chapitre 43 image
En me réveillant ce matin je repense à ma nuit passée avec Jordan, au plaisir que j’ai pu ressentir et que j’ai pu lui offrir aussi. Il est pratiquement 10H lorsque je sors de mon lit, pour aller prendre mon petit déjeuner sur la terrasse.

Je retrouve Karine et les garçons à table, ils ont terminés de manger, et ont l’air en pleine forme à part moi. Même Jordan est très bien réveillé, moi je ne dois pas ressembler à grand-chose avec ma tête ce matin.

A 13H les garçons sont partis aider papi, pendant que dans ma chambre Karine me demande tous les détails de ma soirée. Je lui raconte tout, sans rien lui caché, hormis le fait que la personne avec qui j’étais hier soir n’était pas Thierry, mais son frère. Karine est toute souriante en écoutant mon histoire et elle me dit également que ça la titille un peu en imaginant la scène.

Au retour des garçons nous partons vers la rivière profiter du reste de la journée. Avec Jordan, j’échange quelques regards coquins, comme une envie commune de recommencer, mais je garde quelques distances de peur d’éveiller des soupçons.

Sur le chemin du retour vers la maison, Anthony tente de nous taquiner en nous demandant si Karine et moi allons prendre une douche ensemble.

Karine : arrête de fantasmer mon cousin, il n’y aura pas d’autres photos. Je sais maintenant, que vous êtes capable de prendre une douche tous les deux
Anthony : on peut parier autre chose
Karine : dis toujours
Anthony : une course jusqu’à la maison, et la récompense une photo
Karine : humm ok, mais vous nous laissez de l’avance
Anthony : 10 secondes
Karine : 20
Anthony : 15 pas plus
Karine : ok, vas pour 15

Je ne me sens pas du tout prête, je ne suis pas douée pour le sport, et pour moi courir, ce serait plus pour survivre, fuir quelque chose plutôt que pour un pari. Mais le départ est lancé, Karine et moi courons comme deux folles en essayant de prendre le plus d’avance possible. Je ne sais pas si nous avons dépassées nos 15 secondes d’avances, mais j’entends derrière nous les garçons courir pour essayer de nous rattraper.

Nous sommes à quelques minutes de la maison, mais la fatigue commence à avoir raison de moi. Karine m’encourage du mieux qu’elle peut, mais j’entends bien dans sa voix qu’elle est fatiguée aussi. Nous sommes rattrapés par les garçons, et sans pouvoir y faire quoi que ce soit, ils ont gagnés cette course haut la main.

Inutile de continuer à courir, je suis complètement essoufflée, Karine également, et les garçons font une danse de victoire pour nous narguer. Je tente de reprendre mon souffle pendant que Karine demande quelles photos nous devons faire toutes les deux.

Anthony lui chuchote à l’oreille les photos que nous devons prendre, et à la tête de Karine ça semble assez coquin. Après avoir repris mon souffle, Karine m’attrape par la main pour nous rendre dans la salle de bain.

L’eau coule sur mon corps, et ça me fait vraiment trop du bien surtout après avoir couru comme ça. Karine prend son téléphone en faisant attention de ne pas le mouiller, et elle me demande de l’embrasser pour la première. Je suis surprise qu’Anthony lui ai demandé ça, mais je me sens excitée à l’idée d’embrasser ma cousine encore une fois. Nos lèvres se retrouvent, s’enlacent dans un baisé passionné pendant qu’elle prend la photo. Pour la seconde photo, Karine se baisse légèrement et vient déposer ses lèvres sur mon sein, et je ressens un frisson que je commence à bien connaître maintenant.

La photo est vite prise mais Karine continue ce qu’elle me fait pendant un instant, et elle est très douée je dois dire, tout comme son frère. Pour la 3ème photo, elle se positionne à genoux devant moi, je crois comprendre quel genre de photo est la suivante. Karine approche son visage de mon intimité, elle me demande de relever légèrement la cuisse pour dissimuler mon sexe sur la photo, et en même temps un peu son visage.

