chapitre 86 image
Après un moment à être restés tous les deux allongés, s’embrassant, et parlant de nos ressentis, Guillaume se lève, retire le préservatif avant de ne remettre que son caleçon. De mon côté, je prends simplement un T-shirt pour me couvrir puis nous allons tous les deux dans la cuisine.

Nous avions tellement envie l’un de l’autre que nous avons complètement zappé de manger. Et après un tel moment, nos ventres commencent à crier famine.

Me voila dans la cuisine cherchant de quoi manger, des pattes, non, une purée, non plus. Je regarde ce que je peux faire, puis je me décide pour des croques monsieur. Guillaume est tout à fait d’accord, puis vient à mes côtés pour m’aider.

Nous nous taquinons tous les deux pendant que nous préparons les croques monsieur. Guillaume me met du beurre sur le bout du nez avant de venir le lécher, puis m’embrasser. J’adore ce moment, je le trouve tellement mignon que je ne peux m’empêcher de prendre plusieurs photos, nous nous amusons tous les deux, en prenant des poses, en tirant la langue et autres.

Une fois notre repas prêt, nous devenons plus sage, le temps de savourer nos croques monsieur. Je dois dire que le sexe nous a mis en appétit, nous en avions préparé plusieurs, et heureusement, vu que nous avons tout mangé.

Une fois terminé, nous débarrassons, en n’oubliant pas de nettoyer nos bêtises faites pendant la préparation. Guillaume se propose de faire la vaisselle, pendant que je m’installe dans le canapé.

J’allume la télé, il n’y a rien de vraiment intéressant, Guillaume finit, puis il me rejoint. Nous discutons de tout et de rien, refaisant le monde à notre façon, allongés tous les deux l’un contre. Nous prenons le temps de faire quelques photos encore, nous sommes tellement amoureux, ça se voit dans nos regards, dans nos gestes.

Je savoure ce moment tant désiré entres nous, cet après-midi que nous passons presque nu, à nous embrasser, tout en se disant « je t’aime »

Petit à petit, notre désir se réveil, nos corps se chauffent, devenant bouillant. Notre façon de s’embrasser devient plus intense, Guillaume se place au dessus de moi, puis enfoui sa tête entre mes jambes.

Sa langue ne tarde pas à venir se poser sur mon intimité, me léchant de toute part. J’adore vraiment ça, sa façon de s’occuper de moi, le son qu’il émet en me faisant du bien. Je laisse paraître mes gémissements sans craintes, il n’y a personnes à part nous.

Tout en me léchant, Guillaume vient à introduire deux doigts en moi, la sensation de plaisir ne fait que se décupler. Je ressens ses mouvements de vas et viens dans mon vagin, tandis que sa langue joue avec mon clitoris.

C’est complètement fou, ressentir tout ce plaisir en moi, me fait gémir encore plus. Je n’arrive plus à me contenir, je sens mon plaisir venir se concentrer en un point précis. Un point que je connais très bien, depuis toutes mes masturbations. Je me concentre pour retenir ce plaisir au maximum, afin qu’il n’en soit plus grand lorsque je le laisserais s’échapper.

Je suis au bord du gouffre, prête à sauter, à me libérer, à me laisser crier de plaisir. Sa langue, ses doigts vont de plus en plus vite, j’y suis, je relève mes jambes, et dans un dernier gémissement, je sens mon corps se contracter, puis relâcher tout le plaisir que j’ai pu accumuler.

C’est tellement bon, tellement fort comme sensation, mais Guillaume n’arrête pas, je me tords dans tous les sens, essayant de le pousser même avec mes mains. Mais il reste accroché, mon clitoris est devenu très sensible, et pourtant il continue de jouer avec, de le titiller.

Je ne cesse de gémir, mon clitoris n’en peut plus, je lui demande d’arrêter encore, mais rien y fait. Puis sans prévenir, je ressens mon corps se contracter de nouveau, dans une jouissance tellement forte, que mes cris ont raisonnait dans tout l’appartement.

Si un voisin passait à ce moment là devant la porte, il aurait de suite compris que la fille qui habite ici vient de jouir. Mais peu m’importe, que quelqu’un m’entende ou non, je suis prise dans une telle jouissance que je continue de gémir, dans un souffle court, saccadé, pendant que mon corps convulse à n’en plus finir.

Il me faut pratiquement cinq minutes avant que je ne puisse reprendre le contrôle. Heureusement pour moi, Guillaume a cessé de jouer avec mon bouton. Il est devenu si sensible que le simple fait de sentir le souffle de mon chéri dessus, me donne de légers coups de courant dans le bassin.

