chapitre 81 image
Il est 8H00 lorsque mon réveil sonne, je pourrais encore profiter de faire la grasse mat une dernière fois, mais je veux reprendre le rythme avant la reprise des cours. Je me force à me lever, pourtant au fond de moi je suis encore très fatiguée.

Je sors de ma chambre, direction la salle de bain pour me rincer le visage. Je me dirige vers le salon où je retrouve ma mère pour le petit déjeuner. Ce dimanche nous allons le passer tranquillement, devant un film puis chacune à ses occupations.

Le soir je reçois un message de Guillaume, un petit problème avec son train pour revenir, pour le coup il en prendra un nouveau que lundi. Je suis triste, je voulais tant le retrouver demain à la rentrée. Mais bon, ce sont des choses qui arrivent, et ce n’est qu’un petit contre temps avant nos retrouvailles.

Le lundi au réveil c’est la catastrophe, je pensais sincèrement que je serais au top mais non, pas du tout. Je suis arrivée devant la grille avec la tête dans le cul, mais je me rassure en voyant celle d’Estelle, Kévin et les autres.

Ils ont l’air aussi dépité que moi de reprendre les cours avec ce froid. Je saute dans les bras d’Estelle et de Kévin, contente de les retrouver puis j’embrasse également Charles et Jonathan. On se raconte un peu nos vacances avant d’entendre la sonnerie.

Je cherche autour de moi, espérant que Guillaume soit là, mais je sais qu’il ne prendra son train que dans la journée. Ce premier jour m’a paru très long, la reprise est vraiment dure, et les cours semblent ennuyeux à mourir. Pour le moment, concernant mes résultats scolaires, ils sont plutôt bons, j’ai de bonnes appréciations de la part de mes professeurs, mais je ne lâche rien surtout avec le brevet qui approche.

Le soir en rentrant chez moi, je reçois un sms de Guillaume, il est bien rentré chez lui aujourd’hui, et il n’a qu’une hâte, me retrouver demain. Au fond de moi, mon petit cœur fait boum, j’ai tellement hâte de le retrouver aussi.

La soirée se passe, cette nuit je peine à trouver le sommeil, ne pensant qu’à Guillaume, ce qui commence à m’exciter et doucement m’amener sans faille vers un plaisir solitaire que je connais très bien à présent.

Mes mains parcourent mon corps comme à leur habitude, jusqu'à trouver cette partie sensible entre mes jambes. Je me fais plaisir en pensant à mon chéri, son corps, son sexe tendu que je désire savourer encore une fois.

Très vite mon orgasme pointe le bout de son nez, je me laisse aller, mon corps se contracte totalement avant de se relâcher complètement. Après ce petit plaisir, je m’endors plus facilement, comme libéré d’un poids.

Ce mardi matin, je me réveille plus en forme que la veille, je file prendre mon petit déjeuner, un saut à la salle de bain pour me préparer, mes affaires en main je me dirige vers le collège. C’est là devant la grille que je vois Guillaume, sans plus attendre je me précipite vers lui.

Je le retrouve enfin, mon chéri, ses bras, son parfum. Il me serre dans ses bras, je suis si bien près de lui, il me réchauffe tout en venant poser ses lèvres sur les miennes. Je suis aux anges, complètement déconnectée de ce monde. Plus rien n’existe autour de nous, ses lèvres m’ont tellement manquées, je ne veux pas que cet instant ce finisse.

Autour de nous, nos amis rigolent en nous demandant de nous calmer. Charles et Jonathan ne peuvent s’empêcher de nous charrier, ce qui nous fait rire. Je salut tout de même nos amis puis je reviens dans les bras de Guillaume, jusqu’à ce que l’heure sonne.

Pendant les cours, je n’ai qu’une envie, d’être à l’heure de midi pour retrouver mon chéri. Heureusement pour moi, la matinée passe très vite. Après avoir mangé tous ensemble, Guillaume et moi allons dans notre coin, pour se parler tranquillement de nos vacances et autres.

Sans m’y attendre je vois Guillaume me tendre un petit paquet cadeau, en me disant que c’est mon cadeau de Noël avec un peu de retard. Je suis complètement gênée, surtout parce que je n’ai rien à lui offrir en retour. Mais pour lui, ce n’est rien, il me tend toujours le paquet. Je le prends, délicatement, je suis si touchée que je n’ose pas ouvrir le paquet.

De son côté Guillaume rigole en me demandant ce que j’attends pour l’ouvrir. Doucement je retire le papier cadeau pour trouver une petite boîte de couleur rouge. Je l’ouvre, et je peux voir un petit bracelet en or, avec plusieurs motifs accrochés à celui-ci. Un croissant de lune, des étoiles, un trèfle à quatre feuilles, quelques formes géométrique, et un cœur.

Ma main se porte à ma bouche, je suis émue de recevoir ce bracelet de mon chéri, il est tout simplement magnifique à mes yeux. Sans plus tarder je remercie Guillaume pour ce cadeau en me jetant sur lui pour l’enlacer, l’embrasser.

