chapitre 134 image
Mercredi matin, mon réveil sonne, j’ai passé une bonne nuit, je ne sais plus de quoi j’ai rêvé, mais je sens que ma culotte est poisseuse. Ma nuit a sans doute été agité, dommage que je ne me rappelle de rien.

En tout cas, je suis en forme, super motivée, surtout super excitée. Je ne tiens vraiment plus après toute cette attente. Un rien me fait penser au sexe, c’est fou comment je peux devenir obsédée lorsque je suis en manque.

Au petit déjeuner je retrouve ma mère comme d’habitude, puis une fois fini, je me prépare, et je trace ma route. Comme à l’accoutumé je retrouve mes amis et mon chéri devant le portail. Je les salut, on se raconte un peu nos soirées, mais aussi les dernières histoires.

En parlant d’histoire, nous avons eu des nouvelles de Marguerite, elle va semble t’il mieux, mais ses parents, par précaution, ont décidés de la changer d’établissement. Ce que je peux tout à fait comprendre, car je pense que je n’aurais plus remis les pieds ici après une telle histoire.

Surtout craignant le regard et le jugement des autres. Mais bien qu’elle ne soit plus ici, les règles restent inchangées pour le moment, ce qui favorise grandement le travail des professeurs.

Le temps passe lentement, mais heureusement que nous n’avons que la matinée de cours. Enfin l’heure de la délivrance sonne, je prends mes affaires avec moi, puis je retrouve tout le monde à la sortie. Nous discutons un instant avant de nous quitter comme d’habitude, pour qu’enfin je puisse profiter de mon chéri seul à seule.

Je suis déjà en train de rêver à tout ce que je vais lui faire en arrivant chez moi, et je devine à sa façon de me regarder, de me tenir qu’il en a envie lui aussi. Nous échangeons quelques sourires complices quand Charles nous propose de se faire un cinéma.

Non mais pourquoi il nous propose ça maintenant ? Qu’est ce que j’ai fait au ciel pour que mes plans tombent toujours à l’eau ?

Je ne sais pas quoi dire, mais je n’ai clairement pas envie d’aller au cinéma maintenant. Mais bon, ma personnalité fait que je ne sais pas dire non, de peur de blesser quelqu’un ou de mal faire. Alors je laisse les autres en parler, en espérant que ce plan improvisé soit avorté.

Mon chéri dit qu’il n’est pas très chaud, mais apparemment, il y a un film qui vient de sortir et qu’il faut absolument aller voir. Lorsque Charles prononce le titre « x-mens origine : Wolverine », cela à fait tilt chez Estelle.

Estelle : attends c’est le film avec Hugh Jackman ?
Charles : exact, alors intéressée ?

Estelle me prend alors par le bras me disant qu’il faut aller voir le film, elle est clairement excitée comme une puce, je le suis également, mais pas pour la même raison. A cet instant c’est comme si on avait balancé un seau d’eau sur le feu que j’avais depuis deux semaines.

Mais bon, je ne sais pas dire non, alors je leur dit oui pour un après-midi cinéma. Kévin, Charles et Jonathan sont clairement enthousiasmé d’aller voir le film, après tout c’est leur monde, Estelle, elle, y va pour voir un acteur.

Sur le chemin, Guillaume me dit qu’il est désolé, qu’il n’avait pas du tout prévu cela. Mais ce n’est pas de sa faute, alors je ne vais pas lui en vouloir. Et d’ailleurs je ne peux en vouloir à personne, car comme le dit Jonathan, ça fait un bon moment que nous n’avons rien fait ensemble.

J’envoi tout de même un texto à ma mère pour la prévenir, au cas où elle rentrerait avant moi. Nous arrivons au cinéma, à l’affiche nous arrivons juste à l’heure, et il y a beaucoup de monde présent. Nous faisons la queue, je suis un peu déçu de ne pas me retrouver seule avec mon chéri, mais je me dis que je passe tout de même du temps avec lui, ce qui me réconforte.

Devant nous les personnes défilent, certains partent en étant frustré, tandis que d’autres mettent du temps à laisser la place au guichet. Il semble y avoir un souci, et pour sûr, la séance affiche complet pour le film que nous venons voir.

