chapitre 55 image
Ce mois de Novembre a filé à une vitesse, je ne fais plus trop attention au temps qui passe, je suis toujours pressé d’être à demain pour passer du temps avec Guillaume, ou alors j’attends avec impatience d’arriver au week-end pour faire des activités avec lui. Je commence à ressentir une très forte envie d’aller plus loin avec lui, je continue toujours de me masturber mais je veux plus, je veux ressentir autre chose que mes doigts pour me faire du bien.

Ça fait maintenant 2 mois que nous avons commencé à nous fréquenter, il peut-être trop tôt encore pour lui, je ne sais pas, mais mon corps le réclame. Il faut que j’essaie de lui en parler, de savoir où il en est de son côté.

Nous sommes mercredi, après le cours je le rejoins à la sortie, où il est déjà avec Charles et Jonathan. Je ne veux pas passer pour la fille qui ne lâche pas son copain, ou alors la fille qui l’empêche de voir ses amis, mais aujourd’hui je voudrais passer du temps avec lui. Nous ne sommes pas tous les mercredi après-midi ensemble, ce n’est arrivé qu’une fois jusque là, bien que ma mère accepte que Guillaume vienne quand il veut.

Estelle et Kévin sont déjà partis, Charles et Jonathan discutent alors je me dis que c’est le bon moment. Je demande discrètement à Guillaume s’il veut venir chez moi cet après-midi, il me sourit timidement et accepte. Nous abandonnons ses amis qui nous taquinent en jouant les amoureux et en imitant des bisous.

Guillaume m’attrape la main pendant tout le chemin vers l’appartement, une fois arrivés, nous déposons nos affaires, je me retourne et c’est lui qui vient m’embrasser. Je suis surprise mais j’adore ça, j’aime sentir ses lèvres contre les miennes, et je dois dire qu’il m’embrasse d’une façon particulière aujourd’hui. Il m’embrasse de manière passionné, en m’enlaçant très fort, j’aime sentir son corps contre le mien.

Moi : hey bien, on dirait que tu avais très envie de m’embrasser hihi
Guillaume : ça fait un moment qu’on ne s’est pas retrouvé que tous les deux
Moi : je voulais te laisser du temps, et ne pas t’empêcher de voir tes amis

Il se rapproche de nouveau, et m’embrasse toujours avec cette même passion, je commence à me sentir excitée, je le laisse faire, il semble vouloir quelque chose, ses mains me caresse, parcourent mon corps. Est-ce qu’il est prêt ?

En tout cas de mon côté, je suis prête à beaucoup de choses pour lui. Je l’invite à venir dans mon lit pour être plus à l’aise, je m’allonge, il vient tout contre moi et nous continuons de nous embrasser. Sa main droite se pose sur mon ventre, je commence à avoir chaud, il me caresse doucement, alors que sa langue danse avec la mienne.

Sa main remonte doucement vers ma poitrine, il hésite un moment et pour l’accompagner, je prends sa main pour la poser sur mon sein. Guillaume me regarde un instant, je lui souris comme pour lui dire qu’il peut me toucher là. Sa main me caresse de nouveau, pendant que je le ramène vers moi pour savourer ses lèvres. Entres mes jambes, je sens cette chaleur monter, je sens que ma culotte est devenue humide, mon désir grandit, et je me doute bien qu’il se passe la même chose pour Guillaume. Tout en s’embrassant nos corps se touche, se frottent l’un contre l’autre, et je ressens sur ma cuisse quelque chose de dur. Je savoure ce moment, bien que je sois un peu nerveuse aussi pour la suite.

Moi : tu veux qu’on le fasse ?
Guillaume : euh… je ne sais pas
Moi : ah, d’accord
Guillaume : désolé, je ne sais pas comment m’y prendre, et tu as l’air si sûr de toi
Moi : c’est l’impression que je te donne ?
Guillaume : oui tout à fait
Moi : je voudrais savoir ce qui se passe dans ta tête, peut-être que tu y pense trop et ça te fait peur
Guillaume : je me pose énormément de questions oui, et je n’ai jamais pu en parler avec qui que ce soit
Moi : ah bon ?!
Guillaume : ba mes amis sont tous les deux aussi puceaux, et parler avec ma mère ça ma plus gêné qu’autre chose
Moi : c’est dommage, après ce n’est pas tout le monde qui est à l’aise pour en parler avec ses parents
Guillaume : c’est vrai, je ne suis pas du tout à l’aise, mais toi tu parles de ça avec ta mère ?
Moi : oui, on parle de tout
Guillaume : tu me surprends beaucoup, je te pensais plus timide que ça
Moi : pas avec ma mère ahaha
Guillaume : et avec tes amis ?
Moi : on se parle ouvertement aussi, mais ce n’est pas tout à fait la même chose
Guillaume : d’accords
Moi : je sais que tu n’es pas tout à fait prêt, mais tu peux me dire ce qui te passe par la tête, ce dont tu as envie là
Guillaume : euh… là, je…
Moi : ça fait maintenant deux mois qu’on se fréquente, tu peux me dire ce que tu as imaginé, ou ce que tu désire, n’ai pas peur
Guillaume : euh… hey bien… j’aimerais en voir plus de toi
Moi : mon corps ?
Guillaume : oui, euh mais pas tout, enfin pas toute nue, si tu ne veux pas ce n’est pas grave…

