chapitre 8 image
Dans la cuisine je suis là à dresser la table en attendant que ma mère me rejoigne, j’ai le sourire aux lèvres en imaginant ce qu’elle a bien pu faire dans sa chambre. Et je me réjouis de penser que je suis surement la source de son plaisir. Ma mère apparaît souriante et un peu gêné, mais on ne fait aucune allusion, ni pendant le repas, car ce moment  n’appartient qu’à nous.

Pour nous changer un peu les idées ma mère me parle de Noël qui arrive, et d’un appel qu’elle a reçu de ma grand-mère. Cela fait des années que je n’ai pas revu ma famille, du à ma timidité maladive. En fait pour tout vous dire, je m’étais tellement renfermée que je ne voulais plus sortir pour quoique ce soit, le seul moment où je mets les pieds en dehors de cet appartement, c’est pour me rendre à l’école, et j’en prends conscience maintenant.

Ma mère est toujours en contact avec sa famille, et leur a partagé le fait que je faisais de gros efforts pour communiquer, et que j’avais beaucoup changé depuis, et j’ai toujours eu leur soutien moral. La famille se réunissant comme chaque année pour fêter Noël chez mes grands parents, ma mère me demande si je voudrais qu’on y aille.

Si je ne me sens pas prête encore, nous pouvons rester toutes les deux cette année ici, et voir pour l’an prochain. La décision m’appartient donc, je réfléchie, et toutes ces années ma mère a toujours fait les choses en fonction de moi, de mes peurs, de mon blocage, mais je voudrais aussi que l’on fasse les choses à sa manière. Je me trouve limite égoïste…

Pour moi, beaucoup de choses ont changés depuis quelques temps. J’aime la personne que je deviens et je me dis que le meilleur moyen d’arriver à plus, et de faire toujours plus. Le fait aussi de revoir toute ma famille pour Noël, ce serait passer un coup de balai sur toutes ces années où je me suis mise à part du monde, et enfin m’en sortir, ne plus penser à mon blocage.

Alors avec un grand sourire, je dis oui à ma mère, et que c’est une très bonne idée, que j’aimerais beaucoup les revoir. Je vais peut être rencontré des difficultés, qui sait ? Mais je ne veux plus faire machine arrière. Ma mère appellera donc ma grand-mère pour leur annoncer que nous serons parmi eux pour cette fête. Dans mon lit ce soir là, je me projette, je suis toute excitée à l’idée de revoir toute ma famille, mais j’ai tout de même mes doutes, mes peurs qui restent toujours en moi.

Nous sommes à mi Novembre, les jours passent et ma mère, pour me mettre à jour, me raconte un peu chaque soir les nouvelles qu’elle a pu avoir sur ma famille. Ma mère a un frère ainé de 5 ans, marié, et deux enfants. Un frère cadet de 1 ans, veuf et un enfant, ainsi qu’une petite sœur, avec qui elle à douze ans de différence. Quand on apprend ça, on est toujours un peu étonné, et pour le coup quand j’étais plus jeune, je la prenais souvent pour une cousine comme nous n’avions pas beaucoup d’écart au niveau de l’âge. Mais je vous les présenterais mieux, quand je serais présente pour le jour J.

Les jours passent, vendredi arrive, je me sens déjà toute émoustillée en pensant à ce qui pourrait se passer ce soir en prenant mon bain avec ma mère. Je l’entends rentrer dans l’appartement, elle passe comme d’habitude à ma chambre pour me dire qu’elle est là, me demande si tout va bien et après lui avoir dis bonsoir, elle me dit simplement qu’elle va prendre son bain, mais sans me demander si je veux la rejoindre ou pas.

Bizarre, peut être a-t-elle passé une mauvaise journée ? Ou peut être qu’elle veut être tranquille ? Je me pose la question, elle dans son bain, la porte fermée, je suis curieuse mais je respecte son moment, son espace. Au repas tout est normal, nous parlons comme d’habitude de beaucoup de choses, et notamment de ma grand-mère qu’elle a eu, pour les prévenir de notre arrivée. Elle semblait très joyeuse au téléphone à l’idée de nous avoir avec eux pour fêter ce jour. Elles doivent encore se rappeler dans les jours qui suivent pour d’autres détails.