Les garçons sont répugnés, ils avaient tellement hâte de le voir, surtout ensemble. Nous sortons de la queue, on se demande quoi faire alors, puisque nous avons marché jusque là pour voir ce film, cela paraît un peu bête de se quitter maintenant que la salle est complète.

Estelle nous dit alors que l’on pourrait attendre la prochaine séance, mais elle est un peu trop tard. Et ce n’est pas tout le monde qui peut se permettre de rentrer à l’heure qu’il veut, surtout que l’après-midi cinéma n’était pas du tout prévu. Alors nous décidons d’aller voir un autre film.

Pendant que nous faisons la queue à nouveau, on se décide pour un film, mais honnêtement, ce qui reste à l’affiche n’est vraiment pas terrible. Nous avons loupé les autres séances qui valaient le coup, donc nous voilà à s’orienter vers un film qui ne me paraît pas fun du tout.

Ce qui me mets la puce à l’oreille, c’est lorsque l’on rentre dans la salle qui est pour ainsi dire, vide. Vide car il n’y a vraiment que nous dedans, oh et un monsieur assez âgé ainsi qu’une autre dame.

Nous prenons place, et vue qu’il n’y a personne, on se permet de se mettre où on veut. Charles et Jonathan s’installe plus bas, Kévin et Estelle à deux rangés de nous, légèrement sur la droite, tandis que nous sommes, Guillaume et moi, sur les rangés du haut.

Le film commence, je ne m’attends pas à quelque chose de spécial, c’est ce que je fais toujours pour les films, je pense que c’est une manière de ne pas être déçu au final. Mais ce qui est drôle c’est qu’en regardant le début du film, j’ai l’impression de me retrouver un peu, un enfant vivant seul avec sa mère qu’il aime.

Heureusement pour la mienne, je ne suis pas jalouse qu’elle ramène des hommes à la maison. On en parle d’ailleurs un peu avec Guillaume pendant la séance, puisqu’il trouve que l’actrice ressemble fortement à ma mère. En y regardant bien, il n’a pas tord, ses cheveux, sa silhouette et sa façon de parler aussi.

Curieuse comme je suis, je me mets à le questionner sur ma mère, de comment il la trouve. Il est un peu mal à l’aise de me dire ça, mais je veux savoir, je lui tire les vers du nez comme je peux. Puis il finit par m’avouer qu’il trouve ma mère très belle, et que je tiens ça d’elle.

Ce qui me fait rougir, et je le rassure, il a le droit de trouver ma mère très belle car c’est vrai. A peine avons-nous finit de parler d’elle, que voilà l’actrice complètement nue à l’écran, il n’y a pas de doute, elle ressemble trait pour trait à mère. Ce que je laisse échapper à voix haute, Guillaume est quelque peu surpris, et je mets à le pincer, lui disant de ne pas regarder ma mère nue.

Ce qui est totalement absurde, puisque ce n’est pas elle, mais on s’amuse comme on peut. Nous rions doucement tous les deux à l’arrière, puis dans mon geste je l’ai quelque peu touché au niveau de l’entre jambe.

Je me stop net en le regardant, et lui demandant s’il est réellement en train de bander en ayant vu l’actrice nue. Ce à quoi il me répond oui, mais aussi du fait qu’un rien l’excite en ce moment, vu que nous n’avons rien fait depuis des semaines.

Je le rassure que je suis dans la même situation, et que j’aurais vraiment aimé être avec lui chez moi, plutôt qu’ici. Mais ça me rassure, je croyais l’espace d’un instant qu’il bandait en imaginant ma mère nue, vue la scène et la ressemblance avec l’actrice.

Mais maintenant que je lui dis ça, ses pensées sont vraiment orientés vers ma mère, alors je le pince, mais je le sais, c’est de ma faute. Toutefois, ce petit jeu, et savoir qu’il bande juste à côté de moi commence à me titiller.

Je laisse donc ma main aller sur sa cuisse, puis se poser directement sur son paquet que je caresse au travers du jean. Guillaume est surpris, il me demande ce que je fais là, je lui dis que je m’en veux, car c’est en partie ma faute si nous n’avons rien fait depuis deux semaines, et surtout que le film n’a pas l’air captivant, puisque nous faisons que de parler depuis le début.

