chapitre 92 image
Le temps semble si lent lorsqu’on est seul chez soit, qu’il n’y a pas grand-chose à faire, et personne à voir. C’est du moins ce que je ressens ces derniers jours, je tourne en rond, entre le ménage, quelques films et les messages, je ne fais quasiment rien d’autres.

Je me suis calmée sur les gâteaux, j’ai juste farfouillé une recette sur internet que j’essayerai avec Nora bientôt. Guillaume m’a raconté sa journée avec sa cousine, ainsi que le repas d’anniversaire le soir même. Il s’est très bien amusé, je lui manque beaucoup, mais au moins il profite de ses proches pendant ces vacances.

Dans la journée de mardi, j’ai beaucoup parlé avec Karine sur fb, nous nous sommes donné des nouvelles et bien sûr la discussion à très vite dérivée sur le sexe. Mais au fond de moi, j’aime ça, nous avons parlés surtout de Guillaume et moi, lui expliquant combien je ressens du plaisir lorsqu’il me fait l’amour dans chaque pièce de l’appartement.

Au fil de notre discussion, les questions de ma cousine ce sont faites de plus en plus précises, cherchant à connaître quelques détails sur mon chéri, à savoir par exemple, la taille de son sexe. De l’autre côté de l’écran, je la sentais plutôt excitée, je dois avouer que c’était le cas pour moi aussi. Donc je n’ai pas pu garder tout ça pour moi, en lui donnant les détails qu’elle voulait savoir.

Je lui ai dis qu’il a un sexe de bonne taille, au tout début, lorsque je l’ai vu pour la première fois, j’ai été émerveillée, surtout que j’ai mis du temps avant de pouvoir la voir. Puis sans mentir, il s’agit de mon chéri, tout de lui me fait frissonner, alors voir son intimité se dresser devant moi, je peux vous dire que je suis aux anges.

Karine voulait à tout prix savoir combien elle mesure précisément, ce à quoi je ne peux pas lui répondre, puisque je n’ai jamais eu l’idée de prendre une règle pour vérifier. Je lui dis par contre qu’elle est légèrement courbée, claire, un gland rosé qui se décalotte facilement, et une petite toison que j’aime beaucoup.

Karine a continué avec ses questions pendant un bon moment, avant que je lui dise que tout cela semble l’excitée. Elle s’est excusée, me répondant que oui, et qu’elle n’avait pas pu s’empêcher de se toucher un peu pendant notre discussion. Je la rassure, lui disant que je ne lui en veux pas du tout, que moi-même je suis excitée à ce moment là.

Elle m’avoue m’envier un peu, d’avoir un copain et pas elle. Le seul garçon sur lequel elle craquait avec déjà une copine, enfin il en était plutôt à sa troisième, ou quatrième. En fait, étant très mignon, il attire les filles, se laissant à son tour séduire au point de partir avec celle qui lui fait les plus jolis yeux. Ce n’est pas ce que recherche Karine, je comprends donc qu’elle ne tente rien, ne voulant pas être une fille de plus sur sa liste de séduction.

Karine se dit alors qu’elle n’est peut être pas si belle que ça pour ne pas attirer son regard, bien sûr elle a le droit à ce moment là, à une petite remontée de bretelle. Je ne veux pas qu’elle pense ça d’elle, au contraire je lui rappelle qu’elle est très belle, un visage magnifique et un corps qui pourrait faire tomber n’importe quel mec. Je lui rappelle que je suis très bien placé pour le savoir, l’ayant vu de nombreuse fois nue, et qu’à chaque fois c’était un vrai régal pour mes yeux.

Elle est rassurée, contente de tout ce que je lui dis là, elle en rougit même, puis me dit que moi aussi je suis magnifique. Nous avons l’air de deux amantes, chacune de notre côté de l’ordi à se complimenter sur nos visages, nos corps, nos intimités. La situation nous fait rires, mais je lui secoue une dernière fois les puces en lui disant qu’elle ne doit plus douter d’elle. Que ce mec sur qui elle craque n’en vaut pas la peine, vu que ce qui l’attire, c’est tout simplement les filles faciles.

Elle le sait bien sûr, elle avait seulement besoin de l’entendre. Nous avons continués de parler sur fb jusqu’à ce que ma mère rentre du travail. Je suis contente qu’elle soit rentrée, me sentant moins seule, puis je lui demande comment s’est passé sa journée.

Elle me parle de ses collègues, des dossiers qu’elle traite, auxquels je ne comprends rien. Elle a l’air fatigué, alors je lui propose un bon bain chaud, ainsi qu’un bon massage pour la détendre. Elle ne dit pas non, au contraire nous nous dirigeons très vite à la salle de bain pour faire couler l’eau, pendant que nous nous déshabillons l’une devant l’autre.

