chapitre 11 image
Me coucher aussi tard ne me réussi pas, je me réveille difficilement dans cette chambre, où une odeur moite, humide plane. Je ne sais pas quelle heure il est, je me tourne dans le lit et remarque que la place de maman est vide.

Je reste dans le lit en regardant tout autour de moi, il y a des affaires un peu partout, mais surtout d'une autre époque. J'exagère bien sûr mais tout ceci date de l'enfance de ma mère, alors bien entendu, je découvre un peu son passé.

Je m'étends de tout mon être dans ce lit telle une étoile de mer, et je sens à ma main droite, du bout des doigts que le drap est légèrement différent. Curieuse, je me redresse pour voir ce que c'est vraiment et je remarque là une tâche humide assez étendue. C’est l'endroit même où hier soir ma mère s'est masturbée.

Dans mon esprit les souvenirs me reviennent et doucement je commence à me toucher, me caresser en soulevant mon t-shirt et tout en baissant mon jogging. A ce moment là, la porte s'ouvre doucement et ma mère apparaît, je suis surprise et remet un peu d'ordre dans ma tenue. Elle se dirige vers moi en me souriant...

Maman : désolée je t'ai interrompu ?
Moi : non ce n’est pas grave, je devais me lever de toute façon
Maman : tu peux encore rester si tu veux, je dirais que tu dors encore (me faisant un clin d'œil)

Je ne voudrais pas faire ma grosse marmotte devant toute la famille, surtout qu'il était pratiquement midi, alors je me lève et me change pour être présentable. Je pense que tout le monde a dû faire la grâce matinée, vu l'heure à laquelle on s'est couché. A table ma cousine vient tout juste d'arriver aussi à en juger sa tête qui est encore dans les nuages.

L'après midi je le passe principalement avec ma cousine, Jordan ayant eu en cadeau ses jeux Pokémon, impossible de l’en sortir et Anthony, lui était dans son coin. Karine voulait sortir un peu profiter de l'air frais malgré le temps gris que nous avions, alors nous sommes parties marcher, visitant des endroits très sympas.

De retour à la maison vers 14h, elle me demande de lui montrer mon téléphone que j’ai en cadeau, alors je vais le chercher dans ma chambre, et en arrivant dans le couloir, une porte s'ouvre et je vois mon oncle Philippe apparaître en caleçon. Il était encore en train de le réajuster tout en rigolant avec ma tante sabine, qui apparaît juste derrière lui enroulée dans une serviette un peu trop courte, me laissant deviner sa nudité.

Nous sommes restés deux secondes immobile à se regarder tous les trois. Deux secondes qui m'ont paru plus longue, durant lesquelles mon regard s'est dirigé vers mon oncle, et plus précisément sur la déformation de son caleçon.

Je reviens à moi et je les vois entrer dans la salle de bain tout en rigolant. Je rigole seule par réflex mais en moi même je suis surprise de les avoir vu ainsi. J'ouvre la porte discrètement et je trouve ma mère allongée sur le côté de dos à moi et complètement nue. Elle se tourne vers moi surprise sur le moment, mais rassuré en me voyant...

Maman : oh c'est toi ? Tu m'as fait peur...
Moi : ils ont encore fait du bruit ?
Maman : oui, de vrai petit lapin ces deux là

Nous rigolons en silence un petit moment, puis je me dirige vers mon téléphone pour le prendre avant de repartir dans la foulée rejoindre Karine. Je la retrouve allongée sur le lit dans lequel je m'installe aussi, j’aime ces petits moments que je partage avec elle. Je commence à mieux la connaître, mais j’en découvre encore pas mal sur sa personnalité, et jusque là, elle me met en confiance, j’aime qui elle est. Nous sommes là, allongées avec nos téléphones, et nous voilà à nous prendre en photo comme des stars. Nous prenons des poses sexy, voulant jouer les femmes fatales, quand à un moment Karine se rend compte qu'Anthony nous observe devant la porte.

