chapitre 105 image
Nous sommes tous les deux toujours allongés dans mon lit, entièrement nus, essoufflés, essayant de reprendre nos esprits. Je trouve enfin la force de me tourner vers Guillaume pour venir l’enlacer, le remercier pour ce moment si intense.

Mais je me demande bien ce qui peut lui arriver en ce moment pour qu’il devienne aussi surprenant. Est-ce que c’est le manque qui le pousse ainsi ? Ou alors c’est tout autre chose

Moi : j’ai adoré mon chéri, c’était comment pour toi ?
Guillaume : vraiment bon oui
Moi : je suis contente alors, mais je peux te poser une question ?
Guillaume : euh oui, je t’écoute
Moi : j’ai remarqué l’autre jour que tu m’avais fait l’amour de la même manière qu’aujourd’hui, c’est nouveau encore pour moi, mais j’aimerais savoir d’où ça te vient ?
Guillaume : ah, mais, non, je ne vois pas…
Moi : mon cœur, tu peux me le dire, vas-y
Guillaume : euh, en fait, j’ai un peu honte
Moi : honte de quoi ?
Guillaume : en fait j’ai vu ça dans un film
Moi : un film porno tu veux dire ?
Guillaume : oui, voila (timidement)

Je suis surprise sur le coup, je ne pensais pas que Guillaume en regardait, pour le coup je suis curieuse. Il me fait rire un instant, lui me regarde bizarrement, mais c’est plus fort que moi.

Guillaume : pourquoi tu ris ?
Moi : je ne pensais pas que tu pouvais regarder ce genre de film, c’est tout
Guillaume : moi non plus, mais c’est plutôt la curiosité qui m’a poussé
Moi : d’accord, et donc ça ta plu
Guillaume : j’ai trouvé cette position très excitante oui, mais aussi la manière de le faire
Moi : oh, c'est-à-dire ?
Guillaume : en fait, j’ai l’impression en voyant la fille sur les vidéos qu’elle prend beaucoup de plaisir, vu comment elle s’exprime et tout
Moi : d’accord, et moi je t’ai excitée là ? Tu as pris beaucoup de plaisir ?
Guillaume : oh oui, voir tes petites fesses rebondir, et t’entendre crier, c’était extra
Moi : hihi je suis contente alors, tu viens avec moi à la douche ?
Guillaume : oui

J’ouvre la porte de ma chambre, puis me dirige dans la salle de bain, je commence à faire couler l’eau, attendant qu’elle devienne chaude, lorsque je tourne la tête, je vois Guillaume entièrement nu dans l’encadrement ma porte.

Il est appuyé contre ma porte, me regarde avec des yeux rempli d’amour. La vision de son corps m’excite de nouveau, et puisque nous sommes seul j’aimerais en profiter au maximum.

Sans plus attendre je coupe l’eau, mon chéri me regarde sans comprendre, puis je viens vers lui, l’embrasse tendrement, avant de me poser à genoux devant lui. Je commence doucement à lui poser des baisers sur son sexe, petit à petit, mes baisers commencent à faire leurs effets.

Son sexe au repos commence à prendre du volume, je lèche entièrement sa queue avant de la prendre en bouche. A ce moment là, ce n’est pas agréable, car le gout de la capote y est fortement présent. Mais je ne lâche rien, je continue de sucer Guillaume avec amour et patience. Lentement le gout de la capote commence à se dissiper, pour laisser place à la vraie saveur de son sexe.

J’aime entendre les gémissements de mon chéri, pendant que ma bouche glisse le long de son sexe. Je le suce doucement, puis accélère de temps en temps, j’aime aussi le prendre en main, le branler très vite, puis le sucer en gardant le même rythme.

Je lis dans son regard, tout le plaisir que je lui donne, alors je ne faiblis pas, j’introduis toujours plus vite, toujours plus loin sa queue dans ma bouche, lui arrachant des gémissements qui m’encourage toujours plus.

Je veux lui faire plaisir, je veux que nos instants ensemble, soit toujours unique, je repense immédiatement à ce qu’il vient de m’avouer, concernant cette position, et les vidéos.

Je termine donc de le sucer, puis me redresse alors, en le prenant par la main. Je viens me placer près du lavabo, de dos à mon chéri, je saisie sa queue de ma main pour la diriger vers mon vagin déjà tout excité, puis lui dis

Moi : prends-moi comme ça
Guillaume : humm tu es coquine
Moi : je suis ta coquine, oui
Guillaume : mais on a pas de capotes, je vais en ch…
Moi : on s’en fiche des capotes, prends-moi stp
Guillaume : tu en es sûre ?
Moi : oui, juste préviens-moi quand tu vas jouir

Je suis face au lavabo, le corps cambré, prêt à accueillir Guillaume en moi. Je me regarde dans le miroir, je vois mon visage, mes yeux fixent, ma bouche qui s’ouvre au moment où je ressens Guillaume me pénétrer, faisant ainsi glisser sa queue au plus profond de mon être.