Guillaume affiche un large sourire, puis me demande de tendre mon bras pour qu’il me passe le bracelet au poignet. C’est décidé, c’est officiel, plus jamais je n’enlèverais ce bracelet, il peut être considéré comme un simple cadeau, un bijou fantaisie, ou autres. Mais pour moi, à ce moment précis, ce bracelet représente tout, il vient de mon chéri, et plus jamais je ne voudrais m’en séparer.

Je n’arrête pas de le remercier, de lui dire a quel point son cadeau me fait plaisir, je reste tout de même un peu gênée de ne pas avoir pensé à lui en offrir un aussi. Il me dit pour me rassurer que ce n’est rien, que pour lui, je suis son plus beau cadeau.

En entendant cela, je ne peux m’empêcher de verser une larme en venant me blottir tout contre lui. Guillaume rigole, tente de me calmer comme il peut, mais c’est plus fort que moi. C’est un sentiment très fort qui me prend, son cadeau, ses paroles, son être, sa chaleur.

Je me sens un peu idiote sur le moment, et pourtant j’aimerais lui dire tout ce que je ressens, je me dis que c’est le moment, malheureusement l’heure de reprendre les cours sonne. Je déteste tout à coup cette sonnerie, qui m’arrache à lui. Nous nous levons, je viens une dernière fois, cherche la chaleur de ces bras, puis nous partons chacun de notre côté, en direction de nos salles.

Cet après-midi, je vais suivre les cours à moitié, ne cessant d’admirer le bracelet que m’a offert Guillaume. Je le tourne sur mon poignet, le caresse, en regardant chaque petit motif qui y sont accrochés. Je dois paraître trop rêveuse, car pas mal de professeurs m’ont sorti de mes rêveries au cours de l’après-midi.

Très vite après les cours, nous nous retrouvons tous devant la grille avant de partir chacun chez soit. Je ne manque pas de montrer à Estelle le bracelet que m’a offert Guillaume, puis je l’embrasse une dernière fois avant de la quitter.

Sur le chemin du retour j’affiche un sourire, je suis follement amoureuse et ça se voit trop. A peine rentrer, ma mère remarque de suite mon état, puis me demande ce qui se passe. Je lui montre également le bracelet, en lui racontant ma journée.

J’ai envie de chanter, de danser, de courir tellement je suis dans un autre état. Oui bon, courir, c’est peut-être un peu trop, mais c’est pour vous dire, l’état dans lequel je suis. Mes devoirs finis, le dîner pris, je m’installe dans mon lit, en parlant avec Guillaume, le remerciant de nouveau pour ce cadeau, et d’être tout simplement lui.

La nuit se passe, ce matin je suis en forme, je saute de mon lit, direction petit déjeuner, la salle de bain et le collège. Comme d’habitude je retrouve tout le monde avec qui je discute mais surtout mon chéri.

La sonnerie retenti pour débuter les cours, un exam surprise pour commencer la journée. A la fin, c’est le même rituel, tout le monde est là, à se demander quoi faire cet après-midi. De mon côté je n’ai rien de prévu, mais si Guillaume veux passer du temps avec ses amis qu’il n’a pas vu durant les vacances, je suis d’accord soit pour l’accompagner, ou alors le laisser profiter d’eux s’il le souhaite.

Nous restons là, à nous parler avant de se saluer, pour partir. Guillaume m’accompagne sur le chemin, je suis contente d’avoir mon chéri avec moi pour cet après-midi. Nous arrivons à l’appartement je dépose mes affaires dans ma chambre pendant que Guillaume posent les siennes à l’entrée.

Je lui propose de lui faire quelque chose à manger, je ne suis pas une bonne cuisinière mais je me débrouille. Mon chéri se met à l’aise pendant que je lui prépare des pattes carbonara, bon ce n’est pas la vrai recette, mais c’est assez facile et rapide à préparer. Une fois le repas prêt, nous passons à table en se racontant encore quelques histoires de vacances.

Une fois fini je débarrasse nos assiettes, je fais la vaisselle quand je sens des mains venir m’enlacer. Mon chéri se colle tout contre moi en me disant à quel point je lui ai manqué. Ces bisous dans mon coup me donnent des frissons, me chatouillant par la même occasion.

Je finis de laver le dernier verre, puis je me retourne vers lui pour l’embrasser. Ces mains commencent à parcourir mon corps, à la recherche de ma peau. Je sens sous mon T-shirts ces caresses, puis je me mets à l’imiter.

Doucement je commence à lui enlever son T-shirt, j’adore la douceur de sa peau, son odeur, je sens l’excitation me gagner de plus en plus. Il me prend par la main, puis nous nous installons sur le canapé, à nous embrasser tendrement. Guillaume est assis dans le canapé, je suis sur lui, ces mains ne cesse de me caresser, doucement mon T-shirt tombe au sol, et ces doigts viennent retirer mon soutien gorge.

Mes seins nus, Guillaume les admire, les attrapes, puis les portes à sa bouche. C’est si bon, de ressentir ses lèvres sur mes seins, sa langue s’activer sur mes tétons. Toutes ces sensations m’ont manquées, je sens en moi une chaleur qui ne fait que grandir, j’adore ça.

