chapitre 104 image
Le reste de la soirée, je la passe avec ma mère, lui racontant mes retrouvailles avec Estelle, mais surtout le mal qu’elle a pu ressentir. Elle le sait déjà très bien, car elle a pu lui parler en attendant que je rentre.

En tout cas ma mère est contente pour nous deux, que nous avons pu nous retrouver, je lui parle déjà du week-end prochain, de notre soirée prévu, combien j’ai hâte.

Je lui demande également comment s’est passé sa petite sortie avec Christine, elles ont pas mal parlés, d’elle de ses rencontres, du mal de tomber sur le bon, mais que le plaisir est tout de même présent, enfin avec certains hommes.

Du côté de ma mère il y a un peu de nouveau, elle s’est remise sur le site de rencontre, elle avait énormément de messages en attentes. Elle a prit de le temps de tous les lires, certains ne semblait pas du tout intéressant, au vu du peu de contenu dans le message.

Il y a aussi le profil de certains qui n’est pas du tout à son goût, puis d’autres sortent du lot, se démarquent par une description intéressante. Elle a donc répondu à certains hommes qui lui plaisent physiquement, et qui savent avoir une manière particulière de l’aborder.

Malheureusement certains hommes n’ont pas encore donné de suite à ses messages, peut-être un profil crée sans réel attente, ou alors qu’ils ont déjà trouvé une femme avec qui passer du temps. La liste s’est donc très vite réduite, trois hommes restent en course, lui parlant depuis le début de la semaine.

Elle attend patiemment de mieux faire connaissance par message avant une réelle rencontre. En tout cas, je suis contente pour elle, d’être charmée à nouveau par des hommes. J’ai bien sûr eu le droit de détailler chaque profil pour lui donner mon avis, mais après, les goûts et les couleurs, ça ne se discute pas.

Toutefois, je lui fais savoir qu’ils ont l’air très bien en voyant leurs photos, et la description de chacun.

Le reste de la soirée ainsi que le week-end en général se passe normalement. De mon côté je suis restée dans ma chambre à envoyer des textos à Guillaume, qui au passage est soulagé que mon histoire avec Estelle se soit améliorée.

Suite à la rencontre du père de Guillaume, mon chéri a eu le droit à un petit interrogatoire, à savoir déjà ce que je faisais chez eux, puis tout une panoplie de questions. Je lui dis que je me suis vraiment senti mal à l’aise pendant cette courte rencontre, mais que je comprends tout de même son étonnement à mon sujet.

J’espère en tout cas ne pas lui avoir apporté trop d’ennuis avec son père, déjà que d’après Guillaume, l’ambiance n’est pas folichonne.

Nouvelle semaine pour moi, réveil, petit déjeuner, la douche et go. Je suis en forme, contente de retrouver tout le monde, et cette fois-ci je ne passe pas tout mon temps dans les bras de mon chéri. Je ris avec mes amis, prenant le temps de parler d’un tas de choses.

Pour le coup, mes journées se déroulent autrement, au déjeuner nous mangeons tous ensemble, mais après, nous n’allons pas nous isoler dans notre coin habituel, non, nous restons avec nos amis. C’est la même chose après les cours, lorsque nous sortons du collège, nous restons un bon moment à nous parler avant de rentrer chacun chez soit.

Les jours passent, ce mercredi une nouvelle fois, Guillaume va travailler sur le projet de groupe avec Charles, me laissant du temps pour me balader avec mes amis. N’ayant rien prévu de spécial, nous allons juste trainer un peu dans la ville, mais aussi se mettre d’accord sur notre week-end, et ce que l’on pourrait faire.

Alors nos idées sont déjà toutes faites, une journée centre commerciale, puisque Estelle n’y a pas été depuis un long moment, pareil pour moi. De plus, j’ai dans l’idée de trouver quelque chose de spécial pour faire plaisir à mon chéri.

Donc c’est parti pour le centre commercial et un cinéma. Les films à l’affiche intéressent beaucoup Kévin, notamment Transformers 2, Watchmen et autres qui font clairement partis de son univers. Nous nous mettons d’accord pour un film ce week-end qui lui fera plaisir.

Comme pour le reste de la semaine, les journées de jeudi et vendredi sont plutôt vite passées. Je me rends compte qu’à défaut de passer du temps avec mes amis, je n’ai pas profité une seule fois de mon chéri.

Après les cours, pendant qu’il me raccompagne, je lui demande si je ne le délaisse pas trop à présent ?

Guillaume : non au contraire, je suis content que tu ais pu retrouver tes amis
Moi : oui mais pour le coup, pas une seule fois nous nous sommes retrouvés seuls
Guillaume : ce n’est pas grave, j’ai pu passer du temps avec Charles et Jonathan aussi, mais je t’avoue que j’ai eu peur que toute cette histoire entre Estelle et toi soit de ma faute
Moi : non retire toi cette idée de la tête, c’est uniquement ma faute, et de plus elle ne t’en veut pas du tout

Nous arrivons en bas de chez moi, ma mère ne rentrera pas avant un moment, puisqu’elle ira directement à la zumba après le travail, ce qui nous laisse largement le temps d’en profiter.

Je lui souffle mon idée à l’oreille en affichant un très large sourire, et son désir ne tarde pas à pointer.

Nous montons alors les escaliers rapidement jusqu’à nous retrouver dans l’appartement. De là Guillaume me soulève totalement du sol pour me prendre dans ses bras. Je suis surprise et en rire en même temps.

