chapitre 10 image
Dimanche matin, je me réveil doucement, le soleil est déjà bien levé et maman n’est plus dans le lit. Je frotte mes yeux et j’entends les autres parler, peut être dans le salon ou autres je ne sais pas. Je me lève et sort de la chambre en pyjama, pour voir un peu qui se trouve dans la maison, mais mon but premier est de rejoindre la salle de bain qui se trouve au fond du couloir.

Une fois que j’ai fait pipi, je me regarde dans le miroir et mes cheveux sont en pagaille. J’arrange ce que je peux, en retournant vers la chambre pour m’habiller. La porte s’ouvre et je vois ma mère entrer, et se diriger vers moi pour me faire un bisou.

Maman : ah tu es réveillé, bien dormie ma chérie ?
Moi : pas trop non le matelas est bizarre, ou alors c’est parce que ce n’est pas ma chambre
Maman : je pense que c’est plutôt ça oui… tu viens ta cousine est réveillée, elle aussi…

Il est 9h10 et les adultes sont encore à table sur la terrasse terminant de prendre le petit déjeuner, Karine vient de les rejoindre et je m’installe à ses côtés en préparant un bol de chocolat chaud.

Karine : coucou, bien dormi ?
Moi : non pas trop et toi ?
Karine : oui comme un bébé ahaha mais bon, je préfère tout de même ma chambre hein
Moi : moi aussi oui, … au fait… qu’est ce qu’il y a comme activité ici pour s’occuper ?
Karine : hummm traire les vaches, ramasser la bouse et nettoyer le parc à cochon…

A ce moment je la regarde d’un air totalement affaibli…

Karine : je rigole ahahah, … non sérieusement on peut aller se promener si tu veux pour voir un peu le coin. Mais ne t’inquiète pas je sais que tu as des petits soucis, je ne te lâcherais pas, si tu le veux bien sur…
Moi : …..euh ….ok

Des petits soucis…. Ma cousine me fait rire, si elle savait comment je peux me bloquer elle ne dirait pas ça, mais bon. Le petit déjeuner pris je vais dans la chambre prendre une veste et mes baskets que j’avais prévu au cas où.

Nous voilà toutes les deux sur la route en direction de……… de nulle part à vrai dire, je ne sais même vers où on se dirige, mais je me dis qu’elle doit le savoir elle. Nous marchons près de deux heures avant de revenir à la maison pour manger.

Elle a beaucoup parlé pendant notre promenade, mais rien de vraiment intéressant, mise à part le nom d’un garçon qu’elle a mentionné rapidement.

En rentrant les parents de Karine lui demandent d’aller réveiller Jordan, pour ma part je rejoins ma mère lui faisant un câlin en lui disant que je suis rentrée. Nous déjeunons en famille avant de rejoindre ma chambre pour me reposer un peu.

A mon réveil j’entends une voiture klaxonner, alors je me lève et vais dehors la tête un peu dans les nuages, voir ce qui se passe. Il s’agit de mon oncle Vincent qui arrive, et une tête brune à côté qui doit être celle de mon cousin Anthony. Tout le monde est là pour les accueillir et limite mon cher cousin me snobe…

Nous avons le même âge, il est plus vieux que moi d’un mois. Il est plus grand en taille, mince, les cheveux courts, et il semble me prendre un peu de haut. Maman me dit à voix basse de ne pas trop le déranger, il a perdu sa mère dans un accident de voiture il y a un an, et depuis il est un peu perturbé. Décidément lui et moi, on pourrait monter notre club de cas sociaux.

La soirée se passe, j’essaie de faire connaissance avec Jordan aussi qui me semble toujours aussi doux. Karine et lui s’entendent très bien, moi qui penser que les frères et sœurs étaient de vrais chat et chien étant ado, j’ai devant moi la preuve que non. Je regarde de temps en temps Anthony, il semble dans sa bulle, isolé, et complètement perdu. Difficile de se remettre de la mort d’un parent, surtout à cet âge là, mais peut être qu’il lui faut de l’aide, du réconfort.

