chapitre 122 image
Je me retourne vers mon chéri, nous voici seul, un silence règne, mais il est doux, presque chaleureux. Je ne me fais pas encore à l’idée, que je vais passer une soirée rien qu’avec Guillaume, que je vais pouvoir passer ma nuit également.

C’est comme si je ne savais pas par où commencer, je le vois également un peu perdu, son regard fixé dans le mien, tandis qu’il me sourit. Je m’approche de lui, puis je l’enlace, ferme les yeux, profitant d’un moment de silence pour écouter, ressentir son cœur battre.

Guillaume : ça me fait tout bizarre
Moi : quoi donc ?
Guillaume : le fait d’être ainsi seul avec toi, j’ai l’impression que…
Moi : que l’on peut tout faire ?
Guillaume : oui, c’est ça, ta mère est vraiment gentille
Moi : c’est la meilleure, oui ahaha
Guillaume : tu veux que l’on mange ?
Moi : je n’ai pas faim encore, et toi ?
Guillaume : non plus
Moi : j’ai envie de profiter de toi avant
Guillaume : oh ça, ça me plaît ahah

Tout doucement je glisse mes mains sur son torse, mes lèvres, elles, viennent embrasser Guillaume. Le temps est suspendu, dans ce silence, seul nos baisers, nos caresses viennent se faire entendre. Lentement nous nous dirigeons vers le canapé, où nous nous installons.

Nos lèvres sont comme soudées, nous sommes allongés l’un contre l’autre, nos mains parcourent à présent nos corps, à la recherche de zone plus sensible. J’adore ressentir la chaleur de sa paume tout contre mes seins, très vite mes vêtements commencent à disparaître, pour me retrouver entièrement nue.

J’aime cet instant, où je suis complètement exposé à mon chéri, son regard parcourant chaque centimètre de mon corps, tandis qu’il glisse vers le bas. Mon cœur bat fort, un frisson se fait sentir à l’approche de ses lèvres près de mon intimité.

Il se met à l’aise, s’installant le plus confortablement entre mes jambes. Son souffle est chaud, il me chatouille presque, puis ses lèvres se déposent en une multitude de baisers, partout sur mes cuisses, mon bat ventre, jusqu’à atteindre mon petit bouton.

Je ne peux que fermer mes yeux, tout en laissant s’échapper un petit gémissement qui plaît tant à Guillaume. Sa langue au fil du temps devient de plus en plus experte, elle tourne, glisse, joue avec mon clitoris, en des cercles, en des mouvements que mon corps ne pourrait décrire.

Cela fait plus d’une semaine que nous n’avons rien fait, et c’est comme ci je découvrais pour la première fois toutes ses sensations. Mon chéri soulève mes jambes, je place donc ma droite sur le dessus du canapé, il a ainsi tout l’espace qu’il lui faut pour continuer son œuvre.

Très vite mon entre-jambe devient plus sensible, je ressens cette tension s’accumuler, je sais alors que je vais bientôt jouir. Tout en gémissant je demande à Guillaume de continuer, je lui dis qu’il va bientôt me faire jouir, alors sans attendre, il redouble d’efforts, sa langue devient plus rapide, plus entreprenante.

Je me retiens au maximum, ne voulant rien lâcher, mais lorsqu’il se met soudain à aspirer mon clitoris, je ne peux me contenir, et je viens jouir, exprimant mon plaisir dans un gémissement. Mon corps en tremble, convulse, tandis que je retiens la tête de mon chéri, car il serait capable de toujours continuer, mais mon intimité est beaucoup trop sensible.

Il me regarde droit dans les yeux, son sourire coquin en dit long, il est heureux de me faire jouir comme ça. On ne peut s’empêcher de rire alors, tandis qu’il dépose des baisers à l’intérieur de mes cuisses.

Guillaume : j’adore vraiment ton goût
Moi : ah bon ?
Guillaume : oui, il est particulier
Moi : tu as lécher d’autres filles pour me dire ça ?

Là je vois Guillaume être totalement surpris, puis il ne sait plus quoi me dire, il semble chercher à comprendre pourquoi je lui demande ça…

Guillaume : euh non, je veux…
Moi : ahaha tu devrais voir ta tête, je sais très bien que ce n’est pas le cas, et j’ai compris ce que tu voulais dire, ahaha
Guillaume : tu vas voir toi…

Il se met alors à me chatouiller partout, pour me punir de lui avoir fait peur. C’est vraiment de la triche, je suis entièrement nue, et ses mains sont directement en contact avec peau, qu’importe l’endroit où il me touche. Je n’arrête plus de rire, je suis à la limite de me faire pipi dessus même.

Puis je capitule, je m’excuse de lui avoir dis ça, car s’il continue je vais vraiment finir par me faire dessus. Heureusement pour moi il arrête, comprenant que je n’en peux vraiment plus, mais qu’est-ce que je l’aime. Nous échangeons encore des rires, tout en s’enlaçant, se caressant.

Guillaume : je t’aime
Moi : mais moi je t’aime encore plus
Guillaume : ah bon ? Impossible aha
Moi : laisse-moi te le montrer

Doucement je l’embrasse, ses lèvres ont encore le goût de mon intimité, il est vrai que c’est particulier et à la fois agréable. Puis lentement je l’embrasse dans le cou, sur son ventre, en soulevant délicatement son T-shirt.