Mon chéri finit par remonter vers moi, m’embrassant au passage mon ventre, mes seins, puis mes lèvres. Je bois mon plaisir encore présent sur ses lèvres, un goût que j’aime à présent, doux, sucrer, unique.

Je regarde mon chéri dans les yeux, je lui dis combien il m’a fait plaisir, combien j’ai jouie, et surtout combien je l’aime.
Il me sourit, satisfait de m’avoir fait jouir ainsi, malgré que je lui dise d’arrêter. Je n’ai toujours connus qu’une jouissance après l’autre, laissant entre deux, un temps pour me reposer. Mais atteindre deux orgasmes à la suite, avec tant d’intensité, je dois dire que je suis complètement déboussolée.

Je prends encore un peu de temps pour me remettre de mon état, tout en savourant le moment, en l’embrassant. Puis ayant retrouvée mes esprits, je me lève prenant Guillaume par la main, afin de nous diriger vers ma chambre.

Une fois dans mon lit, je monte sur mon chéri, plaquant ses mains au dessus de sa tête. Je ne sais pas ce qu’il peut avoir en tête encore, alors je l’immobilise, pour à mon tour lui faire ce que je veux. Il rigole en essayant de se débattre, me disant que ce n’est pas du jeu. Mais vu qu’il n’a pas voulu m’écouter tout à l’heure quand je lui ai demandé d’arrêter, alors je ne l’écoute pas non plus.

Je descends mon corps, en saisissant son caleçon pour l’envoyer dans un coin de la pièce. Puis sous mes yeux, je vois son sexe bander. Je deviens alors comme une tigresse me jetant sur son sexe, pour le mettre en bouche. Je suis remplie de désir, un désir fou de sexe, un désir de faire crier Guillaume.

Et je suis satisfaite, dès les premières secondes j’arrache à Guillaume des gémissements. Il n’en revient pas de la fellation que je suis en train de lui prodiguer. Je suis comme affamée, absorbant son sexe comme une furie.

Mes vas et viens sont rapide, je tente même par moment de la mettre tout au fond. Ma main également vient saisir son sexe de façon forte et rapide. Ce qui ne manque pas de faire de l’effet à mon chéri, mais je ne compte pas en finir comme ça, non.

Je voulais surtout l’exciter au maximum, pour ce qui va suivre. Je suis fière de moi, d’avoir pu dresser cette colonne de chair à son maximum. Je vois son sexe gonflé, le gland très gros et rouge de désir, tandis que je saisie une capote, dans ma table de chevet.

J’ouvre l’emballage, puis j’applique avec précaution ce petit bout de plastique sur la queue de mon chéri. Avec beaucoup d’application, je réussi à le mettre, toute contente, je viens me positionner au dessus de son sexe, puis doucement, j’abaisse mon bassin.

Je ressens chaque centimètres de son sexe me pénétrer, tandis que je vois dans le regard de Guillaume toute la surprise du moment. Je descends encore, jusqu'à que son sexe soit entièrement en moi, et je dois dire que j’aime vraiment ça. J’aime cette position, j’ai le contrôle sur tout, la pénétration, le rythme, je suis maitresse de ce moment.

C’est la première fois pour nous encore une fois, une nouvelle position, un nouveau ressentis, Guillaume se laisse totalement faire, pendant que moi, je commence à bouger. Mes premiers mouvements ne sont pas bons, je prends le temps de comprendre, de ressentir les choses.

Puis peu à peu, tout devient clair, je commence à trouver le bon rythme, la bonne position. Je ressens tout dans les moindres détails, son sexe sur lequel le mien coulisse, mes fesses qui viennent se poser sur ses cuisses, ressentant par la même occasion ses boules. Ma respiration se synchroniser dans ma descente, mes mains posées sur son torse, ressentant chaque battements de son cœur.

Mes mains quittent son corps, pour se saisir de mon T-shirt, afin de le retirer. J’aime mes sentir nue, sentir ma poitrine qui bouge, sous les yeux de Guillaume. Je ne veux pas qu’il bouge, je le plaque au lit, lui passant le message, que c’est moi qui décide, qui contrôle.

Mon bassin bouge à présent dans un rythme plus soutenu, par moment je me lève un peu plus, savourant son sexe, glissé de tout son long dans mon vagin. Je ferme les yeux, tous mes sens sont en éveil, du bout des doigts, je perçois la chaleur de son corps, les battements de son cœur. Sur mes hanches ses mains chaudes me caresser la peau, puis elles viennent soutenir mes seins dans leur danse.

Je ressens également des frissons me parcourir le corps, commençant par mes cuisses, mes fesses, suivi de ma colonne, mon cou, puis mes joues. Ce frisson qui me parcoure, s’échappe par ma bouche comme un gémissement chaud, et long.

