chapitre 114 image
Ce matin au réveil j’ai la tête plus légère, je me suis endormie comme une masse, aucun rêve, rien, à part une bonne nuit de sommeil. Je pense qu’il faut que je passe à autre chose, si je ne veux pas en devenir malade.

J’ai envie de me sentir légère aujourd’hui, de ne penser à rien à part mon chéri. De plus j’ai depuis un moment une petite idée en tête. Je suis allée au centre commercial exprès pour m’acheter une petite robe, pour lui faire plaisir. Elle est rouge, légère, courte, décolleté avec de fines bretelles.

Alors c’est décidé, je me lève, d’humeur plus joyeuse, je prends mon petit déjeuner, toute souriante avec ma mère, puis je file à la salle de bain pour me préparer. J’ai envie de me faire belle aujourd’hui, de me faire coquette, je pique alors un peu de maquillage de ma mère, juste de quoi souligner mes yeux, ainsi que du gloss.

Il est rare que je me maquilles, je l’ai fait principalement lors de nos soirées de Noël ou du nouvel an. Mais cette fois-ci, j’ai envie de plaire encore plus à Guillaume. J’enfile également des jolis sous-vêtements achetés spécialement pour mon chéri aussi.

Il raffole de me voir dans de petites tenues, j’adore son regard lorsqu’il me découvre avec, son désir se lit dans ses yeux. J’enfile ma petite robe, mais un petit problème se présente, mon soutien gorge est beaucoup trop apparent. Je suis déçue, moi qui voulais porter cet ensemble pour mon chéri.

Je demande à ma mère un petit conseil, alors elle me donne ses coques à nénés, comme elle aime les appeler. Des adhésifs avec lien pour un résultat bien plus joli, d’ailleurs, on pourrait croire que je n’en porte pas. Le seul petit hic restant, c’est de devoir mettre des baskets pour rentrer au collège.

Mais bon, le tout n’a pas l’air trop mal, je me regarde une dernière fois dans le miroir puis je file. Je suis pressé d’arriver, pour voir la réaction de mon chéri. Je ne mets jamais ce genre de robe pour aller au collège, seulement pour sortir, ou alors lorsque je suis chez mes grand parents pour les vacances d’été, mais là c’est parce qu’il fait très chaud, et que je suis qu’avec ma famille.

J’arrive près de la grille, j’aperçois déjà au loin mes amis et mon chéri. J’essaie de me faire discrète pour qu’il ne me voie qu’au dernier moment, mais je vois Estelle me sourire, puis elle donne une tape à Guillaume pour qu’il regarde dans ma direction.

L’effet est garantie, son visage se décompose littéralement en me voyant, je suis fière de moi. Il continue de me regarder jusqu’à ce que je vienne l’enlacer, puis l’embrasser. Il n’en croit pas ses yeux, il me dit à quel point il me trouve belle, et heureusement, je me suis habillée ainsi spécialement pour lui après tout.

J’ai le même compliment de la part de mes amis, et Estelle ne peut s’empêcher de pousser un petit cri tout en sautant sur place, puis elle vient m’enlacer. C’est bien la première fois qu’elle me voit venir ainsi au collège, elle me détail à n’en plus finir, et d’autres aussi me regardent.

Elle me dit de ne pas y prêter attention, que je suis très belle, et qu’il est normal que j’attire d’autres regards. Mais je la rassure, je me sens bien, pour la première fois je n’ai pas peur du regard des autres. Cela me rappelle ce moment en vacance, lorsque je suis passée en maillot de bain devant tous ces gens, dont le regard était porté sur ma cousine et moi.

Je retrouve là, un peu cette même sensation, ses yeux qui m’observent de loin, ce petit plaisir qui me gagne, mais le plus important pour moi, c’est le regard que mon chéri porte sur moi. Il m’enlace de nouveau, me dit à l’oreille combien il me trouve belle, qu’il m’aime.

Je profite de ce moment avant que la sonnerie ne retentie, puis nous allons en cours. Dans ma classe j’ai le droit à quelques compliments, ce qui me fait rougir d’ailleurs. Mais j’avoue que j’aime beaucoup, malgré le fait que je ne sache pas vraiment comment me tenir, avec cette robe sur ma chaise.

