chapitre 87 image
Nous sommes toujours allongés nus, l’un contre l’autre, reprenant peu à peu nos esprits. Seulement après quelques minutes, tout en restant dans le silence, nos regards se croisent, nos mains viennent s’entremêler.

Je vois dans les yeux de Guillaume, cette question qui ne cesse de se répéter, cette réponse qu’il attend patiemment. Il me caresse le visage délicatement, avant de prononcer ces quelques mots…

Guillaume : tu, tu as jouie mon cœur ?

Tout raisonne dans ma tête, je suis encore dans les vaps on dirait, abasourdi par la vague de plaisir que j’ai pu ressentir. Je n’ai pas besoin de réfléchir à sa question, seulement à trouver le souffle pour pouvoir lui répondre.

Je le regarde, les yeux remplis d’amour, tout en réunissant le peu de force que j’ai pour lui répondre…

Moi : o… oui mon cœur, tu… tu ne peux pas, savoir à… quel point…

C’est dans un souffle encore coupé que je lui réponds, mais l’expression sur son visage me fait chaud au cœur. Il est heureux, ses yeux brillent, il est fière de lui, de m’avoir fait jouir ainsi, d’avoir pu combler sa petite amie.

Il me sert fort dans ses bras, me couvrant de milliers de baiser. Il prend soin de moi, tout le temps pendant lequel je reprends mes esprits. Je ne savais pas que jouir ainsi pouvait être à ce point soporifique. Nous restons tous les deux allongés, nus, à se parler, à dire nos ressentis. Je lui décris tout, tout ce que j’ai pu ressentir dans mon corps, dans ma tête, au moment de jouir.

Il m’écoute, attentif, comme un enfant à qui on livre un secret. Il me dit qu’il m’aime, qu’il est heureux de vivre ces moments avec moi. Je lui dis à quel point je l’aime aussi, que nous partagerons encore d’autres moments comme celui-ci.

Guillaume regarde l’heure, ma mère ne va pas tarder à rentrer, il voudrait bien prendre une douche avant, mais je n’ai vraiment pas la force de me lever. Je le regarde alors aller chercher ses affaires, et les miennes éparpillées un peu partout dans l’appartement, puis se diriger vers la salle de bain.

J’écoute l’eau couler, pendant que je ferme les yeux quelques minutes, je suis si bien dans mon lit, si bien que je finis par m’endormir. Ma tête est lourde, je dors profondément tout en sachant que Guillaume est sorti de la salle de bain, qu’il est présent à mes côtés.

J’entends sa voix, me demander si je ne veux pas aller à la douche, mais c’est au dessus de mes forces. Je continue de dormir, sentant ses bras m’enlacer, me couvrir d’un drap.

J’ouvre les yeux un moment, je somnole, ma tête est toujours lourde, tandis que je vois Guillaume sortir de ma chambre. J’entends dans le salon, une discussion, je comprends alors que ma mère est rentrée. Je reste ainsi les yeux fermés, dans un profond sommeil, jusqu’à entendre ma porte s’ouvrir.

Je ne sais pas combien de temps s’est passé, je sais seulement que c’est ma mère qui est là, assise sur le rebord de mon lit, me demandant de me réveiller. J’émerge petit à petit au son de sa voix, lui demandant comme je peux où est Guillaume…

Maman : il est rentré chez lui ma puce, il est déjà 18H
Moi : oh, c’est vrai ?... Je…
Maman : ne t’inquiètes pas, il m’a dit qu’il t’enverrait un message ce soir pour savoir comment tu vas
Moi : d’accord…
Maman : allez marmotte, réveille toi, tu vas venir prendre un bain avec moi
Moi : j’arrive…

En effet j’ai beaucoup dormi, ça ma fait énormément de bien. Je me lève comme je peux, je me sens lourde, comme dépourvu de muscles, ou même de corps, ne ressentant qu’une masse. J’entends l’eau couler, je suis assise sur le rebord de mon lit quand la porte s’ouvre de nouveau.

Je vois alors dans l’encadrement apparaître ma mère entièrement nue, elle s’avance vers moi, puis je passe mes bras autour de sa taille pour l’enlacer. Elle me caresse les cheveux, me demandant de me lever.

Je lui demande un instant pendant lequel je reprends mon souffle, puis dans une longue respiration, je sens une légère odeur, qui m’est familière. J’ouvre les yeux, et me trouvant à hauteur de son bassin, je comprends que je sens à ce moment là, l’odeur intime de ma mère.

Cela me trouble complètement, je suis prise dans une curiosité, cherchant de nouveau à humer son odeur. Je dépose mes mains sur ses fesses pour la rapprocher de moi, puis je l’embrasse tendrement sur le bas du ventre, presque au dessus de son pubis.

La vue de son sexe poilu, si près de mon visage m’excite terriblement, elle n’a sûrement pas remarqué mon état, et heureusement, sinon je ne sais pas comment elle aurait réagie.

Je retrouve enfin un peu plus de force pour me lever, puis nous voilà toutes les deux dans la baignoire. Ma mère en face de moi me sourit, elle sait qu’il a du se passer pas mal de choses durant cet après-midi. Elle a parlait avec Guillaume, prenant le temps de discuter de plusieurs choses sans chercher à le gêner.

Il est resté longtemps parler avec elle, elle l’aime beaucoup, surtout dans sa façon d’être posé, timide, humble. Guillaume a prévenu ma mère de ne pas entrer dans ma chambre, que j’étais simplement couverte d’un drap, sous lequel je suis nue.

A ce moment là ma mère n’a pu que sourire, laissant apparaître du côté de Guillaume une petite gêne. Bien sûr elle l’a rassuré, lui disant qu’il est ici chez lui, que nous pouvons faire ce que nous voulons. Je suis heureuse que ma mère et Guillaume puissent si bien s’entendre, elle cherche à le rassurer du mieux qu’elle peut, mon chéri n’ayant jamais eu de conversation sur un sujet intime avec ses parents.

Elle sait comment lui parler, pour le mettre en confiance, elle lui a également dit, que s’il avait des questions, n’importe lesquelles, qu’elle serait présente pour lui apporter une réponse. J’aime beaucoup ma mère, sa façon de toujours vouloir prendre soin des autres, de les aider.

Puis à mon tour, dans cette baignoire, je lui raconte mon après-midi, tout ce que j’ai pu vivre et ressentir. Ma mère est souriante, fière de moi, d’avoir découvert cette jouissance à deux. Elle comprend alors pourquoi je suis si fatiguée, puis elle me rassure, me disant que les prochaines fois seront encore meilleures.

Elle me donne déjà envie d’y être, de vivre ces moments, mais cette fois-ci je saurais être patiente, pour savourer cet instant comme il se doit.
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