chapitre 34 image
Après avoir marché quelques minutes, je décide de me poser sous un arbre avec Jordan. Je ne voudrais pas déranger Karine et Lucas, alors je gagne du temps en espérant que Jordan ne veuille pas trop insister pour les rejoindre.

Heureusement pour moi ce n’est pas le cas, on discute tous les deux pendant près d’1H, avant de voir apparaître Karine et Lucas. Pour le coup je sors une excuse bidon, genre que j’ai eu plus mal au pied que je ne le pensais, que nous avons décidé de rester là, et que maintenant tout va mieux.

Nous faisons un bout de chemin ensemble vers la maison avant que Lucas ne parte de son côté. Je voulais à tout prix savoir comment ça c’est passé pour ma cousine, mais j’ai dû attendre jusqu’au soir, après le diner, pour que l’on soit tranquille dans sa chambre et en discuter…

Moi : alors dis-moi tout (impatiente)
Karine : chuuuut, moins fort, et puis de toute façon il c’est rien passé…

Un léger sourire de sa part la trahi, alors je me jette sur elle pour la faire parler …

Karine : ahaha ok, ok…..
Moi : allé dis-moi …
Karine : ok, une fois à la rivière je lui ai dis que nous serions seul, que ton mal de pied était une excuse
Moi : ah, et moi qui lui ressort la même excuse quand vous êtes revenus
Karine : c’est rien, c’était parfait, merci en tout cas
Moi : quand tu veux, je recommence, aller, raconte moi
Karine : ok, on s’est enlacé pendant très longtemps, puis on s’est embrassé, il était un peu timide au début
Moi : c’était la première fois qu’il embrassait ?
Karine : oui hihi, puis doucement on a commencé à se caresser, la joue, le cou, les épaules …

Tout en me racontant son histoire Karine mimé les gestes sur mon corps, rien que de m’imaginer à sa place et sentir sa main me toucher, je commençais déjà à être excitée.

Karine : je le trouvais trop timide dans ses caresses, alors j’ai saisi sa main pour la poser, sur ma poitrine…

A ses mots sa main se pose sur mes seins, par-dessus le T-shirt, j’ai eu un instant le souffle court. Elle me décrit tout dans les moindres détails, comment il essayait d’être doux, mais qu’il était en fait, maladroit. Elle le trouve trop mignon …
Karine : j’ai finis par tirer mon haut de maillot sur le côté, pour qu’il puisse mettre sa main directement en contact avec mes seins …

Ma cousine, toujours pour me mettre dans l’ambiance, glisse sa main sous mon T-shirt, le contact de celle-ci avec mes seins, me fit échapper un petit gémissement. Je suis allongée, je joue le rôle, dont elle avait été actrice cet après-midi.

Karine : il était un peu maladroit, mais c’était tellement bon que j’en voulais plus…
Moi : c’est ce qui s’est passé ? Tu lui as demandé plus ? (souffle court)
Karine : oui…. Je lui ai demandé de m’embrasser les seins …

Tout en me disant cela, Karine relève mon T-shirt jusqu’à faire apparaître ma poitrine, le fait que mes seins soient dévoilés, de sentir l’air sur ma peau, me donne un frisson indescriptible. Mais quand ma cousine se penche sur moi, et que je sens sa bouche se poser sur mon sein gauche, je me sens propulser dans un autre monde.

Karine embrasse mon sein avec beaucoup de tendresse, puis passe sur l’autre, tout en continuant de me caresser la poitrine avec sa main. Je ferme les yeux, espérant que ce ne soit pas un rêve, que ce plaisir ne s’arrête pas. En ouvrant les yeux, je vois ma cousine à l’œuvre, elle fait tourner sa langue sur mes tétons, elle n’a plus besoin de mots pour me décrire ce qui s’est passé, Je le vis…

Je me sens trop bien, sa bouche, sa langue qui n’arrête pas de glisser sur mes seins, mon entre jambe devient complètement trompé. Je commence à glisser une main vers mon intimité et l’autre vers ma cousine. Je pose ma main gauche près de la poitrine de Karine, quand elle se relève…

