chapitre 124 image
Je suis allongée tout contre Guillaume, ma tête posée sur son torse, pendant que mes doigts se baladent sur sa peau. Nous restons ainsi, silencieux dans cette pièce sans bruits, n’écoutant que le son de notre respiration calme, détendue.

J’ai vraiment aimé ce moment, c’était incroyable. Je suis surprise de découvrir encore tant de choses sur le sexe, bien que je ne sois plus vierge. Je me dis qu’il y a tant à découvrir, tant de choses à expérimenter, à ressentir.

Je me demande si une personne au monde a déjà pu tout faire. Je veux parler de toutes les pratiques, les plaisirs, mais aussi des fantasmes. Lorsque je regarde des vidéos sur internet, il y a tant de choses que les acteurs font, peut-être qu’eux, ont déjà tout expérimenté.

Je suis dans ma bulle lorsque Guillaume me demande à quoi je pense. Je lui dis simplement que je repense au moment que nous venons de vivre, combien je ressens du plaisir avec lui, combien je l’aime.

Il me sourit puis m’embrasse tendrement, puis je me dis qu’il serait bien d’en parler. Je le connais bien, mais j’ai encore tant à apprendre de lui. Je me lance alors, lui demandant pour commencer, ce qu’il aime chez moi.

Guillaume : humm à vrai dire, j’aime tout de toi
Moi : ok mais vas-y dis moi tout
Guillaume : hey bien j’aime ta façon d’être, ta façon de sourire, de rire, de me regarder. J’aime ta façon de parler, ta discrétion, ta timidité
Moi : oh je ne sais plus où me mettre
Guillaume : et toi ? Qu’est-ce que tu aimes chez moi ?
Moi : je n’arrive pas à le décrire en fait, j’aime tout ce qui fait toi en fait. Tu as une personnalité en or, je me dis que je suis la plus chanceuse au monde, d’être avec toi.
Guillaume : merci mon cœur, c’est moi qui suis le plus chanceux au monde, tu sais je suis toujours impressionné
Moi : oh par quoi ?
Guillaume : hey bien, tout le monde te connait comme étant réservée, timide, mais en même temps tu semble pouvoir te lancer dans des choses totalement folles
Moi : tu fais référence à la semaine dernière ?
Guillaume : pas que, je veux parler aussi de ce qu’on a fait dans la cour au collège
Moi : ah oui je me rappel, hihi
Guillaume : et aussi de ce que tu as fais pendant les vacances, pendant que ta cousine dormait, j’en suis complètement fou
Moi : ahaha oui pour toi je peux faire n’importe quoi
Guillaume : humm coquine
Moi : hihi ça te donne des idées hein ? Peut-être que tu as déjà des fantasmes ?
Guillaume : euh en fait non, je ne crois pas
Moi : oh sérieux ?
Guillaume : pourquoi toi oui ?
Moi : humm, je crois que j’en ai un en ce moment, enfin je viens juste d’y penser, mais faire l’amour avec toi dans une belle forêt j’aimerais beaucoup
Guillaume : ah bon ? Tu peux m’en dire plus ?

Je viens tout juste d’avoir ce fantasme à l’idée, alors je ne sais pas vraiment comment je vois cela. Mais l’idée germe petit à petit, alors je lui décris ce que je peux imaginer, tandis qu’il change de côté pour venir s’allonger à ma droite, puis commence à venir m’embrasser dans le cou.

Je lui demande alors ce qu’il fait, il me dit de lui décrire mon fantasme, de fermer mes yeux, et de me laisser faire. J’avoue que sur le moment je suis surprise, puis je m’exécute. Il ne cesse de m’embrasser dans le cou, pendant que sa main vient caresser ma poitrine.

Moi : mon cœur attend, on a plus de capote
Guillaume : je le sais, mais ça ne m’empêche pas de te faire du bien
Moi : hum je t’aime toi
Guillaume : je t’aime aussi, allez ferme les yeux et décris moi ton fantasme…

Je me détends alors, ressentant ses lèvres dans mon cou, et sa main me caresser. C’est si nouveau, si agréable, je me laisse porter au jeu.

Moi : je nous vois, marchant dans une forêt, les arbres sont très grands, mais ils laissent passer une douce lumière. Nous sommes toujours sur le petit chemin, puis tu me prends la main, pour m’attirer hors du sentier.