Karine : tu veux rentrer ?
Anthony : non merci, j'observe juste mes cousines faire les folles
Karine : faire les stars tu veux dire
Anthony : non, j'ai bien dis folles
Karine : dommage, tu vas rater le show privé (d'un air coquin en commençant à fermer la porte)
Anthony : hein, quel show privé ?
Karine : le spectacle est fini (tout en fermant la porte)

Nous rigolons comme des folles justes après avoir fermé la porte, alors que mon cousin derrière baragouine des mots que nous ne comprenons pas. Karine se jette sur moi et nous tombons dans le lit, entremêlées dans les bras de chacune comme deux amantes. Après un instant et ne sachant plus quelle était la cause de ces éclats de rire, ma cousine me demande

Karine : est-ce que tu as un copain ? Ou un mec sur qui tu craques ?
Moi : euh non, pas de garçon
Karine : sérieux ? T'es lesbienne ?
Moi : hein non ! Je veux dire que je n’ai personne sur qui je craque
Karine : ah ok, mais si tu es lesbienne ce n’est pas un drame tu sais
Moi : non, non, je te rassure, et toi alors ?
Karine : moi, je kiff un garçon de ma classe, il s’appelle Quentin, attend je te le montre (me montrant une photo sur son téléphone)
Moi : ouais il est pas mal, tu as bon goût ma chère cousine
Karine : oh arrête je suis sur que tu lui sautes dessus dès le premier regard
Moi : je ne crois pas non, ahaha… je sais me contrôler moi…
Karine : ah oui ? Et genre ….

Elle jette un regard à gauche puis à droite, comme pour se rassurer que personne ne peut nous entendre et d’une voix basse … elle me demande si je me masturbe.

Je suis complètement surprise par sa question, je le sens qu’à ce moment je suis aussi rouge qu’une tomate, mais je n’ai jamais parlé à qui que ce soit de ces choses là, à part ma mère, et dans un endroit plutôt intime. Dans ma tête je retourne la situation de mille et une façons, et je me dis, pourquoi ne pas lui faire confiance et me lancer.

Moi : euh…. Oui (timidement)
Karine : ahaha, je te vois réfléchir depuis quelques secondes, et enfin tu me réponds. Mais ne t’inquiète pas … moi aussi je le fais
Moi : je m’inquiète pas… c’est juste normal
Karine : bien sur, et je te paris qu’Anthony le fait aussi, et même mon frère tiens…
Moi : sûrement oui
Karine : et genre, tu penses à qui quand tu le fais ?
Moi : euh … personne
Karine : personne ? Sérieux ? Moi je pense souvent à Quentin et aussi à Orlando Bloom ahaha

Nous voilà prise d’un fou rire, si Orlando Bloom savait qu’une jeune française de 15 ans se masturbait en pensant à lui, mais je pense qu’elle ne doit pas être la seule, après tout, une star est souvent le fantasme de jeunes ados. Parmi nos rires, nous entendons toquer à la porte, tante Claire apparaît dans l’ouverture et nous invites pour jouer à des jeux de sociétés avec les adultes, ceux à quoi nous répondons oui en cœur. La soirée se passe dans une ambiance chaleureuse et cette nuit là dans notre chambre nous nous endormons dans le plus grand calme.

Les 4 jours suivants, nous allons nous balader en famille et découvrir des promenades, la citadelle et des forts. Je ne suis pas très fan de ce genre de visite guidée, toutefois la citadelle en elle-même est très belle avec ces boutiques et ces restaurants. Pendant les visites je remarque que mon cousin Anthony me regarde assez souvent. Je me fais peut être des idées, vue qu’il est toujours avec ses lunettes de soleil, et quand je viens lui parler, il fait toujours le mec blasé.