Mes caresses et mes arguments ont eu raison de lui, aussi il se rapproche de moi pour m’embrasser tendrement. C’est fou comment il a pu me manquer, même pour une chose aussi simple. Puis se laissant aller un peu plus, sa main gauche vient se poser sur mon sein, pour commencer à le caresser.

Le monsieur âgé tousse deux fois, ce qui nous tire de notre petit monde, pour nous redresser et faire comme si de rien n’était. On se met à pouffer de rire, ce qui attire l’attention d’Estelle, qui nous sourit.

Nous essayons de suivre le film pendant quelques minutes, puis je ne sais pas pourquoi, ni qui à commencé, mais nous voilà de nouveau à nous embrasser, nous caresser. Cette fois nous nous faisons le plus discret possible, profitons de ce moment à nous.

Guillaume finit par glisser sa main sous mon haut, pour caresser mon sein à même la peau. J’avoue, ce contact m’électrise complètement, surtout au moment où, il me dit avoir terriblement envie de moi.

Je m’arrête alors un instant, je regarde autour de moi, personne derrière nous, et les autres semblent suivre le film. Alors je lui glisse à l’oreille, de baisser son pantalon, et d’en sortir sa queue. Guillaume se met à regarder tout autour aussi, puis hésitant quelque peu, il fait ce que je lui ai demandé.

L’éclairage du film me permet de voir son sexe bandé, une vision que je trouve toujours aussi belle. Sans tarder, et le plus discrètement possible, je reprends mes caresse, cette fois-ci directement sur son sexe. Guillaume gémit tout en m’embrassant, j’adore le fait de contrôler son plaisir, et j’avoue que cette situation m’excite de plus en plus.

Je jette toujours un regard rapide autour de moi, ne voulant pas être surprise. La peur mêlé au plaisir m’excite toujours plus, aussi je me penche pour venir déposer ma bouche sur le sexe chaud de mon chéri.

Je sais que je surprends totalement Guillaume, vu comment il a sursauté en posant ses mains sur mon épaule et ma tête. Mais je lui fais tellement du bien qu’il ne peut m’arrêter, il se contente simplement de se contenir au mieux pour ne pas trop gémir.

Je me relève un instant, toujours dans la peur d’être surprise, je lui demande au passage s’il aime ce que je lui fais là. Ses yeux ne me mentent pas…

Guillaume : si tu savais comment je suis heureux en ce moment
Moi : chut, doucement, on pourrait nous entendre
Guillaume : ouvre ton pantalon, que je puisse te caresser aussi
Moi : je ne sais pas si ça sera possible, mon jean est plutôt serré
Guillaume : oh mon cœur, j’ai tellement envie de toi, envie de te faire plaisir

A ses mots, nos bouches se rejoignent à nouveau, on s’embrasse avec fougue. Je le désire tellement aussi, je le sens combien mon intimité est humide. Je caresse toujours son sexe de ma main droite, mes yeux s’ouvrent, faisant un tour de salle, personne ne nous regarde.

Dans ma tête tout s’emmêle, je pense à tant de choses, mais je ne suis plus moi-même, je suis totalement excitée par mon chéri, par toute cette situation.

J’arrête soudainement d’embrasser Guillaume pour me placer dans mon fauteuil, regardant attentivement la salle et les personnes présentent. Mon chéri ne comprend pas, il me demande si je vais bien, s’il a dit ou fait quelque chose de mal.

Je ne réponds pas, je reste silencieuse durant quelques seconde, puis dans ma tête, tout devient clair. Je relève alors légèrement mon bassin, retirant ma ceinture, et abaissant au plus vite mon jean. Je regarde toujours autour de moi, comme pour me rassurer de ma décision, Guillaume me demande également si je vais bien.

Je lui dis alors que je veux lui faire l’amour, mes chaussures me gênent, alors je les enlève, s’en suit mon jean, ainsi que ma culotte.

