chapitre 32 image
Je me réveille doucement, la lumière du soleil passe légèrement dans ma chambre, et je me demande quelle heure est-il. Je regarde mon téléphone, il y est affiché 10H15, je me demande si je suis la seule à dormir encore ou si les autres sont toujours dans leurs chambres. Je me lève, et m’habille comme je peux, j’ouvre ma porte et je pense que les autres dorment encore.

Je rejoins la maison des grands parents, et mamie en me voyant me demande comment c’est passé la soirée. Tout en prenant un petit déjeuner nous discutons toutes les deux, et c’est seulement vers 11H que je commence à voir apparaître Karine, suivie d’Anthony puis de Jordan.

Papy est parti chez un ami, et à voir nos têtes mamie nous dis de nous reposer pour aujourd’hui. Je crois personnellement que je n’aurais pas eu la force de faire quoi que ce soit, et surtout pour un dimanche. Une seule chose me vient à l’esprit, prendre une bonne douche, alors je redescends vers les chambres la première, saisie ma serviette, et direction la salle de bain.

L’eau est très bonne, sous le pommeau de douche je ferme les yeux et apprécie l’eau qui s’écoule le long de mon corps. Mes mains parcourent également chaque partie de mon être, et bien sur une délicieuse sensation pointe à l’horizon. Doucement mes mains s’attardent sur ma poitrine ou encore mon sexe, dont mes doigts connaissent par cœur le toucher. Les yeux toujours fermés, je me laisse aller à mon plaisir, il n’y a rien qui me vient vraiment en tête à part quelques flashs, entre ma cousine, ma mère, ou encore des vidéos que j’ai pu voir.

Mes caresses sont plus précises, je ressens parfaitement l’eau couler sur moi, mais je ressens aussi mon plaisir grandir, encore et encore jusqu’à que, de mon bas ventre, se propage un orgasme dans tout mon corps, à m’en faire perdre l’équilibre.

Je souffle, j’ouvre les yeux, l’eau continue de couler et je reprends petit à petit mes esprits. Je sors de la douche et me sèche, il n’y a pas un bruit, je suis toujours seule apparemment. Les autres sont encore à table peut être, alors je m’enroule dans ma serviette et je quitte la salle de bain ainsi.

En arrivant pratiquement devant ma chambre je vois Jordan qui apparaît dans le couloir. Ma tenue le surprend, vue son regard, et je me sens amusée de la situation, j’entre dans ma chambre, et il arrive devant la sienne. Il me fixe, dans ses yeux il y a de l’excitation, l’envie d’en voir plus, mais aussi une gêne on dirait. J’ai envie de jouer, de voir dans son regard du plaisir, j’ai une idée en tête, lui offrir un spectacle dont il se souviendra, je dirige ma main gauche vers le nœud de ma serviette.

Mais des bruits de pas nous ramène à la réalité, quelqu’un arrive dans le couloir, Jordan est lui aussi surpris, il ne sait pas quoi faire, sa tête pivote de droite à gauche. Je décide alors de fermer ma porte doucement en voyant une dernière fois dans son regard le désir se mélanger à la déception.

Une fois ma porte fermée, je rigole en moi-même, suis-je folle de faire cela ? Ou est ce que je suis tout à fait normale ? Et est ce que ceci est déjà arrivé à de nombreuse fille ?

Je me dis certainement que oui, au vu des expériences que ma mère a pu avoir dans son enfance, entre sa cousine et son cousin. Je me demande ce que peut bien faire Jordan maintenant, est ce que je l’ai excitée au point d’en avoir une érection ? Se masturbe t-il en ce moment même dans sa chambre ?

J’aimerais tant le savoir, mais je ne pourrais jamais, à part si je lui demande directement. Je quitte ma serviette pour me vêtir d’un simple T-shirt et d’un mini short. Nous resterons sans doute à la maison pour aujourd’hui, autant me mettre à l’aise.

L’après midi se passe tranquillement, un film en compagnie de Karine et des cousins, puis une sieste pour moi dans ma chambre. Apparemment la journée d’hier m’a bien fatiguée, puisque je me suis réveillé de ma sieste vers 17H.
J’évite de faire encore plus ma marmotte et je remonte voir mamie dans la maison, elle est occupée à lire mais elle affiche un grand sourire en me voyant. Nous discutons de tout et de rien, puis elle me raconta comment elle avait rencontrée papi, sa façon de la courtiser mais aussi les soucis vis-à-vis de son père quant à leur relation.

