chapitre 97 image
Nous sommes de retour en cours, pendant les heures qui vont suivre je ne vais pas arrêter de repenser à ce que nous venons de faire. Me faire doigter ainsi pratiquement en public, c’était tellement fou, et je me rends compte maintenant à quel point c’était inconscient aussi.

Nous aurions pu nous faire surprendre par d’autres élèves, ou pire par des surveillants ou profs passant par là. Je me dis que nous aurions pu nous attirer de graves problèmes, mais le risque pris était tellement satisfaisant.

Je repense également à tout ce qui a pu se passer dans ma tête, lorsque je regardais tout autour de moi, cet impression d’être à la vue de tous, et en même temps caché. Le fait aussi d’avoir croisé quelques regards, c’est fou comment on peut interpréter les choses.

J’ai du croiser deux, ou trois regards, mais j’ai de suite pensée qu’ils savaient ce que nous faisions, alors que non. Ou peut-être que si, je ne sais plus, je suis totalement perdu, mais en même temps toute excitée.

C’est sûrement le fait d’avoir osé quelque chose, d’avoir franchi un pas, sur un coup de tête en plus. Peut-être aussi le fait d’avoir réalisé un rêve fait inconsciemment, mais surtout je pense, de l’avoir fait pour mon chéri, et de le surprendre.

Je l’aime tellement que je ne sais pas si je pourrais lui dire non, bon après je me doute bien qu’il n’irait pas jusqu’au point de me demander de me mettre nue devant tout le collège. C’est évident il n’est pas comme ça, je le connais timide, donc si il me demande quelque chose, ce sera toujours raisonnable.

A part peut-être la fois, où il m’a demandé par message de me toucher les jambes ouvertes face à ma cousine, pendant qu’elle dormait. Ok, il peut être imprévisible, mais je crois que c’est ce qui m’excite le plus.

Je dois dire que tout cela ne fait que me donner envie, j’ai hâte que les cours se termine, que je puisse rentrer avec lui, et faire l’amour. Il faut donc que j’essaie de me calmer, sinon je vais tout mouiller autour de moi tellement mon envie ne fait que grandir.

Je tente de me concentrer sur les cours, il ne faut pas que j’oublie que j’ai mon brevet à passer cette année. Donc il faut que je mette toutes les chances de mon côté.

Heureusement pour moi j’ai cette facilité à suivre en cours, malgré mes pensées, ce que j’ai en tête j’arrive toujours à écouter, et comprendre. Mais ce n’est pas pour autant que je dois me relâcher, au contraire, je veux réussir.

Je me concentre du mieux que je peux, malgré cette tension entre mes jambes. Je n’avais pas fait attention, je m’en rends compte que maintenant, mais ma culotte est complètement trempée suite à notre petit jeux.

Par chance l’après-midi semble passer beaucoup plus vite, les cours sont moins ennuyeux et la sonnerie retentie.

Je n’ai qu’une idée en tête retrouver Guillaume, aller chez moi, puis faire l’amour. Je le retrouve devant la grille, avec nos amis que nous nous empressons de saluer pour partir. Nous parcourons le chemin en direction de chez moi plus vite que prévu. Il faut dire aussi que l’envie nous donne des ailes.

A peine avons-nous passés la porte que Guillaume se jette sur moi, nous déposons nos affaires, puis nous allons directement dans ma chambre. Ma mère va bientôt finir son travail, il ne faudrait pas qu’elle nous surprenne.

Notre désir est intense, en moins de deux, nous nous retrouvons nus. Guillaume m’allonge complètement sur le lit, puis vient se placer au dessus de moi, pour me couvrir de baiser. Ses lèvres entament une descente qu’elles connaissent très bien déjà.

Au moment où ses lèvres se posent sur mon intimité, je ne peux m’empêcher de laisser sortir un gémissement. Il ne perd pas de temps, il me lèche, de long en large, comme s’il était affamé. Quel plaisir que de sentir à nouveau sa langue sur mon clito.

Très vite ses doigts viennent me pénétrer, j’adore, je me sens encore plus excitée, je brule littéralement de l’intérieur. Au point que mon plaisir ne tarde pas à venir, je sens ce courant me parcourir le corps, cette décharge, qui a pour effet, de me faire gémir au plus haut point.

Je tente de reprendre mon souffle, pendant que je sens des milliers de fourmis me parcourir le corps. Je me redresse, c’est à mon tour de m’occuper de mon chéri, à peine est-il assis que je saisis son sexe bandé pour le mettre directement dans ma bouche.

Guillaume est totalement surpris, je suis moi aussi une affamé, n’ayant pas eu son dessert de toutes les vacances. Je le suce en faisant de grands vas et viens, en m’aidant de ma main pour amplifier son plaisir.

Mais je ne tarde pas trop, je voudrais le sentir en moi, alors sans plus attendre, je me relève, en plaçant mes jambes de part et d’autres de son corps. J’ouvre le petit paquet de préservatif, que j’applique très vite sur son sexe.

Je passe ma main derrière moi, saisie la queue de Guillaume, puis l’introduit en moi. Mon dieu que c’est bon, quel bonheur, quel plaisir de me sentir de nouveau pénétré par son sexe. Je commence délicieusement mes vas et viens, tout en embrassant mon chéri.

Ce moment, je l’ai désiré, rêvé durant chaque jours qui ont constitué ces vacances, alors je dois dire que je suis vraiment comblé de pouvoir à nouveau lui faire l’amour.