Guillaume : humm, je nous imagine oui, continue

Moi : nous marchons à travers les herbes, s’éloignons toujours plus du chemin de randonné. Puis nous arrivons à un endroit, qui te semble idéal, alors tu enlève ton sac, puis tu en sors une couverture assez épaisse.

Ses baisers dans mon cou, réveil en moi une douce sensation, un léger frisson, que je ressens sur toute ma peau.

Moi : tu finis d’installer la couverture, puis tu m’attires vers toi, tu m’embrasses comme tu sais si bien le faire, puis tu m’allonges complètement. J’ai peur, je frissonne, je regarde autour de nous, si quelqu’un passe par là. Puis tu commences à me déshabiller, tes gestes sont tendres, et je suis très vite nue, au beau milieu de cette forêt.

Sa main droite qui s’occupait jusqu’à présent de mes seins, amorça une descente vers mon intimité déjà tout humide.

Moi : humm, tu me caresses au beau milieu de la forêt, puis très vite mon corps se met à se réchauffer. Tu t’allonge entre mes jambes, oooh, puis tu commences à me faire un cunni comme je les aime tant. Je m’abandonne totalement, je hummm… gémis tout doucement, de peur de nous faire surprendre. Je suis humm, bien humide, puis je te demande de me faire l’amour, alors tu remontes vers moi, aaaah, puis tu t’introduis humm…

Je ressens au même moment les doigts de Guillaume s’introduire en moi, ce qui provoque un frisson qui me parcours la colonne.

Moi : Humm, c’est si bon de te sentir en moi, tu me prends tout en douceur, tout en m’embrassant. AAaa, j’ai le goût de mon intimité sur tes lèvres, humm j’adore, ce mélange. Tu vas maintenant plus vite, humm oui

Ses doigts suivent mon imagination, me caressant par moment le clito, avant de se réintroduire en moi, en accélérant le rythme.

Moi : humm, oh oui, tu continue plus vite, je ne retiens plus mes gémissements, OOhh, qui sont… de plus, hummm, en, ohh, plus fort. Tu me fais si bien, aaaahhh, l’amour, que mes cris, raisonnent dans la forêt huummm

Guillaume : imagines que quelqu’un nous entend, qu’est-ce qui se passerait ?

Moi : hummm, mes gémissements ont attirés une personne qui passait par là, aaaAAA. J’avais peur au début, humm, qu’une personne nous surprenne OOOhh, mais maintenant, ça n’a plus d’importance AAAAhhh

Ses doigts ne cessent d’aller et venir en moi, de jouer avec mon clito qui est si humide. Dans le salon, on peut entendre ses doigts s’agiter sur mon petit bouton, laissant paraître un son visqueux, mouillé.

Moi : ohhh, ohhh, cette personne nous regarde, je la regarde droit dans les yeux huuuumm, mais je ne t’arrête pas, tu es si bOOOOO, bon en moi. AAAAhhh tu vas de plus en huumm plus vite, je va… aaaaa, vai… aaAAAA bientôt jouir

Guillaume : la personne te regarde toujours ?
Moi : OOOOui, elle me fait signe AAAAh que je peux hummmm jou OOOOO jouir, alors, je ne me hummm retiens plus, je Je, JZ, jou AA aaa jouis AAAAAAAAAhhhAAAAAAAAAA AAAAAAAAhhhh hummmmmAAAAAAhhh aaaaaaaa

Je cris intensément mon plaisir au beau milieu du salon, tandis que ses doigts ne cessent de bouger tout au fond de moi. Mon sexe dégouline littéralement sur ses doigts, comme si je lui avais pissé dessus. Puis je le stoppe, c’est devenu tellement sensible.

Mon corps est pris de spasmes, je sursaute encore pendant quelques secondes avant de laisser mon corps inerte, le souffle court, le cœur battant à en atteindre la rupture. Mes yeux sont ouverts, le plafond semble si haut, tout est flou, mes yeux divaguent.

C’était si intense, si bon, mon chéri m’embrasse toujours dans le cou, bien que je sois aussi devenue très sensible de cette partie, je ne l’arrête pas, je n’en ai plus la force. Je suis complètement assommée par ma jouissance.

Je prends le temps, de respirer, de retrouver mes esprits, de me calmer. Il me faudra bien quelques minutes avant d’y arriver, je regarde Guillaume dans les yeux, puis lui dis combien c’était bon, et le remercie en l’embrassant.

Nous restons ainsi pendant de longues minutes, à nous parler, à effleurer la peau de l’autre du bout des doits. Une douce caresse, accompagnée de tendres regards…
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