chapitre 63 image
Nous sommes tous les deux dans la salle de bain, l’eau chaude coule, et Guillaume est si près de moi. Je me débarrasse du sperme sur ma poitrine puis je viens embrasser mon chéri. Il prend le savon d’une main pour m’aider à me nettoyer, ses mains glissent sur ma peau, pendant que je fais de même sur son corps.

Ce n’est pas un grand sportif, il n’a pas de gros muscles, mais l’escalade lui donne vraiment un corps sec et sexy. C’est la première fois que je me douche avec un garçon, et qu’est-ce qu’il est beau.

Bon à vrai dire, Guillaume n’est pas le plus beau de tous selon Estelle, mais il reste mignon et surtout est très beau à mes yeux. Après la douche nous nous rhabillons, de mon côté je me passe seulement un T-shirt long, puis nous allons dans la cuisine.

Tout ceci nous a donnés très faim, je prépare vite fait à manger, pendant que Guillaume me regarde faire.

Guillaume : tu es vraiment belle
Moi : merci mon chéri, mais désolée pour le repas, je ne sais pas encore tout à fait cuisiner
Guillaume : ce n’est pas grave, ça sent déjà très bon ce que tu fais là
Moi : euh, c’est juste des œufs et du bacon ahaha
Guillaume : oui mais ça sent très bon

J’adore le regard de Guillaume sur moi, et surtout ses compliments. Nous mangeons doucement tout en se parlant, nous prenons le temps puis après avoir fini, nous nous installons dans le canapé. Nous reparlons de ce que nous avons fait dans ma chambre, du plaisir que nous avons éprouvés tous les deux.

Moi : dis-moi mon chéri, est-ce que tu as encore des doutes pour ta première fois ?
Guillaume : je dois dire beaucoup moins, et tout à l’heure j’étais vraiment sur le point d’exploser
Moi : mais tu souhaites encore attendre un peu pour le faire ?
Guillaume : je crois que oui
Moi : d’accord je comprends, et tout à l’heure quand je te suçais et que tu allais jouir, tu avais l’air d’avoir peur
Guillaume : euh oui
Moi : tu peux me dire ce qui te fait peur ?
Guillaume : en fait, je ne sais pas, j’ai peur de mal faire. Je te voyais prendre beaucoup de plaisir, et je me suis dis que si je venais à jouir dans ta bouche, ça te dégoûterait
Moi : hey bien non, je ne pense pas. Comme tu dis j’ai pris un réel plaisir à te sucer, et je voulais aller jusqu’au bout
Guillaume : euh, mais j’ai peur que tu n’aimes pas le goût
Moi : hey bien, pour savoir si j’aime ou pas, il faudrait que je puisse y goûter (clin d’œil)
Guillaume : tu souhaites vraiment le faire ?
Moi : oui, tu es mon chéri, et je veux vraiment te goûter, et peut-être que tu aimeras ça aussi hihi
Guillaume : hey bien je suis curieux de voir ça oui
Moi : super, alors retire ton jean que je m’occupe de toi
Guillaume : tu veux faire ça ici ?
Moi : oui, ne t’inquiète pas, on a largement le temps

Je me redresse en me plaçant devant Guillaume pendant qu’il retire son jean et son caleçon. Voir de nouveau son sexe sous mes yeux m’excite tellement.

Guillaume : attends, viens on va dans ta chambre…

Guillaume se lève et me prends par la main jusque dans ma chambre, je me dis qu’il veut sûrement être plus à l’aise, puis il me fait prendre place sur le lit et retire mon T-shirt.

Guillaume : je veux avant tout m’occuper de toi, laisse-moi faire…

Je suis toute nue et allongée sur mon lit pendant que Guillaume termine de se déshabiller. Il s’allonge entres mes jambes, je ressens tout de suite sa bouche sur mon sexe. Mon dieu que c’est bon, mon chéri est à présent beaucoup moins timide pour me faire des cunnis, et qu’est-ce que j’aime ça.

Il me mange complètement, sa langue glisse entres mes lèvres vaginales, et vient se poser sur mon clito, il me lèche avec une telle passion. Je n’en peux déjà plus, mon plaisir monte de plus en plus, et je sens que je ne vais pas tenir très longtemps.