J’ai le souffle qui s’accélère en la voyant s’approcher un peu plus, et tout en me regardant dans les yeux, elle tend sa langue vers moi. Elle est si proche, mon cœur raisonne dans ma poitrine, la photo est prise et Karine se relève.

Nous éclatons de rire toutes les deux sous la douche, mais dans ma tête je suis un peu perdue, elle était si proche de mon sexe, dans son regard je sentais un réel désir. Je me fais peut-être des idées, mais en tout cas cette douche m’a donné très chaud. Dommage que cette douche ne se termine comme ça, mais en même temps, les garçons sont juste derrière la porte, et si Karine avait continuée, je n’aurais sans doute pas pu me retenir de gémir.

Nous sortons de la douche, les garçons attendent, je suis à la fois timide et excitée devant eux. Des deux, c’est Anthony qui semble le plus impatient de découvrir les photos. Karine passe son téléphone, et les garçons s’en vont directement les regarder dans une chambre.

Je préfère aller dans ma chambre, j’ai besoin de me calmer et d’être seule, car si je reste avec Karine, je pense que je vais surement perdre le contrôle. Une heure après, juste avant de rejoindre la terrasse pour dîner, je vois Anthony sortir de sa chambre, pour rendre le téléphone de Karine.

Le dîner se passe normalement, plus tard, pendant le film avec Karine et les garçons, je reçois un message de Thierry. J’attendais son message avec impatiente, je voulais le revoir encore une fois au moins. Je lui donne rendez-vous sur la route vers 22H30 une fois que le film sera fini, et que les garçons seront dans leurs chambres.

Je suis déjà toute excitée à l’idée de le voir, je ne suis plus du tout le film, dans ma tête je me demande quelle tenue je pourrais bien mettre. Après le film, les garçons regagnent leurs chambres, et je demande à Karine de me prêter quelque chose pour ce soir.

J’enfile comme toujours ma veste sur moi pour lui faire la surprise, même si je sais maintenant qu’il me trouve désirable, j’adore ce petit jeu entre nous. Je vois sa voiture arriver, je ne perds pas de temps pour monter, mais j’ai un doute sur le petit chemin où nous allons d’habitude.

Il me dit connaître un autre endroit, et il roule jusqu’à prendre une petite route barré par un portail. Il sort de la voiture et ouvre la grille avec une clé, et au bout de ce chemin se trouve une vieille grange. Il se gare derrière la grange, la voiture est très bien cachée, et il allume la lumière.

Thierry : J’adore voir ton visage, tu es trop belle
Moi : tu vas me faire rougir (toute souriante)
Thierry : personnes ne vient par ici, tu peux être tranquille
Moi : comment tu le sais ?
Thierry : c’est le terrain privé d’un ami, j’ai la clé car je viens ici pour entretenir le terrain de temps en temps
Moi : mais il y a que cette vieille grange ?
Thierry : non il y a une maison plus loin, mais il ne vit pas ici
Moi : je peux me mettre à l’aise alors ? (sourire coquin)
Thierry : oui vas y

J’enlève ma veste, comme d’habitude Thierry me regarde en souriant, sans en louper une miette, pour découvrir ma tenue de ce soir. J’ai demandée à Karine de me prêter son maillot de bain, celui avec les nœuds.

Thierry : humm tu es à tomber
Moi : merci
Thierry : tu portes de moins en moins de tissu sur toi
Moi : parce que je sais que ça te plaît hihi
Thierry : c’est vrai ahaha, mais on ne pourra pas jouer à saute bouton avec ce maillot
Moi : non c’est vrai, mais j’ai un autre jeu en tête (en me mordant la lèvre)
Thierry : humm ah bon ? Explique-moi
Moi : c’est très simple, répond d’abord à ma question. Tu as aimé m’embrasser l’autre soir ?
Thierry : j’ai adoré tu veux dire, tes lèvres sont si douce et pure
Moi : humm ahah coquin, tu commence fort
Thierry : je ne dis que la vérité, et je veux gagner aussi ahaha
Moi : alors tu as le droit de venir tirer sur la ficelle de mon haut

Je me positionne de dos pour lui faciliter la tâche, sa main en contact avec ma peau me donne déjà des frissons. Je sens le nœud du maillot se défaire, le haut se relâche complètement. Je me replace devant lui, le haut ne tient que par la ficelle autour de mon cou, mais commence à dévoiler un peu plus mes seins.

