chapitre 139 image
Après tout ce que m’a raconté ma mère ce soir, je dois dire que je l’envie beaucoup. J’aimerais moi aussi pouvoir passer toute une nuit avec Guillaume à faire l’amour. J’ai eu cette occasion, j’en ai profité mais pas assez je pense.

Nous n’avions plus de préservatifs, c’était la raison principale pour laquelle je n’ai pas pu lui faire l’amour toute la nuit. J’aurais sans doute pu le faire sans, comme la fois dans la douche ou même récemment au cinéma. Mais ce soir là, j’avais peur de mal faire, ou je ne sais plus vraiment.

Après avoir dîné rapidement, ma mère fatiguée par toutes ces activités avec Marco est partie se coucher, tandis que je reste dans le salon à regarder la télé. Je tourne en rond, j’envoie des messages à mon chéri, mes amis, pour discuter un peu.

Mais ce soir mon chéri est occupé à jouer en ligne avec Charles et Jonathan, alors je le laisse tranquille. Pareil pour Kévin et Estelle ne répond pas, je me demande d’ailleurs ce qu’elle peut bien faire. Je reste ainsi allongée dans le canapé, puis j’entends la voix de ma mère. Elle semble être au téléphone, elle rit, parle, je pense qu’elle doit être avec Marco.

En écoutant sa voix, ses rires, son histoire refait surface, peut-être sont-ils en train d’en parler également ?
Ah si seulement Guillaume pouvait être là avec moi, je me sens follement excitée, j’ai moi aussi envie de crier mon plaisir. Malheureusement je suis seule et cette histoire ne cesse de tourner en boucle dans ma tête.

En écoutant toujours ma mère parler, je me laisse peu à peu emporter par une douce caresse. Hier soir j’imaginais ce que pouvait faire ma mère avec Marco, ce soir, je me rejoue les scènes décrient par elle.

Très vite j’ai chaud, je me caresse comme je sais si bien le faire. Au tout début par-dessus mes vêtements, puis mes mains arrivent à même ma peau. Je me dis que je devrais aller dans ma chambre, où je serais plus à l’aise pour continuer. Mais il y ce côté de moi qui me dit de rester là, je sais qu’il n’y a pas de mal entre ma mère et moi, qu’elle peut très bien me surprendre, que la situation sera à la fois plaisante et excitante pour toutes les deux.

Alors je me débarrasse de mes vêtements, j’adore être totalement nue lorsque je me touche. Ma main gauche s’occupe de mes seins, tandis que ma main droite vient s’activer sur mon petit minou tout lisse.
Dans mes pensées, je vois ma mère, debout contre cette fenêtre à se faire prendre sauvagement. Mon imagination me transporte complètement, mon corps ressent déjà cette tension, ce courant s’accumuler au creux de mes reins.

Je repense également à ce qui s’est passé avec Guillaume au cinéma, je comprends ce qu’a pu ressentir ma mère ainsi exposé à cette fenêtre, car j’ai vécu pour ainsi dire, pratiquement la même situation.

Je continue mes caresses de plus belle, je suis au bord de l’orgasme, tandis que mes gémissements ce font entendre. Je ne tiens plus, vraiment plus, alors j’accélère le mouvement de mes doigts sur mon petit bouton gonflé. Mon corps se contracte de plus en plus, ma bouche ouverte n’émet aucun son et dans un mouvement, je me cambre et viens crier mon plaisir libérateur.

Mon corps en tremble en ressentant le courant me parcourir, j’ai le souffle lourd, court, mes doigts sont trempés, je les porte à mes lèvres pour les lécher, je les savoure, les nettoies. Je tends l’oreille pour entendre la voix de ma mère, mais plus rien. C’est le silence total, à part le son de la télé.

Il me faut quelques minutes pour émerger de ce brouillard, dans ma tête les pensées s’entremêlent. Mon chéri et moi au cinéma, ma mère et Marco près de cette fenêtre. Parfois je me dis que je voudrais être une petite souris pour voir tout ce qui se passe d’intime, ou alors avoir un pouvoir comme dans les films. Remonter le temps, ou alors être invisible et assister à toutes ces scènes.

Je reprends mon souffle, puis je me redresse pour regarder autour de moi, rien, personne, ni dans le salon, ni dans le couloir. Je pensais sincèrement que mes gémissements attireraient l’attention de ma mère. Je me lève alors, je prends mon T-shirt et ma culotte dans ma main, puis me dirige toute nue vers ma chambre.

Je titube légèrement, cela faisait longtemps que je ne mettais pas masturbée, mais je n’ai pas du tout perdu. Au contraire mes doigts savent toujours comment me faire plaisir.

En arrivant devant ma porte, je regarde celle de ma mère qui est fermée. Je suis curieuse alors j’attrape la poignée pour l’abaisser doucement. Sans un bruit je l’ouvre, je remarque que la pièce est sombre. Je glisse ma tête à l’intérieur, la lumière du couloir éclaire peu, ma mère est allongée, profondément endormie.

Elle devait vraiment être fatiguée pour s’endormir aussi vite et à cette heure-ci. Je referme sa porte, puis je regagne ma chambre dans le silence. Il est à peine 21H, je vais me mettre dans mon lit, écouter de la musique jusqu’à m’endormir.
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