chapitre 85 image
Heureusement pour moi le jour suivant, Guillaume ne semblait pas plus affecté que ça, que ma mère nous ait interrompus. Pour mon chéri la situation était très excitante, bien que nous n’avons pas pu aller jusqu’au bout. Il me dit être d’accord pour tenter une nouvelle fois d’aller chez moi après les cours, cependant pas dans l’immédiat.

En tout cas pour moi, le désir est de plus en plus grand, cette chaleur entre mes jambes ne s’est jamais estompé, et j’attends avec impatience le moment où nous pourrons de nouveau le faire.

J’attends ce jour, ce mercredi, où nous pouvons tous les deux allers chez moi sans soucis. Ce jour est enfin arrivé, mais c’est toujours dans les moments que nous attendons le plus, que le temps semble passer le plus lentement.

Pendant les cours je regarde l’heure, cette aiguille qui fait le tour du cadran à son rythme. Un cours après l’autre, j’ai l’impression de ne plus me contenir, je chauffe de l’intérieur. Lorsque je ferme les yeux quelques secondes, j’imagine le corps de Guillaume, nu, entre mes jambes.

J’ai l’impression de perdre l’équilibre alors que je suis assise sur ma chaise. Je reprends mes esprits en me disant de suivre le cours, que ça me changera les idées. Mais rien y fait, l’horloge fixé sur le mur joue avec moi, je pourrais croire que cette aiguille me nargue.

Je tente de souffler comme je peux, en essayant de me reprendre, de suivre ce que dit le prof. J’arrive peu à peu à me calmer, à reprendre mes esprits malgré cette chaleur toujours présente en moi.

En regardant une dernière fois l’heure, le temps semble plus clément avec moi, puisque nous touchons au but. La fin de l’heure, du dernier cours sonne enfin, il est comme un son libérateur pour moi. Mes affaires dans mon sac, je me dirige vers la sortie, où je rejoins Guillaume et mes amis.

Dans les yeux de mon chéri, je peux voir le même désir qui le brûle. Aussitôt nous saluons tout le monde avant de nous mettre en route. Nous ne manquons pas de nous raconter nos cours sur le chemin, mais une fois la porte de l’appartement passer, nous ne sommes plus les mêmes.

Les affaires tombent au sol, je sens mon cœur battre très vite, je me suis en feu, je le veux là maintenant. Une semaine s’est écoulé depuis que nous avons vécu notre première fois, sept jours qui m’ont paru être une éternité, avant de se retrouver là, à nouveau.

Je me suis bien sûr reposer cette question, vais-je avoir mal de nouveau ? Où alors ce ne sera que du plaisir ?

J’ai envie de connaître la réponse, de la goûter, de la vivre. Tout en s’embrassant, nos vêtements tombent peu à peu. Si c’est un jeu de piste, le joueur peut alors voir nos vestes dans la cuisine, suivi de nos T-shirts dans le salon. Mon soutien gorge précède un pantalon dans le couloir, puis un autre à l’entrée de ma chambre.

Lorsque nous arrivons à mon lit, nous sommes tous les deux souriant, sachant que ce moment n’appartient qu’à nous. Guillaume dans un dernier geste se débarrasse de tous vêtements présents sur moi. Je m’allonge en échangeant un dernier regard avec Guillaume, avant de le voir plonger entre mes jambes.

Humm, ce moment, je l’ai tant attendu, je savoure enfin sa langue qui se met à me laper dans les moindres recoins de mon intimité. Elle tourne, glisse, danse sur mes lèvres vaginales. Elle devient de plus en plus experte, elle se fait plus précise, en venant tourner sur mon petit bouton.

Ooohh, c’est là, c’est ici que se trouve toute cette tension, ce désir contenu depuis des jours. Mes mains viennent s’entremêler dans les cheveux de mon chéri, je l’incite à ne plus bouger, à concentrer son jeu de langue sur cet endroit précis.

« Voilà, comme ça, continue », ces mots raisonnent dans ma tête, « ne lâche rien, j’y suis presque »

C’est ce que je voudrais lui dire là maintenant, mais mon plaisir est tellement grand, que je n’arrive pas à en prononcer un mot.

Seuls mes gémissements parcourent la pièce, ils sont forts, de plus en plus rapide. Tout le monde pourrait m’entendre, mais ils sont destinés à une seule personne. La langue de Guillaume est toujours active, je ressens alors ce plaisir atteindre le sommet. J’adore ce moment, je veux le retarder, le contenir, et en même temps le libérer, le crier.

Dans un dernier geste, mon corps se contracte, se raidi, un long et puissant gémissement se propage dans l’appartement. Je jouie, je jouie comme dans mes rêves, comme dans mes pensées qui m’ont hantées depuis plusieurs jours.

Je suis essoufflée, abattu, je ne bouge plus pendant que ce courant me parcoure le corps tout entier. Je ressens cette chaleur se disperser dans mes jambes, dans mon ventre, ma poitrine. Guillaume m’embrasse partout, il remonte vers moi, s’attardant sur mes tétons, devenu sensibles.

Son regard dans le mien, je partage avec lui tout le plaisir que je viens de ressentir, mes mots le font sourire, il est fier de lui, fier d’être celui qui me satisfait. Je l’embrasse savourant par la même occasion mon goût, que je commence de plus en plus à aimer.