Guillaume : tu es folle, et si on nous surprend ?
Moi : si on ne fait pas de bruit, ça ira, et j’ai tellement envie de toi
Guillaume : moi aussi, mais tu es sûre de toi ?
Moi : tout ça m’excite complètement, tu ne peux pas savoir à quel point, et je te l’ai déjà dis, je suis prête à tout pour toi
Guillaume : euh, mais on n’a pas de capotes
Moi : t’inquiète je gère pour ça, fais moi de la place

Sans plus attendre, je viens me placer au dessus de Guillaume, attrape son sexe tendu, puis le glisse en moi. Je suis actuellement tellement excitée, tellement humide, que son sexe entre en moi sans problèmes.

Le sentir en moi me provoque déjà un courant électrique qui me parcours le corps entier, que je suis obligée de le mordre dans le cou, pour refreiner mon gémissement. Je ne bouge plus, la sensation est incroyable, le faire sans capotes est tout simplement fantastique. Pour lui aussi je suppose, mais c’est surtout la situation dans laquelle nous sommes qui me fait vibrer.

Faire ça ici, dans cette salle de cinéma non loin de nos amis, et de personnes totalement inconnues. Je me retrouve dans un autre monde, je suis excitée comme jamais, puis je commence mes vas et viens.

Il faut faire vite, ne pas provoquer la chance qu’on a de ne pas avoir été surpris jusque là. J’embrasse avec passion mon chéri, pour étouffer nos gémissements, tandis que j’accentue mes mouvements de bassin.

Guillaume : oh, oh, je n’arrive pas à croire qu’on le fait vraiment
Moi : moi non plus, mais c’est tellement bon, oh
Guillaume : tu es incroyable, ah… tu ne cesse de me surprendre
Moi : je te l’ai dis, humm… je suis prête à tout… pour toi
Guillaume : oh chérie, oh… alors j’aimerais une chose…

A peine a t’il finit sa phrase, que ses mains viennent saisir chaque côté de mon haut pour le retirer complètement.

Moi : oh… tu veux que je sois toute nue ? Ahhh
Guillaume : oui mon cœur hummm

Si tel est son désir, alors je défais mon soutien gorge, et me voilà complètement nue dans l’obscurité de cette salle de cinéma. Je n’y avais jamais pensé, même pas en rêve ou en fantasme, mais nous voilà, à faire l’amour, moi entièrement nue.

Guillaume : tu es tellement belle, ahhhhh
Moi : chut… je t’aime humm
Guillaume : je t’aime aussi, humm… mon amour

Je bouge au plus vite, montant, descendant le long de sa queue. Toute cette situation m’emporte, je sens au creux de mes reins ce plaisir que j’aime tant. Toute cette tension s’accumuler, je bouge encore, puis à ce moment là, c’est l’explosion.

Je m’agrippe à mon chéri, aussi fort que je peux, je le mords à nouveau sur l’épaule pour étouffer ma jouissance. Mon corps tout entier se raidi, des frissons me parcours chaque centimètres de ma peau pour qu’enfin, je me relâche.

Je respire un peu, je reprends très vite mes esprits, surtout là où nous sommes, puis je regarde vers l’avant de la salle. Heureusement pour nous, personne ne semblent avoir remarqué quoi que ce soit.

Je demande à chéri s’il a joui, malheureusement non, j’aurais juré l’avoir senti jouir avec moi. Mais j’avoue qu’après avoir eu mon plaisir, la tension est retombé, et je me rends compte des risques que nous avons pris, surtout avec moi qui suis nue.

Mais je ne veux pas le laisser comme ça, bien qu’il me dise que ce n’est pas grave. Je ne sais pas à quel point on en est dans le film, je pense que nous avons encore le temps. Je prends un instant, puis je me retire de mon chéri, son sexe bande très dur, et il brille totalement vu comment je l’ai humidifié.

Il commence à remonter son pantalon lorsque je le stop. Il ne comprend pas ce que je fais là, sans rien dire, je me positionne à genoux devant lui, dans le peu d’espace qui me reste. Je prends son sexe dans ma main, et je viens l’engloutir dans ma bouche.

Guillaume : oh, qu’est-ce que tu fais ?
Moi : humm, c’est pour te remercier de m’avoir fait jouir, et d’être un chéri formidable

Il n’y a plus de place aux mots, seulement aux actes, je reprends ma fellation, enfonçant sa queue au plus profond dans ma bouche, j’ai vraiment beaucoup mouillée, pour avoir laissé tant de cyprine sur son sexe.