Thierry : j’adore ce jeu
Moi : hihihi moi aussi… la dernière fois en voyant mon corps, tu te sentais comment ?
Thierry : j’étais je l’avoue, très excité, et là encore ce soir j’ai du mal à me retenir
Moi : hummm, hihi retire mon haut

Je me retourne encore une fois, sa main défait le dernier nœud qui retenait mon haut de maillot et le voici qui tombe dans mes mains. Je me retourne en cachant de mes mains mes seins, alors que Thierry garde le haut du maillot avec lui comme trophée.

Thierry : pourquoi tu ne retire pas tes mains ? (d’un air coquin)
Moi : je suis joueuse hihi
Thierry : d’accord ahah, je suis impatient de découvrir la suite
Moi : ok, hihi… as-tu aimé mon petit cadeau quand je t’ai quitté ?
Thierry : j’ai été très surpris quand tu m’as donné ta petite culotte, et pour sûr, j’ai aimé ton cadeau, d’ailleurs je l’aime toujours
Moi : hihihi, on dirait que tu sais exactement ce que je veux entendre, hihi… Tu peux défaire le nœud sur le côté

Il approche sa main sur le côté de mon maillot, et défait doucement le nœud. Je frissonne encore plus, je sais que je suis déjà bien excitée et lui aussi, alors je continue

Moi : ça te plaît jusque là ?
Thierry : terriblement oui
Moi : la prochaine question, as-tu remarqué ce j’ai fait quand je suis partis ?
Thierry : oui, j’ai adoré ta manière de marcher, et de me dévoiler à peine tes petites fesses, j’en garde un très bon souvenir d’ailleurs
Moi : hihi, tu m’observes très bien, tu as le droit de décaler un peu mon bas de maillot

Il m’a regardé dans les yeux comme pour être sur de ce qu’il a entendu, en me voyant sourire, sa main s’est avancé vers le bas de maillot. Il a pris une ficelle de deux doigts, la poser sur mon ventre, puis à fait glisser le bout de tissu pour en dévoiler un peu plus, jusqu’à que je lui dise stop.

Mon cœur bat très fort, je fais durer le jeu au maximum, je suis tellement excitée déjà.

Thierry : tu me torture là ahaha
Moi : je sais, mais pour moi aussi c’est dur hihihi
Thierry : ah je ne suis pas le seul alors, ahaha
Moi : une dernière question… qu’as-tu fais avec ma culotte ?
Thierry : euh…
Moi : tu peux me le dire, vas y (sourire coquin)
Thierry : en te voyant partir vers la maison, je n’ai pas pu m’empêcher de la porter à mon visage pour la sentir…
Moi : mon odeur te plaît ?
Thierry : complètement
Moi : et c’est tout ?
Thierry : non… une fois chez moi, je me suis branlé en la reniflant encore, et en la regardant
Moi : hummmm… décale doucement le maillot (en me mordant la lèvre)

Sa main se rapproche lentement, ma respiration est plus prononcé, il attrape doucement le tissu comme s’il était fragile et le décale. Il commence à apercevoir mon pubis complètement lisse, puis une lèvre se dévoile à peine, quand je lui dis stop.

Thierry : oooh, snif, tu avais dis la dernière question non ?
Moi : c’est vrai oui, mais je veux savoir, est-ce que tu veux m’embrasser ?
Thierry : oui, bien sur, j’en ai envie depuis que tu es monté dans la voiture

J’éteins la lumière dans la voiture, on se retrouve tous les deux dans le noir, puis je défais le dernier nœud du maillot pour me retrouver complètement nue. Cette sensation de me retrouver ainsi sans le moindre vêtement juste à côté de lui dans le noir m’excite terriblement.

