chapitre 127 image
Humm une nuit de sommeil comme je les aime, je me réveille en douceur, prenant le temps d’apprécier encore mon lit, sans avoir besoin de me brusquer pour aller en cours.

Pourquoi est-ce que ma première pensée est les cours ?

Je dois dire que je ne sais même plus ce qui s’est passée cette nuit, tellement mon esprit est encore vague. Je m’étire un peu et oh, ma main vient buter contre, mon chéri ?

Woa, je suis tellement ailleurs que j’oubliais ma nuit passée, mais maintenant que j’ouvre les yeux, je me rappelle. Ma chambre est encore sombre, la lumière du soleil peine à pénétrer au travers des rideaux, mais je peux tout de même voir mon chéri.

Mes yeux ont du mal à rester ouvert, mais je trouve tout de même la force de me rapprocher un peu plus de Guillaume, pour me blottir tout contre lui. Son parfum est doux, sa peau aussi, son corps me réchauffe, je me sens tellement bien à ses côtés.

Je suis encore un peu fatiguée, il faut dire que je n’ai pas beaucoup dormi cette nuit, alors je me laisse le temps. Je somnole encore un peu, profitant de ce moment paisible avec mon chéri.

Quelques minutes plus tard, le soleil semble pénétrer un peu plus ma chambre, je m’étire en douceur, pour éveiller un peu plus mon corps. Guillaume lui semble toujours dormir, dans l’appartement il n’y a aucun bruit non plus.

Je pense que ma mère doit sûrement être dans son lit encore. Elle est rentrée très tard, en plus de m’avoir racontée son rendez-vous, elle doit avoir beaucoup de sommeil à rattraper. Je suis donc la seule à être réveillée pour le moment, et une envie pressante se fait sentir.

Je sors de mon lit, et vais directement aux toilettes avant de me faire pipi dessus. De retour dans ma chambre, je regarde attentivement mon chéri, et cette fois, une autre envie se fait sentir. Surtout que ma mère m’a donné hier soir un préservatif.

Je ne sais pas comment pourrais réagir Guillaume, surtout que ma mère est là, enfin peu importe, je ressens une envie terrible de lui faire l’amour là. Je retire alors mon T-shirt et ma culotte, me retrouvant complètement nue, dans ma chambre à peine éclairé par les quelques rayons de soleil.

Je m’avance sans faire de bruit, je m’installe dans mon lit, en prenant soin de ne pas faire de mouvement brusque. J’ai envie de réveiller mon chéri, d’une manière un peu spéciale, je l’ai souvent vu dans des vidéos ou autre.

Alors je retire légèrement ma couverture, puis j’abaisse en douceur le caleçon de Guillaume. Une mission plutôt difficile, surtout si je ne veux pas le réveiller. Dans ma manœuvre je le vois bouger un peu, cependant il semble toujours endormi. Je peine à baisser son caleçon comme il faut, mais je peux tout de même accéder à sa merveille.

Sous mes yeux son sexe semble déjà un peu gonflé, je dépose un baiser sur le haut de sa cuisse, sa peau est chaude, délicieuse. Puis je glisse délicatement son sexe dans ma bouche, le savourant. Sous l’effet de cette caresse buccale, je peux sentir cette colonne de chair se gorger doucement de sang, pour devenir de plus en plus dur.

Son sexe ne tarde pas à devenir le plus ferme possible, tandis que je continue de plus belle ma fellation. Dans un sommeil peu profond, mon chéri commence à gémir, il doit sans doute faire un rêve agréable, il aura la surprise quand il ouvrira les yeux.

Je m’installe du mieux que je peux, allongée en bas de mon lit, légèrement sur le côté à aller et venir sur son sexe tendu avec ma bouche. Je vais et viens le long de son membre, léchant par moment toute la hampe, pour finir par m’occuper de son gland rose.

Je sens déjà la pré-semence pointer, je suis fière de moi, pouvoir lui donner du plaisir dans son sommeil. Il me tarde de voir sa réaction, quand il se réveillera. Il commence à bouger de plus en plus, sa tête allant d’un côté à l’autre, tout en gémissant.

Puis le moment tant attendu arrive enfin, je vois les yeux de mon chéri s’ouvrir à peine, se demandant sûrement où il est, et ce qui se passe. Il semble un peu perdu dans ses pensées, son regard fixe les rideaux de ma chambre, puis cherche à comprendre ce qui se passe.

Lorsque ses yeux s’abaissent vers moi, je peux voir la surprise dans son regard, tout en gémissant un peu plus fort.

Guillaume : humm, mon… cœur, qu’est-ce que…
Moi : humm, shuuut, c’est un petit réveil spécial pour toi mon cœur, hummm
Guillaume : oh, c’est… j’aimerais être réveillé, comme ça humm tous les matins
Moi : hum, hum, glup glup

Je suis totalement fière de moi, il aime vraiment sa surprise, et je le ressens également à son sexe dans ma bouche, qui semble devenir un peu plus gros. Sa main se tend vers moi, je la saisi, croisant nos doigts pendant qu’il ferme de nouveau les yeux. Ses gémissements sont pour moi le plus beau des cadeaux à ce moment précis.

