chapitre 91 image
Lorsque j’arrive chez moi, en passant la porte je ne vois personne. Bizarre, je ne pense pas que ma mère soit partie, elle n’avait rien de prévu pour aujourd’hui, mais a peut-être eu besoin de sortir.

Je regarde sur la porte du frigo, voir si elle a laissé un mot, mais rien, sur mon téléphone pas de message. Ce n’est pas grave, je me dis qu’elle va sûrement très vite rentrer, puis je me dirige vers ma chambre pour déposer mes affaires.

Je suis dans le couloir quand je vois la porte de ma mère entrouverte, j’écoute mais aucun bruit, je vérifie tout de même. C’est là, dans cette petite ouverture que je vois ma mère, étendue sur son lit, entièrement nue. Elle semble reprendre son souffle, une main encore posée entre ses cuisses. J’arrive tout juste à la fin de son plaisir, je souris toute seule avant de toquer à la porte pour lui dire que je suis là.

Elle sursaute, cherchant à se relever, puis en me voyant elle reste encore un peu surprise. Je dois vraiment lui avoir fais peur, je m’excuse, je ne voulais pas l’effrayer, juste m’annoncer. Elle se met à rire un peu gênée, me disant qu’elle était perdue dans ses pensées, et qu’elle n’avait rien entendu.

Elle regarde l’heure, elle pensait que je rentrerais plus tard que ça, mais je ne voulais pas trop m’attarder chez Nora, ne voulant pas embêter sa mère lorsqu’elle rentrerait. Je lui dis avoir envie d’un bain, que je fais couler l’eau. Bien évidement elle me sourit en me disant me rejoindre dans quelques minutes.

Je passe par ma chambre, dépose mes affaires, puis je vais dans la salle de bain pour faire couler l’eau. J’enlève quelques habits, puis une envie de boire me prends. Je laisse couler l’eau en allant dans la cuisine me prendre un verre d’eau. Tout en buvant je remarque que l’ordinateur est allumé, ma mère a sûrement dû oublier de l’éteindre. Je prends la souris, il y a une page internet encore ouverte en miniature.

Je clique dessus, puis découvre un site porno, sur lequel une vidéo où deux femmes se masturbent l’une devant l’autre. Je souris en voyant cette vidéo, ma mère a certainement commencé à se faire plaisir ici, puis est allée dans sa chambre pour être plus à l’aise. Je ferme tout, j’éteins l’ordi puis je regagne la salle de bain.

La baignoire est assez remplie, je coupe l’eau en me déshabillant totalement, puis ma mère me rejoint. Son regard me parcourt de la tête aux pieds, je lui souris sachant que c’est toujours un plaisir pour nous, de partager ce moment.

Nous nous installons, qu’est ce que je me sens bien, l’eau est chaude, je suis détendue. Ma mère me demande comment s’est passée ma sortie avec Nora, je lui raconte, les boutiques, le centre commercial, le petit café où nous avons mangé, puis notre discussion qui c’est finit chez elle.

Je lui raconte longuement notre échange, ses doutes, ses peurs, et ses jugements envers elle-même. Je sais que j’ai promis à Nora de ne rien dire à ce sujet, mais je sais aussi que je peux tout dire à ma mère, sans crainte que cette histoire ne circule.

Ma mère parle presque tout le temps avec Christine, elle lui a dit que Nora a quelque peu changer ces derniers temps, qu’elle était redevenue distante, mais sans comprendre pourquoi. Ou du moins elle pensait que c’était dû au fait que les hommes rencontrés ne lui plaisait pas. Ce qui a eu un impact quant à la relation de Christine et ce premier homme.

Je comprends alors pourquoi ce n’est pas aller plus loin avec cet homme qui pourtant avait tout bon partout. Je suis gênée, surtout pour Nora, en espérant qu’elle n’en saura rien de tout ça. Je ne voudrais pas qu’elle se sente fautive, d’avoir crée un doute chez sa mère, au point d’arrêter de voir cet homme.

Mais bon, je sais que maintenant, Nora va se reprendre en main, renouer les liens avec sa mère. Ce qui sera sans doute très bénéfique pour toutes les deux, sa mère pourra de nouveau rencontrer un homme sans craindre une mauvaise réaction de sa fille, et Nora trouvera certainement un réel plaisir à ce que cet homme passe la nuit chez elles.