Moi : je suis toute nue
Thierry : hummm c’est vrai ?
Moi : oui… recule un peu ton siège

Thierry ne comprend sans doute pas mon intention, mais une fois son siège reculé, je passe de son côté en le chevauchant. Je place mes mains sur chaque côté de son visage et dépose mes lèvres sur les siennes. Pendant ce temps, ses mains viennent se poser dans mon dos, il me caresse doucement, et sa façon d’embrasser est viril.

Très vite j’attrape ses mains pour les placer sur mes seins, je suis parcouru d’un tel plaisir. Nous nous embrassons pendant un long moment, ses mains parcourent mon corps jusqu’à se poser sur mes hanches. A présent mon entre jambe est complètement humide, et je me fais plaisir en me frottant contre Thierry.

Moi : je sens très bien ta bosse
Thierry : tu veux me toucher
Moi : oui sors là

Sans plus attendre Thierry ouvre son pantalon, et l’abaisse comme il peut jusqu’à être à l’aise pour sortir son sexe bandé. Dans le noir je glisse ma main vers le bas, je trouve son sexe très dur, il semble plus gros que celui de Jordan, et je commence à le masturber doucement. Je l’encourage à me toucher également, une main se pose sur ma fesse droite, tandis que l’autre passe par-dessous pour me caresser les lèvres.

Ses doigts trouvent l’entré de mon vagin, et y glissent doucement me procurant un tel plaisir. Je suis si excitée que je ressens déjà mon orgasme venir, et dans un long gémissement je m’écroule sur Thierry. Je respire fortement, c’est tellement bon que j’ai du mal à retrouver mes esprits, je ne bouge plus, lui aussi, et je ressens contre mon ventre son sexe dur et chaud.

Moi : c’était incroyable, j’en veux encore
Thierry : avec plaisir, mais j’aimerais tellement te voir
Moi : tu es sur qu’il n’y a personnes ici ?
Thierry : oui sûr
Moi : humm… ok, attend

J’ouvre sa portière et sort timidement de la voiture, dehors la température est un peu fraiche, ou peut-être que c’est l’excitation qui me fait cet effet. Je m’avance doucement dans le noir vers la grange, la lune éclair tellement peu, que j’ai du mal à me repérer, mais j’arrive au mur face à la voiture, et je lui dis de m’éclairer.

Les feux allumés, je suis totalement nue contre le mur, je me retourne doucement en m’adossant et je relève une jambe en me caressant doucement. Thierry sors de la voiture, il s’avance vers moi et m’embrasse avec une telle passion, une telle force. Sa main glisse sur mon corps jusqu’à mon sexe encore trompé, il me caresse, me doigte doucement puis très vite, je suis en extase. Thierry m’attrape par le bras pour m’emmener vers l’avant de la voiture.

Moi : attends, je suis toujours vierge, et je ne me sens pas prête pour le faire encore
Thierry : ne t’inquiète pas, on ne va pas aller jusque là, laisse moi faire

A ses mots, je me livre totalement, il m’allonge sur le capot de la voiture, la tôle est froide, il m’embrasse les seins, le ventre, le pubis, et je sens à ce moment là, sa langue sur mes lèvres humide. Mais quel plaisir, quelle sensation je découvre là, c’est tellement bon que je n’arrive plus à penser, sa langue me fait tellement du bien. Il doit être un expert dans ce domaine, ou alors c’est moi qui suis tellement novice, qu’un rien me fait du bien, je ne sais pas, je ne sais plus quoi penser.

Moi : hummmm, continue, oui….encore…..oui…..c’est tellement bon…oo…OOOOOO

Je viens de jouir une nouvelle fois sous la langue experte de Thierry. Mon corps entier saccade, mon plaisir me parcoure, et je ressens comme des milliers de fourmis sur moi.