J’ai peur que l’on puisse apercevoir ma culotte, et difficile de suivre le cours quand certains garçons font les pitres à côté, en me faisant des signes. Je ris en moi-même, la situation est assez plaisante à vrai dire. A la fin du cours, ma prof de math m’interpelle, elle m’a dans sa classe depuis plusieurs années maintenant, et elle a bien remarquée tous mes changements. Elle me dit être contente pour moi, de continuer ainsi.

Cela me fait chaud au cœur de recevoir des compliments, des encouragements. Je me sens bien, le cours passe très vite puis c’est l’heure de la récré où je retrouve mon chéri. Nous sommes avec nos amis, à profiter de ces quelques minutes.
Guillaume : tu es vraiment belle mon cœur

Moi : merci mon amour, c’est spécialement pour toi
Guillaume : j’adore, et vivement cet après-midi, que j’en vois plus
Moi : hihi surtout que j’ai une petite surprise pour toi
Guillaume : oh, c’est quoi ?
Moi : ahaha si je te le dis, ce n’est plus une surprise
Guillaume : ahaha oui, mais je suis obligé d’attendre cet après-midi ?
Moi : euh oui, ça concerne ce que j’ai en dessous
Guillaume : oh je vois, tu as de nouveaux sous-vêtements
Moi : voila tu as ruiné ma surprise
Guillaume : non pas du tout, tu me donnes encore plus envie de les voir
Moi : hihi tu es impatient
Guillaume : c’est vrai, ça fait des jours qu’on a rien fait
Moi : je suis désolée, j’étais tellement dans mes pensées que…
Guillaume : hey, ne t’inquiètes pas, je vais bien, c’est juste que je ne tiens plus là
Moi : ah bon ?

Je regarde Guillaume, nous sommes un peu à l’écart de nos amis, il me parle tout bas, je sens son désir. Il joue avec le bas de ma robe, la soulevant légèrement comme pour avoir un aperçu de ce que je cache en dessous. Il est terrible dans ces moments là, mais c’est ce que j’adore chez lui, et puis, il faut dire aussi que par son petit jeu, il m’excite aussi.

Guillaume : j’ai tellement envie de la voir
Moi : hihi petit coquin, tout le monde me regarde déjà à cause de cette robe, on ne risque pas de passer inaperçu
Guillaume : c’est vrai, ce n’est pas comme l’autre fois où j’ai pu glisser ma main dans ton jean
Moi : hihi petit coquin, arrête, laisse ma robe tranquille, tu sais comment je suis…
Guillaume : prête à tout pour moi ?
Moi : oui mais aussi un peu gêné que tout le monde nous regarde

C’est encore une fois dans ma tête, cette impression que tout le monde nous observe dans nos petits jeux coquins. Mais il n’en est rien, aussi devant le sourire de mon chéri, je ne résiste pas vraiment, je craque, toujours au point d’être prête à tout pour lui faire plaisir.

Il le sait très bien, mais je ne peux pas simplement relever ma robe pour qu’il regarde dessous, pas ici, pas dans cette cour. Je me sens excitée par son désir de me voir, par sa main qui joue avec ma robe. Dans ma tête je cherche comment je peux lui faire plaisir, puis une idée me vient, une folle idée à vrai dire.

Je lui dis de m’attendre ici, je vais de ce pas aux toilettes des filles, elles sont dans le bâtiment. Une fois dedans je me regarde dans le miroir, je suis toute seule, mes pensées deviennent de plus en plus folles, et mon ventre en devient plus chaud.

Je glisse mes mains sous ma robe pour en retirer ma culotte en dentelle, spécialement choisis pour mon chéri. Je me regarde de nouveau dans le miroir, souriante, je me dirige vers la porte. Dans les couloirs, croisant les autres élèves, je me sens totalement nue, et pourtant je ne le suis pas, ou du moins qu’une partie ne l’est.

J’ai dans ma main ce petit bout de tissu, que je sers très fort de peur que quelqu’un ne puisse le voir. J’appréhende aussi ma démarche, un courant d’air ou autre, qui pourrait relever le bas de ma robe, et dévoiler à tous ma nudité.

Mais cette peur, ce transforme en adrénaline, puis en excitation. Je sens à chacun de mes pas, mon intimité devenir humide, tandis que je déambule parmi les autres élèves. J’ai vécu une seule fois ce même scénario, mais j’étais alors en vacance avec Jordan, là c’est tout à fait différent.