Karine me dit qu’il veut simplement se donner un genre et qu’il ne faut pas faire attention, mais d’un côté je veux en savoir plus sur lui, après tout il est de ma famille. Jordan est le parfait opposé, souriant, doux, attendrissant, et ce petit blondinet est tout à fait mignon. Sa sœur l’embête toujours en lui disant qu’il va faire un carnage auprès des filles, et par solidarité féminine je confirme ses dires, tout en déposant un bisou sur la joue de Jordan, qui devient très vite rouge.

Le 30 décembre, la journée se passe normalement, et depuis ces derniers jours je me rapproche plus de Jordan aussi. Il faut dire qu’il est très rigolo et adorable quand il n’a pas le nez sur sa console portable, il passe un peu plus de temps avec Karine et moi, et je me rends compte que ces deux là sont très complices. Le soir, on s’organise une soirée DVD dans l’annexe entres cousins cousines, on aura un peu de tout en film, en passant par comédie, horreur, fantastique… des chips, des boissons et nous voilà prêts.

Nous sommes tous les quatre installés dans la chambre de Karine, les heures défilent, Anthony lui regagne sa chambre après le deuxième film, quant à nous trois, nous continuons de plus belle avec le film d’horreur. Je n’aime vraiment pas ce genre de film mais il faut que tout le monde y trouve son compte.

Je ne sais plus à quel moment je me suis endormie, mais je sais que j’ai passé une bonne nuit même sans ma mère, et franchement je ne pensais pas réussir ça de si tôt. Je me réveille doucement, devant moi, Karine dort encore, son souffle est lent, je sens un bras autour de ma taille, c’est celui de Jordan qui apparemment s’est endormi également dans la chambre de sa sœur.

Je me sens en sécurité dans ses bras, il est tellement mignon, je me cale un peu plus contre lui en voulant m’endormir à nouveau et profiter d’une bonne grâce mat. Mais c’est à ce moment là que je ressens quelque chose de dur derrière moi, la question à peine formulé dans ma tête que je compris la situation… mon cousin bande

Je ne bouge plus, je découvre cette sensation, et à ce moment là, ma fatigue disparaît complètement pour laisser place à mon imagination. Dans ma tête, je devine et imagine le sexe de Jordan tout contre moi, je me demande quelle taille doit faire son sexe, aussi je revois en tête tous les sexes d’homme que j’ai pu voir en vidéo et je me fais mon analyse. Sa couleur de peau, sa grosseur, la forme de son gland, toutes ses pensées ne font que m’exciter, et doucement je m’appuis un peu plus contre lui. Jordan est sûrement dans un joli rêve puisqu’il se colle à moi et positionne sa tête dans mon cou.

Le contact avec son sexe est parfait, doucement je me frotte à lui, je ressens cette colonne de chair tout contre moi, mon cousin m’a l’air très bien membré. J’aimerais passer ma main dans mon dos et la toucher pour mieux constater, mais je l’entends gémir. Son rêve doit être très beau, il bouge à peine contre mes fesses, mais cette sensation est agréable, je me sens très bien et je prends un malin plaisir à venir tout contre lui pour accentuer le contact. Et dans un souffle sourd, je sens son sexe palpiter tout contre moi, jusqu’à qu’il ne bouge plus.

A-t-il jouit ? Je me pose la question et me frotte contre son sexe pour voir une réaction mais rien. Rien, à part une sensation humide sur mon vêtement fin, une sensation que je devine être son fluide de jeune ados. Je suis toute émue de cette découverte, je suis dans tous mes états lorsque Jordan se réveil soudainement constate qu’il s’est lâché dans son sous-vêtement et qu’il est collé à moi.

J’ai fermé les yeux à ce moment là, faisant semblant de toujours dormir et de n’avoir rien senti. Jordan se lève sans trop vouloir nous déranger et s’en va vers sa chambre dans un pas léger. Les yeux fermés, je souris intérieurement, j’ai beaucoup aimé cette découverte, ce sexe dur et doux à la fois.

Et je sens qu’au fond de moi, ma timidité se dissipe peu à peu, pour laisser place à ma curiosité …
CE SITE A ÉTÉ CONSTRUIT EN UTILISANT