chapitre 38 image
Dimanche matin, je me réveil doucement et la chambre est assez claire. Je me tourne à la recherche de mon téléphone sur lequel je vois qu’il est près de 10H. Je reste allongée dans mon lit en essayant de capter le moindre bruit qui pourrait me dire que les autres sont encore dans leurs chambres, mais rien. Si ce n’est que le rire de Jordan que j’entends provenant de la terrasse.

Je me lève, m’habille, et je monte les rejoindre, la tête encore un peu endormie. Les garçons ne manquent pas l’occasion de se moquer de moi, mais je commence à avoir l’habitude, et je sais que c’est affectif. Après le déjeuner, chacun va à ses occupations, Jordan dans sa chambre avec ses jeux, Karine écoute de la musique en feuilletant un de ses magasines et Anthony je ne sais pas ce qu’il fait vraiment.

Je toque à sa porte pour voir ce qu’il fait, et passer du temps avec lui s’il veut bien. J’ouvre la porte, il est sur son ordi, il n’a sans doute pas entendu lorsque j’ai frappé avec ses écouteurs sur les oreilles. Quand il se rend compte de ma présence, il sursaute, et ferme l’écran de son ordi. En moi-même je rigole de sa réaction, et je me dis que si mon cousin regardait un film x, c’est son droit, mais je m’excuse tout de même de l’avoir dérangé, et lui demande si je peux rester.

Anthony à bien progressé aussi depuis quelques temps, bien qu’il ait besoin par moment d’être dans sa bulle, coupé du monde. Nous parlons un peu, et je me rends compte qu’il a pas mal d’affaire, son père lui achète beaucoup de choses depuis la mort de sa mère, na sachant sans doute pas comment y faire avec lui. Mais il sait que son père fait du mieux qu’il peut et que lui aussi en souffre encore.

Mou cousin se livre un peu à moi, sans rentrer dans des détails blessants, mais je suis contente qu’il me parle comme il le fait. On se ressemble beaucoup lui et moi, malgré que nous n’avons pas vécu les mêmes choses, et il sait que je le comprends parfaitement.

Je tente d’en apprendre plus sur lui, ce qu’il aime ou pas, et mon cousin s’est découvert depuis quelques temps une passion, il aime photographier et filmer tout ce qu’il voit. Mais son téléphone ne lui permet pas de faire de belles images, il va donc demander à son père de lui acheter un bon appareil dès la fin des vacances.

Après avoir longuement discuté avec Anthony, je le laisse tranquille à ses occupations dans sa chambre, et à vrai dire je suis encore un peu fatiguée, alors je me glisse dans mon lit pour fermer les yeux un moment.
C’est une petite sieste qui me fait le plus grand bien, à mon réveil il n’y a pas de bruit, je sors de ma chambre et toutes les portes sont fermées. Ils doivent surement se reposer un peu, alors je monte vers la maison, où je retrouve mamie sur sa terrasse. Papi est sans doute parti chez des amis, il est rare qu’il tienne en place.

Nous sommes toutes les deux sur la terrasse, à boire et à manger quelques gâteaux fait maison. En me parlant de ma mère, mamie est de suite partie chercher ses albums photos pour me montrer comment maman était bébé et à mon âge. J’ai eu le droit à toutes sortes d’histoires depuis son enfance jusqu’à l’adolescence, et en regardant l’album, une photo attira mon attention. Mamie me dit alors qu’il s’agit de ma mère et de sa cousine Solène, avec qui elle était inséparable. Je souris à l’idée de mettre un visage et un nom sur cette fameuse cousine, avec qui ma mère a découvert le plaisir de la masturbation.