Karine : désolée ma Ju, mais il vaut mieux arrêter là, j’ai peur que Jordan ou Anthony arrive brusquement comme hier.
Je suis déçue, je ne voulais pas du tout que ça s’arrête, je voulais même aller plus loin, je voulais …
Karine : j’espère que tu comprends, et que tu ne m’en veux pas
Moi : non ça va aller, tu as sans doute raison, il vaut mieux être prudentes
Karine : merci, je ne veux pas te blesser ou autre tu sais
Moi : ne t’inquiète pas, ça va aller, je veux juste une chose
Karine : laquelle ?
Moi : savoir ce qui c’est passé ensuite avec Lucas
Karine : ahaha en fait, rien de plus, il m’a embrassé les seins, m’a caressé sans aller plus loin

Nous rigolons toutes les deux, de ses confidences entres cousines. Et je ne peux pas lui en vouloir, elle a tout à fait raison, vu que la plupart des soirs, on est dans sa chambre pour regarder un film. Je remets mon t-shirt en place, tout en discutant avec Karine et seulement quelques minutes après quelqu’un frappe à la porte, et entre.

Heureusement pour nous, Karine avait décidée d’arrêter. Jordan est à la porte et nous demande si nous allons regarder un film, au même moment c’est la porte d’Anthony qui s’ouvre et qui pose la même question. Nous voilà tous les quatre dans le lit, à regarder un film téléchargé sur l’ordinateur. Jordan est de mon côté et Anthony avec Karine, nous sommes assez serrés dans ce lit, mais il ne se passe rien, à part quelques rires concernant le film.

Quelques jours se passent, nous avons aidé papi pour quelques travaux, et avons continué de voir aussi Lucas les après-midi. Jordan paraissait un peu perdu, pensif, il semblait éviter mon regard par moment. Peut être que je me fais des films, mais je ne suis pas tranquille, je voudrais éclaircir la situation avec lui mais seulement quand nous pourrons être seuls. Et l’occasion pourrait sans doute se présenter, vu que Karine me demande un soir le même service concernant les garçons.

Le jour se lève, je suis en pleine forme après cette bonne nuit de sommeil. Nous prenons notre petit déjeuner comme d’habitude, papi et mamie, eux vont rendre visite à de vieux amis de la région, tandis que nous, nous avons prévu de rejoindre Lucas vers 10H, à la décharge.

J’espérais secrètement qu’Anthony ne veuille nous accompagner pour que je puisse être seule aussi avec Jordan, mais ce n’est pas le cas. Nous sommes donc tous les quatre en direction de la décharge, jusqu’à retrouver Lucas, puis j’exprimais mon envie de me rendre en ville ou autre, plutôt que d’aller à la rivière.

Bien sur je ne laissais pas trop le choix à mes cousins que de m’accompagner. Ils n’ont pas fait de remarque quant à laisser Karine et Lucas de leurs côtés, et tant mieux, je pense que je n’aurais plus besoin de chercher des excuses bidon pour les laisser seuls.

Arrivés en ville, nous nous baladons jusqu’à tomber sur un petit marché, où pas mal de monde y est présent. Nous nous promenons parmi les stands, nous regardons simplement même si quelques personnes essayent de nous vendre leurs produits. Malheureusement nous n’avons pas d’argent, n’ayant pas prévu cela.

Au détour d’un stand nous rencontrons Thierry, qui est venu ici pour aider un ami de longue date comme il dit. Tout en se parlant je me rappel que j’ai toujours sa veste qu’il m’avait prêté l’autre soir, et je lui dis être désolée d’avoir oubliée de la lui rendre. Il me dit que ce n’est pas si grave, mais qu’en ce moment il est pas mal occupé entre le boulot, et les coups de mains par ci par là. Il pourrait passer un soir chez mes grands parents pour la récupérer, mais il a peur que ce soit trop tard.

En général mes grands parents ne sont pas au lit avant 22H, mais c’est vrai que je n’ai vu personnes leur rendre visite après le diner. Je lui donne mon numéro de téléphone, s’il veut passait un soir, ainsi il m’envoi un message, et je sortirais pour la lui rendre, comme ça je pense que l’on ne dérangera personne.