Je le suce vite, je suis tellement emporté par ce que je fais là que plus rien n’existe autour. Je le sens gigoté, ses jambes se tendent, ses mains se placent sur mes joues en me disant…

Guillaume : chérie, oh… stop… stop, stop, stop… je vais lâcher… je vais, je….AAAAhhhhhhh AAAhhhhhh

Ses gémissements sont si difficilement retenus tandis qu’il se libère au fond de ma gorge. Une fellation, une jouissance que j’ai voulue, et je suis toujours aussi surprise par la quantité qu’il peut envoyer.

Je crois que j’étais tellement bien qu’il n’arrête plus, j’ai bien dû recevoir six giclés ou plus, tandis que son sexe se contracte encore. J’étouffe avec toute cette quantité au fond de ma gorge, mais le contexte est particulier. Etre totalement nue, au milieu de cette salle de cinéma, parmi nos amis et autres, et faire jouir mon chéri avec ma bouche. Avec tout cela, je me lance, et j’avale son sperme, ici.

Le goût, la texture est bizarre, mais j’avale tout ce que je peux. Il faut m’y reprendre à plusieurs fois tellement j’en ai dans la bouche, ou alors, c’est moi qui ne sais pas y faire. Malgré tout mes efforts, j’en laisse une partie s’échapper de ma bouche, coulant un peu sur son sexe, mais aussi le fauteuil et le sol.

Je me retire doucement en regardant mon chéri droit dans les yeux, il ne trouve rien à dire, sûrement surpris par ce que je viens de faire. Je lui laisse un instant pour récupérer, puis je lui demande comment c’était.

Il me dit que c’était tout simplement incroyable, que « je » suis incroyable, et que c’était complètement fou. Je me relève et me blotti contre lui, toujours nue. D’ailleurs j’avais complètement oublié cela.

Il me regarde, en souriant il me dit que je suis belle, et que je pourrais rester encore ainsi. Je lui donne une petite tape en lui disant qu’il est bête. Je prends mes affaires, cherchant le tout dans le noir, puis je regarde vers nos amis, nous avons vraiment eu de la chance.

Je lance un petit regard vers mon chéri, puis je me lève. Sa surprise est totale, il se demande ce que je fais. Je m’éloigne alors de lui en me dirigeant vers les grandes marches d’escaliers. Je dandine doucement du cul, pour lui donner un spectacle. Je remonte jusqu’aux dernières rangées de sièges, puis je fais le tour de la salle.

Je ne sais vraiment pas ce qui me prend à ce moment là, dans ma poitrine je ressens une sensation déjà vue. Comme celle que j’ai eue lorsque j’ai monté les escaliers de mon immeuble dans le plus simple appareil. Tout mes sens sont en alerte, je suis extrêmement sensible, j’ai peur mais en même temps si calme.

Mon chéri se retourne, il suit mon déplacement des yeux, la bouche ouverte, puis je redescends les grandes marches, pour revenir à mon emplacement, en enjambant Guillaume, déposant au passage un baiser.

Il est toujours surpris, tandis que je me rhabille comme je peux. Il ne trouve plus ses mots, il a même oublié de remettre son pantalon depuis tout ce temps. Il me dit à quel point je suis folle, et à quel point il m’aime.
Folle moi ? Ça ne me ressemble pas pourtant, ou alors la folie d’Estelle a finit par déteindre sur moi. Une fois nos vêtements remis, on se blottit l’un contre l’autre, en s’embrassant de nouveau. Je ris tout doucement en lui disant qu’avec tout ça, on oubliait une chose…

Guillaume : on a oubliait quoi ?
Moi : hey bien, je t’embrasse, alors que tu as joui dans ma bouche, ahaha
Guillaume : franchement, après tout ce que tu viens de faire, je m’en fiche, je t’aime
Moi : Je t’aime aussi

Nous avons regardé sagement la fin du film, je ne sais même plus de quoi ça parle au final, mais peu importe. J’ai passé avec mon chéri un moment que je n’oublierais jamais…
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