chapitre 9 image
Mardi matin mon réveil sonne, je suis fatiguée, je voudrais dormir encore. J’aime vraiment trop mon lit pour devoir le laisser, mais il faut se lever, je n’ai pas le choix. Je peine vraiment à ouvrir les yeux, j’émerge peu à peu, et … je suis nue…

Dans ma tête tout me revient, woao ….c’était comme un rêve, mais un rêve bien réel. Je m’habille en vitesse en récupérant mes vêtements un peu partout dans ma chambre. Dans la cuisine je retrouve ma mère assise dans avec sa tasse à la main.

Je lui dépose mon bisou du matin sur sa joue, et me prépare mon chocolat au lait. Nous prenons toujours le petit déjeuner ensemble la semaine, mais aucune de nous ne parles. C’est bien le seul moment de la journée où on peut être ensemble et avoir besoin de calme, car oui, je me suis aperçue que je ne suis pas du genre à parler dès le matin au réveil, et elle non plus d’ailleurs.

En cours tout se passe bien, le soir en rentrant je retrouve ma mère pour parler de notre journée et d’autres sujets peu intéressant. Le reste de la semaine se déroule de la même manière et enfin arrive vendredi soir….
Aaaah que c’est bon de rentrer, et de se dire que je vais enfin pouvoir profiter de mon lit le week-end, pour une bonne grasse mat. Je suis comme d’habitude dans ma chambre, écoutant ma musique, et ma mère toque à la porte pour me saluer…

Maman : Coucou ma chérie, je suis rentrée, tu as passé une bonne journée ?
Moi : oui super, enfin le week-end, je n’en pouvais plus (en prenant une voix grave d’ado ennuyé)
Maman : oui, c’est vrai que je n’attendais que ça aussi. Je vais poser mes affaires, tu veux prendre un bain avec moi ?

Je suis surprise, il s’est passé deux vendredi ou elle ne m’a pas proposé de la rejoindre. Surprise mais j’accepte avec joie. Elle passe par sa chambre pour poser ses affaires, pendant que je fais couler le bain. Très vite nous voilà toutes les deux nues et installées dans une eau bien chaude. On se lave en douceur tout en parlant un peu, je prends la bouteille de shampoing et ma mère me propose de me le faire. En prime elle me propose un massage capillaire doux et plein d’amour.

J’aime beaucoup sa proposition alors je change de place dans la baignoire, et me place de dos à elle, entre ses jambes. Elle dépose du shampoing sur mes cheveux et commence un massage tout en douceur. Je savoure le moment, ma mère sait comment s’occuper de moi…

Maman : ça te fait plaisir ?
Moi : hummm oui ça fait vraiment du bien merci
Maman : tu as de beaux cheveux ma puce, tout comme moi d’ailleurs ahaha

C’est qu’elle se lance des fleurs ma maman ! Je rigole, c’est très bien qu’elle le fasse puisque c’est vrai. Je lui dis d’ailleurs de ne pas en abusé, ou sinon ses chevilles gonfleront. Ce à quoi nous rions en cœur…

Maman : ahaha ….alala…. dis moi ma puce, j’aimerais savoir une chose…
Moi : oui dis moi
Maman : est ce que tu t’es levé dans la nuit de lundi à mardi ?
Moi : euh je ne sais plus… pourquoi ?
Maman : humm pour savoir, car en allant me coucher, j’ai retrouvé dans le couloir une de tes petites culottes par terre. Et j’ai remarqué que ta porte était entre ouverte, alors je l’ai ouverte mais tu semblais dormir.

Tout ce que je pouvais dire à ce moment là c’était « euuuuuh » qui semblait interminable, en cherchant quoi répondre…

Maman : tu peux me le dire ma puce, vas y
Moi : d’accord …. Oui je me suis levé dans la nuit, et…. Je t’ai vu devant l’ordinateur
Maman : merci chérie
Moi : pourquoi tu me dis merci maman ?
Maman : parce que tu me dis la vérité, même si je t’ai un peu tiré les vers du nez (tout me pinçant le nez d’une main pleine de mousse)
Moi : aahhh maman !
Maman : ahahaha

Tout en rigolant elle saisi la pomme de douche pour me rincer les cheveux. Après ça je me suis retourné pour m’installer dans ma position initiale et faire face à ma mère…

Moi : maman, les autres fois où tu es rentrée, tu ne m’as pas proposé de te rejoindre, et maintenant si. Pourquoi ?
Maman : humm je savais que tu allais me poser cette question. En fait, la dernière fois que nous avons pris notre bain ensemble,… j’ai été troublé. Ça n’aurait pas du arriver, et j’ai compris le sentiment de honte que tu as vécu, lorsque tu m’as vu la première fois.
Moi : oui je comprends
Maman : et quand j’ai trouvé ta petite culotte toute mouillé dans le couloir l’autre soir, j’ai compris que toi, tu n’étais plus gêné de me voir. Vrai ou faux ?
Moi : c’est vrai oui… parce que… la dernière fois tu m’as dis que j’avais le droit de me faire plaisir, peu importe la personne à qui je pense…
Maman : d’accord … oui c’est vrai… j’ai dis ça. Mais on va se promettre une chose toutes les deux ce soir. Tu veux bien ?
Moi : oui laquelle ?
Maman : je pense que ça va arriver encore, de surprendre l’une ou l’autre se faire plaisir. Peu importe la manière, mais il faut se promettre de laisser l’autre dans son moment d’intimité et ne pas la déranger. Tu es d’accord ?
Moi : je ne dois pas te déranger ?, comme lundi soir par exemple où je t’ai laissé faire ?
Maman : oui tout à fait, c’est pour se respecter.
Moi : d’accord c’est promis
Ma mère se redresse alors pour venir déposer sur ma joue, un bisou appuyé. Puis recul pour se remettre à sa place.
Maman : et tu m’as regardé pendant combien de temps ? Je suis curieuse de le savoir (me dit-elle en me souriant)
Moi : je ne sais plus, en tout cas jusqu’à que tu finisses de jouir…
Maman : d’accord … et pourquoi ta culotte était par terre ?
Moi : en fait, j’ai eu envie de me mettre nue pour me faire plaisir, j’ai du l’oublier en partant comme une furie.
Maman : ahahah ma pauvre chérie, ce n’est plus la peine de te cacher maintenant si tu te fais plaisir, je le respecterais
Moi : je pensais que tu serais fâché ou autre de me voir là
Maman : non, si tu me respecte, et que tu me laisse finir de mon côté ça ira
Moi : ok (en rigolant doucement) par contre j’aimerais savoir une chose…
Maman : dis-moi chérie
Moi : pendant que tu te fais plaisir, parfois tu amène tes doigts à ta bouche pour les sucer
Maman : ah oui … en fait… comment t’expliquer ça sans te choquer …
Moi : on peut parler librement, vas y, et en même temps, j’apprends (lui faisant un clin d’œil)
Nous rigolons un instant, ce qui la détend pour me répondre…
Maman : et bien, j’aime avoir le goût de mon intimité dans la bouche, ça m’excite
Moi : ah dégueu…. (En faisant un air dégouté)