Tout en continuant de lui faire du bien, ma main vient parcourir son corps, allant de ses cuisses, à son torse. Il se laisse complètement aller, gémissant par moment un peu plus fort. Puis il me regarde dans les yeux, me disant combien je lui donne du plaisir, et combien il aimerait me faire l’amour à ce moment précis.

Tout en le regardant dans les yeux, je remonte de long de son sexe, aspire légèrement le gland, avant de lui dire, que j’ai moi aussi, très envie de lui. Je me redresse alors, puis remonte lentement vers mon chéri, tout en le couvrant de baiser, chaud, humide, le long de son corps, jusqu’à arriver à ses lèvres.

Je passe ma jambe de l’autre côté de son corps afin de l’enjamber, il me découvre ainsi nue, surpris et heureux de ce qu’il peut voir. Sous ses yeux, je glisse ma main jusqu’à mon intimité, pour commencer à titiller mon petit bouton, ainsi que mes grandes lèvres.

Une petite masturbation pour constater que je suis déjà bel et bien humide. Mon chéri n’en croit pas ses yeux, il aime tant me voir me toucher devant lui, puis il place ses mains sur mes hanches pour me stopper.

Guillaume : attend, on n’a pas de capotes
Moi : hihi j’ai tout prévu

Tout en lui souriant, je lui montre le préservatif qui est posé sur ma table de chevet. Il se demande bien d’où ça sort.

Moi : c’est ma mère qui m’a donné la dernière qui lui restait
Guillaume : oh, c’est… attends ta mère est rentrée ?
Moi : oui, tard dans la nuit, tu dormais très bien
Guillaume : mais, on ne peut pas, je veux dire, elle est là, et elle risque de nous entendre
Moi : shuuut, on peut le faire discrètement aussi, et ne t’inquiète pas pour elle, elle dort profondément je pense, vu l’heure à laquelle elle s’est couché
Guillaume : euh, oui, mais…
Moi : s’il te plait, j’ai tellement envie de toi, et j’aimerais tellement, te faire l’amour au réveil
Guillaume : c’est vrai ?
Moi : oui, j’ai tellement rêvé de ce moment
Guillaume : oh, et…
Moi : je me suis masturbée beaucoup de fois, en imaginant ce moment (en lui chuchotant à l’oreille)

Sa respiration est légèrement troublée, alors que je me frotte tout contre lui, mon vagin humide, contre son sexe tendu. Mon chéri ne trouve plus ses mots, il place simplement ses mains de part et d’autre de mon visage, puis m’embrasse tendrement.

J’adore ce moment où nos salives se mélangent, où nos baisers deviennent plus chauds. Je tends ma main vers ma table de chevet, pour prendre la capote, me redresse, l’ouvre, et viens la déployer sur son sexe.

J’adore également ce moment, où je saisis son sexe, pour en placer le bout à l’entrée de mon vagin. Lorsqu’il me pénètre, je prends toujours une profonde inspiration, ressentant chaque centimètre glissé en moi.

Même si nous devions être discrets, nous n’avons pas pu nous empêcher de gémir lors de la pénétration. Un plaisir émis à l’unisson, un plaisir partagé, un plaisir tant désiré.

Me voila au dessus de mon chéri, son sexe entièrement introduit en moi, puis je commence à bouger doucement. Nous apprécions tous deux les vas viens, fermant les yeux pendant que ses mains viennent s’occuper de mes seins.

Guillaume : doucement mon cœur, ta mère pourrait nous entendre
Moi : non, pas de risques, elle dort, et les murs sont, hum, hum

Je n’arrive pas à finir ma phrase, trop prise de plaisir, ou alors, que je sais que ce mensonge était trop gros. Quoi qu’il en soit, il ne se pose plus de question, concentré sur ce qu’il ressent. J’augmente alors la cadence, posant mes mains sur son torse, le dominant une fois de plus.

Je le chevauche, je suis la maîtresse, la seule aux commandes, et c’est moi qui impose le rythme. Je n’arrive pas à retenir mes gémissements, bien que je n’en fasse pas des tonnes non plus. Mais de ce que je sais, cela suffit pour être perceptible de l’autre côté du mur.

Guillaume de son côté se contrôle du mieux qu’il peut, mais malgré tous ses efforts, il laisse tout de même paraître des sons plutôt audible. Je suis enivrée par le plaisir, une sensation que je connais très bien, ce frisson qui me parcourt la colonne, puis ce point qui se concentre dans mon bas ventre.