Je rigole pendant un moment, car Guillaume est mal à l’aise et ne trouve plus ses mots, mais il me vient une idée. Je me redresse et sort de mon lit tout en lui disant de rester tranquille. Je suis seule avec mon petit copain, et il semble vouloir en voir plus de moi, et vu que je suis d’humeur coquine aujourd’hui, pourquoi ne pas lui faire ce plaisir ?

J’allume mon petit poste à musique dans ma chambre, et je fais défiler les morceaux. Une fois la bonne musique choisi, je me laisse emporter et je déhanche doucement tout en fermant les yeux. Je ressens la musique, je marque le temps avec quelques poses. Mes mains occupent l’espace, viennent également glisser dans mes cheveux, mon cou, ma poitrine, mon ventre, le long de mes hanches, de mes cuisses.

Je suis toujours de dos à Guillaume, les yeux fermés, et j’ai l’impression de ressentir son regards me toucher, me caresser. Je me retourne, et doucement mes mains saisissent mon T-shirt par le bas, et commencent à le soulever tout en suivant le rythme de la musique. Mon T-shirt passe par-dessus mes épaules et ma tête, je suis en soutien gorge devant Guillaume, je ne le regarde pas encore, mais je sais qu’il doit être surpris, qu’il doit aimer ce qu’il voit là.

J’ouvre doucement les yeux, et je vois Guillaume, totalement surpris, la bouche ouverte. Je souris en le voyant ainsi, et je suis heureuse de lui faire plaisir, heureuse de lui faire découvrir mon corps. Je m’avance légèrement vers lui, tout en retirant le bouton de mon jean. Petit à petit, un par un, chaque bouton saute, je déhanche en suivant la musique et tout en ouvrant mon jean devant lui, je me retourne pour lui présenter mes fesses, qu’il découvre tout en même temps que mon pantalon glisse sur mes hanches.

Je prends mon temps, je danse doucement, le jean encore à moitié sur mes fesses, puis il reprend sa descente, il glisse pour arriver à mi-cuisse, puis finalement à mes pieds. Guillaume est derrière moi, à un mètre, et pourtant je peux ressentir une douce caresse sur ma peau, je peux ressentir son désir, son plaisir.

Je me retourne doucement, je continue de danser face à lui, ses yeux parcourent mon corps tout entier tandis que je me rapproche de lui. Je positionne mes jambes de chaque côté de son corps alors que ma bouche se rapproche de la sienne pour l’embrasser avec sensualité.

Il semble perdu, complètement assommé par le spectacle que je viens de lui offrir, et j’en profite pour lui attraper son T-shirt, et le passer par-dessus la tête. C’est la première fois que je le vois torse nu, et je dois avouer que son corps me rend folle, la douceur de sa peau, son parfum que je savoure à la source même.

Je le pousse doucement pour qu’il s’allonge complètement, et je m’attaque à son pantalon, je retire le bouton, descend la fermeture éclaire, et je découvre un trésor magnifique. En ouvrant son pantalon, je vois apparaître sous mes yeux, son caleçon et une bosse à l’intérieur. Je salive tout en la regardant, c’est l’objet de mon désir depuis plusieurs nuits maintenant et il est là sous mes yeux.

Je lui retire complètement son jean et je viens m’allonger tout contre lui afin de l’embrasser à nouveau. Son sexe tendu frotte contre l’intérieur de ma cuisse, je suis complètement mouillé depuis le début de ma danse, mais maintenant je le suis encore plus à la vue de sa bosse et la sensation que j’ai en me frottant à elle.

