chapitre 138 image
Lorsque je me réveille ce matin, je suis vraiment dans le brouillard, les yeux collés, je tente de trouver mon téléphone pour voir quel heure il peut-être.

Je tends mon bras, trouve du bout des doigts mon téléphone, en regardant l’écran, je constate qu’il est déjà 11H. Dans ma tête je tente de me souvenir un peu de ma soirée.

Ça me revient, après le départ de ma mère, je me suis accordée un bon et long bain chaud, dans lequel je me suis totalement détendu. Où j’ai aussi pris soin de mon corps, un petit rasage, une crème pour la peau et après être resté près de 1 heure dedans à écouter de la musique, chanter et autres, Je suis sortie de la baignoire pour me sécher.

Je n’avais pas très envie de m’habiller ce soir, alors je suis restée en serviette, me baladant dans tout l’appartement ainsi. Je me suis dis, qu’après ce qui s’est passé au cinéma, ce n’est vraiment pas grand-chose que de se balader à moitié nue chez moi.

J’ai sorti de quoi manger, je me suis faites mon assiette, puis me suis installée devant l’ordinateur. Je restais là, plongée dans des vidéos et post de FB en envoyant des bêtises à mes amis, mon chéri, mais aussi ma cousine.

D’ailleurs j’ai beaucoup parlé avec Karine, lui disant que j’étais seule, que ma mère était sortie pour la soirée. On s’est donné plusieurs nouvelles, des ses parents, son frère, ou encore nos grands parents.

Je lui ai raconté d’ailleurs ce qui s’est passé avec Youssef et Mehdi. Sa première réaction a été de me demander comment je me suis sentie, s’inquiétant pour moi. Je l’ai rassurée puis nous avons longuement parlés sur ce que Youssef m’a dit.

Puisqu’apparemment, certains garçons de ma classe ou autre, me trouve « bonne ». Alors là, c’était le débat, parce que oui, pour eux c’est peut être une sorte de compliment, mais pour moi à ce moment là, je me suis vraiment sentie mal. Mehdi l’a d’ailleurs très bien dit, c’est limite insultant.

Karine m’a taquiné avec Mehdi, me disant qu’il avait l’air mignon dans son comportement envers moi, que j’en ai beaucoup parlé. Bref elle ne m’a pas du tout lâcher de la soirée après cette histoire. Mais elle sait très bien que je suis follement amoureuse de mon chéri.

Donc un débat qui a vraiment duré, puisque Karine ne voit pas cela comme une insulte, ou du moins ça dépend de la façon ou de la personne qui le dit.

En repensant à tout ce que ma cousine m’a dit hier, j’ai eu matière à réfléchir, j’ai eu son point de vue. Je suis d’accord en partie avec elle, si par exemple, c’est mon chéri qui me le dit, lors d’un rapport ou autres, c’est quelque chose qui peut être excitant.

Mais venant d’une personne que l’on ne connait pas du tout, ou que l’on fréquente très peu pour moi c’est non.

Par contre ce que je n’ai pas dis à ma cousine hier soir, c’est que ça m’a fait bizarre, car après ça, j’ai cherché le regard de Youssef, j’ai peut être cherché à savoir combien il me trouve bonne ?

Non, ça peut pas être ça, je ne suis pas un morceau de viande que l’on juge bon de consommer ou non.

Ce n’est vraiment pas terrible de me réveiller en pensant à ce genre de chose, j’ai l’impression d’être en colère pour rien. De plus, ma tête est encore lourde. Dans l’appartement il n’y a aucun bruit, c’est vrai j’oubliais.

Ma mère m’a envoyé un message dans la soirée, pour me dire qu’elle ne rentrerait que le lendemain. J’en connais une qui a dû s’amuser toute la nuit. Mais je crois qu’elle n’était pas la seule à avoir eu du plaisir hier soir. Cela me revient maintenant, surtout en voyant que je suis nue dans mon lit et que mes draps semblent tâcher.

C’est drôle, cela fait un bon bout de temps que je ne m’étais pas masturbée, étant complètement comblée avec mon chéri, je ne cherchais plus du tout à me toucher. Ce qui est drôle aussi, c’est que je me suis touchée en pensant à ma mère hier soir, l’imaginant faire l’amour. Alors que ça fait très longtemps que je n’ai plus cherché à la voir se masturber.

Nous sommes toujours très libre toutes les deux pour parler de sexe, de ce que nous avons fait et autres, mais ni l’une ni l’autre n’a cherché à renouveler ce petit jeu entre nous. Je me demande bien ce qui a pu changer.