Je me mords les lèvres, montant, puis descendant le long de son sexe. Cette position me permet de tout contrôler, de tout ressentir, mais également de me concentrer sur mon plaisir. Un plaisir qui ne cesse de grandir en moi, un plaisir que je ressens à présent nettement, se réfugier au creux de mes reins.

Les gémissements de Guillaume m’emportent également, je suis à son écoute, calant mon rythme sur le son qui sort de sa bouche. A l’intérieur de moi, je sens ce sexe, me remplir, me combler, frottant entièrement sur ma paroi vaginale, pour venir se loger tout au fond de moi.

Appuyant comme sur un point, dans mon intérieur, un point qui devient plus sensible au fur et à mesure de la pénétration. Je cherche à découvrir quel est cette sensation, quel est ce point en moi, je me concentre dessus. Ma main vient se poser sur mon ventre, je sais que de l’autre côté de ma peau, à l’intérieur de moi, ce sexe me rempli complètement.

Ma main posé sur mon ventre cherche à comprendre d’où vient ce point, doucement elle descend, puis comme une évidence, mes doigts se pose sur mon petit bouton. C’est comme un choc électrique pour moi, un autre frisson me parcoure.

Je me touche à nouveau, mon plaisir fait une monté net, je repense à ce qui s’est passé il y a quelques minutes dans le salon. Lorsque Guillaume me léchait le clito, et qu’il me pénétrait de ses doigts en même temps.

Je ressens pratiquement la même sensation, mais en plus développé. Son sexe que j’introduis en moi, à mon rythme, au plus profond, puis mes doigts qui viennent jouer avec mon clito. C’est, incroyable, merveilleux, le plaisir que je peux ressentir là.

Ce point à l’intérieur de moi est encore plus sensible, tout comme mon clito, que je touche. Mon plaisir qui ne fait que grandir, ce frisson qui devient de plus en plus intense. Je continue de fermer les yeux, pour me concentrer, resté à l’écoute de mon corps et des moindres sensations.

Dans nos gémissements qui occupent toute la pièce, Guillaume me dit qu’il va bientôt jouir. Ces mains agrippent de nouveau mes hanches, la chaleur de celles-ci ne fait qu’augmenter mon plaisir. Je le sens, je sens ce plaisir arriver, atteindre un point encore inconnu.

Moi : oh, oh, humm, je vais… je vais jouir… attends encore un peu…
Guillaume : humm, ok, vas y

Sans plus attendre, je me laisse entièrement aller, j’accélère le rythme, aussi bien de mon bassin que de mes doigts sur mon clito. Je me mords les lèvres, tandis qu’à l’intérieur de moi, je sens cette chaleur devenir plus grande. Son sexe semble si profond en moi, plus besoin de chercher, de me concentrer, tout devient clair, limpide.

J’atteins un point encore jamais exploré, mon plaisir arrive à son paroxysme, puis c’est à ce moment là, en entendant Guillaume gémir de toute ses forces, en ressentant son sexe se gonfler en moi, que je me libère totalement, dans un cri encore plus fort que les précédents.

Entre mes jambes, un frisson si fort se crée, se propage à travers tout mon corps que j’en perds l’équilibre, dans un dernier cri, j’ouvre les yeux. A cet instant, tout paraît suspendu, sourd, j’ai l’impression de flotter, de voler dans les airs.

De mon vagin, en passant par ma colonne, ma poitrine, mon cou, je peux ressentir des milliers de pulsations m’envahir. Puis dans un retour à la réalité, une descente, une chute de tout mon être, pour venir m’affaler tout contre Guillaume.

Tout paraît si calme de nouveau, ma respiration est encore rapide, saccadée, celle de Guillaume l’est également. Petit à petit, je retrouve quelques sensations dans mon corps, je peux alors ressentir le sexe de mon chéri, qui trésaille encore dans mon vagin.

Vraiment, j’adore, je ne pensais pas que ça pouvait être aussi bon, de jouir ainsi. Je n’arrive pas encore à y croire, et pourtant je viens de le faire, je viens de vivre cette jouissance absolue. Tout mon être est encore lourd, dépourvu de sens pour certaines parties, comme mes jambes, mes bras.

Je n’ai plus du tout de force, seule notre respiration se fait entendre au milieu de ma chambre. Nous allons restés là, encore quelques minutes, avant de pouvoir s’enlacer, s’embrasser. Ce moment nous le savourons dans un silence absolu, un plaisir immense, partagé entre deux êtres nus, s’aimant d’une seule et même façon.
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