Le week-end, elle me propose de venir avec elle pour l’aider à choisir les cadeaux, je lui demande s’il y aura du monde, ce à quoi elle me répond oui surtout en cette période où tout le monde cherche des cadeaux et à préparer Noël. Je ne vous cache pas qu’au fond de moi j’ai peur, rien qu’à l’idée de voir du monde, je suis à la limite d’un blocage. D’habitude je lui aurais simplement dis non, mais là je lui en parle, je lui fais part de mes peurs, et elle me rassure aussitôt qu’elle ne me lâchera pas et qu’elle serait heureuse que je l’accompagne pour une fois. Alors oui, pour elle, pour son bonheur, je veux faire des efforts, et me voilà tout sourire en route pour cette journée.

Le bilan, ….. L’horreur….

Inutile de vous passer les détails, mais pour vous donner une idée, j’étais sans cesse coller à ma mère, fuyant le regard des gens. Nous avons tout de même trouvé tout ce qui nous fallait, mais pour elle aussi je pense que la journée a été dure. Devoir gérer une ado peureuse, agissant comme une enfant constamment dans les jupes de sa mère, je trouve qu’elle a fait preuve d’un grand calme pour ne pas m’abandonner dans la première boutique. Entres nous, je pense que c’est ce que j’aurais fais si j’étais ma mère …

Le soir au calme dans notre petit appartement, je lui présente mes excuses pour cette journée et mon attitude. Ma mère me dit tout sourire que je n’avais pas à m’excuser et qu’elle a passé une bonne journée, car même si je n’étais pas du tout à l’aise, j’étais avec elle pour la première fois. Je suis alors contente au fond de moi, les paroles de ma mère m’encourage à avancer, à changer car malgré ma peur, j’ai fait un effort, j’ai fais un pas en dehors de ma zone de confort.

La semaine se passe normalement, nous sommes vendredi et encore une fois, ma mère rentre, me salut, mais ne m’invite pas à la rejoindre dans la salle de bain. Est-ce que j’ai fais quelque chose de mal ? Je ne pense pas, sinon elle me l’aurait dis, ou alors elle aurait été distante avec moi. Mais elle est toujours souriante avec moi, alors je me dis que tout va bien.

Le week-end passe, lundi soir un appel de ma grand-mère, surement pour nous donner les autres détails. J’entends ma mère parler dans le salon, pendant que je suis occupée à faire mes devoirs dans ma chambre. A l’heure du repas, bilan de l’appel entre mamie et maman, en temps normal la famille se réunit seulement pour la fête de Noël, ils y passent quelques jours et repartent ensuite pour le nouvel an chacun de leurs côtés, entres amis ou autres.

Mais cette fois ci, et parce que je serais présente, ma grand-mère voulait s’organiser avec tout le monde pour pouvoir fêter Noël et le nouvel an ensemble, en famille. De notre côté on ne fait jamais le nouvel an avec des amis, bien sûr à cause de moi, donc le faire avec ma famille, me permettrait de renouer les liens, et de mieux en profiter. J’espère en tout cas ne pas trop faire ma timide et décevoir tout le monde. Ma mère va donc s’organiser pour avoir ses jours de congés et profiter de tous comme il se doit.

Après le repas dans mon lit, écoutant de la musique, je suis heureuse. A l’approche des fêtes et à l’idée de revoir tout le monde, ma mère est rayonnante, et ça me fait plaisir de la voir ainsi. Je m’endors doucement, le sourire aux lèvres et la tête légère… je me réveille dans la nuit, mon réveil affiche minuit et mon corps réclame de l’eau, dans le couloir sombre je m’avance, il y a une lumière dans le salon mais ce n’est pas celle de la télé. L’ordinateur est t-il resté allumé ?

Peu à peu j’entends du bruit, mon esprit commence à comprendre et mon cœur se met à cogner fort. Doucement je m’approche du salon et regarde de façon discrète au coin du mur vers l’ordinateur situé à ma droite. Ma mère est là devant l’écran, et, comme je l’ai imaginé, elle se donne du plaisir devant une vidéo. Je ne vois pas ce qui se passe à l’écran, mais je vois parfaitement ce qui se passe du côté de ma mère. Elle ne m’entend pas puisqu’elle a le casque audio sur ses oreilles, peut être ne voulant pas que j’entende le son depuis ma chambre. Elle ne me voit pas non plus, si je reste exactement là où je suis.