Lorsque je rejoins Guillaume, je lui souris, tandis qu’il se demande bien ce que j’ai pu faire. Je suis face à lui, appuyé contre le mur, puis je lui glisse discrètement ma culotte dans la main. Il comprend alors ce que je viens de faire pour lui, il déplie ma culotte, en tentant de la cacher au maximum. Il aime vraiment ce qu’il a dans les mains, mais encore plus, ce que je n’ai plus sur moi.

Il m’embrasse alors, me dit à quel point il m’aime, et qu’il est fou de ce que je viens de faire pour lui. Mais il reste toujours aussi joueur, et à présent, il aimerait voir ma peau nue sous cette robe. Ce petit jeu nous fait rire, nous sommes tous les deux coquins au milieu de tous.

Il relève doucement le côté de ma robe, situé près du mur, tandis que je jette un œil vers la cour, espérant que personnes ne regarde vers nous. Je sens un léger courant d’air passer entre mes cuisses, des frissons me parcourent les jambes et la colonne.

Je me mors les lèvres lorsque ma robe se soulève, puis dévoile à mon chéri, la peau nue de ma cuisse, de ma hanche, ainsi qu’une partie de mon intimité.

Puis la sonnerie retentie une nouvelles fois, nous étions tellement pris d’excitation que nous sommes surpris, puis nous rions tous les deux, de ce petit jeu coquin. Guillaume glisse ma culotte dans son sac, je n’avais pas du tout pensé à ça, je m’imaginais vite repartir aux toilettes pour la remettre.

Mais là non, nous sommes tous en train de rentrer dans le bâtiment pour rejoindre nos salles. Je me sens une nouvelle fois, nue parmi tous, sans la moindre défense, et totalement excitée.

En classe, je ne sais plus comment me positionner, si plus tôt dans la journée, j’avais peur que l’on puisse voir ma culotte, cette fois, ils auraient le droit à une vue direct sur mon intimité. Quelle torture, et quelle excitation en même temps.

Mon entrejambe est totalement mouillé, je sens mon liquide coulé, mon cœur battre fort, et un courant me parcourir la colonne. C’est bizarre, j’en suis presque à avoir un orgasme sur ma chaise, alors que je ne me touche pas.
 
Je tente de respirer comme je peux, priant le ciel que les dernières heures de cours passent au plus vite. C’est ces moments là que je me fais encore plus de films, j’ai l’impression que mon professeur accentue son regard sur moi. Qu’il me parcoure de haut en bas, mais qu’il s’arrête surtout sur le bas.

Je dois me ressaisir, heureusement pour moi, c’est la fin, j’entends la dernière sonnerie de la journée, je prends mes affaires, puis je retrouve Guillaume à la sortie. Je l’embrasse, nos amis s’en donnent à cœur joie pour nous chambrer. Je ne tiens plus alors nous disons au revoir aux autres, puis nous prenons la route.

Marcher sans culottes dans les rues, est une sensation bizarre, je ne saurais la décrire. Sur le chemin nous échangeons des baisers, des rires sur cette situation. Lui aussi n’en peut plus, il s’amuse parfois à passer ses mains sur ma cuisse, pour toucher la douceur de ma peau, et relever par moment cette petite robe.

Nous arrivons enfin devant mon immeuble, nous entrons dans le hall, et tout de suite, Guillaume me plaque contre le mur en venant m’embrasser. Ses mains me caressent, sa bouche continue sa course dans mon cou. Il soulève ma robe, ses doigts viennent jouer avec mon intimité complètement trempé.

Moi : attends d’être là haut
Guillaume : je n’en peux vraiment plus ahaha
Moi : on pourrait nous voir ici hihi
Guillaume : je ne sais pas pourquoi mais je trouve ça excitant
Moi : tu as envie de moi là ?
Guillaume : j’ai envie de te voir nue maintenant

Ses paroles me troublent, mon chéri est timide, mais il est parfois très coquin dans ses désirs. Dans les escaliers le bruit est assourdi, on entend dehors les voitures passer, mais aucune porte claquer, aucun pas descendre vers nous.

Je suis excitée, mon cœur bat très fort, mon corps en tremble un peu. Je l’aime tellement, et je suis toujours prête à tout pour lui, mes pensées se bousculent tandis qu’il me regarde droit dans les yeux…
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