chapitre 72 image
Il est à peine 22H, quand nous passons tous à la douche un par un, mais avant mon tour, Jordan vient me voir dans ma chambre. Mon cousin me sourit, il à l’air hésitant, puis il ouvre mon tiroir, regarde à l’intérieur, avant d’en sortir une petite culotte en dentelle blanche, quasiment transparente tout autour.

Un souvenir d’un petit défilé entres mes amis et moi. Je lui souris à mon tour, comprenant qu’il n’à pas oublié ce petit jeu que je lui accorde. Je me dirige vers la douche, l’eau est chaude, ce petit moment me fait toujours du bien, je pense à beaucoup de choses, tout en me vidant la tête.

Un moment intime avec soit même, je suis toujours souriante en pensant à Jordan, qui doit m’attendre, impatient. Je finis de me doucher, me sèche, après quoi, je le retrouve dans sa chambre. Ma culotte est disposé sur son lit, mon cousin est assis devant moi, il me regarde attentivement.

Je saisis ce petit bout de tissu, un bien précieux pour Jordan, un moment excitant pour moi, puis doucement, dans des gestes lents, je lève mes jambes, ma culotte glisse parfaitement, je la remonte, ondule légèrement devant lui, jusqu’à la mettre entièrement. Une fois ma petite culotte enfilé, je me tourne sur moi-même pour lui montrer comment elle me va.

Ce petit jeu semble beaucoup lui plaire, ses yeux me fixent, son sourire en dit long sur son plaisir, bien que ça ne remplace pas vraiment ce que nous avons vécu. Mais il reste satisfait de voir en partie mon corps, même au travers de ces quelques bouts de tissu. Lors de ces moments, je ne contrôle plus rien, je suis comme guidée par mon excitation, comme un papillon attiré par la lumière.

C’est toujours après qu’un autre sentiment vient prendre place, je pense à Guillaume, et je commence à avoir une mauvaise opinion de moi. Je n’ai pas vraiment le temps de penser à tout ça, que nous nous retrouvons très vite dans la chambre de Karine, pour regarder un film sur son ordi. Mais difficile de choisir puisque nous avons déjà vus la plupart. Pendant la recherche et la suggestion d’un film, nous discutons un peu, ce qui me permet d’oublier peu à peu mes dernières pensées.

Au bout de dix minutes à chercher Karine semble vouloir lâcher l’affaire. Puis elle nous dit tout en rigolant que l’on pourrait regarder un film de cul. Nous ne savons vraiment pas quoi lui répondre, à part Jordan qui lui demande si elle a réellement des films comme ça.

Elle rigole toute seule en voyant nos têtes, surtout que c’est une proposition en l’air, puisqu’elle n’en a pas. Mais bon, elle ne sait pas du tout quoi mettre, et personnes n’a d’idée à proposer. Anthony nous dit que nous pourrions jouer à un jeu pour changer un peu.

Karine est partante mais elle ne veut pas aller chercher les jeux de sociétés qui sont à la maison. Jordan se propose donc d’y aller, toutefois, Anthony à une autre idée en tête. Il nous propose en montrant une bouteille vide, de jouer à action ou vérité.

Jordan est un peu perdu, tandis que Karine et moi rions. Ce jeu ne nous enthousiasme pas du tout, surtout que nous sommes jeune, donc peu de vécu, peu de vérité à avouer. Seul les actions pourraient êtres intéressantes, mais là encore, je pense que nous serons très vite à court d’idée.

Anthony avoue que son idée manque d’originalité, mais qu’il aurait aimé nous donner des gages bien sympas. Je suis curieuse de savoir ce qu’il avait en tête, je lui demande de nous donner un bref aperçu. Il pensait à des actions toutes bêtes, tel que faire des pompes, des acrobaties ou autres. En soit rien de vraiment extraordinaire surtout qu’il nous a déjà mis au défi de faire des choses bien plus coquines.

En parlant de nous mettre au défi, je me rappelle avoir gagné la course contre lui aujourd’hui. Il est d’accord, j’ai gagné, mais nous n’avons rien parié, et je dois avouer que je suis partie trop vite pour ça en effet. Je tente tout de même d’obtenir une récompense de sa part, et après lui avoir fait les yeux doux il finit par céder.

Je cherche alors une idée, quelque chose qui pourrait être sympa, mais je ne trouve rien. Karine me dit que je pourrais lui demander un massage. Je dois avouer qu’à ce moment là, des souvenirs de mes massages avec ma mère ont très vite refait surface, cela me plaît beaucoup et j’approuve de suite.

Sans trop y réfléchir d’ailleurs, car dans mes souvenirs, mes massages avec ma mère ce pratiquait nue, pour être plus à l’aise des deux côtés. Je ne pense pas que nous irons jusque là, du moins je l’espère, Anthony est d’accord pour me faire un massage, mais Karine ayant eu l’idée, en voudrait bien en avoir un aussi.