Guillaume : tu es magnifiques …
Moi : c’est vrai ?
Guillaume : oui, ton corps me rend dingue
Moi : il est tout à toi tu sais
Guillaume : je ne sais pas quoi dire, et je ne sais pas quoi faire
Moi : humm… tu as encore peur de te lancer ?
Guillaume : oui j’hésite toujours
Moi : d’accords ce n’est pas grave
Guillaume : mais toi tu le veux ?
Moi : oui, j’avoue que je suis très excitée là
Guillaume : je suis désolé, tu dois me trouver complètement idiot
Moi : non, c’est tout à fait normal d’avoir des doutes, et je me dis que si c’était l’inverse, tu me comprendrais totalement
Guillaume : oui, mais là, tu en as très envie, et moi, je…
Moi : hummm, j’ai peut-être une idée, tu veux me laisser faire ?
Guillaume : euh, d’accord…

A ce moment là, je sais que Guillaume à encore beaucoup de doutes en lui, mais je suis sa copine et peut-être que c’est à moi aussi de l’aider à ne plus en avoir. J’ai une idée en tête, mais c’est surtout mon désir qui me guide, et je pense que le meilleur moyen pour aider Guillaume c’est de lui donner du plaisir.

Je viens l’embrasser tendrement tout en me positionnant contre lui, ses mains me caresses doucement le dos. Je me colle tout contre lui afin qu’il ressente ma poitrine sur lui, et mon sexe humide contre le sien. Petit à petit, au rythme de notre baisé, je bouge légèrement le bassin afin de me frotter tout contre lui.

Je ressens son sexe tendu, il est si dur, et ça me donne terriblement envie d’en voir plus, et de le sentir en moi.

Moi : est ce que ça te plait jusque là ?
Guillaume : oui complètement

Je ne souhaite pas le brusquer, mais je voudrais que l’on ressente tous les deux du plaisir jusqu’à en être satisfait, alors je me frotte toujours, je me redresse et je simule un mouvement de vas et viens le long de son sexe. Les mains de Guillaume viennent se positionner sur mes hanches comme pour m’accompagner, doucement je les prends pour les poser sur ma poitrine.

Guillaume se laisse aller, il me caresse les seins pendant que je m’occupe de bouger mon corps contre le sien. Mon shorty est complètement trompé et d’après ce que je vois, le caleçon de Guillaume le devient lui aussi à cause de moi, mais également par son excitation.

Au bout de la bosse, je peux voir une petite trace sombre, je ne crois pas qu’il ait déjà jouie, sinon il me l’aurait dit. Je regarde le spectacle sous mes yeux, alors Guillaume fait de même, il est complètement surpris, hypnotisé par ce qu’il voit. Je sens que mon plaisir est tout proche, alors je me frotte de plus en plus tout en gémissant puis Guillaume ramène ses mains sur mes hanches, et les sert. Je sens que lui aussi n’en peux plus, puis soudain, il me soulève avec son bassin en laissant échapper un long cri de soulagement pendant que je jouie également sur lui.

Je n’ai plus de force, je me laisse complètement tomber sur Guillaume, épuisée, parce ce plaisir qui parcoure encore mon corps tout entier. De son côté, Guillaume respire longuement, il ne parle pas, moi non plus d’ailleurs. Nous sommes tous les deux l’un contre l’autre, à reprendre notre souffle.

Moi : est ce que ça ta plu ?
Guillaume : oh oui, énormément, je …
Moi : respire…
Guillaume : merci…
Moi : tu n’as pas à me remercier, j’ai pris énormément de plaisir aussi
Guillaume : c’est vrai ?
Moi : oui, j’espère que tes doutes ont un peu disparu
Guillaume : j’ai eu beaucoup de plaisir, et je suis prêt à recommencer si tu veux
Moi : je suis tout à fait d’accord, on pourra le refaire si tu veux

Au fond de moi je suis très heureuse d’avoir avancé avec Guillaume, et que ses doutes commencent à disparaître, je ne veux pas le brusquer même si aujourd’hui j’étais prête pour le faire. Je me mets à sa place, et je me dis que je dois aller à son rythme en sachant qu’il aurait fait de même si j’étais remplie de doutes.

Guillaume se lève pour aller se nettoyer dans la salle de bain, je me rhabille également, puis nous passons le reste de l’après-midi à nous parler, jusqu’à l’arriver de ma mère. Elle est contente de voir Guillaume et de lui parler un peu avant qu’il ne parte. Je l’embrasse longuement dans le hall avant de le laisser partir, puis je remonte les escaliers, toute heureuse.

Je pense déjà à nos prochains moments ensemble, et je dois dire que j’attends cela avec impatience…
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