Guillaume se relève, puis devant moi, je le vois baisser son caleçon pour enfin laisser apparaître son sexe bandé. J’adore le voir nu, son corps est mince, sec, il est tellement sexy, et il n’est rien qu’à moi. Je lui tends la main, pour qu’il vienne plus près de moi, je reste toujours allongée, tout en l’attirant encore plus. Ces jambes se placent de part et d’autres de mon corps, tout en rapprochant son sexe de mon visage.

Une fois placé au dessus de ma poitrine, j’attrape avec délicatesse son sexe, pour l’amener à bouche. Ma langue tourne, elle caresse son gland, joue avec celui-ci avant que son sexe ne glisse entièrement dans ma bouche.

J’entends Guillaume, qui frémit en voyant sa queue disparaitre entres mes lèvres. J’ai vu pas mal de vidéos sur internet, je voulais tester cette position, connaître la sensation. Je suis à la fois maîtresse de son plaisir, et en même temps non. J’adore ça, avoir le contrôle, puis en même temps n’être que simplement là, à ressentir sa queue glisser toute seule dans ma bouche.

Guillaume gémit de plus en plus, j’ouvre les yeux, cette vue est incroyable. Le voir bouger doucement, la bouche ouverte, gémissant tout en me regardant dans les yeux. Je sens à ce moment là un second orgasme me parcourir le corps.

Comment ?

Je ne me rends compte que maintenant, machinalement pendant que je suçais Guillaume, ma main est venue prendre place entre mes jambes. Je me suis masturbée sans m’en rendre compte, et lorsque j’ai vu mon chéri savourer son plaisir dans ma bouche, je n’ai pu retenir mon plaisir.

Je suis en train de jouir en ayant toujours le sexe de Guillaume dans la bouche, je manque bien sûr de m’étouffer, surtout surprise par mon plaisir. Mon chéri est également surpris, me demande si ça va, je le rassure, lui dit que c’est tellement bon, puis il me sourit.

Je le vois tendre le bras en direction de ma table de chevet, puis en sortir un préservatif. Le moment que je souhaite le plus arrive enfin, je le regarde faire, il déplie du bout des doigts ce plastique, venant recouvrir son sexe bandé.

Doucement Guillaume s’allonge tout contre moi, nous nous embrassons, avec tendresse et désir, pendant que je sens son sexe, cherchait son chemin entre mes cuisses. Avec ma main, je saisis sa queue, la dirige à l’entrée de mon vagin qui est très humide.

Je le sens pousser, je sens de nouveau cette colonne de chair se faufiler entre mes lèvres. J’appréhende une douleur, un picotement, mais rien. Seule une sensation d’être combler se fait ressentir.

Je sens au fond de moi, son sexe me remplir, m’habiter, puis une fois bien installer, nous nous regardons. Nos yeux semblent surpris, nous redécouvrons ce moment, sans ou ayant à peine de craintes.

Je redécouvre ce que ça fait, d’avoir son sexe en moi, puis doucement il se met à bouger, et quelle sensation. J’avais oublié, ce que c’est de ressentir des vas et viens, de sentir cette colonne de chair prendre possession de mon vagin.

Je regarde Guillaume dans les yeux, je gémis chaque fois que je sens son sexe me pénétrer. Je vois sur son visage, le plaisir, le bonheur qu’il ressent à chaque va et viens. Je relève les jambes, cherchant à me placer au mieux, tandis que mon chéri engouffre sa tête dans mon cou.

Son rythme s’est accéléré, son souffle est chaud, rapide. De mon côté, je gémis de plus en plus, savourant chaque pénétration comme si elle était nouvelle. Je m’agrippe à son dos, mes jambes venant également l’encercler.

Guillaume accélère de plus en plus, il se met à gémir plus fort aussi, et dans un dernier coup de bassin, son corps se contracte, et vient me plaquer au fond de mon lit. C’est un long cri qui raisonne au creux de mon oreille, un cri libérateur, m’annonçant que mon chéri vient de jouir.

Je peux ressentir en effet son sexe qui saccade à l’intérieur de mon vagin, son torse posé sur le mien qui monte et descend de façon essoufflé. J’embrasse son cou, ses épaules, sa joue, attendant qu’il dise un mot.
Puis quelques secondes après, la tête toujours enfouie dans mon cou, il me dit…

Guillaume : ohh, c’était trop bon, c’était… pardon mon cœur, j’ai joui trop vite
Moi : ce n’est rien mon chéri, c’était vraiment bon pour moi aussi
Guillaume : mais tu n’as pas joui
Moi : oui mais j’ai pris beaucoup de plaisir, encore plus que la dernière fois
Guillaume : c’est vrai ? Tu ne dis pas ça pour me rassurer ?
Moi : non pas du tout, je t’aime
Guillaume : je t’aime aussi

Il est vrai que je n’ai pas jouie en faisant l’amour, mais je ne mens pas lorsque je lui dis que j’ai pris énormément de plaisir. Je découvre encore toutes les sensations concernant le sexe à deux, il est normal que je n’atteigne pas aussi vite l’orgasme. Mais en tout cas, c’est un réel plaisir pour moi de faire l’amour avec Guillaume, et de découvrir tout cela avec lui.
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