Anthony lui dit qu’il s’est engagé envers moi, surtout que cette course ne nous concernait que tous les deux. Mais il lui dit que Jordan pourrait très bien lui en faire un. Karine est partante, et pour l’occasion elle cherche dans ses affaires, pour en sortir le cadeau que maman et moi lui avons offert, c'est-à-dire, le panier d’huiles et de bougies parfumés.

Karine demande aux garçons de fermer leurs yeux afin de pouvoir nous mettre plus à l’aise. Je suis un peu gêné sur le moment, je pensais plutôt recevoir le massage au travers de mon T-shirt. Les garçons ayant fermés leurs yeux, je vois Karine retirer son T-shirt devant moi, pour se retrouver en petite culotte rouge, plutôt sexy d’ailleurs.

A ce moment là, j’hésite un instant, je pense à mon chéri, mais je dois avouer que la situation me plaît beaucoup, et commence à m’exciter. Je repense au massage que m’a fait Jordan une fois. Je voulais le provoquer, mais là je ne suis pas seule avec Jordan. Tout en regardant Karine devant moi, je fais alors de même, je me retrouve en culotte.

Karine me regarde attentivement en me souriant, j’oubliais alors le petit jeu avec Jordan, et la culotte qu’il m’a choisi ce soir. Je ne sais plus du tout ou me mettre, ma culotte est pratiquement transparente tout autour, seul mon intimité est caché par un petit triangle plus épais.

Je me dis que je peux aller me changer vite fait dans ma chambre, mais en voyant Karine me sourire et me faire un clin d’œil je ne pense plus à tout ça. Je la regarde attentivement, puis je comprends que sa culotte est pratiquement la même que la mienne.

Elle se tourne, sa culotte est en dentelle, et laisse également transparaître sa peau, mais beaucoup moins que moi. Ce moment là m’excite de plus en plus, je la suis, puis nous nous installons toutes les deux sur le lit. Karine nous choisi une huile parfumée à la lavande, l’odeur est douce et très agréable, et les garçons prennent places.

Il n’y a aucun commentaire sur ce qu’ils peuvent voir, j’avoue tout de même que j’ai très envie de savoir ce à quoi ils pensent à ce moment là.

Je me rends compte que l’idée de ma cousine est assez coquine en soit. Se retrouver toutes les deux en petite culotte uniquement devant Anthony et Jordan. J’ai déjà fait beaucoup plus avec Jordan, mais cette situation est particulière. Je ressens sur mon dos l’huile qui se déverse en petite goûte, puis les doigts de mon cousin qui viennent se poser sur ma peau.

Du bout de ses doigts, il étale lentement l’huile en faisant de petit cercle. Cela me donne un léger frisson, puis sa main se pose entièrement sur moi, et commence délicatement ce doux massage. Je jette un regard vers Karine, elle a les yeux fermés, elle semble apprécier ce que son frère lui fait. D’ailleurs en regardant vers Jordan, je le vois un peu gêné mais en même temps très attentif. Je me demande d’ailleurs ce à quoi peut bien penser Karine également, et ce qu’elle ressent au font d’elle.

Nous sommes toutes les deux allongées en petite culotte et l’ambiance est calme. Karine se redresse un peu pour prendre son ordi et cherche une musique apaisante. Dans sa façon de se tenir, les seins de ma cousine sont pratiquement visible de mon point de vue, les massages de mon cousin ce font moins précis. Je me doute bien qu’il doit regarder un peu la poitrine de Karine également, seul Jordan ne voit rien de là où il est.

La musique nous relaxe, tout comme le massage que nous recevons toutes les deux. Je me sens si bien, mais ce n’est pas le cas pour nos masseurs qui n’ont pas une position très confortable. Anthony me demande s’il peut s’installer sur moi pour être plus à l’aise, je lui dis que oui, et Karine autorise également Jordan à en faire de même.

Cette position change totalement leurs façons de nous faire ce massage, je dois dire que c’est beaucoup mieux. Je me laisse aller en douceur, au rythme de la musique ainsi qu’aux mains de mon cousin.

J’ouvre légèrement les yeux à un moment, je vois Karine qui se laisse complètement aller et Jordan qui semble faire des signes à Anthony. Je souris discrètement, en essayant d’imaginer ce qui peut bien leur passer par la tête.

Karine brise un instant le silence en demandant à son frère de lui masser le bas du dos, il s’exécute, mais en le voyant faire je sais qu’il est embêté par quelque chose. Je vois la main de Karine se diriger vers le bas, elle attrape doucement l’élastique de sa culotte, et l’abaisse légèrement.

En voyant le regard de Jordan sur sa sœur, je devine qu’il est totalement surpris, d’ailleurs, mon massage est également interrompu. Anthony est sûrement en train de regarder ce qui ce passe chez son voisin, alors je décide de lui demander la même chose, tout en abaissant également un peu ma culotte.

Qu’est-ce que c’est bon de se faire masser, cela m’excite de plus en plus. A un moment où Anthony s’est redressé, j’ai pu sentir sur le bas de mes fesses comme une forme. Je devine peu à peu que ce sont les bourses de mon cousin que je ressens là, elles bougent doucement contre mes fesses, et ça me mets dans un état…

Ma main vient abaisser encore un peu plus ma culotte, je sens que mes petites fesses ne sont plus totalement caché, bien que le tissu laissé déjà transparaître cette partie de mon corps.