J’allonge complètement Guillaume pendant que je monte et descend le long de sa colonne de chaire. Je ressens chaque centimètre, glisser en moi, jusqu’à ce que mes fesses butent contre ses cuisses. Je ferme les yeux tout en gémissant de plaisir, tandis que Guillaume me caresse les seins de ses mains.

C’est fou tout le plaisir que je peux ressentir, je suis de nouveau prise de spasmes, tout en gémissant, puis je m’écroule sur Guillaume.

Guillaume : tout va bien ?
Moi : oh oui… c’est tellement bon, de te retrouver, de te faire l’amour…
Guillaume : tu veux qu’on s’arrête ?
Moi : non
Guillaume : mais tu as l’air…
Moi : non, tu me donne trop de plaisir, c’est tout
Guillaume : d’accord, je voulais juste m’assurer que tout allait bien
Moi : oui, je vais parfaitement bien, viens derrière moi, et prends moi vite…

Je suis encore essoufflé, peu remise de ma dernière jouissance, tandis que Guillaume se redresse au plus vite, se place derrière moi, et m’introduis son sexe. Je ne me souviens plus de mes mots prononcés, je ne sais pas ce que j’ai pu lui dire, en tout cas, il s’introduit très vite.

Je suis complètement surprise, j’ai encore les frissons de ma précédente jouissance, et voila que Guillaume s’introduit en moi, en m’assaillant de coup de queue, rapide, et brut en même temps.

Ce qui n’est pas pour me déplaire, au contraire, je ressens là énormément de plaisir. Nous avons déjà essayé plusieurs fois cette position, Guillaume à un sexe légèrement courbé, et quand il va jusqu’au fond cela peut me faire mal. Donc en temps normal, il me prend dans cette position de manière lente et douce, tout en m’attrapant par les hanches.

Hors à ce moment là, c’est tout le contraire, pris d’excitations sûrement, il me culbute complètement. Il m’introduit sa queue en donnant des vas et viens rapide, parfois sec, et ses mains qui au début m’attraper les hanches, viennent maintenant me saisir la nuque, puis même me tirer les cheveux.

Je ne reconnais plus mon chéri, il a laissé place un quelqu’un de plus bestial, ce qui ne me déplait pas du tout. Bien au contraire, tout en subissant ses coups de reins rapide et sec, il y a une certaine douleur qui se mêle à mon plaisir, un plaisir qui ne fait que grandir.

J’ai encore du mal à reprendre mes esprits, tandis que je ressens en moi des puissants coups de queue. Je ne me retrouve pas, je me perds tellement j’ai du plaisir, tellement j’aime ce que je ressens là.

Je sens en moi de nouveau cette tension se concentrer tandis que du côté de Guillaume, il se met à gémir de plus en plus.

Guillaume : oh, oh Oh, je vais pas tarder…
Moi : continue, t’arrêtes pas… Ah ah ah
Guillaume : Oh OH OOOh … je vais venir
Moi : vas-y… ah AH prends moi plus fort… j’adore ça… Ah AAAAH AAAAAh

Sans plus attendre, Guillaume donne tout ce qu’il a dans un dernier effort, il tape fort. C’est tellement bon, ce mélange de douleur de plaisir, que je me mets à crier comme jamais je ne l’avais fait.

Puis dans un dernier coup, Guillaume se colle complètement à moi, je sens ma chevelure se tendre, me courbant au maximum, tandis que je ressens en moi, son sexe qui se déverse. Je suis totalement partie aussi dans un nouvel orgasme, il part de mon vagin, parcourant mon ventre, ma poitrine, mes joues.

Mes bras et mes jambes ne me supportent plus, tant bien que je m’écroule sur mon lit, suivi de Guillaume. Il est allongé, tout contre moi, essoufflé, en sueur, tandis que son sexe palpite encore en moi.

C’est incroyable comment nous avons eu du plaisir, c’est la première fois que ça nous arrives, d’être aussi fous, emballé, désireux de plaisirs. Guillaume se retire, il s’allonge à mes côtés, tout en venant m’embrasser, nous sommes tout deux encore épuisé de ce que nous venons de vivre.

Je viens me blottir tout contre lui, retrouvant peu à peu notre souffle. Dans ma chambre tout devient calme, je sens son cœur battre dans sa poitrine, puis un autre bruit m’interpelle. Ce bruit vient de la cuisine, je comprends alors que ma mère vient d’arriver.

Je me redresse comme je peux, Guillaume fait de même, puis nous nous habillons en vitesse. Pour mes cheveux on repassera, ma mère sait déjà que nous n’avons pas joué aux cartes. Mais pour Guillaume je fais un minimum, pour ne pas qu’il ait honte devant ma mère.

Je sors de ma chambre pendant que Guillaume vérifie une dernière fois qu’il est présentable, avant de nous rejoindre. Ma mère nous propose à boire, et à voir son petit sourire en coin, je ne peux que le lui rendre.

Elle fait comme si de rien n’était, du côté de Guillaume, il est vraiment mois gêné. Il commence sans doute à avoir l’habitude de parler un petit moment avec ma mère, juste après que nous ayons fait l’amour.

L’heure tourne, Guillaume reprends ses affaires pour rentrer chez lui, je l’accompagne comme d’habitude en bas, l’embrasse une dernière fois, puis je remonte. Je vais directement à la douche, ma mère me laisse tranquille pour ce soir, elle sait que si j’ai envie d’en parler, je viendrais vers elle, et je sais qu’elle sera toujours à mon écoute.
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