Une fois la baignoire remplie, nous nous installons, je me mets derrière elle pour lui frotter le dos pendant que nous parlons. Elle apprécie vraiment ce que je lui fais, elle se détend, puis je passe l’éponge sur ses bras, sa poitrine.

Je me rends compte d’une chose, j’ai passé pratiquement l’après-midi à parler de sexe avec Karine, ce qui m’a beaucoup excitée, et là je suis en train de frotter la poitrine de ma mère. L’éponge était tout d’abord au dessus, comme elle me le fait parfois lorsqu’elle me lave, mais très vite ma main est venu sous sa poitrine, venant sous peser ses seins avec l’éponge.

Je me rends compte alors de mon geste, de mon excitation alors que nous parlons tranquillement toute les deux. Enfin, parler, je dois dire qu’un petit silence s’est installé au moment où ma main à commencer à s’occuper de sa poitrine. Je me reprends en retirant ma main, puis en continuant de parler de tout autre chose, faisant comme si de rien n’était.

Je tente de me calmer du mieux que je peux, lorsque je suis excitée, je ne semble plus rien contrôler, et je dois dire que je me fais violence pour ne pas aller plus loin. Surtout qu’il s’agit là de ma mère, et que je ne voudrais pas aller trop loin comme elle me l’a déjà dit.

Nous restons encore un moment dans la baignoire avant d’en sortir puis nous habiller. Elle me remercie pour ce petit massage qui l’a très bien détendu, puis m’enlace en déposant un bisou sur mon front.

Le reste de la soirée se passe normalement, un bon repas, un petit film puis nous allons au lit toute les deux. J’écoute de la musique allongée dans mon lit tout en envoyant quelques textos à Guillaume. Il me dit avoir parlé avec sa mère aujourd’hui, qu’elle a beaucoup questionné sur notre relation, il n’était pas très à l’aise, puisque sa mère le reprenait sur tout ce qu’il disait.

Alors pour ne pas subir de grand serment, il ne lui a pas dis la vérité lorsqu’elle lui a demandé si nous avions déjà fait l’amour ou autre. Il est un peu déçu que sa mère soit braquée à ce point sur ce sujet, il me dit que ma mère est vraiment cool, que j’ai de la chance de l’avoir.

Il se sent plus à l’aise lorsque ma mère lui parle sur ces sujets qu’avec la sienne, alors qu’il ne la connait pas encore très bien. Je suis triste pour lui, déjà qu’il a un père qui semble assez peu présent, mais de plus une mère assez froide lorsqu’il s’agit de nudité, sexe et autres. Je me dis qu’il n’a pas de chance de ce côté-là.

Honnêtement en parlant de tout ça, je n’ai plus vraiment envie de rencontrer sa famille, ou du moins ses parents, de peur d’être jugé. De plus si j’étais partie en vacances avec Guillaume, je n’aurais pas pu profiter un instant de lui, si sa mère est toujours là à surveiller ses faits et gestes. Je me rends compte que je n’aurais pas supporté cette situation, avoir son chéri près de soit, et ne pas pouvoir lui faire l’amour, c’est horrible.

L’heure passe, Guillaume me laisse pour aller dormir, demain il doit se lever tôt pour faire quelques travaux avec son oncle, donc je lui souhaite une bonne nuit. Finalement en y repensant je me sens bien ici, même si je suis seule, par contre je me mets à la place de mon chéri, je comprends mieux lorsqu’il dit que j’ai de la chance d’avoir une mère comme la mienne.

Je regarde l’heure, il est 23H30, je retire mes écouteurs puis je pose mon téléphone de ma table de chevet. Ma lumière est déjà éteinte depuis tout à l’heure, puis dans le silence de ma chambre j’entends un bruit, mais il ne vient pas de la chambre de ma mère. J’entends un son, comme un film, pourtant nous avons éteint la télé en allant nous coucher, je ne comprends pas.

Je me lève sans faire de bruit, j’approche de ma porte, puis l’ouvre doucement. Il fait tout noir, mais le son est plus claire, il vient du salon, plus précisément de l’ordi. Je souris devinant que ma mère doit se faire plaisir devant une vidéo. Je commence à refermer ma porte, mais ma curiosité m’arrête, cela fait un moment que je n’ai pas vu ma mère se faire plaisir, et maintenant, nous sommes à l’aise sur ce sujet.

Alors ni une ni deux, je parcours le couloir sans faire de bruit, puis je me poste au coin du mur, d’où je peux voir ma mère. Elle est si belle, entièrement nue dans le noir, tout juste éclairé par le film joué sur l’écran. Je remarque qu’elle a le casque sur les oreilles, mais que le son sort également de l’ordi, peut être la t’elle mal branché.