Ma mère me regarde, puis elle rit en me disant que Christine et Nora nous ressemble un peu. Je lui dis m’être fait la même réflexion sur le chemin du retour. Je lui demande bien sûr en rapport à toute cette histoire, si j’ai moi-même était un frein dans une de ses relations. Ma mère m’assure que non, qu’il ne faut pas que je pense à ça, puisque c’est tout à fait le contraire.

Qu’elle trouve un réel plaisir à parler de ses rencontres avec moi, d’avoir mon avis, mes doutes, mais aussi qu’elle aime par-dessus tout faire l’amour ici, tout en me faisant un clin d’œil. Je ris de suite, sachant où elle veut en venir, lui répondant que c’est un plaisir pour moi aussi.

Sur ce point là, il n’y a rien à redire, nous sommes toutes les deux coquines, telle mère, telle fille. Je suis contente d’avoir cette relation fusionnelle avec ma mère.

Nous avons comme à notre habitude, passées un bon moment entre mère et fille dans ce bain. Je souris également en repensant à ce que j’ai pu voir sur l’ordinateur tout à l’heure, sachant entre autre que ma mère s’est faite plaisir en repensant sûrement à sa cousine ou autre. Mais je le garde pour moi, je ne veux pas la taquiner avec ça.

Nous finissons par sortir du bain, nous sécher, nous habiller. Nous passons une bonne soirée, un repas chaud, puis un film devant la télé avant de regagner ma chambre.

Je reste sur mon téléphone, même si je sais très bien que je n’aurais pas beaucoup de message de Guillaume ce soir. C’était aujourd’hui l’anniversaire de sa cousine, ils ont passés la journée à se balader, et ce soir ils ont le repas en famille pour fêter ça.

J’aimerais tant être avec lui en ce moment, pouvoir me coller à lui, être dans ses bras, l’embrasser. Sur mon téléphone je fais défiler les photos de nous, comme à chaque fois, où je me sens seule. Je regarde des photos de nous, à l’escalade avec Charles et Jonathan, au collège avec nos amis, ou seuls dans notre coin.

Des photos il y en a des dizaines et des dizaines, puis je souris seule allongée dans mon lit lorsque je tombe sur les photos faites après avoir fait l’amour. On peut nous deviner nus facilement, devinant ce qui a pu se passer juste avant, puis je repense à ces moments.

Il m’en faut peu bien sûr pour me chauffer, doucement ma peau devient plus sensibles, mes tétons pointes légèrement. Ma main parcourt mon corps, puis se faufile sous mes vêtements à la recherche d’une source de plaisir, située entre mes jambes.

Je me caresse doucement, imaginant chaque moment passé avec Guillaume. J’imagine son sexe fièrement dressé devant moi, pendant que je m’occupe de lui. Ces gémissements de plaisir, procurés par la fellation que je pratique. Tout en imaginant cela, je porte à ma bouche deux doigts que je suce, comme si c’était sa queue.

Les yeux fermés, je l’imagine se placer au dessus de moi, venant s’installer entre mes jambes. Son sexe dur à l’entré de mon vagin vient pousser, puis s’introduire en moi. Je me sens très excitée, je mime parfaitement la situation en m’aidant de mes doigts. Malgré que la sensation ne soit pas la même, j’éprouve énormément de plaisir à me masturber.

Très vite, l’atmosphère devient chaude, je retire tout ce que je porte sur moi, me retrouvant toute nue. Je m’imagine faisant l’amour avec mon chéri, il sait si bien s’occuper de moi, il sait ce qui me fait plaisir. Mes doigts vont et viennent dans mon vagin, les frottements me comble à présent, moi qui ne trouvait du plaisir qu’en touchant mon clito avant. Maintenant j’arrive à ressentir beaucoup de plaisir en m’introduisant mes doigts.

Dans mon imagination Guillaume me pénètre très vite, il y va fort, butant au fond de mon intimité. Je reproduis toujours la scène du mieux que je peux, puis je change de position. Il aime me prendre en levrette, apparemment la vue le rend complètement fou d’amour. Je me positionne à quatre pattes dans mon lit, mais très vite le plaisir me submerge, je fléchie, et ma tête vient se reposer sur mon oreiller.