Il est pratiquement midi lorsque je me décide de me lever, j’ai les jambes complètement HS, j’enfile un T-shirt pour m’habiller, puis je vais vers la cuisine pour me prendre un petit déjeuner. Aujourd’hui je ne sais vraiment pas quoi faire à part rester allongée telle une larve devant la télé jusqu’au retour de ma mère.

Après une sieste ou deux toujours dans le canapé, j’entends les clés dans la serrure. Il est 18H30 lorsque ma mère rentre enfin. Elle dépose son sac dans la cuisine, elle n’est plus du tout coiffée de la même façon que lorsqu’elle est partie et le léger maquillage n’y est plus. En tout cas, elle me rejoint avec un grand sourire, tout en venant déposer un bisou sur mon front, s’excusant au passage de ne pas m’avoir envoyé de message ou m’avoir appelé, pour me dire qu’elle rentrait tard.

On se regarde toute les deux, se souriant, puis je me soulève pour qu’elle puisse s’installer à côté de moi. Je ne peux pas du tout lui en vouloir pour ça, elle était avec son prétendant, c’est tout à fait normal. Elle me demande naturellement comment s’est passé ma soirée, ainsi que ma journée. Je n’ai presque rien à lui raconté, puisque je n’ai pas fait grand-chose.
 
Par contre, de son côté, elle a beaucoup de choses à me raconter et quoi de mieux que notre petit rituel pour se dire toutes ces choses. Nous allons dans la salle de bain, parlons un peu pendant que l’eau coule.

Une fois installées, je suis attentive à tout ce qu’elle me raconte. Comme à chaque fois, ce Marco semble très bien s’en sortir, un bon restaurant, des discutions très variées et toujours intéressantes, à la fois sur la vie personnelle, les souvenirs, les projets futurs et autres.

Ma mère semble toujours ravie de ces rencontres avec Marco, elle est pour moi totalement sous le charme. Elle m’en parle toujours avec un grand sourire et avec tout ce qu’elle me dit sur lui, j’ai l’impression de déjà le connaître avant même de l’avoir rencontré.

Après le dîner, ils ont fait comme à leur habitude, ils ont marchés un moment, se promenant main dans la main, tout en riant à des anecdotes. Peu à peu, l’excitation se faisait sentir, ils s’embrassent, se caressent légèrement avant de rentrer.

Ma mère me charrie un peu en me disant que ce qui suit est réservé aux adultes. Pour le coup, je réagis en lui envoyant de l’eau au visage, elle en rit et fait de même. On joue toutes les deux dans la baignoire, nous avons l’air de deux gamines innocentes, envoyant de l’eau partout.

Nous finissons par nous calmer, sinon il y aura plus d’eau en dehors que dans le bain lui-même. Je reste au plus près d’elle, ma tête posée sur mes genoux à l’observer droit dans les yeux. Elle dépose alors un peu de mousse sur mon nez, puis commence à me raconter la suite.

Il était encore plus entreprenant que la première fois et pour ma mère, cela lui convenait parfaitement. Ils avaient passé la semaine à se retenir l’un pour l’autre, tout en se chauffant par le biais de textos. L’excitation était alors à son comble et le résultat était là.

Marco était chaud bouillant, il s’imposait vraiment, prenant les choses en main du début à la fin. Ma mère s’est alors sentie comme une poupée, à qui il pouvait tout faire, une poupée à la fois facile à manipuler et fragile.

Elle se sentait si bien entres ses mains, entres ses bras si fort. Toute la nuit, elle s’est faite retourné, encore et encore, soulevé comme si elle ne pesait rien. Ils ont fait l’amour dans le salon, après avoir finit, ils ont pris un verre d’eau dans la cuisine, où ils ont remis ça. Enfin ils sont arrivés dans la chambre dans laquelle ils n’ont cessés de gémir de plaisir, jusqu’à ce qu’ils soient vraiment épuisés.

Après cette nuit à faire l’amour dans à peu près toutes les pièces de l’appartement, ils ce sont endormis, satisfait, le sourire aux lèvres. Ma mère comptait vraiment revenir chez nous une fois réveillée, mais là encore, une envie irrésistible se faisait sentir.

Elle-même n’en revenait pas, Marco semblait inépuisable. A peine réveillés, ils ce sont embrassés, caressés, excités au point de faire l’amour deux fois de suite. A ce moment là, elle le savait déjà qu’il serait difficile pour elle d’abandonner Marco aussi vite. Elle voulait prendre son téléphone pour m’envoyer un message, mais l’homme avec qui elle était ne lui laissait pas un moment de répits.

Ils venaient tout juste de faire l’amour, mais Marco était très joueur. Apparemment il est très doué de ses mains, ainsi que sa langue et donc, pour se reposer, reprendre des forces, il s’occupait volontiers de ma mère. Elle n’en pouvait plus du tout, de jouir encore et encore. Son corps en sueur, son souffle court, ses jambes tremblantes, elle se demandait comment tout cela était possible.