Les mains d’Anthony viennent s’activer là où ma peau s’est dénudée et je dois avouer que c’est très agréable. Je repense au massage de ma mère, où elle avait clairement les mains posées sur mes fesses nues.

Karine demande à son frère de bien vouloir lui masser les jambes, sans attendre, Jordan se glisse plus bas et commence. Je n’ai pas besoin de le demander à Anthony, il se déplace également vers les bas et commence alors un massage sur mes pieds.

Je n’ouvre pas les yeux, mais je devine que les garçons doivent se dire des choses par leurs gestes ou leur regard. Doucement ils remontent sur les mollets puis les cuisses, alors Karine laisse échapper un petit gémissement.

De mon côté j’ai légèrement écarté mes jambes pour que mon cousin puisse s’installer au mieux. Je ne doute pas que son regard doit parcourir mon corps et surtout mes fesses et mon entre cuisse. Mais j’avoue que sentir ce regard sur moi, m’excite complètement.

Je sens les mains d’Anthony remonter encore plus haut, mais il semble timide et n’ose pas s’approcher de mes fesses. Pourtant j’ai très envie de sentir les mains de mon cousin se poser sur cette partie de mon corps. Je repense de nouveau au massage de ma mère, qui m’écartait mes fesses nue, je deviens totalement humide je le sens, mais, qu’est-ce que je fais là ?

Pourquoi est-ce que je me sens aussi excitée ? Je me suis complètement perdue, je pense à Guillaume à ce moment là, mais j’ai également envie de sentir les mains de mon cousin se poser sur mes fesses. C’est tout à fait contradictoire, j’en désire plus et en même temps je voudrais que ça s’arrête.

Les mains d’Anthony remonte lentement le long de mes cuisses, je sens une chaleur m’envahir un peu plus haut, je commence légèrement à gémir aussi. Mes pensées envers Guillaume se dissipent peu à peu, je ne sais plus quoi faire.

C’est Karine qui me sort de mes pensées, elle s’est légèrement redressée et retournée vers les garçons. Elle leur propose d’échanger les places et que ce soit à notre tour de les masser. Je dois dire que je suis surprise, tout comme les garçons, mais cette proposition tombe à point. Je ne savais plus du tout quoi faire, ni comment m’en sortir.

J’ai sûrement l’air un peu perdu, déboussolé, mais cette chaleur dans mon ventre est bel et bien présente.

Karine se redresse en cachant ses seins, et demande aux garçons de se mètrent à l’aise. Ils se redressent mais nous demande également de fermer les yeux. Karine ne comprend pas puisqu’ils vont simplement être en caleçon, qu’il n’y a pas de sein à cacher. Mais je rattrape le coup en disant à Karine de jouer le jeu, et je me sers surtout de ça comme prétexte, pour fermer les yeux et me changer les idées.

Ce fut un court instant, qui m’a au moins permis de me ressaisir. Les garçons s’installent à leur tour sur le lit, et nous nous mettons en place directement sur eux. Nous sommes toujours seins nus, nous avons donc donnés comme consigne aux garçons de ne pas ouvrir les yeux.

Karine : alors, c’est bien mieux qu’un film de cul et un jeu d’action/ vérité ahaha
Anthony : oui, mais dans un film de cul, on aurait vu des filles toutes nues
Karine : oui mais là, tu as tout de même eu deux jolies filles rien qu’en petite culotte
Anthony : pas faux, mais à action ou vérité peut-être que vous seriez vraiment nue ahaha
Karine : ahaha ne rêve pas trop mon cousin

Anthony rebondit très vite sur certaines situations je trouve, et Karine, elle, bien qu’elle soit très coquine et folle, arrive toujours à remettre les choses en place. Le massage des garçons ce fait dans le silence, seul la musique occupe la pièce.

Je suis installée sur Anthony, tout comme ma cousine sur son frère. En lui massant le dos, je ressens entres mes jambes cette sensation que je connais très bien, ma culotte est humide. Mais je suis gênée, je pense beaucoup à Guillaume, au fait que ces situations ne devraient pas m’arriver.

Je dois avouer que pour la suite, je n’étais plus trop dans l’ambiance. Mes mains ont bougés, elles étaient au contact, mais mon esprit lui était ailleurs. Je sais que je n’ai pas massé mon cousin comme il l’a fait pour moi, mais j’ai fait de mon mieux. Mes pensées sont troublées, ou plutôt dirigé vers Guillaume.

Il est pratiquement minuit lorsque nous terminons le massage, avec Karine nous remettons nos T-shirt avant que les garçons n’ouvrent les yeux. Ma cousine me regarde toujours avec un sourire coquin, je lui souris également, mais je ne dois pas afficher la même expression qu’elle sur mon visage.

Je regagne calmement ma chambre, prends mon téléphone pour en voir plusieurs messages de Guillaume, mais aussi un de Thierry…
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