Il me porte jusque dans mon lit, où il m’allonge puis commence à m’embrasser. J’adore cette fougue qu’il a, ce désir hardant, il est tellement beau quand il est comme ça. Très vite nos vêtements se retrouvent au sol, nous sommes entièrement nus à nous embrasser, nous caresser.

Guillaume vient se positionner entres mes jambes, puis il descend doucement, jusqu’à ce que sa bouche soit en contact avec mon intimité. Quel plaisir de ressentir sa langue jouer avec mon petit bouton, cela fait plus d’une semaine je crois que nous n’avons rien fait.

Je m’en veux beaucoup, mais je vais me rattraper de suite. Pendant qu’il me lèche, mon corps n’arrête pas de bouger, je gémis très fort. Il n’y a personne pour nous entendre, donc je me lâche complètement.

Tout en continuant de me lécher, Guillaume vient rajouter ses doigts à son œuvre. Il les fait glisser en moi tout doucement, pendant que sa langue s’occupe toujours de mon clito.

Moi : huuum, oh oui… continue… continue
Guillaume : …
Moi : hummm ta langue est tout simplement parfaite, hummm
Guillaume : …
Moi : hummm oui, oui, je viens, je… hummm, ahh, AAAAhhhhh, AAAAAhhhh

Je me cambre complètement, suite à cette vague de plaisir qui parcourt mon corps. Je stop Guillaume, sinon il est capable de continuer de me lécher pour me faire crier de nouveau, mais mon clito est trop sensible.

Mon chéri affiche un large sourire, fier de m’avoir fait jouir avec sa langue. Je me redresse pour venir m’occuper de lui, mais il m’attrape par les jambes pour me tirer vers lui, me faisant basculer en arrière dans un cri d’étonnement.

Guillaume : pardon mon cœur, laisse moi faire, ok ?

A vrai dire je n’ai pas le temps de lui répondre qu’il représente déjà sa langue sur mon sexe encore sensible. Guillaume me bouffe littéralement la chatte, de manière bestiale, je suis complètement surprise, mais woao, qu’est-ce que j’aime.

Je me laisse aller, bien que mon clito soit très sensible, à chaque coup de langue de mon chéri, j’ai comme un coup de courant. La sensation au début est un peu douloureuse, puis très vite le plaisir refait surface.

Je ne peux qu’être spectatrice, ou alors victime de ce plaisir que me donne mon chéri. Très vite mon clito gonfle à nouveau, au point de ne plus supporter toute cette attention. Puis dans un long cri raisonnant, je décharge toute ma jouissance.

Je suis à bout de souffle, l’esprit ailleurs, ma vision est comme troublée, mon cœur bat fort. Apparemment Guillaume souhaite recommencer encore une fois, cette fois-ci, je l’arrête net, sinon, j’aurais sans doute le bassin anesthésié à ce rythme là.

Sans dire un mot, Guillaume se penche vers ma table de nuit pour en prendre une capote, puis la glisse sur son sexe tendu. Je suis toujours un peu perdue, essoufflée alors que mon chéri s’introduit en moi.

Moi : hummm, oh oui, prend moi

Aussitôt Guillaume s’emballe, il retrouve ce côté sauvage, mais qu’est-ce qui lui arrive ?

Mais je ne l’arrête pas, je ne peux pas, je ressens tellement de plaisir dans sa manière de faire. Il m’attrape les jambes par les chevilles en les écartant en grand et bien haut, puis il me donne des coups de bassin rapide et sec.

Je ne peux que fermer les yeux, et gémir à chaque coup, gémir de plus en plus fort comme transportée par ce que je ressens en moi. Son sexe glisse parfaitement, je mouille beaucoup, et sa colonne de chair s’introduit parfaitement jusqu’à ce que je ressente ses couilles venir taper contre mes fesses.

Guillaume continue sur sa lancée, en gardant ce rythme brusque pendant de longues minutes, puis soudainement il bascule mes jambes sur le côté en ce retirant. Je me retrouve tout à coup en levrette, positionné par mon chéri, il présente sa queue sans plus attendre à l’entrée de mon vagin.

Mes lèvres sont déjà bien ouvertes, et pourtant je sens son sexe s’introduire, les écarter puis venir taper au fond de mon vagin. Une sensation de douleur et de plaisir se mêlent et ce font entendre dans mes gémissements.

Ma tête posée sur mon oreiller, tandis que mes fesses, elles, pointent vers le haut. Je ressens de nouveau ce même plaisir que la dernière fois, celui de me laisser complètement aller, soumise à cette douleur, ce plaisir.

Je n’en peux vraiment plus, et je pense que c’est la même chose pour mon chéri, au vu de ces gémissements. Je sens que je vais bientôt venir aussi, alors je veux qu’il donne tout ce qu’il a.

Moi : Oh oui mon cœur, AAAhh continue…
Guillaume : tu aimes ?
Moi : OOOh OUI, j’aime  ÇA !!!
Guillaume : je vais…
Moi : Moi aussi, je… je vais…. JE VAIS

Sans plus tarder, nous gémissons ensemble dans un terrible cri, un long et puissant cri, jusqu’à en perdre l’équilibre et nous affalés sur mon lit. Je respire comme je peux, le cœur battant à une vitesse, tandis que je ressens le sexe de mon chéri qui palpite encore dans mon vagin.

Dans mon corps je ressens comme des milliers de fourmis, tandis que je ne peux plus parler, ni même bouger, je suis achevée…
CE SITE A ÉTÉ CONSTRUIT EN UTILISANT