Mon bras est positionné le long de mon corps, ma main entre mes jambes ne bouge plus, je me mets à bouger mon bassin, montant, descendant. Mes lèvres humides glissent le long de mes doigts, tandis que je gémis de plus en plus. Je ne sais plus où j’en suis, dans ma tête les scènes se mélangent, mon chéri est à un moment derrière moi, puis dessous moi. Je tente de me fixer, il est dessous moi, et j’entame des vas et viens rapide sur sa queue. Je mime un mouvement de va et viens, comme si je faisais l’amour à Guillaume, toujours plus vite, plus fort.

Très vite je sens mon plaisir monter, je n’en peux plus, mon visage se plaque sur mon oreiller, étouffant ainsi mes gémissements. Je cris de plus en plus, jusqu’à ce que ma jouissance explose dans tout mon être. Je me sens enfin libérée, apaisée, tandis que des spasmes me parcourent le corps.

Je m’affale entièrement sur mon lit, reprenant mon souffle. Mon esprit lui divague encore, pensant à Guillaume, son corps, son sexe. Je me sens bien mieux, plus légère mais malgré le plaisir ressenti pendant ma masturbation, je ressens un manque de sexe. Je désire surtout celui de mon chéri, je me dis, vivement la fin des vacances que je puisse le retrouver.

Je reste allongée, entièrement nue dans mon lit, laissant mon esprit s’égarer. Dans le silence de la nuit, je peux entendre un léger bruit, un gémissement venant de la chambre de ma mère. Je souris seule dans ma chambre, sans doute a t’elle entendu mes cris, puis elle s’est excitée au point de se donner du plaisir à présent.

Je tends l’oreille, cherchant à l’entendre de nouveau, puis encore une fois un gémissement se fait entendre. Je me laisse emporter par ces sons familiers, puis doucement je dirige de nouveau mes doigts vers mon intimité.

J’imagine ma mère se donnant du plaisir, là de l’autre côté du mur, elle aussi allongée entièrement nue. Je laisse mon imagination prendre le relais, puis, petit à petit, je me mets à penser à Nora et sa mère.

Toute cette discussion que j’ai pu avoir avec Nora aujourd’hui, et nos petites confidences. Je sais qu’elle aussi de son côté se masturbe en écoutant sa mère faire l’amour, alors je me mets à l’imaginer. Sa façon de se toucher, d’être attentive aux moindres sons venant de la chambre de sa mère.

Mon clito est déjà très excité, et encore sensible de la masturbation précédente. Très vite mon plaisir fait surface, il est là, se concentrant de plus en plus en ce point. Les gémissements de ma mère m’emportent toujours plus loin, mes pensées s’entremêlent entre Nora, sa mère puis la mienne.

De l’autre côté du mur, je peux entendre des gémissements plus rapide, elle est sur le point de jouir. Je ne tarde pas non plus, mon corps sensible à la moindre caresse m’électrise à chaque mouvement de mes doigts.

Je laisse moi aussi paraître quelques gémissements de plus en plus rapide et fort. Puis dans les derniers cris de ma mère, je jouie également de mon côté, dans une série de spasmes puissants. Mon souffle est coupé, puis mon corps se contracte avant de se relâcher.

J’apprécie avec toujours autant de plaisir, ressentir tout ce courant me parcourir le corps. J’adore ça, j’adore la sensation que tout cela me donne. Je reprends mon souffle tout doucement, pensant une nouvelle fois à Nora.

Je ne sais pas si j’ai été de bon conseil, je sais seulement qu’elle avait l’air d’être plus rassurée lorsque je suis partie. En tout cas, j’espère que mes conseils ont pu la libérer, et si c’est le cas, j’imagine qu’elle va maintenant se masturber en écoutant sa mère sans en avoir honte.

Je souris toute seule dans mon lit, imaginant tout cela, j’ai envie de savoir, d’avoir cette réponse. Nous allons sans doutes nous revoir dans la semaine, et sûrement que nous aurons encore des choses à nous confier, qui sait.

En attendant ce jour, je ferme les yeux, je me sens beaucoup mieux, apaisée, libérée. Je m’endors doucement, le sourire aux lèvres pendant que mon esprit divague en pensant à …
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