Mes lèvres continuent leur chemin, puis je me débarrasse de son jean, dévoilant ainsi un caleçon déjà très bien gonflé. Je souris timidement, tout en disant que ceci, n’appartient qu’à moi et moi seule.

Une fois le caleçon enlevé, je saisis son sexe tendu entres mes mains, pour lui donner une caresse qu’il aime tant. Je me mets à l’aise, venant le lécher, de la base jusqu’à son gland, avant d’introduire ce membre dur dans ma bouche.

Aussitôt un gémissement de plaisir se fait entendre, m’encourageant à continuer, à me donner d’avantage. J’adore vraiment ce moment, ressentir son sexe me remplir la bouche, glisser entre mes lèvres, contrôlant son plaisir du bout de ma langue, tout en le regardant droit dans les yeux, me suppliant de continuer.

Ses yeux se ferment au moment où je reprends ma descente sur cette colonne de chair, gorgé de sang. Ses jambes bougent, je pourrais presque ressentir ses frissons, lorsque son sexe se contacte dans ma bouche, se retenant de venir trop vite.

Guillaume : oh mon cœur, attends…
Moi : humm, mais j’adore ça moi
Guillaume : oui mais si tu continue, je vais jouir
Moi : ça veut dire que je m’y prends bien ?
Guillaume : tu es excellente mon cœur
Moi : hihi merci,
Guillaume : j’ai envie de toi, maintenant
Moi : ok, ne bouge pas, je vais chercher ce qu’il faut

Je me lève, je me dirige vers ma chambre pour prendre une capote, mais en ouvrant mon tiroir, je m’aperçois que la boîte est vide. J’oubliais que nous avions utilisé la dernière, pour le coup je me sens tout conne.

Mon premier reflexe est d’appeler ma mère, comme un appel au secours, mais je ne peux pas faire ça, je ne voudrais pas la déranger si elle est avec cet homme. Je réfléchie donc un moment, je me dis que si elle m’en a passé, c’est qu’elle doit en avoir d’autres dans sa chambre.

Mon chéri est toujours allongé dans le canapé à m’attendre, j’ouvre alors la porte, puis entre dans la chambre de ma mère. Je doute qu’elle en ait encore, peut-être m’a t-elle passé la seule boîte qu’elle avait.

En allumant la lumière, je découvre sur son lit quelques robes qu’elle a pu essayer avant de se préparer. Je me dirige vers sa commode, je cherche mais rien, peut-être sa table de chevet. J’ouvre le tiroir, puis Guillaume m’appel dans le couloir, pensant que je suis dans ma chambre.

Je lui dis être dans la pièce à côté, puis il apparait dans l’ouverture de la porte, se demandant ce que je fais ici. Je lui explique alors ne plus avoir ce qu’il faut, et qu’il y en a sûrement, par chance, dans la chambre de ma mère.

Il me demande alors s’il peut m’aider à chercher, je ne vois pas de mal, alors je lui dis que oui, il reprend la fouille de la commode, au cas où je serais passée à côté. Mais il ne trouve rien non plus.

Je rigole un instant à nous regarder tous les deux nus dans la chambre de ma mère, puis je continue de chercher dans le deuxième tiroir. Je crois alors que c’est peine perdu, je m’excuse auprès de mon chéri, de ne pas avoir pensée à en reprendre, puis j’aperçois sous un livre un petit rebord qui me semble familier.

Je soulève le livre, et trouve une capote, mes yeux s’écarquillent, j’ai enfin ce que je cherche. Je soulève les autres affaires dans le tiroir espérant en trouver d’autres, mais rien. Ce n’est pas grave, nous en avons au moins une, je suis limite en train de sauter de joie en ayant trouvé cela. Je ris avec mon chéri, lui disant que l’on va pouvoir faire l’amour. Puis son regard se détourne, je me demande ce qui a pu attirer son attention.

C’est tout simplement une culotte assez sexy de ma mère qui est étendu sur le lit, il s’excuse aussitôt, pensant qu’il a fait quelque chose de mal. Mais je le rassure, et il faut le dire, ses sous-vêtements sont très sexy. D’ailleurs je lui dis qu’elle en a d’autres qui son vraiment pas mal du tout.

Sans attendre, j’ouvre un tiroir de sa commode pour en sortir une que j’aime beaucoup. Mon chéri ne sait plus où se mettre, totalement surpris que je lui montre une culotte de ma mère.

Moi : alors ? Qu’est-ce que tu en dis ?
Guillaume : euh à vrai dire, je ne sais pas, ça fait bizarre que tu me demande mon avis sur les culottes de ta mère

Je le regarde un instant, puis je me rends compte que oui, j’ai fait cela sans même réfléchir, ne pensant surtout pas au mal. Je voulais simplement avoir son avis…

Moi : désolée
Guillaume : ce n’est pas grave, mais si tu veux mon avis, oui elles sont pas mal, mais je préfère les tiennes
Moi : hihi merci, tu es mon homme parfait, viens, on a des choses à faire

J’éteins la lumière, puis referme la porte, avant de nous diriger de nouveau dans le salon, pour continuer ce que nous avions commencé…
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