Lorsqu’il touche enfin le fond, ses mains se posent sur mes hanches, pour reculer son bassin et venir de nouveau taper au fond. Je ne peux m’empêcher de gémir, mais la sensation est toute nouvelle pour moi, et sûrement pour lui aussi.

C’est la première fois que nous faisons l’amour sans capotes, et ressentir son sexe directement en moi, sans passer par cette matière en plastique, c’est incroyable. Je me laisse aller, en enchérissant mes gémissements, en venant moi-même pousser mes fesses vers mon chéri, pour qu’il me pénètre mieux.

Moi : prends-moi comme tu veux

Cette phrase a pour effet d’éveiller Guillaume, je le sens venir taper de plus en plus vite, de manière plus profonde. Je regarde toujours dans le miroir, nos regards se croisent, se fixent, puis ma bouche s’ouvre en grand pour ne laisser qu’en sortir que du plaisir.

Se voir ainsi faire l’amour dans le miroir me plaît beaucoup au point d’en devenir provocatrice envers Guillaume. Ce qui ne manque pas de le faire réagir, il devient de suite, de plus en plus bestial, comme je le voulais.

Il aime apparemment cette façon de faire l’amour, alors je veux qu’il se fasse plaisir, je veux qu’il me fasse crier, je veux qu’il jouisse comme il l’aime.

Je me cambre de plus en plus, recevant en moi sa queue, de plus en plus forte, et toujours plus loin. Mon souffle est court, rapide, le sien aussi, sa main droite vient m’attraper les cheveux, puis les tire vers l’arrière.

Guillaume : tu aimes ça ?
Moi : oh, oui, Oui, j’aime ça, ah

Son rythme vient de doubler, sa puissance également, quand à sa façon de m’attraper, Guillaume est à la fois doux, et ferme en même temps. La douleur et le plaisir ne font de nouveau qu’un, j’adore cette sensation là. Nos gémissements raisonnent dans la salle de bain, tandis que les bruits de claquements ce font plus fort.

Je gémis de plus en plus, mes jambes n’en peuvent plus, je suis à bout lorsque je ressens cette décharge électrique me parcourir le corps. Je cris, je vide mes poumons dans ce son de jouissance lent et incroyable, tandis que mon chéri accélère toujours plus, jusqu’à se retirer et se terminer sur mes fesses.

Je ressens alors son sperme venir se déposer en bonne quantité sur moi, pendant que je regarde Guillaume dans le miroir, la bouche ouverte, ses râles courts mais puissants.

Je faiblis, heureusement Guillaume m’attrape, m’enserre des ses bras autour de mon ventre, puis se colle tout contre moi. C’était tellement bon encore une fois.

Nous sommes tout deux essoufflés, mais je suis surprise par un bruit. Je ne suis pas sûre, cela venait de la cuisine on dirait. Guillaume ne fait plus un bruit également, nous tendons tous les deux l’oreille, mais rien.

Moi : ne bouge pas, je vais voir
Guillaume : tu y vas toute nue ?
Moi : ne t’en fais pas pour ça

La porte de la salle de bain n’étant pas fermée, j’arrive très vite dans le couloir pour regarder dans la cuisine. Rien, il n’y a personnes, c’est peut être mon imagination qui m’a joué un tour. Pendant que je retourne à la salle de bain, je sens dans mon dos, la semence de Guillaume couler doucement.

Sans plus tarder, je prends place dans la douche pour me nettoyer, en invitant bien entendu mon chéri à se joindre à moi.

Guillaume : c’était quoi ?
Moi : rien, ou peut être un voisin dans le couloir
Guillaume : ils ont dû nous entendre aussi alors
Moi : ahaha oui sûrement
Guillaume : et ça te fait rire ? ahaha
Moi : oui
Guillaume : woao, je t’en ai mis partout dans le dos, pardon mon cœur
Moi : ce n’est rien, mais je t’avais demandé de me prévenir
Guillaume : je sais, mais je ne contrôlais plus rien à la fin. La sensation sans capote, c’est vraiment trop puissant
Moi : oui, j’avoue que j’ai beaucoup aimé sans
Guillaume : mais pourquoi est-ce que tu voulais que je te prévienne ?
Moi : je voulais tenter de te prendre en bouche
Guillaume : ah ok, désolé
Moi : ce n’est pas grave, une prochaine fois

Nous nous embrassons tendrement sous la douche, quand j’entends au loin mon téléphone sonner dans ma chambre. Je sors en prenant ma serviette pour ne pas en mettre partout, puis je réponds. C’est ma mère qui m’appel pour me demander si je souhaite quelque chose en particulier, comme elle n’a pas de zumba ce soir, elle arrive.

Je suis surprise, je ne sais pas quoi lui dire à part que ça va. Bien entendu, elle me dit alors qu’elle rentre. Je suis idiote, j’aurais dû lui demander de me prendre une boisson pour la faire traîner encore plus. Je vais vite à la salle de bain pour prévenir Guillaume que ma mère va arriver.

Sans tarder, nous voilà dans ma chambre à nous habiller, puis nous allons dans le salon nous installer en attendant ma mère.
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