Les garçons s’impatiente de m’attendre, je laisse donc Thierry à ses occupations et je file rejoindre mes cousins. Nous avons finis par déjeuner tous les trois un peu à l’écart, des sandwichs que nous avions préparé à la maison. Puis l’après midi passa doucement jusqu’à notre retour vers la décharge, où l’on retrouvait Karine et Lucas.

De retour à la maison, aucun signe des grands parents, ils rentreront sans doute un peu plus tard. Nous sommes restés sages jusqu’à leur retour malgré ma terrible envie de rejoindre Karine, et lui demander les détails de sa journée. Mais même après le dîner, nous n’avons pas pu nous retrouver seule et ce, jusqu’au moment d’aller nous coucher. J’aurais bien voulu savoir ce qui c’est passé, mais je vais devoir prendre mon mal en patience, et pour le coup j’ai pas mal tournée dans mon lit avant de trouver le sommeil.

Je suis encore en train de dormir, quand j’entends ma porte s’ouvrir, mais étant fatiguée je n’ai même pas réagie pour voir qui ça pouvait bien être. J’ai seulement sentie quelqu’un monter dans mon lit et une voix me dire …

Karine : juju, tu dors encore ?
Moi : …..hmmmm
Karine : aller lève-toi grosse limace
Moi : mmmm… il est… quelle heure ?
Karine : 06H10
Moi : hein…. Mais c’est encore la nuit pour moi, laisse moi dormir…
Karine : je n’arrive plus à dormir, je pense trop à Lucas
Moi : super… pas moi…
Karine : ok… je peux rester avec toi ?
Moi : mmmm…oui

J’aime très fort ma cousine, mais il était trop tôt pour moi, et je me suis rendormie très vite. Karine est restée allongée à mes côtés jusqu’à mon réveil…

Karine : coucou toi…
Moi : mmmm bonjour
Karine : tu as assez dormie ?
Moi : oui je suis mieux là, tu tes levé très tôt
Karine : oui, c’est vrai, mais je pensais trop à Lucas, c’est fou
Moi : tu es amoureuse alors
Karine : hummm je ne pense pas
Moi : pourquoi tu penses à lui alors ?
Karine : à cause de ce qu’on a fait hier
Moi : oh… il s’est passé quoi alors ?
Karine : on a recommencé ce que je t’ai dis l’autre soir, puis je l’ai laissé me toucher entres les jambes hihi
Moi : woaaa et c’était comment ?
Karine : il était maladroit au début, puis je l’ai guidé, il est très à l’écoute, et au bout de quelques minutes, j’ai jouie comme une folle
Moi : woao c’est vrai ?
Karine : oui je te jure, incroyable
Moi : et ensuite ? Vas y tu as commencé tu termine
Karine : ensuite je l’ai branlé hihi
Moi : ohhhh jusqu’à la fin ?
Karine : oui oui hihihi ça n’a pas durée longtemps, mais j’étais trop fier de moi
Moi : j’imagine oui, et elle est comment ? Si ce n’est pas indiscret
Karine : hmmm de bonne taille je dirais, je ne peux pas vraiment comparer
Moi : je comprends oui, je ne veux pas que ma question te gêne
Karine : non ne t’inquiète pas, je partage tout avec toi (en me faisant un clin d’oeil)
Moi : tiens je crois que les garçons sont réveillés

En effet, on entend la porte de la salle de bain se fermer, je me lève aussi pour m’habiller et avec Karine on se dirige vers la terrasse pour prendre le petit déjeuner et nous sommes vite rejoins par les garçons. Mamie est assise avec nous, elle aime parfois nous rejoindre à table pour parler, écouter nos histoires. Mais ce que me racontait Karine dans la chambre commençait limite à m’exciter, j’ai toutes ces images en tête qui tourne, et honnêtement je n’arrive pas à me calmer au milieu de tout le monde.

Je ne sais pas ce que me réserve cette journée encore, mais j’espère vraiment pouvoir calmer ce désir qui grandit entres mes jambes …
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