Par la suite j’écoutais les histoires de mamie, mais je n’arrêtais pas de repenser à cette photo et à Solène. J’imaginais ce qu’elles pouvaient bien faire ensemble. Puis Jordan nous à rejoins sur la terrasse en découvrant aussi les photos, et en se moquant de la tête de son père plus jeune. De mon côté, je ne pensais plus à rien d’autre à part maman et Solène, et par curiosité je demande …

Moi : mamie, maman m’a beaucoup parlé d’une cabane quand elle était ado, tu sais où elle est ?
Mamie : non ma chérie, je sais seulement qu’elle y allait souvent avec Solène, mais c’est tout, désolée  
Jordan : Une cabane, je crois en avoir déjà vu une pas loin de la décharge
Moi : c’est vrai ?
Jordan : oui si c’est bien celle dont tu parles, je peux te montrer si tu veux
Moi : oui je veux bien
Mamie : allez-y les enfants, moi j’ai mon linge qui m’attend

Sans plus tarder, et sans repasser par nos chambres prendre des affaires, nous sommes allés en direction de la décharge, puis de là, j’ai suivi Jordan jusqu’à l’endroit, où, effectivement il y avait bien une cabane dans un arbre. Elle est vieille et un peu abîmé, mais je suis contente de la découvrir. Jordan tente de grimper, elle n’est pas très haute, mais j’ai peur qu’elle soit trop pourrie et qu’il se blesse.

Il entre dans la cabane, et me dit que tout va bien. Etrangement sous son air abandonné et abîmé, elle reste tout de même solide. Mon cousin me tend la main pour m’aider à grimper, et une fois dedans je vois quelques feuilles mortes, un livre oublié et des gravures sur une planche ou je peux lire les prénoms « Nadège et Solène ».

Voilà quelque chose qui me prouve qu’il s’agit bien de la cabane dont m’a parlé ma mère. Lire leurs prénoms sur ce bout de bois provoque en moi une sensation de chaleur, je sais ce qu’il c’est passé ici entres elles, et je les imagine là, devant moi, nues se donnant du plaisir l’une devant l’autre.

Doucement cette chaleur grandit en moi, au point d’en ressentir mon entre jambe qui devient humide. Je me retourne et m’avance vers Jordan qui me regarde sans trop comprendre, puis je me colle pratiquement à lui pour murmurer à son oreille…

Moi : déshabille moi…

Je sens la chaleur monter entres nous, puis doucement les mains de mon cousin viennent vers ma poitrine, et commence à défaire un à un, chaque bouton de ma robe courte. Le tissu est léger, chacun de ses gestes me frôle de très près, et me coupe le souffle. Ma robe tombe au sol, Jordan me regarde avec des yeux doux, puis je lui demande de m’enlever mon soutien gorge.

Je lève les bras pour lui faciliter le passage, ses mains encore novices cherchent comment retirer ce tissu, il est tellement près que j’ai l’impression qu’il m’enlace. Et après quelques secondes, voila ma poitrine qui se libère sous ses yeux ébahis, comme s’il découvre mes seins pour la première fois.

Pour ma petite culotte, je lui demande de se mettre à genoux, je le regarde toujours tandis que de son côté il fixe le dernier bout de tissu présent sur mon corps. Doucement il place ses mains sur les côtés de mon sous vêtement, puis dans un geste délicat et sans fin, il abaisse ma culotte dévoilant mon intimité.

Moi : tu aimes ce que tu vois ?
Jordan : oh oui j’aime beaucoup, j’ai vraiment de la chance
Moi : relève-toi, je veux te déshabiller à mon tour

Jordan se redresse, il est un peu plus grand que moi, je saisie la base de son T-shirt, et le relève pour le passer par-dessus sa tête et ses bras. Je suis si près de lui que je sens son odeur, je respire longuement pour l’apprécier, et tout en restant debout je défais le nœud qui retient son short. Sans le moindre effort son short tombe au sol, et dans son caleçon se dessine déjà une belle bosse qui me fait sourire.

Je me positionne à genoux devant mon cousin, mes mains caresses doucement l’extérieur de ses cuisses jusqu’à atteindre les rebords de son caleçon. Ce contact donne quelques frissons à Jordan, et pendant qu’il me regarde, je descends son sous vêtement pour que, sous mon nez se présente son sexe bandé.

Je suis en admiration, son sexe et si beau, de la même couleur que le reste de son corps, le gland rosé, et ses bourses humm. Jordan se met à genoux devant moi, tandis que je m’allonge au sol tout en ouvrant les jambes. On pourrait nous prendre pour deux amoureux qui s’apprêtent à faire l’amour avec une grande passion, mais il en est rien. Devant moi Jordan saisi son sexe de la main droite pour commencer ses vas et viens, je suis en admiration pendant que ma main vient, elle, se positionner entres mes jambes pour commencer à me toucher sans retenue devant mon cousin.