Je relève mes jambes, tandis que Guillaume se place au plus près. Une main de mon chéri vient se placer sur l’arrière de ma cuisse, je regarde Guillaume une dernière fois, la bouche collé contre mon intimité, avant de fermer les yeux pour me laisser aller.

Je sens que je vais jouir, toute cette tension s’accumule dans mon bas ventre, j’essaie de me retenir, je souffle comme je peux, voulant repousser l’échéance mais rien y fait. Je gémis de plus en plus fort et dans un long râle de plaisir, je saisis de mes mains la tête de Guillaume pour ne plus qu’il bouge, et je jouis.

Le temps semble s’être arrêté, il n’y a plus un bruit, si ce n’est ma respiration à la fois, rapide et saccadée. J’ouvre les yeux, mon regard est perdu vers le plafond, puis je me redresse pour chercher Guillaume. Il est toujours la tête entres mes cuisses, humant les senteurs de mon vagin trempé. Il aime vraiment mon goût, mon odeur, alors je le laisse faire un instant pendant que je reprends mes esprits.

Moi : merci mon chéri
Guillaume : tu as aimé ?
Moi : oh oui
Guillaume : je manque encore de pratique, mais je vais m’améliorer pour te faire plaisir hihi
Moi : ahaha, je vais finir par ne plus te laisser partir alors
Guillaume : d’accord, et je m’occuperais sans arrêt de toi
Moi : humm avec plaisir, mais maintenant c’est à mon tour de m’occuper de toi
Guillaume : d’accord

Je me redresse, et Guillaume vient m’embrasser à pleine bouche, je suis totalement surprise, surtout qu’il a encore mon goût sur ses lèvres. Il n’a sans doutes pas réagi que ses lèvres étaient encore toute humide, mais je dois avouer que le goût est bizarre mais pas désagréable.

Guillaume recule tout en me souriant, et s’allonge sur mon lit, il est tellement mignon, innocent. Je sais qu’il n’a pas fait exprès de venir m’embrasser avec ma cyprine sur les lèvres. Je m’installe à mon tour entres ses jambes, pour en saisir son sexe de ma main.

Je dépose des bisous un peu partout sur son gland, le long de sa verge, puis je la lèche toute entière avant de la glisser dans ma bouche. Petit à petit elle commence à prendre de l’ampleur, la verge de mon chéri devient de plus en plus dure, et c’est un plaisir de la sentir grossir entre mes lèvres.

Je commence doucement mes vas et viens le long de son sexe, je le lèche, le masturbe puis le remet en bouche. Je ferme par moments les yeux, puis les ouvres de nouveau pour regarder Guillaume. Il n’en perd pas une miette du spectacle que je lui offre, et j’adore sa façon de me regarder.

Je devine dans son regard, le plaisir, lié à une retenue, peut-être des doutes, des questions. Je tiens à lui faire plaisir, et que ce moment reste à jamais graver dans sa mémoire.

Moi : j’adore te sucer, ton sexe est si doux et délicieux
Guillaume : tu me rends complètement fou et …
Moi : chut, … laisse-toi faire, je m’occupe de tout, surtout ne te retiens pas
Guillaume : tu es sûre ?
Moi : oui, je veux que tu jouisses dans ma bouche…

Tout en regardant Guillaume dans les yeux, je glisse de nouveau son sexe dans ma bouche et recommence mes vas et viens. Son regard est plein de supplice, de plaisir, j’adore ça, je ne veux plus qu’il doute, je veux qu’il profite au maximum.

Ma main vient caresser ses bourses de temps en temps, elle accompagne également les vas et viens de ma bouche. J’entends mon chéri gémir, sa main vient me caresser le visage d’une façon délicate. Sa respiration se fait de plus en plus longue, puis il retient par moment son souffle. Je sens également ses jambes bouger, se tendre, se relâcher.

Je pense que je suis sur la bonne voie, qu’il ne va plus tarder à jouir, alors, j’accélère mes mouvements, puis je ralentie, je veux qu’il en perde la tête. Les gémissements de Guillaume se font de plus en plus intenses, je ressens la tension dans ses jambes et combien il essaie de se retenir.