Guillaume se redresse, nous échangeons à nouveau un baisé, tendre, savoureux, rempli de désir. Mes lèvres glissent sur les siennes, ma course continue dans son cou, son torse. Je glisse moi aussi vers le bas, en déposant mes lèvres sur chaque partie de son corps, pendant que mes mains se débarrassent de sa ceinture.

Mon chéri se soulève un peu, me permettant d’abaisser son jean, puis j’attrape de mes deux mains son caleçon que j’enlève doucement, laissant apparaître devant moi, son sexe tendu. Il est dressé devant moi, comme un trésor que je convoite depuis longtemps. Mes mains caressent ses cuisses, puis je saisis son sexe, commençant à lui donner du plaisir.

Je regarde Guillaume dans les yeux, sa respiration se fait profonde, son regard me supplie de continuer. Doucement je me rapproche, cela fait depuis un moment que je souhaite de nouveau ressentir son sexe dans ma bouche. Alors tendrement, sous ses yeux, mon regard dans le sien, je dépose ma langue sur son gland, le léchant, puis mes lèvres se posent à leur tour, pour enfin, glisser cette colonne de chair dans ma bouche.

Un gémissement se fait entendre, je suis heureuse de lui donner ce plaisir. Je me retire en faisant tourner ma langue sur son gland, puis je m’active de nouveau dans un va et viens, lent et doux.

Guillaume me caresse la joue, me disant à quel point c’est bon. Je suis contente de moi, je m’applique comme je peux pour lui faire plaisir, et j’y arrive. Son sexe glisse parfaitement dans ma bouche, je tente par moment d’y aller au fond, mais ce n’est pas encore réussi. Je manque encore d’expérience pour y arriver, mais peut-être qu’un jour…..

Guillaume gémit de plus en plus, mes mains caressant ses cuisses, son ventre, son torse. Je me retire un moment en déposant ma main sur son sexe pour le branler. J’adore son regard sur moi, il y a tant de plaisir dans ses yeux.

Moi : ça va mon chéri ? Je me débrouille bien ?
Guillaume : oh oui, tu es parfaite, tu …
Moi : c’est bien alors, laisse toi faire, laisse toi aller…

Sans plus attendre, ma bouche reprends place sur son sexe, cette fois-ci, mes vas et viens vont de plus en plus vite. Les gémissements de Guillaume ce font de plus en plus fort aussi, et court. J’accompagne cette fellation de ma main qui glisse tout le long de son sexe.

Je sens Guillaume se contracter, il essai par moment de se contenir, de reculer son bassin. Mais je ne lâche rien, ma bouche continue de lui procurer ce plaisir. Guillaume dans un dernier geste, pose sa main sur l’arrière de ma tête…

Guillaume : mon, mon cœur… je vais, je vais hummm, hummmm je vais…

Ce que j’entends là m’encourage, je continue de plus belle en accélérant mon rythme. Très vite je sens le corps de Guillaume se raidir, et une quantité impressionnante de spermes se déverser dans ma bouche. Il y en a tellement, je suis plus que surprise, je m’attendais à en recevoir beaucoup, mais pas autant. Je voulais lui faire plaisir, tenter de tout prendre en bouche et avaler.

Mais je n’y arrive pas, à peine a t-il fini de jouir en moi, que je me lève, la main devant la bouche en direction de la salle de bain. Je finis par tout recracher dans le lavabo, me rincer la bouche en reprenant mon souffle, puis une fois nettoyée, je reviens dans le canapé avec Guillaume, qui à la tête penchée vers l’arrière, les mains sur ses yeux…

Guillaume : merde, je suis désolé mon cœur, je n’ai pas pu me retenir
Moi : mais ce n’est rien mon chéri, j’ai beaucoup aimé moi, et je le voulais
Guillaume : mais euh, tu n’es pas trop dégouté ?
Moi : non pas du tout, j’adore le goût, c’est juste que tu lâches une grosse quantité
Guillaume : oui c’est vrai, et à chaque fois je pense que tu es dégoutée
Moi : retire-toi cette idée de la tête, j’ai beaucoup aimé, et pour toi c’était comment ?
Guillaume : franchement, c’était trop bon, tu es trop forte, tu es parfaite
Moi : hihi merci

Je viens me blottir contre mon chéri, admirant encore son sexe, qui commence à peine à revenir au repos. Je sais qu’il s’en veut encore un peu, pensant que tout ça me dégoute, mais je le rassure de nouveau, que si je le fais, c’est que je prends énormément de plaisir à le faire.

Nous sommes restés un moment à parler, tout en laissant nos doigts caresser la peau de l’autre. Je suis contente, il est de plus en plus à l’aise, avant il se serait rhabillé en vitesse. Pas là, pas cette fois, il reste ainsi, me permettant d’admirer son corps, son sexe au repose.
 
Puis dans un silence Guillaume se lève, laissant son jean et son caleçon tomber au sol. Le voir tout nu, devant moi dans le salon, m’excite terriblement. Il me prend par la main, puis m’emmène vers la chambre, pendant que j’admire ses petites fesses nues sous mes yeux…
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