Ce soir là dans le lit avec ma mère, on parle un peu d’Anthony, que lorsque je le regarde je me vois moi il y a quelque temps. Ma mère me dit que son père aussi est très affecté par la perte de sa femme, et pour le coup n’arrive pas à s’occuper de son fils comme il faut. Voilà pourquoi il semble aussi perdu, je tourne ça en boucle dans ma tête et le sommeil m’emportant, je me dis que je pourrais lui venir en aide à ma manière.

Le 24 décembre, toute la journée, la famille s’occupe de préparer le réveillon comme il se doit. Les adultes s’occupent de faire les courses, préparer le repas, tandis que notre tante Claire et nous, avons la tâche de décorer le mieux possible la grande terrasse. Le soir nous sommes tous réunis autour de cette table, les plats sont nombreux, je fais ma gourmande et mon ventre rempli, pourrait presque exploser. Mon oncle Philippe s’est improvisé artificier, pour nous offrir un spectacle tout en lumière.

A la distribution des cadeaux, on peut entendre des Oh…AH… Merci… De mon côté j’ai eu de beaux cadeaux, des bijoux, un parfum, des babioles et un téléphone, mon tout premier, mais mon plus beau cadeau, est de voir ma mère heureuse d’être à nouveau ici, de chanter, de rire, elle est magnifique.

Plus tard dans la nuit, tout le monde part se coucher, une fois changé je m’installe dans le lit avec ma mère, et dans notre chambre, seule une lampe de chevet nous éclaire pendant que nous parlons …

Moi : j’ai passé un très bon réveillon, et ce soir tout le monde était heureux.
Maman : Oui, et moi je suis très heureuse que tu ais dis oui pour venir (tout en me souriant)
Moi : tu es très belle, j’adore ton sourire
Maman : merci ma chérie, mais toi aussi tu es belle (en me chatouillant sous la couverture)
Moi : ahahaha arrête … et merci maman pour mon téléphone, il est très beau, tu as bien choisis
Maman : ce n’est pas moi mais le père noël qu’il faut remercier (imitant une voix grave)
Moi : Merci père noël (en me collant à elle, pour poser ma tête sur son épaule)

Ce moment là laisse place à un silence, dans lequel seul notre souffle ce fait entendre, elle dépose un baisé sur mon front, et un bruit vient perturber cette douceur. De nouveau le calme, je regarde ma mère me demandant ce que c’est, et ce bruit revient encore. Je comprends peu à peu que c’est un grincement et qu’il vient de …

Moi : c’est papi et mamie ? (toute étonné)
Maman : …………… ahaha je crois bien que oui
Moi : sérieux ? On les entend bien …
Maman : oui, leur chambre se trouve juste au dessus. Mais c’est la première fois que je les entends ahaha

Quelques secondes après c’est un gémissement que l’on peut entendre, mais il ne vient pas du tout de la chambre en haut. Ce gémissement qui se répète à nouveau vient de ma tante Sabine, dans la chambre voisine, et c’est avec de gros yeux que l’on se regarde, tout en essayant d’étouffer nos rires.

Ma mère toute gênée me dit d’essayer de ne pas faire attention et de dormir, tout en éteignant la lumière. J’essaie de faire ce que maman m’a dit, mais le bruit de grincement est toujours présent, ainsi que les gémissements de ma tante à travers le mur. J’essaie de rester sage mais je commence à être troublée, et mon bas ventre devient chaud, je le sens fourmiller et je commence vraiment à avoir chaud dans tout mon corps. La chambre n’est pas totalement sombre, les volets restés ouverts laissent entrer le clair de lune. Ma mère ne bouge pas, je me demande si elle arrive à vraiment s’endormir.

Lentement en essayant de me faire discrète je glisse ma main droite dans mon pyjama. Elle continue sa course en s’insinuant dans ma culotte toute trempée, et là, une décharge électrique me prend d’un coup. Hummm que c’est bon de se toucher, de faire glisser mes doigts sur mon bouton gonflé de désir. J’essaie de le faire doucement pour n’éveiller aucun soupçon chez ma mère, mais c’est difficile de se contrôler, j’aimerais tant pouvoir …

Maman : est ce que tu te touche ?