Elle est légèrement de profil, mais j’ai une vue parfaite d’où je suis, elle est là, assise confortablement dans la chaise de bureau, toujours vêtu de son haut noir, mais il est remonté et laisse apparaître sa poitrine, son bas de pyjama est également toujours sur elle, mais elle la légèrement descendu juste en dessous de ses fesses. La scène est tout simplement magnifique, elle a les jambes relevées et posés sur le bureau, le fait que le pyjama soit positionné juste en bas de ses fesses, je vois son intimité à peine éclairé par la luminosité de l’écran. Je vois également le bout de ses doits faire de petit cercle sur son clitoris, je suis en train de rêver ? Non je ne crois pas

Doucement je glisse ma main dans mon pyjama et je commence aussi à me caresser, j’imite ses mouvements, je vais au même rythme qu’elle. Je me cache par moment en fermant les yeux pour savourer mon plaisir, mais je reviens très vite au coin du mur pour la regarder à nouveau. Elle est belle dans son plaisir, et cette fois ci je ne vais pas me sentir honteuse de me caresser en la regardant. Non je suis toute mouillée et je compte bien me faire plaisir jusqu’au bout.

A un moment j’ai une envie folle, et comme ma conseillé ma mère, j’écoute mon corps et mon désir. Je me recule un peu pour ne pas être vue, je retire mon T-shirt, ainsi que mon bas de jogging et ma culotte pour me retrouver complètement nue. Je glisse de nouveau vers le coin pour voir ma mère et reprendre mes caresses, mon plaisir monte très vite et je jouis déjà à peine ayant commencé. Le fait de la regarder peut être, je respire un moment, mon bouton est sensible, mais la voir ainsi se faire plaisir je reprends assez vite ma masturbation.

Elle se caresse toujours, et par moment elle introduit deux doigts dans son sexe, avec lesquels elle fait des vas et viens, parfois lent, mais parfois très rapide aussi. Elle aime aussi quand elle les retire, les porter à sa bouche pour les lécher et les sucer. Je ne connais pas cette pratique, mais peu importe, pour le moment ma main s’occupe très bien de mon clitoris en feu, je sens que je vais jouir à nouveau et me voila encore prise de spasmes.

Que c’est bon de jouir ainsi, mes jambes ne tiennent pas très bien, je manque de m’effondrer tellement je n’ai plus le contrôle. Je respire, et je reviens à la charge de mon bouton gonflé et très sensible, elle gémit tout doucement et moi de mon côté je me caresse au son de son plaisir. Bientôt je la vois ouvrir la bouche, elle ne gémit plus et sa main accélère ces mouvements sur son clitoris, de l’autre main elle saisi son sein gauche, limite elle le maltraite, et là sous mes yeux, ma mère se cambre en arrière, et je la vois jouir magnifiquement en ne laissant paraître qu’un léger gémissement. Son souffle est court, saccadé…

Je la regarde et ne bouge plus aussi de mon côté, ma main immobile entre mes jambes. Ma mère relève la tête, saisi la souris et éteins l’ordinateur. J’ai à peine le temps de comprendre, je fais machine arrière, j’oublie mes vêtements au sol, que je reviens chercher en manquant presque de trébucher. J’essaie de faire le moindre bruit possible, car elle n’a plus le casque sur les oreilles et risque de m’entendre. J’entre dans ma chambre, je laisse à peine entre ouvert ma porte de peur que son claquement me dénonce, et je saute dans mon lit toujours nue en saisissant ma couverture et me couvrir toute entière.

J’entends des pas léger, la lumière du couloir qui s’allume, j’ai tourné le dos à ma porte, mais mes yeux eux sont toujours ouverts. Là j’entends ma porte s’ouvrir légèrement et la lumière qui s’introduit un peu plus. J’entends le souffle de ma mère, mon cœur bat fort et mes yeux sont fermés, elle fait un pas en arrière et je sens la porte se refermer derrière elle.
Ouf, j’ai bien crus qu’elle viendrait me voir dans mon lit, j’espère vraiment qu’elle ne se doute de rien, car je ne voudrais pas lui cacher des choses. La revoir secrètement m’a terriblement excitée et fait plaisir, mais si elle vient à me poser la question, alors j’aimerais ne pas lui mentir, ne pas gâcher la confiance qu’elle a en moi…

La tension retombe et la fatigue me gagne assez vite, surtout après m’être masturbé plusieurs fois. Je m’enfonce doucement dans un sommeil profond…
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