chapitre 115 image
Mon cœur bat très fort, des frissons me gagne le corps, tandis qu’une chaleur envahie mon bas ventre. Sans dire un mot, mes mains viennent se débarrasser de ma robe dans des gestes lents, doux, ainsi que de mon soutien.

Dans le silence le plus total, me voilà entièrement nue, dans le hall de mon immeuble, tandis que Guillaume me regarde avec attention. Il n’en revient pas encore de ce que je viens de faire, et ce que je suis prête à faire pour lui.

Je suis pourtant timide, j’ai encore peur de beaucoup de choses dans ce monde, mais avec lui, je me sens en sécurité, et capable de tout pour ses yeux. Guillaume ne me lâche pas des yeux, je tourne sur moi-même pour lui montrer mon corps, ma nudité.

Très lentement, je commence à montrer les escaliers, lui faisant signe de me suivre. Il ramasse au sol mes affaires, puis me suis tout en me regardant. Je prends le temps, en faisant des poses, je trouve cela excitant de jouer avec un certain danger. C’est très fort en moi, mon cœur tape, tandis que tout mes sens sont en éveil, comme à l’affut du moindre bruit, du moindre mouvement.
 
A tout moment une porte pourrait s’ouvrir, un voisin pourrait monter ou descendre, et me trouver complètement nue dans les escaliers. Je continue de montrer les marches une par une, tout en regardant Guillaume en arrière qui ne me quitte pas des yeux.

A chaque voiture qui passe, cela raisonne comme un bruit sourd, qui provoque en moi des frissons, un sursaut, qui m’excite de plus en plus. Puis arrivés à ma porte, je glisse la clé à l’intérieur, mais mon désir me pousse à autre chose. J’ai envie de continuer ce jeu, cette expérience nouvelle pour moi, j’ai envie d’être encore plus coquine.

Sans plus attendre, je m’approche de mon chéri, je l’embrasse tendrement avant de lui dire, que nous ne sommes pas à égalité. La porte ouverte, nous balançons nos affaires à l’intérieur de l’appartement, tandis que nous restons sur le palier. Je lui retire son T-shirt, tout en lui couvrant le corps de baisers, tous aussi chaud les uns que les autres.

Puis je glisse lentement vers le bas, me débarrassant de sa ceinture, ouvrant chaque bouton de son jean, pour en libérer son sexe tendu. Il est là, devant moi, ce trésor tant convoité.

Son sexe est tendu, beau, alléchant, je le prends délicatement en main pour appliquer des vas et viens. Tandis que j’embrasse chaque centimètre de sa peau, me rapprochant peu à peu de son trésor. Mes lèvres glissent le long de sa verge, son gland se présente à ma bouche, tandis que je savoure sa forme du bout de ma langue.

Un baiser, deux, puis trois, avant de faire glisser sa queue, centimètre par centimètre à l’intérieur de ma bouche. Je suis totalement nue, sur le palier de ma porte, Guillaume, lui, l’est pratiquement, le jean baissé à ses chevilles.

Mes sens qui au début étaient totalement affolés, là ne me transmette plus rien, je suis coupée du reste du monde, appréciant la queue de mon chéri, à l’intérieur de ma bouche. Je ferme les yeux, écoutant chaque râle de plaisir émit par Guillaume, à chacun de mes vas et viens.

J’accélère légèrement le rythme, arrachant au passage des gémissements plus fort que les précédents. Je lève les yeux vers mon chéri, j’aime voir combien il apprécie ce que je lui fais. Tout en gardant mon regard dans le sien, je continue de le sucer, de le branler, doucement, puis de façon rapide.

Il respire fort, gémissant de manière toute aussi forte, son regard me supplie, me remercie pour ce que je suis en train de lui faire. Puis soudainement le bruit d’une porte, celle du hall qui vient de s’ouvrir puis de se fermer aussitôt.

Pris de panique, nous entrons de suite dans l’appartement, moi toute nue, Guillaume en sautant avec son jean aux chevilles. La porte refermée, nous entendons les pas montrer, puis la personne rentrer chez elle.

J’ai le cœur qui bat terriblement fort, je suis même essoufflée, sans avoir fait plus d’effort que ça. On se regarde avec mon chéri, puis nous rions de nos bêtises, c’est sûrement cette adrénaline qui se libère, qui nous cause ce fou rire, des rires de soulagements.

Guillaume me regarde, ses yeux deviennent malicieux, son sourire coquin, puis il se précipite sur moi, m’attrape me soulève pour venir me poser sur l’ilot de la cuisine. Sans plus attendre, il plonge sa tête entre mes jambes, sa bouche épouse directement la forme de mon intimité.

Il se met alors à me lécher, me sucer le clito, m’arrachant au passage des gémissements puissants. Je suis surprise, par ses gestes, par sa folie, par son désir. Ma respiration s’accentue, elle devient profonde, tandis que mon chéri continu.

Je sens sa langue passer entre mes lèvres, venir jouer avec mon clito, tourner autour, passer dessus, puis revenir à l’entrée de mon vagin. Je suis complètement allongée sur l’ilot, les jambes ouvertes, recevant un cunni parfait de mon chéri.