J’augmente ainsi le rythme de mes vas et viens, contrôlant toujours mes gémissements, mais c’est autre bruit qui vient s’ajouter à nos ébats. Un couinement, ou plutôt, un grincement…

Il est apparu de nulle part, puis plus rien, mais je continue sur ma lancé, je veux mon plaisir. Je saisis la main de mon chéri, posé sur mon sein, puis l’apporte à ma bouche, pour lui sucer, un, puis deux doigts.

Je me sens tellement bien puis encore un grincement, et de nouveau un. Je comprends alors, cela vient de mon lit, et pourtant il ne le faisait pas avant. Guillaume tente de me stopper, ne voulant pas que ce bruit s’entende, je suis bien d’accord avec lui, mais je suis tellement proche de mon orgasme.

Je le lui fais savoir, sans arriver à vraiment être discrète, puis je me lance dans la course finale. Une accélération soudaine, amplifiant les grincements, ainsi que mes gémissements. Et c’est l’orgasme, une jouissance intense qui se propage dans mon corps, ainsi que dans ma voix, que je tente d’étouffer.

Ce courant qui me parcoure me fait perdre l’équilibre, je me rattrape sur mon chéri, il sait que dans ses moments, je n’ai plus de force, alors il me soutient également de ses bras. Doucement je viens m’allonger contre lui, reprenant mon souffle comme je peux, puis je l’embrasse, le remerciant pour ce plaisir qu’il vient de me donner.

Ma respiration est encore courte, mais je retrouve déjà mes esprits, et tendrement, Guillaume m’allonge, se place au dessus de moi. Je suis épuisée, je n’ai plus la force de le chevaucher, alors je le laisse prendre le contrôle.

Il se place entre mes jambes, sa queue rentre parfaitement, tellement je suis mouillée. Et ses vas et viens commencent, imposant un rythme léger. Léger tout comme nos gémissements qui reprennent.

Mon chéri se place tout contre moi, sa tête venant se poser dans mon cou, où il gémit. Puis il commence à me lécher le cou, ça a pour effet de m’exciter encore plus, puis soudainement, j’entends un gémissement, venant de l’autre côté du mur.

Je suis totalement surprise, mais Guillaume ne semble pas l’avoir entendu. Ou peut-être, que c’est mon imagination qui me joue un tour. Je me concentre de nouveau sur mon chéri, et un autre gémissement vient me perturber, je n’ai plus de doutes, c’est bien ma mère que j’entends gémir.

A cet instant, tout me semble bizarre, je ressens le sexe de mon chéri venir me pénétrer de plus en plus fort, tandis que de l’autre côté du mur, je sais que ma mère se masturbe en nous écoutant. Les rôles sont inversés, et j’en ressens une terrible excitation.

Guillaume continue de plus belle, je plaque mes mains à l’arrière de sa tête, pour qu’elle reste enfouie, dans mon cou, mais aussi pour les placer sur ses oreilles. Je ne veux pas qu’il entende ma mère, j’ai peur qu’il en soit gêné, et qu’il veuille tout arrêter.

Je gémis moi aussi de plus en plus fort, essayant de faire au mieux, pour qu’il soit concentré sur ma voix. Dans un silence de courte durée, j’entends de nouveau ma mère gémir, elle semble proche de jouir, et moi aussi.

Alors je me lâche, je demande à mon chéri d’aller plus vite, bien entendu, mon lit grince à nouveau. Mais on ne fait plus attention à ça, sa queue me pénètre plus vite, plus fort, tandis que nous gémissons ensemble.

Moi : vas-y continue, humm
Guillaume : humm, dou…doucement
Moi : non, humm, plus fort, je vais humm, jouir, oh, joui avec moi aaaaahh
Guillaume : je, humm, vais jouir oui
Moi : vas-y, prends moi, aaaaAAA, jouie avec moi hummm

Mes paroles ont sûrement été perçus par ma mère, et c’est ce que je voulais, lui faire passer un message, lui dire combien nous sommes proches de l’orgasme. Sans plus attendre, Guillaume accélère le rythme, sa queue vient buter, claquer, mon lit grince plus vite, et plus fort.

Il n’y a plus aucune retenue, sauf dans les gémissements de mon chéri, qui tente de se contrôler au maximum. Mes mains sur ses oreilles, il ne peut entendre ma mère gémir, de plus en plus vite. C’est à ce moment que Guillaume vient se plaquer tout au fond de mon vagin, dans un terrible râle de plaisir.

Un plaisir que je partage aussi, ressentant mon orgasme me parcourir le corps, tandis que dans l’autre pièce, un cri étouffé se fait entendre. Guillaume se relâche totalement, essoufflé, alors que je ressens encore son sexe palpiter en moi.

Je n’en crois pas, nous venons de jouir tous les deux ensemble, ou plutôt, tous les trois. Mon cœur bat très fort, ma respiration est courte, j’ai chaud, terriblement chaud, mais je suis si bien. Si bien que je ne voudrais plus bouger, plus le quitter, qu’il reste en moi pour toujours…

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