En tout cas je peux clairement entendre une fille gémir, non, plutôt deux filles gémir. Ma mère est là devant moi se masturbant devant un film lesbien, alors sans plus tarder, je commence moi aussi à me toucher de mon côté. Très vite mes vêtements disparaisse un à un, j’aime être là, nue dans le couloir, observant ma mère se faire plaisir de son côté.

Cela fait un bon moment que je n’ai pas assisté à une telle scène, je retrouve alors un plaisir légèrement oublié, ce petit côté voyeur. La lumière de l’écran éclaire très peu, je distingue très bien ses seins, mais en ce qui concerne sa main sur son intimité, je la devine que très peu. Mais cela ne gâche en rien plaisir, au contraire, il ne fait que grandir au fur et à mesure que je me touche en la regardant.

Mes doigts sont très actifs sur mon petit bouton, imitant ma mère, puis je me pénètre de deux doigts lorsqu’elle fait de même. Ses deux pieds posés sur le rebord du bureau, les jambes grandes ouvertes, elle s’en donne à cœur joie, dans ses caresses.

Les deux filles dans la vidéo gémissent de plus en plus fort, elles prennent vraiment beaucoup de plaisir, ce qui décuple le mien par la même occasion. Ma mère porte ses doigts à sa bouche pour les lécher, comme elle aime le faire à chaque fois. Je la regarde faire, puis par curiosité je me tente à faire de même.

Je porte mes doigts humide de ma cyprine à mon visage, j’hume légèrement cette odeur intime qu’est la mienne. Je suis comme envoutée par l’odeur, ce qui me rappel mes ébats avec Guillaume, lorsqu’il finit de me lécher puis vient m’embrasser. Je me dis que ce n’est pas très différent en soit, alors je plonge mes doigts dans ma bouche pour les gouter, imitant dans les moindres faits et gestes ma mère.

Je connais déjà mon goût, lorsque j’embrasse Guillaume après un cunni, mais cette fois, c’est moi toute seule, qui porte mes doigts trempés vers ma bouche. Je ne sais pas comment décrire cela, mais je suis transportée, peut être mon goût, ou alors le fait de le faire moi-même, je ne sais pas. En tout cas, je replonge mes doigts dans ma fente, pour les ramener de nouveau à mes lèvres, et encore une fois je les lèches.

Je prends énormément de plaisir à le faire, à me savourer, alors je comprends ma mère, le plaisir qu’elle ressent. Je reviens au coin du mur pour l’observer, puis je remarque qu’elle porte quelque chose à son visage dans sa main gauche. Je n’arrive pas vraiment à distinguer ce que c’est, en tout cas, elle y prend beaucoup de plaisir, elle ferme les yeux, se caressant encore plus vite.

Je l’imite comme je peux, debout dans le couloir, me caressant au plus vite mon petit bouton. Les gémissements des deux filles sur l’ordi, ainsi que ceux de ma mère, me propulse dans un état second. Je suis sur le point de jouir, mais je voudrais attendre encore un peu, attendre de voir ma mère jouir aussi. Je me retiens comme je peux, ne voulant ni ralentir mes caresses, ni m’arrêter pour reprendre mon souffle.

Ça devient très dur, limite insupportable tellement mon petit bouton devient sensible. Je sens toute cette tension s’accumuler entre mes jambes, puis sous mes yeux je vois ma mère basculer vers l’arrière. Sa main gauche toujours porté à son visage, je la vois relever son bassin, la lumière de l’écran éclaire alors directement son intimité, et sa main qui s’y trouve.

Je vois alors ses doigts sur sa toison pubienne, qui s’active comme jamais sur son clitoris. Cette scène sous mes yeux me fait exploser, me fait jouir comme j’aime tant. Je ressens tout ce courant me parcourir, me donnant des frissons partout dans le corps, tandis que ma mère gémit de plaisir de son côté.

Je perds légèrement l’équilibre, je me rattrape comme je peux, essayant de ne pas faire de bruit, je n’arrive pas à y croire, combien je peux trouver de plaisir. Pourtant je me masturbe souvent, je connais également les joies du sexe à deux, mais je suis toujours surprise par ma jouissance.

Je retrouve doucement mes esprits, puis je regarde du côté de ma mère, elle a encore le souffle court, toujours dans la même posture, puis elle se redresse doucement. Elle se regarde, caresse la pointe de ses seins, son ventre, toujours avec sa main gauche à son visage.

Je me lève, puis je m’avance doucement dans le noir, elle semble ne pas m’avoir vu encore. Elle est concentrée sur l’écran de l’ordi, la main droite sur la souris. Elle finit par couper le film, puis dans le silence de la pièce, je m’annonce…
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