Je crois que j’ai vraiment pris ça pour un jeu, car j’accélère de plus en plus, puis je ralentie, ou m’arrête complètement quand je le sens se crisper. Je recommence de nouveau, encore et encore, j’adore ça puis vient le moment, où, Guillaume me dit clairement qu’il ne peut plus se retenir.

Je suis arrivée au point de non retour, alors je me lance dans un vas et viens rapide. Sa queue glisse dans ma bouche, jusqu’au fond, ou du moins au maximum que je peux la rentrer. Je m’applique comme je peux en m’aidant de ma main et là.

Guillaume : je… je vais…..aaaAAAAAAa…….AAAAAAAA…….

Je ne bouge plus, et je sens dans ma bouche se déverser une grande quantité de sperme. Il y en a beaucoup, je suis surprise, je pensais qu’il en aurait moins vu qu’il s’est déjà vidé tout à l’heure. Au fond de moi je voulais lui faire plaisir et tout avaler, mais là, je ne peux pas, il y en a trop.

Je m’efforce de garder son sexe en bouche pendant qu’il termine d’éjaculer, mais il y a encore des secousses qui tardent à arriver. J’ai l’impression que son sperme pourrait me sortir par le nez, mais je retiens tout, et une fois que Guillaume s’est totalement relâché, je me lève en plaçant ma main devant ma bouche pour aller directement dans la salle de bain.

Je recrache tout dans le lavabo en ouvrant l’eau, c’est fou la quantité de sperme qu’il a pu lâcher. Je suis totalement surprise, je crois que j’étais au bord de vomir. Non pas à cause du goût, mais plutôt à cause de la quantité qui s’est déversée dans ma bouche.

Je finis de me nettoyer et de reprendre mon souffle avant de rejoindre Guillaume. Il est toujours allongé dans mon lit fixant le plafond, puis je m’installe tout contre lui pour l’enlacer.

Guillaume : je suis désolé, ce n’était pas bon ?
Moi : non pas du tout, excuse moi d’être partie aussi vite dans la salle de bain. Je n’ai pas pu aller jusqu’au bout comme je le pensais
Guillaume : tu n’as pas aimé alors ?
Moi : non au contraire, tu as un goût particulier mais ça va franchement
Guillaume : particulier ? C'est-à-dire ?
Moi : je ne sais pas comment le décrire, c’est à la fois amer, et salée. Mais j’ai surtout été surprise par la quantité que tu as lâchée
Guillaume : ah oui, j’éjacule en grosse quantité, désolé
Moi : ce n’est pas grave mon chéri, on a essayé, et j’ai franchement aimé
Guillaume : moi aussi j’ai beaucoup aimé
Moi : ah oui ? Dis-moi, c’était comment pour toi ?
Guillaume : c’était carrément fou, j’ai essayé de me retenir au maximum, j’avais encore peur de mal faire, et quand je t’ai prévenue et que tu as accélérée…. Je n’ai jamais connu une telle jouissance…
Moi : oh, je suis trop fier hihihi
Guillaume : mais je ne veux pas que tu te sentes mal comme là
Moi : je ne me suis pas sentie mal, j’ai juste été surprise, et on testera de nouveau et on verra d’accord ?
Guillaume : d’accord

Nous restons allongés tous les deux l’un contre l’autre, totalement nue. J’aimerais que le temps se fige et nous laisse profiter de ce moment. Mais le temps passe, bientôt ma mère va arriver. Nous passons à la douche une dernière fois, puis Guillaume se rhabille, pour moi je repasse simplement mon T-shirt.

Nous restons tous les deux dans le salon à se parler, à nous embrasser, puis on entend les clés dans la serrure. La porte s’ouvre, ma mère est contente de nous voir tous les deux. Guillaume s’avance vers ma mère pour lui faire la bise, elle me regarde avant tout, et je comprends alors.

Je rigole en lui faisant signe qu’elle peut lui faire la bise sans problèmes. Nous discutons tous les trois pendant quelques minutes avant que Guillaume ne prenne ses affaires. Je sors dans les escaliers avec lui pour l’embrasser une dernière fois avant de le laisser partir. Lorsque je rentre dans l’appartement je vois ma mère toute souriante et qui n’attends qu’une chose, que je lui raconte tout.
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