Elle ne pensait sans doutes jamais trouver un homme comme ça, et pourtant c’est bien le cas. Après tout le plaisir que son corps avait enduré, elle s’est endormie pendant environ une heure durant laquelle Marco avait préparé de quoi manger.

A son réveil, il était à ce moment là l’homme parfait, bellâtre en tenue d’Adam apportant le déjeuner au lit. Elle était affamée après tout ce qu’elle venait de vivre. Ils ont parlés longuement, ils ont rit puis ce sont amusés à se chatouiller comme des enfants, avant qu’elle n’essai de fuir en courant toute nue dans l’appartement.

Cela a duré quelques minutes, avant qu’il ne puisse mettre la main sur elle, l’immobiliser pour l’embrasser à nouveau. Encore une fois, ils ont fait l’amour, se laissant emportés tout deux à des gémissements libre, exposant au monde leurs plaisirs.

Ce rapport là était différent à bien des égards. Après avoir joués tous les deux, ils ce sont attrapés dans le salon, l’atmosphère était brûlante. Très vite les caresses ce sont enchaînés, les corps ce sont attirés mais autour d’eux, il n’y avait pas de protections. Ils ce sont laissés aller, faisant l’amour sans préservatifs.

Elle ressentait alors mieux les choses, sa colonne de chair aller et venir en elle. De plus, après avoir fait tant de fois l’amour, Marco était sur ce coup là bien plus endurant. Et pour couronné le tout, ils ce sont tous les deux attrapés près d’une fenêtre donnant sur la rue, un léger voile blanc se tenait entres eux et le monde.

Ils ont fait l’amour ici, devant la fenêtre, leurs regards pouvaient percer au travers du tissu fin, mais pas l’inverse. Au moment où ma mère se tenait contre la fenêtre, les mains sur les rebords à gémir de tout son être, une main vint saisir le rideau pour l’ouvrir complètement.

A cet instant tout s’embrouillait dans la tête de ma mère, elle se sentait si vulnérable ainsi exposée à la vue de tous, mais en même temps elle était excitée. L’appartement est au quatrième étage, donnant sur la rue, sans avoir de vis-à-vis direct.

Si un passant levé les yeux, il aurait pu voir la poitrine nue d’une femme, s’appuyant contre la fenêtre et n’aurait aucun mal à comprendre ce qui se passait là. Elle était complètement excitée par l’idée, se faisant culbutée sauvagement, ressentant le sexe de Marco taper plus fort.

Puis il la colla contre la vitre, sa poitrine s’écrasant contre celle-ci, son visage venant se plaquer aussi. Elle pouvait apercevoir dans l’immeuble d’en face, mais plus bas, un homme chez lui, confortablement installé devant la télé.

Son plaisir à ce moment là était totalement décuplé, elle se laissait aller à des gémissements en plus fort, comme pour se faire entendre. Espérant sans doute au plus profond d’elle que cet homme la remarque bien qu’elle n’ose l’avouer.

Marco était très endurant, il ne ménageait plus du tout ma mère, donnant tout ce qu’il avait. Sous les coups de boutoirs, elle avait déjà jouie deux fois. Son corps n’en pouvait plus, elle disait à voix basse d’arrêter, mais elle me l’avouait elle-même. Elle disait cela sans même être convaincu qu’elle voulait que ça s’arrête.

Elle disait cela tellement doucement que Marco n’avait rien entendu à part les gémissements de ma mère, alors que son corps se tendait vers l’arrière, invitant l’homme avec qui elle faisait l’amour à continuer du plus belle.

Elle était là, exposée depuis plusieurs minutes à gémir, ses jambes ne la tenaient plus, mais Marco la soutenait dans ses derniers efforts jusqu’au moment de jouir en elle. Et c’est ainsi, offerte à la vue de tous, qu’elle ressentait aussi un orgasme si intense, qu’elle avait libéré un liquide venant couler sur ses cuisses, puis s’étaler au sol.

Cette jouissance les avaient terrassés tous les deux, Marco venant se plaquer lui aussi contre ma mère, s’embrassant un instant, avant de chercher leur souffle et s’affaisser.

Ils étaient tous les deux allongés, respirant fortement tout en cherchant à reprendre leurs esprits. Cet orgasme était si fort qu’ils n’ont pas eu la force de se relever. Ils sont restés là, allongés au sol, jusqu’à s’endormir complètement.

Lorsqu’ils ce sont réveillés il était déjà assez tard, ma mère rassemblait alors ses affaires, en s’excusant auprès de Marco de devoir partir aussi vite. Bien sûr il comprenait totalement, il l’aidait puis la raccompagnait à la porte.
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