Jordan : j’ai envie de ….
Moi : de quoi ? Dis-moi
Jordan : d’être encore plus près de toi

Mon cousin me fait sourire, je lui dis de se rapprocher tandis que je me redresse un peu. Nos corps sont si proches, que je sens la chaleur qui émane de chaque partie de son corps, et plus précisément de son sexe et de sa main s’activant sur celui-ci.

Moi : pose ta main sur ma cuisse
Jordan : hein ?.... où ça ?
Moi : ici… (En lui indiquant avec ma main l’endroit exact où je veux qu’il la pose)

Jordan pose sa main sur l’intérieur de ma cuisse à quelques centimètres de mon intimité. Ce touché fait monter en moi un plaisir intense, je sens mon cœur taper si fort dans ma poitrine que je laisse échapper un gémissement tout en me mordant les lèvres. Mes doigts tournent toujours sur mon petit bouton et je sens déjà venir ma jouissance. Je n’arrive plus à me contrôler et sous les yeux de Jordan, je me libère complètement dans une série de gémissements saccadés.

Ma main est immobile, mon corps allongé sur le sol, le souffle court, pendant que mon cœur, lui, tape très fort. Jordan à ralenti un peu ses vas et viens, il me regarde en attendant que je retrouve complètement mes esprits.

Jordan : tout va bien ?
Moi : oui j’ai jouie, désolée
Jordan : tu veux que je m’arrête ?
Moi : non pas du tout, je veux que tu te fasses plaisir au contraire
Jordan : d’accord, je ne vais pas tarder
Moi : tu veux que je reste comme ça ?
Jordan : oui, c’est bien comme ça. Je peux jouir sur toi ?
Moi : humm… je n’ai rien pour m’essuyer après…. Oui vas y, tu peux jouir sur moi
Jordan : ok

Mon cousin repris alors ses mouvements de vas et viens, sa main toujours posé sur ma cuisse. Devant lui, je me caresse les seins pour l’exciter encore plus, et il ne tarde pas. Dans un long gémissement, il se lâche sur moi en déposant cinq jets de sperme sur mon bas ventre, puis il s’allonge à mes côtés, essoufflé.

On se regarde tous les deux puis on se met à rire de ce que nous faisons en cachette. Il me demande avec quoi je vais pouvoir m’essuyer alors je saisie ma culotte non loin, et la pose sur mon bas ventre pour effacer toutes traces de semence.

Jordan : mais …
Moi : ne t’inquiète pas, je peux rentrer à la maison sans hihi

Nous sommes restés un moment tous les deux allongés complètement nus, ma tête posée sur son torse. J’aime beaucoup cet instant, la chaleur de son être contre le mien, sentir sa respiration pendant que ma main caresse sa peau si douce.

Puis nous nous rhabillons, je prends ma culotte que je roule en boule et nous sortons de cette cabane. Je regarde autour de moi comme pour chercher toute présence humaine, mais personne. Nous repartons vers la maison en marchant doucement, et je dois dire que je me sens comme si j’étais entièrement nue, sans culotte sous ma robe.

Quand nous sommes arrivés à la maison, tout le monde est présent sur la terrasse, je suis passée directement par ma chambre pour me débarrasser de ma culotte poisseuse, et en remettre une autre propre avant que quelqu’un ne remarque ma nudité sous ma robe.

Puis nous sommes restés tous ensemble sur la terrasse jusqu’à l’heure du dîner, avant de revenir à nos chambres respectives. Karine est venue me voir un peu plus tard, l’air un peut triste, car Lucas est repartit aujourd’hui avec ses parents, après le repas de famille. Il voulait encore rester et nous voir, mais ses parents ne voulaient pas faire le trajet encore une fois pour le récupérer. Karine est triste de ne pas avoir pu lui dire au revoir, mais elle sait que ce n’était pas du tout sérieux tous les deux, et qu’elle en a bien profité tout de même.
CE SITE A ÉTÉ CONSTRUIT EN UTILISANT