Nous rions en cœur, et ma mère tout en se levant pour sortir du bain me dit, qu’un jour peut être, je le ferais aussi, et ce jour là on en reparlera. Je sors à mon tour pour m’essuyer, ma mère me serre dans ses bras et nous regagnons nos chambres pour nous habiller. Ma complicité avec ma mère ne cesse de s’agrandir et de se renforcer, il faut dire aussi qu’elle est superbe. Je me dis que j’ai beaucoup de chance de l’avoir…

Les jours défilent et se ressemblent, nous n’avons pas repris de bain ensemble les vendredis suivants. Mais maintenant, je sais que ce moment doit se passer pour un échange vraiment intime avec elle.

Le samedi 22 décembre, nous prenons la route en direction de Blaye, où vivent mes grands parents. Après trois heures de route, nous voila arrivés à bon port. Je regarde la route, le paysage et tout me semble très différent que dans mes souvenirs. Mais ma mère, elle, me dit que ça n’a pas changé.

Nous arrivons sur la petite route qui mène à la maison, et dans la cours, il y à la voiture de mon oncle. Eux aussi viennent tout juste d’arriver, et sont en train de descendre leurs affaires. Ma mère est toute heureuse de les retrouver en s’empressent de les sérer très fort dans ses bras un par un, tandis que de mon côté c’est différent, j’ai l’impression d’être étrangère à tout ça, je m’avance donc d’un pas peu rassuré en ayant les bras croisés tout contre moi. Ma grand-mère vient me voir la première, elle m’accueille avec ses bras grands ouverts pour m’embrasser, tout en me disant à quel point j’ai pu grandir et que je suis devenue une belle jeune fille.

Tout doucement je viens saluer chaque membre de ma famille présent pour le moment. Il y a donc ma grand-mère Odette, qui m’accompagne tout en me tenant dans ses bras. Mon oncle Philippe l’aîné de ma mère, sa femme Sabine, ainsi que ma cousine Karine qui a 1 an de plus que moi, et mon cousin Jordan plus jeune de 2 ans. Ils ont bien grandis eux aussi, ma cousine est brune, les yeux noisettes, un poil plus grande que moi et pleine d’énergie à ce que je vois. Jordan lui, est blond et pratiquement à ma taille, alors qu’il est plus jeune, les yeux bleus et assez mince. Par contre il est plus calme que sa sœur et doux aussi je trouve.

Nous déchargeons nos affaires de la voiture et mamie me fait la visite guidé, puisqu’il y a eu pas mal de changements depuis. Ils ont rénovés la grande partie de la maison, elle compte quatre petites chambres au rez de chaussé, et celle de mes grands parents, plus grande, à l’étage. Ils ont également fait aménager des chambres et une salle de bain, dans ce qui était au départ l’atelier de papi. Ainsi les enfants d’un côté et les parents de l’autre.

Nous déposons nos valises dans la chambre située à côté des escaliers, je dormirais avec ma mère. Elle s’est arrangée avec mamie car ne sachant pas encore comment je me sens, elle préfère jouer la carte de la prudence. Mon oncle et ma tante prennent la chambre d’à côté. L’heure passe et la famille présente prennent un petit apéro tout en discutant, tandis que de mon côté, j’essai de me détacher de ma mère pour parler avec ma cousine. Doucement je commence à me détendre, à parler, à faire connaissance avec elle…

Une voiture arrive, celle de papi, il descend et vient nous embrasser un par un, et arriver à moi il me fait ce genre de bisou piquant avec sa barbe, c’est officiel je n’aime pas ça. Arrive ensuite ma tante Claire, celle qui à 12 ans de différence avec maman, elle ressemble tout juste à une ado avec son chewing-gum à la bouche en nous faisant la bise. Ma tante, elle, occupera la chambre en face de la notre et la dernière située au fond également, reviendra à mon oncle Vincent, qui arrivera demain avec son fils

Le reste de la soirée se passe à table, il y a du monde, je suis un peu timide mais je suis contente de voir cette ambiance joyeuse. Une fois le repas terminé nous allons tous nous couchés, la plupart fatigué après ces heures de route. Je suis dans le même lit que maman, ça me fait tout bizarre, mais dans cette chambre qui n’est pas la mienne, je me sens en toute sécurité.

Je m’endors doucement, en pensant à ce qui m’attend pendant ces vacances en famille…
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