaume de son côté est devenue expert en cunni, je dois vous dire qu’il ne me faut pas longtemps pour atteindre un orgasme intense, sous les jeux de langue de mon chéri. Il adore ça, me faire vibrer, gémir, crier de plaisir avec sa langue. Je me laisse complètement aller, lorsqu’il se positionne entre mes jambes.

Nous sommes si bien lorsque nous nous retrouvons seul, savourant chaque moment qui nous est offert, avec autant de plaisir à chaque fois. Nous sommes deux jeunes amoureux, à l’écart du monde, insouciant, enveloppé dans cette bulle de désir et de plaisir.
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