Moi : oh mon dieu… c’est trop bon…woa…je…
Thierry : respire, prends ton temps

Je respire comme je peux, toujours allongée sur le capot de la voiture, entièrement nue, mon regard vers le ciel. Je reprends peu à peu mes esprits, je me redresse, Thierry me sourit, mais c’est à mon tour. Je me lève comme une furie, je me mets à genoux devant lui en baissant son pantalon et voit son sexe légèrement gonflé devant moi.

Je le saisie de ma main, je commence à le branler et je dépose mes lèvres sur son gland. Doucement j’introduis son sexe dans ma bouche, et oui il est plus gros que Jordan et plus long également. Ma bouche s’habitue peu à peu, je commence alors des vas et viens, je ne me reconnais plus du tout, je suis tellement excitée que j’accélère comme une folle.

De son côté Thierry gémit, il apprécie vraiment ce que je lui fais malgré le manque d’expérience encore dans ce domaine. Il dépose ses mains sur l’arrière de ma tête en suivant le rythme de mes vas et viens. On ne peut plus m’arrêter, je le suce, j’aspire, son goût n’est pas le même que celui de Jordan, c’est encore une fois bizarre mais tellement bon.

Thierry : hummm, oh oui continue, tu te débrouille comme une reine

Ces paroles m’encourage fortement, aussi je m’applique du mieux que je peux, j’alterne à présent en le suçant, en aspirant le gland, je me retire parfois pour le lécher de tout côté. Mes vas et viens sont parfois lent, puis rapide, c’est la deuxième fois que je suce, mais je découvre que j’aime ça, cette sensation de contrôler le plaisir de l’autre.

Thierry : humm, Julia, je vais venir… Julia, stop, je vais venir…Julia

Je ne me contrôle plus du tout, j’entends ce que me dit Thierry, mais je sais que je lui fais tellement de bien que je ne m’arrête plus. Ses mains tentent de me stopper, mais je m’agrippe à lui, et le tire vers moi pour que ma bouche glisse encore plus loin. A ce moment là je ne sais pas ce qui m’arrive, je sais seulement que je veux le faire, que je veux découvrir ce que ça fait, de faire jouir un homme avec ma bouche.

Dans un long gémissement, Thierry ne bouge plus et déverse dans ma bouche plusieurs jets de sperme. Je tente de rester jusqu’au bout, mais il y a une telle quantité que je ne peux plus tenir, et me décale pour tout recracher. Thierry n’avait pas finit de jouir et deux jets sont venus se poser sur ma joue et mon cou. Je suis totalement surprise, le goût est tout nouveau pour moi, la consistance également.

Thierry : oh, …oh c’était trop bon
Moi : c’est vrai ? Je me suis bien débrouillée ?
Thierry : oui tu étais parfaite
Moi : désolée pour la fin
Thierry : ne t’excuse pas, j’ai adoré au contraire

Je ne sais pas si je peux l’embrasser ou pas, ayant eu son sperme dans ma bouche, alors je me relève simplement en me serrant tout contre lui. Il prend dans sa voiture un de ses T-shirt qui traine et me le passe pour que je m’essuie, ainsi qu’une bouteille d’eau pour me rincer la bouche. Nous sommes restés encore un moment ici à se parler, à nous embrasser en étant toujours toute nue.

Le temps ne dure jamais lorsque nous sommes dans de telle situation. Je suis si bien ici, il a toujours ce même regard sur moi, et j’adore ça, je me sens belle, attirante et désirable comme il le dit.

Il commence à se faire tard, j’aimerais tellement recommencer, mais on ne peut pas, je me rhabille, puis nous partons. Nous sommes devant la maison quand il me tend la petite culotte que je lui ais offert l’autre soir. Je lui dis qu’il peut la garder en souvenir, je l’embrasse une dernière fois avant de sortir de sa voiture et me diriger vers l’annexe.

Dans mon lit, je repense encore à ce que je viens de vivre, à toutes les découvertes que je fais au fil du temps. Tout est encore nouveau pour moi, mais quel plaisir je ressens déjà.

La vie me réserve sans doute encore beaucoup de surprise, et je suis curieuse de les découvrir…
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