Ma grand-mère étant très jeune à l’époque son père y était opposé, mais malgré tout elle aimé papi et arriva très vite un bébé, ce qui provoqua un scandale dans la famille.

J’étais captivée par son histoire, ses hauts et ses bas, mais mamie avait la certitude d’avoir choisie le bon, et c’est toujours le cas. Papi arrive de chez son ami, puis Karine et les cousins nous ont rejoint pour passer le reste de la soirée ensemble jusqu’au diner.

De retour dans ma chambre j’envoyais un message à ma mère pour savoir comment elle allait. Elle me manque beaucoup n’ayant eu qu’elle depuis le début, je ressens un énorme vide en son absence. Mais heureusement que j’arrive à m’occuper ici, et elle aussi, s’occupe beaucoup d’après ce qu’elle me dit dans ses messages.

Elle est sortie avec des collègues de travail, et a aussi un homme avec qui elle a dialogué, je suis curieuse mais elle ne s’étend pas trop à ce sujet, je lui raconte mes journées et bien entendu, elle se doute qu’il ce soit passé quelques aventures. Mais tout cela je le garde aussi à mon retour, pour pouvoir le partager avec elle.

Il est assez tard et ma mère me souhaite de passer une bonne nuit, ce que je fais sans soucis. Les trois jours suivants il ne s’est rien passé d’extraordinaire, à part le fait que nous ne faisons plus de travaux avec Papi, pour le coup nous avons nos journées de libre. Nous sommes repartis en ville, et je me rapproche un peu plus d’Anthony, ce qui me fait beaucoup plaisir. Bien que par moment il préfère rester dans son coin. Il ne parle pas énormément mais le simple fait de pouvoir passer un peu de temps avec lui et le voir rire temps en temps, me console dans le fait qu’il va de mieux en mieux.

Nous avons recroisés en ville un des garçons avec qui Karine discutait le soir de la fête de la musique, il est ici en vacance également. Il s’appelle Lucas et je vois clairement que Karine avait un coup de cœur pour lui. Aussi elle l’invite à nous rejoindre pour passer les journées ensemble.

Karine et Lucas ce sont de plus en plus rapprochés, mais ils sont encore assez timides pour vouloir s’embrasser devant nous, ou même se tenir la main, alors que je sais qu’elle en meurt d’envie. Un soir dans la chambre de ma cousine, nous étions toutes les deux allongées dans son lit devant un film, à parler :

Moi : ça fait quel effet d’être amoureuse ?
Karine : ahaha je ne pense pas être amoureuse
Moi : ah bon ? Ce n’est pas ce que je vois
Karine : en fait, je me dis que c’est plus un flirt
Moi : pour quelle raison ?
Karine : il est mignon c’est vrai, mais c’est plus comme un amour de vacance que je ne rêverais plus à la fin
Moi : aïe, c’est vrai, c’est donc pour ça que pour toi c’est un simple flirt ? Et lui, il en pense quoi ?
Karine : je crois que l’on s’est mis d’accord sur ça sans trop même en parler, d’ailleurs j’ai un service à te demander…
Moi : oui vas y dis moi tout
Karine : j’aimerais beaucoup passer du temps avec lui demain, mais mamie ne me laissera jamais partir seule de la maison
Moi : et qu’est ce que je peux faire ?
Karine : et bien, on part tous ensemble pour la rivière demain, et une fois assez loin je voudrais que t’occupes des garçons
Moi : d’accord, tu veux donc aller à la rivière qu’avec Lucas ?
Karine : oui s’il te plaît, dis oui …
Moi : ok, je pense pouvoir m’occuper d’eux, mais je pense aussi qu’ils comprendront que tu veuille être seule avec Lucas
Karine : J’ai un doute pour Jordan, c’est mon petit frère et il est tout de même protecteur
Moi : c’est vrai, mais moi aussi je suis un peu jalouse …
Karine : ah bon ?
Moi : oui depuis que tu flirt avec Lucas, on ne passe plus de temps toute les deux
Karine : oh ma cousine, excuse moi
En me faisant un câlin et un énorme bisou sur la joue
Karine : dis-moi qu’est ce que je peux faire pour que tu me pardonne ?
Moi : euh là je ne sais pas
Karine : demande moi ce que tu veux, vas y
Moi : ce que je veux ?
Karine : oui n’importe quoi
Moi : et bien… ça fait un moment… que je ne t’ai pas vue nue
Karine : ….. C’est ce que tu veux vraiment ?
Moi : (timidement) …. Oui