Je me caresse les seins, mon ventre en devient chaud, une tension s’accumule vers mon intimité, puis c’est l’explosion, l’extase, la jouissance qui se libère dans tout mon corps, laissant échapper un cri fort et long.

Je n’en peux plus, mon corps se laisse tomber, ma respiration est saccadé, tandis que mes cuisses en tremble. Je ressens Guillaume poser ses lèvres sur mes entre cuisses, il dépose des baisers, remplis d’amour, de douceur, pendant que je reprends mes esprits.

Tout doucement Guillaume me redresse afin de venir m’embrasser, cela fait un moment que je n’avais pas eu le goût de mon intimité à ma bouche. Je savoure ses lèvres, ainsi que mon goût, je recueille chacune des saveurs présentes.

Puis il me soulève à nouveau, pour m’emmener directement dans ma chambre. Arrivés dans mon lit, nous nous embrassons à nouveau, nos caresses partent à la conquête de nos corps. Je sens le sexe tendu de mon chéri se diriger vers mon vagin, il tente de rentrer doucement mais je le stop.

Guillaume : ça ne va pas ?
Moi : non c’est juste qu’il ne faut pas oublier la capote
Guillaume : on ne peut pas le faire un peu sans ?
Moi : désolée mon chéri, j’ai oublié de t’en parler, mais la dernière fois qu’on l’a fait sans, j’ai du prendre la pilule du lendemain, et c’est franchement pas agréable
Guillaume : oh…

Je lui explique alors un peu ce qui m’est arrivé, les effets secondaires que j’ai pu ressentir. Il en était sincèrement désolé, mais c’était entièrement ma faute, c’est moi qui lui ai demandé de faire sans. Il me sourit, il me comprend tout à fait, et ne tient pas à me faire vivre une nouvelle fois cette mauvaise expérience.

Il se penche pour prendre la capote, l’ouvre, l’enfile sur son sexe tendu, puis se présente à mon vagin. Nos lèvres se mêlent à nouveau, pendant que je ressens le sexe de mon chéri, venir me pénétrer tout en douceur.

Je connais déjà cette sensation, mais à chaque fois, elle me semble nouvelle. Je redécouvre ce plaisir, son sexe s’introduire en moi, frotter doucement mes parois vaginale. J’adore ce moment, où, je me sens remplie par son membre, où à chaque vas et viens, il me comble au plus profond.

Je suis allongée sur le dos, Guillaume entre mes jambes, étendu de tout son long pendant que ses lèvres se déposent dans mon cou. J’adore ça, mais je suis aussi chatouilleuse, cela me provoque des frissons, puis des rires.

Je me laisse gagner petit à petit par un plaisir grandissant, il vient envahir mon bas ventre, mes cuisses. Il accélère petit à petit sa cadence, accélérant de même mes gémissements.

Guillaume : je t’aime
Moi : je t’aime aussi mon cœur
Guillaume : tu me sens bien ?
Moi : oh oui, c’est parfait, continue
Guillaume : je crois que je ne… vais pas tenir, longtemps
Moi : continue mon chéri, continue plus fort si tu veux
Guillaume : si je vais plus vite, je vais jouir
Moi : alors joui mon cœur, joui pour moi, fais toi plaisir

Sans plus attendre, Guillaume plonge sa tête dans mon cou, accélérant aussi son rythme. Son sexe va de plus en plus vite, les claquements ce font entendre, ainsi que nos gémissements. Au creux de mon oreille, les râles de Guillaume ce font de plus en plus fort, je pose mes mains sur ses fesses, pour accompagner son mouvement, je les caresses, les pétris.

Puis dans un dernier mouvement, rapide et sec, Guillaume se raidit, en gémissant longuement. Je ressens à l’intérieur de mon vagin, son sexe palpiter, se vider de sa substance. Nos cœurs battent pratiquement à l’unisson, nos respirations sont courtes.

J’enlace tendrement mon chéri, posant ma main dans ses cheveux, les caressants, tout en le couvrant de baisers. C’était tellement bon, que je ne veux plus me séparer de lui, je veux qu’il reste en moi pour toujours, ne faire qu’un avec lui.

Moi : c’était bon ?
Guillaume : comme toujours mon cœur, je t’aime
Moi : hihi je t’aime aussi
Guillaume : tu as jouie ?
Moi : j’ai beaucoup aimé, j’adore faire l’amour avec toi
Guillaume : mais je ne t’ai pas entendu jouir
Moi : je n’ai pas jouie, mais c’était très bon mon cœur
Guillaume : je suis désolé, je suis venu trop vite, tu m’as tellement bien sucé aussi tout à l’heure
Moi : ahaha c’est vrai ? Merci

Nous sommes restés ainsi, à se parler de longues minutes, pendant que son sexe se ramollie, jusqu'à en sortir seul. Nous reparlons de ce petit jeu dans les escaliers, Guillaume n’en revient toujours pas que j’ai pu oser me mettre nue comme ça, depuis le hall jusqu’à l’appartement.

Je lui dis, que je me sens en sécurité avec lui, et prête à tout. Il retire la capote de son sexe, puis tout en nous parlant, nous nous endormons petit à petit, l’un contre l’autre…
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