Je ne bouge plus, surprise d’entendre la voix de ma mère dans cette chambre obscure …..Et timidement je réponds

Moi : …. Oui
Maman : ne t’en fais pas, moi aussi ça me trouble
Moi : oui mais tu ne te touche pas toi, comment tu fais ?
Maman : Oh si ma chérie, je le fais aussi
Moi : je n’arrive pas à rester aussi discrète
Maman : alors fais le, car moi non plus je n’arrive pas à me retenir…. Huumm

Le gémissement de ma mère à mes côtés me trouble au plus haut point, et mes doigts reprennent leurs mouvements, mais cette fois à un rythme plus rapide. Dans la chambre d’à côté on entend maintenant les râles de mon oncle Philippe, ainsi que le lit bouger. Au dessus de nous, les grincements ont changés, au départ lent et maintenant plus prononcé.

Dans la pénombre, je perçois légèrement ma mère relever ses jambes, on ne parle plus, je la laisse se faire plaisir de son côté, tout comme moi du mien. Dans un sens nous respectons notre promesse de ne pas déranger l’autre dans son intimité. Je suis terriblement excitée, ma main droite est toujours aussi active, tandis que ma main gauche elle, caresse mon ventre, mes seins, mon cou. J’ouvre parfois les yeux à la recherche de ma mère dans cette obscurité, j’ai l’impression, que sa tête est tournée vers moi, est ce qu’elle cherche elle aussi à me voir ?

Dans la chambre d’à côté, on peut entendre ma tante dire ces mots « oh oui je la sens bien… »
Ces mots raisonnent dans ma tête, tandis que je sens à mes côtés ma mère qui se redresse. Elle semble se mettre à l’aise, je la devine assise dans le lit, le bras gauche tendu à l’arrière pour se maintenir, et j’entends le son rapide de ses doigts sur ses lèvres humide, tourner encore et encore. Puis un silence et le son de sa bouche savourant le goût de ses doigts.

A ses côtés je me caresse comme une folle, le souffle rapide, le cœur palpitant. Au dessus de nous des grincements de plus en plus rapide, jusqu’au coup final, signifiant le plaisir atteint pour mes grands parents, tandis que de l’autre côté du mur, mon oncle cogne toujours et va lui aussi de plus en plus vite. Mon plaisir monte, il atteint un sommet, c’est le point de non retour que je m’apprête à franchir, je n’en peux plus et c’est dans une série de spasmes incroyable que je jouis la bouche grande ouverte, mais me faisant violence pour ne pas crier de plaisir.

A mes côtés ma mère se relâche et tombe dans le lit, pratiquement au même moment où je reprends mes esprits, et c’est dans un long gémissement de la part du couple voisin que tout se termine, avant de laisser place à nouveau à un silence parfait.

Maman : Chérie ? …. Je peux allumer la lampe de chevet ? (le souffle long)
Moi : oui

La lumière illumine le corps de ma mère nue à mes côtés, c’est un tableau magnifique que j’ai devant moi. Je me redresse et sors du lit…

Maman : que fais-tu ?
Moi : j’ai besoin de changer ma culotte, elle toute trempée
Maman : d’accord … (en me souriant)

Je retire mon jogging et ma culotte mouillée, ma mère, elle, se lève aussi pour remettre ses vêtements tombés au sol, et pendant que je cherche une culotte propre, ma mère saisi celle toute trempée et constate l’étendu de ma jouissance. Nous rions toutes les deux en silence, avant de se remettre au lit.

Maman : désolée pour ce qui est arrivé chérie
Moi : ce n’est pas ta faute, les murs ne sont pas épais on dirait, et j’ai bien aimé moi
Maman : c’est vrai que j’ai pris beaucoup de plaisir aussi. Mais pas un mot, gardons ça pour nous ok ? (en déposant un baisé sur mon front)

C’est toutes les deux en accord que nous finissons par nous coucher, et nous endormir en espérant ne pas avoir été entendu. Le reste des vacances me réserve t-il encore des surprises ?....
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