Karine me sourit alors tendrement, elle regarde une dernière fois la porte de la chambre qui est fermée, puis elle se redresse face à moi, elle me dit qu’elle ne peut pas se mettre entièrement nue de peur que quelqu’un entre sans prévenir. Mais elle veut tout de même me faire plaisir…

A ces mots je la vois passer ses mains sur les côtés de son mini short, et doucement elle fait glisser le tissu le long de ses jambes. Elle est là devant moi dans le lit, le sexe à l’air et parfaitement lisse, je la fixe pendant qu’elle ouvre les jambes et qu’elle passe doucement ses doigts sur son petit bouton.

Moi : tu es très belle, je veux te voir de plus près
Karine : hihi coquine, ne bouge pas alors

Je suis toujours allongée dans le lit, Karine me pousse légèrement pour que je me mette complètement sur le dos, et la voilà qui passe une jambe de chaque côté de mon corps, elle remonte vers moi jusqu’à positionner ses fesses au dessus de ma poitrine, et son entre jambe juste sous mes yeux.

Karine : tu vois mieux comme ça ?
Moi : c’est parfait

Devant moi, Karine reprend ses caresses, ses doigts tournent et dansent avec ses lèvres, elle remonte aussi par moment sur son clitoris, qu’elle aime toucher. Je suis captivée, je ne bouge plus devant ce spectacle qui m’est offert, du moins c’est ce que je pensais, mais mes mains elles aussi caressent mon corps et surtout mon sexe humide.

La position de Karine me fait penser à ce que m’a raconté maman, et ce qu’elle faisait avec sa cousine étant plus jeune. Je comprends alors le plaisir qu’elle a pu ressentir en regardant le sexe de sa cousine d’aussi près. Tellement près que j’en respire l’odeur, une odeur nouvelle, un peu étrange mais pas désagréable. Je me touche en la regardant faire de même, et en snifant son odeur délicieuse, à telle point que je me sens attirer.

Ma cousine se rapproche de plus en plus tout en me disant

Karine : Regarde moi… oui regarde moi

… « Toc toc toc »…

Tout à coup le bruit de la porte, je suis prise de panique, Karine dans le même état se jette sur le côté, en essayant tant bien que mal de passer le drap par-dessus elle. La porte s’ouvre et Jordan apparaît dans l’ouverture ...

Jordan : je ne vous dérange pas ? Je peux regarder le film avec vous ?
Karine : euh …
Moi : oui vas y viens

Je sens au même moment une petite tape sur mon bras, j’ai répondue machinalement, mais j’oubliais que Karine n’avait pas remis son mini short, ni de sous vêtement d’ailleurs. Jordan est venu s’allongé à côté de sa sœur, et nous étions toutes les deux je pense, avec le cœur tapant très fort de peur qu’il ne la découvre à demi nue sous le drap.

Heureusement pour nous Jordan ne soulève pas le drap et semble déjà captivé par le film. Karine et moi échangeons des regards discrets, j’ai peur, mais je suis en même temps excitée de savoir ma cousine à demi nue à côté de son frère.

Je passe ma main sous le drap en direction de Karine, comme pour avoir la confirmation qu’elle est toujours sans vêtement sous la ceinture. Le contact de ma main sur sa peau à un effet électrisant pour elle, Karine sursaute légèrement en se demandant ce que je peux bien vouloir faire.

Si nous étions dans le noir, peut être que j’aurais pu aller plus loin dans mon geste, mais la lumière étant allumée, j’ai préférée ne rien faire et continuer de regarder le film. Une fois celui-ci terminé, Jordan et moi sommes repartis dans nos chambres, où le sommeil ne tarda pas à me gagner.
CE SITE A ÉTÉ CONSTRUIT EN UTILISANT